UN DOCTORAT SUR UNE PERSONNE HUMAINE ÉVITE LA FAUSSETÉ DE DÉPART D’UN AXIOME… LES QUATRE QUESTIONS DANS LA VIE DE MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART DEVENANT DES OPÉRATEURS AXIOMATIQUES D’UN SYSTÈME CONCEPTUEL UNIQUE

Ce matin, Michel a cogné à ma porte à 5h.30 am… ce qui nous a donné du temps de qualité pour réfléchir ensemble sur la nouvelle orientation du doctorat de l’équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette).

1) le fait de rédiger un doctorat au sujet d’un anonyme (MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART) pour rendre hommage à tous les anonymes de la planète terre qui n’ont pas encore reçu LE DROIT À LA DIGNITÉ ABSTRAITE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’art équitable.

2) le fait que l’on se penche en équipe sur l’archétype de Michel W concierge du pays œuvre d’art en partant de la naissance de Michel le concierge EN 1951, de l’identification des systèmes de concepts disponibles ( Michel étant un baby boomer, je me servirai comme base de réflexion du magnifique essai du brillantissime François Ricard, LA GÉNÉRATION LYRIQUE)

3) Michel de son côté montera sur un site privé you tube l’ensemble des archives photos de sa naissance à aujourd’hui qu’il commentera sur film (également numérisés sur you tube) de façon à ce qu’historiquement autant qu’anthropologiquement l’on puisse parcourir les systèmes conceptuels toxiques de sa société autant que le passege du Michel concierge à son archétype de Michel W concierge du pays œuvre d’art.

4) Tout concept formant dans l’histoire UN SOCIOGRAMME POLÉMIQUE IRRÉDUCTIBLE (Marc Angenot), je parcourerai et l’œuvre et la bibliographie d’un autre brillantissime québécois, Marc Angenot, professeur émérite à l’université Mc Gill de Montréal, titulaire de la chaire James McGill d’étude du discours social et membre de la société royale du Canada, ce qui me permettra de parfaire ma formation en réthorique argumentative, en logique informelle autant qu’en narratologie pour bien maîtriser la mise en intrigue du doctorat par l’analyse du discours, des entités linguistiques autant que pragmatiques.

EN CONSEQUENCE DE QUOI

Comme dans une argumentation conceptuelle se rencontre toujours un concept imposteur (Michel le concierge) qui doit être écarté par un concept réformateur (Michel W concierge du pays œuvre d’art), je miserai sur la valeur opérationelle des quatre questions du doctorat pour tenter d’éviter la fausseté de départ de tout axiome qui ignore la fragilité de quelque concept que ce soit, étant autant issus de la société qui le crée que de son action prospectiviste sur cette même société.

————

wikipedia

Marc Angenot

Marc Angenot est un professeur canadien de langue et littérature françaises, né en 1941 à Bruxelles. Il a enseigné à l’Université McGill à Montréal ; il est devenu professeur émérite en 2013. Il y demeure titulaire de la chaire James McGill d’étude du discours social. C’est un théoricien de la littérature, mais avant tout un analyste du discours et historien des idées, particulièrement des idéologies politiques (XIXe et XXe siècles). Il est depuis 1985 membre de la Société royale du Canada. Il a été élu pour 2011-2012 à la chaire Chaïm Perelman de théorie de l’argumentation et d’histoire des idées à l’université libre de Bruxelles. Il est marié à Nadia Khouri ; il a trois enfants : Maya, Valérie et Olivier.

Marc Angenot fait ses études supérieures à l’Université libre de Bruxelles de 1959 à 1967. Sa thèse de philosophie et lettres intitulée Rhétorique du surréalisme (dirigée par Albert Henry et soutenue en 1967) s’inscrit dans le courant de la redécouverte de la rhétorique avec les travaux de Chaïm Perelman (Université libre de Bruxelles) et ceux, ultérieurs, du « Groupe Mu » (Université de Liège).

