MULTIVERS,
1830,
(MULTIVERS) INTUITION 11: LE CONCEPT D’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE MICHEL LE CONCIERGE RELIE LA NOTION D’HOLOGRAMME À CELLE DE MULTIVERS DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE
OCTOBER 4, 2017
Par une méthodologie «L.A.H» (lecture analogique hologrammique), j’utilise mon cerveau comme un ordinateur quantique, au sens où les variables de celui-ci prennent comme axiome premier le fait qu’il fonctionne à partir d’un algorythme de complexité émergente issu de la MATRICE DE SON RÊVE BIG BANG se protégeant de l’intrication avec TOUTE CONNAISSANCE STRATIFIÉE UNIVERSITAIRE), qui ne constitue qu’une histoire-conte parmi des milliards d’autres de l’horizon des champs de force ou se joue en univers multivers…… «WOW-T=2.7K»
Qu’est-ce que la connaissance stratifiée universitaire? C’EST L’APPROXIMATION DE LA RÉALITÉ PAR DES HISTOIRES INSTITUTIONNALISÉES, des contes pratiques utilitaristes dont il faut se dégager par une pensée imaginative et critique.
Ca fait 10 ans maintenant que j’étudie Michel le philosophe-cinéaste-concierge à titre d’archétype hologrammique d’un rêve big gang ( L’amour de Michel pour Marlene), une véritable œuvre d’art, un véritable rêve big-bang personnel (et pour l’un et pour l’autre) dont je puis témoigner qu’il correspond exactement à la vision qui m’habite de la formule «WOW-T=2.7K.»
FAIS WOW SUR UN RÊVE
NE TRICHE PAS
ET TU AURAS UN ACCÈS PRIVILÉGIÉ AU 2.7K
ARTÉFACTE ONDULATOIRE QUI TE PROTÈGERA
DE TOUTE INTRICATION ÉVÉNEMENTIELLE INAPPROPRIÉE.
Ce n’est que tout dernièrement que mon intuition (celle à partir de laquelle je pose comme axiome que Michel par son rêve big-bang est devenu UN HOLOGRAMME, UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE TOUT RÊVE BIG-BANG) était relié à la notion de MULTIVERS DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE.
Cet extrait du livre de David Deutsch «LE COMMENCEMENT DE L’INFINI» de la page 316-317 m’est apparu tellement révélateur d’un champ de force fascinant à explorer.
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DAVID DEUTSCH
LE COMMENCEMENT DE L’INFINI
LES EXPLICATIONS TRANSFORMENT LE MONDE
P.315
EXTRAIT
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Dans cette version complète DU MULTIVERS QUANTIQUE, comment notre récit de science-fiction va-t-il se poursuivre? Presque toute l’attention que la théorie quantique a reçue, aussi bien de la part des physiciens et des philosophes que les auteurs de science-fiction, s’est concentrée sur son aspect D’UNIVERS PARALLÈLES. C’est amusant, car c’est dans l’approximation de l’univers parallèle que le monde ressemble le plus à celui de la physique classique, et cependant c’est l’aspect même de la théorie quantique que beaucoup de gens SEMBLENT TROUVER VISCÉRALEMENT INACCEPTABLE.
La fiction peut explorer LES POSSIBILITÉS OUVERTES PAR LES UNIVERS PARALLÈLES. Par exemple,
COMME NOTRE RÉCIT
EST UNE HISTOIRE D’AMOUR
les personnages peuvent certainement s’interroger sur LEURS HOMOLOGUES dans d’autres histoires. Le récit pourrait comparer leurs spéculations avec ce que «nous savons» S’ÊTRE PASSÉ DANS LES AUTRES HISTOIRES. Le personnage dont l’infidélité de l’épouse a été révélée par un évènement «aléatoire» pourrait se demander si cet événement a fourni une issue heureuse à ce qui était un mariage voué à l’échec de toute façon. Sont-ils encore mariés dans l’histoire où l’infidélité n’a pas été révélée par la suite? SONT-ILS ENCORE HEUREUX?
EST-CE QUE CELA
PEUT ÊTRE DU VRAI BONHEUR
SI «C’EST BASÉ SUR UN MENSONGE?»
Pendant que nous les voyons spéculer ainsi, nous voyons l’histoire «toujours mariés» et savons «dans la fiction» ce qu’il en est.
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COMMENTAIRE
La notion de TRICHERIE DANS LE MULTIVERS » RESSEMBLE à un pertubateur de l’horloge biologique de la personne humaine provoquant une rupture dysfonctionnelle entre son archétype et son pouvoir hologrammique de conscience cosmique profonde.
