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LES BOTTES DE MON GRAND-PERE LUCIEN… OU L’ERR(E)NCE POÉTIQUE D’ULYSSE ET DES COUREURS DES BOIS

Le passage entre l’individu (l’errance fantomatique), la personne (l’errance axiologique) et l’archétype (l’er(e)nce poétique, c’est le passage entre le JE qui souffre, le MOI esclave de son capital social et le NOUS SCULPTÉ issu d’une lignée poétique historique.

Le vagabond céleste, mon archétype sculpté, n’aurait pas été possible si les bottes de mon grand-père Lucien POUR ALLER PLUS LOIN DANS LA VIE ne m’avaient pas poétiquement inscrit au cœur même de l’err(e)nce poétique d’Ulysse dans l’Odyssée d’Homère.

Quand mon grand-père Lucien à St-Raymond de Portneuf échange son cheval contre une paire de bottes pour aller plus loin dans la vie, il revient à La Tuque pour le mariage de mon père.

Sur la photo de noces que possède mon frère François, personne n’est de bonne humeur… Et pour cause… La mère de ma mère est contre ce mariage et a prétexté des problèmes cardiaques pour ne pas y aller, mon Grand-père Lucien voulant y aller avec ses bottes pour aller plus loin dans la vie a créé un immense conflit avec son fils le futur marié qui travaillant chez H.R.Hillier veut acheter une paire de souliers à son père pour éviter un scandale inutile…

Toute la poésie d’Ulysse a fait que dans mes premières années de vagabondage, je suis parti avec les bottes de mon grand-père (imaginaires) qu’on m’a remplacées à La Tuque par des neuves parce qu’elles étaient trouées (j’ai prétendu qu’elles vaudraient une fortune après ma mort et j’ai su il y a deux ans que le monsieur mari de Madame Beaulieu les avaient encore). Je me les suis fait volées à Val D’or, on me les a remplacées par des bottes de femmes, puis à Levis on me les a remplacées par des bottes d’armée qui me faisaient enfin parfaitement bien:)))). Puis par des Mocassins à Sept-iles, puis Richard le peintre a fait une collecte à Tadoussac pour m’en acheter une neuve:)))))

Tout ça pour dire que les bottes de mon grand-père ont fait de mon je, un moi, sculptant le nous comme Homère avec sculpté littérairement le ier archétype de ce nous avec les bottes d’Ulysse dans son Odyssée.

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wikipedia

L’Odyssée (en grec ancien Ὀδύσσεια / Odússeia) est une épopée grecque antique attribuée à l’aède Homèrenote 1, qui l’aurait composée après l’Iliade, vers la fin du VIIIe siècle av. J.-C. Elle est considérée comme l’un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature et, avec l’Iliade, comme l’un des deux poèmes fondateurs de la civilisation européenne.

L’Odyssée relate le retour chez lui du héros Ulysse, qui, après la guerre de Troie dans laquelle il a joué un rôle déterminant, met dix ans à revenir dans son île d’Ithaque, pour y retrouver son épouse Pénélope, qu’il délivre des prétendants, et son fils Télémaque. Au cours de son voyage sur mer, rendu périlleux par le courroux du dieu Poséidon, Ulysse rencontre de nombreux personnages mythologiques, comme la nymphe Calypso, la princesse Nausicaa, les Cyclopes, la magicienne Circé et les sirènes. L’épopée contient aussi un certain nombre d’épisodes qui complètent le récit de la guerre de Troie, par exemple la construction du cheval de Troie et la chute de la ville, qui ne sont pas évoquées dans l’Iliade. L’Odyssée compte douze mille cent neuf hexamètres dactyliques, répartis en vingt-quatre chants, et peut être divisée en trois grandes parties : la Télémachie (chants I-IV), les Récits d’Ulysse (chants V-XII) et la Vengeance d’Ulysse (chants XIII-XXIV)2,1.