Loin de s’en tenir à une approche formaliste ou structuro-fonctionnaliste, Angenot interroge le fait littéraire dans sa dimension sociale et compte parmi les théoriciens de l’approche dite « sociocritique ». Il serait toutefois réducteur de limiter les recherches d’Angenot à la sociocritique puisqu’il se décrit plus volontiers lui-même comme un analyste des discours sociaux. L’analyse sociodiscursive qu’il pratique tente de concilier les avancées de la rhétorique de l’argumentation à une lecture des textes attentive aux médiations socio-historiques et aux phénomènes d’interdiscursivité.

Appartenant à la même génération que Claude Duchet, Pierre V. Zima, Jacques Leenhardt, André Belleau, Jacques Dubois et Régine Robin et en dialogue avec eux, Angenot a contribué à l’approche sociologique des textes inspirée notamment des travaux du sociologue Pierre Bourdieu, de l’École de Francfort et de ceux, nouvellement traduits en français durant les années 1970, du théoricien russe de la littérature Mikhaïl Bakhtine.

L’originalité des travaux d’Angenot réside dans sa prise de position en faveur du concept de discours au détriment de celui, par trop structuraliste, de texte. En effet, la notion de « texte », à la suite des travaux de Gérard Genette ou de Tzvetan Todorov, a été considérablement déshistorisée et identifiée à une structure formelle où opèrent des stratégies narratives et génériques sans que ne soit prise en compte la socialité fondamentale de toute production textuelle. En conséquence, Marc Angenot privilégie le discours, c’est-à-dire l’usage effectif de la parole, dans sa dimension sociologique et dialogique impliquant des « entre-parleurs » (La parole pamphlétaire, 1982).

C’est dans ce contexte d’épuisement du texte, du structuralisme et du « tournant linguistique » (Saussure) des études littéraires qu’Angenot propose le concept de « discours social » (1889 : un état du discours social, 1989), un vaste projet de recherches pluridisciplinaires et interdiscursives qui tente de reconstituer le contexte discursif global dans lequel émergent les discours sociaux (de la littérature « distinguée » aux conversations « concierges », sans hiérarchie ni primat esthétique).

Pour Angenot le discours social est « tout ce qui se dit et s’écrit dans un état de société », tout ce qui relève des deux formes de mise en discours, c’est-à-dire la narration et l’argumentation (ce qui est « narrable » et « opinable » à un moment donné, dans une société donnée). Cette totalité en apparence cacophonique et désordonnée révèle pourtant des régularités génériques et thématiques; elle comporte également des répertoires topiques, des « gnoséologies » et des « phraséologies » communes et co-intelligibles.

Cette approche quasi archéologique des discours sociaux s’inscrit dans le sillage des théories de l’interaction verbale, du dialogisme et de la sémiologie « idéologique » élaborés par Bakhtine/Volochinov. De même, Angenot reprend au penseur marxiste non orthodoxe Antonio Gramsci le concept d’« hégémonie » pour en faire, en quelque sorte, le “moteur” du discours social, c’est-à-dire un noyau régulateur qui organise la « vaste rumeur » des discours sociaux.

Dans la théorie du discours social, l’hégémonie a un rôle topologique : c’est en fonction de ce moteur sociodiscursif que peuvent s’apprécier les phénomènes de “dominance” ou de marginalisation, en même temps que l’obsolescence de certains discours ou leur persistance à long terme. On rappellera à cet égard que le programme de recherche d’Angenot consiste – en première analyse – en une coupe synchronique (l’année 1889). Or cette option n’empêche aucunement des considérations d’ordre diachronique ou une approche de la « mémoire discursive » dont les textes portent la trace.

Comprise comme une entreprise de décloisonnement disciplinaire, la théorie du discours social peut être considérée comme un paradigme fécond pour l’analyse du discours et les cultural studies ; il s’agit aussi d’une perspective nouvelle pour les approches sociologiques de la littérature, et même, à certains égards, pour la pragmatique linguistique. Comme le discours social doit beaucoup aux recherches antérieures d’Angenot sur la rhétorique et l’argumentation, il s’agit également d’un programme de recherches compatible avec l’analyse des discours associés aux domaines de l’éloquence et de la parole persuasive. En effet, la théorie du discours social propose une approche du « vraisemblable » rhétorique à une échelle beaucoup plus vaste que ne le faisaient les approches traditionnelles de la rhétorique. Aussi faut-il noter que l’approche d’Angenot prolonge la théorie aristotélicienne des topoï et de l’opinable en leur donnant un cadre circonstancié et une efficace à l’intérieur d’un état de société.

