LA TOUTE PREMIÈRE PHOTO D’UN TROU NOIR PRÉSENTÉE AU MONDE ENTIER

La toute première photo d’un trou noir présentée au monde entier

Publié le mardi 9 avril 2019 à 11 h 43
Mis à jour il y a 12 minutes

Alain Labelle

La toute première photo d’un trou noir, l’un des objets les plus mystérieux de l’Univers, a été présentée au monde entier lors d’une conférence de presse tenue par les responsables du radiotélescope virtuel EHT (Event Horizon Telescope), un réseau international d’observation.

Les rumeurs célestes laissaient entrevoir la publication d’une première photographie du monstre situé au centre de notre notre galaxie, mais c’est celle du trou noir au centre de M87 qui est présentée aujourd’hui.

La conférence était orchestrée par la Fondation nationale pour la science à partir de Washington, aux États-Unis, mais des représentants de plusieurs autres organisations internationales, notamment européennes, chiliennes, et japonaises, participeront également à la rencontre.

Alain Labelle

La toute première photo d’un trou noir, l’un des objets les plus mystérieux de l’Univers, a été présentée au monde entier lors d’une conférence de presse tenue par les responsables du radiotélescope virtuel EHT (Event Horizon Telescope), un réseau international d’observation.

Les rumeurs célestes laissaient entrevoir la publication d’une première photographie du monstre situé au centre de notre notre galaxie, mais c’est celle du trou noir au centre de M87 qui est présentée aujourd’hui.

La conférence était orchestrée par la Fondation nationale pour la science à partir de Washington, aux États-Unis, mais des représentants de plusieurs autres organisations internationales, notamment européennes, chiliennes, et japonaises, participeront également à la rencontre.

Carte illustrant les endroits où sont situés les instruments du radiotélescope virtuel EHT.
Les endroits où sont situés les instruments du radiotélescope virtuel EHT. Photo : ESO

Un mégatélescope

Ce réseau de huit télescopes terrestres est né en 2012. Ces instruments partenaires sont situés un peu partout dans le monde, ce qui a permis de créer l’équivalent virtuel d’un radiotélescope de plusieurs milliers de kilomètres de diamètre.

L’image serait née à la suite de l’analyse de téraoctets de données recueillies en avril 2017. Depuis ce moment, plus de 200 astrophysiciens tentent de déceler la « silhouette » de l’ogre au centre de la galaxie M87

L’astrophysicien Olivier Hernandez, directeur du Planétarium Rio Tinto Alcan, explique que le défi d’une telle observation réside dans la synchronisation des différents télescopes connectés au réseau.

« Plus on ajoute de télescopes, plus l’image sera brillante, et plus la distance entre chaque antenne est grande, meilleure sera la résolution obtenue. »

— Olivier Hernandez

Il faut ensuite entreposer, puis analyser l’immense quantité de données recueillies.

Une image déjà historique

Pourtant, l’image qui a présenté n’a que de 30 à 50 pixels.

« On peut s’attendre à avoir une image qui ressemble à un anneau, à un beigne vaporisé. »

— Olivier Hernandez

Le saviez-vous?
•Si le centre d’une galaxie est difficile à observer, il laisse cependant percevoir dans certaines longueurs d’onde une activité intense.
•Cette activité tiendrait sa source dans la présence du trou noir supermassif autour duquel évoluent une douzaine d’étoiles supermassives et des nuages de gaz.
•Un trou noir est un objet céleste qui possède une masse extrêmement importante dans un volume très petit. Comme si le Soleil ne faisait que quelques kilomètres de diamètre ou que la Terre était comprimée dans la tête d’une épingle.
•Le concept de trou noir a émergé à la fin du 18e siècle.
•Ils sont si massifs que rien ne s’en échappe, ni la matière ni même la lumière. Ils sont donc pratiquement invisibles, si bien qu’aucun télescope n’a encore réussi à en « voir » un.

L’horizon des événements

Les astrophysiciens ont réussi à reconstruire une image de l’horizon des événements qui marque la limite immatérielle de l’entrée dans le trou noir. Ce « contour » du trou noir est considéré comme l’un des endroits les plus violents de l’Univers, et le point de non-retour au-delà duquel tout – c’est-à-dire les étoiles, planètes, gaz, poussière, et toute forme de rayonnement électromagnétique, y compris la lumière – serait irréversiblement aspiré.

Concrètement, cette image montre la « silhouette » de l’horizon des événements du trou noir sur le fond étoilé, et permettre par le fait même d’obtenir pour la première fois la preuve que l’objet que l’on observe au centre de notre galaxie est bien un trou noir.

Confirmer l’état de nos connaissances

Si cette image marquera certainement les esprits, la plus grande avancée sur le plan scientifique est certainement la confirmation des théories actuelles sur les trous noirs. Cette annonce valider l’un des concepts de la théorie de relativité générale d’Einstein, un peu comme l’a fait l’Observatoire LIGO il y a quelques années.

« C’est un pas dans la bonne direction. Une preuve qu’on ne s’est pas trompé. »

— Olivier Hernandez

Toujours mystérieux

Ces objets célestes restent toutefois très mystérieux, même si certaines de nos théories sont vérifiées. Où va la matière qu’ils absorbent? Comment définir leur singularité gravitationnelle? Qu’est-ce qui se trouve de l’autre côté? Autant de questions sans réponse auxquelles la science pourra continuer de s’attarder dans les prochaines années.

Plusieurs autres trous noirs

Il n’y a pas qu’un ou deux trous noirs au cœur de la Voie lactée, mais au moins une douzaine, et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, affirmaient des astrophysiciens américains et chiliens l’année dernière.

Outre le trou noir supermassif Sgr A*, s’y trouveraient des trous noirs stellaires, qui se forment à l’occasion de l’effondrement gravitationnel de certaines étoiles massives en fin de vie, qui explosent en supernovae.

