ARCHIVES…. 14 BLOGUES CONSACRÉS À L’INVENTION DU «CHAMP CONSTELLAIRE» PAR NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE AULD, WOODARD, ROCHETTE

CHAMP CONSTELLAIRE
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DYNAMIQUE ATTRACTIVE DU CHAMP CONSTELLAIRE,

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2590…CHAMP CONSTELLAIRE QU’EST-CE QU’UN CHAMP CONSTELLAIRE FONDAMENTALEMENT? … C’EST LA QUANTICATION PAR FLOTTEMENT ABDUCTIF-ATTRACTIF D’ÉTIQUETTES DONT LE BAPTÊME INITIAL (SUIT PAR DESCRIPTION , SOIT PAR OSTENSION) EST DISSOUT PAR LA DYNAMIQUE MÊME DU CHAMP DE L’IMAGINATION PURE REPOSANT, NON PAS SUR DES AIRS DE FAMILLES (LINGUISTIC TURN) À LA WITTGENSTEIN… MAIS SUR UNE SYNCHRONI-VIE-TÉ DE RÊVES BIG-BANG AUX PROPRIÉTÉS QUANTIQUES-COSMOLOGIQUES INOUIES DE NON-TRICHERIE MULTI-VERS
FEBRUARY 7, 2019
Par l’invention du champ constellaire de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), tout le flottement paradigmatique des étiquettes sous leur dynamique abductive-attractive en mode non seulement d’imagination pure, mais de synchroni-vie-té du multivers même, LA DOUBLE EXPLORATION ÉPISTÉMIQUE (celle des archétypes hologrammiques versus la symbiose quanticative d’un multivers aux rêves big-bang dialoguant par des brosses d’être et des attaques d’être) pose de nouveaux défis épistémologiques autant AU TRILEMME DE FRIES QU’À LA FALSIBILITÉ DU POST-POSITIVISME DE POPPER.
Quand Fries interroge le problème de la base empirique de l’épistémologie contemporaine, il soulève trois apories
1) il est interdit d’accepter des énoncés scientifiques comme des dogmes.
2) les arguments conformes au raisonnement logique conduit à UNE RÉGRESSION À L’INFINI.
3) le retour au psychologisme prenant pour base des expériences perceptives reste fragile (données des sens, expérience élémentaire, énoncé de base, énoncé protocolaire, relativisme de base et solipsisme méthodologique)
Popper de son côté espère échapper aux dites apories par le critère de falsibilité…sauf que par l’invention du champ constellaire et du flottement abductif attractif des étiquettes, seule la synchroni-vie-té multivers-vies personnelles œuvre d’art semble ouvrir de nouveaux horizons à la non-tricherie par le rêve big-bang d’un multivers quantique-cosmologique aux aires épistémologiques inédites.
à suivre…
Pierrot vagabond

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2604…CHAMP CONSTELLAIRE… L’INVENTION DU CHAMP CONSTELLAIRE A PRIS PLUSIEURS ANNÉES DE RECHERCHE, CAR J’AI PASSÉ PAR LES DÉTOURS, ET CELA EN ORDRE, DE LA SOCIOLOGIE (U.M.), DE LA SCIENCE QUANTIQUE (UQAM), DE L’HISTOIRE DE L’ART (U.Q.AM), LA SCIENCE POLITIQUE (CONCORDIA), LA MÉTAPHYSIQUE (CONCORDIA), LA PHÉNOMÉNOLOGIE (MC GILL), LA THÉOLOGIE (ORATOIRE ST-JOSEPH), L’ÉPISTÉMOLOGIE (UQAM), LA MÉTHODOLOGIE (UQAM)

February 14, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Combien d’années, 15 heures par jour, 7 jours par semaine à creuser des champs institutionnels pour trouver le cadre théorique qui me permettrait de traiter la première question à partir de laquelle je suis parti vagabonder le pays

SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

Les 2 premières années en sociologie à l’université de Montréal en autodidacte ont fini par me convaincre que les sociologues n’étaient finalement que des tâcherons de l’empirisme, que ce soit en qualitatif (Weber et compagnie) ou quantitatif (ex. l’école de Chicago.

Je n’y trouvais pas les fondements des origines des errances poétiques que j’avais vécu sur la route.

L’histoire de l’art racontait l’histoire des formes autant en esthétique qu’en philosophie de l’art passant par les écoles contextuelles. Je passai plusieurs étés avec Duchamp et son rapport à l’objet par ses ready made… tout un été à Tadoussac à vivre au 2eme étage d’un restaurant obsédé par l’œuvre au-dessus d’un d’échec.

Puis cette année complète à lire toutes les biographies des présidents américains à Concordia…. pour saisir que les règles du jeu d’échec reliées à la politique sont si malhonnêtement jouées par la plupart des acteurs qu’aucune errance poétique ne peut y survivre.

puis ce long passage en métaphysique , parallèlement à Concordia où la perte des repaires que j’ai subies ne valaient même pas la grande aventure des mystiques illuminés de la iere moitié du 17eme siècle (les pères Coton, Sully, Alvarez, Thérèse d’Avila, Jean de la croix, Marguerite Bourgeois) entrecoupées de mes brosses d’être et attaques d’être habitant tel un château de l’âme la douceur des vies anonymes dansant la beauté du monde.

Puis la phénoménologie à Mc Gill où les murs de l’époché faisant suite à ce douloureux parcours en dialectique (Socrate, Platon, Hegel, Marx..) pour terminer avec la critique de la raison dialectique de Sartre.

Puis l’épisode de les théologies catholique et protestantes…en dormant sous la galerie de la chapelle du Frère André… quelle histoire…

Puis l’épistémologie, la méthodologie….

Et soudain… l’invention du champ constellaire… avec des étiquettes qui flottent leur errance poétique attractive au point d’évacuer sans pudeur tous les attributs essentiels provenant de la physique quantique, de l’histoire de l’art, de la science politique, de la métaphysique, de la phénoménologie, de la théologie, de l’épistémologie autant que de la méthodologie

et la question qui soudain illumine tout le champ constellaire

SI JE PRENDS SOIN DU MULTIVERS,

EST-CE QUE LE MULTIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

à suivre…

 

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2611…CHAMP CONSTELLAIRE DE L’ALGORITHME SOCIAL «WOW-T=2,7K?» EUPORISE PAR LA FONDEMENT MULTIVERS DES QUALIS RELIÉ AUX QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART L’APORIE MILLÉNAIRE ENTRE L’ESSENTIALISME PLATONICIEN-ARISTOTÉLICIEN ET LE NOMINALISME CONVENTIONNALISME ISSU DE LA DOCTRINE MÉDIÉVALE PAR LAQUELLE NE REPRÉSENTENT FINALEMENT QU’UNE CONVENTION DANS L’EMPLOI DES SIGNES…. DE LÀ LE FLOTTEMENT CONSTRUCTIVISTE DES ÉTIQUETTES FAISANT DES QUALIS DU MULTIVERS COMME CELLES DES VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART DES INTRICATIONS QUANTIQUES-COSMOLOGIQUES AUX PORTÉES INOUIES DE NON-TRICHERIE TÉLÉOLOGIQUE AU SENS D’ARISTOTE

February 16, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

J’ai passé la nuit à me laisser harnacher par le champ constellaire dans le sens de «notion» telle que l’archétectonise l’émistémologie contemporaine… la différence entre notion et concept faisant de la notion un très haut niveau de pensée abstraite.

J’intuitionne abductivement que sous l’indéterminisme et le scholastique de la physique quantique comme au-dessus de la théorie des cordes du cosmologique dansent en cercle elliptique de non-tricherie les qualis, essences nominalistes de l’énigme que cherche les mathématiciens dans les plis du 2.7k (le bruit de fond cosmologique du big bang.

Un rêve big-bang d’une vie personnelle oeuvre d’art qui s’accompagne de non-tricherie permet l’émergence d’une nouvelle sociologie quanticative (quantique selon mon partenaire de recherche Michel le concierge) aux portées mêmes, rhyzomes, métissages, viral-open-source d’une onde de synchroni-vie-té aux big bang d’un champ constellaire dont les dites personnes humaines flottent dans la douceur et la porosité d’errants poétiques comme des étiquettes archétypes hologrammiques (Madeleine la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond).

Les qualis mi essentialistes, mi-nominalistes émergent à la fois comme des ondes ou des corcuspucules au (-t) aussi déroutant que le sont les cris de Munch des enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre.

De là le constructiviste-conventionnaliste d’une telle créativité aussi émouvante que le big-bang qui architecture l’errance poétique se métamorphose soudain en luminosité d’une invention institutionnelle fragile… la nano-citoyenneté-planétaire…

La terre atteindra son état poétique…. celui du cantique des cantiques, des mystiques du 17eme siècle, delui des poètes du 19eme, la SOCIOLOGIE QUANTIQUE DEVENANT TELLE UNE FLEUR UNE SOCIOLOGIE CANTIQUE au service de la beauté du monde.

Un vagabond céleste, porte en ses pieds qui marchent la beauté du monde l’espérance d’une synchroni-vie-té à la hauteur d’une fleur qui danse dans le vent de l’être.

à suivre

2612, ***************************

 

2612… CHAMP CONSTELLAIRE LA NOUVELLE MATRICE DISCIPLINAIRE QUE CONSTITUE L’INVENTION DU CHAMP CONSTELLAIRE DE L’ALGORITHME SOCIAL DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) CONSTITUE UN RENVERSEMENT DE L’ORDRE DES QUALIS GALILÉENS AU NIVEAU DU FONDEMENT ONTOLOGIQUE (DANS SON ENGAGEMENT ÉPISTÉMOLOGIQUE) DE LA TEXTURE DU MULTIVERS DANS SON INTRIQUATION AVEC TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

February 16, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Vocabulaire technique et analytique de l’épistémologie Robert Nadeau OBJET DE LA PHYSIQUE SELON GALILÉE P.453

Galilée (1564-1642) croyait fermement que «le livre de la nature» est écrit DANS LE LANGAGE DES MATHÉMATIQUES (v. pythagorisme).

Aussi entendait-il restraindre la physique à des assertions concernant LES QUALITÉS PRIMAIRES des choses matérielles, tels leur forme, leur grosseur, leur poids, leur nombre, leur position, ou «leur qualité de mouvement».

Pour lui, en effet, les qualités primaires d’un objet matériel quelconque sont susceptibles DES VARIATIONS QUANTITATIVES MESURABLES sur une échelle donnée, tandis que les QUALITÉS SECONDAIRES , TELS LA COULEUR, L’ODEUR, LE GOÛT ET LE SON, n’existent que DANS L’ESPRIT DU SUJET qui perçoit l’objet en question.

En limitant l’objet de la physique aux qualités primaires et à leurs relations, Galilée se trouvait à EXCLURE LES EXPLICATIONS TÉLÉOLOGIQUES du domaine de cette science et à rejeter de la sorte les interprétations aristotéliciennes selon lesquelles…

LES CHOSES MATÉRIELLES SUIVENT UN MOUVEMENT NATUREL AFIN DE RETROUVER UNE PLACE NATURELLE…. sur you tube

Michel le concierge

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2629… CHAMP CONSTELLAIRE TOUT CHAMP CONSTELLAIRE SURGIT D’UN RÊVE BIG BANG D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART DONT LE -T (NON-TRICHERIE) PROTÈGE SA ROUTE VERS SON RÊVE DE TOUTE ULSTENSILAIRE INESSENTIEL DE LA FACTICITÉ TOXIQUE… LE CHAMP CONSTELLAIRE DU VAGABOND CÉLESTE SE RETROUVE DONC PRESQU’EN CONTRADICTION AVEC LE CHAMP DE FORCE DE BOURDIEU EN SOCIOLOGIE.

February 21, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Champ

Paul Dirkx (Université de Nancy)

Définition

Le concept de champ a été élaboré par le sociologue français Pierre Bourdieu (1930-2002) en tant qu’élément-clef d’un modèle théorique cohérent, dont la validité doit être testée à chaque nouvel usage. Aussi ce concept a-t-il pour caractéristique première de ne pas pouvoir être défini, au sens de délimité, fixé une fois pour toutes. Il désigne toute partie de l’espace social ayant acquis un degré d’autonomie suffisant pour reproduire elle-même (autos) la croyance dans le bien-fondé de son principe fondateur (nomos, par exemple le nomos « guérir pour guérir » tel que le serment d’Hippocrate l’institutionnalise dans le champ médical).

