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Il est lumineux de s’imaginer que, grâce à l’invention du téléphone intelligent, il sera bientôt possible, village par village, ville par ville de mettre en marche la nano-citoyenneté-planétaire par simple tirage au sort.
Ainsi, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, le concept DU VOILE D’IGNORANCE» de John Rawls pourra être expérimenté concrètement, permettant une séparation des pouvoirs innovatrice entre les états et les nano-citoyens-planétaires.
1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde
Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde 7,4 milliards d’abonnements mobiles étaient souscrits à fin 2016, selon les estimations de l’International Telecommunication Union, pour un taux de pénétration de 99,7%.
Dans le monde à fin 2016, ce sont près de 7,4 milliards d’abonnements mobiles qui étaient souscrits, soit quasiment la totalité de la population mondiale, selon les estimations de l’International Telecommunication Union. Cela correspond ainsi à un un taux de pénétration de 99,7%. 5,8 milliards de ces abonnements ont été souscrits dans des pays en développement.
Le marché approche la saturation : la croissance des abonnements n’est plus que de 2,2% par an (contre 2,6% entre 2014 et 2015 par exemple). Elle est surtout due aux pays en voie de développement (hausse de 2,5% en 2016).
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PLAN EN TROIS ANS POUR INVENTER LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE SUR TERRE
PLAN DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)
QU’EST-CE QUE LA NANODEMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART?
Une nano-démocratie instaurant, PAR TIRAGE AU SORT, une assemblée constituante de 125 vies personnelles œuvre d’art pourrait-elle constituer le prélude au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète terre?
pré-essai d’une MODELISATION THÉORIQUE
A) Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception.
B) Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art.
a) Quel est ton rêve?
b) dans combien de jours
c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
C) Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation est lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….
D) En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?
E) Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE.
F) Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 125 de ces vies personnelles œuvre d’art…. en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.
G) Imaginons que ces 125 vies personnelles œuvre d’art se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière.
H) Imaginons que….. la question….EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls.
I) Imaginons qu’une fois l’assemblée constituante des 125 vies personnelles œuvre d’art terminée, un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionné comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde.
J) Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre.
EN CONSEQUENCE DE QUOI
K- Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire
un jour DES PAYS OEUVRE D’ARTS DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.
L- La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel, la liberté reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU.
M– objectif:
nouvelle conscience éthique-esthétique
planétaire en vue de la réforme des états
pays œuvre d’art par la masse critique
nano-numérique des vies personnelles œuvre
d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde.
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7- CONCLUSION (OUVERTE FINALE)…15 PAGES
L’implantation planétaire de la nano-démocratie pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:
– retour sur les quatre questions
menant à la cinquième question
éco-philanthrope de l’espace-monde:
-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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SUJET DU DOCTORAT…. LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE
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DOCTORAT
SUJET
la nanocitoyenneté planétaire
QUESTION
Comment fonder la priorité juridique
du droit nanocitoyen planétaire
sur le droit juridique existant
des états?
OBJET CONTEXTUEL
La nanocitoyenneté planétaire n’aurait pu être possible avant la mondialisation virale de l’usage quotidien du téléphone intelligent. En conséquence de quoi, Il devient donc possible que l’histoire du 21eme siècle puisse s’écrire par le biais d’une masse critique INOUIE de personnes humaines se percevant d’abord et avant tout comme DES NANOCITOYENS PLANÉTAIRES réclamant une reconfiguration juridique majeure accordant désormais une priorité non négociable aux droits de l’humanité sur le droit des états.
Mais comment conceptualiser un nanocitoyen planétaire?
Notre méthodologie de recherche se concentrera sur le cadre théorique de la genèse d’une vie humaine… soit celle de Michel Woodard, 66 ans, tout en identifiant les différentes stratifications de son cerveau l’ayant conduit de Michel Woodard à Michel chansonnier du Vieux Montréal, à Michel le concierge à Michel W concierge du pays œuvre d’art ier nanocitoyen planétaire, le tout documenté sur film et sur blogue, dans un contexte des grandes avances d’une conscience planétaire et de ses enjeux.
Puis l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) suggérera un passage conceptuel pragmatique entre LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, la nanocitoyenneté planétaire œuvre d’art et le pays œuvre d’art afin de proposer un laboratoire concret de mise en application d’une nanocitoyenneté planétaire par une chaire recherche universitaire.
L’objectif étant de proposer un dialogue performatif (Austin, Habermas) entre le droit juridique nanocitoyen planétaire construisant des mécanismes éthiques-juridiques permettant la priorité des droits de l’humanité sur le droit des états.
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sur you tube
Michel le concierge
sur Google
Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond
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L’union pour la survie des médias?
Quelques-uns des grands patrons de presse étaient réunis par la Fondation pour le journalisme canadien
28 septembre 2017 |Philippe Papineau | Médias
L’animateur de la soirée, le journaliste Gérald Fillion, en compagnie de Michel Bissonnette, de Radio-Canada, Guy Crevier, de «La Presse», Brian Myles, du «Devoir», Alexandre Taillefer, le patron de «L’actualité», et Colette Brin, du Centre d’études sur les médias.