Je n’ai jamais vu Michel manquer de respect à Marlene (en 10 ans avec eux), et aussi jamais vu Marlene manquer de respect à Michel. De là ma conviction forte que leur archétype réciproque (Michel le concierge et Marlene la jardinière) se transmute par un aura (dans le sens de Walter Benjamin) hologrammique quantique permettant à leur condition humaine de sécuriser et d’équilibrer le rapport forme-contenu (Lukacs) de tout événement aléatoire d’intrication prédatrice. Peut-être Est-ce cela l’amour au 21eme siècle: UNE EUMÉTRIE SANS TRICHERIE PAR PUR POUVOIR ATTRACTIF DE LA BEAUTÉ DU MONDE ÉMERGEANT TEL UN FEU D’ARTIFICE PAR UN RÊVE BIG BANG
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2106,
Un multivers ne serait peut-être pas si inhospitalier à la vie
Publié le mardi 15 mai 2018
Représentation artistique d’un multivers.Selon la théorie du multivers, notre Univers ne serait qu’un parmi tant d’autres. Photo : EAGLE/Jaime Salcido
Les univers parallèles, s’ils existent, pourraient ne pas être aussi inhospitaliers à la vie qu’on le pensait à ce jour, montrent des simulations informatiques de l’énergie noire qui imprègne l’espace.
Un texte d’Alain Labelle
Deux études publiées cette semaine, l’une britannique et l’autre australienne, sont consacrées au multivers – cette théorie avancée en cosmologie moderne selon laquelle notre Univers ne serait qu’un parmi tant d’autres.
La question de savoir si d’autres univers pourraient abriter la vie est au centre des débats depuis l’introduction de la théorie des multivers dans les années 1980.
Un multivers de vie
Les nouvelles recherches menées par des astrophysiciens de l’Université de Durham, au Royaume-Uni, et de l’Université de Sydney, en Australie, tendent à montrer que la vie pourrait potentiellement être plus commune qu’on le pensait dans ces autres univers qui n’existent pour le moment qu’en théorie.
La clé de cette possibilité, affirment ces astrophysiciens, réside dans l’énergie noire (sombre), cette force toujours mystérieuse qui imprègne naturellement l’espace et accélère l’expansion de l’Univers.
Représentation artistique de l’expansion de l’Univers. Représentation artistique. L’expansion de l’Univers s’est accélérée dans les milliards d’années qui ont suivi le big bang Photo : NASA Des théories, des univers
La théorie actuelle de l’origine de l’Univers prédit beaucoup plus d’énergie noire que ce qu’on y observe. Or, l’ajout de grandes quantités de cette énergie causerait cependant une expansion si rapide qu’elle diluerait la matière avant que les étoiles, les planètes ou même la vie ne puissent se développer.
«Pour plusieurs physiciens, la quantité inexpliquée d’énergie noire dans notre Univers est un casse-tête frustrant.»
—Jaime Salcido, Université de Durham
La théorie des multivers permet d’expliquer l’« idéale » petite quantité d’énergie noire retrouvée dans notre Univers qui aurait permis d’y accueillir la vie, alors que d’autres univers n’auraient pas pu l’abriter.
Mais c’était avant les présents travaux. En utilisant les simulations informatiques les plus réalistes du cosmos à ce jour, les chercheurs ont découvert qu’ajouter de l’énergie sombre, jusqu’à quelques centaines de fois la quantité observée dans notre Univers, n’aurait qu’un impact modeste sur la formation des étoiles et des planètes.
«Nos simulations montrent que même s’il y avait beaucoup plus d’énergie noire ou même très peu d’énergie dans l’Univers, cela n’aurait qu’un effet minimal sur la formation des étoiles et des planètes.»
—Jaime Salcido, Université de Durham
« Ces simulations laissent à penser que la vie pourrait être possible dans tout le multivers », explique M. Salcido.
Son collègue australien, Luke Barnes, explique : « Avant, le concept de multivers permettait d’expliquer la valeur observée de l’énergie noire un peu comme une loterie. Dans notre Univers, nous avions en quelque sorte un billet gagnant puisqu’il s’y forme de belles galaxies qui permettent la vie ».
«Notre travail montre que notre billet est un peu trop chanceux, pour ainsi dire. C’est en tout cas plus spécial que ce qu’il ne faut pour abriter la vie.»
—Luke Barnes
Trop d’énergie pour un univers
Leur collègue Pascal Elahi ajoute que les simulations ont montré que l’expansion accélérée par l’énergie noire n’a guère d’impact sur la naissance des étoiles, et donc sur la présence éventuelle de la vie.
«Même si on augmente l’énergie noire des centaines de fois, cela pourrait ne pas suffire à créer un univers mort.»
—Pascal Elahi
Des trous dans la théorie
Ces résultats inattendus sont problématiques, car ils mettent quand même en doute la capacité de la théorie du multivers à expliquer la valeur relativement faible observée de l’énergie noire dans notre Univers.
Bien que les résultats n’excluent pas l’existence d’un multivers, il semble que la petite quantité d’énergie sombre dans notre Univers serait mieux expliquée par une loi de la nature qui reste à ce jour inconnue.
Vers une nouvelle physique
« La formation des étoiles dans un univers est une bataille entre l’attraction de la gravité et la répulsion de l’énergie sombre », affirme le Pr Richard Bower, de l’Institut de cosmologie computationnelle de l’Université de Durham.
«Nous avons découvert dans nos simulations que des univers avec beaucoup plus d’énergie sombre que les nôtres peuvent heureusement former des étoiles. Alors pourquoi n’y a-t-il qu’une telle quantité dérisoire d’énergie noire dans notre Univers?»