Autrement dit, conditionnée par une indépendance relative envers les contraintes externes (religieuses, politiques, économiques, médiatiques), l’autonomie d’un champ est sa capacité interne à se doter soi-même d’un principe de différenciation et d’auto-organisation (Bourdieu, 1992, p. 93). Ce principe est le produit d’un processus d’autonomisation porté par des générations d’agents dont les habitus (systèmes de dispositions à la pensée et à l’action) les y ont toujours davantage inclinés.

Un champ est ainsi le lieu de rencontre entre cette tendance à l’émancipation et un agent disposé à l’incarner à un certain degré (Bourdieu, 1992, pp. 356-359). Il est structuré comme un système relationnel et différentiel (champ de forces) où chaque agent occupe une position plus ou moins dominante/dominée et plus ou moins innovante/conservatrice liée à son capital accumulé de légitimité spécifique (capital symbolique).

En y entrant, l’agent entre de fait dans la lutte généralisée pour le monopole de la définition légitime du nomos du champ (champ de rapports de force et de luttes). Sa disposition à s’investir dans le « jeu » (illusio) varie selon l’état du champ et selon le capital spécifique de l’agent, lui-même lié à la série de positions qu’il a déjà investies (trajectoire).

Pour la littérature, cela signifie que le champ littéraire est le lieu d’une lutte pour la définition de « l’écrivain » (véritable) ou de « la (vraie) littérature ». Cette lutte distinctive se fait à coups de publications et d’interventions médiatiques et/ou artistiques (interviews, happenings, spectacles, expositions, performances diverses, etc.), qui fonctionnent comme autant de prises de position.

Le champ des positions se double ainsi d’un champ de prises de position aux structures homologues : par exemple, dans tel ou tel état du champ, la structure des rapports de force entre écrivains est plus ou moins congruente de la hiérarchie des genres qu’ils pratiquent. Cette homologie s’inscrit en faux contre toute conception de la littérature comme système fermé de textes mû par un principe d’autogénération. En outre, la différenciation entre le pôle autonome et le pôle hétéronome du champ est à l’origine d’un sous-champ de production restreinte (pour les pairs) et d’un sous-champ de grande production (destinée au grand public).

Historique des emplois

Il s’ensuit aussi que le principe du changement littéraire et donc de l’histoire littéraire se trouve dans le champ. Celui-ci est au fondement de toutes les productions et de toutes les évolutions littéraires, lesquelles sont autant d’« effets de champ ». Habité par des agents non interchangeables car diversement socialisés, le champ ne détermine pas leurs pratiques d’écriture, de lecture, etc. à la manière de quelque infrastructure (éventuellement médiatisée, comme chez Lucien Goldmann, par la « vision du monde » de leur groupe social), mais il est ce niveau médiateur et exerce sur leurs pratiques un effet de réfraction ou de « prisme » (p. ex. Bourdieu, 1980, p. 219 ; voir Viala, 1988) en tant que système de contraintes à la fois objectives et incorporées.

Le chercheur doit reconstituer les structures de ce système tout en le rapportant, sur un plan macrosocial, aux champs dont il dépend à l’intérieur du champ du pouvoir, qui rassemble tous les agents dominants dans leurs champs respectifs. Il ne peut être complètement compris qu’en l’étudiant dans cette perspective intégrée, à l’aune des propriétés générales des champs, dont il n’est qu’un exemple parmi d’autres mais animé par un nomos à lui spécifique.

Mais cela n’empêche pas ses agents, qui ont évolué et continuent d’évoluer dans d’autres champs (la « multipositionnalité » selon Boltanski), d’importer sans cesse en son sein des pratiques et des logiques exogènes, issues des champs (économique, politique, etc.) dont il a eu et continue à s’émanciper. Son degré d’autonomie peut être mesuré à sa capacité à censurer, sans jamais parvenir à les neutraliser complètement, ces manières de voir et de faire hétéronomes, ce qui signifie que la reconstitution des habitus (des écrivains, de leurs éditeurs, de leurs critiques, etc.) fait partie intégrante de l’analyse des pratiques littéraires (Bourdieu, 1966).

Depuis les premières applications du concept (Ponton ; Charle 1979), la plupart des travaux se sont inscrits dans une optique plutôt macrosociale, amenant à refonder l’histoire littéraire sur les bases moins étriquées qu’appelait de ses vœux Gustave Lanson au début du xxe siècle. Ainsi, Alain Viala a montré à quel point l’autonomisation s’accélère au xviie siècle, jusqu’à y voir les prémices du champ littéraire français advenu vers 1850 (Viala, 1985).

Mais en 1992, Pierre Bourdieu fait paraître Les règles de l’art (Bourdieu, 1992)qui, dépassant l’opposition entre lecture interne et lecture externe, montre que la sociologie est à même de mettre l’enquête proprement sociologique au service d’une lecture du texte en tant que texte proprement littéraire. Il s’agit de reconstruire le point de vue de l’écrivain pour comprendre ce qui, dans l’espace de possibles (stylistiques, narratifs, etc.) qu’est le champ à tel moment, l’a amené à écrire telle œuvre de telle manière.

Ce livre achève d’inciter de nombreux chercheurs à faire mentir la réputation d’une sociologie de la littérature empêtrée dans le piège du reflet (Voir la notice consacrée à ce concept) ou incapable de se mesurer à la textualité littéraire. À partir de 1993, Alain Viala lance une « sociopoétique », qui analyse les options poétiques des écrivains comme des effets de champ (p. ex. Viala, 1993).

Usages actuels et applications récentes

La notion de champ littéraire est aujourd’hui assez répandue au sein des études littéraires, même si, en France, la tradition lettrée continue de se montrer réticente (Martin). Mais cette expansion ne s’est faite qu’au prix d’un affaiblissement du concept qui, souvent, n’est plus guère qu’un synonyme de « système », « configuration » ou « domaine ». C’est que son usage se heurte à son manque de légitimité en tant que concept perçu comme exclusivement sociologique, mais aussi à la cohérence du modèle heuristique dont il relève : y recourir implique de donner au moins droit de cité aux concepts d’autonomie, d’habitus ou encore d’illusio (Voir les notices consacrées à ces concepts).

Du côté de la sociologie, certains travaux modifient également sa portée, en le définissant sans tenir compte de son nomos ou en le dissociant de l’habitus de ses agents. Dans ses dernières recherches, Bernard Lahire en vient à situer l’essentiel des déterminants de la « création » de Franz Kafka dans le « hors-champ » et depuis l’enfance, en lien avec une « problématique existentielle » qui anime cet écrivain (Lahire, 2010a).

Nathalie Heinich développe une sociologie « pragmatique » ouverte à la psychanalyse, où le concept d’identité occupe une place centrale : la relation triangulaire entre l’auto-perception, le jugement de l’autre et la « représentation » (de soi à l’autre) permet de mieux cerner la dynamique identitaire de l’écrivain comme vecteur de sa créativité et de sa légitimation (Heinich 1999, 2000).

Œuvrant fermement à concilier approche sociologique et analyse de texte, Jérôme Meizoz observe que des écrivains aux dispositions esthétiques, politiques, etc. similaires présentent parfois d’étonnants écarts de manières d’être et d’écrire et conclut à l’existence d’une « marge d’auto-création » dans l’« acte créateur » (Meizoz, 2007, pp. 187 & 32).

Aussi complète-t-il la notion d’habitus par celle de posture (Bourdieu, 1966, p. 882 ; Viala, 1993, pp. 216-217) qu’il définit comme l’ensemble de manières, verbales et non verbales, d’investir une position dans le champ, autrement dit « l’“identité littéraire” construite par l’auteur lui-même » (Meizoz, 2007, p. 18) : « c’est la manière dont l’habitus et les dispositions s’actualisent dans une position » du champ littéraire (Meizoz, 2010, p. 276).

Certaines recherches explorent les frontières (de l’autonomie) du champ littéraire à travers ses effets sur les pratiques d’écriture et de lecture, par exemple chez les « écrivains amateurs » (Poliak) ou chez certaines catégories de lecteurs (p. ex. Mauger).

Le concept d’antinomie (voir cette notice, et Dirkx, 2006 ; 2011) permet de dialectiser et de hiérarchiser la part d’autonomie et la part d’hétéronomie dans un corps (individuel ou institutionnel), où ces deux tendances n’existent pas à l’état séparé, mais coexistent de manière conflictuelle. Il contribue à rendre compte des répercussions des tensions entre modèles littéraires dominants et dominés (p. ex. entre la France et le reste de la francophonie) ou entre écriture et engagement politique (p. ex. en Afrique) sur l’autonomie des littératures concernées, parfois hâtivement qualifiées de champs. Surtout depuis Casanova (1999), une série de recherches plus récentes testent la validité du concept de champ à l’échelle internationale (p. ex. Boschetti, 2010). Gisèle Sapiro qui, après avoir étudié la phase d’hétéronomisation du champ français sous l’Occupation, a relié la responsabilité de l’écrivain aux diverses phases de l’autonomisation littéraire (Sapiro, 1999 ; 2011), s’emploie à étudier le rôle des traductions et des stratégies éditoriales mondiales dans l’évolution des modèles littéraires (inter)nationaux (Sapiro, 2008 ; 2009). Comme pour l’histoire littéraire, la littérature comparée, la poétique, l’analyse du discours, les études de réception, etc., le concept de champ permet aussi de renouveler l’étude des relations entre la littérature et les autres parties du champ artistique et intellectuel, notamment la presse (Charle 2004 ; Dirkx, 2006 ; Durand).

Dès ses premières élaborations de la notion de champ (Bourdieu, 1966 ; 1971a ; 1971b), Bourdieu a porté une attention spéciale à la littérature, du fait qu’elle permet de mieux comprendre l’économie inversée (dénégatrice des intérêts économiques) dont le terrain algérien lui avait donné à voir l’importance.

Le champ littéraire repose même sur l’inversion de toutes les valeurs : chez Bourdieu, l’anomie « est le nomos » du champ littéraire (Bourdieu, 1992, p. 96). La littérature donne aussi à voir les principaux mécanismes de la violence symbolique, que la tradition lettrée illustre elle-même à merveille. C’est dire que l’analyse de la littérature doit s’accompagner d’une auto-analyse de la doxa lettrée, qui repose sur le mythe du créateur incréé et du texte illusoirement séparé de son « contexte ». La « science des œuvres » dont Les règles de l’art (Bourdieu, 1992) tracent le programme a pour condition préalable de combiner ces deux entreprises analytiques dans un effort inlassable d’objectivation participante. Ce n’est qu’en s’appuyant sur « Flaubert analyste de Bourdieu », pour reprendre une formule de Jacques Dubois (Dubois), que Bourdieu a pu se faire analyste de Flaubert et émettre sa thèse d’un « Flaubert analyste de Flaubert » (Bourdieu, 1992, pp. 7-71). En ce sens, la science des œuvres que le découvreur du champ appelait de ses vœux n’en est qu’à ses débuts.

Bibliographie

Boschetti (Anna) (dir.), L’espace culturel transnational, Paris, Nouveau Monde Éditions, « Culture / Médias », 2010.

Boschetti (Anna), « Le champ littéraire », dans Lectures de Bourdieu, sous la direction de Frédéric Lebaron & Gérard Mauger, Paris, Ellipses, « Lectures de… », 2012, pp. 243-262.

Bourdieu (Pierre), « Champ intellectuel et projet créateur », Les Temps modernes, no 246 (novembre), 1966, pp. 865-906.

Bourdieu (Pierre), « Champ du pouvoir, champ intellectuel et habitus de classe », Scolies, no 1, 1971a, pp. 7-26.

Bourdieu (Pierre) « Le marché des biens symboliques », L’Année sociologique, no 22, 1971b, pp. 49-126.

Bourdieu (Pierre), Questions de sociologie, Paris, Minuit, « Documents », 1980.

Bourdieu (Pierre), « Le champ littéraire », Actes de la recherche en sciences sociales no 89 (septembre), 1991, pp. 3-46.

Bourdieu (Pierre), Les règles de l’art. Genèse et structure du champ littéraire, Paris, Seuil, « Libre examen », 1992.

Bourdieu (Pierre) & Dubois (Jacques), « Champ littéraire et rapports de domination. Un entretien de Jacques Dubois avec Pierre Bourdieu », Textyles no15, 1999, pp. 12-16.

Casanova (Pascale), La République mondiale des Lettres, Paris, Seuil, 1999.

Charle (Christophe), La crise littéraire à l’époque du naturalisme. Roman, théâtre et politique. Essai d’histoire sociale des groupes et des genres littéraires, Paris, Presses de l’École Normale Supérieure, 1979.

