PAR LE BIAIS DE NOUVELLES NOTIONS ÉPISTÉMOLOGIQUES-MÉTHODOLOGIQUES (LA BLOGUÏÉTIQUE, LES ABJETS, LES TRANSMAGES ET LES MULTIVERSQUALIS), NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) TOUT EN MÉTAMORPHOSANT LES ENFANTS-ERRANTS-FANTOMATISÉS EN RIVIÈRE ST-MAURICE, RENDRA HOMMAGE À UN GRAND AMOUR OEUVRE D’ART SUR LES DEUX BERGES DE L’INVENTION-RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ…. MARLENE LA JARDINIÈRE JARDINANT LA BEAUTÉ DU MONDE SUR LA RIVE DE GAUCHE ET MICHEL LE CONCIERGE JARDINANT LA PHILOSOPHIE D’EN BAS PAR LA NON-TRICHERIE SUR LA BERGE DE DROITE, LES DEUX VIDÉANCES PRODUISANT AU-DESSUS DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE DE LA CONDITION HUMAINE UN ARC-EN-CIEL AMOUR OEUVRE D’ART DONNANT ESPÉRANCE À TOUTE HUMANITÉ REFUSANT LA BILLOTERIE DE L,ENFANCE CRIMINELLEMENT ABIMÉE PAR L’HOBBES-IA-TION DES 193 ÉTATS ONUSIENS

8 : RIVIÈRE KHA-RYPTÉE LE DOCTORAT De NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) SERA UNE RIVIÈRE «KHA-RYP-TÉE» DE L’HISTOIRE D’UNE INVENTION POUR SOULAGER LA CONDITION HUMAINE MISÉRABLE DES MILLIONS D’ENFANTS-ERRANTS-FANTOMATISÉS DE LA PLANÈTE, ALORS QU’À PARTIR DES DEUX BERGES DE LA RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, SERA DESSINÉ UN ARC-EN-CIEL AMOUR OEUVRE D’ART ENTRE UN VRAI HOMME HOLOGRAMMIQUE (MICHEL LE CONCIERGE) ET UNE VRAIE ÂME HOLOGRAMMIQUE (MARLENE LA JARDINIÈRE)

APRIL 27, 2019

Cette nuit, tout le design crypté de notre doctorat m’est apparu d’une grande clarté obscure….
Il était impossible de se baigner dans la rivière St-Maurice de mon enfance dans la pureté héraclienne de l’étonnement brosses-d’être-attaques d’être ( on ne se baigne jamais 2 fois dans le même fleuve).
Bien plus, toute la rivière de mon enfance était encombrée de billots qui descendaient du moulin à papier de La Tuque à Trois Rivières.

Maintenant la nuit, j’y vois les billots du St-Maurice devenus pour moi les débris de la connaissance servant scandaleusement de bouée de sauvetages illusoires à de millions d’enfants-errants fantomatisés, finissant par se noyer d’épuisement, de faim, de blessures de guerre.

C’est là que Pierrot, monsieur 2.7k? accroché lui aussi à un billot de l’humanité errante passe ses nuits et jours à descendre la rivière des impossibles, en coureur des bois, en vagabond céleste, s’acharnant à inventer ce qui n’existe pas encore… la nano-citoyenneté-planétaire…

Voilà pourquoi tout le 600 pages du centre est profondément crypté POUR NE PAS ÊTRE LU à moins de SOUHAITER être initié par l’algorithme de justice sociale: (wow-t=2.7k?) , cadeau offert à toute personne humaine qui refuse de tricher ( donc qui respecte en elle la liberté de faire de sa vie personnelle une œuvre d’art au service d’une humanité œuvre d’art en devenir) provoquant ainsi le jaillissement et d’un champ constellaire et d’un rêve big bang AU SERVICE D’UN RÊVE BIG BANG DE L’HUMANITÉ EN DEVENIR.
Et cette nuit, j’ai vu la grandeur de l’amour œuvre d’art de l’archétype hologrammique de Marlene la jardinière sur une berge et de l’archétype hologrammique de Michel le concierge sur l’autre berge, faisant de l’arc-en-ciel surplombant la rivière des billots de la tricherie humaine, une espérance quanto-cosmologique en mode d’onti-KHA-tion en vue d’accéder à la RECOHÉRENCE QUANTI-KHA-TIVE DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

donc l’introduction de notre doctorat sera donc le design de Marlene et Michel en mode d’arc-en-ciel d’espérance pendant que Pierrot vagabond céleste se métamorphosera par ses brosses d’être et ses attaques d’être en rivière st-Maurice solidaire dans son canot d’écorce des millions de billots-enfants-errants-fantomatisés signant le fleuve d’héraclite en enfer de Dante.

Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche: Auld, Woodard, Rochette.