—Richard Bower
« Je pense que nous devrions chercher une nouvelle loi de la physique pour expliquer cette étrange propriété de notre Univers, et la théorie des multivers ne permet pas d’effacer le malaise des physiciens », conclut le Pr Bower
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2237,
July 22, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
Après l’écriture du roman philosophique «monsieur 2.7k», je suis parti vagabonder le Canada sous l’archétype hologrammique du vagabond céleste (`notion que je n’ai pu résoudre qu’après la lecture du principe hologrammique d’Edgar Morin).
J’tais habité par une question tel que dite dans l’extrait du documentaire « MON AMI PIERROT , LE DERNIER HOMME LIBRE»
SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS EST-CE QUE L,UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?
Je partais de ce que je connaissais tout en intuitionnait que tout décalait. Je me disais: je vais vérifier si le nouveau testament dit vrai:
abandonnes-tout et suis-moi et tu seras nourri comme les petits oiseaux…
Et bien sûr… L’univers me fut toujours prodigieux … je me disais… se pourrait-il que… parce que je triche jamais, je puisse bénéficier d’une onde de bienveillance reliée au 2.7k? du bruit de fond cosmologique du big-bang.
Les 4 ans passées avec le merveilleux Gérard Cadieux et Suzanne Fortin comme squatter à la librairie alternative recyclo-livres de Victoriaville (où je dormais sur une table dans la cave, entouré de livres) nous avaient permis Gérard, Suzanne et moi de développer une formule mathématique..
J’étais arrivé avec le wow…. Gérard-Suzanne et moi avons jour après jour expérimenté en étudiant les clients et les clientes de la librairie le -T (- la tricherie)… puis un jour Gérard et moi avions trouvé ensemble wow-t=g2 que Gérard transforma en wow-t=g.3.
Et soudain… je quittai… Si je prends soin de l’univers, Est-ce que l’univers va prendre soin de moi?… Je rencontrai un physicien et je lui parlai de mes apories… Tout est dans le 2.7k que je lui disais et seule la non-tricherie reliée à son rêve permet de bénéficier des synchronicités sans faille… Le physicien m’encouragea à poursuivre mes recherches.
J’arrivai chez Michel et Marlene et nous pûmes poursuivre durant plusieurs années la quête… J’avais beau vagabonder 4 universités, passer d’un champ à un autre en les étudiant chacun intensément en auto-didacte (philo, physique quantique, sociologie, philo politique, histoire de l’art….) CHAQUE CHAMP ME SEMBLAIT TROP PETIT POUR MA QUESTION…
Marlene Michel et moi arrivâmes finalement à une question
WOW-T=2.7K?
donnant une valeur inouie au point d’interrogation… Les lectures en problématologie (Meyer) autant qu’en anthropie cosmologique (Carter) qu’en principe hologrammique au cœur de l’émergence constructiviste radical (Lemoigne, Morin), autant qu’en cosmologie mathématique me fit découvrir enfin l’apriori paragdimatique qu’il me semble que je recherchais depuis toujours:
LA NANO-PERSONNE-HUMAINE-PLANÉTAIRE HABITE UN MULTIVERS… DONT ELLE EST UN CLÔNE…. MULTIVERS PROVOQUANT UN NOMBRE INFINI DE BIG-BANG .
Enfin, la science du prévisible, du probable rejoignait mes intuitions: Quand une nano-personne-humaine-planétaire vit un rêve big-bang, ce sont tous ses clones du multivers dans lesquels ils habitent qui soudain décident d’élire domicile en un SIÈGE SOCIAL DE LA NON-TRICHERIE, provoquant un chaos mathématique orchestré interscalaire autant qu’inter-multivers, faisant en sorte que cette nano-personne-humaine planétaire soudain flotte comme un oiseau au-dessus des irritants de l’univers domestique et professionnel de sa condition humaine pour habiter la condition humaine universelle en marche vers la cinquième question de la vie personnelle œuvre d’art
5: COMMENT NOS RÊVES BIG-BANG PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
Et soudain, l’univers de notre cosmos vu de la terre autant par Thomas d’Aquin, St-Augustin, Aristote et Platon me parut terriblement pré-quantique, pré-cosmologique.
Le multivers rend improbable la théorie platonicienne des idées où les formes séparées de la matière impriment les formes intelligibles dans l’âme humaine, comme une copie lointaine des idées innées éternelles éthérées dans l’arrière-monde.
Le multivers rend autant improbable la théorie aristotélicienne des intelligences séparées de la matière reliées à elle expérimentalement par la sensibilité reliant puissance et acte.
Le multivers rend autant improbable la théorie augustinienne de la lumière divine où Dieu de la cité de Dieu illumine l’âme humaine lui permettant d’acquérir les formes intelligence des choses.
Thomas d’Aquin respecte le principe anthropologique de la vie reliant ontologiquement le corps à l’âme sous une théologie régissant hiérarchiquement l’intelligence de l’ontologie-épistémologie issue d’Aristote
MAIS CES QUATRE POSITIONS NE PRENNENT LEUR SENS QUE DANS UN UNIVERS DONT LES PARAMÈTRES APPELLENT UNE LOGIQUE BINAIRE.