Charle (Christophe), Le siècle de la presse (1830-1939), Paris, Seuil, 2004.

Defrance (Jacques), « L’autonomie d’un champ ou le sens des limites », dans Lectures de Bourdieu, sous la direction de Frédéric Lebaron & Gérard Mauger, Paris, Ellipses, « Lectures de… », 2012, pp. 319-349.

Dirkx (Paul), Les « Amis belges », Presse littéraire française et franco-universalisme, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, « Interférences », 2006.

Dirxx (Paul), « Claude Simon : antinomie et corps écrivant », dans Claude Simon : situations, sous la direction de Paul Dirxx & Pascal Mougin, Lyon, ENS Éditions, « Signes », 2011, pp. 179-197.

Dubois (Jacques), « Flaubert analyste de Bourdieu », dans Bourdieu et la littérature, sous la direction de Jean-Pierre Martin, Nantes, Cécile Defaut, 2010, pp. 77-91.

Durand (Pascal), Mallarmé. Du sens des formes au sens des formalités, Paris, Seuil, « Liber », 2008.

Heinich (Nathalie), L’Épreuve de la grandeur. Prix littéraires et reconnaissance, Paris, La Découverte, « Armillaire », 1999.

Heinich (Nathalie), Être écrivain. Création et identité, Paris, La Découverte, « Armillaire », 2000.

Jurt (Joseph), « L’apport de la théorie du champ aux études littéraires », dans Pierre Bourdieu, sociologue, sous la direction de Louis Pinto, Gisèle Sapiro & Patrick Champagne, Paris, Fayard, « Histoire de la pensée », 2004, pp. 255-277.

Lahire (Bernard), Le travail sociologique de Pierre Bourdieu. Dettes et critiques, Paris, La Découverte, « Textes à l’appui », 1999.

Lahire (Bernard), Franz Kafka. Éléments pour une théorie de la création littéraire, Paris, La Découverte, « Textes à l’appui », 2010a.

Lahire (Bernard), « Le champ et le jeu : la spécificité de l’univers littéraire en question », Jean-Pierre Martin (éd.), 2010b, pp. 143-154.

Martin (Jean-Pierre) (dir.), Bourdieu et la littérature. Suivi d’un entretien avec Pierre Bourdieu, Nantes, Cécile Defaut, 2010.

Mauger (Gérard), Poliak (Claude F.) & Pudal (Bernard), Histoires de lecteurs, Paris, Nathan, « Essais et recherches », 1999.

Meizoz (Jérôme), Postures littéraires. Mises en scène modernes de l’auteur, Genève, Slatkine Erudition, 2007.

Meizoz (Jérôme) « “Posture” et champ littéraire », dans L’espace culturel transnational, sous la direction d’Anna Boschetti, Paris, Nouveau Monde Éditions, « Culture/Médias », 2010, pp. 269-283.

Poliak (Claude F.), Aux frontières du champ littéraire. Sociologie des écrivains amateurs, Paris, Economica, « Études Sociologiques », 2006.

Ponton (Rémy), Le champ littéraire en France, de 1865 à 1905, Paris, École des hautes études en sciences sociales, thèse inédite, 1977.

Sapiro (Gisèle), La guerre des écrivains 1940-1953, Paris, Fayard, « Histoire de la pensée », 1999.

Sapiro (Gisèle), La responsabilité de l’écrivain. Littérature, droit et morale en France (xixe-xxie siècles), Paris, Seuil, 2011.

Sapiro (Gisèle) (dir.), Translatio. Le marché de la traduction en France à l’heure de la mondialisation, Paris, CNRS Éditions, « Culture & société », 2008.

Sapiro (Gisèle) (dir.), Les contradictions de la globalisation éditoriale,Paris, Nouveau Monde Éditions, « Culture/Médias », 2009.

Viala (Alain), Naissance de l’écrivain. Sociologie de la littérature à l’âge classique, Paris, Minuit, « Le sens commun », 1985.

Viala (Alain), « Effets de champ, effets de prisme », Littérature no 70 (mai), 1988, pp. 64-71.

Viala (Alain) & Molinié (Georges), Approches de la réception. Sémiostylistique et sociopoétique de Le Clézio, Paris, Presses Universitaires de France, « Perspectives littéraires », 1993.

2655, ****************************

 

2655… LE CHAMP CONSTELLAIRE ET LE POINT D’INTERROGATION (ONTOLOGIQUE, ÉPISTÉMOLOGIQUE, MÉTAPHYSIQUE) DEVENANT L’OREILLE DU POINT D’EXCLAMATION (L’ONTICATION DU RÉEL PAR SA PART D’HUMANITÉ WOW-T=2.7K?

March 2, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Dans le jaillissement de tout champ constellaire issu de la non-tricherie de toute vie personnelle œuvre d’art, surgit, en flottement ontique, des étiquettes flottantes libérées de tout attribut essentiel issu soit de l’épistémologie, soit de l’ontologie, soit de la métaphysique, au sens où le point d’interrogation existential (?) (d’où venons-nous, qui sommes-nous? où allons-nous?) se fait oreille au point d’exclamation (1) au cœur duquel les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art s’intriquent avec l’humanité de la cinquième:

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

2657, ****************************

 

2657… CHAMP CONSTELLAIRE.. DÈS L’ÉMERGENCE BIG-BANG D’UN CHAMP CONSTELLAIRE ISSU D’UN ENGAGEMENT À LA NON-TRICHERIE POUR AVOIR ACCÈS À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, LE RAPPORT SÉMIOLOGIQUE AUTANT QUE SÉMIOTIQUE DES ÉTIQUETTES FLOTTANTES À LA ROTHKO (PEINTRE AMÉRICAIN) SE DYNAMISENT DANS UN ESPACE DE LIBERTÉ ONTIQUE AHURISSANT, AU SENS OÙ L’INTRICATION DES QUALIS, DU SENS ET DE L’ERRRANCE POÉTIQUE INVENTANT L’INTENSITÉ DU PRÉSENT ÉVACUE HORS DU CHAMP CONSTELLAIRE TOUTE ONTOLOGISATION, MÉTAPHYSICATION OU ÉPISTÉMOLOGISATION AUTANT DE LA SUBJECTIVITÉ PERSONNALISTE QUE DU QUASI RÉALISME AVEC LESQUELS L’ÉNIGME PARADIGMATISE AUTANT LE SUJET QUE L’OBJET, LA CHOSE QUE LES ENTITÉS ABSTRAITES UNIVERSELLES (PLATON)

March 2, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Mark Rothko

La chapelle Rothko à Houston.

Mark Rothko, né Marcus Rothkowitz 1 à Dvinsk2,(Lettonie), le 25 septembre 1903 et mort le 25 février 1970, est un peintre américain classé parmi les représentants de l’expressionnisme abstrait américain, mais Rothko refusait cette catégorisation jugée « aliénante ».

Né à Dvinsk dans l’Empire russe, aujourd’hui Daugavpils en Lettonie, en 1903, il est le benjamin d’une famille juive de quatre enfants. Il émigre avec sa mère et sa sœur aux États-Unis (à Portland, en Oregon) en 1913 pour y rejoindre son père et ses frères. Son père meurt un an après leur arrivée. Il fait ses études à la Lincoln High School de Portland, puis à l’université Yale.

En 1929, il devient professeur de dessin pour des enfants, se marie en 1932 avec Edith Sachar puis fonde, en 1934, l’Artist Union de New York. Ce n’est par ailleurs qu’en 1940 qu’il adoptera le nom anglicisé de Mark Rothko, deux ans après avoir pris la nationalité américaine. D’après ses amis il était d’un naturel difficile, profondément anxieux et irascible, mais malgré cela il pouvait aussi être plein de dévouement et d’affection. C’est véritablement dans les années 1950 que sa carrière démarre, notamment grâce au collectionneur Duncan Phillips qui lui achète plusieurs tableaux, et, après un long voyage du peintre en Europe, lui consacre une salle entière de sa collection. C’était le rêve de Rothko, qui souhaitait que les visiteurs ne soient pas perturbés par d’autres œuvres. Les années 1960 seront pour lui la période des grandes commandes publiques (université Harvard, Marlborough Gallery de Londres, chapelle à Houston) et du développement de ses idées sur la peinture.

Mais cet élan créateur et de reconnaissance sera stoppé par la maladie, un anévrisme de l’aorte handicapant qui l’empêchera de peindre des grands formats. Mark Rothko se suicidera en 1970 à New York.

Œuvres[modifier | modifier le code]

Rothko était un intellectuel très doué, un homme cultivé qui aimait la musique et la littérature et était intéressé par la philosophie, en particulier par les écrits de Nietzsche et la mythologie grecque. Influencé par l’œuvre d’Henri Matisse – à qui il a d’ailleurs consacré un hommage dans une de ses toiles – Rothko occupe une place singulière au sein de l’École de New York. Après avoir expérimenté l’expressionnisme abstrait (mouvement artistique dans lequel il côtoiera notamment Jackson Pollock et Adolph Gottlieb) et le surréalisme, il développe à la fin des années 1940 une nouvelle façon de peindre. En effet, hostile à l’expressionnisme de l’Action Painting, Mark Rothko (ainsi que Barnett Newman et Clyfford Still) invente une nouvelle façon, méditative, de peindre, que le critique Clement Greenberg définira comme le Colorfield Painting, littéralement « peinture en champs de couleur ».

Dans ses toiles, il s’exprime exclusivement par le moyen de la couleur qu’il pose sur la toile en aplats à bords indécis, en surfaces mouvantes, parfois monochromes et parfois composées de bandes diversement colorées. Il atteint ainsi une dimension spirituelle particulièrement sensible.

Rothko se sépare de son épouse Edith Sachar durant l’été 1937 à la suite du succès de celle-ci dans ses affaires de bijouterie. Apparemment, il ne prenait pas plaisir à travailler avec son épouse et se serait senti menacé et jaloux de son succès financier. Edith et lui se réconcilient en automne, mais leurs rapports restent tendus.

Le 21 février 1938, Rothko obtient la nationalité américaine, incité par ses craintes que l’influence nazie croissante en Europe puisse provoquer la déportation soudaine des juifs américains. L’apparition de sympathies nazies aux États-Unis augmente ses craintes ; en janvier 1940, Marcus Rothkovich change son nom en Mark Rothko, l’abréviation commune « Roth » étant identifiée comme juive. Après le Pacte germano-soviétique entre Hitler et Staline en 1939, Rothko, Avery, Gottlieb et d’autres, quittent le Congrès des artistes américains en signe de protestation à l’encontre du rapprochement du congrès avec le communisme radical. En juin, il forme avec d’autres artistes la Fédération des peintres et sculpteurs modernes. Leur objectif est de maintenir l’art exempt de propagande politique.

Craignant que la peinture moderne américaine ait atteint une impasse, Rothko est attentif à l’exploration de sujets différents des scènes naturelles et urbaines ; des sujets qui compléteraient son souci croissant de la forme, la spatialité et la couleur. La crise mondiale de la guerre prête à cette recherche une immédiateté — une urgence — de même que son insistance à trouver de nouveaux thèmes ayant un impact social, capables de transcender les limites des valeurs et symboles politiques. Dans son important essai, The Romantics Were Prompted publié en 1949, Rothko observe que « l’artiste archaïque (…) trouve vis-à-vis des dieux et demi-dieux la nécessité de créer un groupe d’intermédiaires, monstres, hybrides3. » d’une manière similaire à l’homme moderne trouvant des intermédiaires dans le parti fasciste ou communiste.

Cependant, l’existence de l’homme moderne manque de l’urgence de ses homologues primitifs. En raison des découvertes, de l’impérialisme et des avancées scientifiques de l’Europe, les liens traditionnels se sont érodés et la mythologie a été remise en question ; par conséquent les anciennes mythologies (basées sur le social) auraient été remplacées par l’individu. Pour Rothko, « sans monstres ni dieux, l’art ne peut figurer un drame » et « quand ils furent abandonnés comme superstitions intenables, l’art tomba dans la mélancolie4 ». Par conséquent, les « grandes réalisations » de civilisations qui acceptèrent l’improbabilité du mythe « sont celles de la figure humaine solitaire dans un moment d’immobilité complète » capable « d’indiquer son souci du principe moral et un insatiable appétit pour une expérience omniprésente de ce principe. », dans l’idée que chacun, libéré des dieux et des monstres, pourrait être capable de « respirer et d’étirer son bras vers l’autre ». Cette « figure humaine seule dans un moment d’immobilité complète5 » a servi de prototype aux dernières peintures de Rothko : le style singulier de ses champs irradiant de couleur, solitaires mais tout autant liés aux images transcendantes de la mythologie.

