LA QUESTION DE DOCTORAT ÉVOLUE… QUELLES SONT LES CONDITIONS D’INTELLIGENCE ÉCOPHILANTHROPIQUES NÉCESSAIRES AU SURGISSEMENT DU PREMIER PAYS OEUVRE D’ART SUR LA PLANÈTE TERRE?

Michel le concierge, Marlène la jardinière et Pierrot le vagabond céleste déposeront le film « LE PAYS OEUVRE D’ART?» aux pré-sélections des rencontres internationales du documentaire de Montréal au mois de mars 2016, à l’adresse suivante:

RENCONTRES INTERNATIONALES

DU DOCUMENTAIRE DE MONTRÉAL

5333 AVENUE CASGRAIN, SUITE 1109,

MONTRÉAL (QUÉBEC) CANADA H2T 1X3

TÉLÉPHONE : +1 / 514-499-3676

INFO@RIDM.QC.CA

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Michel et Marlène n’ont pas cessé de travaillé sur le montage du film pendant que de mon côté j’ai poursuivi assidument mes lectures…

Hier soir, nous avons visionné le résultat… il reste juste l’énoncé de ma question de doctorat à uptader… car la notion D’ÉCOPHILANTHROPIE vient juste d’être créée, résultat de lectures, de réflexions et de laboratoires de nos discutions quoditiennes matinales. Je crois que nous sommes les premier à utiliser ce néologisme (jusqu’à preuve du contraire:))))).

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Les rencontres internationales du documentaire de Montréal se tiendront du 10 au 20 novembre 2016.

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Pierrot vagabond

EXCELLENT ARTICLE DE NICOLE MORGAN SUR LE RIRE D’UMBERTO ECO

«… Qu’on ne se méprenne pas: le rire d’Umberto Eco n’était ni rictus, ricanement, ou même moquerie. Il était un grand philosophe au sens où il n’a cessé de scruté ce qu’on appelle le réel pour EN DÉGAGER L’ESSENCE sous ses manifestations mouvantes. Son rire, c’était la tendresse en plus pour les histoires que les humains ne cessent de se raconter afin de masquer leur peur, leur solitude, et leur désir d’éternité, de fixation sur des vérités absolues. C’ÉTAIT LE RIRE DE LA JOIE D’ÊTRE HUMAIN…»

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La lecture d’au nom de la rose d’Umberto Eco déclencha en moi l’idée de faire une maîtrise en philosophie sur le rire à l’Université de Montréal. D’autant plus que je pratiquais le métier d’artiste de scène où je faisais rire les gens 250 fois par année. J’étais habité par une question: Celle de Monroe … pourquoi le sucre est-il sucré pour tous et un gag n’est pas drôle pour tous?

Durant plus de 14 ans, avec mon dévoué partenaire de scène Denis Lamarre (duo Rochette Lamarre, 18 ans de carrière), je me promenai avec mes livres d’une scène à l’autre, parce que je cherchais le passage esthétique entre les rires de supériorité ou de libération et LES RIRES D’INCONGRUITÉS. Réussir techniquement, sur scène, le passage d’une forme axiologique à une autre, puis réfléchir la nuit au retour fut une immense source d’excitation intellectuelle.

J’ai donc, f=dans un sens fait une recherche de doctorat dans un cadre de maîtrise. J’avais le temps et mon objectif n’était pas le diplôme mais l’amour immodéré de la connaissance qui ne m’a jamais quitté depuis. J’aimais être un vagabond intellectuel, je ne puis maintenant être rien d’autre:)))))

Ce fut des années merveilleuses car, contrairement aux théoriciens Bergson, Monroe, Morreal et les autres, je pouvais tous les soirs écrire des numéros et vérifier l’opérationnalité de mes argumentations théoriques.

Je regrette aujourd’hui de ne pas avoir réussi à bien définir l’émotion dans le rire… parce que je n’ai découvert que l’année passée LA NOUVELLE THÉORIE DE L’ÉMOTION DE Jean-Paul SARTRE, 1948.

Ma carrière d’artiste de scène n’aurait jamais été si vie personnelle œuvre d’art si elle n’avait pas servi en tout premier lieu à des recherches universitaires, intenses, heureuses même si je n’avais pu trouver aucun directeur de thèse qui connaissait mon sujet.

Un gros merci donc à Umberto Eco et son roman AU NOM DE LA ROSE.

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Pierrot vagabond

QUELLES SONT LES CONDITIONS D’INTELLIGENCE PHILANTHROPIQUE NÉCESSAIRES AU SURGISSEMENT DU PREMIER PAYS OEUVRE D’ART SUR LA PLANÈTE TERRE?