Photo: Pedro Ruiz Le Devoir
L’animateur de la soirée, le journaliste Gérald Fillion, en compagnie de Michel Bissonnette, de Radio-Canada, Guy Crevier, de «La Presse», Brian Myles, du «Devoir», Alexandre Taillefer, le patron de «L’actualité», et Colette Brin, du Centre d’études sur les médias.
Contre les chutes des revenus publicitaires des médias au profit des Google et Facebook de ce monde, la solution pourrait passer par une union stratégique des différentes entreprises de presse, a insisté mercredi soir le nouveau patron de L’actualité Alexandre Taillefer lors d’une conférence sur l’avenir du journalisme organisée par la Fondation pour le journalisme canadien.
La soirée intitulée « Une constante mutation : quelles seront les prochaines étapes pour les médias ? » rassemblait aussi le vice-président principal de Radio-Canada, Michel Bissonnette, l’éditeur de La Presse, Guy Crevier, la directrice du Centre d’études sur les médias de l’Université Laval, Colette Brin, et le directeur du Devoir, Brian Myles.
Selon M. Taillefer, les médias ont dans les plateformes publicitaires étrangères « un ennemi commun ». « PKP a le même ennemi que nous, c’est tout dire. » Et à adversaire commun, l’ancien Dragon a estimé qu’il existe une « obligation de travailler ensemble », une proposition qui a reçu l’approbation de ses collègues de scène. « Que ce soit avec une régie publicitaire, pour la monétisation, ou pour les datas qu’on peut avoir sur les Québécois, Google et Facebook ne pourront pas nous enlever ça », a dit M. Taillefer, qui a plus tard parlé d’une coopérative d’information personnelle détenue par les citoyens.
Modèle payant ou pas ?
Des questions du public ont aussi souligné le fait que, malgré la crise qui frappe les médias, l’enjeu ne trouve pas écho dans la population générale. « Vous prêchez des convertis », a lancé une dame se décrivant comme une « news junky », avant de proposer à MM. Taillefer, Myles, Crevier et Bissonnette d’aller parler des difficultés de leur industrie à Tout le monde en parle, par exemple.
Le hasard a fait que Jacques K. Primeau, le gérant de l’animateur Guy A. Lepage, était présent mercredi soir, ce qui a fait rigoler la foule. M. Primeau, qui s’est avoué plutôt impuissant quant au choix des invités de la populaire émission, a par ailleurs pris la parole pour donner l’exemple du Quartier des spectacles, qu’il préside, et dont les acteurs se sont unis pour croiser leurs données pour mieux cerner et rejoindre leur public. « L’ensemble des joueurs ont eu des données auxquelles ils n’avaient jamais eu accès avant, et ç’a été un succès total. L’union, c’est une piste extrêmement intéressante. »
L’animateur de la soirée, le journaliste de Radio-Canada Gérald Fillion, avait lancé la discussion avec les modèles d’affaires, un dossier que chaque joueur présent pilote avec différentes réalités. Le Devoir, a expliqué Brian Myles, opte pour le modèle des abonnements avec un mur payant, un peu à la manière du New York Times et du Washington Post. « Le deux tiers de nos revenus proviennent des abonnements, a dit M. Myles. On fait le pari que pour l’info nichée de qualité, il y a un marché payant. On fait le pari que nos abonnés vont nous suivre. »
Guy Crevier, de La Presse, qui sera entièrement numérique et aussi gratuite dès le 1er janvier, estime que « le modèle d’avenir est fort simple : il faut avoir une plateforme performante et fluide et en démontrer l’efficacité, entre autres aux annonceurs. Le problème, c’est que ça demande une transformation qui a un coût élevé ». M. Crevier a par ailleurs glissé que La Presse + réussissait à obtenir entre 65 et 70 millions de dollars de revenus publicitaires numériques. Il a aussi réitéré que son entreprise miserait sur une présence sur les téléphones mobiles, sans vouloir s’avancer davantage sur la date.
Le rôle d’Ottawa
Même si les revenus de L’actualité et de Voir ont diminué avec les années, Alexandre Taillefer a quant à lui insisté sur la relation que les médias doivent avoir avec leur lectorat. « Notre pari, c’est de dire que la qualité de la relation qu’on a avec notre audience n’a pas diminué. Cette relation extraordinaire peut être monétisée. [Il faut] diminuer la dépendance que l’on a envers les annonceurs. »
Les patrons des imprimés ont aussi souligné le peu d’intérêt d’Ottawa pour venir en aide aux médias du pays. « Quand le gouvernement Trudeau place plus [de publicité] sur Facebook en six mois que toutes les années précédentes, on contribue à noircir un portrait qui n’est déjà pas bon », s’est attristé Brian Myles, soulignant que le gouvernement du Québec a au moins fait un pas dans ce dossier. Guy Crevier, quant à lui, s’est dit fasciné que les médias, malgré « une contribution fantastique dans la société », soient « incapables d’attirer l’attention des gouvernements pour aider à leur transformation ».