L’utilisation par Rothko de la mythologie comme commentaire de l’histoire actuelle n’était nullement une innovation. Rothko, Gottlieb et Newman lisaient et discutaient des travaux de Freud et Jung, en particulier leurs théories respectives à propos des rêves et des archétypes de l’inconscient collectif, et envisageaient les symboles mythologiques comme des images auto-référentes — opérant dans un espace de conscience humaine qui transcende les histoires et cultures spécifiques. Par conséquent, des images de la Grèce déchirée par les guerres antiques auraient un impact similaire (sinon supérieur) à une coupure de journal présentant Londres déchiré par la guerre, en première page du Sunday Times.

Indépendamment de la connaissance de l’homme moderne des symboles mythologiques, ces images parleraient directement à l’inconscient jungien et réveilleraient des énergies cachées chez l’homme, les remontant à la surface. Rothko expliqua plus tard que son approche artistique fut « réformée » par son étude des « thèmes dramatiques du mythe. » Il cessa apparemment de peindre durant toute l’année 1940, et étudia L’Interprétation des rêves du psychanalyste Sigmund Freud et Le Rameau d’or de l’anthropologue James George Frazer. Rothko expliquera par la suite avoir voulu transgresser les canons artistiques pour intégrer un espace d’expression plus vaste et grand, celui de la création en général.

Pourtant le livre le plus crucial pour Rothko dans cette période serait La Naissance de la tragédie de Friedrich Nietzsche.

La nouvelle vision de Rothko essaierait donc de s’adresser aux exigences de la spiritualité de l’homme moderne et aux exigences créatives mythologiques, à l’identique de Nietzsche clamant que la tragédie grecque est une recherche humaine pour racheter les terreurs d’une vie mortelle. Les objectifs artistiques modernes ont cessé d’être le but de Rothko. À partir de ce moment-là, son art soutiendrait en tant que but le « fardeau » de soulager le vide spirituel fondamental de l’homme moderne; un vide créé en partie par l’absence d’une mythologie adressée correctement à « la croissance d’un esprit enfantin et (…) à la vie et les luttes d’un homme6 » et pour fournir la reconnaissance esthétique nécessaire à la libération des énergies inconscientes, précédemment libérées par les images, symboles et rituels mythologiques.

Rothko se considérait lui-même comme un « faiseur de mythe » et proclamait que le seul sujet valable était celui qui est tragique. « L’expérience tragique ragaillardie », a-t-il écrit, « est pour moi la seule source d’art7 ».

Chez cet artiste, la couleur est débarrassée de l’objet et devient l’unique objet de vision. Dans son œuvre intitulée Number 12 (1949, huile sur toile, 171,61 × 108,11 cm) et dans d’autres similaires, il joue avec les bandes et cela lui permet de développer davantage la dimension de l’expression par rapport à celle de la couleur. Selon Hugues de Chanay, sémiologue (professeur – Université Lumière Lyon 2), Mark Rothko déplace sciemment le centre d’intérêt : acte de voir et non plus acte de comprendre.

Sublime abstrait, selon Rosenblum en 1961, cet artiste réussit à nier dans son travail l’individuation personnelle grâce à cet effacement du soi et par conséquent rend son œuvre plus « sublime »

sur Google Michel le concierge

2664, ****************************

 

2664… LE CHAMP CONSTELLAIRE CONTIENT DES ÉTIQUETTES FLOTTANTES À LA MANIÈRE DES PEINTURES DE ROTHKO DONT LES ATTRIBUTS ESSENTIELS SONT NON SEULEMENT SÉPARÉES, MAIS ÉVACUÉES DANS LA MARGE (DERRIDA) OU MÊME MIEUX DANS LA LIGNE DE DÉMARQUATION ENTRE SCIENCE ET PSEUDO-SCIENDE , ARTÉFACT INTELLECTUEL DE L’ÉPISTÉMOLOGIE… CRÉANT UNE DANSE SYNCHRONI-VIE-TALE OÙ LE RAPPORT ENTRE LA SÉMIOTIQUE (DU SIGNE À L’OBJET) ET LA SÉMIOLOGIE (LES SIGNES ENTRE EUX) S’INTRIQUENT QUANTO-COSMOLOGIQUEMENT DANS UNE FASCINANTE LÉGÈRETÉ ISSUE ET D’UN RÊVE BIG-BANG ET DE LA NON-TRICHERIE QUI EN EST L’EUPORIE CONSTRUCTIVISTE NOMINALISTE… EN CE SENS… ON RETROUVE LES INQUIÉTUDES D’ARISTOTE DANS LE FAIT QUE LOGISTIQUEMENT TOUT ÉTANT VIT LA SOUSTRACTION DE SES CATÉGORIES PAR SON DEVENIR MÊME

March 4, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Lambros Couloubaritsiss Histoire de la philosophie ancienne et médiévale p.375 extrait…

Autrement dit, si l’on soustrait de la chose TOUTES LES CATÉGORIES (ATTRIBUTS) « il y a quelque chose à quoi chacune s’attribue et dont l’être est autre que celui de chacune d’elles…» de sorte que ce qui est ultime par soi n’est ni quelque chose de déterminé, ni une qualité, ni rien d’autre de ce genre; il n’est même pas de l’ordre des négations car celles-ci appratiennent à une chose comme un accident.»

Cela s’oppose à la thèse que l’étance EST UNE CHOSE DISTINCTE ET DÉTERMINÉE.

Conclusion: l’analyse de l’étance comme sujet N’ABOUTIT PAS À FONDER L’ÉTANCE COMME TELLE; néanmoins elle établit l’existence d’une cause matérielle doublement articulée: COMME SUJET PROCHAIN DE L’ÉTANCE et comme sujet ultime OU MATIÈRE INDÉTERMINÉE.

Pierrot vagabond

2668, ****************************

 

2668… CHAMP CONSTELLAIRE… L’USAGE DE LA PRÉPOSITION «ÉPI» DANS LA SÉMANTIQUE ÉPICURIENNE….. À RÉFLÉCHIR… QUE VAUT-ELLE SI J’EN INSÈRE L’ÉTIQUETTE SÉMIOLOGIQUEMENT DANS LE CHAMP CONSTELLAIRE D’UN RÊVEUR BIG BANG QUI NE TRICHE PAS.. L’ONTICATION DU MULTIVERS PASSE-T-ELLE PAR L’ATTACHEMENT PORTÉ AUX CHOSES….. DANS LA MESURE OÙ LES CHOSES ÉMETTENT DES SIMULACRES MATÉRIELS (EIDÔLA) GRÂCE AUXQUELLES S’ACCOMPLIT LA PERCEPTION….

March 5, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

LAMBROS LOUBRARITIS histoire de la philosophie ancienne et médiévale Epicure p.427 extrait…

L’usage de la préposition épi dans la sémantique épicurienne est éloquent, et révèle l’attachement qu’Épicure portait aux choses appréhendées par les sens, notamment par le toucher, car la vision ou les autres sensations impliquent une sorte de toucher, dans la mesure où les choses émettent…

des «simulacres matériels» (eidola)

grâce auxquelles s’accomplit la perception. Ces simulacres sont comme des pellicules qui proviennent de la surface des corps, dont les atomes qui les composent conservent la position relative et L’ORDRE QU’ILS AVAIENT DANS LES CHOSES.

Il apparaît ainsi, qu’après Démocrite, Épicure bouleverse LA VISION ARCHAÏQUE DU RÉEL, dans la mesure où ce qui apparaît est bien de l’ordre des simulacres (eidola)

MAIS NON PLUS AU SENS DES SPECTRES, DES MORTS COMME DANS LA PENSÉE ARCHAÏQUE, ni en tant qu’imitations articifielles (comme chez Platon)

MAIS COMME DES MANIFESTATIONS MÊME DES CHOSES.

Ainsi s’achève d’une façon surprenante l’effort des matérialistes grecs POUR PARLER À LEUR TOUR DE L’INVISIBLE, non plus cependant d’un invisible où seraient ENTASSÉS LES MORTS, mais d’un invisible

OÙ SE SONT LES PRINCIPES DES CHOSES QUI SE DÉPLOIENT, dont les simulacres constituent leur mode de manifestation à la perception humaine

à suivre…

Pierrot vagabond

2671, *****************************

 

2671…CHAMP CONSTELLAIRE … UN POINT AVEUGLE DU CHAMP CONSTELLAIRE (MULTIVERS VERSUS VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART» REMARQUABLEMENT SOULIGNÉ PAR LAMBROS COULOUBARITIS DANS UN PASSAGE SUR EPICURE ET SA VISION DU MONDE SELON DES ASSISES IDÉOLOGIQUES (SOIT À PARTIR DES CONSIDÉRATIONS D’ORDRE ÉTHICO-POLITIQUE

March 5, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

LAMBROS COULOUBARITSIS histoire de la philosophie ancienne et médiévale Épicure p.430 extrait…

Si l’on compare la doctrine d’Épicure à celle de Démocrite, on constate une divergence essentielle: alors que chez ce dernier, c’est le mouvement circulaire provoqué par les atomes sphériques qui confère à l’univers sa forme sphérique, chez Épicure, c’est le mouvement circulaire et la forme sphérique eux-mêmes QUI SONT ÉCARTÉS AU PROFIT DU CLINAMEN.

Dans ces conditions, le monde n’est-il pas fondé SUR UNE PRÉCARITÉ QUI REND IMPOSSIBLE TOUTE RÉALITÉ STABLE?

Or, l’expérience révèle aussi bien des choses stables que des processus de répétition, y compris la naissance des choses de la même espèce, comme diraient Platon et Aristote.

Pour Épicure, les déviations atomiques permettent la formation de divers types de processus, comme le ralentissement qui stabilise les choses, la formation de figures variées mais limitées, les phénomènes physiques d’équilibre par les limites ou l’échange..etc…  La formation du langage, comme il le montre à la fin de la lettre à Hérodote, suit des processus analogues, les variations des sons à l’origine expliquant les différents langages, que l’homme contrôle aussi GRÂCE À DES CONVENTIONS.

Bref, un fondement indéterminé n’est pas incompatible avec LA FORMATION DES CHOSES ET DES ÉVÈNEMENTS , À CONDITION QU’IL Y AIT DES RÈGLES DE GESTION, non pensées d’avance, mais produites par les situations elles-mêmes.

Face à une telle doctrine, une éventuelle immortalité de l’âme est inenvisageable. L’âme est, pour Épicure, UNE ENVELOPPE PROTECTRICE DU CORPS DE NATURE CORPORELLE MAIS INVISIBLE, constituée d’atomes qui forment un «souffle chaud» – cette sorte de pneuma déjà utilisée par les aristotéliciens, mais qui sera pleinement affirmé par le stoïcisme.

L’âme est ainsi liée inextricablement au corps et elle régit les sensations et d’autres activités de l’homme. La structuration des parties corporelles est responsable des fonctions, qui sont autant plus nombreuses qu’il y a de variétés de structures.

Par la suite, la question est de savoir SI L’ON PEUT DÉDUIRE DE CETTE THÉORIE UNE ÉTHIQUE**** .

En fait, c’est l’éthique qui détermine chez Épicure la physique. Ce qui permet de constater que même des pensées matérialistes peuvent SE DÉPLOYER SELON DES ASSISES IDÉOLOGIQUES, EN SOUMETTANT LEUR VISION DU MONDE À DES CONSIDÉRATIONS D’ORDRE ÉTHICO-POLITIQUE.

à suivre…

Pierrot vagabond

2675, ****************************

 

2675… CHAMP CONSTELLAIRE… QUE CE SOIT EN NOÉTIQUE (THEILLARD DE CHARDIN), EN TRANSCENDANTALISME (EMERSON), EN THÉURGISME (ST-AUGUSTIN) OU EN PANTHÉISME (SPINOZA) QUAND ON REGARDE LE TOUT SOUS L’ANGLE THÉORITIQUE SANS TENIR COMPTE DES ASSISES IDÉOLOGIQUES D’ORDRE ÉTHICO-POLITIQUE CONTEXTUALISTES, JE NE PEUX QUE ME PLACER PARADIGMATIQUEMENT SOUS LE CHAMP DE LA PROBLÉMATOLOGIE (MEYER) POUR INTUITIONNER ABDUCTIVEMENT QUE LE CHAMP CONSTELLAIRE DE «WOW-T=2.7K?» POSE L’HYPOTHÈSE SUIVANTE: SOUS TOUTES CES ÉTIQUETTES AUX FORMES FLOTTANTES, LE POINT D’EXCLAMATION (?) SEMBLE CONDUIRE (BROSSES D’ÊTRE ET ATTAQUES D’ÊTRE) À L’ÉMERVEILLEMENT MÊME DU POINT D’EXCLAMATION (!) SOUS LEQUEL S’INTRIQUENT LE MULTIVERS ET TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART QUI NE TRICHE PAS AVEC UN RÊVE BIG-BANG,

March 6, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Le poème de Lucrèce est, dans la philosophie ancienne, ce qui m’incite le plus à passer de la métaphysique de l’individu à son ontiquation par la non-tricherie et la vie personnelle œuvre d’art sous la puissante errance poétique d’un rêve big-bang.