Dans un multivers… tout rêve big-bang de toute nano-personne-humaine-planétaire conduit celle-ci, si elle ne triche pas à bénéficier de l’information interscalaire autant qu’inter-vers… , donnant au siège social du sens de toute existence big-bang un 2.7k? au rhizome de la condition humaine universelle en marche vers la beauté du monde.
à suivre…
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2238,
July 23, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
Si on enlève l’invention de Dieu dans la gnoséologie de Berkeley où l’immatérialisme du sujet-objet permet une connaissance matricielle, on pourrait avancer l’hypothèse forte suivante: Berkeley fut le penseur du champ «univers» qui se rapproche le plus de ce que pourrait être onto-cosmologiquement tout le champ transcalaire du multivers….
«wow-t=2.7k?» en étant la propédeutique opérationnelle de tout rêve big-bang d’une nano-personne-humaine-planétaire.
à suivre…
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2250,
July 27, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
Quand l’archétype hologrammique d’un vagabond céleste vagabond 4 universités, dans une posture performative le mettant en état d’apesanteur malgré la perroquetterie de la connaissance stratifiée, son cerveau astronaute fractalisant à l’infini l’espace infra-cosmologique entre ses neurones et sa chair, il devient soudain récepteur d’une onde sans tricherie… car la matière infinie ne triche pas, ses lois serpentant ubiquitairement la quasi probabilité d’un multivers mathématique sous forme de matière noire, de trous noirs, de matières invisibles autant que de clones majestueusement hors temps, hors réalité, hors servitude, tel qu’imaginé par Hermann Hesse dans la scène finale du loup des steppes.
Du fond de l’infini cosmologique, les étiquettes qui ont construit l’humanité flottent , détachées des attributs essentiels que l’open source algorithmique n’arrive pas à endiguer…..
La nano-modernité d’une trans-humanité se milliardélise de galaxies en forme d’ondes lumineuses gravitionnelles, porteuses et des origines du sens de la vie et des modalités de sa dimension esthétique au cœur même de l’éthique des droits interscallaires.
LA VERTU D’UNE INSTITUTION PLANÉTAIRE FONDEMENT MÊME DE L,ÉDUCATION DE LA VERTU DES VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART, SURGIRA DE L’ONTO-MULTIVERS, ET CELA, TEL QUE LE DÉCOUVRIRONT LES MATHÉMATICIENS QUANTIQUES ET COSMOLOGIQUES DANS LES INFORMATIONS CONTENUES DANS LA PARTIE FROIDE DU 2.7K… SOUS FORME DE POINT D’INTERROGATION HIÉROGLIPHE….
L’axiomatique des fondements de croyances millénaires annonce l’ère du point d’interrogation d’une urgence de survie planétaire en mode praxéologique défiant l’invisible.
à suivre…
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2255,
August 1, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
La valeur inouie de la nano-personne-humaine comme conscience avancée de la matière prend soudain une résonnance onto-multivers de par le simple fait que les mathématiciens cosmologues PRÉDISENT L’EXISTENCE DE MULTIVERS.
Il suffit d’une simple étiquette aux résonnances mathématiques comme wow-t=2.7k? pour faire le tour des milliards de téléphones intelligents avec une application pour faire des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art le fondement d’une éducation au droit et à la dignité de chaque enfant sur terre
1: Quel est ton rêve? 2: Dans combien de jours? 3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
À suivre…
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2256,
August 1, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
MULTIVERS: AU-DELÀ DU NOMBRE DE GRAHAM Oksanaetgil’s Blog
L’actualité littéraire d’Oksana & Gil Prou
Lorsque l’on doit évoquer des quantités importantes, il faut prendre en compte des nombres extraordinairement grands. Dans ce cas, on utilise souvent l’expression « astronomique ». L’emploi de ce terme est parfaitement approprié car les nombres les plus élevés se situent généralement dans le domaine de la cosmologie.
Par exemple, le nombre d’atomes existant dans notre univers est égal à 10 puissance 80, soit cent millions de milliard de milliard de milliard de milliard de milliard de milliard de milliard de milliard d’atomes ! Ouf…
On obtient des nombres plus pharamineux encore lorsque l’on examine le nombre de combinaisons différentes dans des jeux aussi complexes que les échecs ou le jeu de Go.
Au sommet de cette impressionnante pyramide de nombres hallucinants, on trouve le nombre potentiel de théories incluses dans la THÉORIE DES CORDES, soit 10 puissance… 500 !
Ces quantités vertigineuses sont impressionnantes et difficiles à appréhender concrètement.
Toutefois, ces nombres colossaux sont des nains par rapport à leurs homologues mathématiques, car on est alors réellement en proie au vertige.
Le plus grand nombre entier utilisé dans une démonstration mathématique s’appelle le « NOMBRE DE GRAHAM». Il est si monstrueux que l’on doit utiliser des notations mathématiques spécifiques pour le représenter sur une feuille de papier. Il s’agit des PUISSANCES ITÉRÉES DE KNUTH» et des «FLÈCHES CHAÎNÉES DE CONWAY».
