4- Claire Bergeron écrivaine
4: Pierrot vagabond photo
Bonjour Pierre,
Vous êtes d’une grande gentillesse avec moi… c’est très apprécié !
Jamais je n’aurais pu rêver en fin de vie une rencontre aussi déterminante, qui fait de nos âges respectifs une véritable épopée des débris de la mémoire du k-oeur…
Voilà aussi ce que je ressens!
Je vous remercie de colliger ainsi nos échanges pour en faire des documents inestimables pour nos vieux jours.
Pour me souvenir du début de notre échange, j’ai ouvert votre premier document… il manque un petit détail, mais qui a son importance : Quand vous m’invitez à correspondre avec vous, dans le document 1, il n’y a pas ma réponse. Alors je l’ai ajouté, à la page 13, et je vous retourne le document où elle est incluse… c’est important de savoir que j’ai accepté… … toute la suite en dépend…
Je ne sais pas si vous avez écouté ces entrevues que j’ai donné en 2014 et en 2018… l’animateur prend beaucoup de place, mais comme il me recevait chaque année, et appréciait grandement mon travail, j’ai toujours eu plaisir à le rencontrer.
https://clairebergeron.com/couverture-de-presse
https://clairebergeron.com/couverture-de-presse
Bonne fin de journée… très froide !
Claire
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Bonjour Pierre,
Vous êtes d’une grande gentillesse avec moi… c’est très apprécié !
Jamais je n’aurais pu rêver en fin de vie une rencontre aussi déterminante, qui fait de nos âges respectifs une véritable épopée des débris de la mémoire du k-oeur…
Voilà aussi ce que je ressens!
Je vous remercie de colliger ainsi nos échanges pour en faire des documents inestimables pour nos vieux jours.
Il y a deux choses qui rendent très fier dans ces trois fichiers d’archives… c’est d’abord l’immense génie vocationnel de votre k-oeur d’écrivaine, de femme de mère et de grand-mère… le fait que vous m’en témoignez courriel après courriel m’apparaît un événement abs-iologique (l’abs-xiologie étant par définition une danse de la mémoire du k-oeur au niveau des valeurs)…. fondement potentiel de théorisation en pensée pure …… au sens ou… dans mon traité des abs… mon hypothèse de fond correspond exactement à ce que vous avez vécu… le passage de l’existence à l’abs-xistente… qui …chez vous comme chez moi … a été réussi:
l’abs-xistence étant définie comme UNE ÉNIGME, DÉPOSÉE DÈS SA NAISSANCE PAR LA QUESTION… QUEL EST TON RÊVE… DE FAÇON À CE QUE…. TOUTE PERSONNE HUMAINE …. PUISSE , AU MOINS UNE FOIS DANS SA VIE, SERRER LA MAIN À L’IMPOSSIBLE.
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Pour me souvenir du début de notre échange, j’ai ouvert votre premier document… il manque un petit détail, mais qui a son importance : Quand vous m’invitez à correspondre avec vous, dans le document 1, il n’y a pas ma réponse. Alors je l’ai ajouté, à la page 13, et je vous retourne le document où elle est incluse… c’est important de savoir que j’ai accepté… … toute la suite en dépend…
À moi
Bonsoir Pierrot, vagabond céleste,
Quel charmant message vous m’avez fait parvenir!
C’est un plaisir de constater que ma philosophie de vie vous a interpellé… sans doute parce
qu’elle a rejoint la vôtre.
Il est vrai que le rêve est là, tapi dans l’ombre, dans l’attente que l’on ose enfin lui céder la place.
J’entendais son appel… écrire était pour moi un des plus grands rêves de ma vie. Justement,
cette vie qui crée des obligations… nous voulons réussir notre vie, mais aussi, réussir dans la
vie. Puis il y a les enfants, notre création, que l’on veut conduire vers des lendemains heureux…
Un jour, à soixante-deux ans, j’ai cédé à l’appel de mon rêve. La vie fait parfois des cadeaux :en assistant mon fils dans l’ouverture de son bureau de conférenciers, à écouter les gens parlerde la façon de croire en nos rêves, j’ai fini par oser croire au mien… et depuis, j’ai le sentimentde vivre au cœur du plus beau rêve de ma vie, entouré de tous ceux que j’aime! Votre sensibilité de rêveur a compris ma maxime : « Je veux vivre ma vie comme j’aimerais la lire quand sera venu le temps de me souvenir. »
J’ai appelé David en fin de journée, et je lui ai parlé de vous. Il m’a dit vous avoir parlé ce midi…
il a aimé votre message, rafraichissant dans le monde actuel. J’ai cru comprendre qu’il voulait vous entendre en conférence, et il a suggéré que je sois présente sur le Zoom. Alors je vous dis
à bientôt. Encore merci de votre sympathique message.
Au plaisir.
Claire
PS : Il y a 28 ans ces jours-ci, ma fille et son mari, les deux solitudes canadiennes, une Québécoise et un Anglais de l’Alberta, se sont rencontrés par hasard aux Deux Pierrots… le lieu a dû leur porter chance, car ils sont toujours amoureux, avec trois belles filles en héritage…
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Déjà dans cette page 13 de votre acceptation à notre échange épistolaire… il y a ce formidable alliage chez vous entre l’énigme qui vous a habité depuis toujours que vous avez bien identifié… QUEL EST MON RÊVE? … et ce pari que vous avez pris incontournablement de ce que moi j’appelle… FAIRE CONFIANCE À L’IMPOSSIBLE… qui me semble tellement bien symbolisé par votre phrase: « Je veux vivre ma vie comme j’aimerais la lire quand sera
venu le temps de me souvenir. »
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Parlant de podcasts, c’était pour connaître votre position sur le sujet… en ce qui vous concerne. Non, Samuel ne serait pas la bonne personne pour un interview avec vous. Mais dans un autre contexte… Très confidentiellement, David a signé un lucratif contrat avec Radio-Canada pour la production, au printemps, de six podcasts, de conférenciers qu’eux-mêmes ont sélectionnés. Mais David croit que le contrat pourrait être prolongé pour d’autres personnes… c’est un pourquoi je voulais votre avis sur une éventuelle participation de votre part.
WOWWWWW….. Claire, c’est le fun que je le sache maintenant … vous vous imaginez… la joie de la suite de mes préparations au 45 minutes-confidences…. IL ÉTAIT UNE FOIS… UN VAGABOND CÉLESTE… moi qui ai toujours adoré le médium audio … pour exprimer lentement et dramaturgiquement … une série de débris de la mémoire du k-oeur qui , par le pod cast peuvent devenir littéralement UNE OEUVRE D’ART ORALE au service des futures vies personnelles oeuvre d’art pour quiconque tombe là-dessus… mais un peu comme la chanson du camionneur… ce pot cast doit être assez enchanteur pour que la soif de le réentendre augmente avec l’usage… ….
Le vrai problème d’un poit cast, m’apparaît toujours a personne qui pose des questions… vous et moi, par exemple, on a 3 fichiers de courriels qui font que, nous connaissant de plus en plus féériquement… nos siolences deviennent une hymne à la poésie des mots qui ont fait notre lenteur.. et c’est cette lenteur poétique que j’aimerais vivre dans un pot cast… que j’aimerais faire vivre à une personne humaine qui… en pleine pandémie, se retrouve vagabonde et vagabond du réel, sans aucun outil aventuriel pour en apprécier et en sculpter l’épopée..
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Je ne sais pas si vous avez écouté ces entrevues que j’ai donné en 2014 et en 2018… l’animateur prend beaucoup de place, mais comme il me recevait chaque année, et appréciait grandement mon travail, j’ai toujours eu plaisir à le rencontrer.
J‘en ai écouté une ou une dame vous pose des questions… j’avoue que j’ai été profondément dérangé par le fait que j’en ai plus appris sur elle que sur vous… Je vais quand même écouter les deux… :))))))
https://clairebergeron.com/couverture-de-presse
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Bonne fin de journée… très froide !
Claire
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Bonjour Pierre,
Je suis une amoureuse de mots, de leur magie, des images qu’ils dessinent dans l’imaginaire, des émotions qu’ils font naître dans les cœurs… Avec le temps, mon rêve d’écrire s’est transformé en véritable passion, et, se découvrir une passion dans la vie, c’est comme s’ouvrir toute grande une fenêtre sur le bonheur de vivre.
Je trouve votre suggestion intéressante : un échange, de pensées sincères et franches, aussi de réflexions au fil de notre route… qui a plus de pas derrière que devant. Dans la vie, le meilleur moment est toujours le présent…
Votre philosophie de vie m’intéresse, je veux bien échanger avec vous, sans but fixé… Nous verrons sur quel sentier nous mènera cette correspondance… et si elle en vaut la peine, qui sait, nous en ferons peut-être un recueil de rêves.
C’est étrange la vie, ses hasards qui finalement sont des rendez-vous, qu’il faut savoir percevoir comme tels pour ne pas passer à côté, sans les avoir découverts… D’aussi loin que je me souvienne, j’étais une artiste dans l’âme. Il m’a fallu bien des rendez-vous manqués, pour céder enfin à mon rêve artistique, celui de devenir romancière… sans doute que les choses se réalisent lorsque le moment est venu pour elles d’éclore! Toujours est-il que je ne me suis jamais sentie autant à ma place dans la vie que présentement…
Au fait, votre chanson du camionneur est magnifique. Je l’écoutais souvent interprété par Fred Pellerin, elle me rappelait une époque de ma vie… ça m’a fait plaisir de l’entendre chanter pas son créateur.
Au plaisir de vos nouvelles,
Claire
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Je me rappelle d’avoir été séduit dès le départ par la qualité du rapport entre le k-oeur et la plume, le tout parfumé par un rêve vécu comme l’événement le plus merveilleux que la vie pouvait offrir à une personne humaine…
Et là j’ai su… instantanément… que l’objectif ne serait pas une oeuvre pour le public, mais un cadeau exceptionnel de la vie elle-même pour déguster intrinsèquement son propre rêve par le récit du rêve de l’autre… et je me disais wowwww… j’ai attendu ça toute ma vie… j’ai tellement d’anecdotes heureuses d’accumulées que je ne vois aucun intérêt à promouvoir ma personne par le biais d’une divulgation publique de quelque nature que ce soit…
Mais là, d’avoir enfin une vraie oreille, de mon âge, qui en plus possède le talent remarquable des mots…
Effectivement, l’absence de réponse à mon invitation fut le déclencheur du fil d’or que constitue une oreille unique l’une pour l’autre et l,autre pour l’une… et ejcore aujourd’hui, je n,en reviens pas, Claire, comme c’est confortable… créativement, philosophiquement et métaphysiquement…
Comme j’avais pris le pari que Marlene et Michel réaliserait un jour que nos 15 ans de recherche seraient reconnus, dans le k-oeur de chacun, à l’usure, comme un grand événement poétique dans notre existence
Je prends le pari que la poésie des mots qui en découlera dans le fleuve de chacune de nos Épopées du dire en ressortira ensoleillée d’une joie de vivre dont on a tant besoin quand on avance dans la bonté et la beauté de l’âge, consacrée à la bienveillance radieuse envers nos proches…
Aujourd’hui, je vous avoue, le fait que le tout soit d’abord et plus que probablement … un acte poétique unique entre nous deux…. ça me rend totalement heureux…:))))))))
longue vie à nos échanges épistolaires
Pierrot
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ces 48 heures sans internet m’ont fait réaliser la droiture de mon k-oeur dans nos échanges épistolaires, comme dans ma passion pour le rêve de David tout en m’aspirant à finir le doctorat des rêveurs équitables pour enfin accentuer la marche vers le prix Nobel
Boîte de réception
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21:08 (il y a 0 minute) | |||
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Chère Claire,
Avoir le k-oeur droit, une vision éthique sans faille dans ce que l’on dit et ce que l’on fait avec l’autre et pour l’autre, voilà , je pense la grande richesse symbolisée par nos trois fichiers épistolaires…Durant ces 48 heures sans internet, partagé entre la lecture d’une encyclopédie en sciences humaines, une vision de ce que pourrait être un pod cast pour Orizon et un doctorat en métaphysique illuminé par celui de Gaelle… je me suis dit…. wowwwwww… il n’y a que Claire pour saisir la fraîcheur de ces quelques lignes…
je voulais surtout vous dire… vous m’êtes créativement précieuse… la danse entre votre plume et votre k-oeur m’apparaissant… vraiment unique
bonne soirée
et je vous écrirai probablement cette nuit
si le feu de créer qui m’anime…ne s,embraise pas de fatique:)))
Pierrot
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hère Claire,
Comment vivez-vous la pandémie au jour le jour? y trouvez-vous quand même des ressorts de force morale pour nourrir votre créativité?
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de ce côté-ci
les bonnes nouvelles ici s’accumulent au fur et à mesure des informations et cela d’heure en heure dans la situation universitaire de Gaelle
LA CHANCE EST DE NOTRE CÔTÉ….
1) Gaelle pourra prendre ses 5 cours en propédeutique en deux sessions… ce qui l’inscrira officiellement en doctorat Donc… en dans la cession de janvier 2022 … à l’université de Sherbrooke, elle sait maintenant qu’elle n’aura qu’à prendre qu’un cours,
celui donné par sa directrice de thèse de doctorat… Madame Martelli , directrice du programme art-création et dont la carrière internationale en épistémies marginales au niveau création est en pleine ascension..
Madame Martelli a manifesté le désir de ne donner ses cours de janvier à mai QU’EN VIRTUEL… SI TOUS SES ÉTUDIANTS SONT D’ACCORD. C’est donc à son premier cours en virtuel, vendredi matin le 14 janvier ….que sera pris la décision en collégialité avec ses étudiants..Le tout devra donc demander l’unanimité pour que cela se passe ainsi
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2) Gaelle a déjà jeté un coup d’oeil pour un emploi à temps partiel… à l’université de Sherbrooke même… il y a une vraie demande… donc aucun problème pour elle de travailler à temps partiel pour payer une partie de ses études,… en plus
de pouvoir accéder soit à des corrections d’examen, soit d’avoir accès à une charge de cours,,, en sociologie au niveau baccalauréat…
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3) Si les étudiants décident que les cours se donneront en présentiel de janvier à mai 2022 .Gaelle aura d’une part l’opportunité de prendre l’autobus à chaque semaine, ses cours ayant lieu à 2h. p.m. et en même temps, le temps de vraiment connaître sa directrice, tout en explorant les différentes avenues universitaires en vue d’une carrière internationale… Ce qui la rendra aussi disponible pour un emploi d’été dans le cadre des opérations de son université … Bien plus… il serait tout à fait possible qu’elle fasse partie d’une équipe de recherche en post-doctorat, ce qui est payé au minimum $25.00 de l’heure…..du à son statut de doctorante… Comme elle a beaucoup d’expérience au niveau des mécanismes d,emploi, de bourses, de stages … il lui sera aisément facile de faire de son atterrissage dans le milieu universitaire en région… un réel succès.
4) je sais que Gaelle porte dans son k-oeur… et l’observatoire du merveilleux pour accueillir le doctorat des rêveurs équitables, et le colloque international sur les dimensions du rêve…. et je la connais assez pour dire que je suis sur à 100% qu’elle y arrivera..
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Je passe donc une grande partie de la nuit à transcrire une heure d’audio enregistrée en rapport à ses nouvelles inventions en pensée pure de la semaine… C’est vraiment brillant… Pendant ce temps, elle travaille dans son atelier de métaphysique à préparer son cours en virtuel avec sa directrice de doctorat…
Croisons des doigts…. Nous y sommes presque… J’avance aussi de mon côté dans le traité des abs pour les rêveurs équitables… dans le tape d’aujourd’hui, j’ai d’ailleurs abordé une de mes intuitions fortes en métaphysique qui consiste à dire que l’ontologie fuit le talon d’Achille de l’asservissement de la métaphysique à la question de l,être parce qu’ele elle a fait de l’épistémologie un des murs méthodologiques rendant caduque la difficulté des personnes humaines à rêver leur vie sur terre en faisant confiance à l’impossible intrinsèque aux différentes lois avs-tuitives du multivers et de ses synchroni-vie-tés .l
Le vagabond céleste fut l’épopée philosophique qui a repris celle de mon grand-père Lucien qui pourrait se résumer en 4 phrases
1) l’impossible dans le bas de l,escalier était gêné de nous regarder
2) l’impossible est invisible pour les yeux, personne ne peut le voir
3) tu sauras que t’as réussi ta vie le jour ou l’impossible lui-même en personne viendra vraiment te serrer la main
4) dans la vie, seul l’impossible est vrai…
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À partir de cet angle problématologique,…. le traité des abs se veut l’abs-cept sur lequel repose tout le rapport entre le rêve et l’impossible chez la personne humaine, le tout s’illuminant par les 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art. 1) quel est ton rêve?, 2) dans combien de jours? 3) qu’as-tu fait aujourd’hui pour ton rêve? 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
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L’épopée du vagabond céleste en 5 épisodes audio… racontée sans qu’une personne intervienne pour poser des questions… aussi compétente soit-elle… la poésie orale ne se vit que dans l’intimité lente d’une confidence heureuse et délicate.
comme un rêve, comme un conte, comme un enchantement d’une voix perdue dans l’aura de la beauté du monde intérieur de chaque âme bruisselante en mode comtemplatif qui l’écoute… avec pour objectif didactique … .. que la personne veuille réécouter et réécouter parce ce qui n’est pas dit est encore plus parfumé que ce qui est dit.
Pierrot
bon réveil Claire :)))
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Je me sens vraiment privilégié Claire… Je sais que la suite sera encore plus poétique du k-oeur que tout ce que contiennent les trois fichiers… j,adore l’oreille unique… je sens que c’est
ma voix pour faire feu de camp avec la vie
Pierrot
merci d’être si présente par votre génie des mots
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Bonjour Pierre,
Quand je parle des rendez-vous de la vie fixés dès la naissance, je pense que le vôtre avec Gaëlle était un incontournable… J’ai rarement vu des personnes, dans des domaines aussi complexes que les vôtres, se rejoindre aussi intensément. Je ne peux que vous souhaiter à tous les deux de parvenir à l’accomplissement de vos rêves les plus chers, et les plus grands ! Surtout, qu’avec tout le temps que vous investissez pour y parvenir, votre réussite à tous les deux, sera largement méritée.
« L’épopée du vagabond céleste en 5 épisodes audio… racontée sans qu’une personne intervienne pour poser des questions… aussi compétente soit-elle… la poésie orale ne se vit que dans l’intimité lente d’une confidence heureuse et délicate.
comme un rêve, comme un conte, comme un enchantement d’une voix perdue dans l’aura de la beauté du monde intérieur de chaque âme bruisselante en mode complatif qui l’écoute… avec pour objectif didactique … .. que la personne veuille réécouter et réécouter parce ce qui n’est pas dit est encore plus parfumé que ce qui est dit. »
Très inspirant!
« Comment vivez-vous la pandémie au jour le jour? y trouvez-vous quand même des ressorts de force morale pour nourrir votre créativité? »
Pierre, je vais vous faire une confidence, que peu de gens pourrait croire… mais je pense que vous, vous comprendrez…
Je suis une solitaire, bien avec elle-même, qui trouve l’inspiration dans son silence… Ça peut paraître incroyable, mais pour moi la pandémie est comme une halte bienfaitrice, qui me permet de vivre en toute quiétude, loin des obligations de la vie sociale.
Je vous raconte une histoire, un exemple de ce que je veux dire. Quand je suis arrivée à l’hôpital de Saint-Eustache, en tant qu’infirmière, j’ai senti le besoin de créer des liens, pour m’intégrer dans mon nouveau milieu. Aussi, j’ai accepté de participer à l’organisation de la Fête de Noël pour les employés… j’y ai mis pas mal de temps… pour finalement ne pas y assister… je n’éprouve réellement aucun plaisir dans ce genre de rencontre… bruyante et souvent trop arrosée…
Mes rencontres avec mes enfants, avec quelques rares amis(es) triés sur le volet… pour moi c’est suffisant. J’aime aussi rencontrer mes lecteurs… c’est inspirant… ma passion va vers eux, alors c’est agréable de recevoir leur appréciation… mais je respecte mes limites.
Si je pouvais, je m’installerais en pleine nature, près d’un lac… je vivrais seule avec mon chat et mes bouquins… ne recevant la visite que de personnes inspirantes… calmes… qui ne parleraient pas pour ne rien dire… en parfaite harmonie avec l’univers…
Alors la pandémie n’a rien d’affligeant pour moi au point de vue du travail ou de ma vie sociale… La seule chose que me manque, ce sont les câlins de ceux que j’aime… car paradoxalement, je suis une femme qui aime toucher, câliner, embrasser…
Peu de gens comprennent que je sois aussi bien dans ma solitude enchantée, inspirante… vous, je pense que vous me comprendrez…
Bonne journée, Pierre.
Claire
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Bonjour Pierre,
Quand je parle des rendez-vous de la vie fixés dès la naissance, je pense que le vôtre avec Gaëlle était un incontournable… J’ai rarement vu des personnes, dans des domaines aussi complexes que les vôtres, se rejoindre aussi intensément. Je ne peux que vous souhaiter à tous les deux de parvenir à l’accomplissement de vos rêves les plus chers, et les plus grands ! Surtout, qu’avec tout le temps que vous investissez pour y parvenir, votre réussite à tous les deux, sera largement méritée.
Au moment ou je vous écris… je suis dans la cuisine à poursuivre le génial audio enregistré hier à propos des superbes inventions en pensée pure de Gaelle…. et pendant ce temps, Gaelle est en ligne dans son atelier de métaphysique dans un cours de propédeutique niveau bacc qu’elle doit suivre comme pré-requis pour changer de champ…
Quand c’est à son tour de parler, (je la connais bien) elle a la délicatesse de ne pas déployer tout son génie de la problématique, de la synthèse, d’une architectonie de vocabulaire corrosif comme un rasoir tout en étant profondément respectueux de la personne qui écoute… elle parle peu, attend son tour… mais malgré elle… dès qu’elle s’exprime… on se sent devant l’exceptionnel… Son niveau intellectuel allié avec son extrêment délicatesse à ne pas intérioriser l’autre se déteint même dans son rapport avec la jeune professeure… elle est vraiment d’un calibre hors norme… faite sur mesure pour l’international…
Ce qui nous unit elle et moi je crois… c’est une alchimie entre le k-oeur, la passion de la recherche jour et nuit, 7 jours semaine et le fait de ne jamais tricher avec l’oeuvre que l’on porte en soi, même si en fait l’avant-garde que constitue l’armature des paradygmes qu’elle convoque crée un effet de perturbation chez l’autre qui écoute…
Elle s’exprime rarement devant d’autres que moi… d’une part parce que le corpus d’invention au niveau des néologismes est depuis 3 ans trop dense… pour toute forme de vie sociale qui demande un minimalisme permettant une base commune de socialisation…
Je vous avoue que, lorsque nous déménagerons à Sherbrooke au mois de juillet, une de mes grandes joies sera de marcher la nuit mon oeuvre et le jour de m’enfermer en bibliothèque universitaire pour que, de mon côté aussi, je pousse mon traité des abs à un niveau international… au niveau de la pensée pure…
Car sa métaphysique de la raison cosmétique et ma métaphysique ontikhative du rêve big bang… après ma mort, seront étudiées dans toutes les universités… Nous prévoyons aussi un livre en commun dont le titre sera; LA MÉTAPHYSICIENNE ET LE VAGABOND…
J’aime me reposer en lisant des encyclopédies dans tous les champs de la connaissance… pour moi, un 200 par jour de lecture… me repose… me brancher à une émission très pointue au niveau théorique de france culture pendant que je dors les écouteurs dans les oreilles bien ouaté sur mon plancher me repose… Vagagonder le monde en pauvreté poétique me repose…
Je n’ai jamais voulu enseigner parce que la limite et la trop grande diversité des capacités intellectuelles des étudiants aurait accentué chez moi le côté non vocationnel du présentiel… et on n’a pas le droit dans la vie de remplir une fonction pour laquelle on n’a pas les pré-requis d’empathie… Ce que j’aimais dans le fait d’accompagner quelques étudiants en maîtrise ou en doctorat en dillettante, c’est que je n’avais pas à le faire dans un cadre que l’on m’aurait imposer parce que l’on me paye…
Le philosophe Spinoza qui polissait des verres de lunettes pour manger et vivait simplement dans une toute petite chambre a refusé plusieurs fois des postes universitaires parce que disait-il, je ne serai pas libre de penser… Pour moi, qui ai vagabondé la connaissances dans 4 universités,, je n’avais pas le tempérament pour me cadrer dans l’inacceptable quand on est un libre-penseur et un créateur.
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Ce que j’aime du métier de conférencier-confidence … ou de celui de conteur dans un festival des conteurs par exemple, c’est à la fois le laboratoire de vulgarisation de problématiques plus complexes réfléchies en réclusion enchantée alliée au plaisir du monologue intelligent en mode d’interface de communication avec des variables humaines….. c’est comme si j’allais au cinéma et que j’avais accès au réalisateur après la projection….
Ce que j’aime d’un audio…. d’une heure et demie…. c’est la voix, qu’on ne me voit pas, qu’on ne me reconnaisse pas… mais la magie de la voix qui raconte une épopée dont on ne peut deviner les infrastuctures intellectuelles qui ont mis des années intenses… à faire fil d’or d’une pensée structurée par la pure poésie de vivre par la magie des mots…
ce que j’aime de mes échanges épistolaires avec vous Claire, c’est que je puis dire tout cela et que je serai compris, comme on peut l’être dans un confessionnal ou, ni celle qui écoute, ni celui qui parle ou vice versa, b’est dupe de la fonction potentiellement idéologique ou institutionnelle du mode confessionnel, surtout lorsque soudain la tentation d’en faire oeuvre publique peut devenir un piège de vanités hiérarchisées par le désir inapproprié d’en faire un enjeu de reconnaissance sociale…
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« L’épopée du vagabond céleste en 5 épisodes audio… racontée sans qu’une personne intervienne pour poser des questions… aussi compétente soit-elle… la poésie orale ne se vit que dans l’intimité lente d’une confidence heureuse et délicate.
comme un rêve, comme un conte, comme un enchantement d’une voix perdue dans l’aura de la beauté du monde intérieur de chaque âme bruisselante en mode complatif qui l’écoute… avec pour objectif didactique … .. que la personne veuille réécouter et réécouter parce ce qui n’est pas dit est encore plus parfumé que ce qui est dit. »
Très inspirant!
Voyez vous Claire… je vais vous raconter une anecdote… Un jour, mon père qui était réalisateur de télévision à Trois Rivières m,a fait venir pour me présenter au directeur des programmes qui voulaitm mm’engager comme lecteur de nouvelles… et, au grand désespoir de mon père, j’ai dit à ce directeur des programmes… Monsieur,. je suis un créateur, un homme libre, un artiste… et malheureusement le poste de lecteurs de nouvelles est en est un de servilité à l,actualité et une disgrâce pour quiconque veut garder une distance avec la vie publique… Moi j’ai besoin d’avoir carte blanche dans tout ce que je fais… Le jour ou vous aurez une proposition avec laquelle j,ai carte blanche… je réfléchirai là-dessus…
Quand je suis devenu chef de camp de vacances au camp Ste-Rose… j’ai eu carte blanche avec aucun contrôle si nur mon agenda, ni sur mon travail…
Donc pour moi un pot cast, c’est d’abord une oeuvre d’art ou l’on a carte blanche… Je vous refère à Glen Gould dans son rapport à Radio-Canada pour ses productions d’oeuvres radiophoniques… Tout poseur de questions est d’abord un normalisateur de contenu qui formate pour une structure hiérarchique…
Peu d’artistes sur la terre sont des hommes libres et en font la démonstration au sens du hors temps, hors réalité, hors servitude:))) Ainsi fut le vagabond céleste, ainsi il le restera:))) La création des Contretemps, des deux Pierrots, de l’auberge la Calàche, des rêveurs équitables… furent des tableaux de poésie … le doctorat des rêveurs équitables conduisant au prix Nobel de la paix en sera un aussi… et je sens chez Gaelle la même passion à se rendre à son rêve, l’université de Princeton avec une métaphysique en pensée pure qui deviendra un hymne au paradigme de son champ d,expression…. servant de base à de nombreux chercheurs ou commentateurs…
Glenn Gould’s The Solitude Trilogy, Part 01: The Idea of North (1967) – YouTube
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Vous êtes une très grande dame Claire… Vous avez ce que j’ai mais en plus… vous avez conservé un k-oeur remarquable pour vos proches…. et la marche quotidienne vers votre rêve est inspirante… Vous aimez vos lecteurs lectrices et ils ou elles vous le rendent bien… De vous connaître permet à ma radicalité de se reposer dans une oreille compétente… en espérant que de mon côté, je puisse vous procurer le même enchantement…
Pierrot
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Chère Claire…. demain à 2h.p.m… Gaelle aura son ier cours virtuel avec sa directrice de doctorat …. ça aura pris plus d’un an de recherche à travers le monde pour la trouver celle-là… celle qui possède exactement les compétences pour diriger Gaelle en recherche création
Boîte de réception
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22:26 (il y a 0 minute) | |||
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Chère Claire
Vous devez vous sentir aussi fière que moi quand un de vos petits enfants fait u n pas dans la vie… Moi je vous avoue… que je ne tiens plus en place… nous avons traversèé tellement de difficultés depuis un an et demie (maladie, hopitaux, refus de l’uqam en sociologie de compléter le doctorat …) … et comme je disais à Gaelle… prend la pari… que ta pensée trouvera… que ton rêve, parce que tu ne triches pas …
Elle a écrit un peu partout à travers le monde… mais sa posture fine pointe alliant art, recherche, métaphysique, pensée pure faisait en sorte qu’elel ne trouvait pas chaussure à son pied… Puis soudain… elle découvre quelqu’un spécialisé en épistémé marginale, une femme, racisée comme elle qui curieusement avait enseigné à Concordia avant de se retrouver à l’université de Sherbrooke pour devenir finalement directrice de département en recherche créationé
Gaelle lui envoie son projet… enthousiasme d ela madame… Elles se rencontrent dans uncafé à Montréal.. au bout de 10 minutes elle lui dit… J’accepte de vous diriger… Et là fallait compléter avec une co- … qu’ilo fallait aussi trouver… Gaelle trouve… entreprend les démarches d’inscription… nous n’avons pas les sous… des amis nous avancent l’argent… et soudain… après tant et tant d,efforts, tout en travaillant nuit et jour la proposition doctorale… elle y arrive…
wowwwww
Voilà que celle en qui j’ai cru par pure mystique du rêve de l’autre avec une abnégation sans faille… voilà qu’enfin… tout s’enclenche… pour qu’elle donne sa pleine mesure…
en toute discrétion
je vous envoie notre dernier audio enregistré
j’ai comme besoin que vous partagiez ma joie
parce que depuis 3 mois
je vous ai tout partagé
peut-être aussi pour être sur
de compter sur quelqu’un…. au cas ou j’aie une faiblesse
au niveau de ma force mentale
merci de faire majestueusement la différence
par votre présence si talentueuse
au travers de notre partage épistolaire
Pierrot
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bonjour Pierre,
Pour avoir vécu d’immenses bonheurs dans ma vie, pour avoir reçu des réponses de l’univers, parfois au-delà de mes attentes, j’imagine aisément ce que vous ressentez devant le rêve de Gaëlle, qui se concrétise. Plus l’effort pour obtenir quelque chose est grand, plus la joie de la réussite est immense. J’en suis sincèrement heureuse pour vous deux! C’est formidable ce qui vous arrive…
J’ai toutefois de la difficulté à concevoir votre relation avec elle comme celle d’un grand-père avec sa petite-fille… vous me semblez davantage un maître à penser, un compagnon de travail… tous vos projets, quels qu’ils soient, s’amarrent aux siens… et c’est parfait, puisque vous y trouvez tous les deux une très grande satisfaction… et une profonde joie de vivre…
Je souhaite du fond du cœur que cette incroyable complicité vous mène à bon port, dans la réalisation de tous vos projets communs.
Bonne journée,
Claire
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Je viens d’écouter votre audio…
Ça confirme ce que je pensais, vous travaillez merveilleusement bien ensemble.
Claire
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C’est fou Claire comme votre présence épistolaire dans ma vie contribue à la profondeur avec laquelle j’entreprends un élargissement du corpus culturel par pur plaisir d’exceller un jour dans mes 45 minutes confidences pour David
Boîte de réception
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15:20 (il y a 0 minute) | |||
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Chère Claire,
j’imagine que vos corrections du dernier livre sont terminées::::: Est ce que j’ai lu ou je vais avoir le plaisir de lire votre dernière oeuvre?
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que vous ayiez pris le temps d’écouter l’adio me touche beaucoup… Vous êtes vraiment exceptionnelle… j’apprécie tellement votre engagement complice à mes dires… j’espère que je vous le rend bien))) J’ai toujours peur de plus recevoir que de donner… Si c’est le cas, je vous en prie, signalez-moi le… je corrigerai avec humilité:)))
Avec vous, j’ai le privilège de m’exprimer sans filtre, sans intérêt personnel caché, , avec un enthousiasme que je ne m’étais pas connu depuis longtemps…. et surtout, je sais que celle à qui je parle est une rêveuse disciplinée, inspirée, et heureuse de ses choix de vie autant au niveau familial que professionnel…
Gaelle vient d,avoir son ier cours virtuel avec sa directrice… qui d’entrée de jeu, devant ses 20 étudiant(e)s pour la plupart en fin de bacc… leur a dit qu’il y avait parmi eux une doctorante… D’entrée de jeu , elle a aussi donné ses couleurs comme étant une mordue de théorie et de métaphysique… le cours visant justement à initier des étudiant)e) s au bacc … à ce que c’est que de devenir un ou une théoricien (ne)..
Vous vous imaginez ma fierté… Ces deux là sont faites pour s’entendre… Madame Martelly étant colorée, hyper dynamique, vraiment une leader interactive au rythme saccadé et Gaelle étant plutôt au rythme lent d’un cygne sur un lac, mais avec pour conséquence une capacité d’inventions en pensée pure d’une très grande densité, variété, et excellence…
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J’aurai jamais la prétention d’avoir été ou d’être pour elle un maître à penser… ni un même un compagnon de travail, je crois… Je pense plutôt avoir été un ange protecteur d’une rêveuse qui n’avait plus aucune chance de ne pas être écrasé par la cruauté d’une vie ou la précarité financière accentuée par la culpabilité à prendre soin de ses parents en Afrique .. au point ou la maladie dont elle ne pouvait renseigner ses parents, risquait de l,emporter…
Je serai toujours là pour la protéger… mais son génie est tellement signé que ça ne prendra pas grand temps encore avant qu’elle soit happée par sa vie professionnelle au niveau international… Moi, j’en serai tellement fier que , tel un grand-père, je serai heureux de retrouver ma chaise berçante quelque part entre une bibliotheque universitaire et un lit à terre pour déguster mes recherches personnelles..
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[RARE] VIRGILE – Ultime Hommage • 2/2 (France Culture, 1985) – YouTube
Cette idée de pod cast potentiel m’a amené à revisiter Homère, Virgile et Dante… car mon intuition me dit que l’épopée du vagabond céleste constitue pour le 21ieme siècle une cosmogonie tenant d’une mythologie du vasgabondage de la beauté du monde…. et j’ai besoin dans mon 45 minutes confidences, d,avoir intérieurement sous mes paroles cette culture générale qui me donne le ton paisible de la confidence, détaché du texte par pur plaisir de danser le rapport avec le public dans une poésie orale bien opérationnelle…
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au plaisir de vous revenir cette nuit
je vais dormir un peu
Pierrot
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Raymond-Louis… la beauté de son k-oeur, la délicatesse de sa personnalité, son très grand amour de l’enseignement qui est tellement ancré chez toi aussi… font qu’on ne peut qu’être inspiré d’abord par son rêve …. et â prend des rêveurs comme toi et moi pour en voir la grandeur dans le futur… Moi, il y a 3 ans et demie, à la seconde ou je l’ai rencontré… j’ai su… j’ai su que ce qui était devant moi comme génie créateur en pensée pure, on ne rencontre celaqu’une fois par génération … et je me suis donc donné avec toute l’abnégation et l’éthique dont j’étais capable… Mais j,avoue, qu’au mois de décembre… j’étais bien heureux de recevoir spirituellement ton aide…j’avais atteint les limites de mes ressources …Je sais qu’elle aura quelquefois à monter ç Sherbrooke aller retour pour suivre un cours de madame martelly, le vendredi à 2h.p.m Connaissant sa santé fragile (garde ça pour toi) …. je sais qu’y aller en autobus avec ce que cela comporte d’arrêts… n’est pas bon pour elle…
Nous sommes à l’âge toi et moi pour savoir la différence entre une personne humaine normale et une personne humaine excveptionnelle Merci d’avoir vu… dans une photo ce qui pour moi constitue une dévotion à chaque jour Je vis cela comme un grand-père pour sa petite fille sa dignité dans l’épreuve est exceptionnellemoi qui vit nuit et jour avec elle depuis un an et demie je ne lui trouve aucune faille elle ne boit pas, ne fume pas, ne drogue pas et bosse à son oeuvre en pensée pure jour et nuit
Pierrot…..
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que j’ai hâte que tu guérisses…
Gaelle finalement pourra poursuivre un cours en virtuel avec sa directrice, donc de monter à Sherbrooke en autobus une fois ou deux d’ici la fin du semestre de janvier… donc le meilleur des scénarios possibles pour son doctorat s’est finalement réalisé… Il y a donc consolidation de nos doctorats communs… .. le doctorat de Gaelle s’annonce somptueux….elle a réussi à prendre un cours seulement en propédeutique avecsa directrice de thèse et en septembre prochain elle prendra les 4 autres… Moi j,avance en pensée métaphysique aussi au point ou intérieurement tout me convoque , avec beaucoup d’enthousiasme, à déménager à Sherbrooke en juillet avec Gaelle pour poursuivre moi-même mes recherches en métaphysique dans la bibliothèque universitaire de l’université de Sherbrooeke … en vue du doctorat des rêveurs .équitables… que nous pourrons déposer dans l’observatoire du merveilleux que Gaelle créera au cours de son doctorat.. je pourrai toujours aller à mes conférences que je habite dans une ville ou dans une autre……. et poursuivre ma collaboration avec toi… en présentiel ou par zoom…mais on dirait que ma vie d’ermite des mots m’habite de nouveau en majeur:))))
Depuis une semaine, mes nuits et jours ont basculé dans de nouvelles avancées sur la métaphysique ontikhative de l’épopée du vagabond céleste… et cela me procure intérieurement une grande joie dont l’intensité créatrice m’étonne moi-même… et récompense toutes ces années passées dans le silence d’une bibliotheque à réfléchir, architectoniser et , écrire mon traité des abs….
Bien hâte de te voir j’attend juste que Gaelle ait reçu son 3ieme vaccin la covid étant tellement imprévisible en ce moment
Pierrot
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Bonjour Pierre,
Ce matin, je me suis levée à 5h30, comme d’habitude. J’ai nourri mon chat, je me suis fait un café, et j’ai lu votre message avec ravissement, en mangeant un croissant. Puis au moment de monter écrire… j’ai senti que le cœur n’y était pas. Il y a des matins, comme ça… heureusement, ils sont rares. Je suis donc allée me recoucher… le vide… le silence… et je me suis rendormie. Quand j’ai ouvert les yeux à 8h30, il y avait plein de soleil dans ma chambre. J’ai ouvert ma boîte de courriel, et j’ai découvert ce message-ci :
« Bonjour madame Bergeron. Je termine, à l’instant même la lecture de « Les secrets d’une âme brisée ». Je vis la dernière page d’un livre comme un deuil. La consolation, c’est qu’il y aura une prochaine découverte. Vos personnages sont très attachants et imprévisibles, en particulier Fabiola et Aymeric. J’ai un attachement particulier à l’Abitibi car j’ai eu de la famille à St Benoit-de-Lacorne, un cousin curé à Vassan et Val d’or et surtout une grande amie connue chez les Soeurs de l’Assomption de Nicolet, Claire Phillion d’Amos. J’ai étudié à la maîtrise en piano à Nicolet. Depuis toujours, les livres m’accompagnent. Je vous disais que je partageais vos livres avec mes amies. Elles sont tout aussi heureuses que moi. Un livre, ça doit voyager. Merci de me donner ce grand bonheur. En temps de pandémie, les livres sont les meilleurs compagnons. Bonne journée. Alice Lefebvre »
J’ai perçu ce message comme une réponse de l’univers à ma nostalgie du matin… surtout que pour la couverture de mon roman à paraître en mars prochain, nous avons utilisé une photo de l’église de Saint-Benoît-de-la Corne, prise par Isabelle l’été dernier. Aussi, mon héroïne est une religieuse de sœurs de l’Assomption, et il est question de leur maison mère, à Nicolet. Ma passion de l’écriture sème du bonheur… ça m’a remis le cœur à la joie. Demain, j’en suis certaine, je reprendrai ma plume… passionnément !
Vous me demandiez si mon travail de révision était terminé… pour les textes oui…Hier j’ai réglé un dernier petit détail. Ma dédicace était la suivante, remise en juin, alors que je croyais bien qu’au printemps 2022, la pandémie serait terminée :
À chacun d’entre vous qui, après avoir vogué sur la galère de la pandémie,en est ressorti plus grand !