TOUT NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) SERA SCULPTÉ PAR LE PRINCIPE QUANTIQUE DE DÉCOHÉRENCE FAISANT DE NOTRE ARSENAL ARGUMENTAIRE UN ÉVÉNEMENT PARADIGMATIQUE DÉCAPENT, AU SENS OÙ «WOW-T=2.7K?» REVISITE PAR LES BASES DE LA COMMUNICATION OROGINANT DE L’INFORMATIQUE QUANTIQUE LA PANOPLIE D’OUTILS THÉORIQUES INVENTÉE PAR L’HUMANITÉ ÉLITISTE (MYTHOLOGIE DES POÈTES GRECS, MAÏEUTIQUE ,DIALECTIQUE ET SYLLOGISME DONNANT ÉMERGENCE AUX AVANCÉES MÉTAPHYSIQUES, ONTOLOGIQUES, THÉOLOGIQUES SOPHISTIQUES ET THÉOSOPHIQUES DE TOUT CE QUE POUVAIT CONTENIR DE RATIONNEL OCMME D’IRRATIONNEL UN CADRE THÉORIQUE QUI, TEL UN CERVEAU DANS UNE CUVE, VIVAIT L’IMPUISSANCE MÊME D’IMAGINER LE BIG BANG, L’AVANT BIG-BANG TOUT AUTANT QUE LE MULTI-VERS OU LE MULTI-QUANTIQUE DONT EST ISSUE L’ONTI-k-ATION DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART…DE LÀ LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE NE POUVANT SE CONCEVOIR QUE DANS LE CHAMP CONSTELLAIRE D’UN PRINCIPE DE DÉCOHÉRENCE INVERSÉ PAR LES FONDEMENTS COOSMO-GÉNÉSIQUES MÊME DE L’ARCHITECTURE D’UN POINTD’INTERROGATION TESSURISME MÊME DU POINT D’EXCLAMATION QUI KANTIQUE (LE CANTIQUE DES CANTIQUES DE LA BIBLE) LA TEXTURE MÊME D’UN RÉEL DONT LA BEAUTÉ DU MONDE DANSE SOUS TOUS LES CHARMES DES ABDUCTIONS À NAÎTRE

wowwwwww… enfin je vis ce pourquoi j’ai toujours été configuré… le vagabondage radical… j’ai d’abord appris mon métier de vagabond par la scène où je me suis senti victime des applaudissements durant 32 ans… puis vint la survenance de MON R^VE BIG BANG qui me permit de vagabonder un pays… Après avoir jeté ma guitare dans le bois, je devins vagabond de la connaissance en arpentant quatre universités déguisé par mes guenilles royales, pour enfin, enfin et enfin, je ne le dirai jamais assez, devenir un ERMITE DES FORMES QUANTIQUES-COSMOLOGIQUES, HONORANT AINSI MES BROSSES D’ÊTRE ET MES ATTAQUES D’ÊTRE qui n’ont cessé de me poser question.

Ce petit local de l’UQAM ouvert 24 heures donne un espace de liberté d’une telle rigueur que l’on peut fêter intrinsèquement son amour de la pensée abstraite pointue ( abductive autant que théoritque) sans jamais ressentir autre chose que le silence des mystiques, l’invention de Dieu en moins.

J’ai 70 ans…. Il me reste quelques bonnes années à vibrer 24 heures à la fois à la condition humaine de milions d’enfants mourant de faim ou de blessures de guerre, sans intérêt personnel caché, parce que mes deux partenaires de recherche (Michel et Marlene) protègent mon cerveau de tout irritant domestique ou commercial. Je n’ai pas de téléphone, pas de t.v. pas d’ordinateur, pas de biens matériels… Le peu que je retire d’une petite pension sert à nourrir des étudiants en position précaire alors qu’ils portent en eux un avenir intellectuel fabuleux…

Je peux me pencher sur le fil d’or des fil d’or… au sens où notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette) ne portera qu’un 600 pages d’une éblouissante symphonie dirigée par «wow-t=2.7k?» où le point d’interrogation que constitue l’humanité célèbrera le point d’exclamation que constitue la quanto-cosmologie, par la révolution paradigmatique du multi-vers dans son champ constellaire où s’intriquent le big bang (sous l’arborescence du bruit de fond 2.7k?) , faisant de la multitude des rêves big- bang un arc-en-ciel bouquet de larmes de joie, qualis même de la beauté du monde dont l’énigme se fonde par un algorithme d ela justice sociale planétaire dans une invention sculptant le droit à l,errance poétique sur terre: celle de la nano-citoyenneté-planétaire.

L’écriture de ce doctorat multi-médias par trois peintres amoureux de la beauté du monde sera une pure délictescence modélisant ainsi autant épistémologiquement que méthodologiquement la poésie même d’un espace-temps consacré à la recherche conceptuelle de haut niveau

Dans un premier temps

EN ROUTE VERS L’INSTITUT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DU QUÉBEC

puis dans un deuxième temps

EN ROUTE VERS LE PRIS NOBEL DE LA PAIX

Pierrot vagabond, au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

GILLES BRASSARD ET CHARLES BENNET… DEUX CHERCHEURS À CONTACTER QUAND LE DOCTORAT SUR LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SERA COMPLÉTÉ PAR NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

***********GILLES BRASSARD ET CHARLES BENNET*****************
(ALGORITHME)) PASSERA PAR L’INVENTION D’UN ALGORITHME DE GESTION PLANÉTAIRE UTILISANT LA CRYPTOGRAPHIE QUANTIQUE, LA TÉLÉPORTATION ET L’INTRICATION DANS UN SYSTÈME DE CRYPTOGRAPHIEQUANTIQUE GLOBALE TEL QUE DÉVELOPPÉ PAR GILLES BRASSARD, INFORMATICIEN DE L’UNIVERSITÉ DE MONTREAL
OCTOBER 1, 2018
Alexis Riopel
1 octobre 2018
Science
Les prix Nobel seront décernés cette semaine. Le Devoir en a profité pour s’entretenir avec Gilles Brassard, un informaticien de l’Université de Montréal qui contribua à poser les bases de la communication et de l’informatique quantiques.
Gilles Brassard a beau être informaticien, c’est la théorie qui l’intéresse. Rencontré dans son « laboratoire » — une pièce sans fenêtre avec quelques divans poussiéreux et trois machines à café différentes —, le savant navigue fébrilement entre un vieux livre scientifique, une feuille où il griffonne quelques formules et son ordinateur… mais seulement pour répondre à des courriels.
« Pour déployer un système de cryptographie quantique global, il faudrait une infrastructure qu’on n’a pas aujourd’hui, explique le professeur à l’Université de Montréal. Mais, pour moi, ce n’est pas un obstacle. Il suffit de la construire. »