Loin des cadres restreints de l’ethnométhodologie, par exemple, ou de la micro-sociologie interactionniste, Angenot reste fidèle à la tradition hégéliano-marxiste en ce sens qu’il privilégie l’analyse de la totalité (notion qu’il reprend dans le sillage des travaux de Georg Lukacs et de Karl Mannheim). C’est pourquoi il propose de rapprocher l’analyse sociodiscursive d’une «pragmatique socio-historique », perspective qui peut être rapprochée de la définition extensive (et fondatrice) de la pragmatique formulée par C. W. Morris (1938), laquelle ne se limitait pas à une linguistique de l’usage et de la parole en acte, mais bien à une vaste analyse psycho-sociologique et culturelle des signes.

Dans Critique de la raison sémiotique (1985) Angenot a émis de nombreuses réserves par rapport à la sémiotique d’obédience saussurienne et à la méthodologie qui prévaut généralement en linguistique (« scotomisation » de la socialité dans l’analyse, etc.). À une sémiotique trop souvent fondée sur le modèle linguistique, Angenot propose une sémiotique critique attentive aux configurations idéologiques (dans le sillage de celle proposée par Bakhtine dans Marxisme et théorie du langage) et à la praxis sociale (Bourdieu). La tâche du sémioticien tel que le conçoit Angenot est d’établir une «gnoséologie des pratiques» où les faits sémiotiques sont envisagés comme étant les produits d’une « sémiosis sociale » où interfèrent nécessairement des phénomènes d’idéologie, d’hégémonie et de stratification sociale.

En plus de contribuer au champ des études sociocritiques, Angenot est également considéré comme l’un des pionniers de la rhétorique du pamphlet et, plus largement, du discours polémique et des débats dans la vie sociale. C’est ce dont témoigne la publication d’un collectif intitulé La parole polémique (Gilles Declercq, Michel Murat et Jacqueline Dangel, dir., Paris, Champion, 2003) qui se veut un hommage à Marc Angenot qui a publié en 1982 un ouvrage de référence dans le domaine : La parole pamphlétaire.

Cette somme théorique constitue une vaste entreprise de typologie discursive qui met en lumière les différentes stratégies argumentatives et figurales mises en œuvre durant un siècle de production pamphletaire (de Rochefort à Guy Debord). Avec cet ouvrage et ses travaux ultérieurs, Angenot a dissocié l’analyse argumentative de ses corpus canoniques (littérature, conversation, publicité) pour l’appliquer notamment au discours sur la «supériorité des femmes» (Les champions des femmes, 1977), aux discours socialiste et anarchiste au tournant du XXe siècle (La propagande socialiste, 1996 ; Rhétorique de l’anti-socialisme, 2005) et, enfin, aux discours des utopistes, antisémites, progressistes et marxistes des deux siècles derniers (L’Utopie collectiviste, Un juif trahira, Le Marxisme dans les Grands récits).

En 2008, Angenot est revenu à la rhétorique en publiant un traité qui prétend renouveler l’étude de l’argumentation et de la persuasion dans la vie publique, dans les sciences humaines et en philosophie, Dialogues de sourds. Traité de rhétorique antilogique. Voir plus bas.

Conjointement à ses recherches en analyse socio-discursive, Angenot a également développé un champ de recherches connexe – l’« histoire discursive » – où il se propose d’examiner ce qu’il nomme, à la suite de Jean-François Lyotard, les « Grands récits ». Loin du postmodernisme et du « crépuscularisme » auquel cette notion reste souvent attachée, Angenot parle de « Grands récits » dans le contexte de la modernité. En fait, il préfère l’expression de « Grands récits militants » (lesquels succèdent historiquement à la Révolution et, donc, à la démocratisation et la libéralisation de l’Europe au XIXe siècle).