Je l’ai changé pour celle-ci :
À chacun d’entre vous qui, emporté sur la galère de la pandémie, choisit la lecture pour compagnon de voyage !
J’ai aussi approuvé la couverture, et le C4, cette semaine… je vous joins l’épreuve, en toute discrétion… car ma maison d’édition souhaite être la première à la faire découvrir au lectorat… La semaine prochaine, je vais en refaire une lecture complète, je n’aurai que deux jours avant qu’il parte pour l’impression, en espérant ne pas oublier de coquilles derrière… mais il est très rare que malgré tout ce travail, il n’y ait pas au moins une petite coquine, qui vient se moquer de nous, après l’impression. Chez Druide, ils impliquent l’auteur à tous les niveaux… un respect que j’apprécie énormément.
Cher Pierre, j’ai encore plein de choses à vous dire… ce sera pour une autre fois.
Bonne journée ensoleillée.
Claire
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et quelle joie de recevoir le ier votre dernier bijou de l’imaginaire en pdf… soyez certaine que j’en ferai le délice de mes prochaines semaines…
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Je me disais que, comme vous êtes une oreille unique, j’aimerais vous raconter en détail la grande histoire d’amour de ma vie que fut Suzanne fortin, écrivaine et poète, quand je fus squatter à recyclo-livres… celle pour qui j’ai faillit me pendre dans la cave de recyclo-livres… Je pense que nous avons l’âge maintenant et la sagesse du recul pour témoigner de ces majestueux débris de la mémoire du k-oeur qui scintillent au firmament de nos amours qui dans mon cas… furent dramaturgiquement aujssi nombreux qu’impossibles… alors que je ne rêvais que de pensée abstraite pure…
Ce courriel que vous avez reçu… wowwwwwwwwwwwww…. vous êtes précieuse Claire… et vous le serez pour les générations de lecteurs qui suivront… mon intuition me dit que votre place dans la littérature sera celle du k-oeur… celle de l’écrivaine au grans k-oeur…
passez une journée aussi somptueuse que sera la mienne à vous lireavec lenteur
Pierrot …
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Cher Pierre,
Je crains que vous soyez déçu… ce que je peux vous envoyer en ce moment, ce n’est que la couverture de mon roman, et le bref résumé du C4… Vous devrez attendre en mars pour en faire la lecture… trouver du plaisir dans l’attente…Je vous reviens plus tard… votre dernier courriel m’émeut… il mérite réflexion…
À bientôt,
Claire
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onjour Pierre,
Il y a quelques jours, vous m’avez écrit ceci : « Effectivement…. il y a deux choses que j’adore… un échange épistolaire… et un échange très confidence axée sur un thème dégusté en tête à tête avec lenteur poétique… »
Selon moi, un échange épistolaire à ses limites… de là un échange très confidence… en tête à tête… avec la lenteur d’entrer dans les détails, dans les détours d’une vie… dans ses abimes comme dans ses divines envolées…
Si j’ai bien compris ce dernier courriel, vous avez réellement pensé à mettre fin à vos jours… Très cher Pierre, je ne suis pas certaine que je pourrais lire en détail ce difficile moment de votre existence… seule… loin de vous… Par contre, je suis convaincue que je pourrais vous prêter une oreille attentive… entrer au cœur de vos émotions… si vous êtes à mes côtés pour en moduler les ressentis… Votre histoire d’amour, je pourrais la lire sans problème… c’est là où elle vous a conduit, qu’il m’effraie de découvrir sans vous l’entendre raconter de vive voix… Je vous ai déjà dit que ce sont les émotions qui m’ont conduite à l’écriture… il m’arrive de pleurer pour des personnages fictifs… alors imaginez lire vos émotions… entrer au cœur de de votre détresse… même si je sais qu’aujourd’hui, le soleil brille de nouveau pour vous… que votre cœur est grand ouvert à l’amour…
ierre, la pandémie finira bien par faire relâche, elle nous permettra des échanges en présentiel… Nous avons de beaux moments à vivre ensemble… vous avez parlé de me chanter vos chansons… me lire les lettres de mon père… Nous pourrons aussi ouvrir la porte aux moments plus dramatiques de nos vies… je me sentirais plus confortable de vous écouter… que de vous lire… sur ce difficile passage de votre existence.
Je me trompe peut-être… dites-moi ce que vous en pensez…
Tendresse.
Claire
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Je suis en contemplation auditive de l’illiade d’homère pour imaginer un conte philosophique entre l’improbable (la covid) et l’impossible (la vie personnelle oeuvre d’art) comme eumétrie poétique de l’épopée du vagabond céleste
Boîte de réception
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21:25 (il y a 0 minute) | |||
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Les Grands Mythes : L’Iliade , Première partie (ép 1+2+3+4+5) (ARTE) – YouTube
Les Grands Mythes : L’Iliade , Seconde partie (ép 6+7+8+9+10) (ARTE) – YouTube
Je vous reviens cette nuit
Pierrot
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Cette petite phrase de l’Illiade … qui symbolise pour moi l’impossible heureux tel que se l’imaginait Homère… et que je cultiverai dans mon 45 minutes-confidences ou dans un pod-cast…
Boîte de réception
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02:26 (il y a 0 minute) | |||
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Les Grands Mythes : L’Iliade , Seconde partie (ép 6+7+8+9+10) (ARTE) – YouTube
1.39.00
DANS SON COIN, ULYSSE AUX RUSES NOMBREUSES…RESTE SILENCIEUX … IL ÉCOUTE… NON PAS LES CRIS DU ROI DES ROIS … MAIS LA VOIX D’ATHENA … INVISIBLE AUX YEUX DE TOUS … ET QUI MURMURE À SON OREILLE…
LORSQUE LA DÉESSE SE RETIRE, UN SOURIRE SE DESSINE SUR LES LÈVRES D’ULYSSE…
Chère Claire,
je me suis toujours donné une culture générale sous-entendant une démarche créatrice lorsque je préparais mes prestations… que ce soit au café St-Vincent par une connaissance bibliographique des grandes chansons, ou aux 2 Pierrots par une mise en théorisation des lois de l’animation de foule, ou à l’auberge la Calèche par une connaissance de l’histoire du burlesque accompagnée d’une maîtrise universitaire sur le rire……
Et là, mon immense joie, en préparant mes 45 minutes-confidences pour David, c’est de me donner une culture générale sur la façon dont l’impossible s’est déployé dans différents imaginaires collectifs de façon à bien contextualiser l’après-covid dans la déhiérarchisation des pouvoirs corporatifs par le biais d’un meilleur leadership parce que l’impossible du rêve du plus petit devient l’étalon de mesure de l’impossible qui murmure en vue d’un rêve de tous pour tous…
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Je prends le pari que cette intimité épistolaire entre nous conduira à une oeuvre d’art au service d’Orizon… car je sens bien que les attentes d’après-covid n’en seront plus tellement celles d’une formation tant qu’à une logique de performance, mais plutôt à une empathie philosophique accordée au bien-être de chacun pour le bien de tous… dans une élasticité ou chaque milieu de travail est appelé à des révolutions permanentes pour concilier des enjeux aux proportions devenues planétaires…
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Je me sens exactement comme lorsque je fus au début des Contretemps… animé d’une vision, d’une passion , d’un enthousiasme qui m’appelle à la joie de me dépasser pour mieux rêver l’avenir
Je sens que le présentiel entre nous deux sera d’un grand confort… parce que nous aurons pris bien le temps de nous connaître…
Et, comme vous le soulignez, il est sage d’attendre le présentiel pour aborder des débris du k-oeur plus articulés au niveau des dramaturgies qui furent à la fois radicales et formatrices dans l’expérimentation d’une discipline acquise en vue d’une vie personnelle oeuvre d’art en marche vers son rêve big bang…
Bon réveil créateur
Pierrot
Zone contenant les pièces jointes
Prévisualiser la vidéo YouTube Les Grands Mythes : L’Iliade , Seconde partie (ép 6+7+8+9+10) (ARTE)
L——es Grands Mythes : L’Iliade , Seconde partie (ép 6+7+8+9+10) (ARTE)
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Bonjour cher Pierre,
Cet avant-midi, en boulangeant mon pain, j’ai mis mes écouteurs pour entendre la 1ère partie de l’Illiade… c’est quand même fascinant que ce récit ait traversé tellement de siècles…
Je conserve de merveilleux souvenirs de mon passage en Grèce. Comme je vous l’ai déjà dit, je crois, pour les 10 ans de mes petits-enfants je leur offre un voyage à l’endroit de leur choix… bien sûr, accompagné du parent, mon fils ou ma fille. Éloïse avait choisi la Grèce, pour son côté mythique. Après avoir visité Athènes et ses environs, nous sommes montées à bord d’un voilier : l’Anatolie : http://www.voiliergrece.com/bateaux pour un voyage d’une semaine en mer Égée, voguant d’île en île, avec des nuits tranquilles dans de jolies baies, au hasard de la route. Nous n’étions que 7 passagers à bord, un couple qui fêtait ses 40 ans de mariage, un jeune couple en voyage de noces, et nous trois, Isabelle, Éloïse et moi. Notre capitaine, Alexandre, avec lequel il m’arrive encore d’échanger parfois, était un véritable poète… qui nous racontait de très belles légendes… qui récitait aussi ses propres poèmes, le soir au clair de lune… et la bouffe était délicieuse, achetée au gré des ports visités… nos verres d’ouzo… que de merveilleux souvenirs !
Mais voilà que la pandémie vient retarder mes voyages avec Édouard et Évangéline, que je devais faire avec eux et David… Édouard en juin 2020, fasciné par Hawaï, Pearl Harbour, les volcans… tous nos billets étaient achetés. Quant à Évangéline, elle attend pour choisir sa destination… pourrons-nous de nouveau voyager sans crainte, pendant que je suis toujours assez alerte pour les accompagner ? Le temps file à une vitesse folle…
« Je me sens exactement comme lorsque je fus au début des Contretemps… animé d’une vision, d’une passion, d’un enthousiasme qui m’appelle à la joie de me dépasser pour mieux rêver l’avenir… »
Ça me fait plaisir de vous sentir aussi heureux… j’ai le sentiment de contribuer à votre joie de vivre, à travers les merveilleux échanges qui sont les nôtres… en tout cas, pour moi, nos mots échangés sont infiniment précieux… ils illuminent la sombre période que nous traversons… et préparent agréablement l’après COVID…
Merci d’être là!
Claire
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UR L’OLYMPE, ZEUS A TOUT VU… IL A SURTOUT TOUT COMPRIS … CE QUI SE JOUE EN CE MOMENT, DANS LE K-OEUR D’ULYSSE, C’EST LA PLUS REDOUTABLE DES MENACES POUR LES DIEUX IMMORTELS … PEUT-ÊTRE PIRE QUE TOUTES LES BATAILLES, QUE TOUTES LES QUERELLES LES DIVINITÉS DE L’OLYMPE ET QUI ONT CONDUIT À CETTE GUERRE DE TROIE ET QUI A VU TANT DE VIE SACRIFIÉES.
CAR , EN ULYSSE, ONT GERMÉ LES GRAINES QUI RISQUENT DE SE PROPAGER À TOUTE VITESSE. UN MAL QUE TOUS LES DIEUX REDOUTENT ET QUE LES HOMMES NOMMENT L’ATHÉISME. (…)
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SI UN HOMME, UN SIMPLE MORTEL, COMMENCE À DOUTER DE LA PUISSANCE DES DIEUX, S’IL ABANDONNE TOUTE CROYANCE EN EUX, C’EST BIENTÔT LEUR NÉCESSITÉ MÊME, QUI SERA REMISE EN CAUSE… OR POURSUIT ZEUS, LES DIEUX NE TIRENT LEUR PUISSANCE ET LEUR GLOIRE QUE DE LA CROYANCE QUE LES HOMMES PLACENT EN EUX. QUE LES HOMMES SE DÉTOURNENT, CESSENT DE CROIRE, DE LES CRAINDRE, DE LEUR SACRIFIER DES HÉCATOMBES, DE LLEUR RENDRE LES HONNEURS, ALORS… LES DIEUX N’AURONT PLUS SUR TERRE AUCUN POUVOIR.
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CIRCÉ LUI DIT ALORS CE QU’ELLE SAIT DE SON AVENIR… PEU DE CHOSES À VRAI DIRE… CAR MÊME LES DIEUX IGNORENT CE QUE LE DESTIN … CETTE INSTANCE SUPÉRIEURE.. RÉSERVE AUX MORTELS …COMME AUX ÉTERNELS.
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Chère Claire
J’ai enfin terminé de réécouter les deux oeuvres d’Homère…L’illiade et l’Odyssée … avec pour objectif de réécouter tout Virgile et Dante…. dans le fil d’or d’une christianisation d’archétypes dont le 2ieme siècle hérite malgré une déchristianisation de l’imaginaire contemporain par la sécularisation des enjeux…
Tout ça pour mieux conbtextualiser l’épopée du vagabond céleste … issue d’une branche particulière de la cosmologie humaine, soit celle des vagabonds spirituels, coureurs des bois et quêteux officiels dont nous sommes les héritiers au Québec…
LE SENS DU… IL ÉTAIT UNE FOIS… QUI SURGIT DE TOUTE ENTREPRISE POÉTIQUE… vient en grande partie du fondement architectonique d’une culture générale qui, passant par des oeuvres nodales (ex: le pantagruel de rabelais ou l’Ulysse de James Joyce) permet de lire L’IMPOSSIBLE dans le rêve de chaque personne humaine, qu’importe sa race, sa langue ou sa religion.
C’est ce que j,espère apporter sous la posture d’un grand-père conteur dans mes 45 minutes confidences pour Orizon…
Et le fait que je puisse, jour après jour, vous raconter mon voyage méthodologique et vous le faire partager par des envois d’oeuvres sonores comme d’extraits de mon journal… me semble un cadeau de la vie…tellement je vous perçois comme UNE ÉCRIVAINE AU K-OEUR UNIVERSEL… dont les débris de la mémoire du coeur sous forme d’aphorismes à travers vos romans…me semblent incontournables…
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Vous parliez d’un voyage en Grèce fait avec votre famille… wowwwww… j’aurais aimé être là…. Vous parliez d’un voyage à Hawai annulé… J’ai vécu Hawai au retour du Japon… On ne peut oublie… cette sensation d’un nuit et jour heureux ou il y a toujours quelqu’un dans les rues d’un climat béni par l’impossible heureux… la mer, la plage et la sensation d’être dans l’endroit le plus clément sur terre…
En temps de pandémie, vous faites la différence dans ma vie…. consacrée à prendre soin du rêve doctoral de Gaelle…
Merci à vous aussi d’être là
Je vous réécris cette nuit
Pierrot:)))
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’aime particulièrement cette phrase : « CIRCÉ LUI DIT ALORS CE QU’ELLE SAIT DE SON AVENIR… PEU DE CHOSES À VRAI DIRE… CAR MÊME LES DIEUX IGNORENT CE QUE LE DESTIN … CETTE INSTANCE SUPÉRIEURE.. RÉSERVE AUX MORTELS …COMME AUX ÉTERNELS.»
Qui que l’on soit, si intelligent ou devin se croit-on, le destin demeure un mystère… tout en étant un incontournable… Il était une fois… une écrivaine et un vagabond destinés à voir se croiser les rivières de leur vie respective… de là, leur avenir commun serait à écrire… comme ils sont poète et romancière… j’imagine qu’ils sauront faire de leur épopée une œuvre d’art… à suivre…
Claire
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Perséphone, la reine des enfers
Mythologie grecque #2, les grands mythes : Hadès, Athéna et Apollon (ARTE) – YouTube
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chère Claire,
Comme je suis heureux de tout ce travail préparatoire au niveau du corpus culturel sous-entendant la problématique d’un …. croire à l’impossible ….. au niveau corporatif …. ce qui me donne une aisance au niveau du ton confidence….et surtout une assise comme philosophe, c’est-à-dire possédant un certain angle dans la mise en opération d’un savoir ciblé … ou le rapport entre mon ancienne existence de Pierrot chansonnier et ma nouvelle absxistence comme pierrot vagabond chercheur permet une mise en lumière d’une quête philosophique autant que métaphysique des 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art
quel est ton rêve?…. dans combien d jours? qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? et comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?.
Pour le plaisir, entre deux réécoutes d’Homère, je me suis fait une mise en abîme d’un 45 minutes en temps réel comme si j’étais devant un auditoire vivant, ciblé d’un certain type de personnes… et je me suis aperçu que, de par ma posture de grand-père d’une bienveillance poétique… la distance entre le texte écrit et la dramaturgie heureuse de réinventer le tout dans une logique de la conteur-confidence comme si la salle était un feu dans la forêt… me rendait vraiment joyeux…
Un philosophe-chercheur-conteur… qui s’adresse à un public comme si chacun était la seule oreille… que j’aime imaginer de la qualité de la vôtre…Claire…. voilà ce que je vise par un entraînement discipliné et une réécriture constante… jusjqu.à ce que je dépasse les horizons d’excellence que je me suis fixé:))))
Qu’on ne me donne pas ma chance… car je peux vous assurer, comme à chaque fois dans ma vie, je ne la raterai pas:))) Et si l’impossible fait en sorte que David et son équipe se voient, à la fin de l’épopée, fiers de me promouvoir, je n’en serai que plus heureux à contribuer à ce que tous, nous soyons gagnants-gagnants…
au plaisir de vous lire …Claire,
Je continue ma nuit de réclusion enchantée
Pierrot
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Bonjour Pierre,
À nos âges vénérables… avec notre sensibilité… fragilité… passion d’artiste… je pense qu’il faut être conscient que nos parcours de vie ne furent pas un long tracé sans heurts… Quand vous m’avez parlé de votre histoire avec Suzanne Fortin, surtout, l’abîme vers lequel cette relation vous a conduit… la terrible solution qui vous a semblé la meilleure pour faire cesser votre détresse, j’ai reçu un choc…
Vous découvrant aujourd’hui, avec le sentiment que vous êtes quelqu’un de foncièrement heureux… je pense que j’avais imaginé que vous flottiez au-dessus de la condition humaine… un vagabond céleste… En acceptant vos confidences… je ne sais pas trop… j’ai eu peur de me blesser… en touchant votre humanité… J’y repense depuis… et je me dis que j’ai été une bien piètre confidente… si vous m’en avez parlé, c’est que vous sentiez le besoin de vous confier…
Après réflexion, mon cœur est ouvert à recevoir vos confidences… racontez-moi… si vous en sentez toujours le besoin.
Vous êtes précieux pour moi… ça inclus une oreille cordiale, ouverte à vos confidences…
Bonne fin de journée, cher Pierre.
Claire
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a iere rencontre zoom de Gaelle … avec sa directrice de doctorat Madame Stephane Martelly …a eu lieu…. wowwwwww…. Cette dame est une passionnée de théorie et de métaphysique dans un angle de marginalité épistémique qui lui donne la compétence de diriger celle en qui j’ai mis toute ma joie de prendre soin du rêve de l’autre de façon mystique
… donc ces deux-là sont faites pour l’excellence en pensée pure… comme nous n’avons pas vraiment dormi depuis un certain nombre d’heures…. ici nous fermons les lumières…. et nous tentons de vivre un 8 heures de suite de sommeil.
D’ici notre déménagement de juillet 2022, Gaelle pourra se trouver un travail à l’université, probablement comme assistante de recherche… de façon à ce que nous puissions payer ses frais de scolarité et rembourser les amis qui nous ont fait confiance. Quiconque ne triche pas avec son rêve reçoit de l’aide en synchronivité du rêve lui-même:)))) Il nous restera à trouver l,argent pour le semestre d’automne… mais j’ai confiance:))))
Et comme son doctorat est déjà très avancé… 2 ans maximum et le diplôme avec mention d’honneur sera réalité:))))
Je voulais surtout vous raconter la finale qui fut à la hauteur du vagabond céleste..:))))) Mais j’ai apprécié quand même le fait que probablement en présentiel nous pourrons en creuser toute la poésie par la lenteur du dire et de l’oreille…
Vous découvrant aujourd’hui, avec le sentiment que vous êtes quelqu’un de foncièrement heureux… je pense que j’avais imaginé que vous flottiez au-dessus de la condition humaine… un vagabond céleste… En acceptant vos confidences… je ne sais pas trop… j’ai eu peur de me blesser… en touchant votre humanité… J’y repense depuis… et je me dis que j’ai été une bien piètre confidente… si vous m’en avez parlé, c’est que vous sentiez le besoin de vous confier…
Ce qui témoigne de votre très grande sensibilité…
Après réflexion, mon cœur est ouvert à recevoir vos confidences… racontez-moi… si vous en sentez toujours le besoin.
Vous êtes précieux pour moi… ça inclus une oreille cordiale, ouverte à vos confidences…
Bonne fin de journée, cher Pierre.
Je n’ai aucun problème à attendre le plaisir du présentiel pour aborder ce chapitre de mes débris de la mémoire du k-oeur:)))
Je vous écris cette nuit, j’imagine vers 4 ou 5 heures du matin
bonne fin de soirée Claire:)))
Claire
Zone contenant les pièces jointes
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a merveilleuse performance sculpturale avec oetits sacs et k-oeurs me semble tellement essentielle à être diffusée
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06:45 (il y a 0 minute) | |||
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salut Danielle
Je ne cesse de réfléchir à notre collaboration autour de ton arbre sculptural , tes sacs et tes k-oeurs… Je sais que le secret des conférences pour Orizon s’y trouve…
que ta santé revienne
surtout que tu saches que je suis vraiment là
Gaelle a un rendez-vous pour son 3ieme vaccin
cette semaine
d’ici 2 semaines
ça va me donner le temps de réfléchir
à une gestion plus humaine de la covid
au niveau relationnel
Je m,ennuie de nos rêves communs
Pierrot
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Bonjour cher Pierre,
Je vais vous raconter une étape cruciale de ma vie.
C’était en septembre 1992. Je sortais d’un divorce difficile, j’avais terminé mon actualisation en tant qu’infirmière au CEGEP du Vieux-Montréal, et je venais de commencer à travailler à l’hôpital Jean-Talon. J’habitais un quatre et demi, avec ma fille, dans le quartier Villeray. Un soir, pour me distraire, Isabelle a insisté pour que je l’accompagne à un club de Montréal, le Thursday’s. Je n’aime pas ce genre d’endroit, mais je me suis dit que ça ferait du bien de voir du monde, et peut-être de danser… et c’est ce qui s’est produit.
Un ingénieur français, de passage à Montréal pour étudier nos installations hydro électriques m’a invité à danser. Nous avons eu un véritable coup de foudre. Le soir même, j’étais dans son lit. Ma fille a dû rentrer seule à l’appartement. Serge est demeuré une semaine à Montréal, puis il a été contraint de repartir. Nous avons entrepris un échange épistolaire, par la poste. L’ère du pigeon voyageur était révolue et celle de l’internet n’était pas encore née. Il aurait aimé que je vienne travailler en France, ma licence d’infirmière était acceptée dans l’hexagone… Je l’avoue, j’ai eu envie de fuir ma vie, si difficile à l’époque, et d’aller en commencer une nouvelle, outre-mer… Isabelle avait obtenu son bacc en communication, elle avait commencé à travailler… mais il y avait David, 17 ans… il était retourné vivre chez son père, en Abitibi, un homme avec des problèmes d’alcoolisme…
Mon fils a gagné… je n’ai pas donné suite à l’invitation de Serge, qui travaillait alors pour le gouvernement français. Il a donc mis son nom sur une liste de nomination dans l’espoir d’être muté au Québec… il a obtenu une mutation, mais en Indonésie… Il n’était pas question pour moi de m’exiler aussi loin… Il est parti sans moi, supposément avec dans ses bagages toutes les lettres qu’il avait reçues de moi… De mon côté, j’ai aussi conservé les siennes. Je ne les ai jamais relues… peut-être quand sera venu le temps de me souvenir… Je n’ai pas eu de peine de cette séparation… une petite déception… notre relation était davantage de la passion que de l’amour…
Toujours est-il qu’au printemps 1993… avec le divorce… l’actualisation… le travail de nuit à Jean-Talon… je suis tombée profondément malade : une double pneumonie. Le médecin m’a conseillé un repos complet si je voulais espérer pouvoir m’en sortir. En quittant son bureau, je suis entrée dans une agence de voyage, et j’ai pris des billets pour la Floride, là où habitait mes parents. Avec les bons petits plats de maman, et les sages paroles de mon père, j’ai refait surface, remplie d’une énergie nouvelle… déterminée à ramener David auprès de moi ! En juin 1993, j’ai acheté ma maison… avec trois chambres… Moins d’un an plus tard, David a quitté définitivement l’Abitibi pour venir s’installer avec moi. Un chapitre de ma vie était clos… j’étais fière de mes choix… L’avenir nous souriait à tous les trois…
Voilà pour une étape de ma petite histoire…
Je vous souhaite une excellente journée,
Claire
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Vous savez Claire, j’ai toujours coupé au couteau mes relations avec mes anciennes compagnes de vie…. ayant encore aujourd’hui, le réflexes du déni (je ne me rappelle même pas de leur nom) ..:))))) Ce qui fait qu’en vous lisant ce matin, je peux rire de moi un peu:)))
Tout se passe comme si les seules relations qui avaient compté dans ma vie étaient celles de mes compagnons de scène… Les Contretemps, Pierre David, l’autre Pierrot, Denis Lamarre, Michel Woodard…
Et même là … aucun de mes partenaire de scène n’a eu accès à mon intimité poétique… ma seule véritable compagne de vie fut la poésie…… qui pour moi a toujours été un personnage à la hauteur de l’impossible… L’IMPOSSIBLE, DANS LE BAS DE ‘,ESCALIER, ÉTAIT GÊNÉ DE NOUS REGARDER…
J’ai tout abandonné pour la poésie… conjointes, enfants, famille…
et à 73 ans… J’essaie de vivre de la culpabilité mais, à mon grand scandale intérieur, je n’y arrive pas… Il n’y a qu’à vous que je puis confier cela… Ma vie sur terre s’est passé dans un dialogue heureux avec ma compagne, la poésie… sans avoir besoin de quelque public que ce soit pour en partager les fruits… et cela aussi à mon grand scandale personnel… J’étais insensible à quelque applaudissement que ce soit… J’avais hâte de sortir de scène pour vivre une nuit poétique avec mes mots quand je copiais mes cahiers de chansons ou quand je préparais ma maîtrise sur le rire… comme en ce moment quand je prépare le doctorat des rêveurs équitables…
C’est peut-être pour cela que Suzanne Fortin à Recyclo-livres fut un événement relationnel à part… C’est comme si la poésie s’était déguisée en femme pour mieux m’ensorceler …. J’étais squatter, je n’avais rien d’autre que mon rêve, je dormais sur une table dans la cave entouré de livres… j’étais poète de ma vie personnelle oeuvre d’art…. Je venais de terminer monsieur 2.7k? ……
Mais je n,avais besoin que d’elle comme inspiration, comme muse… entre deux enchantements des mots… Je n’ai jamais été chez elle… elle se déplaçait pour venir me rejoindre dans la cave de recyclo-livres… Je n’appréciais que l’universalité cosmologique qu’elle éveillait en moi…
quand j’ai pris la route, c’est uniquement porté par la poésie enfin libéré de ses métamorphoses au féminin …que je devins céleste…
Voilà
Je pars donc avec Gaelle pour l’accompagner à son 3ieme vaccin… pétillante et heureuse…. reconnaissante envers la vie de lui avoir donner le cadeau d’une directrice de doctorat qui l’enchante à tous points de vue… I Que sa marche vers son rêve soit la fierté de mes jours du 4ieme âge:))))
je vous reviens plus tard avec autant de joie, jour après jour
Pierrot
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cher ami,
Je reviens de chez Simon.
Je ne prend pas de chance, je ne sais pas s’il arrivera encore à écrire. Il ne peut plus marcher….Ses phrases sont courtes…Je ne l’avais pas vu depuis 28 jours vendredi passé et il a perdu énormément de poids, et je suis retournée tantôt…Pour m’apercevoir de la dégringolade de l’état.
IL s’en va doucement…mais bientôt je crois.
Il est très bien entouré, paisible, amoureux! et chez lui.
Je retourne le voir demain, si jamais tu veux que je lui apporte un message de ta part, ou essayer de l’appeler, ou peut-être ni un ni l’autre, mais de pensées… comme tu le sens.
Annick xxxxx
…
Chère Annick
Je t’envoie une chanson que Simon va reconnaître pour que tu lui fasses écouter…soit par courriel …. soit en personne… je ne sais trop …et que discrètement tu puisses savoir d’une façon ou une autrecomment il aimerait que ça se passe entre lui et moi
Pierrot:)))
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Nous voilà à la croisée des chemins des magiciens… Le temps qui reste à Simon, je suggère que philosophiquement, spirituellement, nous le vivions en prenant soin de nous, de chacun de nous autour de lui… en se rappelant que le voyageur ou la voyageuse du chemin des inconnus, a surtout besoin de recevoir avant de s’élancer sur des chemins inconnus …… de la part de ses amis….. les ailes du pari poétique de l’au-delà qui ne peuvent qu’être tissées que par l’amitié oeuvre d’art que nous lui portons tous.
Comme je suis un vagabond céleste…. et que tu es poésie de l’art de vivre au quotidien, cultivons entre nous la joie profonde de célébrer avec Simon… et nos souvenirs heureux que nous avons vécu avec lui … et de faire des derniers jours que nous vivrons avec lui …un souvenir heureux pour lui aussi…tout en donnant des forces à celles et ceux dont les pleurs sont vécus trop douloureusement et trop isolément..
C’est donc dans cet état d’esprit de paix spirituelle que j’ai chanté la chanson de la beauté du monde pour Simon…
JE TRAVERSERAI L’ÉTERNITÉ EN MARCHANT LA NEIGE ET LE VENT
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Ceci dit,
pour ce qui est du côté pratique:))))
Comme il doit y avoir quelques personnes ou peut-être plusieurs personnes autour de lui nuit et jour, je vais donc … faire confiance… à tes délicatesses… pour que Simon puisse te confier comment il aimerait que cela se passe entre lui et moi…
Si il a besoin que je monte à St-Elie, je serais disponible à partir de samedi…. Faudrait juste que tu m’indiques chez qui je pourrais passer une nuit ou deux, ou trois… selon les scénarios et qui pourrait venir me cueillir au terminus de Trois-Rivières ou de Grand-mère.
Gaelle ayant maintenant ses 3 vaccins et moi aussi… je me sens plus aptes aux responsabilités qu’emmènent la covid dans ma vie, la santé de Gaelle étant fragile, tu comprends que je ne veux pas ramener la covid ici à Montréal… et comme je ne vois strictement personne, vivant en réclusion enchantée pour faire recherche intellectuelle en vue d’un doctorat… je sans que je ne l’ai pas:)))
J’attendrai donc tes précieuses intuitions avant de faire quelque geste que ce soit…
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Créons donc une fin de parcours digne du poète de la scène qu’il fut à la hauteur du poète de la vie qu’il est en ce moment… en lui offrant par le k-oeur … notre magie poétique vsous une forme ou sous une autre:)))
A ce titre… je prends la chance de t’envoyer un fichiers de courriels entre Simon et moi … juste pour que tu prennes la mesure poétique de ce que nous avons vécu lui et moi à travers l’épopée du vagabond céleste, et cela depuis 2007:)))
N’hésite pas à m’écrire souvent… A 73 ans bien sonné, j’ai pour toi la tendresse d’un grand-père que rien ne peut affecter …. Donc… continuons à cultiver l’un envers l’autre LA POÉSIE DES IERES FOIS…si essentielle en amitié oeuvre d’art…
Pierrot
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Bonjour Pierre,
Sans le connaître, seulement à travers vos mots, je pense que Simon avait beaucoup d’admiration pour vous… beaucoup d’amour aussi.
Porteur de notre énigmatique condition humaine, nous ne sommes que des touristes de passage sur la planète terre, arrivés sans billet de retour…c’est mieux de na pas connaître la date de notre départ… ça nous permet de profiter au maximum du moment présent.
Personne d’entre nous ne sait qui lui tiendra la main, au moment de voler vers les étoiles… La mort, comme il est dit dans l’Iliade, c’est l’oubli… garder quelqu’un dans son cœur, et partager sa mémoire, c’est le garder vivant… Simon va vous quitter, mais si vous en avez le temps, assurez-le qu’à votre tour, vous porterez son odyssée aux générations futures…
Je pense à vous, et vous assure de ma présence cordiale.
Claire
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Mon beau Pierrot
IL est parti dans son sommeil cette nuit, comme un Grand Brave Magnifique J’y retourne à l’instant Nous lui avons fait une cérémonie extraordinaire, à quatre, il nous avait choisit…. et on le veille J’apporte tes pensées jusqu’à son corps Et je te redonne d’autres nouvelles plus tard
Amour Amour Amour
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Très cher Pierre,
Mon cœur est avec vous… c’est un grand ami que vous perdez. Maintenant qu’il est parmi les étoiles, il sait que vous vouliez passer le saluer une dernière fois… et il vous sourit. Gardez-le dans votre cœur… la mort, c’est l’oubli…
Tendresse.
Claire
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C’est Annick Qui t’a ecrit hein? …les mots lui ressemblent….
Raymond m’a ecrit ceci;
Oui, je suis chez lui. Il est parti aujourd’hui dans sa sieste, le sourire aux lèvres et un doigt sur le cœur.Îl n’était pas seul….et îl est libéré de ce monde loufoque dans lequel nous sommes en ce moment…Je suis grandement touchée par le partage que tu m’as fait Mon Ami Pierrot…. Je lierai ces lignes le coeur grand ouvert et mon âme s’en imprégnera
Mérci téllement….. Accepte tu que je partage quelques bribes parfois, à mes amis.es afin de les aider à éclairer leurs routes et nourrir leurs rêves? Simon Est maintenant toujours avec nous
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her poète,
J’ai été très touché par ton récit de ta vie intellectuelle avec Gaelle.
Tu as su donner droit de parole au vent de l’arbre devant la fenêtre située devant ton appartement. Or, de rebondissement en rebondissement, tes souvenirs nous conduisent au Café Saint-Vincent, à Caraquet, à Tadoussac ou en Côte-d’Ivoire. Mais au bout du compte, tu reviens toujours à l’essentiel : au RIEN ou du moins à l’essentiel, ta grande admiration pour l’Amour qui se dégage de Marlene et Michel.
Tout Pierrot se résume en cette belle métaphore du vent que ta transmise ton père Roger : « À la fin de ta carrière, IL NE RESTERA QUE LE VENT! ».
Il serait donc faux de dire qu’à notre mort il ne restera que des cendres. Pourquoi ne pas croire qu’à travers le vent de l’arbre situé devant ta fenêtre se manifeste la présence réconfortante de ton ami Simon qui chante « autrement » pour toi afin te consoler?
De tout K…oeur avec toi en cette période de deuil.
Raymond
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Je découvre que Simon était un homme très aimé… C’est vrai que désormais, il sera toujours avec vous.
Si vous croyez que les gens dans les étoiles peuvent nous aider, pauvres humains, demandez-lui que votre carrière de conférencier s’envole… une fois la pandémie en creux de vague, bien sûr…car actuellement, les regroupements de quelque nature que ce soit, sont un brin sur pause… mais les beaux jours reviendront… Vous poursuivrez ainsi son message de rêves et d’amour…
Bonne journée,
Claire
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Très cher Pierre,
L’avant-midi assise à mon ordi à mon travail de création… et l’après-midi à terminer de lire sur mon iPad le PDF de mon roman à venir, à la recherche de possibles coquilles… et j’en ai trouvé trois, toutes petites, mais de trop… J’espère, même si c’est très rare, qu’il soit maintenant libre de la moindre coquille.
Tout ça pour vous dire que j’ai lu avec une extrême attention vos courriels… et ils méritent que je sois en forme pour y répondre. Et là, je suis brûlée d’être devant un écran…
Mes cheveux argent ne sont pas de la coquetterie… quelques fois, je porte le poids des années, je me fatigue…
Bonne soirée, et je promets de vous revenir demain, en pleine forme.
Claire
J’ai dévoilé ce fichier de courriels à ses ami(e)s et amis qui l’ont aimé pour qu’ils découvrent la grandeur inouie de l’homme…et en même temps, j’ai été rongé par le fait de me dévoiler car j’ai horreur de déposer à tout vent une partie de moi-même
de peur de vanité ou d’orgueil mal placé…
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Bonjour, cher Pierre,
Mourir à 48 ans, c’est d’une grande tristesse. David va avoir 47 ans le 13 février prochain, et si j’apprenais qu’il souffrait d’un cancer incurable, je serais vraiment désespérée. Heureusement, ce n’est pas le cas, tout va bien pour lui, et tous les autres membres de ma famille. J’en remercie la vie, chaque matin au réveil… C’est vrai qu’il y avait une certaine ressemblance physique en Simon Gauthier et mon fils ; deux êtres exceptionnels, si j’en juge d’après les messages que vous avez reçu parlant de la grandeur d’âme de Simon…
« Comment voyez-vous la pertinence pour Orizon que je me présente devant un groupe corporatif, pour parler en avant… Je ne suis spécialiste de rien, je n’ai pas une aura d’autorité d’un gars qui a réussi sa vie même si je ne doute jamais ni de qui je suis, ni de ma petite voix, il me semble sage de bien vérifier avec la personne qui me connaît le mieux, si je n’ai pas quelques talons d’Achille dont il faudrait que je mesure les paramètres pour bien faire œuvre de bien commun… »
Je ne peux pas répondre à cette question… mais je me risque à commenter… tout en réfléchissant… Quand je travaillais chez Orizon, – ça va faire 13 ans à l’automne que je suis partie -, je me souviens que David disait souvent aux conférenciers :
— Il faut te trouver une niche bien à toi, cibler un public défini.
Pour ça, je crois, il faut partir de nos acquis, de notre personnalité. Vous êtes un rêveur, vous aimez semer du rêve, vous aimez prendre soin des autres autour de vous… Comme il est dit dans l’article de journal que vous m’avez partagé, après la COVID, le monde des affaires aura changé. Je pense que les gens qui auront été ballotés du télétravail au présentiel, qui auront perdu leurs emplois et y seront revenu, qui auront vu leurs enfants dépérir, leur monde rétrécir… enfin tous ses drames qui ont pesé fort sur la santé mentale de chacun, ce gens-là auront besoin de se faire remonter le moral…
Je pense que vous devriez vous présenter comme un médecin de l’âme… ramener le rêve dans la vie des gens… depuis deux ans, ils ont dû les éteindre, presque tous… l’allumeur de réverbère, qui remet de la lumière sur leur vie assombrie par la pandémie… en passant par le rêve, et le support, apporté au plus petit que soi, au plus souffrant que soi… Vous avez le don de la parole… avec en plus le génie des mots…
Vous êtes arrivé dans le monde des conférences à un bien difficile moment… mais vous verrez, quand la pandémie sera derrière ou que nous l’aurons foulé à nos pieds, les gens redeviendront friands de conférences, comme auparavant…
Heureusement, le soleil brille… je savoure.
Claire
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Cher Pierre,
Tout ce qui est écrit dans cet article figure déjà dans le livre que David et moi avons écrit. David n’avait pas attendu la pandémie pour se rendre compte que le monde des affaires était en pleine révolution. C’est cette avancée sur les autres qui lui a permis de si bien tirer son épingle du jeu, en effectuant dès le début, un virage en Zoom. Ce sont de ces changements, présents et à venir, qu’il discourait dans ses conférences… David a un sens inné du monde des affaires, de plus, il a le don de prévoir les transformations, l’évolution du marché, et il sait s’en servir. Ce n’est pas pour rien que son entreprise marche en tête de peloton, et que la majorité des personnalités intéressées à donner des conférences se tournent vers lui… j’en suis bien fière.
Bonne journée,
Claire
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Bonjour Pierre,
Si je vous raconte bien humblement cette histoire, c’est pour vous démontrer à quel point la réussite de David en affaires, a été fulgurante. Il a lancé son entreprise à 25 ans. Il vivait alors dans un demi-sous-sol, à Ville La Salle, pas très riche, il avait une laveuse et une sécheuse acheté 10$ pour les deux, dans une vente de garage. À 30 ans, il était millionnaire; il possédait un condo entièrement payé à l’Île-des-Sœurs, un chalet, payé également, au lac Connelly dans les Laurentides. Il venait d’acheter sa première BMW, quand il a décidé d’apprendre à danser la Salsa… se disant que ça lui serait utile durant ses vacances du temps des Fêtes, qu’il passait invariablement dans le Sud.