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Concrètement, les 4 premiers videos accompagneront ce texte…

Deux divisant le centre (LA DRAVE de Felix Leclerc de l’ONF et L’ÂME NOIRE de martine Chartrand) où la chanson de Mc Pherson est reprise 2 fois, une fois en vrai et une en animation esthétique.

Puis sur les côtés… LA COMPLAINTE DU ST-MAURICE… À GAUCHE CHANTÉE PAR FRED PELLERIN pendant que Marlene jardine la beauté du monde et à droite, la même complainte du St-Maurice chantée par Gaston Miron pendant que Michel pellete à son travail.

LE TEXTE sur la rivière st-Maurice en sera un documentaire à travers lequel DES BILLOTS EN FORME DE LETTRES K entre les mots… DESCENDRONT LA RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE À INVENTER…

Le texte étant le suivant:

PORTRAIT HISTORIQUE DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE

Historique de la rivière Saint-Maurice

Portrait historique du Saint-Maurice

Affluent le plus important du fleuve Saint-Laurent après l’Outaouais et le Saguenay, la rivière Saint-Maurcie prend sa source dans le réservoir Gouin, à environ 400 kilomètres au nord de Trois-Rivières. Le bassin hydrographique d’environ 43 000 kilomètres carrés canalise les eaux d’une quinzaine de cours d’eau tributaires. Des rapides et des chutes y synchroniseront le développement d’installations hydroélectriques et l’émergence de villes industrielles. Entre les hautes terres boisées du Bouclier laurentien et les basses terres du Saint-Laurent, le parcours du Saint-Maurice, embarrassé par plusieurs barrages correspond davantage aux exigences d’un réservoir qu’aux charmes tranquilles d’une rivière. Pendant plus d’un siècle, en efft, et jusqu’à récemment, il a surtout assumé le transport de quelque 3 milliards de « pitounes » ou billes de bois vers les scieries et les moulins à papier de la Mauricie.

Le premier Européen à voir le Saint-Maurice est Jacques Cartier. À l’automne 1535, Jacques Cartier rentrant d’Hochelaga remonta la rivière sur une courte distance. Cartier la baptise Rivière de Fouez, sans préciser si son choix rendait hommage à la famille de Foix, proche du gouverneur de Bretagne, ou s’inspirait du mot foi, alors prononcé « foué ». Quoi qu’il en soit, le toponyme Fouez se perd à la fin du XVIe siècle, remplacé par « 3 rivières », orthographié ainsi une première fois en 1601 sur la carte de Guillaume Levasseur. L’appellation serait du cru de François Grav. Du Pont, l’homme de confiance de Champlain chargé de remonter le fleuve jusque-là quelques années auparavant. Champlain adoptera en 1668 la forme simple Les Trois-Rivières ou Rivière dite les Trois Rivières, en scellant la promesse de concéder une seigneurie à Maurice Polin de La Fontaine, procureur du gouvernement de Trois-Rivières. Cette référence à des îles partageant en trois segments l’embouchure du cours d’eau persistera jusque vers 1730-1740. S’impose ensuite le Saint-Maurice qui honore Maurice Poulin dont la seigneurie anonyme, concédée en 1676 à sa veuve, est décrite dans le jugement rendu par l’intendant Michel Bégon en 1723 : le fief Saint-Maurice est situé sur la rive ouest de la rivière vulgairement nommée fleuve du SaintpMaurice. Le nom algniquin de la rivière, Metabroutin, est mentionné dans la Relation des Jésuties en 1635. Il ferait allusion à une « décharge du vent ». Les Abénaquis, quant à eux, évoquaient la Madôbaladenitekw, la rivière qui finit. À la fin du régime français, le toponyme rivière Saint-Maurice est d’usage courant et s’étendra à la Mauricie vers le milieu du XXe siècle.

L’histoire de la Mauricie est étroitement liée à l’utilisation de la rivière Saint-Maurice. Alors que l’exploitation foresti;re prend son envol, vers 1850, avec l’installation des premières papetières, la rivière assure l’acheminement du bois par flottage. Le puissant potentiel hydroélectrique du cours d’eau soutient plus tard le développement industriel régional avec un tel succès que les villes de Shawinigan et de Trois-Rivières se retrouvent momentanément au rang des capitales mondiales de l’industrialisation. Le réservoir Gouin demeurera longtemps le plus grand réserovoir artificiel du globe.

Ces grandes ressources resteront au cœur de l’économie régionale de la Mmauricie lorsqu’elle s’apprêtera à changer de cap. Fini ke flottage des billes de bois sur la rivière à la fin des années 1990. On s’efforcera de mettre en valeur le potentiel récréotouristique du Saint-Maurice. La mosaïque des lacs et des rivières de la Mauricie jouit d’une bonne renommée grâce aux nombreux clubs de chasse et de pêche fondés durant les années 1880. Ces clubs sélects ont par la suite encouragé la protection des territoire par la création d’un parc national du Canada, de réserves fauniques, de zecs et de pourvoiries.