Comme si ce modèle fondant le code de déontologie de la nano-citoyenneté-planétaire et sa constitution révélait une capacité constructiviste de faire voir le rapport entre l’homme et l’homme, SELON UNE AUTRE RAISON QUE LA RAISON ARGUMENTATIVE évacuant le multivers des qualis sous le calcul méthodologique des formes énigmatiques du réel.

à suivre…

Pierrot vagabond

2690, **************************

 

2690… CHAMP CONSTELLAIRE …LA MONTÉE MANUELLE DE L’ARTÉFACT-CHEF-D’OEUVRE DE MICHEL LE CONCIERGE AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ FILMÉ DE CE MATIN CONSTITUE UNE DÉMONSTRATION D’UNE MÉTHODOLOGIE DES 3 WOWS… APPLIQUÉE DANS TOUT SON RESPECT DES TROIS ÉTAPES D’UNE PENSÉE ABSTRAITE THÉORITIQUE VISANT UNE OPÉRATIONNALITÉ STRAGISTE À LA HAUTEUR DES PLUS BRILLANTES DE L’HISTOIRE DE LA PENSÉE… LE PLUS IMPORTANT COMME LE SOULIGNAIT SOLJENYSTINE DANS SA BRILLANTE CONSTRUCTION ARCHITECTONIQUE LE CONDUISANT AU PRIX NOBEL… UNE GRANDE IDÉE, UNE GRANDE IDÉE, UNE GRANDE IDÉE… LA NÔTRE: WOW-T=2.7K? DONT LE CHAMP CONSTELLAIRE SIGNE MAGISTRALEMENT LE GÉNIE STRATÉGISTE DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE:

March 16, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Un long et merveilleux conseil d’administration de la créativité de ce matin où Michel a pu monter son artéfact-chef-d’oeuvre décrivant stylistiquement la plus grande de nos inventions théoritiques, soit celle DU CHAMP CONSTELLAIRE tirée de la non-tricherie magnifiée par tout rêve big-bang émergeant sous l’algorithme social WOW-T=2.7K?

Marlene a filmé le tout… durant presqu’une heure…. le déballage du matériel provenant de la Californie, puis la mise en exposition du designs, avant d’en discuter de la place dans le show-case, toutjours dans l’optique filmée, documentée et archivée de la poïétique en vue d’un prix Nobel de la paix.

Ce qui m’a permis de faire part de mes dernières avancées méthodologiques: D’ici moins d’un mois, tous les éléments du glossaire, de la base de donnée et de la bibliographie concernant les 200 premières pages du doctorat seront réunies dans un fichier, qui sera imprimé en vue de la rédaction paragraphe par paragraphe d’un exposé qui sera validé par les 3 wows de façon à ce que Michel et Marlene puissent habiter par des videos la marge de gauche et la marge de droite.

Le ier chapitre, soit LA NON-TRICHERIE, devrait être complété et en multi-média et en texte, d’ici le mois de septembre 2019… avec une architectonie respectant les exigences universitaire d’un doctorat d’invention de haut pensée abstraite théoritique.

Quand j’arriverai ce soir, l’artéfact œuvre d’art de mon fascinant partenaire de recherche Michel le concierge devrait être installé sur le mur d’entrée avant d’ouvrir la porte de notre bunker de l’amitié.

Nous filmerons encore et Marlene suggérait ce matin que ces archives servent à présenter un 5eme documentaire au festival international du documentaire de Montréal de l’année prochaine….

A partir de Lundi, nous enclencherons la mise en design d’un troisième artéfact (à la suggestion de Michel ce matin) , celui constitué des bottes dans le ciel de l’affiche du vagabond céleste du conteur international Simon Gauthier.

Une chose m’a frappé ce matin… avant de quitter pour aller à l’UQAM, j’ai dit mes amis… c’est la première fois dans l’histoire de la pensée occidentale où l’onticologie provoque un renversement méthodologique entre l’ÉPISTÉMOLOGIE, LA MÉTAPHYSIQUE ET LA SCIENCE., en osant prendre tout le champ de la propédeutique de façon à le boucler par son ontication universelle par sa présence et accidentelle par sa forme sous l’algorithme social: WOW-T=2.7K?

à suivre…

Pierrot vagabond

2691, *************************

 

2691… champ constellaire… UN TRÈS LONG ET TRÈS BEAU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ DE CE MATIN QUI SIGNE PAR 3 WOWS LES 6 PREMIÈRE PAGES DU TEXTE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) ET DONT LE TITRE, PAR RÉFLEXION SUR LA DRAMATURGIE DE NOTRE FIL D’OR SERA FINALEMENT: DE LA NON-TRICHERIE À «WOW-T=2.7K?»: LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… LE TOUT COURONNÉ PAR NOTRE 2EME ARTÉFACT DÉSIGNANT ABDUCTIVEMENT LE CHAMP CONSTELLAIRE POSÉ SUR L’ENTRÉE DU BUNKER DE L’AMITIÉ.

March 17, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Hier soir, quand je suis arrivé chez Marlene et Michel, nous avons de fil en aiguille reviser les paramètres de notre stratégie pour se rendre au prix Nobel de la paix… Et soudain, Michel de me dire abruptement. A bien y réfléchir, nous nous sommes trompés dans le titre de doctorat. Au lieu d’être ( de la non-tricherie à la nano-citoyenneté-planétaire: Wow-t=2.7k?) cela devrait être: DE LA NON-TRICHERIE À WOW-T=2.7K? = LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Je me suis donc enfoui dans le sleeping de la salle de couture et ai passé la nuit à réfléchir sur les conséquences et théoritiques et stratégistes d’inverser les trois étiquettes fondatrices des trois chapitres qui doivent inspirer l’ordre dramaturgique de notre argumentaire.

J’avais mon carnet à côté de moi, ma main tombant directement sur mon stylo pendant que je dormais… et un premier jet donna ceci

LA CHANSON LÂCHE-MOÉ PAS DE MICHEL LE CONCIERGE ET LA CHANSON DU CAMIONNEUR DE PIERROT VAGABOND SONT DEUX CHEF D’OEUVRE PARCE QU’ILLUSTRANT REMARQUABLEMENT  L’ONTIKATION QUALI DE LA RÉALITÉ, PERMETTANT L’ÉMERGENCE D’UN CHAMP CONSTELLAIRE AU COEUR DUQUEL PEUT S’ÉPANOUIR UN RÊVE BIG-BANG.

et j’écris par la suite, dans un deuxième réveil… l’ontikation contemple l’énigme de la beauté du monde (?/|) que ni la mythologie, ni la théologie,ni la métaphysique, ni l’ontologie, ni l’épistémologie ne peuvent problématiser parce que le tout est basé SUR UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART EN ACTION DE NON-TRICHERIE.

Puis dans un troisième réveil, tout m’est apparu lumineux. Michel avait raison (il est un formidable esprit abductif synthétique de sa qualité même de programmeur informatique accentué par une formation en design).

L’Objectif de ce doctorat est de nous ouvrir une porte avec l’institut de l’intelligence artificielle du Québec avec la mise en application de notre invention: LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

En conséquence de quoi, quand je suis arrivé à notre conseil d’administration de la créativité, j’ai suggéré et le titre (3 wows) et la dramaturgie (le ier chapitre sera divisé en 4. 50 pages Michel le concierge, 50 pages Marlene la jardinière, 50 pages Pierrot vagabond et 50 pages sur le vagabond céleste de Simon Gauthier menant aux quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art menant à une cinquième introduisant le deuxième chapitre qui sera la mise en axiomatisation et argumentation de notre algorithme social : «wow-t=2.7k?»

Donc, Michel, cet après-midi, commencera à monter le design multi-média des 6 premières pages du ier chapitre du doctorat que nous adoptés par 3 wow afin d’y intégrer sur le côté droit le video de la st-valentin et sur le côté de gauche, un diaporama de ses photos de jeunesse témoignant de son amour pour Marlene.

Puis nous avons posé le cadre du deuxième artéfact à l’entrée après l’avoir reçu de Californie.

Pour enfin me rendre à l’UQAM ou je travaillerai sur les 6 pages suivantes du doctorat et son ier chapitre… Nous irons donc de 6 pages en 6 pages, par 3 wows, de la dramaturgie au fil d’or par une mise en abime de tout ce qui ne fait pas 3 wows..

Cela fera 12 ans maintenant que nous vivons ce rêve d’un prix Nobel en équipe et nos règles du jeu ont fait en sorte que même pas une seule fois, nos humeurs et nos irritants reliés à nos personnes ne sont venus intoxiquer nos archétypes hologrammiques en laboratoire philosophique: soit Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond

Pierrot vagabond

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ARCHIVES… QUELQUES APHORISMES PARTICULIÈREMENT PRÉMONITOURES DE MON BRILLANTISSIME AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE… MICHEL LE CONCIERGE… DIGNES DE NOUS FAIRE DÉCOUVRIR UN JOUR PAR L’INSTITUT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DE MONTRÉAL POUR ALGORITMÉTISER NOTRE INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE EN MOINS DE 5 ANS PAR UNE APPLICATION DISPONIBLE SUR DE MILLIARDS DE TÉLÉPHONES CELLULAIRES

2679,

2679… CARNET DU CONCIERGE… LA SYNCHRONI-VIE-TÉ ET AUTRES APHORISMES TIRÉS DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ DE CE MATIN…. SELON MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE MICHEL LE CONCIERGE
MARCH 9, 2019
APHORISMES TIRÉS
DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ
DE CE MATIN
à archiver
dans le carnet du concierge
de la philosophie d’en bas
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1) La synchroni-vie-té, c’est un accès structurel à l’invisible. (Michel le concierge)
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2) l’hologramme de l’archétype hologrammique, c’est la transparence de la non-tricherie en mode méthodologique d’ontiKation (Michel le concierge)
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3) trois archétypes hologrammiques en recherche de méthodologie d’ontikation, ce soit trois univers en vue d’un MULTIVERS (Michel le concierge)
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4) wow-t=2.7k? nous amène à une fonction du rêve big bang par les 3 wow (Michel le concierge)
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5) La terre, c’est le siège social de l’intelligence bib bang
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Pierrot vagabond

LE CERVEAU QUANTO-COSMOLOGIQUE DE TOUT NANO-CITOYEN (NE) PLANÉTAIRE EST UNE FRACTALE HOLOGRAMMIQUE EXACTE DE SON HOMONYME INTRIQUÉ QUELQUE PART ET NULLE PART DANS LA BEAUTÉ DU MONDE SUPRA-COHÉRENTISÉ HORS TEMPS ET HORS ESPACE D’UN MULTIVERS QUELQUE PART E TNULLE PART À LA FOIS, SUIVANT LES ALÉAS DE LIBERTÉ TE L’ÉMERGENCE DE RÊVES BIG BANG TELS QUE PRÉDIT PAR LA THÉORIE DES CORDES… LA TRICHERIE CONDAMNANT L’EXISTENTIEL À UNE VIE AXIOLOGIQUE ÉCRASANT DE SON MÉPRIS DES MILLIARDS DE VICTIMES FANTOMATIQUES, L’ERRANCE POÉTIQUE PASSANT D’ABORD PAR CELLE DE L’HUMANITÉ INSTITUTIONNALISÉE (L ANANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, LES DEUX ASSEMBLÉES DES JUSTES, 125 FEMMES, 125 FEMMES ) AVANT CELLE DES NANO-HUMAINS, LES QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART SUCCÉDANT HISTORIALEMENT À LA CINQUIÈME QUESTION: COMMENT NOS RÊVES BIG BANG (MULTIVERS) PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Le fil d’or du doctorat d enotre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette, se symphonise au travers de la règle des trois wow qui nous sur-humanisent depuis maintenant presque 12 ans à chacun de nos conseils d’administration de la créativité.