Mais le destin avait d’autre vues pour son avenir… C’est au tout début de ses cours, qu’il a rencontré Laurence. Lui qui ne m’avait presque jamais présenté ses copines, sachant qu’elle ne resterait pas longtemps dans sa vie, il s’est fait un plaisir d’emmener Laurence chez moi… une belle journée d’été… elle avait 24 ans… Je l’ai appréciée à notre première rencontre, c’est pour ça que j’ai envoyé un courriel à David, dès le lendemain, pour le prévenir que s’il n’était pas sérieux avec elle, il valait mieux rompre. Cette jeune femme était pour moi dans une classe à part… 4 ans plus tard, ils se mariaient et Édouard naissait, neuf mois plus tard… les commères ne pouvaient rien ajouter…
Si David a si bien réussi, c’est qu’il a toujours anticipé le marché et ses chamboulements, mais davantage parce qu’il a toujours su bien s’entourer, reconnaître les personnes de qualité, et qu’il a toujours eu le plus grand respect pour ceux qui travaillaient avec lui. Ce n’est pas pour rien, que dès votre première rencontre avec lui, en Zoom, il a su discerner le genre de personne que vous étiez… il avait su reconnaître votre authenticité…
Ce n’est pas pour sa réussite financière que je suis le plus fière de lui, mais bien pour sa réussite humaine…
Voilà pour la petite histoire de David… et un peu la mienne…
Claire
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Chère Claire…
i David a si bien réussi, c’est qu’il a toujours anticipé le marché et ses chamboulements, mais davantage parce qu’il a toujours su bien s’entourer, reconnaître les personnes de qualité, et qu’il a toujours eu le plus grand respect pour ceux qui travaillaient avec lui. Ce n’est pas pour rien, que dès votre première rencontre avec lui, en Zoom, il a su discerner le genre de personne que vous étiez… il avait su reconnaître votre authenticité…
Ce n’est pas pour sa réussite financière que je suis le plus fière de lui, mais bien pour sa réussite humaine…
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Chère Claire,
J’avais rêvé de rencontrer un rêveur ou une rêveuse qui lirait la droiture de mon âme et de mon intellect sans que j’aille à me battre ou à vivre une vigilance constante pour protéger mon éthique et ma joie de servir le bien commun par des inventions philosophiques, poétiques ou métaphysiques..
En fait, je l’avais plus que rêver… je savais que …… si je ne rencontrais pas ces personnes, mon rêve de servir l’humanité oeuvre d’art échouerait….
J’avais pris le chemin de la pauvreté poétique… en me disant que seule la pauvreté poétique assumée sans tricher…. ferait qu’un jour, on aurait confiance en mon intégrité, mon authenticité….
Comme je bénis la vie de vous avoir rencontré tous les deux…. Je ne demande rien pour moi, ni richesse, ni renommée, ni réussite… mais j’aimerais faire la différence dans celle ou celui pour qui personne ne s’est jamais arrêté pour faire la différence dans son rêve de vie
Mais que David soit le symbole vivant de la réussite humaine et financière possible en cette vie dans le respect des autres, m’est d’une grande importance. l’harmonie éthique entre l’argent et la bienveillance… wowwwwww…. que c’est beau.
——————…
Je me rappelle quand Denis a voulu se suicider à l’âge de 30 ans.. J’arrivais d’Afrique… Percivald, propriétaire du Patriote me dit.. Pierrot… Denis a des idées de suicides, pourrais-tu aller le voir… A ce moment là, je l’avais connu comme gérant du théâtre St-Sauveur et quelque fois il m’accompagnait au piano dans mes performances entre 2 actes de théâtre.
Je lui dis… Tu veux te suicider… il dit oui… j’ai raté ma vie… je vais avoir 30 ans… je suis un artiste… Et moi de lui dire… Serais-tu intéressé à faire carrière avec moi? On diviserait tout en deux… Il dit oui… je lui dis… qu’est-ce qui te rendrais le plus heureux? Il me dit… j’aime tout contrôler
J’ai fait wowwwwww… moi j’aime tout rêver… Voici ce que je te propose… On va fonder une compagnie… je veux être le président… Mais je ne veux jamais savoir ce qu’il y a dedans, les chiffres et tout… je te fais entièrement confiance… mais je veux signer avec une belle plume à chaque année.. Pierre Rochette, président…. car ma vocation est de rêver notre vie d,artiste pour que nous soyons tous les deux gagnants..gagnants…Je n’avais jamais su et n’ai jamais voulu savoir, même quand nous avons pris chacun notre chemin… Il m’a donné ma part… que j’ai probablement utilisé pour payer les factures pendant que j’écrivais l’île de l,éternité de l’instant présent:)))))
!8 ans de bonheur total… Nous avions séparé le pouvoir en deux… sur scène, c,est moi qui avais la dernière décision… en bas de la scène… Denis… Il fut gérant, complice, camarade de scène… moi j’ai pu me cultiver sur le burlesque, le country, la comedia del arte , faire un mémoire de maîtrise sur le rire, serrer la main des gens souffrants, écrire des numéros…
NOUS N’AVONS JAMAIS EU UNE SEULE SAUTE D’HUMEUR… UNE SEULE ALTERCATION… Je fus un roi enfant, il fut un roi souverain du bien commun.
Quand Denis hérita du patriote de Ste-Agathe, j’en profitai pour donner tous mes biens et partir vagabonder le monde comme philosophe-chercheur..
Aujourd’hui, en David, je rencontre un 2ieme Denis Lamarre… incroyable… et encore encore aujourd,hui, je ne demande que les sous pour faire du bien autour de moi… que Gaelle puisse réussir son doctorat, que ses parents puissent manger en Afrique et que ses petits neveux et nièces puissent aller à l’école…
Ma vocation est de rêver l’humanité oeuvre d’art… et je sens que passer par OriZon est le chemin que m’a sculpté mon rêve big bang…. et mon rêve m’a donné une complice génie des mots avec multes bienveillances à mon égard…..en vous Claire
Simon est décédé… mais il deviendra LE VENT DANS MA VOILE EN ROUTE VERS L’IMPOSSIBLE…
Pierrot
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Suite à votre brillante réponse à ma question sur ma pertinence comme conférencier chez OriZon
j’ai envoyé ce courriel à Diana…
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Bonjour Diana… avec l’approbation de David, bien sûr ….
Tout en me présentant comme … Serait-il possible d’ajouter ce petit paragraphe sous le titre du 45 minutes-confidences .en y ajoutant aussi les 2 photos suivantes..
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PIIERRE ROCHETTE, PHILOSOPHE-CONTEUR
CROIRE À L’IMPOSSIBLE…
Après la COVID, le monde des affaires aura changé du tout au tout. Les gens qui auront été ballotés du télétravail au présentiel, qui auront perdu leurs emplois et y seront revenus, qui auront vu leurs enfants dépérir, leur monde rétrécir, leurs rêves de vie s’éteindre l’un après l’autre par le pilon de tous ces drames pandémiens qui ont pesé si fort sur la santé mentale de chacun…. Il est bien possible que … dans un premier temps …chacune et chacun aura besoin de se faire remonter le moral…
Peut-être qu’un philosophe-conteur . allumeur de réverbères, médecin de l’âme, vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal ….peut remettre de la lumière sur toutes ces existences assombries sévèrement mais temporairement … en instaurant pour tous, dans la prochaine année, le droit incontournable de croire à nouveau à l’impossible avec pour objectif commun de réinventer… ensemble … la joie de vivre.. comme une vraie gang… qui célèbre avec audace et fierté …. l’avenir.. dans une vision ré-
énergisée ….. de son milieu de travail corporatif.
DANS LA VIE, SEUL L’IMPOSSIBLE EST VRAI.
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Merci Diana
Je continue jour après jour, nuit après nuit
de bien visualiser ma niche, mon créneau d’excellence
à partir d’oû je pourrai honorer la confiance qu’OriZon
a mis en moi….
Pierrot
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chère Claire
Ce passage de l’audio you tube … classicisme et lumières m’amène à quelques réflexions que j’aimerais partager avec vous, quoique confuses encore, mais je sens bien que je tiens quelque chose pour mes 45 minutes confidences…. car je me posais la question… en quoi un philosophie devient-il un point de bascule d’espérance intéressant dans cdt univers corporatif en pleine révolution.
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Ce que nous appelons des oeuvres d’art, , ce ne sont jamais seulement que des choses… c’est-à-dire, un tableau, un temple, une cantate, un opéra, .mais cest aussi … une manière d’appréhender la chose … Autrement dit, l’art c’est à la fois des oeuvres… dans leur matérialité ou dans leur immatérialité (comme par exemple des arts comme la poésie qui ont comme qualité sensible une quasi immatérialité même si bien entendu , elles se disent à travers des mots, des mots qui peuvent être écrits.)
.. donc l’art c’est à la fois ces oeuvres et un univers mental qui permet de les penser… … un univers mental, c’est-à-dire des concepts , des catégories, c’est-à-dire des valeurs.. (Carole talon Hugon)
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chère Claire… Qu’est-ce que l’impossible? c’est de repousser les limites du possible par un rêve plus vivant que la vie elle-même… ce qu’on appelle un rêve big bang
Boîte de réception
Chère Claire
même si mes intuitions sont encore confuses
suite à cet extrait, il me vient l’hypothèse suivante:
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C’est cet univers mental qui favorise la personne humaine comme oeuvre d’art qui m’intéresse dans la vision philosophique des entreprises de l’après-pandémie. La révolution qui s,annonce… me semble convoquer le chemin suivant…
Toute entreprise doit inverser le rapport avec son personnel en prenant soi d’abord des rêves de chaque personne humaine qui travaille pour elle comme des oeuvres d’art en devenir … et cela …par la question quel est ton rêve? … si elle veut devenir elle-même un rêve oeuvre d’art d’avenir … faisant reculer les frontières du possible dans l’imagination de son positionnement dans le marché ou elle se doit de mieux compétitionner… inspiré par l’impossible comme un rêve oeuvre d’art vécu dans la joie de chacun au service de tous…
autrement dit…
Dans l’univers des milieux de travail corporatif, la grande mutation stylistique, rhétorique et théorique me semble celle de la personne humaine, sculptée, non plus comme un point d’une cartographie hiérarchisée au service d’un rêve d’entreprise, mais plutôt comme une vie personnelle oeuvre d’art à laquelle se consacre chaque entreprise en prenant soin passionnément du rêve de chacune et de chacun, qu’importe son apport à la hiérarchie des pouvoirs.
en conséquence de quoi …
Il me semble qu’un philosophe-conteur qui a vécu par la boîte à chansons… les deux Pierrots… en expérimentant soir après soir. l’art de prendre soin du rêve de chacun par la joie de vivre issue d’une maîtrise de la scène …peut devenir le point d’émergence rassembleur autour d’une grande question post pandémique:qui me semble incontournable:
Comment on fait maintenant pour renaître comme lieu ou il faut bon de rêver l’avenir en gang?
Quand une entité corporative centre sa vision philosophique en milieu de travail autour de la question… Quel est ton rêve? ..Elle fait de ce milieu de vie même une oeuvre d’art …. au service de chaque personne humaine dans l’acte sculptural d’elle-même à se saisir comme une oeuvre d’art…
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Chère Claire, c’est encore articulé confusément mais je vais méditer là-dessus cette nuit
Pierrot
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Michel-Ange avait 72 ans quand il a pris la direction des travaux de la basilique St-Pierre de Rome
chère Claire,
il me semble que l’après-pandémie sera une nouvelle Renaissance qui fera basculer le monde dans une ère nouvelle … celle de la vie personnelle oeuvre d’art, au service d’une humanité oeuvre d’art ….
J’ai 73 ans et je me sens au sommet de ma forme spirituelle…. j’en attribue l cause à mon dialogue quotidien avec vous …. sous le talent de David à l’OriZon de nos mots, il me semble que l’avenir s’annonce pour moi des plus prophétiques… comme si ma pauvreté poétique me donnait une pertinence étrange…
C’est comme si toutes ces années dans la marche de mon rêve big bang m’avaient préparé à contribuer au monde de demain par des abs-cepts qui inspireront cette terre rétrécie comme une peau de chagrin à ses tristesses les plus sombres… Parfois il suffit de quelques mots pour réinventer l’espérance sur terre.
Quel est ton rêve? dans combien de jours? qu’as-tu fait aujourd’hui pour ton rêve? comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Chaque personne humaine, si petite soit-elle, peut devenir un géant de son rêve…
Gaelle et moi aidons une petite en Afrique, Camilinda… dont la vie fut une horreur de pauvreté … elle est chez sa mère… cette année, nous avons trouvé quelques sous pour l’envoyer à l’école… elle a 15 ans… et elle a réussi avec à peine 60% à passer ses cours de rattrapage… Elle est dewvenue une géante de son rêve…
Gaelle et moi nous nous sommes jurés de prendre soin de son rêve…. car, nous savons qu’elle fait partie de celles qui n’ont aucune chance dans sa vie… Elle est chez la mère de Gaelle… et les jours ou c’est plus difficiles ici pour nous, nous nous regardons dans les yeux et nous nous disons… Un jour, dès que nous réussirons, nous en ferons plus …. par pure passion et respect du rêve du plus petit.
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Oui l’humanité est à une croisée vraiment fascinance du chemin…
Je me sens l’humilité, l’érudition, la force d’invention et la joie de la communication élégante mais discrète pour apporter ma contribution au soulagement de la condition humaine sur terre, si petite soit elle… par le biais d’Orizon… si j’écoute ma petite voix me parler pendant que je dors…:))))
Chacune et chacun peut devenir l’archétype de la personne post-pandémique en prenant soin du rêve du plus petit, sans intérêt personnel caché…. et cela m’apparaît plus que possible pour chaque milieu corporatif…post-pandémique.
il faut faire de l’autre un feu de joie de son passage sur terre, surtout dans son milieu de travail.
et cela sera possible en changeant la représentation de l’autre… en lui offrant le cadeau d’une bienveillance envers son rêve… parce que le sens de son propre rêve passe par le respect du sens du rêve de l’autre…
ainsi en sera-t-il du monde corporatif s’il veut vivre l’impossible en gang. Toute vie personnelle oeuvre d’art est un lampadaire de l’impossible heureux sur terre.
Pierrot
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Bonjour Pierre,
Vous avez écrit ceci :
Gaelle et moi aidons une petite en Afrique, Camilinda… dont la vie fut une horreur de pauvreté … elle est chez sa mère… cette année, nous avons trouvé quelques sous pour l’envoyer à l’école… elle a 15 ans… et elle a réussi avec à peine 60% à passer ses cours de rattrapage… Elle est dewvenue une géante de son rêve…
Gaelle et moi nous nous sommes jurés de prendre soin de son rêve…. Car, nous savons qu’elle fait partie de celles qui n’ont aucune chance dans sa vie… Elle est chez la mère de Gaelle… et les jours ou c’est plus difficile ici pour nous, nous nous regardons dans les yeux et nous nous disons… Un jour, dès que nous réussirons, nous en ferons plus …. par pure passion et respect du rêve du plus petit.
En passant, ce don que je fais chaque année en décembre à une banque alimentaire ou à un organisme quelconque, d’un jour à l’autre j’ai négligé de le faire, pour finalement l’oublier. L’argent est toujours là… si vous en parlez à Gaëlle, et si vous pensez que qu’il pourrait aider cette jeune Africaine, Camillinda, sur le rêve de laquelle vous veillez, je peux vous faire parvenir un chèque de ce montant, et vous pourrez lui envoyer ces quelques sous qui pourrait peut-être lui permettre de mieux performer à l’école. Vous n’aurez qu’à lui dire qu’une écrivaine québécoise, pas nécessaire de me nommer, aimerait l’aider à réaliser ses rêves… Voyez ce geste de ma part comme du bonheur pour moi d’aider une jeune fille à marcher vers son rêve… comme vous, cher Pierre, il m’arrive de me prendre pour une allumeuse de réverbère, pour illuminer la vie de quelqu’un… ne serait-ce qu’un tout petit peu…
Bonne fin de journée,
Claire
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Bonjour Pierre
Parfois, à vous lire, la place que vous me donnez dans votre vie m’intrigue…
Votre mère, aussi vos amis proches, qui vous répétaient : Pierrot, tu n’as besoin de personne. Ou alors vous, qui dites avoir la poésie pour seule compagne, la seule dont vous sentiez le besoin d’une présence…
Plus vous écrivez ceci, en reprenant une grande partie de mes mots :
Après la COVID, le monde des affaires aura changé du tout au tout. Les gens qui auront été ballotés du télétravail au présentiel, qui auront perdu leurs emplois et y seront revenus, qui auront vu leurs enfants dépérir, leur monde rétrécir, leurs rêves de vie s’éteindre l’un après l’autre par le pilon de tous ces drames pandémiens qui ont pesé si fort sur la santé mentale de chacun…. Il est bien possible que … dans un premier temps …chacune et chacun aura besoin de se faire remonter le moral…
Peut-être qu’un philosophe-conteur, allumeur de réverbères, médecin de l’âme, vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal ….peut remettre de la lumière sur toutes ces existences assombries sévèrement mais temporairement … en instaurant pour tous, dans la prochaine année, le droit incontournable de croire à nouveau à l’impossible avec pour objectif commun de réinventer… ensemble … la joie de vivre.. comme une vraie gang… qui célèbre avec audace et fierté …. l’avenir… dans une vision ré-énergisée ….. de son milieu de travail corporatif.
Alors je me dis que peut-être, en tournant le cap de la septantaine, vous avez compris qu’une compagne, même épistolaire, pouvait avoir une place importante dans votre vie… cette oreille que vous dites avoir cherchée toute votre vie, elle ne pouvait appartenir qu’à une femme… qui, en apprenant à vous connaître, découvrirait l’homme que vous êtes, autant que le poète… À mon humble avis, l’humain… même les Dieux, on le découvre dans l’Iliade… sont toujours en quête de celui ou celle qui leur permettra de parfaire ce pourquoi ils existent…
Pour ma part, vous poussez ma réflexion sur l’existence… sur les rendez-vous de la vie… moi qui ai souvent agi par instinct, remerciant la vie d’avoir décidé à ma place, je réalise jusqu’à quel point chaque petit geste de mon existence, chaque choix, même intuitif, fut un pas dans l’accomplissement de la personne que je suis devenue, aujourd’hui…
Bonne fin de dimanche, cher Pierre.
Claire
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très chère Claire,
Je me rends compte que je ne me suis jamais vraiment ouvert avant de vous connaître… comme par exemple cette petite Camilinda… et en même temps, Gaelle et moi sommes différents sur un point… Elle n’aime pas que les autres soient au courant de ce qu’elle vit… et moi qui ne vit que pour prendre soin de son rêve, comme un grand-père, mon intuition me dit que si j’en parle pas, le jour ou je serai impuissant à faire en sorte de faire la différence pour qu’elle réussisse son rêve …,je ne pourrai compter sur personne pour me donner un coup de main d’urgence…
En même temps, il y a une voix éthique très forte qui fait que ce que j’accepte par exemple de Danielle, c’est que j’ai la certitude de la rembourser… par la puissance de mon rêve…Car je ne demande jamais rien pour moi…
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Mais pour ce qui est de nous, de notre échange épistolaire, ma petite voix me dit de ne jamais faire en sorte que quelque argent que ce soit fasse partie de notre épopée, jusqu’à ce que je la gagne moi-même par mon rêve…
J’essaie d’avoir un bon jugement, basé sur l’honneur et la confiance en mon rêve…et quand je me couche le soir, je suis torturé littéralement quand j’ai été maladroit dans mes relations humaines…
Merci, merci infiniment de m’offrir pour Camilinda… Le temps n’est pas encore venu je crois… J’ai trop besoin de vous, de votre génie des mots, de votre bon jugement pour faire en sorte que je puisse vraiment faire la différence dans la vie des autres comme philosophe et conteur parce que vous y êtes intimement intervenue par votre bienveillance…
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Parfois je repense à tout ce chemin que j’ai du traverser pour faire de certains concepts (les 4 questions du pays oeuvre d’art, la vie personnelle oeuvre d’art, l’humanité oeuvre d’art) des outils opérationnels vulgarisés pour vraiment contribuer à soulager la condition humaine….
et je me dis… que si je ne vous avais pas rencontré… jamais je n’aurais pu me libérer de cette hantise qui me poursuit de me servir de mes recherches pour devenir quelqu’un aux yeux des autres…
Denis disait souvent… Pierrot tu as tout reçu de la vie, tu ne peux comprendre les autres… Ma mère me disait en pleurant… toi tu n’as jamaiks besoin de personne… une de mes soeurs… Pierrot, on ne comprends pas quand tu parles… une de mex ex-femmes… que je sois là ou que je sois pas là, t,es heureux pareil, à quoi je sers? … et ainsi de suite…
J’en suis venu à constater que ma simple présence au quotidien dans un groupe blessait les autres…
Alors je dois comme me reconstruire… J’y arrive parfaitement par nos échanges épistolaires… mais qu’en sera-t-il quand nous passerons un jour au présentiel?
Oui, vos mots sont plus que des mots… quand j’ai envoyé mon texte à Diana, j’étais si fier d’y insérer des images qui ne peuvent venir que de vous et qui m’inpirent profondément…Vous avez ce sens dramaturgique de la synthèse par des images frappées comme des médailles qui m’impressionnent et m’inspirent… comme par exemple… QUI AURONT PERDU LEURS EMPLOIS ET Y SERONT REVENUS. QUI AURONT VU LEURS ENFANTS DÉPÉRIR, LEUR MONDE RÉTRÉCIR…..
et moi d’y ajouter leurs rêves de vie s’éteindre l’un après l’autre par le pilon de tous ces drames pandémiens qui ont pesé si fort sur la santé mentale de chacun…
Tout se passe maintenant comme si nos échanges faisaient de mon âme une forge ou le feu de mes abs-cepts passaient par le talent de forgeron qui est le vôtre.. Vous faites de mes nuits et jours de chercheur une joie profonde…et je vous en suis profondément reconnaissant..
Pierrot.
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Après la COVID, le monde des affaires aura changé du tout au tout. Les gens qui auront été ballotés du télétravail au présentiel, qui auront perdu leurs emplois et y seront revenus, qui auront vu leurs enfants dépérir, leur monde rétrécir, leurs rêves de vie s’éteindre l’un après l’autre par le pilon de tous ces drames pandémiens qui ont pesé si fort sur la santé mentale de chacun…. Il est bien possible que … dans un premier temps …chacune et chacun aura besoin de se faire remonter le moral…
Peut-être qu’un philosophe-conteur, allumeur de réverbères, médecin de l’âme, vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal ….peut remettre de la lumière sur toutes ces existences assombries sévèrement mais temporairement … en instaurant pour tous, dans la prochaine année, le droit incontournable de croire à nouveau à l’impossible avec pour objectif commun de réinventer… ensemble … la joie de vivre.. comme une vraie gang… qui célèbre avec audace et fierté …. l’avenir… dans une vision ré-énergisée ….. de son milieu de travail corporatif.
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Annick Bernatchez, amie de Simon
Cher Pierrot
Je me réveille ce matin au bout d’une grande aventure, exténuée.
Mais bien.
Simon nous a “choisi” sans nous le dire Nico, notre ami conteur des îles, Yoan, son colocataire depuis quelques mois, Marie, sa nouvelle amoureuse, son amour d’âme, et moi, sa coloc de l’absolu, pour honorer son départ de proche.
J’ai eu cet immense privilège d’être plongée dans une expérience sacrée de haut niveau.
On a passé sa dernière soirée les cinq ensemble, très profond moment à la fois léger.
Il a souffert cette journée là d’une douleur intense à la jambe, c’est la seule journée qu’il a souffert. Il s’est endormi vers 4h du matin et Nico et Marie ont un constaté vers 9h qu’il était parti, depuis un moment, au contact de sa peau.
Ils m’ont tout de suite appelé.
Il avait un petit sourire,les yeux entrouverts sur l’infini, l’index de la main droite pointé sur son cœur. Bel ami. Comme j’étais fière pour lui! Cette sérénité! Profonde admiration.
Alors ce grand rituel s’est manifesté de lui même, avec l’aide d’explication d’une dame amie de Nico qui connait la façon de faire.
On a lavé son corps endormi dans son lit, enveloppe charnelle inanimée, froide, et belle dans un respect, une prière, un état hors du temps. Puis choisit ses beaux habits. Le noeud papillon de son père. Ses bas de laine.
Et ensuite s’occuper de contacter la famille, annoncer le départ….lourde tâche… trouver les documents, œuvrer dans le juste et inviter les amis à venir le veiller et lui dire aurevoir chez lui.
On lui a fait la fête
Jouer de la guitare,de l’accordéon.On a fait le train autour de son lit avec une locomotive à l’harmonica, chanter des chansons, on a fait un cercle autour en se tenant la main, à raconter des souvenirs.
Puis sa famille est arrivée dans la nuit dans leur souffrance tumultueuse. Accueil.
On s’est relayé pour le veiller et ne jamais laisser son corps seul.
J’ai passé l’aurore avec lui, je lui ai lu ton courriel, une lettre d’ami au loin, de ma poésie, goûté ce silence rempli. Immensité.
Puis ça a continué
Des amies sont venues lui faire une cérémonie avec tambours et chant
Il y’avait des enfants, toujours quelqu’un à la cuisine pour nourrir tout le monde
On a gardé son corps 36h, puis les gens du salon funéraire son arrivés et avec grand respect, l’ont mis sur la civière, emballé.
Je regardé sortir le sac qui contenait son corps
“Oh capitaine mon capitaine”
Salutation
J’ai lancé un grand “youpidou!!” Et on s’est mis à chantonner en dansant moi et Nico, mimant ses gestes. Comme il aurait fait.
Puis on a organisé une cérémonie pour le lendemain,avec les amis proches, qui sont descendus de partout.
Comme tu m’avais dit ta disponibilité à partir de samedi,je ne t’ai pas contacté.
Mais je t’ai pris en pensée tu sais
Et Gaëlle aussi
On a fait,au nombre de 28 personnes,un cercle dans sa chambre dénudée avec son bâton de pélerin surmonté d’une chandelle de cire d’abeille au centre. Chaque personne a parlé, hommage de 3h, à découvrir les milles facettes de notre ami dans l’amour lumineux de sa présence dans nos vies.
Sa mère vers la fin nous a dit
“Vous me présentez mon fils dans toute sa pureté, j’aimerais vous dire merci”
Louise d’amour, quelle femme
Quelle soirée
Grosse soirée
Puis le lendemain, au réveil, première pensée, ah! C’est fini. Le 72h est terminé. Comme une évidence au cœur.
Ménage de la maison…dans une fatigue et un état d’accomplissement de nous quatre mousquetaires du passage de Simon qui avons oeuvré chaque instant ensemble au déroulement intérieur/extérieur de cette épopée Magnifique.
J’ai eu à quelques reprises au cours de ces jours l’impression que j’allais revenir la semaine prochaine et qu’il allait m’accueillir en disant tout joyeux exalté “Annick!! As tu vu ma mort! Woooow!!, C’était fantastique!”
Vie œuvre d’art,mort oeuvre d’art
Quelle beauté
Voilà cher Céleste, avec mon k-oeur le récit du départ de ton ami
Qu’il puisse apporter douceur à votre recueillement
Maintenant, je me sens dans la nécessité du repos, j’ai l’impression d’avoir monté une immense marche à l’intérieur de moi et j’en arrive à l’étape d’intégration.
Je t’envoie plein d’amour
Et aussi… j’aurais besoin de ton adresse pour t’envoyer autre chose…
À tout le temps
Annick xXX
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chère Claire..
vous écrire est devenu mon rituel qui me rend le plus heureux:)))).
Comment vous exprimer ma joie Claire… … Gaelle est heureuse… elle est inscrite à l’université de Sherbrooke en propédeutique… Ce semestre-ci elle ne suit qu’un cours et c’est avec sa directrice Madame Stephan Martelly … elle a maintenant 2 copines du cours avec qui elle va faire ses travaux… le tout en virtuel le temps de déménager à Sherbrooke en juin (car le bail finit ici le ier juin).. Son atterissage dans une nouvelle université se passe donc de façon optimale, sa santé va de mieux en mieux… Elle est radieuse… elle va bientôt gagner sa vie de façon majestueuse… car ses capacités en pensée pures et en didactiques sont brillantes.
Gaelle est partie travailler avec lui cette nuit… elle a ses trois vaccins, lui aussi… Gaelle est une bosseuse de nuit … et lui aussi alors:))) elle est partie avec le cours de sa directrice Madame martelly dans ses oreilles qu’elle avait enregistré et qu’elle écoute.
Son doctorat étant très avancé… elle a maintenant aussi l’expérience pour se trouver un travail a temps partiel à l’université de Sherbrooke qui nous permettra enfin de respirer un peu:))))
34 ans… elle a l’avenir international devant elle… et moi… je me dis… j’ai pratiqué à fond tout ce que je théorise….Prendre soin du rêve de l’autre, sans tricher, sans intérêt personnel caché procure à son propre rêve une luminosité à la hauteur du royaume des impossibles qui le salue au confins des jours heureux
Vraiment à 73 ans, je me sens béni comme grand-père de la beauté du monde
Pierrot
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Bonjour Pierre,
Une autre matinée de création très fructueuse… je n’ose pas me demander ce que j’aurais fait de mon temps, si je n’avais pas découvert ma passion pour l’écriture… J’éprouve tellement de plaisir à plonger dans l’univers de mes personnages, de leur donner vie, d’imaginer leurs émotions… de découvrir les détails d’une autre époque… Merci la vie, c’est merveilleux !
L’histoire de Gaëlle me fait penser à ma fille. Isabelle, comme sa maman, était une première de classe. Contrairement à moi, quand elle a eu à choisir son chemin dans la vie, les portes de toutes les universités lui étaient ouvertes. Durant ses vacances d’été, elle travaillait comme animatrice dans une station de télé communautaire, en Abitibi. Un soir, elle est allée interviewer Richard Séguin, après un spectacle qu’il avait donné à La Sarre. À son retour, elle m’a dit qu’elle avait fait son choix de carrière : elle voulait étudier en communication à l’UQAM. Elle venait de terminer son université quand elle a rencontré Kevin, à la mythique boîte à chansons : Les deux Pierrots. Elle a travaillé en publicité à Montréal, alors que Kevin travaillait pour IBM à Toronto, pendant deux ans, puis elle l’a rejoint à Toronto. Une année plus tard, ils sont partis pour la Côte d’Azur, Kevin voulait apprendre le français. Tous les deux ont quitté leur emploi, et ils sont partis, confiants de gagner leur vie en France. Kevin a trouvé un emploi, et Isabelle a dû l’accompagner à ses rendez-vous, car il ne parlait pas du tout la langue de Molière. C’est pendant leur séjour en Europe qu’Isabelle a appliqué pour le cours très contingenté du MBA, donné aux HEC. À la surprise de beaucoup de personnes, mais pas à la sienne ni à la mienne, elle a été acceptée. Pendant ce temps, Kevin avait retrouvé sans peine son emploi chez IBM. Quand Isabelle a eu terminé ses cours, il est venu la rejoindre, et tous les deux ont travaillé à Montréal. Rosalie est née, puis quand Isabelle s’est retrouvée enceinte d’un 2ème enfant, ils se sont acheté une maison, aux Îles de Laval, l’Île Bigras. C’est à ce moment-là qu’un chasseur de tête a repéré Kevin, et ses connaissances en informatique. Il lui avait trouvé un emploi en Alberta… le salaire offert dépassait de loin leurs deux salaires réunis… ils ont profité du congé de maternité d’Isabelle pour que Kevin s’essaie à ce job.
Je me revois en mai, à l’aéroport – c’est fou ce que j’ai vécu de moments importants de ma vie dans les aéroports – j’étais allée les reconduire. Rosalie venait de fêter ses trois ans, Éloïse avait trois mois… la petite Rosalie, consciente qu’elle partait loin de moi, refusait de ma lâcher la main… jusqu’à ce qu’ils soient obligés de gagner leur porte d’embarquement. J’avais les larmes aux yeux, puis je me suis rappelé que David revenait de France ce même jour, – il était allée voir une demoiselle rencontrer à Cuba le Noël précédent – et son vol était attendu dans l’heure… alors, à sa grande surprise, je suis allée l’attendre… il était en compagnie d’une autre charmante jeune femme rencontrée à bord…
Pour en revenir à Isabelle, ils ne sont jamais revenus de l’Alberta. Je m’en doutais, Kevin avait passé son enfance et sa jeunesse à Edmonton. Ses sœurs vivaient à Calgary. Ce déménagement a permis à Isabelle d’élever ses filles en toute tranquillité, le salaire de Kevin lui permettait cette opportunité. Mais dès qu’elle a jugé que les filles étaient assez grandes, elle est retournée à l’université de Calgary pour faire un Bacc en enseignement… depuis, elle enseigne au secondaire… une dernière carrière qui fait son bonheur. Comme sa mère, elle se trouvera sûrement une passion à la retraite… probablement la photographie… à suivre. Je vous joins une photo d’elle et moi, prise à Hawaï, il y a cinq ans.
Cher Pierre, je vous souhaite une excellente journée… j’apprécie également ce rituel de vous écrire.
Claire
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hère Claire…
Gaelle possède ce trait de caractère désarmant qui me semble le suivant. L’amitié , comme le célibat rigoureux …lui constitue la clé infranchissable pour poursuivre ses recherches en métaphysique, l’abandon aux sens lui apparaissant impérieusement une dangereuse diversion tant qu’elle n’a pas réussi son doctorat…et même après, il va falloir que la personne qui veut conquérir ou son k-orps ou son k-oeur soit vraimet exceptionnelle… Le seul sujet que je ne peux vraiment aborder avec elle c,est celui du prince charmant:)))))) on dirait que c’est le feu qui risquerait de faire de ses rêves des cendres…
En 3 ans et demie, je ne l’ai jamais vu sous l’effet d’une spirale de séduction de quelque nature que ce soit… On dirait une religieuse laique… dévouée à son dieu, le dieu de la recherche.
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et aussitôt… revenue ici , après avoir pris une demie-heure de conversation ou je l’accueille avec de l,eauchaude et un petit gouter… bien en sécurité, elle replonge une demie-heure … tout en contemplation silentieuse…dans ses semeioias avec son pinceau avant d’écouter sa série coréenne et de s’endormir… car elle souffre souvent d’insomnie…
C’est fou…cette force d’imposer ses critèeres sans en avoir l’air… d’autant plus qu’elle sait que je serais très heureux si elle avait un ami de k-oeur… Mais il semble qu’elle préfère, comme elle m’appelle parfois, son vieux camarade de création à toute autre alternative, ….
à suivre:)))
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Gaelle s’endort toujours avec son cahier de notes à ses côtés… comme en ce moment… dès son réveil, elle est plongée dans un silence profond la tête penchée sur son cahier à prendre des notes… Cela peut parfois durer jusqu’à 12 heures ou nous tombons en silence cathédrale heureux de part et d’autres je crois
Cela m’a pris du temps à saisir comme faire danser mon rythme de création au sien…
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De mon côté, je suis plus 24 heures sur 24… 7 jours par semaine … J’aime travailler dans la cuisine, faire la vaisselle, préparer les repas, partager mon temps entre une profonde et intense écoute you tube de Hegel ou Spinoza par exemple pour ensuite ressurgir avec un nouvel abs-cept…
Quand Gaelle tombe en contemplation…. rien ni personne ne peut ni ne doit la déranger… Je vous avoue que ça fait bien mon affaire…Je suis très caméléon au sens ou en autant que Gaelle est heureuse, je trouve le moyen de l’être parfaitement moi aussi:::
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De là le plaisir fou que j’ai à vous écrire pour vous raconter tout cela…Je suis impressionné par votre relation avec vos enfants et petits enfants… quand même… quelle classe… quel sens des vraies valeurs… tout en étant magiquement créatrice comme romancière
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au sujet de mon 45 minutes conférences
Je commence à réaliser à quel point les deux Pierrots sont restés pour beaucoup de personnes comme votre fille et votre gendre… un symbole de joie profonde … qui encore aujourd’hui console en des temps si péniblement dramaturgiques…
La joie de vivre, la confiance en l’avenir, le sens de la fête, il me semble que je devrais en parler dans mon 45 minutes confidences…pour dire que chacun peut faire de son milieu de travail un deux Pierrots en prenant soin du rêve des uns des autres comme nous autres les artistes de scène prenions soin du rêve de chaque personne de la salle …en faisant du public une chanson.
Pendant que nous chantions, les gens pouvaient se dire… wowww… la vie vaut la peine d’être chantée…
Pierrot
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Il y avait le deux Pierrots organisationnel sur lequel l’artiste et le public inventait u deux pierrots d’enchantement
Boîte de réception
Toute organisation corporative ressemble au deux Pierrots… au sens ou dans un ier étage, la mécanique hiérarchique du tout peut et doit créer des conditions d’enchantement par un rêve commun au service de chaque rêve individuel.
De là la question… quel est ton rêve? qui ne peut surgir que d’une philosophie d,entreprise ou la finalité n’est pas le profit… mais le profit au service du rêve de chacun enchanté par le rêve de tous…
Quand on regarde lla légende du roi Arthuir, des chevaliers de la table ronde ou celle des coureurs des bois canotant pour la baie d’hudson, on retrouve cette épopée du réel au service de l’épopée de l’imaginaire que tout et chacun se feront un honneur de raconter à la fin du parcours
ce qui explique la grande tradition du Canadien de Montréal et leur épopée glorieuse … dont Mauirice Richard devint le héros de l’imaginaire de tout un peuple…
C’est en étudiant l’esthétique de Hégel tel que raconté sur you tube et par Luc Ferry et par Carole Talon Hugon que j,avance cette nuit dans le sentier de mon 45 minutes confidences en comparant les 2 pierrots avec l’organisation corporative à laquelle je m’adresserai
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Cher Pierre,
Quelle énigme que les relations humaines… nous les percevons selon des critères qui nous sont propres, selon nos émotions, nos ressentis dans chaque circonstance. Il est difficile de se mettre dans la peau de quelqu’un qui nous est étranger, et d’imaginer ce qui le pousse à agir d’une telle façon plutôt que d’une autre, de commettre un tel geste, de réagir différemment de soi face au bonheur ou à l’adversité. C’est pourtant ce que je fais chaque matin, en m’asseyant à mon ordinateur… quand je commence à écrire, c’est que j’ai passé de longues heures de réflexion, à me glisser dans l’esprit d’un personnage, qui le plus souvent est bien loin de me ressembler… mais j’ai des repères, des gens que j’ai connus ou simplement croisés, ou entendu parler…
Bien sûr, étant une épicurienne, une femme d’une grande sensualité, qui a éprouvé beaucoup de plaisir… et de joie, à partager sa sexualité avec ses guerriers de passage, comme il me plaît à me souvenir des hommes accueillis dans mon lit, il m’est difficile d’imaginer une vie d’ascète, consacré à une œuvre… mais comme je le fais pour mes personnages de romans, je vais croire en votre long plaidoyer sur les chastes relations de Gaëlle avec son ami Masoud… quoique je pense de sa façon de vivre, j’ai beaucoup de respect pour cette jeune femme, et je lui souhaite une extraordinaire réussite… La passion, à la poursuite de mes rêves, est la force motrice qui m’a toujours propulsée dans la vie… alors j’ai immensément d’admiration pour celle des autres, quelque soient les chemins empruntés…
Aujourd’hui, à mon âge vénérable… à regret, je l’avoue, j’ai fermé mon lit à la visite d’un guerrier de passage… eux comme moi, avons été contraints de rendre les armes… Il me reste la tendresse et la douceur… dans le soleil couchant du grand âge… et je savoure une vie consacrée à ma passion des mots, qui elle, n’est pas prête à rendre les armes… Quel bonheur j’éprouve tous les matins, en retrouvant mes personnages… et depuis quelques temps, en retrouvant la plume d’un poète… que la vie à mis sur mon chemin, afin de me permettre de savourer encore davantage les beautés de l’univers…
Bonne fin de journée, cher ami.
Claire
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Cher Pierre,
Quelle énigme que les relations humaines… nous les percevons selon des critères qui nous sont propres, selon nos émotions, nos ressentis dans chaque circonstance. Il est difficile de se mettre dans la peau de quelqu’un qui nous est étranger, et d’imaginer ce qui le pousse à agir d’une telle façon plutôt que d’une autre, de commettre un tel geste, de réagir différemment de soi face au bonheur ou à l’adversité. C’est pourtant ce que je fais chaque matin, en m’asseyant à mon ordinateur… quand je commence à écrire, c’est que j’ai passé de longues heures de réflexion, à me glisser dans l’esprit d’un personnage, qui le plus souvent est bien loin de me ressembler… mais j’ai des repères, des gens que j’ai connus ou simplement croisés, ou entendu parler…
Vraiment Claire, votre discipline de travail de création et surtout votre joie de vivre à travers votre rituel quotidien … est admirable… surtout que, comme vous me l’avez dit, tout le reste de chacune de vos journées, votre cerveau et votre k-oeur reste vigilant à l’intuition de ce qui va suivre… de ce qui va vous rendre heureuse , de ce qui va rendre vos personnages profondément humains….
De mon côté, j’ai bossé très dur toute la nuit…. et toute l’avant-midi …et Gaelle aussi… dans un silence-cathédrale impressionniste…
Je l’admire beaucoup… avec son crayon dans les oreilles, son cahier de pensées pures, son pinceau, cette façon d’être reine d’un univers ou le merveilleux de sa quête d’inventions conceptuelles se vit comme une sorte de conte de fée… Son doctorat sera magnifique… d’autant plus qu’elle a une directrice qui, lors du ier cours, s’est annoncée comme une fan de théorie comme de métaphysique.