Dès lors, il s’agit pour Angenot d’interroger les discours (idéologies) qui émergent de cette nouvelle conjoncture ponctuée de révolutions et de luttes sociales. Les « Grands récits » s’articulent autour de penseurs emblématiques et idéologues tels Auguste Comte, Saint-Simon, Charles Fourier, Étienne Cabet, Pierre Leroux, Proudhon, le Belge Colins, Jules Guesde, Sorel, etc. Angenot constate que ces formations discursives se caractérisent par des schémas argumentatifs complexes et des « coupures cognitives » qui, le plus souvent, interdisent toute forme de dialogue et conduisent à des « dialogues de sourds » (tel est le cas entre socialistes et anarchistes au tournant du siècle).

Aujourd’hui, si l’on constate l’épuisement des « grands récits », on observe aussi l’émergence de « micro-récits » identitaires, nationalistes ou communautaires. Ces discours sont véhiculés par des groupuscules qui tendent souvent à se replier sur eux-mêmes et à se « réifier » en idéologie ou, plus précisément, en « idéologie du ressentiment », pour reprendre l’expression d’Angenot.

Ces « Grands Récits » restaient tributaires de l’idée de progrès et d’un « principe espérance (das Prinzip Hoffnung) » (Ernst Bloch), mais cette confiance en l’avenir s’est dissipée et a été battue en brèche par les tenants du postmodernisme. Alors que se « décompose l’idée de progrès » (D’où venons nous ? Où allons nous ?, 2001) et que s’émiette la logique progressiste, l’inflation des revendications identitaires, culturelles, locales, micro-contextuelles, etc., selon Angenot, doit nous amener à reposer la fameuse question : « Que faire ? ».

Dans un monde où les « micro-récits » et les réponses toutes-faites ne se comptent plus, c’est à cette question, semble-t-il, que renvoient les derniers travaux d’Angenot. Et le défi n’est pas d’y répondre ; l’expérience des « Grands récits » a trop souvent montré l’inadéquation des réponses et les dérives pratiques qu’elles ont suscitées ; il s’agit seulement de retrouver les conditions qui permettent, au moins, de la poser tout en maintenant « un regard sobre ». On verra sur ces points sa synthèse, Le marxisme dans les Grands récits. (2005)

Ouvrages récents en rhétorique et en histoire des idées[modifier | modifier le code]

En 2008, Angenot a publié aux éditions Mille et une nuits un traité de rhétorique fondé sur l’idée de malentendus dans l’échange argumenté et celle de coupures cognitives, Dialogues de sourds, traité de rhétorique antilogique. Il a également publié deux essais sur les discussions historiennes et philosophiques autour du processus de la sécularisation : Gnose et millénarisme : deux concepts pour le XXe siècle et En quoi sommes-nous encore pieux? Sur l’état présent des croyances en Occident. (P.U. Laval). Il a publié en 2014 aux Presses universitaires de Liège un essai de synthèse sur l’histoire des idées: Histoire des idées: Problématiques, objets, concepts, méthodes, débats.