En mai dernier, Gilles Brassard est devenu le premier Canadien à remporter le prix Wolf de physique pour avoir inventé, avec son complice Charles Bennett, la théorie de l’information quantique.
Plus de la moitié des lauréats des prix Wolf décernés entre 1978 et 2010 ont remporté le Nobel par la suite. « S’il y a un prix Nobel en quantique théorique, j’ai des chances », convient-il.
Parmi ses plus grandes contributions, on compte la cryptographie quantique, soit l’art d’encoder des messages d’une manière absolument inviolable, et la téléportation quantique, qui permet de copier un atome d’un bout à l’autre de la galaxie sans physiquement le déplacer. Ces protocoles tirent avantage de la mécanique quantique, qui décrit le comportement des atomes et des photons.
Un autodidacte quantique
Enfant, Gilles Brassard s’était d’abord passionné pour les mathématiques. Son frère Robert, de six ans son aîné, lui répétait tout ce qu’il apprenait à l’école. En 1968, à seulement 13 ans, Gilles entre à l’Université de Montréal pour suivre un cursus scientifique général. Afin de pouvoir s’amuser avec l’unique ordinateur de l’établissement, il décide de s’inscrire au cours d’informatique. La piqûre est immédiate.
« La session suivante, je n’avais plus le droit d’utiliser l’ordinateur, qui était réservé aux étudiants inscrits au cours. Avec deux amis, nous avons donc demandé le code d’accès à un de nos copains, pour pouvoir jouer avec la machine. À nous seuls, on a utilisé plus de temps-machine que l’ensemble de la classe ! Évidemment, on s’est fait prendre, et la direction nous a violemment punis en nous forçant à programmer tout l’été ! » dit-il en riant. Le jeune Gilles était ravi.
Sa voie se traçait devant lui. Après un baccalauréat et une maîtrise à l’Université de Montréal, il se dirige vers l’Université Cornell, aux États-Unis, où il obtient en 1979 un doctorat en informatique théorique.
La même année, il se rend à Porto Rico pour participer à une conférence. Au second jour de la réunion, il prend un moment pour aller se baigner dans la mer. « Quand j’étais seul, en train de nager, Charles Bennett, que je ne connaissais pas alors, est venu à moi et m’a raconté qu’il connaissait une façon d’utiliser la mécanique quantique pour faire des billets de banque impossibles à contrefaire. Si j’avais été sur la terre ferme, je serais peut-être parti en courant ! plaisante le chercheur. Toutefois, dans l’eau, je n’avais pas le choix de l’écouter. »
À l’époque, Gilles Brassard ne connaît strictement rien à la mécanique quantique. Charles Bennett, chercheur chez IBM, voulait s’allier à lui pour améliorer une idée dont il avait entendu parler plusieurs années auparavant de son ami Stephen Wiesner, alors doctorant à l’Université Columbia. « Quelques dizaines de minutes plus tard, quand Bennett et moi sommes retournés sur la plage, notre premier article scientifique était essentiellement écrit », raconte M. Brassard. Et une collaboration scientifique qui persiste encore aujourd’hui était née.
Dans les années suivantes, le duo se rencontre régulièrement et peaufine sa théorie. « À l’époque, c’était seulement un jeu », explique le sexagénaire. L’idée originale des billets de banque se transforme en quelque chose de beaucoup plus utile : une manière de transmettre des messages secrets. En 1984, Bennett et Brassard publient finalement leur protocole, aujourd’hui connu sous le nom de « BB84 » et cité plus de 7500 fois dans la littérature.
Déploiement chinois
Selon Gilles Brassard, c’est toutefois la théorie de la téléportation quantique qui est sa plus grande contribution à la science. « Cette découverte a complètement bouleversé l’édifice de l’informatique quantique », croit-il, ajoutant que tout ce qui se fait aujourd’hui dans le domaine en découle.
En 1992, en marge d’une présentation à l’Université de Montréal, un groupe de six scientifiques se réunit dans son bureau pour un « brainstorm de deux heures », raconte Gilles Brassard. Les chercheurs retournent ensuite de leur côté et continuent à gribouiller. Quelques heures plus tard, la téléportation quantique est née. « C’était un moment magique », se souvient Gilles Brassard.
Depuis, plusieurs laboratoires ont réussi à téléporter des photons.

Le record de distance est actuellement de 1400 km.
Dès le milieu des années 1990, c’est la consécration pour Gilles Brassard. Il est fait membre de la Société royale du Canada (1996), fellow de la Royal Society of London (2013), officier de l’ordre du Canada (2013) et officier de l’ordre national du Québec (2017), en plus d’obtenir trois doctorats honorifiques.
En attendant l’ultime trophée, Gilles Brassard se plaît à assister à l’essor de la communication quantique en Chine, qui dépense 200 millions de dollars par an pour implanter un réseau. Une « épine dorsale » de fibre optique relie maintenant Beijing à Shanghai. Le gouvernement utilise déjà la ligne, et des banques ont récemment commencé à tester le réseau pour leurs activités, indique M. Brassard.