Un jour, je vous raconterai en détail dans certains courriels ces jours de fondation des deux Pierrots ou je fus , je le réalise aujourd’hui, un véritable théoricien de l’animation de foule … Je ne vivais que pour cela, laissant l’autre Pierrot ramasser les tisons de la renommée pendant que dehors, entre 2 sets, je m’allumais d’une chandelle et d’étoiles du voeux Montréal pour synthétiser toute la puissance courbative d’une suite de chansons dans son pouvoir d’enchantement sur un public qui en demandait et en redemandait encore…
Je bosse comme un forcené pour que mes 45 minutes conférences soient des petits bijoux d’orfèvrerie… j’aime bien avoir dans mes poches 4 ou 5 synopsis dont le rythme , l’aura poétique autant que pragmatique, me permettra de bien danser l’âme de chacune des personnes de la salle au niveau de son rêve de vie…
Je me connais… je vais travailler à peaufiner et ma culture générale et mon angle de performance jusqu’à ce que j’arrive sur scène tellement prèt que je pourrai improviser par pure joie de bien posséder mon propos…
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Bien sûr, étant une épicurienne, une femme d’une grande sensualité, qui a éprouvé beaucoup de plaisir… et de joie, à partager sa sexualité avec ses guerriers de passage, comme il me plaît à me souvenir des hommes accueillis dans mon lit, il m’est difficile d’imaginer une vie d’ascète, consacré à une œuvre…
L’épicurisme me semble être une nature très forte chez vous… c’est quand même fascinant … et en plus vous avez vraiment la plume pour l,exprimer, avec une élégance qui est tout à votre honneur.
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Si ma vie était à recommencer, je l’aurais consacré à l’ascétisme beaucoup plus jeune…. je crois que l’ascétisme comme l’épicurisme d’ailleurs constituent des champs d’exploration autant de tempérament que de vocation….
J’ai beaucoup souffert d’avoir été artiste de scène à une époque ou le peace and love et la libération des moeurs faisaient de l’ascétisme intellectuel une anomalie dans la structure des moeurs sociales… Je me sentais bien seul, sans assise, j’ai toujours fait ma carrière, sans boire, sans droguer, sans fumer, non par vertu mais par enchantement de la beauté du monde au travers de mes cahiers de chansons… Chaque chanson me rendait si heureux que j’avoue à ma grande honte, n’avoir jamais eu besoin du public
Il y a une chanson entre autres sur laquelle j’ai beaucoup travaillé …. Je la chantais soit en début de soirée quand il n’y avait personne soit à la fin de la veillée … c’est une chanson de Felix Leclerc… extraordinaire…
Félix Leclerc – Présence – YouTube
Tu dis que le traîneau de nos amours est dans la cour
Je regarde dehors et ne vois que la mort
Tu dis qu’au grand galop notre cheval est revenu
Des bergers qui l’ont vu l’ont ramené de mal
Ni cheval, ni traîneau dehors, ni foulard sur la neige
Pourquoi troubler mon pauvre corps avec tes sortilèges?
Tu dis que le gazon dessous la glace est resté vert
Je creuse à cette place ce n’est que foin amer
Tu dis que la chaloupe, la nuit, fait des chansons
La chaloupe est au fond, chez les noyés, ma mie
Peut-être que les feux de bûches et notre maison blanche
Peut-être que le miel, la huche étaient de faux dimanches
Tu t’obstines à trouver que les rosiers n’ont pas changé
L’hiver les a brisés, l’hiver les a gelés
Comme la feuille rouge que le vent a emportée.
Les fées s’en sont allées sur un nuage blanc
Tu me dis que rien n’est fini et que tout recommence
Que le mois d’août est sur le lit entouré de silences
Si je vois le printemps venir derrière mes rideaux
Je croirai ton traîneau, ton cheval et ta mer
Si les sources ramènent les grenouilles dans l’étang
Je prendrai deux quenouilles et ferai un serment
Le serment de l’aimer toujours malgré les poudreries
Le serment de croire en ce jour qu’ils soient d’or ou de gris
Tu apportes dans mon grenier le rêve qu’il me faut
Comme la douce sève qui nourrit l’arbrisseau
Si jamais tu t’en vas, ma mie
Je m’en irai aussi
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Félix l’avait pour Gaetane qui était tellement en amour avec lui qu’elle était venue passer l’été à l’île d’Orléans en louant une chambre pas loin de sa cabane… elle a tout fait pour le conquérir lui qui était en plein divorce et qui passait ses jours et nuits à lire et écrire des chansons dans une cabane sans électricité…
Finalement elle est devenue sa femme… et cette chanson il l’a écrite pour elle dans des moments ou il était indécis quand à l,avenir de cette relation….
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Je n’ai jamais appris cette chanson par k-oeur…. mais quand je la chantais, le public disparaissait intérieurement de ma vue et j’étais seul avec la beauté du monde…. Parfois les applaudissements me réveillaient …. et je ne savais trop si j’avais le goût de me faire réveiller… j’ai vécu une mystique de la scéne pour la scène , Claire, à une époque ou aucun de mes camarades de travail n’ont ressenti l’appel sous cette forme… emporté par l’instant présent sous forme de jaillissement de passions sous différentes formes…
Les deux Pierrots furent ma création théorique …. et la création pratique de l’autre Pierrot… dont j’ai profondément protégé le talent unique… même si il n’était qu’instinct…. j’ai respecté.
Mais j’étais un chercheur-ascète…. ce qui ne s’est qu’accentué avec l’âge:)))))
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mais comme je le fais pour mes personnages de romans, je vais croire en votre long plaidoyer sur les chastes relations de Gaëlle avec son ami Masoud… quoique je pense de sa façon de vivre, j’ai beaucoup de respect pour cette jeune femme, et je lui souhaite une extraordinaire réussite… La passion, à la poursuite de mes rêves, est la force motrice qui m’a toujours propulsée dans la vie… alors j’ai immensément d’admiration pour celle des autres, quelque soient les chemins empruntés…
En tout cas, si je me suis trompé, je ne serai qu’heureux pour Gaelle:))))))))))) et nous boirons à la santé des amoureux:)))))
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Aujourd’hui, à mon âge vénérable… à regret, je l’avoue, j’ai fermé mon lit à la visite d’un guerrier de passage… eux comme moi, avons été contraints de rendre les armes… Il me reste la tendresse et la douceur… dans le soleil couchant du grand âge… et je savoure une vie consacrée à ma passion des mots, qui elle, n’est pas prête à rendre les armes… Quel bonheur j’éprouve tous les matins, en retrouvant mes personnages… et depuis quelques temps, en retrouvant la plume d’un poète… que la vie à mis sur mon chemin, afin de me permettre de savourer encore davantage les beautés de l’univers…
Je suis persuadé que la vie vous réserve encore bien des surprises au niveau de la joie de vos sens:))))
bonne journée, chère Claire
Bonne fin de journée, cher ami.
Claire
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09:54 (il y a 8 heures) | |||
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Bonjour Pierre,
Quand le grand maître des destins a choisi de nous offrir un rendez-vous, quelque part dans le temps, il nous connaissait bien… avant que nous-mêmes ayons pris conscience de nos véritables personnalités… Si nous nous étions croisés à 40 ou 50 ans, nous serions passés l’un à côté de l’autre sans nous reconnaître… tellement nos quêtes étaient différentes. Aujourd’hui, au cœur de la septantaine, avec un long chemin derrière nous… et beaucoup moins devant… nous savons qui nous sommes, et nous nous assumons dans le bien-être et la joie de vivre, propre à chacun de nous deux…
Je crois que l’ascétisme, comme l’épicurisme d’ailleurs, constituent des champs d’exploration autant de tempérament que de vocation….
Aujourd’hui, c’est merveilleux d’être aussi différents… nous sommes ouverts à découvrir un monde qui n’est pas le nôtre… à chercher le pourquoi… le comment… des rêves de chacun, de ce qui porte l’autre dans la vie… sans jugement, mais étonnée parfois qu’il ou elle se plaise et sois confortable, dans ce qui nous semble impossible à soi-même…
Je suis persuadé que la vie vous réserve encore bien des surprises au niveau de la joie de vos sens:))))
Je le souhaite… consciente que les sens à satisfaire changent avec l’âge… mais la joie demeure la même…
C’est formidable de pouvoir s’ouvrir à quelqu’un sans crainte de jugements… nous avons encore beaucoup à apprendre l’un de l’autre. Vous écrivez : Un jour, je vous raconterai en détail dans certains courriels ces jours de fondation des deux Pierrots ou je fus, je le réalise aujourd’hui, un véritable théoricien de l’animation de foule…
Certains sujets, demandant une plus grande élaboration, m’apparaissent plus faciles en face à face… Je crois qu’un jour, la pandémie aura bien une fin, nous pourrons nous retrouver en présence l’un de l’autre, quelque part… J’apporterai, si vous le souhaitez, un enregistreur audio, et nous pourrons discourir librement… échanger, avec des interrogations à l’appui… à suivre…
Pour le moment
l’échange épistolaire est pour moi un superbe mode de communication… qui me va et que j’apprécie.
Bonne journée à vous, cher Pierre.
Claire
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chère Claire
quel magnifique courriel entre deux sommeils de travail ici pour Gaelle et moi je vous reviens ce soir ou cette nuit
Pierrot
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le silence-cathédrale dans le rapport ritualisé aux innovations conceptuelles par la méthodologie du sommeil. Il y a dans notre dynamique de travail entre Gaelle et moi certaines séquences plus ou moins prolongées ou nous aimons, paradoxalement passer par chacun de nos corps étendus entre sommeil, contemplation, écoute et innovations … pour approfondir une mise en exploration de notre oeuvres métaphysiques réciproques….Cela peut durer parfois presque 24 heures consécutives…..
Toutes lumières éteintes, pendant que Gaelle sur son sofa écoute sa série coréenne sur son portable tout en tenant cahier de notes à ses côtés… moi couché par terre à écouter par exemple soit une série consacrée à la philosophie de l’art ou comme en ce moment à un cours de 15 épisodes en rhétorique… chacun bénéficions de ces moments ou soudain le besoin d’archiver ce qui en résulte passe soit par l’enregistrement d’un audio ou soit comme moi, par l’écriture d’un constat épistolaire à une amie très chère dont l’oreille est unique…
COMME RHÉTORIQUE, BASE DE TRAVAIL POUR LA PRÉPARATION DU 45 MINUTES-CONFIDENCES… CROIRE À L’IMPOSSIBLE … L’ÉTHOS
Je, suis donc à faire de mon 45 minutes confidences pour Orizon une oeuvre d’art à caractère d’orfèvrerie ou les trois parties semblent se dessiner entre la iere ou l’éthos du passage entre Pierrot-chansonnier à Pierrot vagabond chercheur semble conduire à la mise en théorie vulgaris. des deux questions .. qu,est-ce que l’impossible et comment on fait dans sa vie pour serrer la main à l’impossible? à la troisième plus didactique ou les 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art (1- quel est ton rêve?… dans combien de jours?… qu’as-tu fait aujourd’hui pour ton rêve?… et comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?) assortie de 4 anecdotes ( le gardien de sécurité à l’uqam, le chauffeur de l’ambassadeur, les rêveurs du salon de coiffure et la chanson des allumettes)… conduit en conclusion à un rafraîchissement post-covid d’une philosophie de l’entreprise dont la nouvelle vocation consiste à tenir compte du rêve de chacun pour mieux réinventer l’avenir par une rétention dont le fondement repose sur la joie de vivre l’impossible ensemble, en équipe pour un meilleur avenir pour tous.
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Alors que Gaelle, à cette étape va danser dans sa chambre en écoutant des chansons sur son téléphone… moi je m’installe dans la cuisine et recommence pour une mille unième fois l’écriture de mon 45 minutes pour que la danse de chacune des trois parties de la dite 45 minutes confidences soit un événement consacré intimement à chaque personne de la salle dans son épopée vers son propre rêve, dans une posture de complice existentiel d’une énigme fondamentale..
de là la notion d’abs-xistence… du traité des avs
qu’est-ce que l’abs-xistence?
c’est cette énigme déposée dès sa naissance au coeur de toute existence par la question ..quel est ton rêve? pour que chaque personne humaine ait au moins une chance dans sa vie de serrer la main à l’impossible par le vécu d’une épopée passionnante.
De là votre si belle phrase qui en apothéose en conclusion la finale
«Je veux vivre ma vie comme j’aimerais la lire quand sera venu le temps de me souvenir.»
Pierrot
Je retourne à mon rituel de contemplation
bonne soirée Claire
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EN EUROPE, LA CONTEUSE GIGI BIGOT FAIT VOYAGER LES QUATRES QUESTIONS DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)
FEBRUARY 7, 2020 PIERROT LE VAGABOND CHERCHEUR
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Gigi Bigot, conteuse étincellante
Par La parole vagabonde dans Dans l’coin biblio le 3 Avril 2019 à 16:21
Vendredi 29 mars 2019, la conteuse Gigi Bigot était à Albi pour une conférence-spectacle.
Pour celles et ceux qui auraient raté ce rendez-vous, je vous recommande la lecture de « Marchande d’étoiles. Le rêve d’une conteuse d’aujourd’hui ».
Dans son livre, Gigi Bigot revient sur son parcours professionnel. Elle y explique l’importance de la parole symbolique dans un monde où la parole scientifique et le matérialisme sont omniprésents.
La conteuse évoque ses multiples sources d’inspirations : ses proches, ses lectures, ses rencontres…
Elle y souligne aussi l’importance des rêves.
D’ailleurs, en guise de conclusion, Gigi Bigot a offert aux auditeurs venus l’écouter vendredi soir, quatre questions empruntées à Pierre Rochette, musicien chansonnier et marcheur québécois.
Quatre questions qui introduisent et étayent son propos dans « Marchande d’étoiles », quatre questions qui ne peuvent laisser indifférents…
Quel est ton rêve ? C’est pour quand ? Qu’est-ce que tu as fait aujourd’hui pour ton rêve ? En quoi ton rêve est-il bon aussi pour les autres ?
À l’image de l’iceberg, écrit Gigi Bigot, ce qui émerge d’une personne est tout petit en regard de la partie immergée, l’invisible, la profondeur. Avec « Marchande d’étoiles », Gigi Bigot nous donne à percevoir la profondeur de cette petite « boune femme » au grand cœur qu’elle est !
Tags : Gigi Bigot
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Une autre nuit passionnée par l’excellence sur scène à réécrire et mon incipit, (la puissance des iers mots ) et ma mise en forme au niveau de l’éthos ( au sens de l’image que je désire projeter du personnage du philosophe-conteur au travers du texte
COMME RHÉTORIQUE, BASE DE TRAVAIL POUR LA PRÉPARATION DU 45 MINUTES-CONFIDENCES… CROIRE À L’IMPOSSIBLE ..
je me connais… je suis un coureur de fond, un marathonien… et j’ai bien l’intention quand j’aurai terminé de créer l’orfèvrerie de mon 45 minutes d’en faire un audio chez Arnaud et de vous l’envoyer juste pour que vous puissiez par votre bon jugement, le soumettre à votre bienveillance éclairée.:)))
J’ai encore avancé cette nuit… Je travaille beaucoup la partie rhétorique au niveau de l’équilibre entre entre l’éthos, le pathos et le logos… soit entre l’image que je veux projeter du philosophe conteur, l’émotion de complicité bienveillante que je veux susciter chez le récepteur et surtout la force poétique et argumentative par une hiérarchie des questions ( d’une étape à l’autre du 45 minutes (la iere misant sur l’éthos en majeur, la deuxième sur le pathos en majeur et la 3ieme sur le loges en majeur, soit la didactique au niveau d’une fraîcheur philosophique par l’impossible au niveau corporatif)
TEXTE DE PRÉSENTATION LU PAR L’ORGANISATEUR AU SUJET DE PIERROT AVANT QU’IL ENTRE EN SCÈNE
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1-1a) Après la COVID, le monde des affaires aura changé du tout au tout. Les gens qui auront été ballotés du télétravail au présentiel …. qui auront perdu leurs emplois et y seront revenus …..qui auront vu leurs enfants dépérir, leur monde rétrécir, leurs rêves de vie s’éteindre l’un après l’autre .. écrasés….. par le pilon de millions de drames pandémiens qui auront pesé trop fort et trop longtemps …. sur notre santé mentale ….
1-1b) Il est bien possible que … dans un premier temps …chacune et chacun d’entre nous … ressentions…. profondément … l’urgence de se faire remonter le moral…
1-1c) Peut-être qu’un philosophe conteur . allumeur de réverbères, médecin de l’âme, vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal ….pourra faire en sorte que nous puissions à nouveau, dans l’année qui va suivre …. croire à l’impossible …
Mes chers amis, notre conférencier de ce soir, Pierre Rochette.
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PIERROT ENTRE EN SCÈNE…
1-1a) … Et ben… merci de m’enlever un peu de nervosité … par une introduction aussi bienveillante à mon égard …
Ceci dit…
1-1b)j’aimerais d’abord remercier les organisateurs d’avoir eu l’audace d’inviter un gars pas connu, sans aucune renommée particulière, en prenant la chance que ce qu’il a à vous dire… puisse faire une différence dans chacune de vos vies et peut-être même dans la qualité de la joie de vivre dont votre milieu travail corporatif aura tellement besoin au cours de la prochaine année…
1-1c) Je vais donc tout faire, durant 45 minutes pour honorer votre confiance,,, en vous posant d’abord une question:
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1-2a): EST-CE QU’Y EN A …. PARMI VOUS AUTRES…. QUI ONT DÉJÀ ÉTÉ… AU MOINS UNE FOIS DANS LEUR VIE… À LA BOÎTE À CHANSONS LES DEUX PIERROTS DANS LE VIEUX MONTRÉAL?
1-2b): C’est pas pour rien que je vous pose la question… parce que…même ce soir …..moi… à 73 ans… j’arrive pas à croire… QUE … juste avec une guitare dans mes mains et … dans mon k-oeur … la confiance … MAJESTUEUSE ET INÉBRANLABLE.. en l’impossible …. comme me l’avait enseigné mon grand-père Lucien…
1-2c) …j’ai pu… j’ai pu avoir été…… ce Pierrot chansonnier … co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal…. qui …. depuis sa création en 1974… a quand même duré 47 ans… après avoir accueilli des millions de personnes d’un peu partout à travers le monde ….
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2-1a) tout ça parce que… un certain soir …mon grand-père Lucien.. m’avait laissé avec une phrase .. qu’il m’avait répété 3 fois: mon ti-gars… mon cher ti-gars ….dans la vie, seul l’impossible est vrai (3)..
2-1b) quand je suis devenu philosophe.. après de longues études universitaires …. bien sûr… j’ai été surpris du fait que… tout ce qui m’est resté de ma vie étudiante … c’est la phrase de mon grand-père Lucien … dans la vie seule l’impossible est vrai… qui a comme viré en une question plus fondamentale …qui va peut-être bouleverser votre vie comme elle a bouleversé la mienne… et la question est celle-ci:
2-1c) COMMENT ON FAIT DANS CHACUNE DE NOS VIES POUR SERRER LA MAIN À L’IMPOSSIBLE?:
2-2a) Ouais… mais vous allez me dire … Mais Pierrot… c’est quoi l’impossible?… comme philosophe, je vous répondrais d’abord… que je l’sais pas… même si …Y A DES IMPOSSIBLES QUI SEMBLENT PLUS ÉVIDENTS QUE D’AUTRES…
2-2b) PAR EXEMPLE… SI TU PRENDS LE PLUS GRAND TÉLESCOPE DU MONDE… PIS QUE TU REGARDES LE COSMOS JUSQU’AU BOUTT DE L’INFINI EN PARTANT DU BIG BANG … TU RÉALISES QU’Y A PEUT-ÊTRE PAS D’AUTRES VIVANTS QUE NOUS AUTRES SUR TERRE…MAIS EN MÊME TEMPS … SUR LA TERRE… … ON EST QUAND MÊME …7 MILLIARDS, 800 MILLIONS… 7 MILLIARDS , 800 MILLIONS… C’EST QUASIMENT PAS CROYABLE… MAIS MOI, C’EST PAS CET IMPOSSIBLE-LÀ QUI M’INTÉRESSE LE PLUS … C’EST UN IMPOSSIBLE QUI EST CACHÉ DANS CHACUN DE NOS K-OEURS.
2-2C) C’EST DANS CE SENS-LÀ… QUE … MOI JE PRENDS LE PARI QUE… N’IMPORTE OU SUR LA PLANÈTE … MÊME SI ON EST 7 MILLAIRDS , 800 MILLIONS…. CHAQUE FOIS QU’Y A UNE PERSONNE HUMAINE QUI SE LÈVE DEBOUT POUR DIRE… AYE GAGNE… JE M’EN VAIS VOUS RACONTER ….LE JE T’AIME… LE PLUS IMPOSSIBLE…. QUE J’AI VÉCU DANS MON EXISTENCE …..
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2-3a) TOUT LE MONDE VA SE RECONNAITRE LÀ-DEDANS.. PARCE QUE …TOUT LE MONDE A DÉJÀ VÉCU ÇA … AU MOINS UNE FOIS DANS SA VIE… UN JE T’AIME IMPOSSIBLE…
2-3b) UN JE T’AIME IMPOSSIBLE … C’EST COMME SI TU CRAQUAIS UNE ALLUMETTE …. PUIS QUE … INSTANTANÉMENT … TOUT LE K-OEUR HUMAIN S’ENFLAMMAIT EN MÊME TEMPS… AU POINT OU Y A PU PERSONNE… QUI EST CAPABLE D’EN ÉTEINDRE L’INCENDIE..
2-3c) COMME PAR EXEMPLE.. LA TOUTE IERE FOIS … QU’UN TRÈS GENTIL JEUNE HOMME … RENVERSÉ PAR UN COUP DE FOUDRE… RÉUSSIT ENFIN À ESCALADER L’HYMALAYA DE SA TIMIDITÉ POUR DIRE À SA BIEN-AIMÉE… JE T’AIME… LUI Y L’SAIS PAS… MAIS …Y VIENT DE VIVRE…. UNE DES FORMES… LES PLUS UNIVERSELLES … DE L’IMPOSSIBLE SUR TERRE…MAIS … SI EN PLUS… SA BIEN-AIMÉE LUI RÉPOND… MOI AUSSI JE T’AIME … LE JEUNE HOMME Y EST FAITE…LE K-OEUR VA Y DÉBORDER DE TOUS LES BORDS …. LE CORPS VA VOULOIR Y SORTIR DU CORPS… Y VA AVOIR DANS LES YEUX DES LARMES DE JOIE …. PIS DANS LES PIEDS….. UNE PAIRE DE BOTTES POUR ALLER PLUS LOIN DANS LA VIE…
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2-4a) TOUT ÇA POUR VOUS DIRE… QU’E …Y EN A POUR QUI ….. LA DÉCOUVERTE DE L’IMPOSSIBLE… ÇA PASSE ….. PAR DEUX JE T’AIME QUI SE TOUCHENT COMME SI C’ÉTAIT DEUX FILS ÉLECTRIQUES…
2-4b) MAIS MOI…. DANS MON CAS… ÇA S’EST PAS PASSÉ COMME ÇA… LE JE T’AIME LE PLUS IMPOSSIBLE QUE J’AI VÉCU DANS ,MA VIE .. JE L’AI REÇU DE MON GRAND-PÈRE LUCIEN …. QUI SANS LE SAVOIR ÉTAIT UN PHILOSOPHE … J’AI REÇU CE JE T’AIME IMPOSSIBLE -LÀ … QUAND J’AVAIS 9 ANS…. UN CERTAIN SOIR OU… POUR M’ENDORMIR… IL M’AVAIT INVENTÉ UNE HISTOIRE.
2-4c) VOUS ALLEZ ME DIRE… MAIS PIERROT…… C’EST QUOI LE RAPPORT … ENTRE …LE JE T’AIME D’UN COUP DE FOUDRE PIS …LE JE T’AIME DE TON GRAND-PÈRE LUCIEN ? BEN …. JUSTEMENT.. LA RÉPONSE EST PEUT-ÊTRE CACHÉE DANS LE POÈME QUE J’AIMERAIS VOUS RÉCITER MAINTENANT… SI VOUS LE PERMETTEZ..
MON GRAND-PÈRE M’RACONTAIT QUE…
Noel dans l’ancien temps c’tait pauvre
l’hiver glaçait même le parquet
le d’ssus du poêle tournait au mauve
le sapin pis les chandelles brillaient
j’collais la famille contre moé
des vous aime pour les réchauffer
l’IMPOSSIBLE dans l’bas de l’escalier
était gêné d’nous r’garder
Noel , dans l’ancien temps c’tait chaud
Non mon jeune, je suis en train de te mentir
mes je t’aime me bloquaient dans l’dos
me sentais pas capable des dire
mais la nuit de Noel j’brisais mon mur
mes deux gros bras parlaient pour moé
quand tout l’monde dormait ben dur
j’faisais l’tour pour les embrasser
à Noel, c’t’année, on va t’être deux
moé pis ma belle Lumina qu’est décédée
a pourra lire dans mes pensées
mes je t’aime d’homme qui ont bloqué
à tous les Noel de mon passé
excusez-la.
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Bonjour Pierre,
C’est à peine croyable, le 9 mars prochain j’ai un 3ème roman qui arrivera en librairie en temps de pandémie.
Je me souviens en mars 2020 lorsque ma maison d’édition a décidé de retarder la sortie de Mirages sur la Vallée-de-l’Or, du 23 mars à la fin juillet… pensant que la pandémie serait terminée… quels faux espoirs ! Nous sommes plusieurs à voguer sur la galère de la pandémie, au moins pour nous, les écrivains… en tout cas pour moi… ça n’a rien changé. Au contraire, cette année, plusieurs de mes romans sont allés en réimpression, je reçois de plus en plus de messages de lecteurs/lectrices qui découvrent ma plume… tout va bien.
Cet après-midi, j’ai reçu chez moi le photographe du Journal de Montréal, pour un photoshoot… me voilà devenue une grande vedette… … je ris… loin de moi la gloire… J’aime qu’on me découvre, qu’on apprécie ma plume… comme le fait Marie France Bornais, du Journal de Montréal, qui adore mes intrigues…D’ailleurs, c’est depuis le tout début que ce journal apprécie mon travail. Je vous joins une photo, avec l’article paru en 2011 et celui de 2021… peu de changement… les cheveux d’argent, comme quoi je prends de la valeur…
Ma vie est superbe… les années courent trop vite pour mes jambes de septuagénaire… mais le cœur tient le coup, l’imaginaire également… je me sens toujours dans le peloton de tête… c’est le plus important!
Je vous souhaite une belle soirée.
Claire
la notion de KAIROS en rhétorique antique … WOWW… j’ai enfin dormi un 6 heures… j’enclenche ma nuit de travail
Boîte de réception
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C’est agréable de voir avec quel plaisir vous peaufinez votre 45 minutes… quand les conférences retrouveront leur erre d’aller, vous serez fin prêt… pendant ce temps, à travers vos recherches, vous perfectionnez vos connaissances et vos aptitudes… quel extraordinaire conférencier vous serez..!!
Bonne fin de journée, cher Pierre.
Claire
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EFFECTIVEMENT, cLAIRE, POUR MOI TOUT EST À LA FOIS MINUTIARISÉ, THÉORISÉ, INTÉGRÉ DANS UNE POSTURE DE CULTURE GÉNÉRALE À VALEUR AJOUTÉE DANS DIFFÉRENTS CHAMPS DU SAVOIR EN COMPLÉMENTARITÉ (COMME DANS CE CAS-CI, LE DIALOGUE ENTRE LA NOTION D’OEUVRE D’ART EN PHILOSOPHIE DE L’ART ET CELLE D’ORATION EN RHÉTORIQUE ANTIQUE)
lE TEXTE QUI EN RÉSULTERA, BRODÉ SUR DIFFÉRENTS AJOUTS ET DIVERSIONS… CONSTITUERA UNE BASE TELLEMENT SOLIDE QUE JE POURRAI COMPLÈTEMENT L’OUBLIER QUAND J’IMPROVISERAI MON 45 MINUTES-CONFIDENCES… SI POSSIBLE À CHAQUE FOIS DANSÉ SUR UN FIL D’OR UNIQUE À CHAQUE ÉVÉNEMENT…
CHÈRE CLAIRE
POUR MOI… TOUT L’ART DU CONFÉRENCIER DANS LE MODE STYLISTIQUE DU 45 MINUTES CONFIDENCE PEUT SE RÉSUMER DANS LA NOTION DE KAIROS:))) OU ….DIT EN LANGAGE D’ANIMATION DE FOULE ….. EN SENS DU TIMING ……. EN CAPITALISANT SUR UNE MICRO- VARIABLE D’ACTION ISSUE DE DYNAMIQUE DE LA SALLE CE SOIR-LÀ :))))
ce kairos (καιρός) est un concept qui, adjoint à l’aiôn et au chronos, permet, sinon de définir le temps, du moins de situer les événements selon cette dimension. Faire le bon acte au bon moment participe au Kaïros. Pour ce qui est de la pensée occidentale, le concept de Kaïros apparaît chez les Grecs sous les traits d’un petit dieu ailé de l’opportunité, qu’il faut attraper quand il passe (saisir une opportunité).
Définition[modifier | modifier le code]
Le kairos est le temps du moment opportun. Il qualifie un intervalle, ou une durée précise, importante, voire décisive.
Dans le langage courant, on parlerait de point de basculement décisif, avec une notion d’un avant et d’un après au sens de Jankélévitch (voir plus bas). Le kairos est donc « l’instant T » de l’opportunité : avant est trop tôt, et après trop tard.
In fine, l’expression « instant d’inflexion » semble convenir : « Maintenant est le bon moment pour agir. »
Pour le pseudo–Aristote, « Le mélancolique est l’homme du kairos, de la circonstance1. »
Le kairos, une dimension du temps n’ayant rien à voir avec la notion linéaire de chronos (temps physique), pourrait être considéré comme une autre dimension du temps créant de la profondeur dans l’instant. Une porte sur une autre perception de l’univers, de l’événement, de soi. Une notion immatérielle du temps mesurée non pas par la montre, mais par le ressenti.
Le dieu grec Kairos est représenté par un jeune homme qui ne porte qu’une touffe de cheveux sur la tête. Quand il passe à notre proximité, il y a trois possibilités :
- on ne le voit pas ;
- on le voit et on ne fait rien ;
- au moment où il passe, on tend la main, on « saisit l’occasion aux cheveux » (en grec ancienκαιρὸν ἁρπάζειν) et on saisit ainsi l’occasion.
Kairos a donné en latin opportunitas (opportunité, saisir l’occasion).
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La philosophie, du grec ancien φιλοσοφία (composé de φιλεῖν, philein : « aimer » ; et de σοφία, sophia : « sagesse » ou « savoir »)1, signifiant littéralement « amour du savoir » et communément « amour de la sagesse », est une démarche qui vise à une compréhension du monde et de la vie par une réflexion rationnelle et critique. Elle est une recherche de la vérité qui est guidée par un questionnement sur le monde, la connaissance et l’existence humaine2. Elle existe depuis l’Antiquité en Occident et en Orient, à travers la figure du philosophe, non seulement en tant qu’activité rationnelle mais aussi comme mode de vie. L’histoire de la philosophie permet d’appréhender son évolution.
Ancrée dès ses origines dans le débat d’idées partagées lors du dialogue, la philosophie peut se concevoir comme une activité de création, de méditation, de définition et d’analyse de concepts tels que le bien, le mal, la beauté, la justice. Elle peut aussi être envisagée comme une quête de vérité, de liberté, de sens, de conscience, bref, une quête du bonheur. Selon un point de vue chrétien, son objectif devrait être tourné vers la contemplation de la vérité et la recherche de la fin dernière et du sens de la vie3.
Chez Aristote, la sagesse est la science des premiers principes et des premières causes4. C’est une définition sur laquelle s’appuieront les aristotéliciens à l’époque médiévale pour fonder la philosophie première.
Au sens moderne et pour une partie des philosophes contemporains, la philosophie n’est pas un savoir, ni un ensemble de connaissances, mais une démarche de réflexion sur les savoirs à disposition5. Elle est devenue une discipline des sciences humaines6.
Le champ d’étude de la philosophie peut embrasser un ensemble de disciplines telles que les sciences humaines et sociales, les sciences formelles et les sciences naturelles, auxquelles elle est historiquement liée.
La philosophie a engendré des domaines d’études fondamentaux tels la théorie de la connaissance, la philosophie politique, la métaphysique, l’éthique et la logique. Au cours du temps, ces branches de la philosophie ont vu naître des ramifications comme celles de l’ontologie, l’esthétique, la philosophie du droit, l’épistémologie (philosophie des sciences), la philosophie de l’esprit, l’anthropologie philosophique, ou la philosophie du langage, entre autres.
Bon réveil Claire
et bonne journée avec David et sa famille
Pierrot
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TEXTE DE PRÉSENTATION LU PAR L’ORGANISATEUR AU SUJET DE PIERROT AVANT QU’IL ENTRE EN SCÈNE
EXORDE PRÉSENTATIF
1) JAMAIS …. dans toute l’histoire de l’humanité…. LA TERRE ENTIÈRE n’aura vécu …UNE PANDÉMIE .,..D’UNE TELLE CRUAUTÉ … (***incipit ***)
2) au point ou …. MÊME NOTRE SANTÉ MENTALE …. s’est… retrouvée TROP DE FOIS …. sévèrement perturbée.
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3a) Voilà pourquoi… ce soir… je suis fier de vous présenter …
3b) un très ancien jeune homme … dont les anecdotes reliées une PASSIONNANTE philosophie de vie…
3c) pourront … contribuer… à faire …UNE RÉELLE DIFFÉRENCE….
3d) dans l’APRÈS-COVID de chacune de nos existences.
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Bonjour Pierre,
Il me plaît bien ce petit dieu ailé de l’opportunité… il m’est arrivé de le saisir par sa touffe de cheveux, et de profiter de ces largesses du moment présent… des moments précis qui ont eu des avants et des après… C’est un peu lui que je cite, dans ma biographie, en écrivant :
« Tout m’inspirait, le sourire d’un inconnu sur un quai de gare, le sanglot d’une mère, un fait divers lu au hasard d’un journal abandonné. Je peux dire, sans me tromper, que ce sont les émotions qui m’ont conduite à l’écriture. Je voulais plonger dans le cœur des gens, et pas seulement les gentils, les mauvais également. Je souhaitais lever le voile sur leurs secrets, leurs motivations d’agir, mettre le doigt sur ce battement d’ailes qui change le cours d’une destinée. »
Je pars chez David. Je vous reviens demain.
Bon week-end.
Claire
4a) philosophe conteur …
4b)vagabond de la beauté du monde…
4c) co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal ….
4d) je vous laisse maintenant le plaisir de le découvrir.
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5) Accueillons chaleureusement notre conférencier de la soirée ….Monsieur Pierrot Rochette.
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wowwwww… j’avance dans le wording du fil d’or
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06:13 (il y a 2 minutes) | |||
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TEXTE DE PRÉSENTATION LU PAR L’ORGANISATEUR AU SUJET DE PIERROT AVANT QU’IL ENTRE EN SCÈNE
1) JAMAIS …. dans toute l’histoire de l’humanité…. LA TERRE ENTIÈRE n’aura vécu …UNE PANDÉMIE .,..D’UNE TELLE CRUAUTÉ … au point ou …. MÊME NOTRE SANTÉ MENTALE AURA ÉTÉ PIÉTINÉE, COMME JAMAIS ON AURAIT PU SE L’IMAGINER.
2) Voilà pourquoi… ce soir… je suis fier de vous présenter … un très ancien jeune homme … dont les anecdotes …. racontées à partir d’une authentique philosophie de vie… nous aideront… à mieux visualiser l’avenir … dans l’après-covid de chacune de nos existences.
3) philosophe conteur … vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal ….je vous laisse maintenant le plaisir de le découvrir. Mes très chers amis … Accueillons chaleureusement notre conférencier de la soirée ….Monsieur Pierre Rochette.
PIERROT ENTRE EN SCÈNE…
1) Un gros merci à la dame qui m’a présenté… …surtout parce que, sans le savoir, c’est de mon grand-père Lucien qu’elle a parlé..
2: Certains soirs,,, … quand cet homme-là poétisait… on aurait dit qu’y sortait d’un conte de fée… Par exemple … y avait juste à ouvrir la porte du poêle à bois … pour soudain se revirer de bord …. craquer une allumette… la lever ben haut dans les airs. .. pis là , y inventait comme une histoire qui venait de nulle part…
3) : ti-gars … entends-tu le chuchotement du feu? … ça fait des millions d’années que le feu nous dit la même chose… surtout quand dehors … y a une tempête de neige épouvantable … surtout quand en dedans ,,,, le fret pis le givre font HURLER LES GLAÇONS d’un bord à l’autre des fenêtres … … pis que les morsures de la température font craquer le dedans des planches d’un bord à l’autre des murs. Pis là, y prenait son allumette …. y a rentrait dans le poêle à bois… pis y laissait le feu nous poétiser. ça pouvait durer 15 minutes jusqu’à ce qu’on entende clairement la conversation entre la tempête, les glacons le craquement des planches mêlés aux craquements du feu.
4) vois-tu ti-gars, ton k-oeur c’est comme un poêle à bois … faut toujours que tu gardes le feu vivant dedans si tu veux te protéger des tempêtes de la vie.. pis des morsures du temps. Pis ton allumette, ce sera ma formule magique que t’auras juste à répéter 3 fois. DANS LA VIE, SEUL L’IMPOSSIBLE EST VRAI… (3)
5) Ça c’était sa grande finale… ç grand-papa Lucien … L’IMPOSSIBLE pour lui, c’était la chose la plus incroyable qu’une personne humaine pouvait pas vivre sur la terre.. La seule chose qui valait la peine de vivre sur la terre… c’était L’IMPOSSIBLE.
1) .mais vous allez me dire … Pierrot… c’est quoi l’impossible?… DUR À DIRE… BEN DUR À DIRE … …même si des fois … Y A DES IMPOSSIBLES PLUS FACILES À IDENTIFIER QUE D’AUTRES…
2)) PAR EXEMPLE… SI TU PRENDS LE PLUS GRAND TÉLESCOPE DU MONDE… PIS QUE TU REGARDES LE COSMOS JUSQU’AU BOUTT DE L’INFINI EN PARTANT DU BIG BANG … TU RÉALISES QU’Y A PEUT-ÊTRE PAS D’AUTRES VIVANTS QUE NOUS AUTRES SUR TERRE…
3) MAIS EN MÊME TEMPS … SUR LA TERRE… … ON EST QUAND MÊME …7 MILLIARDS, 800 MILLIONS… 7 MILLIARDS , 800 MILLIONS… TOUTES BEN POGNÉS DANS LA MÊME PANDÉMIE … C’EST QUASIMENT PAS CROYABLE… MAIS MOI, C’EST PAS CET IMPOSSIBLE-LÀ QUI M’INTÉRESSE LE PLUS … C’EST UN IMPOSSIBLE QUI EST CACHÉ DANS CHACUN DE NOS K-OEURS.
4) C’EST DANS CE SENS-LÀ… QUE … MOI JE PRENDS LE PARI QUE… N’IMPORTE OU SUR LA PLANÈTE … MÊME SI ON EST 7 MILLIARDS , 800 MILLIONS … CHAQUE FOIS QU’Y A UNE PERSONNE HUMAINE QUI SE LÈVE DEBOUT POUR DIRE… AYE GAGNE… JE M’EN VAIS VOUS RACONTER ….LE JE T’AIME… LE PLUS IMPOSSIBLE…. QUE J’AI VÉCU DANS MON EXISTENCE …..
5) TOUT LE MONDE VA SE RECONNAITRE LÀ-DEDANS.. PARCE QUE …TOUT LE MONDE A DÉJÀ VÉCU ÇA … AU MOINS UNE FOIS DANS SA VIE… UN JE T’AIME IMPOSSIBLE…
) UN JE T’AIME IMPOSSIBLE … C’EST COMME SI TU CRAQUAIS UNE ALLUMETTE …. PUIS QUE … INSTANTANÉMENT … TOUT LE K-OEUR HUMAIN S’ENFLAMMAIT EN MÊME TEMPS… AU POINT OU Y A PU PERSONNE… QUI EST CAPABLE D’EN ÉTEINDRE L’INCENDIE..