La vallée de la rivière Saint-Maurice et les terres du bassin versant portent jusqu’à nos jours les stigmates des diverses étapes de leur développement; d’abord la mise ç profit des richesse forestières, puis l’utilisation du potentiel, minier et la canalisation de la puissance hydroélectrique au profit de l’industrie. Plus récemment, la restauration des écosystèmes et la mise en valeur des sites naturels concrétisant la nouvelle orientation économique de la région basée sur le contrôle des ressources naturelles. La coupe du bois persiste toujours autour du réservoir Gouin.

De précieuses ressources au pays de la drave

Dès la seconde moitié du XIXe siècle, l’exploitation forestière dessine l’ébauche du peuplement original de la région : en effet, les forestiers s’installent avant l’arrivée des colons. L’économie agroforestière naîtra quand le commerce du bois aura révélé le potentiel agricole de la terre. Les pionniers, à la fois bûcherons et agriculteurs, répartiront alors leurs activit.s au gré des saisons. Le XIXe siècle préside donc l’organisation des grandes coupes de bois, du flottage de la pitoune et assure la prolifération des chantiers sur les rives du Saint-Maurice. Des localités embryonnaires s’articulent autour de ce schéma à Mont-Carmel (1858), à Saint-Boniface (1859), à Sainte-Flore (1862), à Saint-Tite (1863), à Saint-Thècle (1873).

Au tournant du siècle, l’incorporation des villages de Grand-Mère (1898) et de Shawinigan Falls (1901), et celle de la ville de La Tuque (1908) complètent le tableau.

À l’époque, la journe de travail dans les chantiers de coupe dure au moins onze heures. Les draveurs s’échinent de 4 heures du matin à 20 heures le soir. Les ouvriers sont à la tâche aussi longtemps qu’il y a du bois à retirer des ruisseaux et des affluents. On s’attaque presque exclusivement aux géants, des pins plusieurs fois centenaires dont la taille et le diamètre promettent chacun plusieurs billots. Vers 1850, le diamètre moyen des billes acheminées sur le Saint-Maurice est de 50 à 60 centimètres; dans les années 1920, les billots de plus de 75 centimètres ne font pas exception.

Rapides St-Maurice
Rapides d’un des affluents du Saint-Maurice. Photo de Histoire-du-Québec.ca.

Une fois préparés, les billots sont déposés sur la glace, à la dcéharge des lacs dans lesquels ils ont emboîtés par une estacade, jusqu’à ce qu’il y ait suffisamment d’eau pour assurer la flottabilité du bois qui empruntera successivement des lacs, des ruisseaux et des rivières affluentes dans sa descente vers le Saint-Maurice. Le glanage des billots enlisés dans les anses ou sur la grève a lieu du mois de juin au mois de novembre. Ainsi rendus au courant, les billots risquent ensuite d’être écorchés au passage des chutes. Pour aider la descente du bois jusquà Trois-Rivières, le gouvernement entreprend, en 1846-1947, la construction de digues de retenue pour les billes et de glissoires d’évitement des rapides.

Les cages ou « cribles » qui dévalent le Saint-Maurnce mesurent en général de 15 à 18 mètres de long. Sans doute, moins imoisantes que celles longues de plus de 1 kilomètre, qui descendent le fleuve Saint-Laurent à la même époque, elles exigent tout de même l’incroyable agilité du draveur de billots du Saint_Maurice pour arriver à bon port. À la fois robuste, secret et dur à la tâche, le forestier mauricien du XIXe siècle est aussi un homme simple qui s’émerveille et s’amuse de peu, commen témoigne le folklore inspiré par la vie des chantiers, scandé par la voix et les bottines à clous de ses héros.

(Rivières du Québec, Découverte d’une richesse patrimoniale et naturelle. Par Annie Mercier et Jean-François Hamel. Les éditions de l’Homme, une division du groupe Sogides).

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LA DRAVE SUR LA RIVIÈRE ST-MAURICE

La griffe à Beaudoin

La drave et le raftage en Mauricie, avec ces bûcherons qui montaient en forêt, qui vivaient dans des camps rudimentaires, sur des paillasses de branches d’arbre rapidement infectées de poux et qui avalaient en quantités industrielles des bines et du lard salé pour se faire des forces, c’est un grand pan de l’épopée mauricienne.

28 octobre 2015 / Mis à jour le 29 octobre 2015 à 7h46

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Avec l’arrêt de la drave, un passé s’est éteint

Jean-Marc Beaudoin

Le Nouvelliste

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La rivière Saint-Maurice, les Anglais l’avaient nommée Black River, en raison comme on s’en doute de ses eaux sombres, presque noires. Mais pendant plus d’un siècle et demi, il aurait plutôt fallu la baptiser Yellow River, parce que c’était la couleur dominante de sa surface.