La théoritisation abductive  de nos dernières inventions paradgmatiques multiverses rend Michel et Marlene aussi fébriles que moi…

La nouvelle caméra arrivera Lundi et mardi… Michel a l’intention de produire un film rendant hommage à marlene et son jardin, comme symbole même d’une vie personnelle œuvre d’art consacrée à la beauté du monde en action et d’en témoigner en arrière de sa caméra à travers son amour œuvre d’art pour Marlene..

C’est à couper le souffle… Ce matin, nous étions tous les troisémus par la grandeur de nos recherches, la volonté de soulager la condition humaine, surtout celle de ces millions d’enfants se mourant de faim ou de blessures de guerre, et cela par une révolution nano-citoyenne-planétaire faisant de notre invention, la nano-citoyenneté-planétaire, un renversement des pouvoirs des états nucléaires et de leurs féodaux sur leurs personnes humaines enclavées dans des non-droits tissés d’errance acxiologique et fantomatique toxique.

en route vers l’institut dLintelligence artificielle du Québec puis vers le pris Nobel de la paix.

à suivre…

Pierrot vagabond

au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

QU’EST-CE QUE LA NON-TRICHERIE, PROPÉDEUTIQUE À L’ALGORITHME DE LA JUSTICE SOCIÉTALE «WOW-T=2.7K?»?…… C’EST L’APPLICATION TRANSCENDANTALE KANTIENNE, MAIS HORS TEMPS, HORS ESPACE DE LA THÉORIE DES CORDES FAISANT DE NOTRE CERVEAU UNE INTRI-K-ATION ONTI-K-ATIVE PRÉCÉDANT LA MISE EN FORME D’UN RÊVE BIG-BANG PAR RÉTROACTION HALLUCINANTE ENTRE NOS MÊMES (DAWKINS) ET CEUX ISSI=US D’AUTRES PARTIES INFINIES DU MULTIVERS, DANSANT EN FIGURES DE BROSSES D’ÊTRE ET ATTAQUES D’ÊTRE LA BEAUTÉ DU MONDE, ARC-EN-CIEN ENTRE QUELQUE PART ET NULLE PART COMME À L’ÉCHELLE NANO-PLANÉTAIRE TOUT CERVEAU EN ARRIVE À SE PERCEVOIR PARADIGMATIQUEMENT COMME UN ASTRONAUTE FLOTTANT DANS L’INFINI DE SON CORPS POST-ASTRAL…LE TOUT ÉTANT CONTENU COMME DES POUSSIÈRES D’INFINI DANS UN SIMPLE POINT D’EXCLAMATION EN DIALOGUE AVEC CHAQUE POINT D’INTERROGATION DEVENUE DANS LA NANO-MODERNITÉ L’OREILLE MÊME D’UN 2.7K DE MILLIARDS ET DE MILLIARDS DE RÊVES BIG-BANG EN QUALIS ÉTERNELS

Quelle nuit, mais quelle nuit de recherche lumineuse… Cela fait des mois et peut-être des années que je parcours la littérature de l’humanité vacillante entre son antiquité, son moyen-âge, sa modernité et sa post -modernité pour me rendre compte que LE`MOTIF DE LA NON-TRICHERIE n’obtient aucune assise méthodologique, épistémologique autant qu’ontologique ou ontique, faisant de toute métaphysique, mythologie, th.ogonie ou théologie, un abime de point de suspension sous formes de conventions aléatoires mais favorisant un vivre ensemble fait de précarités existentiales autant qu’existentielles.

Je savais en post-blogue ( dans sa troisième version glossairique celle par chapitre succédant aux deux autres, par thèmes et par ordre alphabétique) que le vagabond céleste fut un homme qui marcha pas ses brosses d’être et ses attaques d’être de l’univers de la condition humaine fantomatique et axiologique, au multivers, origine quanto-cosmologique même de l’errance poétique sur terre.

Mais, lorsque je réalisai que mon cerveau était UN ASTRONAUTE FLOTTANT DANS L’INFINI DE SON CORPS, je vécu une abduction constructiviste big bang au sens où je me rendis compte que mon cerveau-astronaute était exactement constitué comme analogiquement la théorie des cordes prédit et l’avant big bang et par l’accélération du big bang de notre univers, une immense matière noire porteuse d’un multivers énigmatique autant que de trous noirs hologrammiques…

Cette nuit… j’ai peu dormi… le -t (la non-tricherie) propédeutique au -t de la formule «wow-t=2.7k?» issue du champ constellaire convoqué par le ier-t, tenait en fait sur une assertion axiomatique que je décrirais un peu sous ces mots.

LE CERVEAU D’UNE NANO-PERSONNE HUMAINE-PLANÉTAIRE se veut un espace intri-k-atif autant qu’onti-k-atif dès que la décision de ne plus tricher fait émerger un champ constellaire.. et bien plus… l’intri-ka-tion multiversienne donne à la décohérence quantique un renversement cohérentique stupéfiant… au sens où ce que l’on perçoit de la réalité perd de son misérabilisme fantomatique ou axiologique pour déguster béatiquement  les qualias reliés à l’errance poétique, champ ontographique textural autant que tessural d’une incroyable onti-k-ation multiversienne.

Qu’Est-ce que la non-tricherie? Elle est un résultat provenant d’un champ constellaire à l’intérieur duquel le cerveau sort du cerveau-cuve (comme un poisson rouge dans l’eau) pour entrer dans une zone 2.7k? de dialogue inter-multivers similaire à un astronaute flottant dans l’espace infini…

Le monde transcendantal, ocntrairement à ce que pensait Kant se vit hors espace, hors temps, au paradis épistémologique même prédit par la théorie des cordes donnant accès à l,avant bib bang par le codage inscrit et aux abords de tout trou noir et dans le splis mêmes du bruit de fond de notre big bang originaire..

LA NON-TRICHERIE DEVIENT DONC UNE VOIE NOUS PERMETTANT D’AVOIR ACCÈS AUX POÉSIES DU MULTIVERS EN INTRI-K-ATION PARTOUT ET NULLE PART DANS LES FORMES DANSANTES DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

Wow-t=2.7k? en étant l’algorithme fondateur de l’onti-ka-tion intri-kative multiversienne  du 21eme siècle  tout comme e=mc2 fut celui de la science quantique du 20eme siècle.

à suivre…

ARCHIVES SUR LE PASSAGE D ELA NOTION D’UNIVERS… À CELUI DU MULTIVERS… PAR LE «WOW-T=2.7K?»

2263, *****

…(CAMIONNEUR) LE NUIT ET JOUR D’UN CHERCHEUR UNIVERSITAIRE POUR CONTRIBUER PAR UNE INVENTION , ET CELA EN ÉQUIPE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) D’UNE INSTITUTION MULTIVERS DONT L’INTRINSÈQUE SE JUGERA PAR LE SOULAGEMENT DE LA CONDITION HUMAINE PARTOUT SUR TERRE… ET EN CE SENS, LA CHANSON DU CAMIONNEUR EN FUT UNE ÉTIQUETTE FER-DE-LANCE D’UN RÊVE BIG-BANG AUX DIMENSIONS INOUIES….MOI JE VIS JUSTE POUR TOÉ J’AI HÂTE À FIN DE SEMAINE… J’T’AIME… TOUTE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SURGIT DE CETTE SIMPLE PHRASE ISSUE DES LÈVRES DE CE CAMIONNEUR INCONNU

AUGUST 4, 2018

Je vais avoir 70 ans…étant né le le 12 décembre 1948… Je suis passé de chansonnier fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal à créateur de numéros issus d’un mémoire de maîtrise universitaire sur le rire par le biais du duo Rochette-Lamarre, pour aboutir au vagabond céleste… tout ça parce qu’à 20 ans, un rêve big bang de représenter le Canada au japon en 1970 suite à Expo 67 s’était réalisé après avoir gagné le championnat nors-américain des groupes folkloriques collégiaux…. Nous devions faire Ed Sullivan show… mais il est mort dans l’année ….. Le 1000 pages philosophique «monsieur 2.7k» en fut l’apogée aporitique d’une question impossible… Comment passe-t-on d’un rêveur à un rêveur big-bang dans une existence si courte à l’échelle du multivers cosmologique? Quand l’humanité entière y trouvera-t-elle le sens de la dignité existentielle à laquelle elle a droit?

Toute une vie fut consacrée à me questionner sur le sens d’une existence réussie intrinsèquement…. hors temps, hors réalité, hors servitude…. hors race, hors langue hors religion…..

Il en est issu finalement une étiquette rhizomique… le rêve big-bang par quatre questions à nature virale
1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

L’onto-plurivers d’une conscience nano-citoyenne-planétaire ployant majestueusement sous la pression des obstacles anthropocènes que doit affronter la race humaine au 21eme siècle donne une valeur inoui à ce que Peirce appelait: les quali. Et comme le traduisent ces simples mots de la chanson du camionneur…. les qualis sans la danse des quantis étant inaccessibles à l’espèce en mode survie.

MOI JE VIS JUSTE POUR TOÉ
J’AI HÂTE À FIN DE SEMAINE
J’T’AIME….

Au restaurant chez Annick où je dormais sur un congélateur au lac à Beauce, ce camionneur qui parlait fort, seul à sa table en déjeunant à 4h.30 du matin après avoir dormi dans le parking… m’a survolté de quête conceptuelle.

Je n’avais qu’une guitare à l’époque pour saisir et signifier son fondement axiomatique quali sous ses mots, mais je ressentais l’universel traverser toute ma pauvreté.

C’était l’hiver… La nuit, je marchais le long de la route pour m’entraîner afin de marcher jusqu’au Yukon… Les camionneurs disaient dans leur c.b. … Tabarnake, c’est le quêteux du Lac à Beauce… j’ai manqué de l’écraser hostie… Kou donc… y est pas supposé d’écrire une chanson sur nous autres lui?
Je vivais l’impossible,,, j’étais un archétype, le vagabond céleste, divorcé de ma personne humaine parce que la lourdeur de la contextualisation psycho-sociale l’empêchait de dialoguer avec le 2.7k?

Mais quand je me suis aperçu que par le conteur international Simon Gauthier, mon archétype avait divorcé de moi sans m’avertir, se promenant d’une scène à l’autre à travers toute la francophonie, j’en ai vécu un véritable deuil…

Je n’étais plus ni chanteur, ni une personne humaine, ni un compositeur…. C’est dans ce contexte que je suis devenu chercheur, sans corps, sans spiritualité, sans attache….

Depuis deux semaines, Marlene et Michel sont partis en vacance à leur maison secondaire… En leur absence, les objets de l’appartement me hantent de leur utilitaire, je vis donc hors de cet appartement n’y rentrant à la sauvette que pour y retrouver mon plancher de la salle de couture…. J’y entre le plus tard possible et en repars le plutôt possible….

Je suis devenu ces milliards d’enfants morts de faim ou de blessures de guerre et qui sortent de leur tombe pour réclamer leur droit à une vie personnelle œuvre d’art…

Ce blog, finalement, c’est simplement une poïétique au jour le jour pour ne pas perdre le fil constructiviste radical dont j’ai besoin pour la cinquième question , fondement axiomatique de tout pays œuvre d’art au 21eme siècle:

5- COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Pierrot vagabond

SORTIE SPATIALE DE DAVID ST-JACQUES, C’ÉTAIT DE L’OR, C’ÉTAIT DE LA PURE JOIE

Sortie spatiale de David Saint-Jacques: «C’était de l’or, de la pure joie»

<p>Philippe Mercure</p>

Son sourire au moment de retirer son casque n’avait laissé aucun doute : l’astronaute québécois David Saint-Jacques a savouré chaque minute de la sortie spatiale qu’il a réalisée lundi. Hier, lors d’une conférence de presse donnée de la Station spatiale internationale, il a décrit un exercice aussi éprouvant qu’un marathon, mais qui l’a tant enthousiasmé qu’il a peiné à dormir la nuit suivante. Retour sur sa sortie en cinq mots.

Clin d’oeil

David Saint-Jacques se souviendra toujours du moment où il a émergé du sas de la Station spatiale internationale pour flotter librement dans l’espace pour la première fois. Anne McClain, sa collègue américaine, était sortie avant lui et l’y attendait. « C’était la nuit, a raconté hier l’astronaute de la Station spatiale internationale. On ne voyait pas vraiment la Terre, mais c’était le lever du Soleil. Je commençais à voir la ligne bleu, rouge, orange, avec la courbe de la Terre à l’horizon. Anne avait un grand sourire et m’a fait un clin d’oeil. J’ai compris que j’étais rendu là, qu’on était dans l’espace. Cette image-là est restée imprimée dans mon esprit et je pense qu’elle ne va jamais s’effacer. »

Miracle

David Saint-Jacques a utilisé à quelques reprises le mot « miracle » pour décrire le fait de flotter dans le vide spatial, alors que seule la paroi de son scaphandre le séparait de cet environnement hostile. Pendant la conférence de presse, l’astronaute a d’ailleurs exhibé sa combinaison, qui flottait à côté de lui, pour en montrer les différents éléments. Attaché à l’un des bras se trouvait un carnet contenant des instructions… et des photos de sa famille.