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Bonjour Pierre,
Ce matin, j’ai fait lire à David ce texte de présentation. Il a dit :
— Tu as raison, c’est beaucoup plus accrocheur que ce qu’il nous a déjà fait parvenir. Mais ce n’est pas à toi qu’il devrait envoyer ça, c’est plutôt à moi…
Aussi, vers le milieu de la semaine vous devriez lui faire parvenir le texte ci-dessous, que je trouve le meilleur que vous m’avez déjà envoyé, en suggérant que ce soit la présentation qu’il fasse de vous à ses clients :
« Après la COVID, le monde des affaires aura changé du tout au tout. Les gens qui auront été ballotés du télétravail au présentiel, qui auront perdu leurs emplois et y seront revenus, qui auront vu leurs enfants dépérir, leur monde rétrécir, leurs rêves de vie s’éteindre l’un après l’autre par le pilon de tous ces drames pandémiens qui ont pesé si fort sur la santé mentale de chacun…. Il est bien possible que … dans un premier temps …chacune et chacun aura besoin de se faire remonter le moral…
Peut-être qu’un philosophe-conteur, allumeur de réverbères, médecin de l’âme, vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal… peut remettre de la lumière sur toutes ces existences assombries sévèrement mais temporairement, en instaurant pour tous, dans la prochaine année, le droit incontournable de croire à nouveau à l’impossible avec pour objectif commun de réinventer… ensemble … la joie de vivre… comme une vraie gang qui célèbre avec audace et fierté, l’avenir… dans une vision ré-énergisée, de son milieu de travail corporatif. »
Je suggère au milieu de la semaine, car comme vous avec Gaëlle, je ne veux pas que notre échange épistolaire intervienne dans ma relation avec lui.
Avant de lui écrire, analyser bien tous les points que vous pensez qui pourraient améliorer votre présentation, et faites-lui en part. David est super conscient que notre âge fait de nous des personnes ressources, qui ont beaucoup à apporter aux plus jeunes. Toutefois, la majorité des gens, dans les entreprises, qui achètent les services de conférenciers sont des jeunes personnes… des inconnus de notre âge ne sont pas faciles à vendre… Mais il faut croire à votre bonne étoile! Un pas à la fois vers votre rêve…
Je vous souhaite une très belle journée ensoleillée!
Claire
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chaque jour Claire, vous me captivez toujours davantage par votre brillante intelligence du k-oeur
onjour Pierre,
Ce matin, j’ai fait lire à David ce texte de présentation. Il a dit :
— Tu as raison, c’est beaucoup plus accrocheur que ce qu’il nous a déjà fait parvenir. Mais ce n’est pas à toi qu’il devrait envoyer ça, c’est plutôt à moi…
Le plus étonnant Claire, c’est de voir à quel point le temps que je consacre nuit et jour à sculpter cette nouvelle carrière me passionne… Je n’y vois pas de fin… et je sais que j’arriverai à ma iere conférence avec un bagage humain, culturel, professionnel qui fera en sorte que j’ai la certitude intérieure de constituer un jour … et pour Orizon ….. et pour ses clients corporatifs, L’EXCEPTION QUI CONFIRME LA RÈGLE…. parce qu’avez les 2 Pierrots… j’ai fait de la joie de vivre d’une salle rempli de personnes humaines, un art de la joie de vivre par le biais d’un rêve en action sur une scène.
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Après avoir revisé mes connaissances en philosophie de l’art, en rhétorique, en création littéraire et hientôt en histoire de la littérature, je viens de comprendre que mon monde à moi, c’est CELUI DE LA NOUVELLE … mais vécue à travers l’oralité de la scène… par le biais de 45 minutes conférences.
…. comme pour vous votre monde est celui du roman…
Mais… j’aimerais pratiquer l’art de la nouvelle orale …. telle que la pratiquait Boccace dans le décaméron…à la iere renaissance … Je sens que je suis en train de trouver mon style …. ce qui me permettra d’écrire les 100 nouvelles de l’épopée du vagabond céleste comme j’ai écrit mes 100 chansons. La mort de Simon m’a comme propulsé à me dessiner un nouveau parcours littéraire par une joie des mots réenchantée par la fraîcheur jamais altérée de chacun de nos échanges épistolaires.
Aussi, vers le milieu de la semaine vous devriez lui faire parvenir le texte ci-dessous, que je trouve le meilleur que vous m’avez déjà envoyé, en suggérant que ce soit la présentation qu’il fasse de vous à ses clients :
Effectivement, je réalise que , bâti comme je suis bâti, j’ai bien fait de prendre le temps de réfléchir à tous les paramètres de ma présence chez Orizon… avant de faire un nouveau pas avec David… J’aime bien tout faire pour renouveler mes habiletés de quelque nature que ce soit, avant de déposer un pas devant le souffle du rêve d’une nouvelle personne… comme je l’ai fait pour Marlene et Michel, comme pour Gaelle… comme pour Denis…
‘aimerais bien que cette image apparaisse au-dessus de ma présentation…… qui , selon moi, (peut-être que je me trompe) symbolise une certaine sagesse de vie… Mais bon… David connaît mieux ses clients que moi… Mon intuition me dit… que, qu’importe qui on est dans la vie, on a toujours de la fascination pour quelqu’un qui a vraiment osé l’impossible dans sa vie et qui en est sorti rayonnant, instruit et compassif pour les autres dans leur quête du rêve de leur vie…. SURTOUT QUAND ON EN PARLE DANS UN ARTICLE DE JOURNAL.
qu’en pensez-vous Claire?
« Après la COVID, le monde des affaires aura changé du tout au tout. Les gens qui auront été ballotés du télétravail au présentiel, qui auront perdu leurs emplois et y seront revenus, qui auront vu leurs enfants dépérir, leur monde rétrécir, leurs rêves de vie s’éteindre l’un après l’autre par le pilon de tous ces drames pandémiens qui ont pesé si fort sur la santé mentale de chacun…. Il est bien possible que … dans un premier temps …chacune et chacun aura besoin de se faire remonter le moral…
Peut-être qu’un philosophe-conteur, allumeur de réverbères, médecin de l’âme, vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal… peut remettre de la lumière sur toutes ces existences assombries sévèrement mais temporairement, en instaurant pour tous, dans la prochaine année, le droit incontournable de croire à nouveau à l’impossible avec pour objectif commun de réinventer… ensemble … la joie de vivre… comme une vraie gang qui célèbre avec audace et fierté, l’avenir… dans une vision ré-énergisée, de son milieu de travail corporatif. »
e suggère au milieu de la semaine, car comme vous avec Gaëlle, je ne veux pas que notre échange épistolaire intervienne dans ma relation avec lui.
C’est exactement cela Claire… ce que nous vivons vous et moi tient d’un cadeau de la vie et nous devons avoir l’élégance de bien protéger nos proches de toute … comment dire… de toute contamination non nécessaire dans la quête d’une élégance bien hiérarchisée des rapports humains ou chacun et chacune …se sent gagnant gagnant parce que profondément respecté )e).
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Avant de lui écrire, analyser bien tous les points que vous pensez qui pourraient améliorer votre présentation, et faites-lui en part. David est super conscient que notre âge fait de nous des personnes ressources, qui ont beaucoup à apporter aux plus jeunes. Toutefois, la majorité des gens, dans les entreprises, qui achètent les services de conférenciers sont des jeunes personnes… des inconnus de notre âge ne sont pas faciles à vendre… Mais il faut croire à votre bonne étoile! Un pas à la fois vers votre rêve…
Ce que j’aimerais dire à David… c’est que les lois du k-oeur qui furent, sont et seront toujours la marque des plus grands moments vécus en milieu de travail s,expriment toujours mieux par un aÎné dont la vie entière a été consacrée à en saisir les paramètres pour que l’impossible soit vécu brillamment par tous et chacun.
J’aimerais bien lui envoyer le début de mon 45 minutes-confidences … pour lui indiquer dans quel sens se font mes recherches… mais je vais d’abord vous envoyer ce courriel pour que vous me le validiez avant de le lui adresser…
1) JAMAIS …. dans toute l’histoire de l’humanité…. LA TERRE ENTIÈRE n’aura vécu …UNE PANDÉMIE .,..D’UNE TELLE CRUAUTÉ … au point ou …. MÊME NOTRE SANTÉ MENTALE AURA ÉTÉ PIÉTINÉE, COMME JAMAIS ON AURAIT PU SE L’IMAGINER.
2) Voilà pourquoi… ce soir… je suis fier de vous présenter … un très ancien jeune homme … dont les anecdotes …. racontées à partir d’une authentique philosophie de vie… nous aideront… à mieux visualiser l’avenir … dans l’après-covid de chacune de nos existences.
3) philosophe conteur … vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal ….je vous laisse maintenant le plaisir de le découvrir. Mes très chers amis … Accueillons chaleureusement notre conférencier de la soirée ….Monsieur Pierre Rochette.
PIERROT ENTRE EN SCÈNE…
1) Un gros merci à la dame qui m’a présenté… …surtout parce que, sans le savoir, c’est de mon grand-père Lucien qu’elle a parlé..
2: Certains soirs,,, … quand cet homme-là poétisait… on aurait dit qu’y sortait d’un conte de fée… Par exemple … y avait juste à ouvrir la porte du poêle à bois … pour soudain se revirer de bord …. craquer une allumette… la lever ben haut dans les airs. .. pis là , y inventait comme une histoire qui venait de nulle part…
3) : ti-gars … entends-tu le chuchotement du feu? … ça fait des millions d’années que le feu nous dit la même chose… surtout quand dehors … y a une tempête de neige épouvantable … surtout quand en dedans ,,,, le fret pis le givre font HURLER LES GLAÇONS d’un bord à l’autre des fenêtres … … pis que les morsures de la température font craquer le dedans des planches d’un bord à l’autre des murs. Pis là, y prenait son allumette …. y a rentrait dans le poêle à bois… pis y laissait le feu nous poétiser. ça pouvait durer 15 minutes jusqu’à ce qu’on entende clairement la conversation entre la tempête, les glaçons le craquement des planches mêlés aux craquements du feu.
4) vois-tu ti-gars, ton k-oeur c’est comme un poêle à bois … faut toujours que tu gardes le feu vivant dedans si tu veux te protéger des tempêtes de la vie.. pis des morsures du temps. Pis ton allumette, ce sera ma formule magique que t’auras juste à répéter 3 fois. DANS LA VIE, SEUL L’IMPOSSIBLE EST VRAI… (3)
5) Ça c’était sa grande finale… à grand-papa Lucien … L’IMPOSSIBLE pour lui, c’était la chose la plus incroyable qu’une personne humaine pouvait pas vivre sur la terre.. La seule chose qui valait la peine de vivre sur la terre… c’était L’IMPOSSIBLE.
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1) .mais vous allez me dire … Pierrot… c’est quoi l’impossible?… DUR À DIRE… BEN DUR À DIRE … …même si des fois … Y A DES IMPOSSIBLES PLUS FACILES À IDENTIFIER QUE D’AUTRES…
2)) PAR EXEMPLE… SI TU PRENDS LE PLUS GRAND TÉLESCOPE DU MONDE… PIS QUE TU REGARDES LE COSMOS JUSQU’AU BOUTT DE L’INFINI EN PARTANT DU BIG BANG … TU RÉALISES QU’Y A PEUT-ÊTRE PAS D’AUTRES VIVANTS QUE NOUS AUTRES SUR TERRE…
3) MAIS EN MÊME TEMPS … SUR LA TERRE… … ON EST QUAND MÊME …7 MILLIARDS, 800 MILLIONS… 7 MILLIARDS , 800 MILLIONS… TOUTES BEN POGNÉS DANS LA MÊME PANDÉMIE … C’EST QUASIMENT PAS CROYABLE… MAIS MOI, C’EST PAS CET IMPOSSIBLE-LÀ QUI M’INTÉRESSE LE PLUS … C’EST UN IMPOSSIBLE QUI EST CACHÉ DANS CHACUN DE NOS K-OEURS.
4) C’EST DANS CE SENS-LÀ… QUE … MOI JE PRENDS LE PARI QUE… N’IMPORTE OU SUR LA PLANÈTE … MÊME SI ON EST 7 MILLIARDS , 800 MILLIONS … CHAQUE FOIS QU’Y A UNE PERSONNE HUMAINE QUI SE LÈVE DEBOUT POUR DIRE… AYE GAGNE… JE M’EN VAIS VOUS RACONTER ….LE JE T’AIME… LE PLUS IMPOSSIBLE…. QUE J’AI VÉCU DANS MON EXISTENCE …..
5) TOUT LE MONDE VA SE RECONNAITRE LÀ-DEDANS.. PARCE QUE …TOUT LE MONDE A DÉJÀ VÉCU ÇA … AU MOINS UNE FOIS DANS SA VIE… UN JE T’AIME IMPOSSIBLE…
1) UN JE T’AIME IMPOSSIBLE … C’EST COMME SI TU CRAQUAIS UNE ALLUMETTE …. PUIS QUE … INSTANTANÉMENT … TOUT LE K-OEUR HUMAIN S’ENFLAMMAIT EN MÊME TEMPS… AU POINT OU Y A PU PERSONNE… QUI EST CAPABLE D’EN ÉTEINDRE L’INCENDIE..
2) COMME PAR EXEMPLE.. LA TOUTE IERE FOIS … QU’UN TRÈS GENTIL JEUNE HOMME … RENVERSÉ PAR UN COUP DE FOUDRE… RÉUSSIT ENFIN À ESCALADER L’HYMALAYA DE SA TIMIDITÉ POUR DIRE À SA BIEN-AIMÉE… JE T’AIME… LUI Y L’SAIS PAS… MAIS …Y VIENT DE VIVRE…. UNE DES FORMES… LES PLUS UNIVERSELLES … DE L’IMPOSSIBLE SUR TERRE…
3) MAIS … SI EN PLUS… SA BIEN-AIMÉE LUI RÉPOND… MOI AUSSI JE T’AIME … LE JEUNE HOMME Y EST FAITE…LE K-OEUR VA Y DÉBORDER DE TOUS LES BORDS …. LE CORPS VA VOULOIR Y SORTIR DU CORPS… Y VA AVOIR DANS LES YEUX DES LARMES DE JOIE …. PIS DANS LES PIEDS….. UNE PAIRE DE BOTTES POUR ALLER PLUS LOIN DANS LA VIE…
4) TOUT ÇA POUR VOUS DIRE… QU’E …Y EN A POUR QUI ….. LA DÉCOUVERTE DE L’IMPOSSIBLE… ÇA PASSE ….. PAR DEUX JE T’AIME QUI SE TOUCHENT COMME SI C’ÉTAIT DEUX FILS ÉLECTRIQUES…
5) MAIS MOI…. DANS MON CAS… ÇA S’EST PAS PASSÉ COMME ÇA… LE JE T’AIME LE PLUS IMPOSSIBLE QUE J’AI VÉCU DANS ,MA VIE .. JE L’AI REÇU DE MON GRAND-PÈRE LUCIEN …. QUI SANS LE SAVOIR ÉTAIT UN PHILOSOPHE … J’AI REÇU CE JE T’AIME IMPOSSIBLE -LÀ … QUAND J’AVAIS 9 ANS…. UN CERTAIN SOIR OU… POUR M’ENDORMIR… IL M’AVAIT INVENTÉ UNE HISTOIRE.
. 1) VOUS ALLEZ ME DIRE… MAIS PIERROT…… C’EST QUOI LE RAPPORT … ENTRE …LE JE T’AIME D’UN COUP DE FOUDRE PIS …LE JE T’AIME DE TON GRAND-PÈRE LUCIEN ? BEN …. JUSTEMENT.. LA RÉPONSE EST PEUT-ÊTRE CACHÉE DANS LE POÈME QUE J’AIMERAIS VOUS RÉCITER MAINTENANT… SI VOUS LE PERMETTEZ.
2) MON GRAND-PÈRE M’RACONTAIT QUE…
Noel dans l’ancien temps c’tait pauvre
l’hiver glaçait même le parquet
le d’ssus du poêle tournait au mauve
le sapin pis les chandelles brillaient
j’collais la famille contre moé
des vous aime pour les réchauffer
l’IMPOSSIBLE dans l’bas de l’escalier
était gêné d’nous r’garder
Noel , dans l’ancien temps c’tait chaud
Non mon jeune, je suis en train de te mentir
mes je t’aime me bloquaient dans l’dos
me sentais pas capable des dire
mais la nuit de Noel j’brisais mon mur
mes deux gros bras parlaient pour moé
quand tout l’monde dormait ben dur
j’faisais l’tour pour les embrasser
à Noel, c’t’année, on va t’être deux
moé pis ma belle Lumina qu’est décédée
a pourra lire dans mes pensées
mes je t’aime d’homme qui ont bloqué
à tous les Noel de mon passé
excusez-la.
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3) C’est donc un soir de Noel, juste avant de partir, que mon grand-père Lucien m’a laissé avec une phrase qui a fait la joie de mes rêves de vie, qui a fait les deux pierrots, qui a faitque je suis ici ce soir. Et c’est phrase dit ceci:
4)) MON CHER TI-GARS.. DANS LA VIE… SEU L’IMPOSSIBLE EST VRAI. (3)
5) ÇA A DU ME PRENDRE …. DEUX BONNES JOURNÉES …. AVANT QUE J’AYE L’IDÉE D’Y DEMANDER …. MAIS… GRAND-PAPA … C’EST QUOI L’IMPOSSIBLE?
2-2b) Y M’A RÉPONDU … TI-GARS… C’EST PAS LA BONNE QUESTION… … T’AURAIS DU ME DIRE GRAND-PAPA LUCIEN … C’EST QUI L’IMPOSSIBLE?
2-2c) ….MAIS GRAND-PAPA… C’EST-TU UNE PERSONNE?
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2-3a) MAIS LÀ, Y M’A DIT…. TU Y EST PRESQUE.. L’IMPOSSIBLE C’EST L’INVISIBLE QUI TOURBILLONNE AUTOUR D’UNE PERSONNE… QUAND A TRICHE PAS AVEC SON RÊVE..
2-3b) PIS C’TE PERSONNE-LÀ …. ELLE VA SAVOIR QU’ELLE A RÉUSSI SA VIE… LE JOUR OU … L’IMPOSSIBLE LUI-MÊME, EN PERSONNE VA VENIR LUI SERRER LA MAIN …
2-3c) MAIS JE T’AVERTIS TU SUITE.. L’IMPOSSIBLE EST INVISIBLE POUR LES YEUX…. PERSONNE PEUT LE VOIR… MÊME QUAND …UN JOUR… L’IMPOSSIBLE, LUI-MÊME EN PERSONNE.. VA VRAIMENT VENIR TE SERRER LA MAIN… À TOI… PERSONNELLEMENT …. MON P’TIT GARS,,, TOI AUSSI … TU POURRAS PAS PLUS LE VOIR.
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2-4a) MAIS GRAND-PAPA LUCIEN…SI L’IMPOSSIBLE EST INVISIBLE POUR LES YEUX, COMMENT JE VAIS FAIRE POUR SAVOIR QUE C’EST LUI QUI ES EN TRAIN DE ME SERRER LA MAIN?
2-4b) AH MON CHER P’TIT GARS… ÇA C’EST LA BONNE QUESTION …DÈS QUE L’IMPOSSIBLE VA TE SERRER LA MAIN …. LE K-OEUR VA TE DÉBORDER DE TOUS LES BORDS…LE CORPS VA VOULOIR TE SORTIR DU CORPS… TU VAS AVOIR DANS LES YEUX LES LARMES DE JOIE DE TA GRAND-MÈRE LUMINA ET DANS LES PIEDS… LA PAIRE DE BOTTES POUR ALLER PLUS LOIN DANS LA VIE DE TON GRAND-PÈRE LUCIEN…
2-4c) MAIS LÀ ….MAIS LÀ… MON CHER P’TIT GARS… …. C’EST JUSTE À CE MOMENT-LÀ … QUE TU VAS VRAIMENT SAISIR … DANS TOUTE SA GRANDEUR…. QUE… DANS LA VIE …. SEUL L’IMPOSSIBLE EST VRAI
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3-1a) C’EST PAS POUR RIEN QUE J’AI COMMENCÉ MON 45 MINUTES DE CONFIDENCES… EN VOUS DISANT QUE …Y EN A POUR QUI, …. … LA DÉCOUVERTE DE L’IMPOSSIBLE… ÇA PASSAIT PAR DEUX JE T’AIME QUI SE TOUCHENT COMME SI C’ÉTAIT DEUX FILS ÉLECTRIQUES…
3-1b) MAIS… MOI …. C’EST À CAUSE DU CONTE PHILOSOPHIQUE QUE MON GRAND-PÈRE LUCIEN M’AVAIT INVENTÉ DANS MON ENFANCE…
1-3c)… QUE DANS LE BOUTTE DE L’AN 2000 …J’AI TOUT DONNÉ MES BIENS… MAISON, AUTO, COMPTES DE BANQUE…
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3-2a) dans le but de…. faire une coupure radicale …. entre mon ancienne existence ou j’ai été… Pierrot chansonnier… co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal qui depuis sa création en 1974… a quand même duré 47 ans… après avoir accueilli des millions de personnes d’un peu partout à travers le monde ….
3-2b) et ma nouvelle abs-xistence… (retenez bien le terme, on va y revenir) … ou je suis devenu Pierrot vagabond-chercheur qui pendant plusieurs années a parcouru le pays pour l’ensemencer d’une question… … Quel est ton rêve?… que je posais à tout le monde… tout le monde que je rencontrais… de village en village, de ville en ville…
3-2c) en prenant le pari qu’il en résulterait l’écriture de nouvelles chansons dont chacun des textes raconterait la vraie histoire, d’une vraie personne humaine, que j’ai vraiment rencontré et qui a vraiment serré la main à l’impossible… parce que je me disais, la meilleure façon de serrer la main à l’impossible moi-même, c’est de rencontrer quelqu’un qui l’a vraiment vécu.
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3-3a) de là en a découlé une question beaucoup plus profonde qui va peut-être bouleversé votre existence ce soir … comme elle a bouleversé la mienne …
3-3b)COMMENT ON FAIT DANS SA VIE POUR SERRER LA MAIN À L’IMPOSSIBLE?
3-3c) Ben vous allez me dire… Pierrot… ça fait déjà 10 minutes que tu nous parles de l’impossible… puis y t’en reste juste 35… t’auras jamais assez de temps pour répondre à cette question-là … vous avez raison, vous avez raison… vous avez raison… Mais y a une affaire par exemple… le plus important c’est pas mon 45 minutes-confidences, c’est après que ça va se passer…
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3-4a) toé qui m’écoute…pis tu te dis… ah ben maudit.. moi ce gars-là y le sait pas mais moé j’ai vraiment pas triché avec mon rêve dans ma vie pis j’ai vraiment serré la main à l’impossible… pis j’aimerais bien ça y conter… mais j’va t’attendre après… m’a t’attendre après… viens me l’raconter…
3-4b) pis toé pas loin qui m’écoutes… pis qui se dit… ben ah ben… le gars y a mis des mots sur ce que je vis… je le savais pas… pis je viens de comprendre c’est quoi mon rêve… pis je suis en train de le marcher pis peut-être que mon rêve va me permettre de serrer la main à l’impossible … viens me voir…
3-4c) pis même toi dans le fond qui se dit ben moé j’ai trop de problèmes, c’est impossible que je serre la main à l’impossible… mais y me semble que ça me ferait du bien si je serrais la main à ce gars-là?
Je vous souhaite une très belle journée ensoleillée!
Claire
Bonne journée Claire, je vous reviens cette nuit
Pierrot
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pBonjour David
Je suis habité par une vision de plus en plus opérationnelle sur la façon dont Orizon pourrait me présenter à ses clients corporatifs…
Brièvement … en voici les grandes lignes …
En suggérant, d’entrée de jeu, que je sois d’abord présenté sur ton site comme …. Pierre Rochette, philosophe-conteur… ceci étant justifié par le fait que je possède une maîtrise en philosophie et que je prépare un doctorat en métaphysique.
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PIERRE ROCHETTE, PHILOSOPHE-CONTEUR
- a) La photo serait celle d’un article de journal qui met l’accent sur la sagesse de l’homme acquise après des choix de vie axés sur des compétences philosophiques et spirituelles…
- b) la présentation qui ferait suite à la dite photo de l’article de journal …ferait le lien entre le philosophe-conteur et l’après-covid…dans la vie en milieu de travail corporatif…
- c) j’y joins le texte avec lequel j’aimerais que l’organisateur (trice) me présente quand j’arrive sur scène…
- d) j’y joins égslement l’incipit… des ieres minutes avec lesquelles le public me découvrirait…
- e) je garderais le petit video qu’il y a déja… sur le site… car, bien circoncis par les points a,b,c,d,e, il me semble être pertinent au sens de susciter quand même la curiosité et le goût de l’audace qui inciterait tes clients à prendre une chance de m’engager pour mon authenticité.. Par contre, il pourrait aussi être remplacé par la video suivante…
Simon Gauthier – Vagabond Celeste – YouTube
en conséquence de quoi….
je te fais entièrement confiance pour les choix qui découleront de mes propositions …Ta décision sera la mienne, vu tes 26 ans d’expertise et surtout ta très grande connaissance de ton milieu corporatif )))))))
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MA PROPOSITION:
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PIERRE ROCHETTE, PHILOSOPHE-CONTEUR
« Après la COVID, le monde des affaires aura changé du tout au tout. Les gens qui auront été ballotés du télétravail au présentiel, qui auront perdu leurs emplois et y seront revenus, qui auront vu leurs enfants dépérir, leur monde rétrécir, leurs rêves de vie s’éteindre l’un après l’autre par le pilon de tous ces drames pandémiens qui ont pesé si fort sur la santé mentale de chacun…. Il est bien possible que … dans un premier temps …chacune et chacun aura besoin de se faire remonter le moral…
Peut-être qu’un philosophe-conteur, allumeur de réverbères, médecin de l’âme, vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal… peut remettre de la lumière sur toutes ces existences assombries sévèrement mais temporairement, en instaurant pour tous, dans la prochaine année, le droit incontournable de croire à nouveau à l’impossible avec pour objectif commun de réinventer… ensemble … la joie de vivre… comme une vraie gang qui célèbre avec audace et fierté, l’avenir… dans une vision ré-énergisée, de son milieu de travail corporatif. »
Simon Gauthier – Vagabond Celeste – YouTube
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TEXTE DE PRÉSENTATION LU PAR L’ORGANISATRICE) AU SUJET DE PIERROT AVANT QU’IL ENTRE EN SCÈNE
1) JAMAIS …. dans toute l’histoire de l’humanité…. LA TERRE ENTIÈRE n’aura vécu …UNE PANDÉMIE .,..D’UNE TELLE CRUAUTÉ … au point ou …. MÊME NOTRE SANTÉ MENTALE AURA ÉTÉ PIÉTINÉE, COMME JAMAIS ON AURAIT PU SE L’IMAGINER.
2) Voilà pourquoi… ce soir… je suis fier de vous présenter … un très ancien jeune homme … dont les anecdotes …. racontées à partir d’une authentique philosophie de vie… nous aideront… à mieux visualiser l’avenir … dans l’après-covid de chacune de nos existences.
3) philosophe conteur … vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal ….je vous laisse maintenant le plaisir de le découvrir. Mes très chers amis … Accueillons chaleureusement notre conférencier de la soirée ….Monsieur Pierre Rochette
PIERROT ENTRE EN SCÈNE…
1) Un gros merci à la dame qui m’a présenté… …surtout parce que, sans le savoir, c’est de mon grand-père Lucien qu’elle a parlé..
2: Certains soirs,,, … quand cet homme-là poétisait… on aurait dit qu’y sortait d’un conte de fée… Par exemple … y avait juste à ouvrir la porte du poêle à bois … pour soudain se revirer de bord …. craquer une allumette… la lever ben haut dans les airs. .. pis là , y inventait comme une histoire qui venait de nulle part…
3) : ti-gars … entends-tu le chuchotement du feu? … ça fait des millions d’années que le feu nous dit la même chose… surtout quand dehors … y a une tempête de neige épouvantable … surtout quand en dedans ,,,, le fret pis le givre font HURLER LES GLAÇONS d’un bord à l’autre des fenêtres … … pis que les morsures de la température font craquer le dedans des planches d’un bord à l’autre des murs. Pis là, y prenait son allumette …. y a rentrait dans le poêle à bois… pis y laissait le feu nous poétiser. ça pouvait durer 15 minutes jusqu’à ce qu’on entende clairement la conversation entre la tempête, les glacons le craquement des planches mêlés aux craquements du feu.
4) vois-tu ti-gars, ton k-oeur c’est comme un poêle à bois … faut toujours que tu gardes le feu vivant dedans si tu veux te protéger des tempêtes de la vie.. pis des morsures du temps. Pis ton allumette, ce sera ma formule magique que t’auras juste à répéter 3 fois. DANS LA VIE, SEUL L’IMPOSSIBLE EST VRAI… (3)
5) Ça c’était sa grande finale… à grand-papa Lucien … L’IMPOSSIBLE pour lui, c’était la chose la plus incroyable qu’une personne humaine pouvait pas vivre sur la terre.. La seule chose qui valait la peine de vivre sur la terre… c’était L’IMPOSSIBLE
6) .mais vous allez me dire … Pierrot… c’est quoi l’impossible?… DUR À DIRE… BEN DUR À DIRE … …même si des fois … Y A DES IMPOSSIBLES PLUS FACILES À IDENTIFIER QUE D’AUTRES…
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Bonjour Pierre,
Je vais vous dire le plus honnêtement possible ce que je crois que David attend de vous… d’après ce qu’il m’a dit, mais aussi selon les souvenirs que je garde de mes années de coopération avec lui. À aucun moment, ni lui ni moi ne doutons de vos performances de scène, il faut mettre l’accent sur le côté vendeur de votre personnalité.
Dimanche, David a aussi dit que n’ayant pas de véritables photos, ni de téléphones, ça compliquait les choses pour vendre vos services. Les clients qui achètent les services d’un conférencier paient très cher, aussi, ils veulent une photo pour leurs promotions, et aussi, un conférencier qu’ils peuvent rejoindre à tout moment s’il y a un contretemps de dernière minute, aussi, être rassuré si le conférencier a du retard… des choses dans le genre. Je pense qu’il serait important que vous ayez une véritable photo, du haut du corps, une photo corporative, comme celle de David, ci-jointe à votre courriel
À un moment où Gaëlle descendra de son nuage, vous devriez lui demander de faire avec vous un photosoot… les téléphones intelligents, aujourd’hui, prennent d’excellentes photos. Aussi, vous munir d’un téléphone cellulaire serait une excellente chose, je dirais même un incontournable.
C’est le moment, pendant que les affaires tournent au ralenti, de préparer l’avenir. Cher Pierre, mes suggestions ne sont pas nécessairement une garantie que vous serez engagé, mais elles ne peuvent pas vous nuire, au contraire.
Ce courriel que vous avez préparé pour David est beaucoup trop long. Je connais mon fils, c’est un homme de peu de mots, qui va toujours à l’essentiel. À mon avis, vous en ferez ce que vous voulez, je règlerais les problèmes de la photo et du téléphone avant d’envoyer votre courriel à David, qui soit dit en passant, est en affaires depuis 22 ans.
Si vous souhaitez toujours envoyer votre courriel, je vous dirai ce que, selon moi, vous devriez retirer et ce que vous devriez garder. Mais encore là, c’est vous qui savez le mieux ce qui vous convient…
Bonne journée,
Claire
En ce moment, je vagabonde… est-ce le bon mot, quand on s’adresse à un vagabond? Disons que mon esprit tourbillonne entre trois romans. Je reçois de nombreux courriels de mes lecteurs, anciens et nouveaux, concernant ma dernière parution : Les secrets d’une âme brisée. Je leur réponds. Nous sommes allés en réimpression dernièrement. Pendant ce même temps, je prépare la sortie de mon prochain roman : Dans l’ombre de la Sainte Mafia, pour le 9 mars prochain. Je reçois des demandes d’entrevues, de photoshoot, bien sûr, je me prépare pour en faire la promotion. Ce qui ne m’empêche pas de me lever tous les matins, de m’asseoir à ma table de travail et d’orchestrer l’intrigue du roman qui paraîtra en mars 2023… dont je n’ai pas encore trouvé le titre.
Je plonge tellement profondément dans ma bulle de création, qu’il m’arrive, en relevant la tête vers 9 heures de l’avant-midi, de me demander où je suis… sommes-nous le matin, le soir… je me situe rapidement, ça ne dure qu’une fraction de seconde… heureusement, sinon, je frôlerais la folie…
Toutefois, les personnages que j’abandonne sur mon ordi, ceux que j’ai fait connaître à mes lecteurs, et ceux qui s’apprêtent à rejoindre mon lectorat en mars, s’accrochent à mon esprit… et ne me quittent pas, même en dormant… Moi qui me targue d’être une solitaire, je réalise que dans les fais, je ne suis jamais vraiment seule…
Ce tourbillon de ma vie… il s’appelle le bonheur!
Maintenant vous êtes là… j’éprouve beaucoup de joie à partager avec vous cette douce félicité…
Bonne journée, cher Pierre.
Claire
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12 avril 2006
wowwwwwww
Cher Denis
Tu faisais partie des gladiateurs dont j’étais le chef d’équipe. Quelle belle période dans nos deux cerveaux aujourd’hui. On voit bien que tu es de la graine des Cantins
Ce que Roger et André Cantin ont fait pour les jeunes de La Tuque (les loisirs dynamiques et les Gladiateurs dont j’étais responsable), ce fut exceptionnel. Je peux en témoigner. J’étais dans leur chambre , certaines nuits de certains vendredi à préparer sous leur gouverne les activités du club pour le lendemain matin.
Aucun adulte d’aujourd’hui qui a vécu cela jadis, ne pourra jamais oublié les Cantin, symbole de l’excellence, très tôt dans leur vie. Et de cela dont tu témoignes dans ta salutation.
Justement hier soir on me posait la question. Si t’apprenais que tu avais une maladie mortelle et qu’il te restait un mois a vivre, quel serait ton dernier rêve. Et les mots s’allumèrent en moi comme un vol d’outarde vers le ciel. Revoir mes amis d’enfance.
J’ai conservé un attachement viscéral pour Raynald Boutin, Marcel Daudelin, André Gauthier, Roger Cantin, André Cantin, Clément, Gaston et Roger Lebel. Le p’tit lac St-Louis, notre maison de la rue Gouin. La Tuque, la ville ou mon grand-père, mon adoré oncle Paulo, mon oncle René, ma tante Micheline, mon père, ma grand-mère Lumina… ma premiere maitresse d’école…. et cela me semble un scandale que d’en oublier en ce moment.
il y a 6 ans maintenant, j’ai dit à ma mère que je réapparaitrai quand j’aurai réussi mon oeuvre d’écrivain. Un an enfermé dans une maison, 3 ans enfermé en bibliotheque, 2 autres années en squatteur sans revenu au sous-sol d’une librairie alternative à préparer un doctorat sur le rêve par le biais de l’intelligence collective. Wow-t = G3.
Tout ca pourquoi? Vers la fin de ma vie, Marcher la voie ferrée le long du St-Maurice, dormir sous les étoiles, arriver de nuit dans la ville pour mieux dessiner le passé. Mes amis d’enfance, ma ville, mon lac, reste en mon âme l’apothéose de l’existence sur cette planète. Et c’est vers la fin que je veux encore et encore y goûter comme on mange une crème glacée au soleil de son passé. Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage.
On m’a dit que les dernières paroles de mon père à sa mort furent de prononcer les prenoms de ses amis d’enfance. Pour moi, dans la cathédrale de l’existence, les vitraux portent depuis toujours leurs visages, leurs sourires et nos amitiés d’antan.
Cher denis,
Sois sûr qu’une bonne nuit d’été, tu entendras cogner à ta porte. Pour moi les Cantin, ca sent encore bien au-dela des années le dévouement, l’intégrité et les yeux tournés généreusement vers le mieux êtres des autres.
merci de cette présence
soudaine et si rafraîchissante
à très……… plus tard
un jour:)))))
quand je serai rendu a écrire
ce dernier livre
sur notre enfance a La tuque
la ville la plus fascinante de la planète
notre ville.
Pierrot
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Cette nuit, je travaille à cette version du 45 minutes-confidences
PRÉSENTATIONPIERRE ROCHETTE, PHILOSOPHE-CONTEUR« Après la COVID, le monde des affaires aura changé du tout au tout. Les gens qui auront été ballotés du télétravail au présentiel, qui auront perdu leurs emplois et y seront revenus, qui auront vu leurs enfants dépérir, leur monde rétrécir, leurs rêves de vie s’éteindre l’un après l’autre par le pilon de tous ces drames pandémiens qui ont pesé si fort sur la santé mentale de chacun…. Il est bien possible que … dans un premier temps …chacune et chacun aura besoin de se faire remonter le moral…Peut-être qu’un philosophe-conteur, allumeur de réverbères, médecin de l’âme, vagabond de la beauté du monde…co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal… peut remettre de la lumière sur toutes ces existences assombries sévèrement mais temporairement, en instaurant pour tous, dans la prochaine année, le droit incontournable de croire à nouveau à l’impossible avec pour objectif commun de réinventer… ensemble … la joie de vivre… comme une vraie gang qui célèbre avec audace et fierté, l’avenir… dans une vision ré-énergisée, de son milieu de travail corporatif. »Mes très bons amis, accueillons chaleureusement notre conférencier de la soirée , Monsieur Pierre Rochette—————— 1- Merci… mais vraiment, un merci du fond du k-oeur … à cette dame qui m’a si brillamment présenté… d’autant plus que, même si je suis envahi par le trac pis la nervosité ben plus que vous pouvez vous l’imaginer…. j’ai encore assez de contrôle sur moi-même pour au moins … vous poser une question:2- EST-CE QU’Y EN A …. PARMI VOUS AUTRES…. QUI ONT DÉJÀ ÉTÉ… AU MOINS UNE FOIS DANS LEUR VIE… À LA BOÎTE À CHANSONS LES DEUX PIERROTS DANS LE VIEUX MONTRÉAL?3): C’est pas pour rien que je vous pose la question… parce que…même ce soir …..moi… à 73 ans… j’arrive pas à croire… que ce moi-là … juste avec une guitare dans mes mains… pis des belles chansons dans mon k-oeur ….4) j’ai pu… j’ai pu avoir été…… ce Pierrot chansonnier … co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal…. qui …. depuis sa création en 1974… a quand même duré 47 ans… après avoir accueilli des millions de personnes d’un peu partout à travers le monde ….5) Y FAUT VOUS IMAGINER LE DÉCOR … UN CERTAIN SOIR D’ÉTÉ 1974… ou le Vieux Montréal ressemble à une carte postale comme on en voit à Paris dans le quartier Montmartre par exemple…————- ——————————– 5) C’était une époque ou les gens qui arrivaient de partout à travers le monde … avaient des blessures autour du k-oeur qui paraissaient jamais… bien cachées par un costume social qu’ils portaient avec dignité… que tu sois concierge, que tu sois docteur, professeur, qu’importe… pis surtout avec un beau masque social… dont le design dans le visage… témoignait la confiance en l’avenir… Mais le masque social … à cette époque .. c’était quelque chose… c’était la dignité que chaque humain portait sur son visage pour lui garantir le respect de son voisin, pour pas que les grandes douleurs que chacun portait secrètement autour de son k-oeur … soient visibles à son voisin…5) et nous autres, les chansonniers, notre rôle, notre job, c’était de faire en sorte que chaque personne humaine qui rentrait aux deux pierrots … qui arrivait avec des blessures autour de son k-oeur, son costume social, son masque social … puisse s’en libérer le temps d’une chanson…5) quand j’y repense ce soir, c’est pas croyagle… juste avec nos chansons …y se passait quelque chose d’extraordinaire… c’est-à-dire que, l’ensemble de la salle faisait en sorte que… ça devenait transparent … et au fur et à mesure qu’on chantait… le k-oeur des gens battait … y battait au rythme de nos chansons … c’était tellement vrai que quand on commençait la veillée on aurait dit que c’était l’orchestre symphonique qui s’accordait… et soudainement, soudainement, la salle en entier… jouait la musique des battements de k-oeur de ce que c’est que de vivre une vraie joie… en gagne… en vraie gagne… comme y en avait tous les soirs aux deux pierrots en 1974. LES COEURS DES GENS DEVENAIENT SOUDAIN LES BATTEMENTS SYMPHONIQUE DU COEUR MÊME DE CE QUI FAIT HUMANITÉ EN CHACUN DE NOUS.
ON ÉTAIT 2 PIERROTS À PRENDRE SOIN DU K-OEUR DES GENS PAR LA SCÈNE
7-2: voici venu le moment de rendre hommage à l’autre Pierrot décédé aujourd’hui Pierrot David à qui j’avais demandé de monter la boîte avec moi et qui porterait nos deux prénoms LES DEUX PIERROTS
7-3: Pierrot David a représenté pour moi ce génie de l’animation qui à 19 ans seulement possédait toute la prestance et les habilités naturelles pour que je peigne son immense talent en complicité avec le mien pour en sculpter à travers un traité des lois de l’animation de foule les paramètres vérifiables que j’illustrerais un jour en séances de micro-décodages, 5 secondes scènes, 5 secondes public… par vidéo
7-4: Robert Ruel, Pierrot David, Pierrot rochette… nous avons inventé la joie de vivre par la chanson animative et cela m’émeut beaucoup de vous avoir raconté cela ce soir.
2 Un certain soir de 1974 un homme d’affaire génial, nommé Robert Ruel est venu me voir au café St-Vincent pour me dire: Pierrot j’ai le cancer, je dois être opéré, on va m’enlever un poumon mon dancing bar, les mouches à feu a été victime d’actes criminels ils ont tout détruit à l’intérieur. quand le local sera rénové tu viendrais-tu ouvrir une boîte à chansons avec moi?