L’Odyssée a inspiré un grand nombre d’œuvres littéraires et artistiques au cours des siècles, et le terme « odyssée » est devenu par antonomase un nom commun désignant un « récit de voyage plus ou moins mouvementé et rempli d’aventures singulières »

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Pierrot vagabond

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michel le concierge

L’ERR(E)NCE POÉTIQUE OU UN VIEUX MONSIEUR AU BÂTON DE PELERIN QUI VAGABONDE LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART

L’histoire du vagabondage sur la terre atteint son chef d’œuvre d’err(e)nce poétique avec le concept de «FLÂNERIE» de BAUDELAIRE qui mènera à son exploration créatrice éblouissante de modernité par WALTER BENJAMIN…. Le vagabond céleste se situe dans la perspective nano-moderniste de cette trajectoire qui part d’Ulysse en passant par les pré-socratique, puis par Benoît Labre, François d’Assise, Ignace de Loyola, D.H. Thoreau pour être enfin théorisée par Baudelaire et espace-mondialisé par Benjamin.

Chaque vie personnelle œuvre d’art découle donc d’une perception de soi-même comme d’un archétype d’err(e)nce poétique créant par sa masse critique un ensemencement sociétal, d’où surgit utopiquement un pays œuvre d’art d’un état-territoire emprisonné dans ses millénaires conflits de langue, de race et de religion.

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wikipedia

Charles Baudelaire a utilisé le mot flâneur pour caractériser l’artiste dont l’esprit est indépendant, passionné, impartial, « que la langue ne peut que maladroitement définir ». « Pour le parfait flâneur, pour l’observateur passionné, c’est une immense jouissance que d’élire domicile dans le nombre, dans l’ondoyant, dans le mouvement, dans le fugitif et l’infini. Être hors de chez soi, et pourtant se sentir partout chez soi ; voir le monde, être au centre du monde et rester caché au monde »1. Sous l’influence de Georg Simmel2, le philosophe allemand Walter Benjamin3 (traducteur de Baudelaire) a développé cette notion et, après lui, beaucoup d’autres penseurs ont aussi travaillé le concept de « flâneur », en le liant à la modernité, aux métropoles, à l’urbanisme et au cosmopolitisme.

Selon Charles Baudelaire[modifier | modifier le code]

Charles Baudelaire
« Le Peintre de la vie moderne », dans Le Figaro, 1863.
« Observateur, flâneur, philosophe, appelez-le comme vous voudrez ; mais vous serez certainement amené, pour caractériser cet artiste, à le gratifier d’une épithète que vous ne sauriez appliquer au peintre des choses éternelles, ou du moins plus durables, des choses héroïques ou religieuses. Quelquefois il est poète ; plus souvent il se rapproche du romancier ou du moraliste ; il est le peintre de la circonstance et de tout ce qu’elle suggère d’éternel. Chaque pays, pour son plaisir et pour sa gloire, a possédé quelques-uns de ces hommes-là. Dans notre époque actuelle, à Daumier et à Gavarni, les premiers noms qui se présentent à la mémoire, on peut ajouter Devéria, Maurin, Numa, historiens des grâces interlopes de la Restauration, Wattier, Tassaert, Eugène Lami, celui-là presque anglais à force d’amour pour les élégances aristocratiques, et même Trimolet et Traviès, ces chroniqueurs de la pauvreté et de la petite vie. »

— II – Le croquis de mœurs

« Pour le parfait flâneur, pour l’observateur passionné, c’est une immense jouissance que d’élire domicile dans le nombre, dans l’ondoyant, dans le mouvement, dans le fugitif et l’infini. Être hors de chez soi, et pourtant se sentir partout chez soi ; voir le monde, être au centre du monde et rester caché au monde, tels sont quelques-uns des moindres plaisirs de ces esprits indépendants, passionnés, impartiaux, que la langue ne peut que maladroitement définir. L’observateur est un prince qui jouit partout de son incognito. L’amateur de la vie fait du monde sa famille, comme l’amateur du beau sexe compose sa famille de toutes les beautés trouvées, trouvables et introuvables ; comme l’amateur de tableaux vit dans une société enchantée de rêves peints sur toile. Ainsi l’amoureux de la vie universelle entre dans la foule comme dans un immense réservoir d’électricité. On peut aussi le comparer, lui, à un miroir aussi immense que cette foule ; à un kaléidoscope doué de conscience, qui, à chacun de ses mouvements, représente la vie multiple et la grâce mouvante de tous les éléments de la vie. C’est un moi insatiable du non-moi, qui, à chaque instant, le rend et l’exprime en images plus vivantes que la vie elle-même, toujours instable et fugitive. »