Ma question de doctorat semble trouver une piste d’hypothèses fortes dans le dernier livre de Jeremy Rifkin: (traduction française 2014)… Cette découverte me plaît au point où j’envisage de lire systématiquement sa bibliographie de façon à mieux évaluer si l’adéquation de ses thèmes et de ses détails conceptuels peut alimenter la contextualisation et l’architecture argumentative de mes propres paramètres.

Titre de son livre prospectiviste:

LA NOUVELLE SOCIÉTÉ DU COÛT MARGINAL ZERO
L’INTERNET DES OBJETS
L’ÉMERGENCE DES COMMUNAUX COLLABORATIFS
ET L’ÉCLIPSE DU CAPITALISME.

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TEXTE DE LA PAGE ARRIÈRE

Les règles du grand jeu de l’économie mondiale sont en train de changer. Le capitalisme se meurt et un nouveau paradigme qui va tout bousculer s’installe: LES COMMUNAUX COLLABORATIFS.

C’est une nouvelle économie qui se développe, où la valeur prime sur la propriété, où la durabilité supplante le consumérisme et où la COOPÉRATION chasse la concurrence. Ces communaux collaboratifs sont en plein essor: auto-partage, le crowfunding, le couchsurfing, les producteurs contributifs d’énergie verte ou même d’objets avec les imprimantes 3d. Ils offrent un espace fait de millions D’ORGANISATIONS AUTOGÉRÉES (vie personnelle œuvre d’art?) qui créent le capital social de la société.

Ce nouveau paradigme est favorisé par l’émergence des réseaux sociaux et de l’Internet des objets, qui sera bientôt omniprésent dans notre quotidien. Il se matérialisera par ces milliards de capteurs disposés sur les ressources naturelles, les chaînes de production, implantés dans les maisons, les bureaux et même les êtres humains, alimentant en big data un réseau mondial intégré, sorte de système nerveux planétaire.

En parallèle, le capitalisme miné par sa logique interne de productivité extrême, rend le coût marginal – qui est le coût de production d’une unité supplémentaire d’un bien ou d’un service – quasi nul. Si réaliser chacune de ces unités supplémentaires ne coûte rien, le produit devient donc presque gratuit et le profit, la sève qui fait vivre le capitalisme, se tarit. Avec le développement d’une vaste classe de prosommateurs – consommateurs devenus des producteurs contributifs – c’est, pour Jeremy Rifkin, le signe que l’ère capitalisme dans laquelle nous vivons arrive à sa fin…

Jeremy Rifkin dessine ici remarquablement ce NOUVEAU PARADIGME COLLABORATIF (philanthropique?) qui mènera à une société plus intelligente et durable…

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Pierrot vagabond

L’ANONYMAT, FONDEMENT D’UNE POÏÉTIQUE ÉCO-INTELLECTUELLE À EMPREINTE SYSTÉMIQUE POÉTIQUE

Ce qui m’apparaît intéressant d’un blogue, c’est l’objectif. Le mien n’est pas d’être lu mais de poser des ancrages paradigmatiques à une question qui ne retrouve pas les enjeux nécessaires à sa problématique dans les irritants actuels de la vie universitaire, affective ou civile.

En ce sens, j’admire D.H. Thoreau et son anarchisme constructif tel qu’il se dessine dans ma cabane dans le bois, comme celui de Borduas dont la maison de St-Hilaire est un brillant témoignage issu de l’ermétisme ascétique de son maître Ozéas Leduc.

Mais dans un monde où tout est incroyablement inter-relié numériquement, je ressens comme un privilège de passer 15 heures par jour, 7 jours par semaine dans le silence d’une bibliothèque universitaire, de faire un doctorat sans y être inscrit et de vagabonder la connaissance en artiste activiste humaniste pour mieux danser ma vie personnelle œuvre d’art d’ici sa finale en 2018 pour mes 70 ans par la marche anonyme au secrétariat de l’ONU.

Michel le concierge, à la suite de mes récentes lectures, a refait les scènes de dialogue du début du documentaire «LE PAYS OEUVRE D’ART?». Hier soir, Marlene Michel et moi avons visionné son travail…. Quel plaisir d’être l’ami d’un couple qui s’aime.