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6-3: Mais j’ai dis Bob: Pourquoi moi? ben y me dit: parce que t’es différent.
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6-4: J’ai dis Bob ton bâtiment est mal situé la façade paye pas de mine le café St-Vincent ou je chante tous les soirs donne sur la ruelle des peintres c’est un immense succès avec des files impressionnantes et quand la porte de garage est ouverte par beau temps même la rue se met à fêter.
6-5: Bob compétitionner avec ça c’est impossible 7-1: et c’est là que les mots de mon grand-père Lucien me sont revenus quand le k-oeur te débattra de tous les bords quand y voudra même te sortir du corps quand tu auras dans les yeux les larmes de joie de ta grand-mère Lumina quand tu auras dans les pieds la paire de bottes pour aller plus loin dans la vie de ton grand-père Lucien tu sauras que c’est l’impossible lui-même qui est en train de te serrer la main PARCE QUE DANS LA VIE SEUL L’IMPOSSIBLE EST VRAI
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Chère Claire
vraiment brillant ce David …. quel plaisir de remettre 1000 fois sur le métier mes intuitions
et les ajuster au besoin du marché
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Bon matin Pierre,
Comment vas-tu?
Je viens de lire ton texte, c’est bien. Par contre :
- Tu dois mettre l’accent sur les deux Pierrots en premier pour créer ta marque personnelle.
- Cette vidéo n’est pas stratégique. Les clients prospect ne veulent pas entendre une personne te présenter et parler de toi. Ils veulent te voir en action et t’écouter pour découvrir ton talent de communicateur et ton sujet.
- Je pense que nous sommes mieux avec l’autre photo.
N’hésite pas à me contacter si tu as des questions.
Au plaisir!
David
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réponse de Pierrot
wowwwwwwwwwwwwwww
.merci David
Je réfléchis… je travaille
et je t’arrive d’ici une semaine ou deux avec une proposition à valeur ajoutée
Pierrot )))
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uper !
Nous avons son opinion… en peu de mots, mais stratégique.
Il a raison sur la marque personnelle… il faut quelque chose qui vous distingue des autres… qui vous rend unique… Vous devez vous créer un Branding : Le branding est, dans le domaine du marketing, la discipline qui consiste à gérer les marques commerciales, et en particulier l’image de marque des entreprises qui les exploitent. Dans le domaine des personnes, on parle de personal branding ou de marketing personnel.
Et vous possédez tout ce qu’il faut pour former votre Branding, avec les Deux Pierrots et vos 4 questions sur le rêve.
Croyez-vous que ce soit possible pour vous, de faire une petite vidéo, de 5 minutes gros max, – passé ce temps, les gens n’écoutent plus – qui parlerait des deux Pierrots et de vos 4 questions sur le rêve… le rêve, la passion, l’entraide dont le monde aura besoin post COVID… ?
Et il n’aime pas trop le Père Noël… si vous avez la chance, ce week-end, n’hésitez pas à prendre de nouvelles photos… si David préfère toujours l’autre, elles ne seront pas perdues, elles pourront servir pour la promotion des clients qui retiendront vos services.
On ne lâche pas !
On continue !
Claire
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09:46 (il y a 0 minute) | |||
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Super !
Nous avons son opinion… en peu de mots, mais stratégique.
Il a raison sur la marque personnelle… il faut quelque chose qui vous distingue des autres… qui vous rend unique… Vous devez vous créer un Branding : Le branding est, dans le domaine du marketing, la discipline qui consiste à gérer les marques commerciales, et en particulier l’image de marque des entreprises qui les exploitent. Dans le domaine des personnes, on parle de personal branding ou de marketing personnel.
Et vous possédez tout ce qu’il faut pour former votre Branding, avec les Deux Pierrots et vos 4 questions sur le rêve.
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wowwwww… c’est précieux ça:)))))
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Croyez-vous que ce soit possible pour vous, de faire une petite vidéo, de 5 minutes gros max, – passé ce temps, les gens n’écoutent plus – qui parlerait des deux Pierrots et de vos 4 questions sur le rêve… le rêve, la passion, l’entraide dont le monde aura besoin post COVID… ?
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EXCELLENTE IDÉE
Je réfléchis au texte et je vous réécris là-dessus:)))))
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Et il n’aime pas trop le Père Noël… si vous avez la chance, ce week-end, n’hésitez pas à prendre de nouvelles photos… si David préfère toujours l’autre, elles ne seront pas perdues, elles pourront servir pour la promotion des clients qui retiendront vos services.
quelques idées pour mieux cerner le branding:))))
PRÉSENTATION
Dans l’ère de l’après-covid ou le monde des affaires aura changé du tout au tout…
La boîte à chansons. …les Deux Pierrots du Vieux Montréal, qui depuis sa création en 1974 , a quand même duré 47 ans après avoir accueilli des millions de personnes un peu partout à travers le monde ….. a fait de Pierrot Rochette, son co-fondateur … une légende vivante …. dont la vision de la joie de vivre en milieu de travail repose sur 4 questions: Quel est ton rêve? dans combien de jours? qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Comment serrer de nouveau la main à l’impossible … en vraie gang en imaginant l’avenir de son milieu corporatif tout en favorisant d’abord l’épanouissement du rêve de chaque personne humaine qui le compose et cela dans la philosophie même avec laquelle le deux Pierrots a conquis le k-oeur de plusieurs générations?
Tel est le fondement des propos du 45 minutes-confidences de Pierrot … dont chaque anecdote constitue en soi un hymne à la beauté du monde tel qu’il l’a fait vivre sur scène, soir après soir, à son public … dans ce qu’il représente lui-même aujourd’hui pour notre mémoire collective… lorsqu’il nous raconte… comme si on était autour d’un feu de camp … ce que fut…. jadis … la boîte à chansons des deux Pierrots dans le vieux Montréal.
Je ficelle le tout avec Danielle en fin de semaine:)))
On ne lâche pas !
On continue !
Claire
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EXTRAORDINAIRE CLAIRE…. J,ADORE NOTRE COMPLICITÉ
JE VAIS DORMIR UN PEU
ET JE VOUS REVIENS EN SOIRÉE
pierrot
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Pierre,
Est-ce que reprendre une guitare est une possibilité chez vous ?
J’attends votre réponse, et je vous reviens…
Claire
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ui bien sûr
si cela peut servir le branding
mais il me semble que je n’en jouais pas très bien:)))))
mais peut-être que de vous chanter un jour
quelques chansons
nous permettrait d’avoir un bon jugement
je vous avoue Claire
que de ce temps-ci
j’y pense parfois
Pierrot
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Je suis ravie de voir que vous n’êtes pas fermé à cette idée, et davantage de découvrir que cette possibilité fait partie de votre réflexion !
C’est magique un accord de guitare
De mon point de vue, la guitare devrait faire partie de votre Branding. Pour faire ressortir un Branding de parmi les autres, il faut quelque chose qui le démarque ; que les clients en parlant de vous disent :
— Ah oui ! Le conférencier à la guitare…
Votre conférence, basée sur la fondation des Deux Pierrots, aussi, sur vos 4 questions, atteindrait un autre niveau si vous arriviez sur scène avec votre guitare. Vous chantez le 1er couplet de la chanson du Camionneur, et vous déposez votre guitare, en disant que vous allez parler du parcours qui vous a mené à cette chanson, depuis la fondation des 2 Pierrots, à travers vos 4 questions… etc…
Au cours de la conférence, vous pourriez la reprendre, soit pour chanter les autres couplets ou à votre choix…
Je pense que prendre votre guitare vous démarquerait vraiment, tout en portant votre même message du rêve, de la passion, de l’entraide…
Sur la courte vidéo à présenter aux clients, vous pourriez aussi commencer avec le premier couplet de votre chanson, et passer à votre message. La vidéo n’a pas besoin d’être de qualité professionnelle… si elle plaît à David, vous pourriez la refaire en studio, là où il tourne ses podcast…
Les gens qui vont entendre raconter Fred Pellerin le trouve excellent, mais en sortant de son spectacle, c’est de votre odyssée qu’ils se souviennent le plus, et ce sont vos 4 questions, qu’ils emportent avec eux…
Simon a fait une tournée européenne en portant votre vécu… je pense que c’est à votre tour de monter sur scène… et avec une guitare, ce serait gagnant… en tout cas, c’est ce que moi je crois…
Bonne réflexion.
Claire
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comme vous visez juste…
vraiment.. CLAIRE… C’EST IMPECCABLE.
Je suis ravie de voir que vous n’êtes pas fermé à cette idée, et davantage de découvrir que cette possibilité fait partie de votre réflexion !
C’est magique un accord de guitare…
De mon point de vue, la guitare devrait faire partie de votre Branding. Pour faire ressortir un Branding de parmi les autres, il faut quelque chose qui le démarque ; que les clients en parlant de vous disent :
— Ah oui ! Le conférencier à la guitare…
Votre conférence, basée sur la fondation des Deux Pierrots, aussi, sur vos 4 questions, atteindrait un autre niveau si vous arriviez sur scène avec votre guitare. Vous chantez le 1er couplet de la chanson du Camionneur, et vous déposez votre guitare, en disant que vous allez parler du parcours qui vous a mené à cette chanson, depuis la fondation des 2 Pierrots, à travers vos 4 questions… etc…
Au cours de la conférence, vous pourriez la reprendre, soit pour chanter les autres couplets ou à votre choix…
Je pense que prendre votre guitare vous démarquerait vraiment, tout en portant votre même message du rêve, de la passion, de l’entraide…
Sur la courte vidéo à présenter aux clients, vous pourriez aussi commencer avec le premier couplet de votre chanson, et passer à votre message. La vidéo n’a pas besoin d’être de qualité professionnelle… si elle plaît à David, vous pourriez la refaire en studio, là où il tourne ses podcast…
Les gens qui vont entendre raconter Fred Pellerin le trouve excellent, mais en sortant de son spectacle, c’est de votre odyssée qu’ils se souviennent le plus, et ce sont vos 4 questions, qu’ils emportent avec eux…
Simon a fait une tournée européenne en portant votre vécu… je pense que c’est à votre tour de monter sur scène… et avec une guitare, ce serait gagnant… en tout cas, c’est ce que moi je crois…
Bonne réflexion.
Claire
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BRILLANT, BRILLANT, BRILLANT
JE DEMANDE À MON AMI MICHEL DE ME PASSER UNE DE SES GUITARES À CORDES DE NYLON
ET J’ENCLENCHE EXACTEMENT À LA LETTRE VOTRE SI BRILLANTE
SUGGESTION
PIERROT
j’EN REVIENS PAS Claire
vous visez encore une fois…. juste
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LE CONFÉRENCIER À LA GUITARE… WOWWWW ….quelle force logique basée sur le k-oeur votrefils et moi représentez pour moi Claire
Chère Claire
wowww… j’ai dormi un peu:)))
J’ai toujours adoré être entouré de personnes plus compétentes que moi… et bien… je peux dire que je suis bien servi avec David et vous…Je suis ébloui … tant de générosité, de bienveillance, de respect… de mère en fils… comment ne pas se sentir privilégié…
Je lis et relis sans cesse vos deux courriels… c’est comme du bon vin …. j’ai demandé par courriel à Michel de me passer une de ses guitares à cordes de nylon … Je ne m’étais pas rendu compte que Fred et Simon avait fait de moi un étrange personnage imaginaire au niveau de la francophonie autant en Europe qu’au Québec.
Au dernier spectacle de Simon en septembre 2021 au festival de contes des Iles de la madeleine, Simon et Fred étaient dans deux salles différentes, le même soir je crois … et Simon a fait le vagabond céleste tout en chantant un extrait du camionneur pendant que dans l’autre salle Fred parlait des 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art avant de chanter le camionneur en rappel.
Je n’ai probablement pas assez le sens …. de me percevoir tel que peut-être je suis devenu malgré moi dans l’imaginaire des autres:))))
Peut-être parce que …. le rêve de ma vie a toujours été d,abord … de rencontrer la bonne oreille pour confier l’essentiel de mon univers poétique. Et vous êtes arrivée Claire.
Quand j’ai reçu la carte de Noel de David… ça m’a fait le même effet,le même effet coup de k-oeur que son dernier courriel… celui d’être au ieres loges d’un rêve plus grand que nature d’un homme qui s’est vraiment construit à la force de son rêve… Ça me touche trèssssss profondément… On dirait que ce à quoi j’ai consacré toute ma vie s’est soudain matérialisé devant moi, deux fois plutôt qu’une (vous comme écrivaine et David comme entrepreneur)
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J’essaie de faire pour le rêve de Gaelle ce que vous avez fait pour le rêve de David … par la droiture de la dévotion sans intérêt personnel caché … J’aime l’excellence en éthique personnelle…et j’aime que le dialogue de moi-même à moi-même soit celui de deux énigmes de la conscience humaine en contemplation autour du feu de camp de la vie.
Gaelle et moi … nous bûchons nuit et jour, 7 jours par semaine sur notre doctorat respectif en métaphysique et je sais que lorsque nous arriverons à Sherbrooke en juillet… Gaelle pourra créer dans le parcours de son doctorat à l’université cet observatoire du merveilleux qui permettra non seulement d’accueillir le doctorat des rêveurs équitables, mais en plus d’organiser le colloque international sur les dimensions du rêve…
Tellement heureux de faire partie de l’équipe d’OriZon
Pierrot
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J’attends donc une réponse de Michel et j’entreprendrai la rééducation des doigts sur les cordes
Pierrot
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Bon matin Pierre,
Comment vas-tu?
Je viens de lire ton texte, c’est bien. Par contre :
- Tu dois mettre l’accent sur les deux Pierrots en premier pour créer ta marque personnelle.
- Cette vidéo n’est pas stratégique. Les clients prospect ne veulent pas entendre une personne te présenter et parler de toi. Ils veulent te voir en action et t’écouter pour découvrir ton talent de communicateur et ton sujet.
- Je pense que nous sommes mieux avec l’autre photo.
N’hésite pas à me contacter si tu as des questions.
Au plaisir!
David
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Je suis ravie de voir que vous n’êtes pas fermé à cette idée, et davantage de découvrir que cette possibilité fait partie de votre réflexion !
C’est magique un accord de guitare…
De mon point de vue, la guitare devrait faire partie de votre Branding. Pour faire ressortir un Branding de parmi les autres, il faut quelque chose qui le démarque ; que les clients en parlant de vous disent :
— Ah oui ! Le conférencier à la guitare…
Votre conférence, basée sur la fondation des Deux Pierrots, aussi, sur vos 4 questions, atteindrait un autre niveau si vous arriviez sur scène avec votre guitare. Vous chantez le 1er couplet de la chanson du Camionneur, et vous déposez votre guitare, en disant que vous allez parler du parcours qui vous a mené à cette chanson, depuis la fondation des 2 Pierrots, à travers vos 4 questions… etc…
Au cours de la conférence, vous pourriez la reprendre, soit pour chanter les autres couplets ou à votre choix…
Je pense que prendre votre guitare vous démarquerait vraiment, tout en portant votre même message du rêve, de la passion, de l’entraide…
Sur la courte vidéo à présenter aux clients, vous pourriez aussi commencer avec le premier couplet de votre chanson, et passer à votre message. La vidéo n’a pas besoin d’être de qualité professionnelle… si elle plaît à David, vous pourriez la refaire en studio, là où il tourne ses podcast…
Les gens qui vont entendre raconter Fred Pellerin le trouve excellent, mais en sortant de son spectacle, c’est de votre odyssée qu’ils se souviennent le plus, et ce sont vos 4 questions, qu’ils emportent avec eux…
Simon a fait une tournée européenne en portant votre vécu… je pense que c’est à votre tour de monter sur scène… et avec une guitare, ce serait gagnant… en tout cas, c’est ce que moi je crois…
Bonne réflexion.
Claire
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Cher Pierre,
C’est incroyable le merveilleux cheminement que nous avons fait depuis que l’on se connaît!
Je suis très heureuse que vous repreniez votre guitare… j’ai la conviction que nous avons découvert la formule gagnante pour vos conférences.
Bonne soirée.
Claire
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Michel m’a répondu… j’aurai donc une de ses guitares Lundi soir le 7février…
Cela me fait drôle… J’ai ici chez gaelle… mon cahier de chansons que j’avais quand j’étais aux Pierrots et mon cahier de 100 chansons que j’ai écrit sur la route, avec le tout écrit à la main… je sais que ds que mes doigta touchent les cordes de guitare, je tombe en état de contemplation de la beauté du monde comme quand je dors sur le plancher… 32 ans à ne chanter que la beauté du monde plus une dizaine d’années à la vivre sur la route du vagabondage… c’est cela que représente une guitare pour moi.
Le bâton de pèlerin dans une main, la guitare dans l’autre, un vieux sac à dos et un vieux chapeau… je m’en allais hors temps, hors réalité, hors servitude… dans une parfaite paix spirituelle prendre soin du rêve des autres sur la route des impossibles.
De village en village ne rencontrais que souffrances de désirs d’avoir plus, sous des formes multiversielles de dépendances plus tortueuses les unes que les autres… et je me disais… y faut que je me fasse discret… presqu’invisible… mon bonheur de vivre fait souffrir les autres même si je ne dis rien.
Jamais je n’arrivais à soulager les autres avec ma guitare … comme Denis me disait souvent.. Pierrot tu as tout reçu de la vie, tu peux pas comprendre les autres…
Un jour,désespéré de mon impuissance, j’ai jeté ma guitare dans le bois et j’ai décidé de vagabonder la connaissance dans 4 universités… Plusieurs années y furent consacrées dans la joie intellectuelle la plus totale d’ailleurs…
et soudain, la vie me ramène le café St-Vincent, les deux Pierrots ou même si ma guitare était toujours mal accordée et que j’en jouais infiniment mal. il y avait quelque chose dans la manière dont j’en jouais qui captivait le public…
Mais Claire, il n’y a qu’à vous que je peux raconter cela… ma guitare m’a servi à avoir un meilleur accès à l’autre pour l’encourager dans son rêve… de là la mystique du rêve de l’autre qui me transmage dès que j’y touche…
Les deux Pierrots , c’était aussi ça aussi Claire… Pendant que l’autre Pierrot ramassait les miettes de la gloire, moi je tombais en extase profonde … par chacune de mes chansons pour que l’autre en face de moi sorte de ses dépendances par un meilleur accès à son rêve.
Je n’avais pas les mots… mais je sais qu’une des raisons pour laquelle j’ai arrêté de chanter, c’est parce que je n’en pouvais plus de voir un à un les autres souffrir leur vie devant moi. je lisais leur âme comme on retrouve soudain une vieille carte postale dans le mur d’une maison mal isolée contre le froid et les morsures de la vie.
Mais de quoi était dont fait la mienne? De la même poésie que celle de l’homme préhistorique quand il se retrouvait seul dans une caverne devant le feu si mystérieux … le même feu que j’ai dans la gorge quand une chanson partait des notes de ma guitare pour illuminer ma vie intérieure
Pierrot
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L’ÉCRIVAINE AU K-OEUR D’OR
Jamais l”écrivaine au k-oeur d’or …. tu sais
n’avait décrit l’Abitibi ……………………..d’ici
sans les joies les peines de ses tout……..petits
petits enfants, dont elle berçait… tous les secrets
tous les secrets
tous les secrets…
qui lui rajeunissait le bout ……………… des doigts
quand elle caressait leurs visages ……de soie
quand elle embrassait leurs larmes é…..blouies
quand elle chantait leurs prénoms de ….sa voix
————–
Jamais l’écrivaine au k-oeur d’or … tu sais
n’avait décrit l’Abitibi………………….d’ici
sans Joséphine ou sans sa Ro ……salie
sans Samuel sans Isabelle ………… leurs beaux secrets
leurs beaux secrets
leurs beaux secrets
qui lui rajeunissaient le bout des doigts
même si c’était au téléphone parfois
que ses petits disaient je taime… ma mie
des je t’aime à verser des pleurs… de joie
—–
jamais l’écrivaine au coeur d’or…. tu sais
n’avait décrit l’Abitibi ………………..d’ici
avec le k-oeur, le k-oeur d’une lon …gue vie
qui font de tous ses beaux romans … le vrai secret
LE VRAI SECRET
LE VRAI SECRET
qui lui rajeunissait le bout des doigts
quand ses enfants et ses petits enfants
un jour sont arrivés tous en même temps
pour lui dire Claire oh Claire un beau bonne fête
toi l’écrivaine au k-oeur d’or
qu’on adore.
Pierrot vagabond
—————
rès cher Pierre,
C’est une chanson magnifique ! Mille mercis !
Je n’ai qu’une hâte, que vous me la chantiez en vous accompagnant à la guitare… c’est à ce moment-là, que mon cœur recevra véritablement merveilleux votre cadeau…
Si je peux me permettre une petite demande… importante à mon cœur de mamie… ce serait que le nom de mes 5 petits-enfants y soient inclus… sinon, ça risque de faire de la peine à ceux qui n’y sont pas mentionnés… pensez-vous que ce soit possible ?
Il faudrait enlever Samuel et mettre Édouard… aussi enlever Isabelle, qui est ma fille, sinon David serait jaloux… et insérer le nom de mes deux autres petites-filles : Éloïse et Évangéline… Joséphine et Rosalie y sont déjà.
Je vous reviens bientôt, en réponse à votre courriel de cette nuit, qui m’a aussi profondément émue…
Claire
—————
n tout cas Claire, je ne peux la chanter sans verser une larme je vais maintenant en terminer l’esquisse car j,attendais juste le nom de tous vos petits enfants Je vous envoie la version finale j’ai pris la peine d,enregistrer la mélodie en attendant d’avoir ma guitare
Pierrot
elle s’est écrite toute seule durant mon sommeil 5 minutes plus tard, j,en ai transcrit les premiers mots et je pleurais au fur et à mesure ou mon sommeil me la redonnait…
Chez moi… une chanson faut pas qu’il y ait du travail là-dedans elle doit sortir sans rature, si possible comme de l’eau de pluie un soir de source fraîche
Pierrot
——————
Là, vous me faites pleurer… Une merveilleuse chanson, pour moi, sorti de votre cœur… comme de l’eau de pluie un soir de source fraîche… Merci…. du fond de mon cœur… Claire
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Très cher Pierre,
Votre courriel, écrit cette nuit sous les étoiles, m’a profondément émue, en le lisant à mon réveil, dans les timides lueurs de l’aurore…
Une émotion telle, que ce matin je délaisse mes personnages fictifs pour me consacrer à deux héros bien réels, que la vie a gratifié du plus merveilleux cadeau qui soit : leur improbable rencontre sur des routes tellement divergentes. Un fil invisible reliait leurs destins, pour les conduire à ce rendez-vous, quelque part dans le temps, au moment précis où leur besoin l’un de l’autre deviendrait un incontournable pour assouvir leur quête de cet insondable mystique du rêve de l’autre qui les a accompagnés toute leur vie…
C’est dans ce sens que je vous écrivais hier : C’est incroyable le merveilleux cheminement que nous avons fait depuis que l’on se connaît ! Je suis très heureuse que vous repreniez votre guitare… Depuis le début, l’ultra sensibilité qui est la mienne, à travers vos mots, me soufflait qu’une guitare ne pouvait pas être chose pour vous qu’une amie, une compagne… l’essence de votre quête… relié à la beauté du monde. Jamais dans les premiers temps de notre échange, je n’aurais osé vous poser la question d’hier : Est-ce que reprendre une guitare est une possibilité chez vous ? Je souhaitais tellement que votre réponse soit positive…
Jamais je n’arrivais à soulager les autres avec ma guitare… Un jour, désespéré de mon impuissance, j’ai jeté ma guitare dans le bois et j’ai décidé de vagabonder la connaissance dans 4 universités…
pourtant, sans vous en rendre compte, vous veniez de délaisser la plus fidèle de vos compagnes… Mais la vie se déroule par étapes… et à ce moment-là de votre existence, l’instrument de votre rêve devait se faire discrète…
De mon côté, comme je vous l’ai écrit, j’emmagasinais les émotions, tout m’inspirait, le sourire d’un inconnu sur un quai de gare, les sanglots d’une mère, un fait divers lu au hasard d’un journal abandonné… en espérant qu’un jour je trouverais une façon de laisser libre cours à ce flot d’émotions, dans l’humanité et la tendresse… puis un jour, ma quête m’a conduite à une plume… endormie dans un petit coin de mon cœur… qui attendait que je la réveille…
Mais Claire, il n’y a qu’à vous que je peux raconter cela… Je tire une grande fierté et une immense joie d’être la femme avec laquelle vous êtes à l’aise de vous épancher… dans la vie, il n’y a pas de hasard… que des rendez-vous…
Très cher Pierre, savourons le bonheur d’écrire ensemble ce dernier tome du roman de nos vies… qui sans l’un et sans l’autre, n’aurait jamais connu une fin aussi grandiose…!!!
Tendresse.
Claire
———————
Texte final
L’ÉCRIVAINE AU K-OEUR D’OR
Jamais l”écrivaine au k-oeur d’or …. tu sais
n’aurait décrit l’Abitibi ……………………..ainsi
sans les joies les peines de ses tout……..petits
petits enfants, dont elle berçait… tous les secrets
tous les secrets
tous les secrets…
qui lui rajeunissait le bout ……………… des doigts
quand elle caressait leurs visages ……de soie
quand elle embrassait leurs larmes é…..blouies
quand elle chantait leurs prénoms de ….sa voix
————–
Jamais l’écrivaine au k-oeur d’or … tu sais
n’aurait décrit l’Abitibi…………………ainsi
sans Joséphine, Évangéline, Édouard
sans Éloise, sans Rosalie ………… leurs beaux secrets
leurs beaux secrets
leurs beaux secrets
qui lui rajeunissaient le bout des doigts
même si c’était au téléphone parfois
que ses petits disaient je taime… ma mie
des je t’aime aux parfums de feu …de joie.
—–
jamais l’écrivaine au coeur d’or…. tu sais
n’aurait décrit l’Abitibi ……………….ainsi
sans ses amours, au k-oeur d’une lon …gue vie
qui font de tous …ses grands romans … le vrai secret
LE VRAI SECRET
LE VRAI SECRET
qui lui rajeunissait le bout des doigts
quand ses enfants et ses petits enfants
un jour sont arrivés tous en même temps
pour lui dire Claire oh Claire oh bonne fête
toi l’écrivaine au k-oeur d’or
qu’on adore.
Pierrot vagabond
—————–
leurer toute seule… un jeudi matin… avec juste mon chat qui ronronne sur me genoux… en m’interrogeant de ses grands yeux bleus…
Pleurer de joie…
Le plus merveilleux, à travers cette superbe chanson, c’est que vous immortalisez aussi mes petits-enfants…
Un cadeau pour leur mamie… que tous vont partager, éblouis par vos mots…
Cher Pierre, l’écrivaine au k-oeur d’or, ne trouve pas les mots pour vous dire sa reconnaissance, et l’immense bonheur que vous lui faites…
Je vous embrasse, profondément émue.
Claire
Un jour je la chanterai à Fred
je sens que c’est fait pour lui sur mesure
Pierrot
fêtons notre amitié Claire
fêtons:))))
J’ai continué … cette nuit … trVAiller
mon texte branding pour Orizon
je suis rendu là … Ça donne ceci pour le moment
PRÉSENTATION POUR LE SITE ORIZON
Dans l’ère de l’après-covid ou le monde des affaires aura changé du tout au tout…
La boîte à chansons. …les Deux Pierrots du Vieux Montréal, qui depuis sa création en 1974 , a quand même duré 47 ans après avoir accueilli des millions de personnes un peu partout à travers le monde ….. a fait de Pierrot Rochette, son co-fondateur … une légende vivante …. dont la vision de la joie de vivre en milieu de travail repose sur 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art: Quel est ton rêve? dans combien de jours? qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Comment serrer de nouveau la main à l’impossible … en imaginant l’avenir de son milieu corporatif tout en favorisant d’abord l’épanouissement du rêve de chaque personne humaine qui le compose et cela dans la philosophie même avec laquelle le deux Pierrots a conquis le k-oeur de plusieurs générations?
Tel est le fondement des propos du 45 minutes-confidences de Pierrot … dont chaque anecdote constitue en soi un hymne à la beauté du monde tel qu’il l’a fait vivre sur scène, soir après soir, à son public … dans ce qu’il représente lui-même aujourd’hui pour notre mémoire collective… celle racontée par Simon Gauthier dans son conte philosophique … le vagabond céleste …. et cela à travers toute la francophonie … comme celle chantée par Fred Pellerin dans l’interprétation d’une des compositions de Pierrot ….. la chanson du camionneur … que Fred refait systématiquement en rappel à chacun de ses spectacles.
Dans un 45 minutes confidences … lorsque Pierrot nous raconte… comme si on était autour d’un feu de camp … ce que fut…. jadis … la boîte à chansons des deux Pierrots dans le vieux Montréal…. c’est la magie de l’après-covid qu’il convoque, en nous rappelant l’importance de croire à l’impossible en gagne, en vraie gagne chantante, comme y en avait tous les soirs aux deux Pierrots.
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J’aimerais d’abord faire ressortir le philosophe de formation à travers le chansonnier.
LA CHANSON DU CAMIONNEUR …………. I
IER COUPLET CHANTÉ AVEC MA GUITARE.
J’suis dans mon camion 4 nuits par semaine, j’t’aime… des fois j’triche un peu j’fais des heures pour nous deux, on dormira plus tard, quand on s’ra des bons vieux… moi je vis juste pour toi j’ai hâte à fin de semaine j’t’aime…
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Ça là …. C’est une de mes chansons …. la chanson du camionneur …. que Fred Pellerin …..fait en rappel ….. dans tous ses spectacles….
mais qui curieusement a d’abord été écrite par un philosophe de formation …
dont …. toute la réflexion sur la condition humaine … s’est quand même exprimée par la création d’une boîte à chansons. … va donc comprendre quelque chose là-dedans toé?
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2- EST-CE QU’Y EN A …. PARMI VOUS AUTRES…. QUI ONT DÉJÀ ÉTÉ… AU MOINS UNE FOIS DANS LEUR VIE… À LA BOÎTE À CHANSONS LES DEUX PIERROTS DANS LE VIEUX MONTRÉAL?
C’est pas pour rien que je vous pose la question… parce que… ….. voyez-vous … même ce soir… j’arrive pas croire.. que le philosophe que vous avez devant vous … juste parce qu’y avait une guitare dans ses mains… pis des belles chansons émouvantes dans son k-oeur ….
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a pu avoir été…… ce Pierrot chansonnier … co-fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal…. qui …. depuis sa création en 1974… a quand même duré 47 ans… après avoir accueilli des millions de personnes d’un peu partout à travers le monde…. comme vous le voyez, j’ai vraiment été aspiré….. par un rêve philosophique immense…
5) Y FAUT VOUS IMAGINER LE DÉCOR … UN CERTAIN SOIR D’ÉTÉ 1974… quand … Je le Vieux Montréal ressemblait…. à une carte postale …. parfumée d’une flambée de joie de vivre… comme on en voyait aussi dans ce temps-là … à Paris …dans le quartier Montmartre.
Et comme y va y en avoir encore … des bien plus belles… j’en suis convaincu … dans l’après-covid … de chacune de nos existences.
Parce qu’y est là l’enjeu…
Après 3 ans d’angoisse pis d’épuisement social…… On va faire comment pour serrer la main à l’impossible? On va faire comment pour bâtir l’avenir ….. en gang, en vraie gang chantante et confiante… comme y en avait tous les soirs aux deux Pierrots en 1974?….
La chanson du camionneur a été écrite à partir de 4 questions philosophiques …. les 2 pierrots ont été vécu par moi sur la scène à partir de 4 questions philosophiques … même le 45 minutes confidences ou je vais vous raconter des anecdotes au sujet des deux Pierrots a été imaginé à partir de 4 questions philosophiques… qui vont peut-être bouleverser votre vie comme elles ont bouleversé la mienne :
Un …. Quel est ton rêve? ( J’aimerais vous faire découvrir l’importance du rêve dans une vie humaine )
deux … Dans combien de jours? ( Pour réaliser un rêve, il faut prendre la décision de partir à sa conquête )
trois …Qu’as-tu fait aujourd’hui pour ton rêve? ( Si chaque jour vous vous posez cette question… vous ferez un pas vers le bonheur.. )
quatre Et comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde? ( Très importante cette question… nous essaierons de découvrir la réponse ensemble..)…
dans le 45 minutes-confidences qui va suivre….
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ui, c’est une excellente idée de faire ressortir le philosophe.
Je préfère cette nouvelle version… continuez, vous êtes en voie d’écrire un chef d’œuvre…
Claire Bergeron
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Bon matin Claire
Ici, nous sommes dans un nuit et jour d’une très grande discipline de travail. Gaelle s’est enfermée dans la chambre presque 24 heures de suite… avec son portable et son cahier de pages blanches pour le griffonner d’avancées théoriques … pendant que dans la cuisine, inspiré par nos dialogues à vous et moi, j’avançais aussi dans ce 5 minutes video dont l’Objectif est de cimenter mon branding personnel en vue de constituer un actif et pour Orizon et pour ses clients corporatifs…
Gaelle et moi avons pris le pari fou d’un rêve plus grand que nos épaules… ou sans tricher… nous misons sur la qualité du résultat pour apporter du pain sur la table, pain qui servira ensuite à prendre soin du rêve des autres que la vie nous enverra sur notre chemin.
C’est cela aussi que vous et moi avons vécu chacun à notre manière… et vous le dites si bien
Pour réaliser un rêve, il faut prendre la décision de partir à sa conquête.
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Le dernier audio enregistré hier soir durant plus d’une heure constitue un tournant paradigmatique dans la théorisation de l’acte de semeioier de Gaelle au niveau métaphysique …
Ce qui est le plus remarquable ….c’est qu’elle est dans le non champ universitaire (recherche-création) avec la bonne directrice de thèse (Madame Martelly) pour être réseautée au niveau international d’ici 2 ans … Nous visons d’une part l’université libre de Bruxelles ou une équipe de nouveaux réalistes en métaphysique semble la plua apte à la mise en marche d’un post-doctorat tout en y gagnant sa vie en donnant quelques cours de bacc…Mais aussi New York ou une université se spécialise en littérature française avec un pan recherche-création versus des avancées en sémiotique.
En attendant, seule notre droiture du k-oeur et notre force de caractère dans le travail nous sert de GPS d’ici le déménagement à Sherbrooke qu’il nous faudra aussi réussir autant logistiquement que financièrement … Mais nous y arriverons parce que notre passion de sculpter notre vie oeuvre d’art par le rêve est sans peur, confiante et sans limite devant l’impossible heureux qui nous attend.
Suis tellement fier
de faire partie de l’équipe Orizon:)))))))))))))))))))))))))
de dialoguer avec votre rêve d’écrivaine Claire
bon réveil Claire
bon travail créatif surtout
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chère Claire
j’ai envoyé mon texte à David …
en me disant que j’attendrais son commentaire
avant de lui envoyer ce video :)))))
en effet…
c’est un beau moment
même si ce foulard qui traîne en longueur
me dérange:)))))))))))))))))))))))
vraiment…
je ne l’ai même pas vu traîner
quand j’étais en train de parler:)))
fallait vraiment que je sois dans mon rêve de vie :))))
Pierrot
on avance
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Bonjour Pierre,
Danielle me l’a aussi fait parvenir, je me suis empressée de la remercier.
Quel magnifique souvenir que cette vidéo. Nous pourrons la joindre à votre envoi, quand vous serez prêt à présenter votre Branding à David, en lui spécifiant les minutes de notre performance. Je comprends que vous soyez ému…
Bonne fin de journée à vous,
Claire
e veux maintenant faire de ce 5 minutes un chef d’oeuvre d’émotion lente et heureuse de ce qui fut un rêve plus immense que ma vie de philosophe elle-même… celle de son expression dans la création des Deux Pierrots
Chère Claire
On dirait que, par ce 5 minutes, j’ai enfin touché à l’essentiel de ma vie ….d’ou surgissent maintenant mes émotions les plus universelles le raconter…
Je fus un philosophe dont les réflexions sur la condition humaines se sont exprimées par la création d’une boîte à chanson… les deux Pierrots… qui… lorsque je revise le tout nà partir de ce que je suis aujourd’hui… me semble profondémentt oeuvre d’art parce que justement, parce que cette boçite à chanson fut vécue sur la scène par un philosophe dont les chansons et la guitare furent en soi un hymne à la recherche philosophique.
On dirait, qu’enfin… j’ai réussi à faire la paix avec une partie de moi-même…
Je sens que cette façon d’introduire les 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art par le biais d’anecdotes résultant de ma carrière d’artiste de scène aux deux pierrots pourrait faire beaucoup de bien à ceux et celles qui auront besoin de faire de l’après-covid une épopée heureuse autant dans leur vie personnel que dans leur milieu de travail. On dirait que je perçoit maintenant encore plus subtilement à quel point le personnage du philosophe cvhanteur peut devenir crédible dans des temps ou tous les repaires sociaux ont été bafoués par la pandémie
Pierrot
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wowwwww… j’ai enfin récupéré…. Jamais je n’ai jamais été aussi confiant en l’impossible que deouis que je peux en parler avec une amie qui en a fait elle aussi la poésie de sa vie et de ses rêves d’écrivaine
Boîte de réception
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05:43 (il y a 0 minute) | |||
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Chère Claire,
si vous saviez avec quelle passion chaque jour, chaque nuit, je prépare mon 45 minutes-confidences chez Orizon… Je crois à une préparation sans faille, à une réécriture toilettée pour que la poésie des iere fois, l’authenticité du k-oeur alliée à une pertinence professionnelle puissent faire en sorte qu’un morceau d’anthologie soudain se déploie discrètement mais tout en bienveillance dans cet après-covid qui nous convoque tous, je crois, à plus de solidarité, à plus d’humanité dans la capacité de prendre soin du rêve des uns des autres autant dans notre vie privée que dans notre milieu de travail.
Ce matin, je serai d’abord chez Arnaud de 10h à midi pour ensuite passer l’après-midi avec Danielle. Je sais que je serai habité par de nouveaux angles d’improvisation… et que je m’y abandonnerai par pur plaisir de déployer mes 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art dans des contextualités demandant des choix d’anecdotes bien sentis.
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Comme la vie m’a bénie cette année … alors que techniquement l’avenir s’annonçait des plus difficiles. Je vous ai rencontré à un moment ou j’avais besoin de forces supplémentaires … et vous ne m’avez jamais déçu.
J’avais pris l’engagement de soutenir Gaelle dans son rêve et de le faire sans faille, dans l’honneur d’un homme libre parce que rêveur et rêveur parce que mon rêve avait pris la décision de redonner une optimalité de chances de réussir son rêve … à une rêveuse dont le rêve me semblait infiniment plus difficile à réaliser que le mien. Immigrante, noire, racisée, trop belle femme, trop brillante pour qu’un homme ne se sente pas blessé…. Intègre, sans concession, rigoureuse, travaillante… 3 ans et demie ont passé et je peux dire que dans la mystique du rêve de l’autre qui m’a toujours habité même quand je chantais aux 2 Pierrots, ces 3 ans et demie furent parmi les plus réussies de ma vie.
Non seulement Gaelle est sortie de son cancer, mais elle a consacré ses nuits et jours à un doctorat dont la qualité et l’originalité lui ont conquis le k-oeur de sa directrice de thèse, Madame Martelly.
Et le plus génial, c’est qu’elle a pu réussir un atterissage à l’université de Sherbrooke juste par le fait qu’elle pourra suivre ce cours en virtuel sans jamais avoir besoin de monter à Sherbrooke cet hiver…. ou elle n’aura donc qu’à prendre ce cours de propédeutique à distance…. avant de le compléter par 4 cours cet automne en présentiel et entrer définitivement en session de doctorat en présentiel à l’hiver 2022.
Je sais , qu’une fois déménagés à Sherbrooke en juillet… Gaelle ayant retrouvé ses points de repère dans le système universitaire, pourra de nouveau avoir des contrats à temps partiels soit de corrections d’examens, soit d’enseignement au bacc en sociologie… pour que nous puissions poursuivre le reste de son épopée dans la quiétude financière.
Je sais que parallèlement je pourrai aussi toiletter mon traité des abs, le consolider d’un corpus bibliographique pertinent avant de faire en sorte que le doctorat populaire des rêveurs équitables devienne réalité après plus de 15 ans de recherches théoriques et de vagabondage.
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C’est tout ça qui m’habite quand chaque jour, chaque nuit, je sculpte mon avenir chez Orizon tout en vous écrivant ,Claire, avec la fébrilité de l’amitié oeuvre d’art qui me rend si précieuse votre présence au k-oeur de mes rêves et de ma vie
Pierrot
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uelle belle carrière d’écrivaine vous avez…et je n’ai pas exagéré quand je vous ai décrit comme une écrivaine au k-oeur d’or Il y a dans votre manière de prendre soin des autres une élégance du k-oeur qui ne peut venir que d’une rêveuse accomplie… Bravo pour ce témoignage de cette plume qu’est le votre de l’espérance que donne l’amour dans la vie
Pierrot qui v dormir un peu:)))
Pierrot
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Très cher Pierre.
