Je me rappelle quand j’ai lu l’autobiographie de la plus grande héroïne américaine, Margaret Sanger qui portait en elle un rêve: INVENTER UNE PILULE ANTI-CONCEPTIONNELLE POUR LES FEMMES.
J’étais squatter dans une librairie alternative (Recyclo-livres) à Victoriaville depuis quelques années. Je dormais sur une table abrillé d’un drap de peinture. Je possédais à peine trois morceaux de linge, ma guitare, mon cahier de chansons. MAIS J’AVAIS UN RÊVE SOUS FORME DE QUESTION.
LE RÊVE D’UN PAYS OEUVRE D’ART?
Je n’avais aucune idée de la forme que prendrait ce rêve. Mais tout en moi hurlait que ce simple rêve changerait le monde après ma mort.
Si Margaret Sanger avait rencontré sa MULTI-MILLIONNAIRE KATHERINE McCormick parce qu’elle n’avait cessé de parler de son rêve (UNE PILULE ANTI-CONCEPTIONNELLE POUR LES FEMMES) dans des conférences à travers les États-Unis (Cette découverte a été rendue possible grâce à ce chercheur, bien sûr, mais aussi à deux femmes : Katherine McCormick qui a consacré sa fortune à cette recherche, et Margaret Sanger, infirmière New Yorkaise, fondatrice du Planning Familial). Il n’y avait aucune raison qu’un jour je ne rencontre pas une Phoebe Greenberg ou un Pierre Desmarais pour réaliser ce qui est devenu le rêve de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette). LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.
Je partis vagabonder le Canada à la recherche de rêveurs, à tenter de modéliser le concept WOW-T=2.7K, (suite aux recherches communes avec le brillant Gérard Cadieux et son wow-t=g3) à réfléchir sur la modélisation de la vie personnelle œuvre d’art versus le fondement de tout pays œuvre d’art.
Mais c’est en équipe (Auld, Woodard, Rochette) que furent inventés les concepts DE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, DE TIRAGE AU SORT VILLAGE PAR VILLAGE, VILLE PAR VILLE de vies personnelles œuvre d’art à partir des quatre questions de toute vie personnelle œuvre d’ART.
1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Le tout pour qu’émerge une souveraineté citoyenne planétaire de 125 VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART réfléchissant planétairement, grâce à sa rhyzomatisation par le biais du téléphone intelligent, à la cinquième question:
5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MCOMMENTAIRE
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Il est lumineux de s’imaginer que, grâce à l’invention du téléphone intelligent, il sera bientôt possible, village par village, ville par ville de mettre en marche la nano-citoyenneté-planétaire par simple tirage au sort.
Ainsi, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, le concept DU VOILE D’IGNORANCE» de John Rawls pourra être expérimenté concrètement, permettant une séparation des pouvoirs innovatrice entre les états et les nano-citoyens-planétaires.
1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde
Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde 7,4 milliards d’abonnements mobiles étaient souscrits à fin 2016, selon les estimations de l’International Telecommunication Union, pour un taux de pénétration de 99,7%.
Dans le monde à fin 2016, ce sont près de 7,4 milliards d’abonnements mobiles qui étaient souscrits, soit quasiment la totalité de la population mondiale, selon les estimations de l’International Telecommunication Union. Cela correspond ainsi à un un taux de pénétration de 99,7%. 5,8 milliards de ces abonnements ont été souscrits dans des pays en développement.
Le marché approche la saturation : la croissance des abonnements n’est plus que de 2,2% par an (contre 2,6% entre 2014 et 2015 par exemple). Elle est surtout due aux pays en voie de développement (hausse de 2,5% en 2016).
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PLAN EN TROIS ANS POUR INVENTER LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE SUR TERRE
PLAN DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)
QU’EST-CE QUE LA NANODEMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART?
Une nano-démocratie instaurant, PAR TIRAGE AU SORT, une assemblée constituante de 125 vies personnelles œuvre d’art pourrait-elle constituer le prélude au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète terre?
pré-essai d’une MODELISATION THÉORIQUE
A) Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception.
B) Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art.
a) Quel est ton rêve?
b) dans combien de jours
c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
C) Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation est lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….
D) En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?
E) Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE.
F) Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 125 de ces vies personnelles œuvre d’art…. en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.
G) Imaginons que ces 125 vies personnelles œuvre d’art se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière.
H) Imaginons que….. la question….EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls.
I) Imaginons qu’une fois l’assemblée constituante des 125 vies personnelles œuvre d’art terminée, un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionné comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde.
J) Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre.
EN CONSEQUENCE DE QUOI
K- Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire
un jour DES PAYS OEUVRE D’ARTS DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.
L- La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel, la liberté reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU.
M– objectif:
nouvelle conscience éthique-esthétique
planétaire en vue de la réforme des états
pays œuvre d’art par la masse critique
nano-numérique des vies personnelles œuvre
d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde.
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7- CONCLUSION (OUVERTE FINALE)…15 PAGES
L’implantation planétaire de la nano-démocratie pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:
– retour sur les quatre questions
menant à la cinquième question
éco-philanthrope de l’espace-monde:
-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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SUJET DU DOCTORAT…. LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE
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DOCTORAT
SUJET
la nanocitoyenneté planétaire
QUESTION
Comment fonder la priorité juridique
du droit nanocitoyen planétaire
sur le droit juridique existant
des états?
OBJET CONTEXTUEL
La nanocitoyenneté planétaire n’aurait pu être possible avant la mondialisation virale de l’usage quotidien du téléphone intelligent. En conséquence de quoi, Il devient donc possible que l’histoire du 21eme siècle puisse s’écrire par le biais d’une masse critique INOUIE de personnes humaines se percevant d’abord et avant tout comme DES NANOCITOYENS PLANÉTAIRES réclamant une reconfiguration juridique majeure accordant désormais une priorité non négociable aux droits de l’humanité sur le droit des états.
Mais comment conceptualiser un nanocitoyen planétaire?
Notre méthodologie de recherche se concentrera sur le cadre théorique de la genèse d’une vie humaine… soit celle de Michel Woodard, 66 ans, tout en identifiant les différentes stratifications de son cerveau l’ayant conduit de Michel Woodard à Michel chansonnier du Vieux Montréal, à Michel le concierge à Michel W concierge du pays œuvre d’art ier nanocitoyen planétaire, le tout documenté sur film et sur blogue, dans un contexte des grandes avances d’une conscience planétaire et de ses enjeux.
Puis l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) suggérera un passage conceptuel pragmatique entre LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, la nanocitoyenneté planétaire œuvre d’art et le pays œuvre d’art afin de proposer un laboratoire concret de mise en application d’une nanocitoyenneté planétaire par une chaire recherche universitaire.
L’objectif étant de proposer un dialogue performatif (Austin, Habermas) entre le droit juridique nanocitoyen planétaire construisant des mécanismes éthiques-juridiques permettant la priorité des droits de l’humanité sur le droit des états.
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sur you tube
Michel le concierge
sur Google
Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. Philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond
ONDE?
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Personnalité de la semaine: Phoebe Greenberg, aider l’art et l’avenir
Mécène derrière la Fondation DHC/Art et le Centre… (PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE)
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Mécène derrière la Fondation DHC/Art et le Centre Phi, Phoebe Greenberg est notre personnalité de la semaine.
Cette découverte a été rendue possible grâce à ce chercheur, bien sûr, mais aussi à deux femmes : Katherine McCormick qui a consacré sa fortune à cette recherche, et Margaret Sanger, infirmière New Yorkaise, fondatrice du Planning Familial
PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE
Pierre Des Marais, personnalité de la semaine
Marie-Claude Lortie
La Presse
Il y a dans le Vieux-Montréal, depuis 10 ans, un lieu où on peut aller voir gratuitement, en tout temps, de grandes expositions d’artistes de qualité muséale jouissant d’une réputation internationale.
Le lieu qui accueille ces importants événements d’art contemporain s’appelle la Fondation DHC/Art. Et son existence est un cadeau d’une grande mécène, Phoebe Greenberg, choisie personnalité de la semaine pour l’ensemble de son oeuvre.
Parce que Mme Greenberg ne célèbre pas uniquement les 10 ans de sa galerie, par les temps qui courent. Cette année, elle fête aussi les cinq ans du Centre Phi, une autre de ses créations.