« Il y a un sentiment d’humilité de se sentir en vie par miracle dans un environnement pareil, a-t-il dit. C’est comme si l’esprit humain arrivait à aller au-delà de la fragilité par sa créativité, son inventivité. J’ai trouvé ça touchant de me retrouver, petit satellite de conscience humaine, en orbite autour de la Terre, dans l’espace, maintenu en vie grâce au génie humain, à la collaboration internationale immense qui est derrière ça. Ça me rendait fier de ce qu’on peut accomplir, les êtres humains, quand on se met à la tâche. »

Avec une plaque de batterie à déplacer, un... (PHOTO RYAN REMIORZ, LA PRESSE CANADIENNE) - image 2.0

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Avec une plaque de batterie à déplacer, un système de communication à installer, un circuit électrique à brancher et une plateforme extérieure à installer, David Saint-Jacques avait un horaire particulièrement chargé pendant sa sortie.

PHOTO RYAN REMIORZ, LA PRESSE CANADIENNE

Joie

Avec une plaque de batterie à déplacer, un système de communication à installer, un circuit électrique à brancher et une plateforme extérieure à installer, David Saint-Jacques avait un horaire particulièrement chargé pendant sa sortie.

« Chaque moment est chorégraphié et déterminé d’avance. On a plein de travail à faire et nulle part dans la séquence il n’y a de blocs pour la philosophie. Mais on prend le temps de regarder autour et d’absorber ça. Honnêtement, je suis sûr que ça va me prendre encore des semaines, des mois, peut-être des années à absorber l’expérience. J’ai eu quelques moments de lucidité entre deux tâches, deux connecteurs ou deux déplacements », a-t-il raconté. « La sortie d’avant-hier, pour moi, c’était de l’or, a-t-il ajouté. C’est du travail dur, mais, en même temps, de la pure joie. »

Fatigue

En matière de dépense énergétique, David Saint-Jacques a comparé une sortie spatiale à un marathon. Il a toutefois trouvé l’expérience plus facile que lors des entraînements en piscine, au cours desquels il devait combattre la résistance de l’eau.

« Dans l’espace, on bouge plus librement, a expliqué l’astronaute. On a l’air d’aller très lentement, mais il y a une grande tension interne parce qu’on veut contrôler nos mouvements. Mais c’est surtout psychologiquement que c’est épuisant. Même si c’est fantastique comme expérience, on a une grande sensibilité au fait que c’est très dangereux. Notre subconscient se rend bien compte qu’on est dans un environnement absolument extrême, qu’on est là un peu par miracle, en fait. Ça finit par être un peu fatigant. »

« Il y a comme une vague d’énergie presque cachée, et on se découvre des capacités qu’on ne pensait pas avoir quand on est tellement enthousiaste », a-t-il aussi dit.

Il avoue avoir ressenti un certain vertige en voyant la Terre tourner sous lui. « La première fois, il a fallu que mon esprit s’ajuste. La raison a pris le dessus pour dire : c’est correct, tu es en orbite toi aussi, tu ne vas pas tomber », a-t-il raconté.

Il dit s’être retrouvé « dans un drôle d’état » en regagnant la Station spatiale internationale après 6 heures et 29 minutes à l’extérieur. « J’étais très heureux de l’expérience, mais j’étais dans un tel état d’adrénaline que ç’a été difficile de dormir cette nuit-là, même si j’étais fatigué », a-t-il dit.

Confortable

Maintenant parvenu aux deux tiers de sa mission d’un peu plus de six mois dans l’espace, David Saint-Jacques a dit s’être tellement habitué à vivre en apesanteur qu’il en vient à considérer sa vie comme normale.

« Au début, c’était incroyable de se sentir à bord de la Station. On avait constamment conscience du danger qui nous entoure. […] Mais l’esprit humain est comme ça : on s’habitue. Maintenant, on pense à l’intérieur de la Station comme l’endroit le plus sécuritaire que l’on connaisse », a-t-il dit.

Il reste pourtant encore beaucoup de boulot à accomplir à bord, dont de nombreuses expériences scientifiques et la capture des vaisseaux-cargos à l’aide du bras canadien. David Saint-Jacques a aussi parlé de son retour sur Terre, prévu pour juin, comme l’un des moments les plus dangereux de toute sa mission.

« C’est facile d’être complaisant, d’oublier le danger qui nous entoure, a-t-il souligné. Il faut rester à l’affût. Le défi est d’en profiter et de ne pas baisser la garde. »

ARCHIVES… LE CHANSON DU CAMIONNEUR PAR LES TROIS WOW DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

LA CHANSON DU CAMIONNEUR, NOS RÉFLEXIONS À LA RECHERCHE D’UN WOW ET NOTRE MÉTHODOLOGIE ARGUMENTATIVE EN ÉQUIPE DANS LE RESPECT D’UNE DISCUSSION ARGUMENTATIVE RATIONNELLE
MARCH 28, 2018
Ce que j’aime de notre équipe de recherche, c’est le respect que l’on s’accorde tous les trois quand à nos règles du jeu.

1) bien sûr que, dans chacun nos domaines (la recherche (Pierrot), le sound jugement (Marlene) et la publication (Michel) , chacun possède la dernière décision, mais cette dernière décision par chacun de nous ne fut jamais utilisée, la soif D’UN WOW qui nous surprennent tous les trois nous apportant une réelle joie de vivre…. et cela quotidiennement.

2) Bien sur que dans nos conseils d’administration de la créativité, nous ne tentons pas d’utiliser ce que j’appellerais de LA MAUVAISE RÉTHORIQUE POUR GAGNER NOTRE POINT, mais plutôt une confiance inébranlable à trouver une solution inventive qui NOUS FERA WOW À TOUS LES TROIS.
Et en ce sens, notre recherche du wow en équipe respecte les lois de l’argumentation vraie pour un dialogue qui ne triche pas entre nous.

L’horizon événementiel qui surgit soudainement à cause de la chanson du camionneur, nous oblige à une réflexion approfondie sur les effets versus l’ensemble de notre démarche.

Michel et moi considérons nos chansons réciproques comme un hymne à l’amitié et le pool commun dans lequel ces chansons sont inclues nous rend solidaires de NOTRE RÊVE EN ÉQUIPE:

Le wow de notre équipe de recherche à partir de la chanson du camionneur demeure l’enjeu de la charte de la nano-citoyenneté-planétaire, les droits dérivés issus des 150 heures vidéographiées depuis 10 ans, la chanson du camionneur faisant partie intrésèquement d’un tout.

Ca prend un vrai wow à trois
pour la suite des choses.
nous prendrons le temps de le rechercher
dans des règles de jeu
démocratiques
qui nous ont rendus si heureux
jusqu’à aujourd’hui.

L’idée est de rendre tout le monde heureux… sans concession à l’intelligence rationnelle d’une démarche désintéressée pour le bien commun de tous… et ce tout le monde prend en considération la vision de la chanson du camionneur de nos deux amis artistes.

MES 18 ANS DE CARRIÈRE À L’AUBERGE LA CALÈCHE AVEC L’ÉLÉGANTISSIME DENIS LAMARRE DE NOTRE DUO ROCHETTE, LAMARRE… FUT CONSACRÉ À UNE MAÎTRISE SUR LE RIRE PAR LA CRÉATION DE NUMÉROS ORIGINAUX DE BURLESQUE, APPUYÉE SUR UNE CONNAISSANCE THÉORITIQUE POINTUE DES LOIS DU BURLESQUE, AUTANT AMÉRICAIN QUE QUÉBÉCOIS.

1308,
(BURLESQUE) LE BURLESQUE QUÉBÉCOIS A PRODUIT UN AUTHENTIQUE GÉNIE COMIQUE…. LA POUNE… DIXIT JEAN-CLAUDE GERMAIN
MAY 21, 2016

Le burlesque québécois et américain
textes inédits
Chantal Hébert
centre de recherche en littérature québécoise
préface
Jean-Claude Germain

Dans le sketch de Bye Bye 70 qui l’a hissé à tout jamais au rang d’un mythe, Olivier Guimond campe un soldat de l’armée canadienne. Nous sommes pendant la crise d’octobre et le troufion Tizoune fait les cent pas devant la maison d’un riche anglophone de Wesmount qui pourrait aussi bien être un francophone d’Outremont. A l’instar de l’agent secret canadien-français IXE-13 qui, en fin de carrière, écopait de la mission honteuse de pourchasser les premiers séparatistes, le rejeton de Ti-coq et de Joseph Latour d’Un simple soldat a hérité, en fin de lignée, d’une tâche tout aussi ingrate, celle de protéger les nantis.

C’est la veille de Noël et le maître de la maison quitte un instant ses invités pour offrir un remontant au soldat qui monte la garde devant sa porte. Flatté par l’attention qu’on lui manifeste, Tizoune rinque volontiers avec son hôte et, de fil en aiguille, il lui confie que, d’où ils se tiennent, on peut apercevoir le quartier populaire Saint-Henri, dont on distingue les lumières au loin, en bas de la côte. Un dernier verre, une dernière claque dans le dos, puis le bourgeois retourne à son réveillon, laissant derrière lui un soldat éméché aux prises avec un escalier qui n’arrête plus de se dérober sous ses pieds – un numéro qu’OLIVIER GUIMOND A MIS UNE VIE À PARFAIRE.

En un raccourci saisissant, du moins si on adopte le point de vue du haut de la côte, c’est toute la relation du burlesque et de la bonne société qui se trouve résumée dans ce sketch. Pour l’élite québécoise, comme pour Radio-Canada qui en a été jusqu’à tout récemment l’expression fidèle, on peut certes frayer avec le comique populaire sur le bord de la porte, sur le perron, sur le trottoir, dans la rue, mais il n’est pas question de l’inviter à l’intérieur d’une maison où il va de soi que les fêtes se déroulent derrière les portes closes, entre gens de même éducation. Le burlesque n’a-t-il pas été de tout temps UNE SOUS-CULTURE DES NON-INSTRUITS ET LES VALETS DE COMÉDIE, DES CARICATURES DE LEURS MAÎTRES? De même, la culture instruite ne s’attend-elle pas à voir la culture populaire perdre pied et s’aplatir devant elle comme le p’tit gars de Saint-Henri devant la porte que Wesmount lui ferme au nez?

D’en bas, la perspective est différente, et si on rêve d’aller à la fête d’en haut, c’est pour y semer la zizanie. La fonction première du comique populaire, comme le démontre Chantal Hébert dans son livre EST DE CONTESTER L’ORDRE ÉTABLI AU NOM DE L’ANARCHIE. Le rire burlesque n’a qu’un but: avoir le dessus, même temporairement, sur l’autorité paternelle, politique, judiciaire, policière ou morale. Et pour y parvenir, tous les moyens sont bons.

Le comique populaire n’est pas mal élevé par manque d’éducation, mais bien par esprit de provocation. Son innocence est toujours feinte, mais jamais son impertinence, son impudence et son impénitence.
Dans l’esprit du burlesque, l’épouse trompée, par exemple, n’est l’objet d’aucune compassion. Dans un sketch truculent que Chantal Hébert a retrouvé pour notre plus grand plaisir, LA POUNE interprète une «guidoune» qui revient sur les lieux du crime. Négligeant la présence de la légitime avec un SANS-GÊNE MAGNIFIQUE, elle récupère les «caneçons» qu’elle a égarés quelques heures auparavant derrière le sofa lors d’un échange qu’on ne peut plus explicite avec le mari. C’est la loi du genre que de laisser la bienséance, les bonnes mœurs et le bon goût au vestiaire. Pour être admis au cénacle, les adeptes DU RIRE GRAS se doivent de déboutonner mentalement leurs braguettes ou de dégrafer leurs soutiens-gorge.
Du vivant d’Olivier Guimond, un grand nombre de comédiens et de comédiennes de théâtre admiraient sincèrement son talent comique. En même temps, la plupart d’entre eux rêvaient de le voir jouer un «vrai» rôle dans une «vraie» pièce, préférablement un classique, ce qui, dans leur esprit, aurait eu pour effet non seulement de confirmer ledit talent mais également de l’ennoblir.