En 2016, l’empire du Milieu a même lancé un satellite équipé pour la communication quantique. Ses messages sont chiffrés avec BB84.
Cryptographie quantique
Pour transmettre un message, le protocole exige l’échange d’une « clé de chiffrement ». Cette longue séquence de 0 et de 1 est encodée avec des photons, des particules qui obéissent à la mécanique quantique. Si un espion intercepte l’un des photons de la clé, son intrusion devient aussitôt évidente aux deux correspondants. Ils font alors avorter la communication. Par contre, si la clé est échangée avec succès, les correspondants transmettent le message chiffré, que le destinataire peut déchiffrer avec la clé. Les lois de la physique certifient qu’aucun espion ne peut briser ce protocole sans être détecté, même avec des ressources illimitées.
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QU’EST-CE QUE L’ABDUCTION SELON PEIRCE?.. C’EST LA MISE EN ORDRE DES TROIS PHASES EN INTRICATION DANS LA PENSÉE THÉORITIQUE D’UN CHERCHEUR (ABDUCTION, INDUCTION, DÉDUCTION)

2209,
L’ABDUCTION, DÉDUCTION OU INDUCTION COMME MODES DE RECHERCHE…. «-», «=» «?» AMÈNE UNE QUÊTE D’UNE QUATRIÈME MÉTHODE DE RECHERCHE QUE JE N’ARRIVE PAS ENCORE À CERNER….. POUR LE MOMENT, L’ONTO-MÉTHO-NANO- COSMOLOGIQUE FONDE LA MÉTHODE FLY-BEEN, HORS DE TOUTE UTILISATION DE LA DÉDUCTION, DE L’INDUCTION OU DE L’ABDUCTION AU SENS D’UNE LOI UNIVERSELLE «WOW-T=2.7K?» FONDEMENT A PRIORITIQUE TRANSCENDENTAL QUE RECHERCHAIT KANT… À RÉFLÉCHIR… DE LÀ L’AVANT-BIG-BANG COMME RÊVERIE DE MULTIVERS… HORS DE TOUT CADRE LOGIQUE, SÉMIOLOGIQUE MAIS PROBABLEMENT ET ÉNIGMATIQUEMENT SÉMISTIQUE TELLE QUE L’INTUITIONNAIT LA TRIADE PEIRCIENNE, LA QUALITÉ ET LA LOI DISSOLVANT LA FORCE BRUTE…
JULY 10, 2018
wikepedia
Abduction, déduction et induction comme modes de recherche
L’abduction est une forme de raisonnement utilisée dans le processus de découverte par sérendipité.

La sérendipité est le fait de réaliser une découverte scientifique ou une invention technique de façon inattendue à la suite d’un concours de circonstances fortuites et très souvent dans le cadre d’une recherche concernant un autre sujet.

Par ailleurs, si l’on considère le mode de recherche et d’obtention de connaissances nouvelles comme un processus de conception, le discours sur la méthode scientifique est en lien avec les modèles des sciences cognitives, alors les allers et retours en confrontation entre le projet de concevoir et sa réalisation doivent ainsi permettre d’enrichir une « épistémologie de l’invention » selon l’expression de Deledalle. La science n’est donc plus l’analyse et l’anatomie de ce qui existe positivement et donc nécessairement car, de même que l’art et la technique, elle invente de nouvelles réalités.

Comme l’écrit Jean-Louis Le Moigne, « Auguste Comte pouvait clamer que l’imagination ne devait jouer qu’un rôle absolument subalterne dans la recherche scientifique chaque chercheur dans son for intérieur convenait que son talent reposait sur sa capacité à imaginer, à inventer, à concevoir ». Ainsi les formes logiques naissent de la pratique de la recherche mais aussi de l’inscription du chercheur dans le processus expérientiel et cognitif qui est lié à son immersion au sein des environnements.

Depuis Peirce et les avancées de la philosophie pragmatiste qui a amorcé d’une certaine façon le développement des sciences cognitives l’étude du processus de recherche est de plus en plus largement perçue comme une étude du processus cognitif. Il y a ainsi une constante volonté d’intégrer et de dépasser la dualité de l’expérience factuelle par rapport à la logique active, ainsi que l’émergence d’une pensée unifiée qui, selon des temps différents, va prendre des formes différentes qui ne seraient plus en opposition mais en interaction. Ces considérations bouleversent la façon traditionnelle d’appréhender la recherche scientifique qui de ce fait ne peut plus se placer strictement dans une démarche hypothético-déductive ou inductive.

En effet comme l’indique Habermas, la réflexion pragmatiste sur les formes de l’inférence ne s’inscrit pas dans la question traditionnelle de l’acquisition par déduction de propositions analytiquement justes mais dans celle de l’obtention d’ÉNONCÉS SYNTHÉTIQUEMENT PLAUSIBLES.
Ainsi la conception de l’objet est indissociable de la méthode de fixation de la croyance et du critère de sens qui en découle.
Dans un premier temps, et du point de vue des méthodes réelles de la recherche (c’est-à-dire selon une vision expérimentale du processus de conception de l’inférence), l’induction et la déduction ne sont pas en opposition mais en relations réciproques, elles sont en effet des phases coopératives d’un processus unique de résolution de problème. Dans un deuxième temps ces deux phases, d’induction et de déduction du processus de conception, sont complétées par une troisième que Peirce nomme l’abduction. La méthode de recherche peut alors être modélisée selon l’enchaînement élémentaire : [(abduction – induction – déduction)].

Dans cette perspective, l’abduction (warranted assertion) est le processus de formation d’une hypothèse générale sans l’assurance qu’elle réussisse; elle est ainsi de l’ordre de la priméité. La priméité, dans la conception triadique du modèle mental initié par Peirce, c’est la catégorie du sensible, de l’expérience sensible.

C’est la conception de l’être placé dans la généralité et l’indétermination de la situation perçue, c’est le phénomène en tant qu’il est vu et perçu par le sujet lui-même. L’abduction concerne la formation de l’hypothèse, qui est sujette à une certaine normativité induite par un arrière-plan, d’après une conception que l’on cherche à éprouver et qui est orientée par la résolution d’un problème. C’est la suggestion d’une idée, pour Mirowski, l’abduction revêt explicitement un caractère herméneutique dans le sens où elle tente une interprétation immédiate et sensible du phénomène.