— III – L’artiste, homme du monde, homme des foules et enfant

« Ainsi il va, il court, il cherche. Que cherche-t-il ? A coup sûr, cet homme, tel que je l’ai dépeint, ce solitaire doué d’une imagination active, toujours voyageant à travers le grand désert d’hommes, a un but plus élevé que celui d’un pur flâneur, un but plus général, autre que le plaisir fugitif de la circonstance. Il cherche ce quelque chose qu’on nous permettra d’appeler la modernité ; car il ne se présente pas de meilleur mot pour exprimer l’idée en question. Il s’agit, pour lui, de dégager de la mode ce qu’elle peut contenir de poétique dans l’historique, de tirer l’éternel du transitoire. »

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Pierrot vagabond

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Michel le concierge

LE VAGABOND CÉLESTE, AU CENTRE NATIONAL DES ARTS, OTTAWA, LE 22 AVRIL 2016,

Simon Gauthier, cet égoïniste (il joue de la scie) est arrivé au conte comme on tombe amoureux, avec fougue et passion. Il sera accompagné du musicien Benoit Rolland dans une mise en scène de Daniel Gaudet.

Le Vagabond céleste, c’est l’histoire d’un gars qui a une licence en humour, une maîtrise en vagabondage, un doctorat en intelligence collective. Rien ne fait peur à Pierre Rochette, alias Pierrot. Il troque sa maison contre une paire de bottes pour aller plus loin dans la vie. Certains le croient fou, d’autres crient au génie. Une chose est certaine : quand on choisit la liberté, on ne laisse personne indifférent…

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Cher Simon Gauthier
il y a une erreur dans l’annonce
du centre national des arts…
je n’ai pas de doctorat en intelligence collective
mais j’en prépare un en philosophie politique:)))))

j’ai bien hâte
que tu reviennes d’Europe

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Pierrot vagabond

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Michel le concierge

AU RETOUR DE L’ÎLE DU PRINCE EDOUARD, L’UNIVERSITÉ MCGILL, FRANK SCOTT ET SON ^PAYS OEUVRE D’ART

Michel le concierge, Marlene la jardinière et Pierrot le vagabond céleste, depuis 8 ans maintenant réfléchissons philosophiquement sur deux thématiques…. le pays œuvre d’art et la vie personnelle œuvre d’art… Michel le concierge documente le tout sur video (plus de 30 heures). Chaque matin, entre 6h am et 7h am, je fais part de mes lectures à mon partenaire de recherche et nous construisons ensemble le doctorat.

Toute cette démarche est documentée sur internet (Monsieur 2.7k, www.lepaysoeuvredart.ca, le pays œuvredart.com, www.reveursequitables.com, www.demers.qc.ca, sur youtube, le vagabond céleste de Simon Gauthier).

Le samedi matin, nous tenons un conseil d’administration de créativité. Michel vient de terminer son ier documentaire LE PAYS OEUVRE D’ART? et se prépare à le déposer la semaine prochaine au rendez-vous international du documentaire de Montréal. Et nous travaillons déjà sur la conceptualisation du deuxième… HEY BROTHER, WHERE IS THE MONEY?

Et c’est lors de notre conseil d’administration de la créativité du samedi matin (souvent enregistré) que Michel le concierge, Marlène et Pierrot le vagabond céleste prennent des décisions de créateurs en équipe…

Ce matin, il nous a parut évident, que devant les derniers développements de stratégie contextuelle dans mes recherches intellectuelles à la bibliothèque de l’université Concordia, qu’au retour de l’île du Prince Edouard, je commencerais à rédiger mon doctorat à la bibliothèque de l’université McGill pour le déposer sans y être inscrit soit en philosophie politique, soit en philosophie de l’art… Frank Scott qui enseigna le droit constitutionnel canadien à McGill étant mon déclencheur d’écriture à cause de sa vision du CANADA PAYS OEUVRE D’ART.

Mais parallèlement, la vie personnelle de Marcel Duchamp consacrée à ses readymade comme à sa grande œuvre ETANT DONNÉS m’apporte la deuxième partie de la stratégie contextuelle, au sens où le vagabond céleste dort depuis 8 ans à côté de la chambre d’un couple vivant pour en faire des oeuvre d ‘art, comme Howe le fit pour Franklin Roosevelt et Eleonor Roosevelt, illustrant ainsi la tragédie de Duchamp meurtrier de la signature, se retrouvant à dialoguer avec des objets-morts. alors que le vagabond céleste répare le meurtre de la signature par loe meurtre de l’image en faisant des êtres vivants, et de leurs vivants, DES OEUVRES D’ART CRÉATRICES D’OEUVRE D’ART.