Plus il la voyait jaune, plus l’ancien directeur de la Compagnie de flottage du Saint-Maurice, Ted Gignac, était satisfait. C’était la preuve qu’il avait bien travaillé. Il avait le mandat de la remplir d’une forêt flottante. Plus donc la rivière était recouverte de ces épinettes écorcées qui lui apportaient sa couleur, plus c’était le signe que les opérations forestières fonctionnaient rondement et que la Saint-Maurice jouait pleinement son rôle de super-convoyeur.

Son job, c’était bien sûr d’acheminer au meilleur coût et le plus efficacement possible, en fonction de leurs besoins et de leurs volumes de bois coupé, vers les papeteries, ces «pitounes» en dérive contrôlée.

À la défense de l’ancien directeur de la compagnie de flottage qui tapissait la rivière de dizaines de milliers de billes de bois, il faut rappeler qu’il avait aussi par la suite contribué à redonner une partie de la rivière aux citoyens. Gignac y était arrivé en développant son réseau d’estacades afin qu’une partie de la rivière soit dégagée de bois et ainsi la partager et permettre des utilisations récréatives.

Mais ces efforts seront jugés insuffisants dans les années 1990. C’est toute la rivière, complètement dégagée de ses estacades et de ses pitounes, qui sera réclamée par des groupes de citoyens riverains qui recevaient une écoute de plus en plus favorable de l’ensemble de la population mauricienne en plus d’exiger l’assainissement de ses eaux polluées par tant d’années de flottage et par plus d’un siècle de déversements industriels libres.

Les grandes papetières qui s’en servaient toujours pour recevoir leur bois, la Canadian International Paper et la Consolidated-Bathurst eurent beau prétendre que sans la drave, la route de La Tuque deviendrait infréquentable, tellement il y aurait de camions qui devraient l’emprunter pour transporter le bois coupé vers les usines, la cause était entendue dans l’opinion publique. Il n’y avait plus au Québec que cette rivière qui servait encore d’autoroute «pitounière».

Voilà maintenant vingt ans que la rivière Saint-Maurice a repris ses couleurs et on peut constater qu’on s’y est vite précipité pour en profiter.

C’est quand même une grande partie de l’histoire mauricienne qui avait perdu ses couleurs avec l’arrêt du flottage. La drave et le raftage en Mauricie, avec ces bûcherons qui montaient en forêt, qui vivaient dans des camps rudimentaires, sur des paillasses de branches d’arbre rapidement infectées de poux et qui avalaient en quantités industrielles des bines et du lard salé pour se faire des forces, c’est un grand pan de l’épopée mauricienne.

On n’imaginerait plus la rivière striée de bômes comme elle l’était avec son couvert de billes de bois et ses hommes armés de pics et de gaffes pour les retourner dans le courant ou pour démanteler leurs empilades. Les bateaux de plaisance ont remplacé les «Alligators» d’Arnold Fay qui fonçaient dans les amoncellements de pitounes comme des brise-glace dans les eaux gelées.

Il reste que pour beaucoup de Mauriciens, cette rivière encombrée, c’est beaucoup de souvenirs de jeunesse. Combien de fois a-t-on vu des jeunes chuter dans l’eau parce qu’ils essayaient de marcher sur les billes comme le faisaient autrefois les draveurs. En oubliant que c’était à l’époque des gros billots de pin qu’on mettait à flotter pour les faire descendre vers les scieries de Trois-Rivières. Les habiles draveurs montaient dessus en les faisant rouler pour garder l’équilibre, mais ce n’était plus possible avec les pitounes d’épinette de quatre pieds.

Car la Mauricie a été vidée deux fois de sa forêt. Au début, c’était une forêt de pins. Après, on y a fait flotter la forêt d’épinettes qui avaient repoussé à la place des grands pins.

Quant aux estacades, il n’y a pas beaucoup de jeunes qui ne s’y soient promenés dessus et n’en aient payé le prix en ecchymoses, parce qu’elles étaient plus souvent qu’autrement recouvertes de mousses ou d’un limon visqueux qui provoquaient les glissades.

Malgré tout, si beaucoup de souvenirs y sont rattachés, la nostalgie de cette occupation de la rivière n’existe pas vraiment. Personne ne voudrait aujourd’hui voir la Saint-Maurice autrement que dans sa beauté retrouvée.

Jean-Marc Beaudoin

Le Nouvelliste

La griffe à Beaudoin

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épistémologie-méthodologie de la bloguïétique, passant par les abcepts et les transmages pour poreuser les multiversqualias sous une forme quanto-cosmologique

à suivre…

Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche

(Auld, Woodrad, Rochette