Cette approche signifie que « quelque chose » se comporte probablement d’une certaine manière – phase d’abduction – que « quelque chose » se comporte effectivement d’une certaine manière – phase d’induction et enfin – phase de déduction – nous établissons que « quelque chose » se comporte définitivement d’une certaine manière.
Induction, déduction et abduction

En ce sens, l’induction renvoie aux opérations établissant des généralisations de conception et aux mises à l’épreuve des conséquences tirées des hypothèses posées; elle est de l’ordre de la secondéité. La secondéité est la catégorie de la réaction, de l’existence, de la rencontre du sujet avec la sensation de la singularité. C’est la perception de l’être relatif à quelque chose d’autre où il y a rencontre avec le concret, c’est la catégorie de l’actualisation.

La déduction tire des conséquences, elle construit des relations actualisées, elle est de l’ordre du troisième principe peircéen : celui de la tiercité. La tiercité est la catégorie de la médiation qui met en relation et construit du sens, sans quoi les objets du système ne seraient qu’une juxtaposition arbitraire et non médiatisée.

La déduction, c’est l’opérateur de la généralité.
L’abduction, en tant qu’hypothèse créatrice, et l’induction matérialisent le lien entre les observations expérientielles et la formulation d’hypothèses dont elles assurent une mise à l’épreuve. La déduction traduit la pensée réfléchie et structurante en ce qu’elle engendre des habitudes interprétatives, telle une disposition mentale.
Dans cette perspective, l’abduction produit des idées et des concepts à expliquer, puis l’induction participe à la construction de l’hypothèse abductive en lui donnant de la consistance, enfin la déduction formule une explication prédictive à partir de cette construction.
Déduction, abduction et induction
En ce sens, la déduction est certaine et décrit des « objets idéaux », l’induction quant à elle infère des phénomènes semblables, alors que l’abduction infère des phénomènes différents qui stimulent le choix des hypothèses.

L’abduction rend compte de la spécificité du raisonnement qui va vers l’hypothèse, sa logique est celle de la créativité de l’interprétation et de l’innovation, elle permet d’introduire des idées nouvelles en fonction de la flexibilité du concepteur par rapport à ses présupposés.

L’abduction est décrite par Peirce comme un aperçu créatif (a creative insight) pour résoudre un problème surprenant, une expérience qui déçoit une anticipation, ou un évènement qui entame une habitude.

Si l’induction va du cas, de l’expérientiel vers la règle selon une logique [(cas) vers (règle)], l’abduction a une logique inverse de la règle vers le cas selon une logique [(règle) vers (cas)].

L’abduction éclaire ainsi le faillibilisme pragmatique au sens où celle-ci s’éprouve dans la capacité à accueillir de nouvelles hypothèses, alors que l’induction elle ne peut mettre à l’épreuve que ce qui lui est soumis.
Distinguer induction et abduction permet d’introduire le changement.
Si l’abduction repose sur des habitudes d’inférence qui évoluent comme étant des manifestations de l’intelligence et de la progression de connaissance, c’est sur l’induction que repose le progrès scientifique car elle donne une valeur scientifique à la pratique, c’est-à-dire à l’expérience. En effet, la mise à l’épreuve constitue le seul moyen pour tenter d’approcher la certitude et déduire une vérité comme idéal de connaissance et objet de construction théorico-pratique.

Le processus de recherche modélisé comme un ensemble de boucles [(abduction – induction – déduction)] laisse dès lors une place à l’intuition et à l’imagination.

Résumé « Pour résumer, la déduction, qui repose sur des causes et des effets certains, aboutit à des énoncés certains ; l’induction, qui propose des causes certaines à des effets probables, aboutit à des énoncés probables ; et l’abduction, qui recherche des causes probables à des effets certains, aboutit à des énoncés plausibles. »

Pierrot vagabond

LE PASSAGE DE LA PENSÉE ANALYTIQUE (SYNTHÈSE À LA SUITE D’INDUCTION) À LA PENSÉE SYNTHÉTIQUE ( PENSÉE ANALYTIQUE À LA SUITE D’UNE THÉORIE DÉDUCTIVE) À LA PENSÉE ABSTRAITE ABDUCTIVE (THÉORITIQUE PARCE QU’ARCHITECTONIQUE DANS TOUTE SA DIMENSION DU FIL D’OR QUI PART À RECULON DE LA CONCLUSION OUVERTE CONTENANT L’INVENTION PARADIGMATIQUE , FONDEMENT AXIOMATIQUE D’UN CHEF D’OEUVRE DIGNE D’UN OU D’UNE PEINTRE CORR4ESPOND INTRINSÈQUEMENT AUX TROIS MÉTAMORPHOSES DU CERVEAU QUE DOIT NÉCESSAIREMENT TRAVERSER TOUT DOCTORANT QUI VIENT DE TERMINER SA MAÎTRISE

Je me rends compte à quel point mes longues années de propédeutique (coffre d’outil) en équipe trans-contextuelle (Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond) m’a bien préparé à identifier les 3 métamorphoses de tout cerveau de chercheur ou chercheure, d’autant plus que durant ces années où j’ai vagabondé 4 universités, j’ai accompagné épisodiquement une quinzaine d’étudiants ou étudiantes en maîtrise ou en doctorat.

Je fus surpris à quel point il y a une différence de chances de vitesse de métamorphose du cerveau quand un ou une étudiante sont de iere génération ou de deuxième génération.