Phi, qui est dans le Vieux-Montréal tout comme DHC, est un lieu de recherche projeté vers l’avenir. Là, en plus des expos et même d’une boutique d’objets inusités et d’une cuisine où l’art rejoint la nourriture, il y a surtout des événements, des projections, des présentations interactives où les artistes explorent la technologie avec la collaboration du public. « Ici, on veut rester proches de l’innovation et des grandes idées », explique Mme Greenberg en entrevue.
Si vous vous demandez ce que cela signifie, allez voir l’expo immersive Mondes oniriques, qui est là jusqu’au printemps, où la réalité virtuelle vous transformera en arbre en croissance, où vous prendrez place dans le corps d’une autre personne.
« Je m’intéresse vivement à l’avenir de l’art de raconter une histoire. »
– Phoebe Greenberg
À 53 ans, la mécène ne pense qu’au futur.
L’histoire de Phoebe Greenberg ressemble un peu à celle de Phyllis Lambert, autre grande mécène culturelle québécoise à qui on doit notamment le Centre canadien d’architecture. Mme Greenberg est aussi issue d’une famille dotée d’une immense fortune dont elle a hérité. Et elle investit aujourd’hui cet argent dans la culture pour enrichir Montréal de manifestations artistiques de haut niveau, pour aider les artistes d’ici, pour former le public sur l’art.
Sauf que Mme Greenberg n’est pas née à Montréal. Elle vient d’Ottawa, où sa famille a immigré pour fuir le nazisme. C’est là que se trouve encore aujourd’hui la société familiale, Minto, géant de la construction et de l’immobilier fondé par Irving, le père de Phoebe, avec ses frères.
CHOISIR MONTRÉAL, CHOISIR L’ART
Montréal est donc la ville que Phoebe a choisie, après des études et du travail en théâtre à Paris pendant huit ans, où elle avait la troupe Dining Horse Creations (DHC). Quand on lui demande pourquoi elle n’a pas opté pour Paris, New York ou Londres pour vivre sa vie de mécène – selon The Canadian Business Journal, la famille Greenberg dont elle fait partie vaut 1,58 milliard ; le monde était donc à sa portée -, Phoebe répond. « Il y a beaucoup de créativité ici. C’est sûr que ça reste une petite ville », dit-elle, surtout si on la compare à tant de mégapoles sur la planète. « Mais j’aime cette petite ville. »
Et d’où vient cette passion pour les arts ?
Phoebe Greenberg ne le sait pas.
Irving, qui est mort à 62 ans, n’était pas un artiste, comme sa fille adoptive (et enfant unique), mais il s’est présenté deux fois, en vain, pour le NPD. Shirley Greenberg, la mère de Phoebe, avocate, féministe depuis toujours, poursuit ses oeuvres de philanthropie. L’altruisme fait donc partie de la culture familiale.
Mais l’art est vraiment le domaine de prédilection de Phoebe, qui est heureuse que ses organismes aient rapidement trouvé leur place à Montréal, où ils font maintenant partie du paysage culturel.
Et où ils ont de l’influence, du rayonnement.
Phoebe Greenberg aide par exemple la maison de production Felix et Paul, qui pousse les frontières de la technologie avec des films de réalité virtuelle. À DHC, elle fait venir des artistes du bout du monde. Sous peu commence une expo du grand vidéaste américain Bill Viola. Il y a 10 ans, le grand Marc Quinn inaugurait les lieux. Des géants.
Collectionne-t-elle ? Non. Ou plutôt très peu. Une sculpture de Quinn, justement, Kate Moss, à l’entrée de Phi, rue Saint-Pierre. Une oeuvre alliant pierre et projection de l’artiste israélienne Michal Rovner au sous-sol de Phi, un petit Damien Hirst à l’étage, parmi d’autres signatures cruciales. Mais ce qui touche le plus Mme Greenberg, on le sent, c’est l’art qui bouge, vivant, comme Next Floor, le film qu’elle a fait avec Denis Villeneuve, tout juste avant les débuts des travaux de rénovation de l’ancien immeuble de lampe en cristal devenu le Centre Phi.
« Je suis fière de nos artistes, dit-elle. Et j’aurai toujours envie de dialogue global avec eux pour trouver les meilleures idées, en art, en culture, en innovation, partout. »
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