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Pierrot vagabond

ÉTÉ 2018…. MARCHE DE LA MAISON DE BORDUAS AU SECRÉTARIAT DE L’ONU À NEW YORK…. LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… ANNEXE AUX DROITS DE L’HOMME

Comme tout se précise… plus j’étudie les relations internationales versus l’ONU et ses agrégats satellites, plus je demeure convaincu que le préambule de la quatrième génération des droits de l’homme doit reposer sur LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART comme droit inaliénable de toute personne humaine habitant sur la planète terre.

L’été 2016, je partirai donc anonymement de la maison de Borduas à St-Hyacinthe (le refus global) pour marcher solitairement vers le secrétariat de l’Onu le long de l’est River à Manhattan, New York (l’édifice de 39 étages) pour y déposer une proposition pour le 70ème anniversaire et du refus global et de la déclaration des droits de l’homme de 1948.

Je souhaite que ce geste soit anonyme, Je laisserai le message au gardien à l’entrée pour être remis au secrétaire général de l’Onu en main propre. Ce geste, issu de l’art de l’infiltration sociale par un artiste activiste humaniste, servira de fondement à mon cadre théorique, comme à l’écriture argumentative de mon doctorat, au cœur de ma stratégie contextuelle du CANADA PAYS OEUVRE D’ART.

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Une des conditions d’intelligence philanthropique nécessaire au surgissement du premiers pays œuvre d’art sur la terre m’apparaît la primauté des droits de l’homme sur celle du droit des états (souveraineté).

Et ces droits de l’homme doit reposer sur le premier droit qui est celui de la liberté à rêver sa vie sous forme de quatre questions: 1- Quel est ton rêve? Dans combien de jours? qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

La beauté du monde est un bien mondial, comme la paix, comme la lune, qui appartient à toute l’humanité civile et non aux états, dysfonctions de la coutume historique où tous les droits dysfonctionnels sont honteusement, je dirais même scandaleusement protégés par la règle de la souveraineté absolue, sous laquelle se cachent les riches pour exploiter les démunis de la planète.

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Pierrot vagabond

LA GLOBALISATION DU DROIT PERMETTRA PEUT-ÊTRE UN JOUR AU DROIT DE BATTRE LA FORCE DE LA FORCE PAR LA FORCE (Michel le concierge)

Dans une nano-démocratie planétaire où les enjeux mondiaux comme l’eau, l’environnement, les services éco-systémiques obligeront la création d’une nouvelle gouvernance, conséquence de la liquéfaction des frontières des états post-nationalistes par l’impuissance citoyenne à faire respecter les droits de l’homme, la montée de la globalisation du droit me semble incontournable.

Et comme le dit si bien mon partenaire de recherche intellectuelle Michel le concierge, le droit aura un jour la force de battre la force par la force, cette force issue de la vie personnelle œuvre d’art, masse critique d’une future planète œuvre d’art.

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Pierrot vagabond

LE BUNKER DES POÈTES DE SUZANNE FORTIN… UNE CHANSON HOMMAGE À NOTRE GAGNE POÉTIQUE DE RECYCLO-LIVRES À VICTORIAVILLE

J’ai retrouvé dans mes vieux cahiers la chanson que Suzanne Fortin, de l’association des écrivaines et écrivains de Victoriaville, avait écrit pour peindre ce que notre gagne d’écrivains vivaient autour de la table sur laquelle je dormais la nuit, dans la cave de Recyclo-livres, l’osbl dont le remarquable Gérard Cadieux était le gérant. Merci à Suzanne, Gérard et tous les autres pour ces très émouvants moments de créativité et de rêve. Suzanne m’y surnomme l’allumeur de rêves.

LE BUNKER DES POÈTES

-1-
Au bunker des poètes, pas besoin de fenêtre
chacun jouit d’un soleil qui danse sur son cœur
la pièce s’illumine, rassasie de lueurs
des rêves se dessinent et emportent les peurs

lalalala…lalalala…

-2-

Au bunker des poètes, par les soirs de tempête
on y voit débarquer des chercheurs d’amitié
du haut de leur déveine, du fond de leur brouillard
ils portent leur rengaine, sur une note d’espoir.

lalalala…lalalala….

-3-

Le bunker des poètes, par les journées de grand vent
se fait la goélette, bercée par le vent
au gré du capitaine, qui a tant navigué
son regard nous ramène, un goût de liberté

lalalala…. lalalala….

-4-

Au bunker des poètes, lorsque s’allonge la nuit
y a l’allumeur de rêves, qui veille et écrit
sur les lettres qui glissent, ses doigts endimanchés
pour les mots qui tapissent, son œuvre inachevée

lalalala…. lalalala…..