L’étudiant ou l’étudiante de la iere génération vit les larmes et les angoisses de l’imposteur, subit la honte d’avoir à chevaucher deux milieux et la colère de se voir isolé parce qu’il est incapable de lire les codes de la dominance élitiste des étudiants ou étudiantes de deuxième génération ou plus…

Le travail d’un étudiant de iere génération, en maîtrise plus particulièremen,t est teinté d’opinions déguisées en réthorique argumentative, de jugements basés sur les affects et sur une prise de position tenant plus de la contreverse biaisée que d’une sophistique même la plus élémentaire (ex: le binarisme telle que le véhicule la dialectique ou encore le scientisme (basé sur la trop grande rigidité ou au contrairement un trop grand aveuglement (la vanité de l’ignorance d’une classe sociale impuissante devant l’aisance intellectuelle d’une autre) entre la ligue de démarcation (science/pseudo-science)

Un véritable doctorat d’invention transcende les deux premières métamorphoses au sens où ce qui se faisait limte dans la pensée analytique (maîtrise) ou la pensée synthétique à déploiement scholastique (doctorat plus relié au commentaire stylysé) explose littéralement dans la pensée abductive où tout ce qui a rapport à la tradition du champ de recherche se retrouve en bas de page contrairement à l’architectonie du fil d’or découlant de la richesse de la conclusion ouverte se déroule à l’envers dans une étonnante luminosité des connecteurs argumentatifs…

De là le titre du doctorat, ses maîtres-mots luminosant les mots-clés de l’argumentaire et les 300 mots du résumé…

L’abduction (Peirce) se caractérise particulièrement par l’importance donnée au ? (point d’interrogation) précédant hiérarchiquement l’importance donnée à la question….

Un prof de philo pose des questions, un philosophe est en soi un point d’interrogation… De là les nombreux tâcherons de l’empirisme qui polluent le champ de la sociologie sans en être capable d’en désengorger la perroquetterie de la connaissance stratifié sous deux toiles d’araignées issue du post-positivisme, soit la socio quanticative et la socio qualitative.

Tant qu’on N’ENSEIGNERA PAS…. aux doctorants à être des peintres de chef d’œuvre de leur pensée abstraite, qu’on ne séparera pas la guidance méthodologique du respect incontournable de l’évolution abductive de la problématique, on ne pourra aspirer à des doctorats d’invention… DES PEINTRES OEUVRE D’ART DE LA PENSÉE ABSTRAITE NE S’ÉPANOUISSENT QUE DANS ET PAR LA PENSÉE ABDUCTIVE RESPECTÉS DANS LE FIL D’OR DE LEUR PROBLÉMATIQUE.

Deleuze à Vincenne d’ailleurs s’était buté aux mêmes limites épistémologiques… aucun de ses étudiants n’ayant été capable d’un doctorat d’invention, lui qui rêvait de  révolutionner la tradition des doctorats de commentarisation du milieu universitaire français de la deuxième partie du 20eme siècle… issue de la secondarisation du savoir fine pointe de la sociologie durkenhienne.

à suivre…

Pierrot vagabond

JE VIENS DE RETROUVER DANS LES 6000 PAGES DU BLOGUE UN TRÈS BEL APHORISME DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS DE MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE MICHEL LE CONCIERGE… ET DIRE QU’IL Y EN AURA TOUTE UNE BRILLANCE DANS SON FUTUR CARNET DU CONCIERGE QUE J’AI RAMASSÉ MÉTICULEUSEMENT AU TRAVERS DES ANNÉES

Et comme l’a dit si bien ce matin, mon ami Michel le concierge dans un de ses aphorismes dont il a le secret:

L’ÉTAT C’EST L’OCÉAN
MOI JE SUIS LE NAGEUR
SI J’ARRÊTE DE NAGER
JE VAIS CALER DANS L’OCÉAN-ÉTAT.

MOI JE RÊVE D’ÊTRE LE NANO-OCÉAN-PLANÉTAIRE
DANS LEQUEL L’ÉTAT NAGE
ET S’IL ARRÊTE DE NAGER
C’EST PARCE QU’IL AURA TRICHÉ
AVEC LA CONDITION DE L’ESPÈCE HUMAINE DONT JE FAIS PARTIE.

Michel le concierge

POUR LA PREMIÈRE FOIS DE MA VIE, JE ME SENS COMPLET…. UNE ÉQUIPE DE RECHERCHE EXCEPTIONNELLE (AULD, WOODARD, ROCHETTE), UNE VIE ASCÉTIQUE D’UN TRÈS GRAND ANONYMAT PARADIGMATIQUE AUTANT QUE THÉORITIQUE, ET UN 24 HEURES PAR JOUR DANS UN LOCAL FERMÉ DE L’UQAM POUR NE RÊVER QUE L’IMPOSSIBLE SOIT L’INVENTION D’UNE INSTITUTION, LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, POUR SOULAGER LA CONDITION HUMAINE DE CENTAINES DE MILLIONS D,ENFANTS MOURANT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE… NE VIVRE QUE POUR LA BEAUTÉ DU MONDE QUI HABITE CE CERVEAU-ASTRONAUTE HABITANT L’INFINI D’UN VAGABOND CÉLESTE HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE

Quel beau conseil d’administration de la créativité que celui de ce matin… Marlene dormait parce qu’elle ne travaille pas le lundi matin, mais pour Miche et moi, Marlene la jardinière, son archétype hologrammique était fascinemment présent avec nous.

Après 12 ans de respect mutuel, de prise en charge du rêve de l’autre, de mise en commun de nos rêves pour le soulagement de la condition humaine par un rêve plus grand que notre travail de chercheur, je me sens enfin un homme libéré des oppressions de toute reconnaissance sociale qui semblait vouloir s’acharner sur ma personne.

Je ne suis heureux qu’à servir intensément, 24 heures par jour, les centaines de millions d’enfants de la planète mourant de faim ou de blessures de guerre… J’écris peut-être pour qu’un jour, de millions de vagabonds célestes prennent le chemin du droit universel à une vie personnelle œuvre d’art par un rêve big bang de l’humanité sous formes de nano-citoyenneté-planétaire..

J’aime les marathons de silence que vit un chercheur de pensée abstraite… L’étonnement, l’enchantement de l’impossible… se consacrer à l’impossible d’un rêve big bang tout en tentant d’en creuser l’énigme des qualis se voilant autant dans les plis du 2.7k? que dans ceux de l’enfance et ses signes délicieusement poreux telle une décohérence dans ses infinis chatoiements de brosses d’être et attaques d’être.