Publications[modifier | modifier le code]
Le Roman populaire. Recherches en paralittérature, Montréal, Presses de l’Université du Québec, 1975.
Les Champions des Femmes. Examen du discours sur la supériorité des femmes, 1400-1800. Montréal, Presses de l’Université du Québec, 1977.
Glossaire pratique de la critique contemporaine. Montréal, H.M.H. / Hurtubise, 1979.
La Parole pamphlétaire. Contribution à la typologie des discours modernes. Paris, Payot, 1982. (Prix Biguet 1983 de l’Académie française).
Critique de la raison sémiotique. Fragment avec pin up. Montréal: Presses de l’Université de Montréal, 1985, 134 p. Traduit en anglais : Critique of Semiotic Reason. With an Introduction by Marie-Christine Leps. New York, Toronto, Legas, 1994.
Ce que l’on dit des Juifs en 1889. Préface de Madeleine Rebérioux. Paris, Presses de l’Université de Vincennes, 1989, 192 p. (Collection « Culture et Société »).
Le Cru et le faisandé: sexe, discours social et littérature à la Belle Époque. Bruxelles: Labor, 1986. (Collection « Archives du futur »).
Mille huit cent quatre-vingt-neuf: un état du discours social. Montréal / Longueuil: Éditions du Préambule, 1989, 1.176 p. (Collection « L’Univers des discours »)
Le Centenaire de la Révolution. Paris: La Documentation française, 1989. (Collection «Les Médias et l’Événement»)
Topographie du socialisme français, 1889-1890. Montréal, Discours social, 1990. 210 p. Nouvelle édition corrigée : 2006.
L’Œuvre poétique du Savon du Congo. Paris: Éditions des Cendres, 1992.
L’Utopie collectiviste. Le Grand récit socialiste sous la Deuxième Internationale. Paris: Presses universitaires de France, 1993.
La Propagande socialiste: six essais d’analyse du discours. Montréal: Éditions Balzac, 1996.
« Un Juif trahira » : l’espionnage militaire dans la propagande antisémitique, 1884-1894. Montréal: CIADEST, 1994. Réédition en 2002.
Les idéologies du ressentiment. Essai. Montréal: XYZ Éditeur, 1996. (Prix «Spirale» de l’Essai 1996).
La Critique au service de la révolution. Louvain, Peeters et Paris, Vrin, 2000.
Interdiscursividades. De hegemonìas y disidencias. Traducido por Maria Teresa Dalmasso. Córdoba : Editorial Universidad nacional de Còrdoba, 1998. Réédition: 2010.
Colins et le socialisme rationnel, Montréal: Presses de l’Université de Montréal, 1999.
Les Grands Récits militants des XIXe et XXe siècles : religions de l’humanité et sciences de l’histoire, Paris: L’Harmattan, 2000.
D’où venons-nous, où allons-nous ? La décomposition de l’idée de progrès, Montréal: Éditions du Trait d’union, 2001.
La démocratie c’est le mal, Québec, Presses de l’Université Laval, 2003.
Antimilitarisme : idéologie et utopie, Québec, Presses de l’Université Laval, 2003.
Rhétorique de l’anti-socialisme, Québec, Presses de l’Université Laval, 2004.
Le Marxisme dans les Grands récits, Paris & Québec, L’Harmattan-PUL, 2005.
Avec Mai-Linh Eddi et Paule-Monique Vernes, La tolérance est-elle une vertu politique?, Québec, Presses de l’Université Laval, 2006.
Vivre dans l’histoire au XXe siècle. Mémoires, déchiffrements, mandats, craintes et espérances. Esquisse d’une histoire subjective. Montréal, Discours social, 2008.
Dialogues de sourds : Traité de rhétorique antilogique, Paris, Mille et une nuits, 2008.
Gnose et millénarisme : deux concepts pour le XXe siècle, Montréal, Discours social, 2008.
Dialogue entre Laurence Guellec et Marc Angenot. Rhétorique, théorie du discours social, XIXe siècle, histoire des idées. Montréal, Discours social, 2008.
En quoi sommes-nous encore pieux? Sur l’état présent des croyances en Occident, Québec, Presses de l’Université Laval, 2009.
L’Immunité de la France envers le fascisme : un demi-siècle de polémiques historiennes, Montréal, Discours social, 2009.
El discurso social, Buenos Aires, Siglo Veintiuno, 2010.
Les dehors de la littérature : du roman populaire à la science-fiction, Paris, Honoré-Champion, 2013
Rhétorique de la confiance et de l’autorité. Montréal, Discours social, 2013.
L’histoire des idées. Liège : Presses universitaires de Liège,Collection « Situations », 2014.
Fascisme, totalitarisme, religion séculière: trois concepts pour le 20e siècle. Montréal, Discours social, 2014-2015. 4 volumes.
O discurso social e as retòricas da incompreensao. São Carlos : Edufscar, 2015.
Robespierre et l’art du portrait. Montréal: Discours social, 2016.

Distinctions[modifier | modifier le code]
1983 – Prix Biguet de l’Académie française
1985 – Membre de la Société royale du Canada
1987 – Bourse Killam
1996 – Prix André-Laurendeau décerné par l’Association francophone pour le savoir
1996 – Prix Spirale Eva-Le-Grand
2001 – Chaire de recherche James McGill, Université McGill
2005 – Prix Léon-Gérin – Prix du Québec
2012 – Chaire Chaim Perelman de rhétorique et histoire des idées, Université libre de Bruxelles, 2012

SUR GOOGLE
MARLENE A JARDINIÈRE DU PAYS OEUVRE D’ART
MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART
PIERROT VAGABOND