-5-

Le bunker des poètes, s’habille de jours de fête
quand les fumeurs de pipe osent se raconter
leurs peines et souffrances, leurs joies et espérances
juste pour marier, leurs rêves entremêlés

lalalala… lalalala….

-6-

Au bunker des poètes, quelle étonnante magie
souvent le temps s’arrête, si ému qu’il rougit
témoin de la tendresse, aux couleurs d’amitié
gentiment il leur laisse, un peu d’éternité.

Simone Fortin
recyclo-livres
Victoriaville
2015

LE VAGABOND CELESTE DE SIMON GAUTHIER…. LE RÊVE D’UN HOMME

Les Contes Nomades

Le Vagabond céleste
22 avril 2016, 19 h 30

Quatrième Salle du CENTRE NATIONAL DES ARTS
À ottawa

Simon Gauthier, cet égoïniste (il joue de la scie) est arrivé au conte comme on tombe amoureux, avec fougue et passion. Il sera accompagné du musicien Benoit Rolland dans une mise en scène de Daniel Gaudet.

Le Vagabond céleste, c’est l’histoire d’un gars qui a une licence en humour, une maîtrise en vagabondage, un doctorat en intelligence collective. Rien ne fait peur à Pierre Rochette, alias Pierrot. Il troque sa maison contre une paire de bottes pour aller plus loin dans la vie. Certains le croient fou, d’autres crient au génie. Une chose est certaine : quand on choisit la liberté, on ne laisse personne indifférent…

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Au fur et à mesure de mes dialogues avec mon partenaire de recherche intellectuel Michel le concierge, je commence à mieux cerner la thématique du spectacle LE VAGABOND CÉLESTE du conteur international Simon Gauthier, qui se promène autant en Europe qu’au Canada.

Simon raconte le rêve d’un homme qui est celui de tout abandonner pour vagabonder et allumer des rêveurs par quatre questions: 1-Quel est ton rêve? 2- Dans combien de jours? 3-qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4- En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Mais l’objectif du spectacle est non pas de célébrer le rêve d’un homme, mais d’ensemencer les personnes humaines de quatre questions pour qu’à leur tour, elles marchent intensément et joyeusement vers leur rêve.

Le vagabond céleste, c’est comme dire…. marche vers ton rêve comme cet homme a marché vers le sien.

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Ce qui me ramène au dictionnaire de vocabulaire d’esthétisme du grand historien d’art Etienne Souriau, publié par les presses universitaires de France.
Comme je l’ai acheté, lu et souligné les 1500 pages… j’ai pu faire une découverte paradigmatique, dans un tout petit extrait de la page 101 sous l’item amour. En voici l’extrait:

« ON POURRAIT ENFIN CONSIDÉRER LES SENTIMENTS RÉELLEMENT VÉCUS COMME LES OEUVRES D’UN ART DE VIVRE. INDÉPENDAMMENT DE TOUTE MUTATION ARTISTIQUE ET DE L’ÉLABORATION DE POÈMES, DE PEINTURES OU SYMPHONIES, PEUT-ÊTRE UN SENTIMENT D’AMOUR TRÈS BEAU ET PORTÉ À UNE SORTE DE PERFECTION POURRAIT-IL ÊTRE CONSIDÉRÉ EN LUI-MÊME COMME UNE OEUVRE D’ART.

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Par un intuition remarquable, Souriau en confondant le sentiment amoureux en lui-même et le sentiment dans sa perfection lorsqu’il est la conséquence du rêve d’une personne….. a malgré lui préfiguré les paramètres mêmes même de LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART.

L’être humain devient une œuvre d’art quand il vit poïétiquement son rêve, la marche vers son rêve dans une perfection émouvante. Et c’est cela que Souriau n’a pas vu. Ce n’est pas le sentiment amoureux ou le vagabondage d’un homme qui est une œuvre d’art en soi, mais la marche vers un rêve, qu’il s’agisse d’un rêve amoureux ou d’un rêve de vagabondage quand il est vécu dans la beauté esthétique la plus artistiquement signée. Mon père appelait ce type d’art, l’art des artistes du quotidien.,

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’ai incité Michel le concierge à scénariser un film documentaire sur son histoire d’amour avec Marlene, parce que je considérais que le Michel amoureux de sa femme depuis 35 ans était une œuvre d’art dans le sens du dictionnaire d’Etienne Souriau, de la page 101.