Voici venu maintenant le temps d’augmenter mes heures de silence au service de l’immense, autodicacte autant qu’intrinsèque, portant au cœur la condition humaine, mais les yeux dans les étloiles en point d’interrogation saluant au passage le point d’exclamation de l’inoui des formes inassouvies.

Pierrot vagabond

IMAGINONS… LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde

Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde 7,4 milliards d’abonnements mobiles étaient souscrits à fin 2016, selon les estimations de l’International Telecommunication Union, pour un taux de pénétration de 99,7%.

Dans le monde à fin 2016, ce sont près de 7,4 milliards d’abonnements mobiles qui étaient souscrits, soit quasiment la totalité de la population mondiale, selon les estimations de l’International Telecommunication Union. Cela correspond ainsi à un un taux de pénétration de 99,7%. 5,8 milliards de ces abonnements ont été souscrits dans des pays en développement.

Le marché approche la saturation : la croissance des abonnements n’est plus que de 2,2% par an (contre 2,6% entre 2014 et 2015 par exemple). Elle est surtout due aux pays en voie de développement (hausse de 2,5% en 2016)

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PLAN EN TROIS ANS POUR INVENTER LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE SUR TERRE
PLAN DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

QU’EST-CE QUE LA NANO-DEMOCRATIE-CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART?

Une nano-démocratie instaurant, PAR TIRAGE AU SORT, une assemblée constituante de 125 vies personnelles œuvre d’art pourrait-elle constituer le prélude au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète terre?
pré-essai d’une MODELISATION THÉORIQUE

A) Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception.

B) Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art.
a) Quel est ton rêve?
b) dans combien de jours
c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

C) Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation est lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….
D) En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?

E) Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE.

F) Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 125 de ces vies personnelles œuvre d’art…. en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.

G) Imaginons que ces 125 vies personnelles œuvre d’art se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière.

H) Imaginons que….. la question….EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls.

I) Imaginons qu’une fois l’assemblée constituante des 125 vies personnelles œuvre d’art terminée, un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionné comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde.

J) Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre.

EN CONSEQUENCE DE QUOI

K- Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire un jour DES PAYS OEUVRE D’ARTS DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.

L- La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel, la liberté reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU.
M– objectif:
nouvelle conscience éthique-esthétique
planétaire en vue de la réforme des états
pays œuvre d’art par la masse critique
nano-numérique des vies personnelles œuvre
d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde.
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7- CONCLUSION (OUVERTE FINALE)…15 PAGES
L’implantation planétaire de la nano-démocratie pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:
– retour sur les quatre questions
menant à la cinquième question
éco-philanthrope de l’espace-monde:
-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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SUJET DU DOCTORAT…. LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE
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DOCTORAT
SUJET
la nanocitoyenneté planétaire
QUESTION
Comment fonder la priorité juridique
du droit nanocitoyen planétaire
sur le droit juridique existant
des états?

OBJET CONTEXTUEL
La nanocitoyenneté planétaire n’aurait pu être possible avant la mondialisation virale de l’usage quotidien du téléphone intelligent. En conséquence de quoi, Il devient donc possible que l’histoire du 21eme siècle puisse s’écrire par le biais d’une masse critique INOUIE de personnes humaines se percevant d’abord et avant tout comme DES NANOCITOYENS PLANÉTAIRES réclamant une reconfiguration juridique majeure accordant désormais une priorité non négociable aux droits de l’humanité sur le droit des états.
Mais comment conceptualiser un nanocitoyen planétaire?
Notre méthodologie de recherche se concentrera sur le cadre théorique de la genèse d’une vie humaine… soit celle de Michel Woodard, 66 ans, tout en identifiant les différentes stratifications de son cerveau l’ayant conduit de Michel Woodard à Michel chansonnier du Vieux Montréal, à Michel le concierge à Michel W concierge du pays œuvre d’art ier nanocitoyen planétaire, le tout documenté sur film et sur blogue, dans un contexte des grandes avances d’une conscience planétaire et de ses enjeux.
Puis l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) suggérera un passage conceptuel pragmatique entre LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, la nanocitoyenneté planétaire œuvre d’art et le pays œuvre d’art afin de proposer un laboratoire concret de mise en application d’une nanocitoyenneté planétaire par une chaire recherche universitaire.
L’objectif étant de proposer un dialogue performatif (Austin, Habermas) entre le droit juridique nanocitoyen planétaire construisant des mécanismes éthiques-juridiques permettant la priorité des droits de l’humanité sur le droit des états.

À SUIVRE…

COMME JE N’AI PLUS BESOIN D’AUCUN LIVRE, QUE MA PROPÉDEUTIQUE (COFFRE D’OUTIL) EST ENFIN D’UN TRÈS HAUT NIVEAU DE PENSÉE CONCEPTUELLE, ME VOILÀ ENTRÉ EN PROCESSUS D’ÉCRITURE… J’ÉMIGRE DONC À LA SALLE 24 HEURES DE L’UQAM POUR ÉCRIRE NUIT ET JOUR DE FAÇON À CE QUE LA PREMIÈRE MOULURE DU FIL D’OR ARGUMENTATIF DE NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) SOIT TERMINÉE LE IER SEPTEMBRE 2019, SOIT EN MÊME TEMPS QUE MICHEL LE CONCIERGE AURA MIS POUR TERMINER SES VIDÉOS SUR MARLENE LA JARDINIÈRE… PUIS VA COMMENCER LA LECTURE DES 600 PAGES À LA RÈGLE DES 3 WOS, LA MISE EN FORME DU DOCTORAT EN FORME MULTI-MÉDIA… PUIS… EN ROUTE VERS L’INSTITUT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DU qUÉBEC EN VUE D’UN PRIX NOBEL DE LA PAIX AVEC L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

WOWWWWWWWWWWWWW… Le nuit et jour de l’écriture commence aujourd’hui… Mon rêve… enfin me consacrer à l’écriture hors propédeutique, hors lecture, hors perroquetterie de la connaissance stratifiée, dysfonction fondamentale de toute institution universitaire…

J’ai vagabondé un pays, puis vagabondé la connaissance pour enfin signer de ma liberté de vagabond céleste au nom, par et pour notre équipe de recherche (auld, woodard, rochette) une méthodologie constellaire épistémologique qui marquera le 21eme siècle comme le rationnalisme de Descartes a marqué le sien. Et notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) en signera par nos 150 heures d’archives filmées accumulées depuis 12 ans et la poïétique, et la poétique de son errance archétype hologrammique.