D’une façon plus simple, on affirme souvent que si tout l’univers était composé d’encre, celle-ci ne suffirait pas pour écrire le Nombre de Graham en utilisant la notation arithmétique usuelle.
Mais on peut encore aller plus loin. Beaucoup plus loin…
Il existe en effet des suites croissantes de nombre entiers qui sont si puissamment « croissantes » qu’elles se multiplient plus vite que n’importe quelle suite calculable.
C’est le cas de LA SUITE RADO(N) la suite Rado(n) qui a été inventée par le mathématicien TIBOR RADO. Or la suite Rado(n) croît tellement vite qu’on n’en connaît que les premiers termes. Actuellement, il est impossible de calculer avec précision les valeurs Rado(7) et Rado(8).
On comprend à cet instant que la simple appréhension d’une suite comme Rado(100) donne de fortes céphalées…
Mieux encore, en utilisant des mécanismes théoriques de calcul particuliers que l’on nomme « machines de Turing avec oracle » ou -plus plaisamment- « castor affairé », on peut construire une hiérarchie infinie de suites croissantes Rado(n) = Rado0(n), puis Rado1(n), puis Rado2(n), etc… chacune surpassant la précédente.
Les nombres qui découlent de ces suites « hypercroissantes » deviennent ainsi parfaitement affolants et outrepassent l’imagination la plus féconde.
Et pourtant… il existe peut-être des données plus hallucinantes encore !
Nous avons déjà évoqué ici la notion de « multivers », notion que nous abordons déjà dans « Cathédrales de brume » et que nous développerons dans les deux romans qui complèteront cet étonnant triptyque.
Ce concept est dérangeant, car imaginer des milliards d’univers en amont ou en aval du nôtre est difficilement compatible avec un cartésianisme classique, mais il n’est pas réellement nouveau.
D’Anaximandre à Whitehead, en passant par Nicolas de Cues, Giordano Bruno et Leibniz, elle traverse toute l’histoire de la philosophie et jalonne les grandes cosmogonies.
Toutefois, si cette théorie devait se confirmer, elle constituerait une révolution conceptuelle comparable à la rupture copernicienne.
Ce n’est pas seulement notre représentation du monde qui s’en trouverait transformée, mais également notre manière même de penser la physique et de concevoir la signification de ses modèles. Or la physique fait aujourd’hui face à un sérieux problème lié à la nature même de ses constantes fondamentales, car la plupart de ces grandeurs semblent spécifiquement adaptées à l’émergence de la complexité.
Si l’on souhaite échapper aux explications purement religieuses, il est clair que l’existence de multiples univers au sein desquels les lois physiques se structureraient indépendamment résoudrait la difficulté. Les paradoxes disparaissent effectivement si l’on suppose que les valeurs observées pour les constantes physiques ne sont qu’une réalisation particulière parmi une infinité d’autres.
Exactement de la même façon que nous nous trouvons sur une planète tellurique qui est un lieu très particulier et nullement représentatif du contenu moyen du cosmos, nous nous trouverions, au sein du « multivers », dans un univers hospitalier et très singulier quant à ses propriétés.
Dans le cadre de l’élaboration d’une image cosmologique globale, notre environnement direct n’est donc nullement représentatif du tout. L’existence même du « multivers » offre une solution élégante et concrète à certaines difficultés récurrentes de la physique théorique et s’inscrit dans une évolution non contredite jusqu’alors et que l’on peut résumer ainsi : la taille et la diversité du cosmos n’a jamais cessé de croître au fur et à mesure des découvertes scientifiques. S’il existe de multiples planètes, de multiples étoiles, de multiples galaxies, de multiples amas de galaxies, pourquoi n’y aurait-il qu’un seul univers ?
Différentes définitions du « multivers » s’affrontent. Toutefois, le « multivers » n’est pas en lui-même un modèle, mais une conséquence de modèles préexistants. Ces modèles n’ont pas été élaborés dans le but de créer des univers multiples mais pour répondre à des questions bien définies de physique des particules ou de gravitation relativiste.
Différentes théories prévoient clairement l’existence d’univers multiples, à commencer par l’une des mieux établies, des mieux testées et des plus élégantes : la Relativité Générale.
Le modèle d’Einstein, qui montre que la géométrie de l’espace-temps est façonnée par la matière qu’il contient, prédit effectivement un espace strictement infini dans deux des trois géométries utilisées en cosmologie. Si l’espace est infini, notre univers n’est qu’une minuscule bulle en son sein et tous les phénomènes possibles doivent se produire quelque part.