Dans le deuxième documentaire, la pelle, l’élevage de poussière, l’urinoir comme la roue de bicyclette qui valent des millions aujourd’hui, seront manipulées avec une réflexion poïétique par un concierge de concevant lui-même comme une vie personnelle œuvre d’art, au point où il ira au musée Grévin poser de son vivant avec les morts en cire, ETANT DONNÉS qu’il traite sa compagne non pas comme une image morte dans un musée que l’on regarde par un trou de serrure, mais comme une œuvre d’art vivante… non pas UN READY MADE, MAIS UN NEVER READY MADE.

Le jour où le Canada, où deviendra Canada pays œuvre d’art, ce sera par une masse critique qui est un… Justin Trudeau verra un simple concierge devenir une œuvre d’art vivante conscient d’appartenir à son pays œuvre d’art parallèle.

Howe dit un jour à Franklin Roosevelt et Eleonor Roosevelt… Vous n’avez pas le droit de ne pas être à la hauteur de vos rêves, vous appartenez maintenant aux États-Unis.

DE LÀ LE TITRE DE MON DOCTORAT

DUCHAMP, MICHEL LE CONCIERGE, MARLENE LA JARDINIERE ET LE VAGABOND CELESTE (HOWE, SCOTT)

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Michel le concierge

CET ÉTÉ, LE VAGABOND IRA SERRER LA MAIN DES GRANDES RÊVEUSES DE L’ÎLE DU PRINCE EDOUARD…

C’est fou comment marche mon cerveau… Maintenant que je sais exactement où e m’en vais avec mon doctorat, je met le tout entre parenthèses et je me donne une culture autant internet que littéraire des rêveurs et rêveuses de l’île du prince Edouard.

D’ici le ier juillet 2016, le vagabond céleste prépare son sac à dos avec ses quatre questions par une err(e)nce poétique qui commence ici à la bibliothèque de l’université Concordia…. lire 15 heures par jours, 7 jours par semaine sur les grands rêveurs et grandes rêveuses de l’île du Prince Edouard:)))))

Je me suis rappelé une question que j’ai utilisé plusieurs années dans mes vagabondages?

CONNAIS-TU UN GRAND RÊVEUR OU UNE GRANDE RÊVEUSE À QUI JE DEVRAIS SERRER LA MAIN AVANT DE QUITTER CE COIN DE PAYS? C’est de cette façon que j’ai rencontré l’ermite Chantal Poissant, la plus grande femme au Canada toute catégories confondues… j’ai pu vivre et travaillé avec elle un mois e demi dans son ermitage caché dans une forêt…

Parfois j’ai le goût d’allumer des rêveurs, parfois j’ai le goût de saluer des rêveurs accomplis… On dirait que cette fois-ci, ma liberté inassouvie d’intellectuel libre me suggère de faire de ces derniers rêveurs accomplis… mon itinéraire de poésie 2016 du futur CANADA PAYS OEUVRE D’ART.

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Michel le concierge

LE TITRE DE MON DOCTORAT… MARCEL DUCHAMP. MICHEL LE CONCIERGE ET LE VAGABOND CÉLESTE

Ma question de doctorat reste la même: QUELLES SONT LES CONDITIONS ÉCOPHILANTHROPÎQUES NÉCESSAIRES AU SURGISSEMENT DU IER PAYS OEUVRE D’ART SUR LA PLANÈTE TERRE?

Mais mon cadre théorique sera stratégiquement contextualisé à partir de la vie et l’œuvre de Marcel Duchamp qui disait que sa plus grande œuvre d’art fut sa vie. Et j’ajouterais que son œuvre fut son pays œuvre d’art.

Mais mon argumentaire se vivra autour d’un dialogue thématique entre la vie et l’oeuvre de Marcel Duchamp, de Michel le concierge et du vagabond céleste.

Le doctorat se posera la question suivante: Comment dans ces trois vies et dans ces trois œuvres, se sont articulées les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art, préambule à un pays œuvre d’art?

Quel est ton rêve?
Dans combien de jours?
qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Les deux documentaires de Michel le concierge (le pays œuvre d’art? et Hey brother, where is the money?) et les 30 heures d’archives depuis 8 ans filmées par Michel le concierge, comme la poïétique des blogues du vagabond céleste sur internet, serviront de fondement aux différents chapitres argumentatifs.