Marlene et Michel protégeant mon cerveau de tout irritant domestique, moi-même accentuant l’ascétisme intellectuel en obligeant tout irritant de l’espace publique à respecter les prochains 6 mois de création, je laisse le chef d’œuvre d’abduction qui m’habite depuis toujours venir me saluer dans le silence, la paix, la douceur et l’harmonie qui accompagne tout chercheur qui ne triche pas avec l’intrinsèque de sa recherche…

Enfin l’anonymat qui m’a toujours habité pourra ériger l’architectonie d’une cathédrale intellectuelle, telle que les plus grands en ont rêvé dans l’histoire de la pensée.

Pierrot vagabond

LE RAPPORT ENTRE L’ONTI-K-ATION ET L’ONTOLOGIE LOCALE PAR L’ERRANCE POÉTIQUE-ASTRONAUTE

2483… (méthodologie) MON CERVEAU EST UN ASTRONAUTE FLOTTANT DANS L’INFINI DE MON CORPS…. C’EST EMPREINT PROBLÉMATOLOGIQUEMENT DE CE POINT D’INTERROGATION QUE JE PEUX SAISIR L’ALLIANCE ENTRE LE REGARD COSMONAUTOLOGIQUE DE L’ERRANT POÉTIQUE TISSÉ DE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE AU NOM DES MILLIONS D’ERRANTS FANTOMATIQUES AU SEIN DESQUELS SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE DES ENFANTS, SCANDALE DES BIEN NANTIS D’ERRANCE AXIOLOGIQUE

DECEMBER 12, 2018

Plusieurs années de vagabondage où je ne me suis jamais vu vagabonder, mais plutôt explorer un point d’interrogation à la recherche d’une ontologie locale dont le fondement ne reposerait que sur le point d’interrogation universel (tel qu’exprimé dans une peinture de Gauguin, qui sommes-nous? d’où venons-nous? où allons -nous?)

SI JE PREND SOIN DE L’UNIVERS
EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

100 chansons (cent portraits) d’ humains habitant la terre pendant que mon cerveau cosmonaute flottait dans l’infini de mon corps. Ce qui donna, curieusement un regard cosmonautologique habitant sans réserve le multivers d’un point d’interrogation universel.

Car curieusement, l’histoire de la pensée occidentale m’apparaît depuis Platon un quadrillage de réponses (théologiques, ontologiques, épistémologiques, scientifiques, problématiques où est évacué sous l’infra-codage épaissi par de multiples maillons transcodagéniques dont se sont servis les dominants pour s’imposer minotairement aux errants fantomatiques pratiquant soit la doxa, soit son artéfact argumentatif légitime que constitue la sophistique ornée pour les plus intelligents de la philosophie d’en bas de réthorique, ÉVACUANT LE POINT D’INTERROGATION UNIVERSEL QUI HABITE L’INFINI DE L’ESPACE TRANSSIDÉRAL DANS SES SILENCES INOUIS.

Mais pourtant, ÀBIEN Y PENSER,
quand un astronaute comme David St-Jacques se retrouve dans l’espace et qu’il voit la terre de loin… tout système de réponses systémiques s’effondre… L’astronaute devient malgré lui le Gauguin de l’espace, l’astronaute devient malgré lui LE VAGABOND CÉLESTE de l’espace… ????????????????????????????????????????????
et non
0101010101010101010101010101010101
mais encore et infiniment plus
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Car l’universalité du point d’interrogation de toute condition humaine sur terre, de l’homme préhistorique au transhumain, de l’illettré au plus grand des savants soudain s’élève comme un ABIME inoui au-dessus même de toute rationalisation.
Un simple point d’interrogation….
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C’est dans ce sens que c’est conçue la chanson du camionneur…. Sur terre, il y a des larmes de peine… quand je la chantais cette chanson, à titre de vagabond céleste, cerveau astronaute dans l’infini de mon corps, on a pleuré de peines pour ne pas y avoir eu accès à cette errance poétique que promet tout amour sur terre.

Mais c’est aussi dans le sens contraire que parfois, j’ai chanté cette chanson appuyé sur mon bâton devant certaines personnes humaines pleurant de joie parce que c’était exactement ce qu’ils ou elles avaient vécu. LES LARMES DE JOIE font aussi parti des qualis que Peirce percevait comme les seuls essenssialismes dignes d’être catégorisés sur terre.
Mais vu de l’espace où mon cerveau astronaute flottait à l’intérieur de mon corps, vu des cimetières où de façon in situ je dialoguais avec ces absents fantomatisés de leur vivant que constituent des tombes d’enfant… la chanson du camionneur que je chantais appuyé sur un bâton devant une ou l’autre des tombes d’enfant, au petit matin avant de déguerpir, était UN CRI DE MUNCH au point d’interrogation universel que constitue toute condition humaine depuis le premier homme préhistorique ayant découvert le feu et fuyant dans sa caverne un univers qu’il ne saisissait pas…

QU’EST-CE QU’UNE NANO-CITOYENNE-PLANÉTAIRE AU 21EME SIÈCLE?

Le point d’interrogation universel demandant un feu de camp pour chaque enfant errant fantomatique se mourant de faim ou de blessures de guerre….

un feu de camp avec un petit mot qui traîne comme un gigot d’agneau au cœur de ce feu de camp que constitue la chanson du camionneur

MOI JE VIS JUSTE POUR TOÉ…
J’AI HÂTE À FIN DE SEMAINE
J’T’AIME
à suivre…