Or le burlesque n’est pas un art noble: c’est un art populaire qui ne recule pas devant la grossièreté et la vulgarité pour faire rire. D’ailleurs, quand il s’assagit, IL MEURT. Ou il devient autre chose, la plupart du temps du théâtre, comme les nazzis des acteurs de la commedia dell’arte sont devenus des pièces de Molière. Il n’y a qu’une façon d’accorder au comique populaire ses lettres de créance, c ‘est de l’accepter tel qu’il est.

C’est précisément le propos de Chantal Hébert: étudier le burlesque dans son contexte, sans le trahir ni le magnifier. L’auteure a écrit un livre savant d’où le burlesque québécois sort grandi parce qu’il n’est pas comme on le croyait une pâle copie du burlesque américain, mais bien UNE CRÉATION AUTOCHTONE, dont l’originalité indéniable tient à une particularité: son public, contrairement à celui des États-Unis qui est masculin, est composé, encore aujourd’hui (1989) majoritairement de femmes.
LA CONTRIBUTION DU BURLESQUE À L’ÉVOLUTION CULTURELLE DU QUÉBEC n’est donc ni mineure ni inexistante, comme on le supposait, mais bien majeure, et ce n’est pas le moindre mérite de l’ouvrage de Chantal Hébert que de nous l’avoir révélé. Elle est majeure parce que le COMIQUE POPULAIRE proposait, dès 1930, une bonne partie DES CHANGEMENTS DE MOEURS qui devaient attendre les années soixante pour s’imposer. Elle est majeure aussi parce qu’en plus d’interprètes de grand talent tels que Tizoune père, Olivier Guimond fils, Juliette Pétrie, Manda et Gilles Latulippe, le burlesque a produit UN AUTHENTIQUE GENIE COMIQUE: LA POUNE. Elle est majeure encore parce qu’à cette époque où le théâtre était toujours au ruralisme du Prespytère en fleurs de Léopold Houlé, le burlesque s’avérait résolument QUÉBÉCOIS, MODERNE ET URBAIN.

LE PÈRE LEGAULT ET LA POUNE SONT QUÉBÉCOIS TOUT COMME ESCHYLE ET ARISTOPHANE ÉTAIENT GRECS, mais, dans un cas comme dans l’autre, ils ne mangent pas à la même table. Eschyle , à la rigueur, aurait pu s’encanailler à la table d’Aristophane en oubliant, le temps d’un repas, qu’il était Eschyle. De la même manière, l’élite québécoise se permettait à l’occasion d’assister à un spectacle de La Poune en prenant toutefois la précaution d’oublier, le temps d’une soirée, qu’elle était bien-pensante.
Aristophane, en revanche, ne pouvait jamais oublier qu’il était Aristophane. Le burlesque est depuis toujours UN BRAS D’HONNEUR AU POUVOIR ÉTABLI, CELUI DE L’ETAT COMME CELUI DE L’EGLISE ET CELUI DU THEATRE. La richesse du rire du burlesque, c’est tout ce que les tenants du pouvoir politique reproches encore aujourd’hui AUX PAUVRES; la paresse, la ruse, la liberté sexuelle, le désordre et l’anarchie. Et cette richesse-là, il semble bien que le burlesque québécois en ait fait bon usage!

Jean-Claude Germain
dramaturge

sur Google
Pierrot vagabond

COMME LE DIT SI BIEN MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE MICHEL LE CONCIERGE… QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE FRÉQUENTER L’UNIVERSITÉ ET LA MULTIVERSITÉ?… SIMPLEMENT D’AVOIR ACCÈS À UNE COUCHE D’INTELLIGENCE SUPÉRIEURE SANS AFFECTER L’ENSEMBLE DES INSTITUTIONS DISPONIBLES.

Encore un merveilleux conseil d’administration de la créativité ce matin. J’ai commencé par introduire Michel à toutes ces nouvelles inventions théoritiques argumentatives que me permet mon nouveau lieu de travail… Un local 24 heures où je puis enfin redevenir un anonyme chercheur consacré à la beauté du monde… Je ne ressens plus l’inconfort relié à la reconnaissance sociale qu’on tente ici et là de m’inonder… Pour moi, la renommée ou la reconnaissance sociale pressurante ressemble à la situation d’un chercheur faisant du camping sauvage pour mieux protéger son cerveau et qui occasionnellement est affecté par des mouches trop nombreuses.

Je fuis systématiquement les baptêmes, les mariages, surtout les enterrements et encore plus les colloques de toutes sortes et encore, encore, encore plus les commémorations reliées à mon ancien métier de chansonnier…. Ce n’est pas que j’ai horreur des gens, mais j’ai surtout horreur de perdre l’intensité architectonique que demande une pensée abstraite de haut niveau, ne fusse que 5 minutes…

La situation dont j’ai le plus horreur est celle où soudainement on me demande. Et vous, que faites-vous dans la vie?

Juste parler de mes recherche à un autre chercheur m’épuise… Comme mes enjeux ne sont pas les siens, sa reconnaissance comme la mienne à son égard ne fait qu’alourdir l’essaim de mouches dans mon terrain de camping.

Mon seul regret, si j’avais à recommencer ma vie, serait de ne pas être placé immédiatement en état de béatitude dans l’invention et l’adéploimentriserie de l’émergence des formes reliées au multivers quanto-cosmologique.

Ceci dit, comme Michel a un cerveau d’un grand synthétisme qui m’impressionne… Je lui disais ce matin que grâce à ma journée de travail hier, je pouvais maintenant resserrer le corsetage de mon cadre théoritique du chapitre 2 sur «wow-t=2.7k?» simplement en m’appuyant sur les nouvelles découvertes des cosmologistes concernant L’INTRI-K-ATION, la dé-K-ohérence, et l’hollogrammie de la matière quanto-cosmologique…. menant à la paradigmatisation du multivers sur toute multi-vie-personnelle-œuvre d’art.

Quelle joie… Marlene s’est levée… la nouvelle caméra arrive lundi du Japon… notre doctorat -trois peintres intriqués par la règle des 3 wows va pouvoir, à son tour, inventer instutionnellement la magie du Kosmos par la nano-citoyenneté-planétaire

à suivre…

Pierrot vagabond

LES TROIS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND) PEUVENT AVOIR UN RÊVE BIG BANG PARCE QUE LEUR NON-TRICHERIE PAR LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» LEUR DONNE ACCÈS AU MULTIVERS DANS SA FORME HOLOGRAMMIQUE, AU SENS OÙ TOUT CET ONÉRISME BIG BANG NE SERAIT FINALEMENT QUE LA BEAUTÉ DU MONDE SOUS SA FORME ENCODÉE, COMME LE SONT LES HOLOGRAMMES DANS LEUR FORME ENCODÉE SUR UNE PELLICULE. DE LÀ LA RÉVOLUTION DE LA DÉCOHÉRENCE INVERSÉE SOUS SES FORMES QUANTO-COSMOGONIQUES MULTIVERSELLES D’UNE HUMANITÉ EN FORME D’INOUI

SUR YOU TUBE
la magie du cosmos,
2/4
qu’Est-ce que l’espace HD

extrait du texte

Notre conception de l’espace a connu une incroyable évolution. A l’époque de Newton, l’espace n’était qu’un contenant. Il ne faisait rien. Avec Einstein, il a commencé à influer sur le déplacement des objets. Ensuite, avec Casimir, les objets ont pu être littéralement poussés par l’activité qui se déploie dans l’espace vide. Et aujourd’hui, avec les idées de Higgs et L’ÉNERGIE NOIRE, l’expansion de l’univers pourrait être due à l’énergie même de l’espace vide.

Je pense que personne n’aurait pu croire que l’espace aurait un impact aussi riche et aussi profond SUR LA NATURE DE LA RÉALITÉ.

Malgré toutes ces avancées, les voyages entamés avec la vision newtonnienne de l’espace comme une sorte de scène figée n’est pas terminée.

En étudiant plus attentivement la structure du cosmos, on pourrait y trouver des surprises bien plus nombreuses que quiconque aurait pu imaginer. Tenez, moi par exemple, je parais bien réel, n’est-ce pas?    Oui, mais de nouveaux indices SURPRENANTS  semblent indiquer que, tout, vous et moi, et même l’espace, pourraient être en fait, UNE SORTE D’HOLOGRAMME.

C’est-à-dire que tous ce que nous voyons et nous ressentons, tout ce que nous appelons notre tri-dimentionalité familière pourrait être une PROJECTION D’INFORMATIONS STOCKÉE SUR UNE BI-SURFACE BI-DIMENTIONNELLE TRÈS LOINTAINE. C’est un peu comme ces informations d’hologramme sont stockées sur cette fine feuille de plastique.

Les hologrammes sont quelque chose que nous connaissons tous. Ils sont utilisés comme dispositifs de sécurité sur nos cartes de crédit.

MAIS L’UNIVERS, UN HOLOGRAMME?

C’est sans doute la remise en question la plus incroyable de notre  remise en question de l’espace et de la réalité. Et cette idée s’inspire de certains des objets les plus étranges de l’espace… LES TROUS NOIRS.

C’est une vraie rupture et c’est très difficile à appréhender. Les données livrées par les trous noirs indiquent que LA RÉALITÉ EST BI-DIMENTIONNELLE.  Que le monde tri-dimentionnelle es tune sorte d’image d’un hologramme située à la frontière de l’espace.

C’est très étrange. Plus jeune j’aurais pensé que seul un fou pourrait émettre pareille idée.

Voici comment je pourrais représenter la chose. Imaginez que je prends mon portefeuille et que je le lance dans un trou noir. Que se passerait-il? Avant, on pensait que, puisque rien, même la lumière ne peut échapper à la gravité d’un trou noir, mon portefeuille serait perdu à jamais. Mais il semble à présent que c’est peut-être plus compliqué que ça. Récemment, en étudiant les équations mathématiques qui décrivent les trous noirs, on a fait une curieuse découverte.

Lorsque mon portefeuille disparaît dans le trou noir, IL SEMBLE QU’UNE COPIE DE TOUTES LES INFORMATIONS QU’IL CONTIENT SOIT ÉTALÉE ET STOCKÉE À LA SURFACE DU TROU NOIR, un peu comme les données enregistrées  dans un ordinateur.

Ainsi au final, mon portefeuille existe AUX DEUX ENDROITS.  Il y a une version tridimentionnelle qui est perdue à jamais à l’intérieur du trou noir et une version BIDIMENTIONNELLE QUI RESTE À LA SURFACE, SOUS FORME D’INFORMATION. Mais le contenu informationnel, tout ce qui est tombé à l’intérieur du trou noir, peut être intégralement exprimé sur la surface du trou noir.

L’idée est donc , qu’on peut savoir ce qui se passe à l’intérieur, rien qu’en se référant à l’extérieur. En théorie, je pourrais utiliser les informations qui sont à l’extérieur du trou noir POUR RECONSTITUER MON PORTEFEUILLE.

Mais voilà où ça devient vraiment fascinant. L’espace à l’intérieur d’un trou noir obéit aux mêmes règles que l’espace à l’extérieur d’un trou noir, ou partout ailleurs. Donc si on peut décrire un objet à l’intérieur d’un trou noir grâce aux informations stockées à la surface,

IL SE POURRAIT QUE TOUT DANS L’UNIVERS , LES GALAXIES, LES ÉTOILES, VOUS ET MOI, ET MÊME L’ESPACE NE SOIENT QU’UNE PROJECTION DES INFORMATIONS STOCKÉES SUR UNE LOINTAINE SURFACE BIDIMENTIONNELLE QUI NOUS ENTOURE.

Autrement dit, ce que nous prenons pour la réalité, pourrait être une sorte d’hologramme. Le monde tri-dimentionnelle est-il une illusion, d ela même façon qu’un hologramme est une illusion? Peut-être, je suis enclin à penser que oui, que le monde tri-dimentionnel es tune sorte d’illusion et que la vraie réalité est la réalité bi-dimentionnelle à LA SURFACE DE L’UNIVERS.

Cette idée est si nouvelle que les physiciens en sont encore à essayer de la comprendre. Mais si elle est exacte, de même que Newton et Einstein ont transformé notre notion de l’espace, nous pourrions être à l’aube d’une révolution encore plus extraordinaire.

Pour un élément aussi essentiel de notre vie quotidienne, il est partout autour de nous, mais nous sommes encore loin d’avoir découvert sa véritable identité. Ca prendra peut-être cent ans ou mille ans, pour résoudre ce mystère, mais on aura fait un pas de géant pour comprendre la structure du cosmos.