Ce fut vraiment agréable de vous parler, hier… merveilleux que je puisse vous rejoindre au téléphone. Depuis, j’ai écouté votre magnifique chanson au moins une vingtaine de fois… je l’écoute d’ailleurs en ce moment….
Je l’ai fait écouter à mes enfants… ils ont été tous les deux profondément émus. J’aimerais en faire la chanson thème de ma carrière d’écrivaine… la remettre à ma maison d’édition, à mon agente de presse, aussi, la faire jouer quand j’ai des entrevues dans diverses radios, dans des bibliothèques… ou ailleurs… comme ça m’arrivait souvent avant la pandémie…
Aussi, comme c’est bientôt mon anniversaire, Isabelle a suggéré qu’elle pourrait m’offrir un cadeau, en défrayant les coûts afin que vous puissiez l’enregistrer dans un studio d’enregistrement professionnel… mais pour ça, il faut d’abord que vous soyez d’accord à faire cet enregistrement… ce qui est le plus important… Et secondo, il faudra que les coûts en question rencontre son budget… En prévision, nous avons fait des demandes de soumission à deux studios près de chez vous : Infinity Music, et Planet Studio…choisis au hasard, pour avoir une idée des coûts… ça n’engage personne à rien, bien sûr.
Si ça devient possible, Isabelle sera probablement ici à la fin février – du 21 au 25 février, pendant la semaine de relâche des enfants de David et aussi de Joséphine, j’ai loué un studio à Tremblant – vous pourriez faire cet enregistrement le 26 février… et Isabelle et moi, nous pourrions y assister…
Bon, c’est une idée de cadeau de la part d’Isabelle que je trouve formidable… vous me direz ce que vous en pensez… et peut-être aussi que vous connaissez un studio d’enregistrement mieux approprié… Un rêve lancé dans l’univers, pour lequel, je souhaite de tout mon cœur que les planètes s’alignent…
Très cher Pierre, encore un million de mercis pour votre magnifique chanson !!!
Un très heureux dimanche à vous.
Claire
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très chère Claire…. bon anniversaire…. d’avance… super pour le 26 février….
Boîte de réception
J’aurai la guitare de Michel… et j’aime bien lire mon texte pendant que j’enregistre ne jamais apprendre les mots… juste pour la faire dans cette fraîcheur comme si c’était la iere fois…… mes doigts auront meilleure mine:)))))
alors quelle joie….
Je suis tout à votre disposition … Ça devrait pas coûter très cher… j’arrive à faire les choses en peu de prises… parce que je ne connais pas le trac…
alors vive la joie . …de vivre avec vous, et isabelle… cette belle épopée des mott … ce qui est le plus étrange… c’est qu’elle s’est écrit en 15 minutes, comme la chanson du camionneur… avec en plus le fait que durant mon sommeil je me la suis chantée avec l’ahurissement de voir que les paroles ne venaient pas de moi… mais de mon rêve… Quand je me suis réveillé, j’ai juste transcri en ré-engistrant le bout de mélodie qui me restait…sur skype.
C’est fou… ça faisait 10 ans que je n’avais pas écrit de chansons… et je considère que celle-là…. la chanson de l’écrivaine au k-oeur d’or… a été écrite par la qualité de notre correspondance
wowwwwwwwwwww
va pour le 26 fébrier
Pierrot
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je ne connais pas de studio… allons y avec votre choix:))))
Boîte d
en tout cas, la chanson honore ce que j’ai vu d’exceptionnel en vous… un k-oeur d”or….
¨Pierrot
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Vous serez ma dernière chanson Claire
Chère Claire
Pour moi, chacune de mes 100 chansons fut une épopée philosophique ou je tentais d’explorer la beauté du monde inscrite dans les enluminures du k-oeur humain… Chaque ligne, chaque image était celle d’une même question philosophique… Quelle est la différence d’un k-oeur lorsque le rêve vient enchanter en une danse spirituelle chacun de ses émerveillements de vivre pour remplacer le champs des désirs à jamais inassouvis?
Quand j’ai fait mon ier long jeu Pierre Rochette chante le Vieux Montréal… dans la vingtaine … le k-oeur humain en moi …. tentait de se libérer des chaînes du désir et des dépendances par des petites histoires vraies…Mes grandes épopées de l’écriture du futur par contre se vivaient dans l’apprentissage poétique par le biais des Contretemps, du Japon, du café-St-Vincent ….. et de l’île de l’éternité de l’instant présent vécue au camp Ste-Rose (Monsieur 2.7k)
Cela m’a pris beaucoup d’années… en passant par une maîtrise sur le rire, la longue mise en sculpture du rire par la création de numéros burlesques pour peu à peu… comprendre que les êtres d’exception sont rares… mais qu’ils ont tous en commun un k-oeur enflammé par un rêve d’un profond humanisme…
La chanson du camionneur fut mon chant du cygne… la chanson de l’écrivaine au k-oeur d’or sera cet impossible … une oeuvre philosophique en miniature reconnaissant en votre personnalité une femme dont le rêve n’a jamais cessé d’aimer ses enfants et ses petits enfants…. Une rencontre remarquable que je n’aurais pu prévoir.
Je suis fier de vous avoir décrit dans cette chanson …. en des mots qui pourraient se résumer…en une phrase…
TOUS SES SECRETS QUI LUI RAJEUNISSAIENT LE BOUT DES DOIGTS…
Vous êtes exceptionnelle Claire..
merci d’être dans ma vie
Pierrot
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Une dernière chanson qui fera de nous des immortels….
Cher Pierre,
Longtemps après que les poètes ont disparus, leurs chansons courent encore dans les rues….
Cette merveilleuse dernière chanson, que vous allez enregistrer avec toute la passion qui est la vôtre, nous survivra… elle fera de nous… – vous pour l’avoir écrite avec des mots du cœur et de l’âme et en avoir composé la musique… et moi, pour en être cette fascinante écrivaine au K-oeur d’or que vous célébrez -… elle fera de nous… des immortels… et magnifiera à jamais notre remarquable rencontre, que ni l’un ni l’autre n’aurions pu prévoir… tout en la souhaitant depuis toujours, du fond de nos rêves de vie…
Bonne nuit, très cher Pierre.
Claire
Chère Claire
La droiture d’un rêve… constitue pour moi un remarquable champ d’exploration des impossibles qui ré-enchantent le quotidien … Vous le vivez dans l’amour que vous portez quotidiennement pour chacun des membres de votre famille… Je le vis pour le rêve doctoral de Gaelle… et… dans cette mystique du rêve de l’autre… j’y retrouve en vous, en votre talent de romancière, dans une intelligence du k-oeur dont j’apprécie chaque nuance.
Oui vous avez raison… Je ne pouvais rêver d’une plus belle dernière chanson… l’écrivaine au k-oeur d’or est la mieux réussie philosophiquement de toutes celles que j’ai écrites…
… je la vois comme ces petites boules de vitre que l’on brassait pour que la neige en dedans retombe sur le petit décor de campagne… comme un événement d’enluminure qui honore le rêve comme magicien du sens de la vie de chacune et de chacun sur lesquels sa bienveillance danse.
Quand je nomme les petits enfants… c’est magique… Il faut les imaginer comme des danseurs de jeunesse qui entrent dans la boule enneigée avec les yeux de la fraîcheur, les larmes de l’éblouissement et les je t’aime de l’étonnement d’avoir une grand-maman rien qu’à eux. …
Ces petits-enfants qui sont les vôtres Claire … sont comme des petits secrets joyeux …qui renouvellent la vie elle-même qui s’écrit sur le bout de vos doigts …… avec cette énigme de l’enfance de l’art, de l’enfance du k-oeur comme oeuvre d’art.
Fêtons Claire
Nous avons réussi quelque chose d’impossible )))))
Pierrot
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à partir d’un espace sur leur site web
Studio Loco, Contact, Studio d’enregistrement Canadien, Montréal, Québec
j’attend une réponse de leur part…
y me semble qu’un petit studio est nettement suffisant
je leur ai demandé quels seraient les coûts
pour un deux heures avec technicien
je vous en redonne des nouvelles Claire
Pierrot
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La naissance d’une chanson…
Très cher Pierre,
Votre courriel de ce matin m’a ravi l’âme et le cœur…
Suivre à travers vos mots la naissance de ma chanson, votre dernière, celle de l’écrivaine au k-oeur d’or… de la petite boule de neige qui étincelle, à mes petits-enfants qui s’y glissent, à l’appel de leur prénom… que de poésie… de fraîcheur et d’amour… Ces petits-enfants avec leurs joyeux secrets… à croire que vous me connaissez depuis toujours…
À travers vos mots… tendrement… vous résolvez l’énigme de ma vie, qui passe à travers un cœur aimant…
Ce courriel, qui explique la naissance de votre chanson, dans la sensibilité de cœur du merveilleux être humain que vous êtes, qui reconnaît avoir croisé l’impossible d’une vie… c’est magique ! Je vais le conserver dans ma boîte aux trésors, en accompagnement de votre chanson…
Je me sens privilégiée d’avoir croisé votre route, cher Pierre… en souhaitant que dorénavant, nos chemins se suivent en parallèle, pour de nombreuses années à venir…
Un million de mercis… d’être vous.
Claire
Bon matin, Pierre,
Je pensais à ça cette nuit… je me demandais si vous aviez déjà enregistré votre chanson du Camionneur dans un studio professionnel? Sinon, ça ne pèserait pas lourd sur notre budget d’ajouter une heure de réservation pour que vous puissiez l’enregistrer… et surtout, Isabelle et moi, nous serions tellement ravies de recevoir, uniquement pour nous deux, tous vos Je t’aime…
Je vais attendre votre réponse pour faire notre réservation.
Bon début de journée.
Claire
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chère Claire, mon 45 minutes-confidences symbolisera dans l’épopée d’Orizon la conquête du marché corporatif par les lois du k-oeur
Chère Claire
Je n’y avais même jamais pensé enregistrer la chanson du camionneur avec ma voix dans un studio, Fred en ayant fait un véritable chef d’oeuvre…
J’avoue que j’aimerais n’être habité que par votre chanson… l’écrivaine au k-oeur d’or… et que …s’il y a video… que l’on vous voit dans toute votre humanité.du koeur:)))))))))))))))) donc pour garder la fraîcheur de cet événement entre nous, je préfèrerais oublier complètement le camionneur:))))))))))))))))))) et que si ça va sur you tube… que l’on vous voit en action sans jamais que l’on me voit… mais que l’on entende ma voix qui sculpte l’enluminure de cette exceptionnelle rêveuse au k-oeur d’or que j’ai eu le privilège de découvrir dans nos échanges épistolaires:))))
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Ceci dit
J’ai travaillé avec Gaelle à un nouveau synopsis du 4 minutes dont je vais tenter à un moment donné de faire un 4 minutes explorateur pour Orizon…
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POUR CE QUI EST DU 4 MINUTES POUR ORIZON
Tout se précise dans ma tête de philosophe….
La pandémie a fait basculer la problématique de la rétention en milieu corporatif relié à la dys-jonction entre le présentiel au virtuel ….à une problématique du recrutement… ou la nouvelle donne me semble le k-oeur… au sens ou tout entité corporative qui voudra bénéficier de la loyauté de ses composants envers son rêve d’entreprise … devra d’abord inverser sa philosophie en mettant en place des mécanismes ou le rêve de chacune et de chacun pourra s’épanouir harmonieusement avec celui de ses pairs au sein même du rêve de l’entreprise.
C’est en ce sens que les 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art se proposent comme chantier de l’avenir pour le mieux être en milieu de travail. 1) quel est ton rêve? , 2) dans combien de jours?, 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
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PIERROT, LE PHILOSOPHE FONDATEUR DE LA BOÎTE À CHANSONS LES DEUX PIERROTS
Dans la video que j’ai envoyé à David, j’ai parlé des deux Pierrots trop tôt.
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SYNOPSIS DU 4 MINUTES:)))))))
1) Je commencerais mon 4 minutes video par une question sur le k-oeur, qui ressemblerait à quelque chose du genre:
2) QUEL EST LE SENS DU K-OEUR DANS LES RELATIONS DE TRAVAIL COMME DANS LES RELATIONS HUMAINES?
3) et les 2 minutes qui suivent raconteraient une histoire qui tournerait autour de l’énigme du k-oeur.
4) C’est l’histoire d’un gars, d’un homme, vagabond … (Je fais comme si c’était l’histoire d’un inconnu) qui a tout donné ses biens et qui est parti sur la route avec une question philosophique… parce qu’il voulait découvrir c’est quoi le bonheur
5) SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS, EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?
6) Il rencontre un vieux Monsieur qui cultivait des fleurs extraordinairement odorantes… et il lui demande…Monsieur c’est quoi votre rêve… et le vieux Monsieur de lui répondre… c’est de donner de l’espérance à mes voisins par le parfum de mes fleurs.
De cette rencontre ont surgi … 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art . 1) quel est ton rêve? , 2) dans combien de jours?, 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
7) (l’objectif tant que les gens qui m’écoutent finissent par comprendre qu’il s’agit d’une métaphore … L’univers étant une entreprise… et le moi qui parle s’appelle le salarié …si je prends soin du rêve de mon entreprise … est-ce que mon entreprise va prendre soin de mon rêve?)
8) Pour arriver tranquillement à un noeud dramaturgique dans lequel j’introduis une certaine problématique philosophique mais qui va permettre à une entreprise de comprendre que c’est la dynamique de k-oeur qui joue un rôle essentiel dans la relation de travail. Et que tout ne commence pas avec ce que l’on a déjà autour de nous. MAIS COMMENT EST-CE QU’ON ATTIRE DES GENS DE K-OEUR. EN ENTREPRISE ET COMMENT ON LES RETIENS? DONC LA PROBLÉMATIQUE DU RECRUTEMENT ET DE LA RETENTION EN ENTREPRISE.
EM CONSÉQUENCE DE QUOI, J’AIMERAIS TERMINER EN VOUS DISANT QUE…
C’est avec cette philosophie du k-oeur qu’a été fondée la boîte à chansons les deux Pierrots dans le vieux Montréal..I
ET QUE … LE PHILOSOPHE QUI VOUS RACONTE CETTE FABLE D’UN RÊVEUR VAGABOND.. FUT AUSSI LE CO-FONDATEUR DE LA BOÎTE CHANSONS LES DEUX PIERROTS DANS LE VIEUX MONTRÉAL, QUI DEPUIS SA CRÉATION EN 1974 … A QUAND MÊME DURÉ 47 ANS APRÈS AVOIR ACCUEILLI DES MILLIONS DE PERSONNES À TRAVERS LE MONDE… ET C’EST DE CETTE PHILOSOPHIE DU K-OEUR SOUPOUDRÉE D’ANECDOTES DONT J’AIMERAIS VOUS ENTRETENIR DURANT LES 45 MINUTES CONFIDENCES QUI VONT SUIVRE.
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08:47 (il y a 0 minute) | |||
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Vous m’honorez, très cher Pierre ! Quelle tendresse de cœur vous possédez… Le studio ouvre à dix heures… je vous reviens. Pour ce qui est de peaufiner votre 4 minutes, c’est certain que c’est plus facile de le faire avec une personne en présentielle…
À tantôt.
Claire
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Bonjour Pierre,
Voilà notre réservation est faite pour le 26 février de 11 heures à 13 heures, avec ingénieur de son.
Je sens que nous vivrons un très agréable moment…
Bonne fin de journée,
Claire
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wowwwwwwwwwwww
alors soyons heureux
ce sera un magnifique moment de rencontre d’âmes sincères
Pierrot
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SOL, SOL6, MI MIN / DO MI MIN LA MINEUR/ DO MI MINEUR, LA MINEUR RÉ7 SOL, RÉ7 SOL
(SOL) Jamais l’écrivaine au k-oeur d’or (LA MINEUR) tu sais / (RÉ7) n’aurait décrit l’Abitibi ainsi (SOL, SOL6, MI MINEUR)/ (DO) sans les joies les peines de ses tout petits (SI 7)/petits enfants … dont elle berçait ,,, tous les secrets (MI MINEUR), tous les secrets (DO) , (RÉ7)tous les secrets (SOL)/ qui lui rajeunissaient le bout (LA MINEUR)des doigts/ (RÉ7)quand elle caressait leurs visages (SOL, SOL6, MI MINEUR) de soie/ (MI MINEUR)quand elle embrassait leurs larmes éblouies (SI 7)/quand elle chantait leurs prénoms ( MI MINEUR) de (SI 7) sa (MI MINEUR)voix
SOL, SOL6, MI MIN / DO MI MIN LA MINEUR/ DO MI MINEUR, LA MINEUR RÉ7 SOL, RÉ7 SOL
( SOL)Jamais l’écrivaine au k-oeur d’or (LA MINEUR) tu sais/ (RÉ7)n’aurait décrit l’Abitibi ainsi (SOL, SOL6, MI MINEUR)/ (DO) sans Joséphine, Évangéline Edouard (SI 7) /sans Éloise ou sans sa Rosalie (MI MINEUR)/leurs beaux secrets (DO) / (RÉ7) leurs beaux secrets (SOL)/ qui lui rajeunissaient le bout des doigts (LA MINEUR) / (RÉ7) même si c’était au téléphone (SOL, SOL 6 MI MINEUR) parfois/ que les petits disaient je t’aime ma mie (SI N7)/ des je t’aime au parfum de feu (SI 7) de joie ( MI MINEUR)
SOL, SOL6, MI MIN / DO MI MIN LA MINEUR/ DO MI MINEUR, LA MINEUR RÉ7 SOL, RÉ7 SOL
(SOL) Jamais l’écrivaine au j-oeur d’or tu sais (LA MINEUR) / (RÉ7) n’aurait décrit l’Abitibi (SOL, SOL6, MI MINEUR) ainsi/ (DO) sans leurs je t’aime encrés dans milles histoires (SI 7) / qui font de tous…. ses grands romans … de vrais secrets ( MI MINEUR) de vrais secrets (DO) …de vrais (RÉ7) secrets (SOL)… qui lui rajeunissaient le bout des doigts (LAM) / (RÉ7)quand ses enfants et ses petits (SOL, SOL6, MI MINEUR) enfants/ sont arrivés un jour tous en même temps (SI 7)/pour lui dire Claire … Oh bon anniversaire (MI MINEUR)/ toi l’écrivaine (DO) / toi l”écrivaine (RÉ7) / toi l’écrivaine (SOL)/ (LA MINEUR)toi l’écrivaine au coeur d’or qu’on adore (SOL) / (LA MINEUR) toi l’écrivaine au coeur d’or (RÉ7) qu’on adore (SOL).
SOL SOL 6 MIMINEUR … DO RÉ7 SOL
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Chère Claire
Il faut que l’on se souvienne plus tard… à quel point cette chanson a été le résultat d’un événement épistolaire imprévu ….entre une rêveuse et un rêveur …. qui dans le feu des joies des mots ….ont déposé tour à tour l’amour des siens pour la rêveuse, l’amitié oeuvre d’art pour le rêveur… cela a donné une chanson impossible dont j’ai vu défiler les paroles et la musique avec tellement de précision dans mon rêve pendant que je dormais que je me suis levé pour en transcrire immédiatement les paroles et murmurer la musique sur skype.
Je vous en ferai donc une copie chez Arnaud, probablement dans 2 fins de semaine, juste pour le plaisir de vous faire complice d’un processus de création …de la mise en mots …. au studio….
comme dernière chanson, je ne pouvais rêver mieux
Pierrot:))))
L’ÉCRIVAINE AU K-OEUR D’OR
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI MIN ….. DO MI MIN LA MINEUR (2) ….. RÉ7 SOL (2)
(SOL) Jamais l’écrivaine au k-oeur d’or (LA MINEUR) tu sais / (RÉ7) n’aurait décrit l’Abitibi ainsi (SOL, SOL6, MI MINEUR)/ (DO) sans les joies les peines de ses tout petits (SI 7)/petits enfants … dont elle berçait ,,, tous les secrets (MI MINEUR), tous les secrets (DO) , (RÉ7)tous les secrets (SOL)/ qui lui rajeunissaient le bout (LA MINEUR)des doigts/ (RÉ7)quand elle caressait leurs visages (SOL, SOL6, MI MINEUR) de soie/ (MI MINEUR)quand elle embrassait leurs larmes éblouies (SI 7)/quand elle chantait leurs prénoms ( MI MINEUR) de (SI 7) sa (MI MINEUR)voix
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI MIN ….. DO MI MIN LA MINEUR (2) ….. RÉ7 SOL (2)
Jamais l’écrivaine au k-oeur d’or (LA MINEUR) tu sais/ (RÉ7)n’aurait décrit l’Abitibi ainsi (SOL, SOL6, MI MINEUR)/ (DO) sans Joséphine, Évangéline, Edouard (SI 7) /sans Éloise ou sans sa Rosalie (MI MINEUR)/leurs beaux secrets (DO) / (RÉ7) leurs beaux secrets (SOL)/ qui lui rajeunissaient le bout des doigts (LA MINEUR) / (RÉ7) même si c’était au téléphone (SOL, SOL 6 MI MINEUR) parfois/ que les petits disaient je t’aime ma mie (SI N7)/ des je t’aime au parfum de feu m(MI MINEUR) de (SI 7) joie ( MI MINEUR)
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI MIN ….. DO MI MIN LA MINEUR (2) ….. RÉ7 SOL (2)
(SOL) Jamais l’écrivaine au j-oeur d’or tu sais (LA MINEUR) / (RÉ7) n’aurait décrit l’Abitibi (SOL, SOL6, MI MINEUR) ainsi/ (DO) sans leurs je t’aime encrés dans milles histoires (SI 7) / qui font de tous…. ses grands romans … de vrais secrets ( MI MINEUR) de vrais secrets (DO) …de vrais (RÉ7) secrets (SOL)… qui lui rajeunissaient le bout des doigts (LAM) / (RÉ7)quand ses enfants et ses petits (SOL, SOL6, MI MINEUR) enfants/ sont arrivés un jour tous en même temps (SI 7)/ pour lui dire Claire … Oh bon anniversaire (MI MINEUR)/ toi l’écrivaine (DO) / toi l”écrivaine (RÉ7) / toi l’écrivaine (SOL)/ (LA MINEUR) toi l’écrivaine au coeur d’or qu’on adore (SOL) / (LA MINEUR) toi l’écrivaine au coeur d’or (RÉ7) qu’on adore (SOL).
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI MIN ….. DO MI MIN LA MINEUR (2) ….. RÉ7 SOL (2)
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rès cher Pierre !
Quelle magnifique chanson… un bijou éternel… enchâssé dans le temps… tel un diamant dans la fine monture d’une bague en or…
Oui, n’hésitez pas à me faire complice de votre processus de création… il faut vivre ensemble, au maximum, l’odyssée de ce superbe rêve… que nous allons concrétiser, le 26 février prochain, dans l’atmosphère feutré d’un studio…
Je vous reviens plus tard.
Bon matin, cher Pierre.
Claire
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Chère Claire
Simon était tellement un immense poète… même sa vision de la mort en est une d’exceptionnelle… un mariage heureux avec l’impossible …Il aurait adoré je crois cette transparence dans les rapports humains qui porte, je crois, la signature de notre épopée des mots
Pierrot.
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Je veux vivre ma vie comme j’aimerais la lire quand sera venu le temps de me souvenir…
très cher Pierre,
J’aurais aimé faire la connaissance de Simon…convaincue qu’il aurait apprécié à sa véritable valeur, la lumineuse amitié qui nous lie, vous et moi, et qui nous porte à écrire, à vivre également par nos brèves rencontres, une délicieuse odyssée qui nous survivra.
Pierre, nous devons être conscient qu’en ce moment, en faisant éclore cette chanson, née de votre rêve et de ma réalité, nous posons les jalons de ce que nous aimerions lire, quand sera venu le temps des souvenirs… Soyons attentifs à nos cœurs et à nos âmes, de poète et d’écrivaine, sensibles et aimants… que certains certaines peuvent nous envier…
Vous savez, Pierre, un jour vous gagnerez votre prix Nobel, et peut-être qu’on fera d’un de mes romans un grand film qui marquera le monde… Longtemps après que nous aurons rejoints les étoiles, les biographes écriront l’épopée de nos vies, en se demandant ce que représenterait réellement cette Claire, l’écrivaine au k-oeur d’or, dans la vie du poète philosophe, détenteur d’un prix Nobel… et vice versa… Et ils nous inventeront des histoires… qui approcheront sûrement la réalité… puisque nous avons encore au moins une vingtaine d’années à vivre notre vie en parallèle, comme nous aimerions la lire… pour alimenter leurs plumes… Et nous rirons dans les étoiles…
L’imagination d’une écrivaine…
Joyeux mercredi ensoleillé.
Claire
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Simon fut un être lumineux, un conte vivant …. qui en rencontrant Pierrot le vagabond céleste…. la toute iere fois… a consacré une partie de sa vie à en résoudre l’énigme par la scène.
rès cher Pierre,
J’aurais aimé faire la connaissance de Simon…convaincue qu’il aurait apprécié à sa véritable valeur, la lumineuse amitié qui nous lie, vous et moi, et qui nous porte à écrire, à vivre également par nos brèves rencontres, une délicieuse odyssée qui nous survivra.
Chère Claire
Chose certaine Claire, autour d’un feu de camp…il y aurait eu beaucoup de respect entre nous trois … Il est très rare de rencontrer des êtres humains qui habitent leur rêve comme si rien d’autre n’existait, avec une poésie des ieres fois qui ré-enchantent la vie de celles et ceux qui soudain ont l’impression de s’abreuver à une source fraîche qui a toujours existé en elles et en eux… celle d’un rêve de vie, plus fort que la vie elle-même, plus fort que la mort elle-même… intrinsèque et fascinante par les épisodes de synchroni-vie-té que cette source provoque sur la route des épopées de l’impossible.
Pierre, nous devons être conscient qu’en ce moment, en faisant éclore cette chanson, née de votre rêve et de ma réalité, nous posons les jalons de ce que nous aimerions lire, quand sera venu le temps des souvenirs… Soyons attentifs à nos cœurs et à nos âmes, de poète et d’écrivaine, sensibles et aimants… que certains certaines peuvent nous envier…
Cette chanson de l’écrivaine au k-oeur d’or… témoigne des lois du k-oeur que vous avez su si bien peindre dans la mise en poésie de votre quotidien avec vos 2 enfants et vos petits enfants. Faits de petits gestes, de rituels, d’écoute, de bienveillance… on sent dans chacun de vos romans écrit à partir d’un fond de tendresse universelle pour la condition humaine ….. cette signature de l’impossible qui s’appelle LES LOIS DU k-OEUR. … par lesquelles la vie sur terre peut soudain se métamorphoser en cette phrase qui, écrite par vous, fut la clé de mon désir de vous contacter:
JE VEUX VIVRE MA VIE COMME J’AIMERAIS LA LIRE QUAND SERA VENU LE MOMENT DE ME SOUVENIR
Vous savez, Pierre, un jour vous gagnerez votre prix Nobel, et peut-être qu’on fera d’un de mes romans un grand film qui marquera le monde… Longtemps après que nous aurons rejoints les étoiles, les biographes écriront l’épopée de nos vies, en se demandant ce que représenterait réellement cette Claire, l’écrivaine au k-oeur d’or, dans la vie du poète philosophe, détenteur d’un prix Nobel… et vice versa… Et ils nous inventeront des histoires… qui approcheront sûrement la réalité… puisque nous avons encore au moins une vingtaine d’années à vivre notre vie en parallèle, comme nous aimerions la lire… pour alimenter leurs plumes… Et nous rirons dans les étoiles…
Chère Claire,
Ça fait tellement d’années maintenant que je vagabonde l’impossible… avec la certitude qu’un jour… je rencontrerais les bonnes personnes pour qui mon rêve aura un sens élégant, fait de droiture et d’un sans faille au niveau du k-oeur… Vous connaissez ma vie, mon oeuvre, mon rêve mieux que personne….et je pense par ma chanson de l’écrivaine au k-oeur d’or …. pouvoir dire aujourd’hui que moi aussi… j’ai le privilège d’avoir décrypté le meilleur de votre vie de créatrice en racontant l’amour que vous portez à vos proches
En effet, fêtons cette dernière partie
d’un voyage qui s’annonce à la hauteur magique
que Simon aurait souhaité pour tous
Pierrot
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Bonjour Pierre,
J’ai une question pour vous, soyez bien à l’aise dans votre réponse.
Je n’ai pas encore parler à David du cadeau d’Isabelle. Mais comme c’est la fête de David, ce dimanche, le 13 février, et qu’il viendra souper chez moi, je vais sûrement lui en glisser un mot. Et comme j’ai réservé un samedi, – je viens de m’en rendre compte – je ne serais pas surprise qu’il ait envie d’assister à l’enregistrement de la chanson de sa maman…
Préférez-vous être seul avec Isabelle et moi… je suis consciente que ce sera très émouvant pour vous d’enregistrer votre chanson en la présence de l’écrivaine dont vous parlez… Quand j’en parlerai à David, est-ce que je peux lui dire qu’il pourra y assister… mais vraiment, soyez très à l’aise…
Bonne fin de journée.
Claire
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wowwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwww
j’aurais été bien attristé que David ne soit pas présent Claire d’autant plus que c’est un k-adeau que je suis tellement heureux de vous offrir… Pour moi enregistrer c’est d’abord une joie profonde Je ne connais pas le trac… que l’émerveillement d’avoir enfin la chance de vous dire merci vous savez pourquoi j’écris K-oeur avec un K parce que le K représente l’humain en marche vers son coeur et c’est cela le secret de votre art du roman. il y a dans vos romans toujours un personnage qui marche vers son coeur
Pierrot
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Merci Pierre !
Je pense que nous pourrons faire de cet événement une magnifique rencontre d’intimité familiale… dont, pour ce moment si précieux, c’est vous, qui en serez le K-oeur !
Votre cadeau me rend tellement heureuse !
Claire
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Je pense que tous mes petits-enfants seront heureux d’accepter votre invitation… sauf Eloïse qui ski a l’international, et qui ne pourra pas quitter son équipe….
Quel précieux moment vous allez offrir à ma belle gang!
Pierre, je vous adore!
Claire
Claire Bergeron
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Cela serait merveilleux de prendre une video de leurs yeux quand ils entendront prononcer leur prénom dans la chanson quand ils verront la dévotion que je vous porte par ma voix et quand ils saisiront à quel point ils sont tous dans de la ouate de mamie:))))))))))))))))))))))))) Je pense que cela pourra faire un souvenir de famille oeuvre d’art et cela me rendis si heureux j’y inclue bien sûr la compagne de vie de david et le compagnon de votre fille
enfin
une vraie photo de famille comme une enluminure dans une boule de neige heureuse
Pierrot
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ces événements poétiques qui font l’épopée d’un rêve
Sur la terre, on ne devrait vivre que d’évènement poétique en événement poétique… pour célébrer le rêve, la marche vers un rêve… le rêve d’une vie.
C’est ainsi que je perçois le 26 février… en studio… un grand moment pour célébrer l’impossible… d’abord l’impossible d’être vivant et heureux que les autres soient vivants et en santé autour de nous… ensuite l’importance de tisser des liens qui convoquent les battements de k-oeur d’une paix des mots dans le k-oeur de chacune et de chacun.
Chanter aux Pierrots pour moi, comme au café St-Vincent d’ailleurs, ça a toujours été un geste sacré… au sens ou je faisais en sorte que ma voix dessine un feu de camp entre le public et moi… dont j’ensemençais la joie de vivre par des bûches de chansons ….avec ce sens inoui de l’île de l’éternité de l’instant présent que je célébrais en me disant qu’il fallait que jamais je ne boive, ne me drogue, pour pouvoir en témoigner quand j’en aurai la sagesse.
Oui, je fus un philosophe heureux qui s’est exprimé par l’art de la chanson. Et de voir que le 26 février… je vais pouvoir vous peindre par mes mots à votre famille me rend profondément reconnaissant à la vie que cela soit possible.
Le k-oeur est le plus beau k-adeau que l’on puisse offrir aux k-oeurs des autres… et ce jour-là, ce sera votre k-oeur , Claire, qui battra à travers mes mots pour votre famille que vous avez tant aimé… et que vous continuez à bercer de votre présence bienveillante.
Pierrot
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L’éthique de l’impossible qui m’a accompagné tout au long de l’épopée de mon rêve
Chère Claire,
Pour moi, l’impossible lui-même… dans sa forme abs-multiversielle (traité des abs du doctorat) … est la plus grande forme de l’impossible qu’un K- ou personne humaine … en marche vers son coeur … peut aspirer à poétiser… pour mieux se raconter à soi-même dans les derniers jours.
Ne jamais être convoqué par des intérêts personnels cachés, viser le bien commun, le partage équitable du pouvoir de quelque nature que ce soit et surtout … surtout… en théoriser les lois qui permettent de soulager la k-ondition humaine par l’invention de nouvelles institutions planétaires (ex: la nano-citoyenneté-planétaire, les deucx assemblées des justes) …. voilà ce qui me guide philosophiquement…)
La différence entre la morale (religieuse) et l’éthique ( communauté organisationnelle de bienveillance) repose essentiellement sur la droiture du k-oeur, dénuée de toute ambition personnelle de quelque nature que ce soit.
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Quand je me couche sur mon plancher… et que soudain, je suis envahi par l’effroi de ne pas avoir été à la hauteur spirituelle de ma quête…. je fais une revision des derniers 24 heures, de e que furent mes pensées, mes intentions… puis, apaisé en me disant que j’ai fait le mieux que j’ai pu … je vois soudain comme un trou blanc poétique dans l’horizon des inquiétudes humaines… et je me dis wowww…. j’ai encore la chance de faire mieux demain… pour marquer l’épopée de mon rêve par un impossible heureux.
Et je me dis… est-ce que j’ai fait de mon mieux aujourd’hui pour contribuer au bien commun?… et je me dis… faisons mieux encore demain… car dans la vie… seul l’impossible est vrai.
De là la mystique du rêve de l’autre qui m’a toujours profondément ému… de là la chanson de l’écrivaine au k-oeur d’or dédiée à honorer votre rêve Claire au service de l’amour que vous portez aux vôtres.
Voilç pourquoi cette chanson est autre chose qu’une chanson… je dirais plutôt … qu’on est devant …comme un chuchotement de la beauté du monde qui habite toute rêveuse ou tout rêveur qui ne triche pas avec son rêve.
Pierrot
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o
Très cher Pierre,
Comme vous l’avez sûrement découvert au fil de nos échanges, je suis une véritable boule d’émotions… comme je l’ai répété dans différentes entrevues, ce sont les émotions qui m’ont conduite à l’écriture… je vis tellement prêt de mes ressentis, physiques, mentaux, que parfois, je me dis que c’est trop… que je devrais essayer de m’en libérer… sinon je vais me blesser… si je n’y fais pas attention… ou si je me livre trop… il est arrivé que mes confidences soit utilisées à mauvais escient, contre moi… les gens sont parfois méchants, portés par des sentiments de jalousie, d’envie, ou de mépris envers ce qu’ils ne comprennent pas…
Sur la terre, on ne devrait vivre que d’évènement poétique en événement poétique… pour célébrer le rêve, la marche vers un rêve… le rêve d’une vie. …ce qui rejoint mon désir de vivre ma vie comme j’aimerais la lire, quand sera venu le temps des souvenirs….
L’éthique (communauté organisationnelle de bienveillance) repose essentiellement sur la droiture du k-oeur, dénuée de toute ambition personnelle de quelque nature que ce soit.
Pierre, vous me donnez tellement à réfléchir… revoir mes pourquoi, mes rêves, mes désirs… J’en ai croisé des gens dans ma vie, des hommes, des femmes… portés par différentes quêtes… des plus viles au plus nobles… La perception que nous avons de quelqu’un avant de le rencontrer, à travers ses mots, peut s’avérer décevante en le rencontrant en personne… comme cette femme dont vous m’avez parlé, avec laquelle vous aviez correspondu, et qui vous avait profondément déçue, lors d’une rencontre…
Pour moi, l’impossible lui-même… dans sa forme abs-multiversielle (traité des abs du doctorat) … est la plus grande forme de l’impossible qu’un K- ou personne humaine … en marche vers son cœur … peut aspirer à poétiser… pour mieux se raconter à soi-même dans les derniers jours.
Quand je vous ai rencontré, à l’UQAM, j’ai croisé l’impossible… cette personne humaine, en marche vers son cœur et celui des autres, Ne jamais être convoqué par des intérêts personnels cachés, viser le bien commun, le partage équitable du pouvoir de quelque nature que ce soit… c’est ce que j’ai ressenti en votre présence…
Bon, là je vais me livrer, mettre à nues mes émotions… confiante en vous… Ce soir-là, consciente que je venais de vivre un moment hors norme, hors temps, une rencontre comme il en arrive rarement dans la vie… croiser un porteur de rêve… heureux… voir se matérialiser l’imaginaire… serrer la main à l’impossible, comme vous le dites si bien… ce soir-là, dans mon lit ultra douillet… j’ai pleuré à chaudes larmes, comme ça ne m’était pas arrivée depuis des années… je pensais même que des larmes, je n’en avais plus… J’ai pleuré sans peine… des larmes… comment dirais-je… chaudes et heureuses… je vivais une véritable tempête émotionnelle, qui, je l’avoue, me faisait du bien… – David pourrait en témoigner, dès le lendemain, je lui ai fait part de ce ressenti – …je m’interroge toujours sur les émotions vécues, certaines m’échappent encore, je le sens… mais nous avons de nombreuses années devant nous pour que je puisse toutes les retrouvées…
Oui, je fus un philosophe heureux qui s’est exprimé par l’art de la chanson. Et de voir que le 26 février… je vais pouvoir vous peindre par mes mots à votre famille me rend profondément reconnaissant à la vie que cela soit possible….
Merci cher Pierre, de ces réflexions vers lesquelles vous me portez… elles embellissent ma vie… merci pour cette merveilleuse chanson, qui me fait me découvrir à moi-même…
Bonne fin de journée.
Claire
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Une chanson pour moi c’est la mystique du rêve de l’autre par la pauvreté poétique des mots heureux
Chère Claire,
J‘ai emprunté la guitare de Michel … mais après le 26 je la lui rendrai… Vous êtes ma dernière chanson et certainement la plus heureuse que j’ai écrite… et certainement la plus heureuse avec laquelle mes doigts ont touché mes cordes de guitare. C’est comme si je peignais la mystique de votre rêve sous vos romans par l’amour que vous portez à vos enfants et vos petits enfants. Quelle belle finale…. Le 26 février en sera l’hymne à la joie et pour la composition de chansons, et pour les doigts sur une guitare..
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Mais un peu comme Duchamp disait de Picasso, quand il a abandonné la peinture… je ne veux pas être un ouvrier de l’art … en faire quelques une me suffiront pour changer l’histoire de l’art… c’est ainsi qu’il inventa les ready made.
Pour moi, chanter à capella, sans guitare, c’est faire appel à l’homme préhistorique qui, devant l’énigme du feu, n’eut qu’à hurler l’énigme du son du feu par des murmures symphoniques pour convoquer l’impossible heureux.. Je me rappelle sur la route… dàs que je jetai ma guitare dans le bois… il me suffisait de me planter debout, avec mon bâton de parole et d’entamer le camionneur a capella… pour que le caractère sacré de la beauté du monde ressemble à un feu de joie.
Voilà pourquoi il est fort possible que je réussisse la même chose avec oriZon par des 45 minutes confidences… L’impossible ….heureux par une voix au service du bien commun… qui raconte l’épopée d’un rêve par la mystique du k-oeur… Les contretemps, le café St-Vincent, les Pierrots, le vagabond céleste, le doctorat… les 45 minutes confidences… autant de mystique du rêve de l,autre par la pauvreté poétique avec pour but le prix Nobel de la paix pour une humanité oeuvre d’art en devenir.
Je disais à Gaelle ce soir … Dès que je me couche sur le plancher, je tombe en mystique de la beauté du monde profonde… Et dès que je chante votre chanson, je vis exactement la même joie spirituelle… parce que je peins un rêve d’une beauté toute simple mais pourtant universelle… celle d’un amour de ses proches par l’éblouissement des mots à en témoigner âr une k-ondition humaine en quête d’amour et d’amitié..
Pierrot:))))
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Cher Pierre,
C’est cette découverte de vous, de votre essence profonde, qui m’a tiré des larmes de joies après vous avoir rencontré à l’UQAM. Ce jour-là, j’ai eu le sentiment de découvrir un sentiment qui m’était jusqu’alors inconnu, qui me faisait chaud au cœur : J’aimais un homme, d’une amitié complice, sans attente personnelle autre que de l’accompagner dans la quête de son rêve, de lui offrir mon oreille attentive et aimante… aussi, de lui ouvrir mon âme et mon cœur, sans retenue, parce que je lui accordais ma confiance, afin qu’il puisse à son tour m’inspirer dans les miens…
Ce sera merveilleux pour moi de savoir que vous aurez fait courir vos doigts une dernière sur les cordes d’une guitare pour faire de moi, de mon odyssée d’écrivaine, votre ultime chanson…
Pierre, j’ose me permettre une petite suggestion pour votre chanson… ma superbe chanson… vous me direz si j’outrepasse vos droits de compositeur… j’ose…
Quand vous dite :
…même si c’était au téléphone parfois
Je suggèrerais :
…même dans de grands aéroports parfois
(Mes petites-filles m’ont tellement souvent dit, crié même, au moment de traverser la porte vers leur embarquement, de beaux Je t’aime mamie ! Isabelle habite Calgary depuis 17 ans… Joséphine, Éloïse et Rosalie nous reconnaîtraient tellement bien, elles et moi, dans cette phrase.)