C’EST LE RÊVE D’UN HOMME qui, par son rêve amoureux pour sa femme, fait de sa vie une vie personnelle œuvre d’art… et j’intuitionne qu’un pays œuvre d’art pourrait surgir d’une masse très minime de vies personnelles œuvre d’art, un peu comme cela se passe théoriquement avec L’ORDRE SPONTANÉ chez les néo-libéralistes (Polanyi, Hayek Miles et Menger….) mais dans une nouvelle lignée conceptuelle de ce que j’appellerais LE SUBJECTIVISME MÉTHODOLOGIQUE ESTHÉTIQUE.

Soudainement…. UN PAYS OEUVRE D’ART surgit de nulle part (comme l’apparition de la première monnaie), parce qu’une institution non programmée constructivement ou pragmatiquement se dialogue de façon spontanée, non collective, réseautiquement et nano-numériquement mais non holistiquement, de respect et d’abondance par et pour le concept d’une vie œuvre d’art sur la planète terre.

La vie œuvre d’art sur la planète terre, c’est le surgissement d’un nouveau bien mondial qui aura une valeur aussi grande que l’eau, l’air, la paix, la biodiversité. Ce sera l’éco-système existentiel qui donnera peut-être la soif d’une terre gérée pour le mieux-être œuvre d’art de toute l’humanité, sans en oublier un seul humain.

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Pierrot vagabond

LA FONDATION CHAGNON… LE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART À LA RECHERCHE DE CONDITIONS D’INTELLIGENCE PHILANTHROPIQUE

Le titre du Devoir de ce matin est particulièrement révélateur:

PERSÉVÉRANCE SCOLAIRE, QUÉBEC RELÂCHE SES EFFORTS, la philanthropie ne peut se substituer à l’état dans la lutte contre le décrochage, prévient la fondation Chagnon.

Cela rejoint ma question de doctorat:

QUELLES SONT LES CONDITIONS D’INTELLIGENCE PHILANTHROPIQUE NÉCESSAIRES AU SURGISSEMENT DU IER PAYS OEUVRE D’ART?

A mon humble avis, ce qui manque à la fondation Chagnon, c’est un think tank non pas sur l’éducation et le décrochage scolaire, mais sur les conditions optimales d’intelligence philanthropique permettant cette philosophie citoyenne de réinventer l’Etat œuvre d’art par l’éducation à la vie personnelle œuvre d’art.

Et en ce sens, que chaque élève se perçoive comme un artiste activiste humaniste dans son milieu scolaire m’apparaît une variable de l’ordo-démocratie scolaire nano-moderniste incontournable si on regarde le décrochage scolaire sous l’angle de l’individualisme méthodologique esthétique.

Bravo à Jean-Marc Chouinard, vice-président de la fondation et à toute son équipe.

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YANN MARTEL ET LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART PAR DES POLITICIENS RÊVEURS

Ça fait plus de 15 ans maintenant que j’ai pris la décision de vagabonder le Canada l’été pour allumer des rêveurs, des vies personnelles œuvre d’art, en les ensemençant de quatre questions:

1- Quel est ton rêve?
2- Dans combien de jours?
3- Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4- En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du
monde? (sur Google, le vagabond céleste, Simon Gauthier)

Le Canada pays œuvre d’art ne pourra surgir que par une masse critique de vies personnelles œuvre d’art parmi lesquelles des politiciens rêveurs surgiront pour  imaginer l’avenir de la citoyenneté philanthropique.

Dans le devoir de ce matin, un extraordinaire article sur l’auteur Yann Martel intitulé; PLAIDOYER POUR UN POLITICIEN RÊVEUR. Martel donne entre autres l’exemple de Douglas qui a créé l’assurance-maladie pour bien illustrer l’importance vitale de politiciens rêveurs dans un pays.

Plus je lis sur l’histoire du libéralisme (Néro, un 1500 pages), celle du néo-libéralisme, du socialisme ou du communisme, (car durant l’année je vagabonde systématiquement les bibliothèques universitaires), plus je me rend compte que l’histoire du Canada doit s’enseigner d’abord en soulignant les grands rêveurs du Canada qui ont transcendé les conditions transhistoriques, les enjeux socio-politiques de la langue, la race ou la religion par leur imagination et leur amour de la beauté à travers l’action politique.

On doit éduquer les jeunes de ce pays à rêver, d’abord leur vie, puis ensuite leur pays par une imagination philanthropique où le juste s’harmonise avec l’utile, où le beau se poétise avec le vrai.

Il nous faut plus de Douglass….plus de politiciens rêveurs… Voilà l’extraordinaire message de Yann Martel.

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Pierrot vagabond