Ce n’est pas une possibilité mais une nécessité, car tout processus doté d’une probabilité d’occurrence non nulle doit être réalisé. Il existe ainsi une copie à l’identique de notre monde dont le passé est similaire au nôtre mais dont le futur peut éventuellement différer. Cet infini spatial suffit déjà à expliquer certains faits étranges. Ainsi, notre univers présente un haut niveau d’homogénéité primordiale car cet état particulier doit être présent quelque part dans le « multivers » et qu’il est propice à la formation des structures qui ont permis notre propre existence…
La Physique quantique, l’autre grand pilier de la Physique moderne, peut également conduire à l’existence d’univers multiples lorsque ses principes fondateurs sont interprétés strictement sans recourir à des postulats supplémentaires. La superposition quantique, qui n’est pas observée dans le macrocosme, ne conduit pas à l’usuelle projection du vecteur d’état mais plutôt à l’existence d’autres mondes dans lesquels se réalisent les différentes occurrences possibles de l’évolution du système.
L’existence du « multivers » est plus étroitement encore associée aux théories actuelles de la gravitation quantique. Il n’existe pas à l’heure actuelle de modèle absolument satisfaisant pour décrire les propriétés quantiques du champ de gravitation.
Mais deux théories bien différentes ouvrent des voies prometteuses pour explorer les méandres complexes de cette physique dont le graal est la fameuse « Théorie du Tout ».
Curieusement, chacune d’elle conduit à l’existence d’univers multiples…
La première de ces théories fascinantes est la « gravitation quantique à boucles ». Elle s’appuie sur le principe fondateur de la Relativité Générale : l’invariance de fond, c’est-à-dire l’absence de structures absolues. Elle propose un cadre cohérent pour décrire les propriétés quantiques de l’espace-temps. Dans ce contexte, elle prédit l’existence de « rebonds » au cœur des trous noirs qui permettent de concevoir leur structure interne comme des univers à part entière. On assiste alors à l’émergence d’un modèle darwinien de sélection naturelle des univers : chaque monde se reproduit par les trous noirs qu’il engendre et les lois doivent évoluer vers la forme maximisant la formation de trous noirs.
Ce constat ouvre des horizons infinis. Dans son livre : « Le destin de l’univers », l’astrophysicien Jean-Pierre Luminet (qui nous a fait l’honneur de préfacer « Cathédrales de brume ») résume parfaitement cette situation en forme de mise en abyme : « Des deux questions « qu’y avait-il avant le big bang ? » et « qu’y a-t-il dans un trou noir ? », l’une donne la réponse à l’autre. Dans chaque trou noir il y a un nouveau big bang, c’st à dire un nouvel univers, sorte de phénix renaissant de ses cendres après chaque contraction symétrique du big bang… » (Le destin de l’univers – page 543).
La seconde théorie : la Théorie des cordes (ou Théorie des supercordes lorsqu’elle prend en compte les exigences de la « supersymétrie ») permet de résoudre certaines difficultés de la physique contemporaine : quantifier la gravité et unifier toutes les interactions fondamentales par exemple.
Mais cette théorie remarquable et très élégante implique l’existence de sept dimensions supplémentaires à la géométrie de l’espace.
Les lecteurs de « Cathédrales de brume » observeront immédiatement que nous avons largement utilisé cette singularité de la Théorie des cordes dans notre roman…
En affinant cette théorie, il est apparu que les manières de recourber ces dimensions supplémentaires sur elles-mêmes sont si nombreuses (environ 10 puissance 500 comme nous l’avons signalé plus haut) que la Théorie des cordes conduit à une quasi-infinité de lois physiques possibles.
En complément de cette surabondance déroutante, le modèle actuellement validé du big bang repose sur l’existence d’un processus inflationnaire, c’est à dire une augmentation démesurée de la taille de notre univers dans ses premiers instants, qui conduit à l’image d’un monde en perpétuelle inflation.
Des zones s’extraient parfois de cette inflation éternelle (comme notre propre univers dans sa phase actuelle) mais, examiné dans la globalité, le processus est continu et de nouveaux univers se crée sans cesse.
Dans les milieux de la cosmologie, cette théorie (dont Andrei Linde est le concepteur) est parfois comparée à un « multivers bulles de champagne »…
La conjugaison de la Théorie des cordes et du scénario inflationnaire conduit en tout cas à un « multivers » particulièrement riche et fécond dans sa capacité à rendre compte du réel. La première permet l’émergence de lois multiples, le second prédit des univers-bulles décorrélés les uns des autres. Dans chaque univers, la physique effective se structure indépendamment, donnant lieu à une impensable diversité, non seulement dans les faits, mais également dans les lois physiques.
Vous comprenez mieux ainsi la raison pour laquelle nous mettons en parallèle le caractère « colossal » du nombre de Graham, et le caractère tout aussi colossal et luxuriant d’un « multivers » qui symbolise une fantastique ode à la diversité.
Et nous avons bien besoin de ce symbole à notre époque…
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2260,
August 4, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
Un doctorat… passe par de longues années où le fil d’or d’une question fondamentale…… (Quelle institution multivers faut il inventer au 21eme siècle pour que sur terre, plus aucun enfant ne meure de faim ou de blessures de guerre?)… s’allie par l’imagination spéculative en épopée constructiviste contre l’érudition de toute connaissance stratifiée à la mise en orbitre hiérarchique à la fois d’un axiome fondateur (le multivers) et d’un post-apriori intuitif synthétique (la nano-citoyenneté-planétaire) dont la résultante opérationnelle se veut praxéologique universelle (la marche à l’ONU de l’équipe de recherche Auld, Woodard, Rochette) en vue d’y déposer une charte de la nano-citoyenneté-planétaire, le tout visant un prix nobel de la paix et l’appropriation par un consortium de fondations philanthropiques et de chaires universitaires, d’une mise en marche en 3 ans d’une application pouvant rejoindre de milliards de téléphones intelligents.