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L’ÎLE DU PRINCE EDOUARD CET ÉTÉ… VAGABONDER POUR ALLUMER DES RÊVEURS

Rêver d’un Canada pays œuvre d’art par une masse critique de vies personnelles œuvre d’art passe par trois formes de vagabondage…. le vagabondage de sculpteur nano-humaniste avec Michel et marlene, le vagabondage intellectuel à la bibliothèque de l’université Concordia et surtout le vagabondage de l’espace-monde, province par province, été par été pour allumer des rêveurs.

Dès que le printemps arrive, je compte les jours… mon sac à dos, mes quelques vêtements et mon sac de couchage enlève toute trace de ma présence chez Michel et Marlene….

Je partirai avec un jeu d’échecs et un livre anglophone de problèmes d’échec, pour vivre en ermite des routes dans un silence contemplatif, brisé seulement que par des rêveurs que l’univers déposera sur ma route de vagabond céleste…

LA BEAUTÉ DE L’UNIVERS DANS DES RÊVES
OÙ CHAQUE HOMME EST L’ARTISTE PARFAIT
Nietzsche

UN PEINTRE DOIT PEINDRE UN SEUL CHEF-D’OEUVRE
LUI-MÊME CONSTAMMENT
Yves Klein

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Pierrot vagabond

et
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ART PRESSE, CATHERINE MILLET ET L’ART NANO-POLITIQUE DU VAGABOND CÉLESTE

Catherine Millet, quel modèle exceptionnel d’une vie personnelle œuvre d’art  (son autobiographie, la vie sexuelle de M.) dans le cadre d’un pays œuvre d’art (art presse).

Je pense que sa culture de l’art alliée à sa profonde implication dans l’art contemporain mondial la rendrait sensible à la pertinence de l’artiste activiste humaniste pratiquant l’art de l’infiltration sociale par le vagabondage que sous-entend le meurtre de l’image pratiqué par le vagabond céleste?

Art de la performance nano-politique?

Le conteur international Simon Gauthier par son spectacle LE VAGABOND CÉLESTE (extrait sur youtube) répand déjà nano-politiquement les quatre questions à travers la francophonie, car toute la démarche vise à répandre nano-démocratiquement quatre questions, donnant raison à Beuys pour qui chaque être humain est un artiste.

1- Quel est ton rêve?

2- Dans combien de jours?

3- qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

4-En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

À la suite de l’art moderne, l’art contemporain et l’art post-moderniste, la beauté du monde passant d’une conception objective (Platon à Descartes) subjective (Descartes à Duchamp,  insolite (Baudelaire), indifférente (Duchamp), (convulsive (Breton)….individuelle (Beuys)……, la dématérialisation numérique de l’art permet le surgissement de  l’art nano-politique.

EN QUOI TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

La beauté du monde étant la conception de chaque artiste authentique 2.0, ma démarche s’est donc inscrite dans L’ÉTANT DONNÉ de l’intérieur de la personne humaine dans son archétype le plus noble, celui du rêve comme projet. (Mon ÉTANT DONNÉ expliquant pourquoi je dors sur le plancher d’un couple, 30 heures de poïétique documentée par vidéo depuis 8 ans)

Le vagabond céleste a donc décidé de vagabonder la réalité pour allumer des rêveurs, d’utiliser internet comme Daniel Buren l’a fait pour ses lieux d’affichage, en y déposant comme des tableaux dématérialisés en work progress (Quand les attitudes deviennent des formes, Szeemann, 1969) dans des milliers de sites internets, et surtout de dormir sur un plancher pour documenter l’ensemencement de quatre questions nano-politiques chez un couple qui a fait de son histoire d’amour une œuvre d’art).

QU’EST-CE QUE L’ART NANO-POLITIQUE? C’est le pari que quatre questions simples peuvent changer et le monde et l’histoire de l’art. La masse critique d’un pays œuvre d’art est un, ta vie personnelle œuvre d’art.

Les quatre questions ont comme avantage de servir de rempart aux pensées toxiques de la nano-modernité, tout en insistant sur le sens philosophique de la nano-beauté sartrienne du projet au sens de l’être nano-dématérialisé dans un néant macro-sur-sociétalisé.

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Pierrot vagabond
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HEY BROTHER, WHERE IS THE MONEY?