Nous y sommes presque….
Un vrai nuit et jour somptualise infiniment l’ivresse d’une infinie non-tricherie en équipe…
vive mon plancher de la salle de couture où je dors enluminé d’une amitié sans faille de Marlene et Michel, mes magnifiques partenaires de recherche
Ego sum pauper (je suis pauvre) nihil habeo (je n’ai rien) et nihil dabo (je ne demande rien)
à suivre…
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2273,
…(MULTIVERS) L’UNIVERS DES QUALIS-QUANTIS RÉFLÉCHIS À TRAVERS DES RÊVONS DU MULTIVERS DANS LA NON-TRICHERIE
August 7, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
egorized
INTUITION 16: «WOW-T=2.7K» OU LE CODE SOURCE QUALI-QUANTI PRÉ-BIG-BANG DE TOUT CE QUI EXISTE, DU QUANTIQUE AU COSMOLIGIQUE, DE L’UNIVERS AU TRANSVERS, DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART À LA NANO-CITOYENNETÉ PLANÉTAIRE, DE PAR L’ÉVOUTION MÊME DES GÊNES AU MÊMES ET DES MÊMES AUX RÊVONS
October 10, 2017 Pierrot le Vagabond Chercheur
IGOR ET GRICHKA BOGDANOV LE CODE SECRET DE L’UNIVERS ÉDITION ALBIN MICHEL 2015 P.17 À 24 EXTRAIT
Peut-on trouver aujourd’hui des traces de ce code originel? DE CE CODE-SOURCE? D’où vient-il? Depuis quelque temps, certains scientifiques ont entrepris de chercher ces vestiges encore jamais vus AU COEUR DU RAYONNEMENT FOSSILE, cette lumière primordiale qui a déchiré les ténèbres cosmiques il y a plus de 13 milliards d’années. Une quête révolutionnaire, dont les premiers résultats vont vous stupéfier.
Un exemple? Pour le théoricien américain Steve Carlip, de l’université de Californie, la première lumière de l’Univers N’EST PAS LIVRÉE AU HASARD: «lorsque nous voyons le rayonnement fossile, nous voyons des petites fluctuations dans son spectre, qui proviennent de petites variations de densité. Ces variations ne sont pas dues au hasard.
L’idée est révolutionnaire et a fait du chemin. En 2015, deux grandes «stars» de la théorie des cordes, Juan Maldacena et Nima Arkani, de l’Institute for Advanced Study de Princeton, ont affirmé que le rayonnement fossile porte la trace «D’UN ENCODAGE» effectué dès les tout premiers instants de l’existence de l’Univers. «une hypothèse soutenue par Edward Witten, médaille Fields et leader mondial de la théorie des cordes: « C’est le travail le plus innovant que j’ai entendu».
A LA RECHERCHE DU CODE PERDU
3 juin 2006, aux États-Unis. Ce matin-là, les examinateurs des très sélectives archives scientifiques de l’université Cornwell viennent de mettre en ligne un court article de physique – trois pages explosives- qui VA SECOUER LE MONDE ENTIER. Son tItre? UN MESSAGE DANS LE CIEL. Son auteur? Anthony Zee, de l’université de Californie, l’un des grands physiciens théoriciens de la planète. Il a été l’élève de deux monuments de la science au plan mondial, l’académicien Sidney Coleman, de Harvard, et le médaillé Fields Edward Witten, de Princeton.
Or, ce que nous dit ce fameux article, également signé par Stephen Hsu, de l’université de l’Oregon? Quelque chose de stupéfiant: une sorte «de message cosmique» serait encodé dans les profondeurs de l’univers! Où cela? Zee et Hsu répondent sans hésiter: « Nous sommes convaincus que le support pour ce message est unique: ce ne peut-être que LE FOND DIFFUS COSMOLOGIQUE». autrement DIT, LA PREMIÈRE LUMIÈRE ÉMISE PAR L’univers, TOUT JUSTE 380,000 ANS APRÈS SA NAISSANCE, il y a 13 milliards 820 millions d’années.
Mais de quel «message» est-il donc question?
Selon l’expression plutôt audacieuse employée par Zee et son collègue dans leur article, il pourrait s’agir «D’UN CODE UNIVERSEL, CACHÉ DANS LES INFINIES VARIATIONS DE TEMPÉRATURE DU RAYONNEMENT COSMOLOGIQUE». E somme, un code secret, sur lequel reposerait l’origine et l’évolution de l’Univers.
Un code secret!
Est-ce possible? Un code inconnu pourrait-il exister au-delà de la matière, sous la forme d’un MYSTÉRIEUX NUAGE DE NOMBRES, dans les profondeurs insondables de notre univers? Une question encore rarement posée jusqu’ici et dont les conséquences promettent de bouleverser de fond en bnotre vision du monde.