Le prochain documentaire de Michel le concierge «HEY BROTHER, WHERE IS THE MONEY?» se fera en anglais. Pierrot le vagabond céleste, comme dans le premier documentaire «LE PAYS OEUVRE D’ART?» pratiquera le meurtre de l’image par l’err(e)nce poétique comme Duchamp a pratiqué le meurtre de la signature par l’esthétique de l’indifférence.

Ce documentaire racontera l’histoire du concierge dans son rapport quotidien avec la pelle, l’urinoir, la poussière, confronté avec Duchamp et ses ready- made. Pourquoi la pelle, l’urinoir et l’élevage de la poussière, artéfacts ready-made de Duchamp valent des millions alors que lui et des millions d’autres à travers le monde vivent ces symboles comme des asservisseurs millénaires.

HEY BROTHER, WHERE IS THE MONEY? C’est un peu l’histoire 2.0 du comte de Monte-Cristo. Dans leur prison de l’histoire de l’art où il est impossible de s’enfuir, un concierge et un vagabond inventent des bandes-annonces documentaires d’une heure pour donner de la valeur conceptuelle à leur poïétique documentée (plus de 20 heures de filmées depuis 8 ans), dont la dernière partie que nous filmerons cette année atteindra un point de non-censure qui nous obligera à un dévoilement rendu possible seulement qu’une trentaine d’années après notre mort))))))))))).

Comme Howe avec Franklin et Eleonor Roosevelt, Pierrot le vagabond céleste dort sur un plancher depuis 8 ans dans l’appartement du couple pour former Michel le concierge et son épouse Marlene la jardinière à se concevoir comme des vies personnelles œuvre d’art fondatrices d’un univers parallèle pays œuvre d’art où la beauté ( en anglais le beautiful) explose hors du carcan objectiviste (de Platon à Descartes) comme du carcan subjectiviste (Descartes à Duchamp) pour se nomadiser (Leibniz) en des nano-sculptures constructivistes impossible à décrypter de par leur portée révolutionnaire et subversive au coeur viral de quatre questions nano-démocratiques…

Quel est ton rêve?
Dans combien de jours?
qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
en quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Duchamp, par ses ready made, a témoigné de l’humain orphelin de son humanité, Michel le concierge et Marlene la jardinière témoigneront de par leur archétype de l’humanité orpheline de ses humains.

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Pierrot vagabond

A PROPOS DE CETTE JEUNE CHINOISE….

Je suis un artiste activiste humaniste pratiquant l’art du vagabondage intellectuel pour changer le monde par une réflexion sur le pays œuvre d’art à partir d’une masse critique de vies personnelles œuvre d’art… Ma recherche se situe dans le champ de la philosophie critique de l’art (fondée par Hegel) appliquée à la philosophie politique avec l’hypothèse forte suivante:
La vie personnelle œuvre d’art porte le concept de l’art au plus haut point de la généralité, impliquant la mort de l’objet (Duchamp et les ready made, Danto et les boîtes brillo et le rouge) par l’arme de la signature faisant imploser la poïétique (Vlery, Passeron) comme conséquence de la mort historique de l’art-artéfact.

En conséquence de quoi, le fait d’être vieux, non inscrit, habillé de guenilles royales (marques de L’université Loyola et de l’Uquam sur toujours le même linge plus pantoufles) me porte à vagabonder la bibliothèque universitaire come si j’étais dans un décors de théâtre, dans le silence le plus absolu 15 heures par jour.

Quelle ne fut pas ma surprise de voir arriver à mon bureau une jeune femme avec un message en anglais et en français… HEY LOVELY GRANDPA…. Je le lis… je me lève… vais la voir et lui dis: Do you know this personne who write to me?… elle me répond que c’est elle… je lui réponds… Bienvenue dans ma vie…

C’est une jeune chinoise de 23 ans qui fait son MBA à Concordia, iere année, qui a choisi Montréal pour découvrir une autre culture… une internationale brillante qui s’est fait un copain chinois dans sa classe…

Nous allons en bas faire connaissance… je me rends compte que sortir du paradis du silence m’est difficile… Dans une relation un à un j’y arrive encore… plus qu’une personne, cela m’est devenu intolérable:)))))))))))))))))))

Quand on est vieux, personne s’intéresse à nous autres:)))))))))))))))))) sauf une jeune chinoise brillante et curieuse:))))))))))))))))))

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Pierrot vagabond