—- Jeudi 5 février 2015 à minuit. Neuf ans se sont écoulés depuis la publication retentissante de l’article de Zee. Or voilà que l’idée d’une sorte de «CODE RÉGLANT L’UNIVERS» ressurgit de manière spectaculaire, donnant une nouvelle dimension à l’enquête ouverte dans ce livre. En effet, cette nuit-là, les écrans du monde entier se sont soudain mis à crépiter la même information: les toutes nouvelles données analysées par LA MISSION PLANCK- responsable du fameux satellite astronomique Planck- ont été mises en ligne.
QU’A-T-ON DÉCOUVERT DANS CE RAYONNEMENT FOSSILE?
Des phénomènes jusqu’ici inconnus, D’UNE VERTIGINEUSE PRÉCISION, et qui ne doivent rien au hasard. DES COURBES PARFAITEMENT ORDONNÉES, D’UNE EXTRÊME PURETÉ GÉOMÉTRIQUE – «les courbes de la création» selon la belle expression de Richard Isaacman, l’un des responsables de la mission américaine COBE , des courbes qui ont pour origine des processus très anciens, apparus lors des époques les plus recules du big bang, à l’aube des temps. De quoi s’agit-il?
Pour les théoriciens de la mission Planck, la radiation fossile pourrait encoder des informations remontant À LA NAISSANCE DE LA RÉALITÉ, aux tout premiers instants après le Big Bang. Un encodage qui pourrait même, selon les plus audacieux
TROUVER SON ORIGINE AVANT LA NAISSANCE DE LA MATIÈRE….
P.23 extrait
Le grand physicien Heinz Pagels, directeur de l’Académie des sciences de New York dans les années 1980 et ancien président de la ligne internationale des droits de l’homme. Dans son spectaculaire best-seller LE CODE COSMIQUE, ce scientifique, pourtant bien connu pour son sérieux et prudence, n’a pas hésité à écrire dès 1982:
« JE PENSE QUE L’UNIVERS EST UN MESSAGE CODÉ, UN CODE COSMIQUE ET LE TRAVAIL DU SCIENTIFIQUE EST DE DÉCHIFFRER CE CODE»
«LE PLUS GRAND DÉFI DE NOTRE CIVILISATION SERA DE MAÎTRISER LES ÉLÉMENTS DU CODE COSMIQUE APRÈS LEUR DÉCOUVERTE»
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2274,
August 7, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
EN PHYSIQUE QUANTIQUE, ON PEUT TÉLÉPORTER DES ATOMES, CRÉER DES CODES INVIOLABLES, ÉTABLIR DES CORRÉLATIONS «NON-LOCALES», QUI SUGGERENT QUE LES PARTICULES COMMUNIQUENT INSTANTANÉMENT À DISTANCE……..(la suite sur 2274)
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2282
August 11, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
Lorsque j’échangeais hier avec cet étonnant Valery Allegro, je lui rappelais comment dormir dans les différents cimetières du Québec comme vagabond céleste, m’avait plus enseigné que n’importe quelle discussion avec une personne humaine vivante.
Que penser de la tombe de Doris Lussier sur laquelle il est inscrit: «Je m’en vais voir si l’éternité existe?» et de ces tombes près de Natashquan où une majorité de Rochette y sont enterrés…. Les morts nous content non pas le passé, non pas le futur, mais LE PRÉSENT QUI SE RÉACTUALISE DE PRÉSENCE PASSIONNÉE À L’AUTRE PAR SON RÊVE BIG BANG.
Je me disais… mais ça n’a pas de bon sens…. Cette lutte phosphorescente pour la survie en forme de familles, de clans, d’églises, d’états où l’humanité se fractionne en aquarium où, comme des poissons rouges, il apparaît presque impossible de traverser la condition humaine pour explorer l’intensité poétique d’un vagabondage céleste.
Ce matin, j’aidais Michel à trasporter certains bagages pour les déposer dans son automobile car Marlene et lui s’en allaient passer la fin de semaine à leur maison secondaire de Grandes-iles…
J’avais beau savoir où était l’auto, je me perdais à ce point dans mon rêve big bang que je prenais mauvaise direction, complètement disjoint de mon corps…..
De là la soif de me faire anonyme, absent, pour que le silence d’une intensité quotidienne me permette de vivre l’émergence d’une stratégie d’une fracture entre l’étiquette et ses attributs essentiels, comme quand on lance une fusée et que la partie inférieure tombe dans l’océan…
L’étiquette d’une formule mathématique «wow-t=2.7k?» appartient à la communauté open source des non-tricheurs et non-tricheuses d’avec leurs rêves big-bang au service du bien commun et du soulagement de la condition humaine….
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2289,
La matrice de recension (o.n.u et états hobbiens) se définit peu à peu à travers les pré-lectures de Philippe Gagnon (de l’incarnation à la représentation, l’Ontologie politique de Thomas Hobbes) en parallèle avec la lecture analogique des œuvres hobbiennes de Quentin Skinner (les fondements de la pensée politique moderne et Hobbes on representation))
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