En passant, Rosalie m’a confirmé, hier, qu’elle sera présente le 26 février… ce jour-là, elle part pour le Mexique… son vol est à 18 heures… quelle chance ! Quant à David, je lui ai simplement texté ne pas prendre d’engagement pour ce samedi 26 février, que j’allais lui dire dimanche, au souper chez moi, en quoi consiste ma surprise…
Bonne journée,
Claire
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Chère Claire…. ne vous gênez pas pour habiter le texte de votre poésie des mots:)))))
Cher Pierre,
C’est cette découverte de vous, de votre essence profonde, qui m’a tiré des larmes de joies après vous avoir rencontré à l’UQAM. Ce jour-là, j’ai eu le sentiment de découvrir un sentiment qui m’était jusqu’alors inconnu, qui me faisait chaud au cœur : J’aimais un homme, d’une amitié complice, sans attente personnelle autre que de l’accompagner dans la quête de son rêve, de lui offrir mon oreille attentive et aimante… aussi, de lui ouvrir mon âme et mon cœur, sans retenue, parce que je lui accordais ma confiance, afin qu’il puisse à son tour m’inspirer dans les miens…
CHÈRE CLAIRE
Cette amitié complice, ce fut pour moi la clé même de votre ĥrase que j’ai découvert la iere fois sur votre site web… et je dois VOUS avouer que depuis, vous ne m’avez jamais déçu… VOUS AVEZ L,ESSENCE D,UNE PERSONNE D’EXCEPTION, CLAIRE:)))
«Je veux vivre ma vie comme j’aimerais la lire quand sera venu le temps de me souvenir.»
Voici ce qui me ferait plaisir…. un jour… bien après le 26 février… quand le temps des vacances sera venu… j’aimerais vous raconter, épisode par épisode… dans un audio confidences toute la mystique de mon épopée….à partir de mon arrière grand-père ….avec cette lenteur et cette intimité feu de camp qu’on ne peut vivre qu’une fois par la poésie des ieres fois…
Pour moi, faire oeuvre d’art, c’est de raconter à une seule oreille la beauté du monde à laquelle on a pu tisser son propre rêve à la suite des rêves de ses proches… mais de le faire d’une façon audio… ou on ne voit jamais la personne qui parle, ni celle qui écoute… car c’est comme cela que les légendes sous forme de poésie vivante traversent les infra-structures du langage même pour habiter soudain l’inaccessible, l’impossible heureux par la mystique même des formes dansantes de la vivance énigmatique D’UN RÊVE MULTIVERSIEL D’ABS^XISTENCE sur terre:))))
Cela me demanderait probablement une vingtaine d’heures divisées en 20 épisodes …..
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Ce sera merveilleux pour moi de savoir que vous aurez fait courir vos doigts une dernière sur les cordes d’une guitare pour faire de moi, de mon odyssée d’écrivaine, votre ultime chanson…
Pierre, j’ose me permettre une petite suggestion pour votre chanson… ma superbe chanson… vous me direz si j’outrepasse vos droits de compositeur… j’ose…
Quand vous dite :
…même si c’était au téléphone parfois
Je suggèrerais :
…même dans de grands aéroports parfois
Voilà. c’est fait… et comme C’EST NOTRE CHANSON … CLAIRE… ET QUE VOUS ÊTES ÉCRIVAINE …. N’HÉSITEZ PAS ….. OSEZ…. VOS ENFANTS ET VOS PETITS ENFANTS N’EN SERONT QUE PLUS COMBLÉS:))))
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(Mes petites-filles m’ont tellement souvent dit, crié même, au moment de traverser la porte vers leur embarquement, de beaux Je t’aime mamie ! Isabelle habite Calgary depuis 17 ans… Joséphine, Éloïse et Rosalie nous reconnaîtraient tellement bien, elles et moi, dans cette phrase.)
En passant, Rosalie m’a confirmé, hier, qu’elle sera présente le 26 février… ce jour-là, elle part pour le Mexique… son vol est à 18 heures… quelle chance ! Quant à David, je lui ai simplement texté ne pas prendre d’engagement pour ce samedi 26 février, que j’allais lui dire dimanche, au souper chez moi, en quoi consiste ma surprise…
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JE RÉPÈTE LA CHANSON DANS LA MYSTIQUE DE VOTRE RÊVE ET DE VOTRE AMOUR POUR VOTRE FAMILLE… ET MA FOIS, J’ADORE ..
PIERROT
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Bonne journée,
Claire
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AAAAA ÉCRIVAINE AU KOEUR DOR
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ….. DO, MI Min, LA Min, ….. RÉ7…… SOL
(SOL) Jamais l’écrivaine au k-oeur (LA Min) d’or tu sais / (RÉ7) n’aurait dé crit l’Abiti.. bi (SOL) ain.. (SOL6) … si.. (MI Min)/ ….. (DO) sans les joies les peines de ses tout petits (SI 7)/ … petits enfants … dont elle berçait ,,, tous les secrets (MI Min), tous les se (DO) crets, (RÉ7) tous les secrets (SOL)/ qui lui rajeunissaient le …. (LA Min) … bout des doigts/… (RÉ7) … quand elle caressait leurs visages (SOL) de soie/ ……(MI Min) quand elle embrassait leurs larmes (LA Min)/ s’é ..blouies…. (SI7) … quand elle chan tait leurs prénoms ( MI Min) de (SI 7) sa (MI Min) voix.
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ….. DO MI Min LA Min ….. RÉ7…… SOL
(SOL) Jamais l’écrivaine au k-oeur (LA MIN) d’or tu sais / (RÉ7) n’aurait décrit l’Abiti bi (SOL) ain (SOL6) si (MI MIN.)/ …(DO) sans José phine, Évangé line, E douard (SI 7) /sans Élo ise ou sans sa Ro salie (MI min)/leurs beaux se crets (DO) / (RÉ7) leurs beaux se crets (SOL)/ qui lui rajeunissaient le bout des doigts (LA min.) / (RÉ7) même dans de grands aéro ports (SOL) par fois/ ….(MI MIN.) quand les pe tits disaient je t’aime ma mie (LA MIN.)/ ……….. (SI7) des je t’aime au parfum de feu (MI min) de (SI 7) joie ( Mi min)
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ….. DO MI Min LA Min ….. RÉ7…… SOL
(SOL) Jamais l’écrivaine au k-oeur (LA Min) d’or tu sais / (RÉ7) n’aurait décrit l’Abiti bi (SOL) ain (SOL6) si (MI Min)/ / (DO) sans ses amours de cœur d’une longue vie (SI7) / qui font de tous … ses grands romans … de vrais secrets ( Mi Min) de vrais secrets (DO) …de vrais (RÉ7) secrets (SOL) … qui lui rajeunissaient le bout des doigts (LA Min) / (RÉ7) quand ses enfants et ses petits (SOL.) enfants/ (MI Min) ,,, un jour … sont arrivés … tous en même temps (DO) / pour lui dire Claire (SI7) … Oh bon anniversaire (MI MIN.)/ toi l’écrivaine (DO) / toi l’écrivaine (RÉ7) / toi l’écrivaine (SOL)/ (LA Min) toi l’écrivaine au K-oeur d’or que l’on aime (SOL) / (LA Min) toi l’écrivaine au k-oeur d’or (RÉ7) qu’on adore (SOL).
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ….. DO MI Min LA Min ….. RÉ7…… (qu’on adore)) ….. SOL
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Bonjour Pierre,
Pour notre chanson, il y a deux petits détails que j’ai souligné en rouge, ici-bas, dans le texte. Ce n’est rien de nouveau… les mots existaient déjà dans votre texte ou dans la démo enregistrée chez Arnaud… je vous donne mes préférences… vous me direz ce que vous en pensez…
JE RÉPÈTE LA CHANSON DANS LA MYSTIQUE DE VOTRE RÊVE ET DE VOTRE AMOUR POUR VOTRE FAMILLE… ET MA FOIS, J’ADORE… un million de mercis pour cette sublime chanson!
Le matin, quand Morphée ouvre les bras pour me laisser glisser vers l’éveil, habituellement ce sont mes personnages de romans qui viennent m’accueillir… ce matin, c’est votre voix, avec les mots de votre chanson, qui sont venus m’ouvrir les yeux, dans une infinie douceur… je crois que votre chanson va devenir très importante pour moi…
Voici ce qui me ferait plaisir…. un jour… bien après le 26 février… quand le temps des vacances sera venu… j’aimerais vous raconter, épisode par épisode… dans un audio confidences toute la mystique de mon épopée….à partir de mon arrière-grand-père ….avec cette lenteur et cette intimité feu de camp qu’on ne peut vivre qu’une fois par la poésie des ieres fois…
Il me semble que c’est quelque chose que nous pourrions faire tous les deux… il y a un moment que je veux me procurer un enregistreur audio, il y en a qui me semble de bonne qualité… par exemple qui cesse d’enregistrer quand on arrête de parler, etc… et ce, pour un coût minime… avant de m’en procurer un, je vous demanderai votre avis…
Cela me demanderait probablement une vingtaine d’heures divisées en 20 épisodes…
Comme les attentes sont très claires entre nous, j’imagine que vous n’auriez pas d’inquiétude d’attentat à votre pudeur, en venant passer deux ou trois jours chez moi, de temps à autres, l’été prochain… je vous taquine… …mais comme vous serez déménagé à Sherbrooke, ce sera peut-être un peu plus difficile…
Pour ma part, si vous souhaitez un enregistrement comme des légendes, sous forme de poésie vivante traversent les infrastructures du langage même pour habiter soudain l’inaccessible, l’impossible heureux par la mystique même des formes dansantes de la vivance énigmatique D’UN RÊVE MULTIVERSIEL D’ABS^XISTENCE sur terre:))))… ça ne se fait pas d’une traite… il faut des pauses…
Vous êtes sans doute capable de travailler de nombreuses heures d’affilées… moi pas… sans doute plus paresseuse… ou davantage épicurienne…
Disons que nous haussons votre suggestion au domaine des possibilités… on devrait pouvoir s’entendre… c’est quelque chose que j’aimerais faire avec vous… à suivre…
Bonne fin de journée,
Claire
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Bonjour Pierre,
Pour notre chanson, il y a deux petits détails que j’ai souligné en rouge, ici-bas, dans le texte. Ce n’est rien de nouveau… les mots existaient déjà dans votre texte ou dans la démo enregistrée chez Arnaud… je vous donne mes préférences… vous me direz ce que vous en pensez…
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je suis rendu à toiletter les paroles en réfléchissant aux accents versus les accords j’ai ajouté vos deux propositions … de texte… que je trouve tellement justes … je vous envoie ou je suis rendu… n’hésitez pas à me proposer des changements… comme vous verrez… il y en a qui me viennent aussi:)))
quelle joie de travailler ensemble Claire:))))
Pierrot
ÉCRIVAINE AU KOEUR DOR
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ….. DO, MI Min, LA Min, ….. RÉ7…… SOL
(SOL) JAMAIS l’écrivaine au k-oeur (LA Min) d’or tu sais / (RÉ7) n’aurait dé crit l’Abiti.. bi (SOL) ain.. (SOL6) … si.. (MI Min)/ ….. (DO) sans les joies LES peines de ses tout petits (SI 7)/ … petits enfants … dont elle berçait ,,, tous les secrets ….. (MI Min), tous les se (DO) crets, (RÉ7) tous les secrets (SOL)/ qui lui rajeunissaient le …. (LA Min) … bout DES doigts/… (RÉ7) … quand elle caRESsait leurs vi ..SA ..ges (SOL) de soie/ ……(MI Min) quand elle embrassait leurs larmes (LA Min)/ s’é ..blouies…. (SI7) … quand elle chan tait leurs prénoms ( MI Min) de (SI 7) ,,,, sa …. (MI Min) …. voix.
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ….. DO MI Min LA Min ….. RÉ7…… SOL
(SOL) JAMAIS l’écrivaine au k-oeur (LA Min) d’or tu sais / (RÉ7) n’aurait décrit l’Abiti bi (SOL) ain (SOL6) si (MI Min)/ …(DO) sans José phine, Évangé line, E douard (SI 7) /sans Élo ise ou sans sa Ro salie (MI min)/leurs beaux se crets (DO) / (RÉ7) leurs beaux se crets (SOL)/ ………… qui lui rajeunissaient le bout des doigts (LA min.) / (RÉ7) comme dans les grands aéro ports (SOL) par fois/ …. ……. …… … (MI MIN.) quand les pe tits disaient je t’aime ma mie (LA MIN.)/ ……….. (SI7) et qu’elle les consolait …. un À (Mi min) LA (SI7) FOIS ( Mi min)
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ….. DO MI Min LA Min ….. RÉ7…… SOL
(SOL) JAMAIS l’écrivaine au k-oeur (LA Min) d’or tu sais / (RÉ7) n’aurait décrit l’Abiti bi (SOL) ain (SOL6) si (MI Min)/ sans ses amours de k-oeur d’une longue vie / (DO) (SI7) / qui font de tous … ses grands romans … de vrais secrets ( Mi Min) de vrais secrets (DO) …de vrais (RÉ7) secrets (SOL) … qui lui rajeunissaient le bout des doigts (LA Min) / (RÉ7) quand ses enfants et ses petits (SOL.) enfants/ (MI Min) ,,, un jour … sont arrivés … tous en même temps (LAm) / pour lui dire Claire (SI7) … Oh bon anniversaire (Mi Min.) / toi l’écrivaine (DO) / toi l’écrivaine (RÉ7) / toi l’écrivaine (SOL)/ (LA Min) toi l’écrivaine au K-oeur d’or que l’on aime (SOL) / (LA Min) toi l’écrivaine au k-oeur d’or (RÉ7) qu’on adore (SOL).
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ….. DO MI Min LA Min ….. RÉ7…… (qu’on adore)) ….. SOL
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Voici ce qui me ferait plaisir…. un jour… bien après le 26 février… quand le temps des vacances sera venu… j’aimerais vous raconter, épisode par épisode… dans un audio confidences toute la mystique de mon épopée….à partir de mon arrière-grand-père ….avec cette lenteur et cette intimité feu de camp qu’on ne peut vivre qu’une fois par la poésie des ieres fois…
Il me semble que c’est quelque chose que nous pourrions faire tous les deux… il y a un moment que je veux me procurer un enregistreur audio, il y en a qui me semble de bonne qualité… par exemple qui cesse d’enregistrer quand on arrête de parler, etc… et ce, pour un coût minime… avant de m’en procurer un, je vous demanderai votre avis…
Cela me demanderait probablement une vingtaine d’heures divisées en 20 épisodes…
Comme les attentes sont très claires entre nous, j’imagine que vous n’auriez pas d’inquiétude d’attentat à votre pudeur, en venant passer deux ou trois jours chez moi, de temps à autres, l’été prochain… je vous taquine… …mais comme vous serez déménagé à Sherbrooke, ce sera peut-être un peu plus difficile…
J’aurais beaucoup de plaisir même à ce que nous nous inventions un agenda de création… ou réciproquement aussi… je devienne à mon tour …une oreille à un audio de votre part )))))))))))…. j’adore que l’on soit gagnant gagnant:)))) … oui pour quelques séjours chez vous, oui pour une machine audio… celle de votre choix…
En fait, je deviens de plus en plus confortable à l’idée d’un laboratoire poétique entre nous sous une forme ou sous une autre cet été:))))
Pierrot
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Suggestion…
Quand ses enfants… ses petits-enfants …
un jour sont arrivés…en souriant…
lui dire… mamie Claire… bon anniversaire
Il est possible que je ne respecte pas bien les syllabes…
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ême au niveau de la rhétorique comme de douceur de la sonorité…. vous visez juste vous avez le sens du texte…
De mon côté … j’ai enlevé le mot grand… dans comme dans les grands aéroport parfois… juste pour que la tendresse se glisse dans comme dans les a-ré-o-ports-par-fois…
on continue:)))
comme c’est agréable de vous avoir comme complice
pour cet événement poétique du 26 consacré à vos proches
bravo
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ellement beau!
Quelle magnifique complicité des mots…
Bonne soirée.
Claire
Claire Bergeron
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‘est fou Claire….. je suis content d’avoir une complice de k-oeur épistolaire…. car en tentant d’apaiser le deuil des amis de Simon
je sens que l’aura social qui pourrait en découler… provoque en moi des réflexions que je n’avais pas prévu
Pierrot
Cher Jérome,
St-Élie de Caxton chez Simon Gauthier… – YouTube
Je t’avoue que j’ai toujours pris la posture de l’ombre avec Simon…. Je n’ai jamais voulu voir son récit philosophique… le vagabond céleste… par contre… je me suis fait un honneur de participer à la dernière étape de ce spectacle TIC-TAK pour ensuite monter dans le bout de Grand-mère pour le voir une iere fois … puis au Gainzbar la seconde fois.
Simon était un géant… et j’avoue que …. ce que nous avons vécu ensemble comme complicité métaphysique me hante encore, nuit et jour, de reconnaissance profonde que la vie m’aie permis cela… Je sais qu’il avait et a encore un cercle d’amis et de camarades de travail impressionnant.
Probablement que tu es mieux positionné que moi pour intuitionner si certains auraient besoin de mes 2 documents pour mieux vivre leur deuil… SA GRANDEUR SPIRITUELLE DOIT ÊTRE CONNUE DE LA MÉMOIRE DE SES INTIMES… Il était tellement poésie même du merveilleux au quotidien
Bonne suite à ta vie de conteur
Pierrot vagabond,
ton céleste
au plaisir un jour de se croiser
si le vent de la vie nous est poésie:))))
Merci pour les partage de ces textes qui dévoilent l’arrière scène, une partie des coulisses de l’aventure. Je suis tombé sur l’échange de courriels qui parle du spectacle au Gainzbar. J’y était ce soir-là. Simon avait été époustouflant, magistral. J’étais moi même au début d’une route de transformation et ce spectacle était venu se placer comme une lanterne sur mon chemin.
En espérant pouvoir te rencontrer en personne un jour.
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Cher Pierre,
Ce sera un chef d’œuvre, je n’en doute pas !
J’ai tellement hâte de la réentendre, avec les ajouts de notre complicité….
Votre courriel à Jérôme Bérubé était aussi très prêt de votre cœur, et aussi, de l’affection que vous portiez à Simon.
Ce Jérôme me semble un conteur très original… je suis allée sur sa page Facebook…
Cet après-midi, j’ai confectionné ce qu’il faut pour le gâteau au chocolat préféré de David, pour célébrer son anniversaire, demain. Ce gâteau nécessite une génoise, une ganache, une meringue et une mousse, tout ça au chocolat… que tu assemble à la fin, en sept étages. Je vais faire l’assemblage demain… ça suffit pour aujourd’hui… même Dieu a senti le besoin de se reposer le 7ème jour….
Bonne soirée,
Claire
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Chère Claire
La chanson du camionneur et celle de l’écrivaine au k-oeur d’or…. auraient été des chansons que j’aurais commenté avec la même dévotion autour du feu de foyer , en bas de la scène du petit Pierrot, quand les débuts de semaine, pendant des tempêtes de neige, je descendais de scène pour faire guitare et mélodie chantée pour quelques clientes et clients égarés … … que la chanson Présence de Félix leclerc.
J’aimais faire hors temps, hors réalité, hors servitude… pour faire événement poétique, devant ce que j’appelais la cliente ou le client-accident… qui , ce soir-là, n’aurait jamais du se retrouver …. pur poème sur deux pattes …. devant le feu de foyer …. maître de poésie abs-xistentielle … de la vie humaine heureuse… comme je la nommerais aujourd’hui.
Ce mysticisme du commentaire poétique pouvait durer une bonne demie-heure. Je racontais Félix, la jeune Gaetane partie à sa conquête… et lui si heureux et maheureux à la fois de voir sa poésie de la fine amor comme on disait au moyen-âge au temps des troubadours et des trouvères ( Joffré Rudel entre autres) .. [RARE] Jaufre RUDEL – Une Vie, une Œuvre : l’amour lointain (France Culture, 1998) – YouTube
…. soudain se trouver dans les maillons d’un projet de k-oeur tissé d’un pari de l’usure au quotidien.
Je me faisais coureur des bois, poète, vagabond de la beauté du monde, pour marcher les sentiers d’un texte que j’ai chanté au bien au-delà de mille fois, sans jamais apprendre les paroles pour ne pas l’insulter…
Ainsi le 26 février… je sortirai ma guitare pour la dernière fois, et je chanterai comme devant le feu de foyer des Pierrots , mais cette fois-ci, ce sera devant le feu de foyer du k-oeur des humains que votre remarquable bienveillance honore jour après jour.
Je n’aurai pas appris les paroles de la chanson… comme pour celle de PRÉSENCE de Félix que je n’ai jamais apprise… Et pourtant… je la chanterai hors temps, hors réalité, hors servitude… comme elle mérite de l’être. Parce que votre rêve est en harmonie avec celles et ceux que vous aimez…
Souhaitez bonne fête à David de ma part.
Je passerai la journée chez Danielle
J’aurai la guitare de Michel
et je lui commenterai chacune des paroles
de la chanson de l’écrivaine au k-oeur d’or
juste pour me rappeler PRÉSENCE de Félix
et j’arriverai ainsi le 26… un peu mieux fluidifié
de la joie de chanter .
Paroles
Tu dis que le traîneau de nos amours est dans la cour
Je regarde dehors et ne vois que la mort
Tu dis qu’au grand galop notre cheval est revenu
Des bergers qui l’ont vu l’ont ramené de mal
Ni cheval, ni traîneau dehors, ni foulard sur la neige
Pourquoi troubler mon pauvre corps avec tes sortilèges?
Tu dis que le gazon dessous la glace est resté vert
Je creuse à cette place ce n’est que foin amer
Tu dis que la chaloupe, la nuit, fait des chansons
La chaloupe est au fond, chez les noyés, ma mie
Peut-être que les feux de bûches et notre maison blanche
Peut-être que le miel, la huche étaient de faux dimanches
Tu t’obstines à trouver que les rosiers n’ont pas changé
L’hiver les a brisés, l’hiver les a gelés
Comme la feuille rouge que le vent a emportée.
Les fées s’en sont allées sur un nuage blanc
Tu me dis que rien n’est fini et que tout recommence
Que le mois d’août est sur le lit entouré de silences
Si je vois le printemps venir derrière mes rideaux
Je croirai ton traîneau, ton cheval et ta mer
Si les sources ramènent les grenouilles dans l’étang
Je prendrai deux quenouilles et ferai un serment
Le serment de l’aimer toujours malgré les poudreries
Le serment de croire en ce jour qu’ils soient d’or ou de gris
Tu apportes dans mon grenier le rêve qu’il me faut
Comme la douce sève qui nourrit l’arbrisseau
Si jamais tu t’en vas, ma mie
Je m’en irai aussi
————–
rès cher Pierre,
Chaque note de musique résonne harmonieusement dans ma tête… oui, cette chanson sera pour vous, un chef d’œuvre..!! Et pour moi, un des plus merveilleux cadeaux qu’il me fut donné de recevoir… Sachez, cher Pierre, que je vous inclue des « …les amours de k-oeur…de ma longue vie…»
Bonne journée,
Claire
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Cher Pierre,
Cette ambiance feutrée, dont vous parlez, est quelque chose que j’ai toujours tenté de mettre dans ma vie… mais ce ne faut pas toujours facile… Je pense qu’avec vous, pour votre projet des enregistrements audio, nous devrions y parvenir… c’est tellement calme chez moi…
J’apprécie beaucoup cette harmonie des mots entre nous deux… ce n’est pas donné à tout le monde. Comme le disait Dany Laferrière, dans un article que je lisais récemment : Tout le monde peut apprendre à écrire, mais le véritable talent d’harmoniser les mots, de les faire couler de source… c’est un véritable don, qui ne s’apprend pas. Un don, que tous les deux nous possédons… je crois que nous avons de grandes choses à écrire ensemble…
Cette nuit, je m’interrogeais… Est-ce que vous êtes totalement fermé à revoir votre famille ? Votre frère Claude, par exemple ? Une idée me trottait dans la tête… avant de commencer vos enregistrements audio… est-ce que ça pourrait être une possibilité de nous rendre à La Tuque, ensemble, visiter les lieux de votre jeunesse, de vos grands-parents, de votre père ? Une idée… .
À ce soir.
Claire
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Nous planifierons donc que l’enchantement…
Vous êtes vraiment intuitive… cela m’impressionne… j’adore… Vous savez Claire… je ne vis que de poésie…et les mots pour moi, sont les parfums d’une table d’honneur qui s’appelle la vie.
Les émotions que font naître les mots, sont aussi pour moi… passion et poésie…
Bonne journée,
Claire
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a grande démission …. …voilà ou se situe l’enjeu de mes 45 minutes confidences… Claire….ou la conquête du marché du travail par les lois des 4 questions dudu k-oeur
Bo
La « Grande Démission » des Américains
Plus de 25 millions d’Américains ont démissionné de leur emploi au cours des six derniers mois de 2021. Une « Grande Démission » causée par une grande remise en question.
L’avènement des remises en question
Comme tout le monde, Ranee Soundara, ex-cheffe de produit marketing pour une société de technologie établie à New York, avait déjà entendu parler d’épuisement professionnel et de stress post-traumatique. Mais elle n’aurait jamais pensé que des médecins lui diagnostiqueraient un jour ces deux formes de souffrances mentales.
« Ils m’ont expliqué en gros que beaucoup de gens, surtout pendant la pandémie, traversent des situations mentales différentes qui ont un impact sur leur santé. C’est vraiment le genre de chose qui m’a fait réfléchir », a-t-elle raconté lors d’une entrevue récente.
La célibataire de 37 ans a reçu son diagnostic en janvier 2021. Mais elle n’a pas abandonné tout de suite l’emploi exigeant qui lui faisait passer des nuits blanches dont elle émergeait avec des envies de vomir. Elle a d’abord transformé sa vie afin de mettre de côté un maximum d’argent.
Puis, en juin 2021, elle a remis à son employeur une lettre de démission annonçant son départ prochain. Elle a ainsi grossi les rangs des quelque 4,1 millions d’Américains qui ont quitté leur travail en juillet 2021, selon le Bureau des statistiques du travail. Elle a également ajouté son nom à une tendance lourde.
Au cours des six derniers mois de 2021, 25,6 millions d’Américains ont démissionné de leur emploi, un phénomène que les médias ont baptisé la « Grande Démission ».
Anthony Klotz, professeur de gestion à l’Université A&M du Texas, a inventé cette expression en mai 2021 lors d’une entrevue accordée à Bloomberg. Il l’a utilisée en prédisant que les Américains se mettraient à quitter leur emploi en masse quand leurs patrons les forceraient à retourner au bureau. L’expression est restée, même si le phénomène qu’elle décrit est loin de se limiter à la seule explication évoquée par le professeur. Ranee Soundara incarne elle-même un trait important de cette tendance lourde.
La « grande remise en question »
« Les gens parlent de la Grande Démission, mais pour moi, c’est plutôt la grande remise en question de mes priorités et de mes valeurs, dit-elle. L’une de mes priorités était de m’occuper de ma santé mentale, de prendre de vraies vacances pour la première fois en quatre ans et de réfléchir à la prochaine étape de ma carrière. » Depuis sa démission, Ranee Soundara a notamment séjourné pendant huit semaines à Florence, en Italie, où elle a étudié la peinture et la sculpture. Elle a aussi passé du temps avec sa mère, qui vit à Seattle, avant de se remettre en quête d’un nouveau travail. Mais pas n’importe lequel.
« J’ai beaucoup d’amis qui vivent la même expérience que la mienne », dit-elle.
Nous sommes à ce stade de nos vies où nous ne voulons plus retourner à ce que nos carrières ont été au cours des 15 ou 20 dernières années. Nous répudions ce que beaucoup d’entre nous considèrent comme une culture hostile.
Ranee Soundara
Âgé de 38 ans, Joseph Jalbert déplore de son côté les « heures folles » qui rythmaient sa vie à New York en tant que producteur délégué pour une chaîne de télévision consacrée à la cuisine. « J’étais ni plus ni moins sur appel 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 », a-t-il dit en entrevue. Pour échapper à ce tempo infernal, il a accepté un emploi à Atlanta lui permettant de mettre ses expériences passées au service d’une entreprise en démarrage du secteur de la santé. Mais son rythme de travail n’était pas moins infernal qu’avant. D’où sa décision de quitter son emploi en septembre dernier. Sa femme, en revanche, a continué à travailler pour la même entreprise.
« Heureusement, nous étions dans une position financière assez bonne pour que je n’aie pas à avoir un autre emploi en vue avant de quitter l’autre », a dit le natif du Massachusetts. Ces derniers mois, Joseph Jalbert a ainsi pu consacrer du temps à des projets qui lui tenaient à cœur, dont l’adoption d’un chiot et la mise en chantier de projets créatifs.
« Un temps pour respirer »
« J’ai commencé à écrire un livre pour enfants. J’ai un tas d’idées pour des émissions de télévision que je n’avais jamais eu le temps de coucher sur papier auparavant, par manque de temps », dit-il. En parlant des derniers mois, Joseph Jalbert ajoutera : « Ç’a été un temps pour tout simplement respirer. »
Aucun secteur n’est vraiment épargné par la Grande Démission.
Selon les données du réseau social professionnel LinkedIn, près de 1,5 million de postes sont toujours à pourvoir aux États-Unis, dont 4,4 % des emplois du secteur de l’éducation, 6 % des emplois du commerce au détail, 8 % des emplois du secteur de la santé et 9 % des emplois de l’hôtellerie et de la restauration.
Ce manque de personnel a facilité les décisions professionnelles de certains Américains.
Jordan, une New-Yorkaise dont nous taisons le nom de famille à sa demande, fait partie de ce groupe. Avocate de formation, elle a quitté l’an dernier son emploi dans une entreprise de marketing, désirant s’éloigner de l’univers du 9 à 5 et se rapprocher de la carrière d’actrice dont elle rêve.
Ainsi, quand un de ses amis lui a demandé si elle connaissait quelqu’un qui voudrait travailler dans un grand restaurant de Chelsea, à Manhattan, elle a répondu : « Moi. »
« J’ai fait confiance à mon ami, se souvient Jordan. Il m’a dit : “C’est un excellent endroit où travailler, très flexible. Tout le monde est un chanteur, un danseur ou un acteur. Je n’ai jamais eu de problème si je dois partir pour une audition.” » Des mois plus tard, Jordan ne regrette pas d’avoir démissionné de son ancien emploi pour en prendre un qui correspond davantage avec le style de vie qu’elle veut mener. « Avec la pandémie, les gens réalisent que la vie est trop courte, dit-elle. On ne sait vraiment pas quand notre dernier jour arrivera. »
« Les employés sont en contrôle »
Le marché du travail n’a plus de secrets pour Danny Nelms. En 2021, l’organisation dont il est le président, le Work Institute, a interviewé 28 000 employés démissionnaires pour connaître la raison de leur départ. Il a à son tour accepté d’être interviewé par La Presse pour discuter de ses constats.
Comment expliquez-vous la « Grande Démission » dont on parle tant aux États-Unis ?
La Grande Démission a été alimentée par un certain nombre de facteurs. Il est évident que la pandémie mondiale a ouvert la voie à un changement important dans la manière dont le lieu de travail est organisé aujourd’hui. Je pense que beaucoup d’employés ont découvert qu’il y avait un éventail d’occasions dont ils pouvaient se prévaloir. Il est clair que le redressement de l’économie après la crise causée par la pandémie a été beaucoup plus rapide que lors d’une récession normale. Les employés sont en contrôle. Et si nous ne faisons pas tout notre possible pour trouver une façon de les retenir et de les motiver, ils vont trouver d’autres occasions.
Quelles sont les raisons les plus souvent évoquées par les employés pour expliquer leur démission ?
Nous avons constaté deux ou trois choses et nous disposons maintenant de suffisamment de données pour pouvoir dégager des tendances. Il est évident qu’en 2020, lors de la vague initiale de la pandémie, nous avons constaté une augmentation considérable de démissions liées à des raisons de santé ou familiales. Beaucoup de gens essayaient d’éviter d’être exposés à la COVID-19 ou d’exposer des membres de leur famille. D’autres avaient des enfants à la maison. Beaucoup d’autres encore ont décidé de devancer leur retraite.
Cependant, à partir de 2021, nous avons constaté un changement de tendance important. La plupart des départs étaient liés à des raisons de carrière. Les gens voyaient d’autres occasions de développement, de croissance. Certains ont décidé de changer complètement de carrière. Et je pense qu’une partie de cela a été alimentée par la pandémie et la prise de conscience qu’il y avait beaucoup d’occasions intéressantes.
Qu’en est-il des raisons pécuniaires ?
Nous avons constaté une augmentation du nombre de personnes qui partent pour des raisons pécuniaires, mais j’aime souligner qu’il y a encore moins d’un employé sur dix qui dit que l’argent est la raison principale ou la cause fondamentale de sa décision de partir.
D’où tenez-vous cette donnée ?
En 2021, nous avons mené plus de 28 000 entretiens de départ avec des employés aux États-Unis et au Canada. Voilà d’où nous tenons cette donnée. La réalité est que quand les gens quittent leur emploi, ils obtiennent généralement un meilleur salaire. Mais ce n’est pas la cause première de leur décision de partir.
Comment les employeurs s’y prennent-ils pour retenir leurs employés ?
C’est là que la voix des employés devient si importante. Les employeurs doivent être à l’écoute de leurs employés. Je pense qu’ils doivent mettre en place des outils et des processus pour être en mesure de répondre aux besoins et aux exigences de leur personnel. Il y a certainement une forte pression en ce moment pour mettre en œuvre des choses comme les entretiens de fidélisation. Et je dirais qu’ils sont absolument essentiels en ce moment.
Nous parlons donc littéralement aux individus ou aux employés de ce qui améliorera leur situation, de leurs objectifs à long terme, de ce qui les aidera à affronter certaines circonstances. Au début de la pandémie, d’énormes efforts ont été déployés dans ce sens. Je pense que nous nous en sommes éloignés jusqu’à un certain point et je pense que cette exigence sera permanente.
De façon générale, les employeurs en font-ils assez pour retenir leurs employés ?
Je pense que les employeurs ont tendance à être complaisants. Ils ont longtemps toléré un roulement d’employés élevé en sachant qu’il leur suffisait d’afficher un poste pour avoir beaucoup de postulants. Mais l’offre et la demande ne sont plus ce qu’elles étaient. Et je pense que ce problème durera encore longtemps.
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’aime beaucoup cet angle !
Après le 26 février, quand vous connaîtrez un peu mieux David, en tant que personne – j’espère qu’il pourra venir à l’enregistrement, je dois lui en parler ce soir – vous pourrez vous appeler plus tard, et convenir d’un déjeuner ensemble… avant la COVID, il invitait souvent ses futurs conférenciers pour un déjeuner d’affaires, histoire de les connaître et de mieux les positionner….
Stupide COVID… mais au fond, quand on y pense, elle aura probablement permis des changements positifs…
Claire
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D’une certaine façon, par Simon et Fred… je suis comme devenu une figure au potentiel international… je sens que David peut faire en sorte que je puisse faire du bien à plus de monde par les 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art… simplement parce que c’est d’abord un rêveur qui a conquis son propre rêve dans la droiture et l’authenticité.
bonne journée chère Claire
Pierrot
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Bonsoir Pierre,
David et les siens viennent de partir… il y a de l’école demain. David et Laurence ont été ravis d’accepter notre invitation de venir assister à l’enregistrement de ma chanson, le 26 février prochain, avec les enfants. Édouard et Évangéline se sont montrés très intéressé de découvrir comment une chanson s’enregistre… Kevin et Éloïse, pris par le ski de compétition, seront les absents de ma belle gang. Nous allons vivre tous ensemble un merveilleux moment…
Chère Claire
très ému que David et Laurence me fasse confiance:))))
suggestion:
Le 26 février, nous vivrons donc …un magnifique moment poétique célébrant l’oeuvre d’art familial que constitue votre rêve d’écrivaine … par une chanson que nous avons écrit ensemble.
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Nous aurions aussi cette possibilité.
Dans un ier temps, j’enregistrerais une piste de la chanson. Puis… DANS UNE DEUXIÈME PISTE EN RAJOUT …. DONC DANS UN DEUXIÈME TEMPS …. il serait aussi possible que la famille chante pour vous, dans la partie finale de la chanson …
OH BON ANNIVERSAIRE
TOI L’ÉCRIVAINE(2)
TOIL’ÉCRIVAINE AU K-OEUR D’OR QUE L’ON AIME
TOI L’ÉCRIVAINE AU K’OEUR D’OR QU’ON ADORE
et moi je complèterais en finale
en chantant
QU’ON AIME ET QU’ON ADORE…
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Ce qui nous donnerait 2 versions de la chanson, une ou je chante seul et l’autre ou la famille chante…
qu’en pensez-vous?
si tout le monde est d’accord
j’orchestrerais le tout en studio
cela a peut-être l’air compliqué…mais croyez-moi
cela reste assez simple:))) Il faudrait juste vérifier
si toute la gagne aimerait vivre l’expérience, en toute détente:)))
La famille aurait donc, non seulement assisté à un enregistrement, mais elle l’aurait aussi vécu et en aurait retiré un artéfact concret et poétique pour la mémoire du clan.
Selon votre réponse… j’aviserai avec le studio … il ne suffirait alors qu’à envoyer un exemplaire du fichier ou je chante chez Danielle à chacun des membres de votre famille ….pour que chacun ait la chance de se familiariser avec le bout final de la chanson…. Le but n’est pas d’être parfait, mais d’être parfaitement heureux en vivant ensemble un impossible joyeux.
votre tout dévoué
Pierrot:))))
Bonsoir Pierre,
David et les siens viennent de partir… il y a de l’école demain. David et Laurence ont été ravis d’accepter notre invitation de venir assister à l’enregistrement de ma chanson, le 26 février prochain, avec les enfants. Édouard et Évangéline se sont montrés très intéressé de découvrir comment une chanson s’enregistre… Kevin et Éloïse, pris par le ski de compétition, seront les absents de ma belle gang. Nous allons vivre tous ensemble un merveilleux moment…
Bonne fin de soirée, cher ami.
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À mon Valentin de plumes…
Très cher Pierre,
En cette journée de l’amour… dans toutes ses variantes… je nous souhaite une belle et longue épopée, sur des chemins, qui pour la majorité, nous sont encore inconnus…
Bonne Journée de la St-Valentin… à vous, mon Valentin de plumes…
Claire
Claire Bergeron
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désolé pour le retard … j’ai passé la journée en travail métaphysique ave Gaelle:)))
Chère Claire
Je vous reviens cette nuit ,,, en cette St-Valentin… ou c’est avec mon amitié oeuvre d,art dévoué à votre rêve d’écrivaine que je célèbre notre amitié:)))))
Pierrot
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traverser la vie comme si c était un conte philosophique
Chère Claire
Journée de travail intellectuel intense aujourd’hui en métaphysique pour Gaelle et moi. Un long enregistrement, suivi d’une intense communication ou nous nous sommes fait la promesse de faire de notre épopée de chercheur(e)s universitaires un événement poétique inspiré par la phrase suivante venue de Gaelle:
TRAVERSER LA VIE COMME SI C’ÉTAIT UN CONTE PHILOSOPHIQUE.
Quand je me suis levé cette nuit pour vous écrire… (4h.24 du matin) … j’ai tout de suite pensé à la joie que vivrons vos petits enfants en studio le 26 février… cette joie de conte philosophique …. qui rend l’enfance si précieuse pour nous qui sommes si conscients du passage du temps et de ses effets sur notre bienveillance du k-oeur et notre gentillesse envers la k-ontition humaine si énigmatique qui les attend. J’espère vraiment qu’ils oseront le risque de vous chanter la finale de la chanson pour en conserver un émouvant témoignage musical quand ils grandiront.. Je pense en ce moment à la chanson que mon père avait composé… Plage St-Louis… qui est aujourd’hui sur you tube et que je ne peux écouter sans être fragilisé d’une joie extrême que cela un jour fut.
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Puis je suis revenu à la disparition de Simon …. à une chanson que j’ai chanté autant au café St-Vincent qu’aux deux Pierrots… et qui me hante encore aujourd’hui… du poète Rhutebeuf… QUE SONT MES AMIS DEVENUS… un dit… comme on disait au Moyen-âge ,,,, qui a été composé dans un temps ou l’art du poème a été séparé de celui de la musique… mais qui a été finalement mis en musique par Léo Ferré…. dont Renée Claude a fait une si belle version…. C’est cause de chansons comme celles-là que je ne peux reprendre la guitare… chacune des chansons de mon vieux cahier provoque en moi des larmes de joie trop personnelles pour les laisser percer publiquement les horizons de l’intimité poétique que j’ai vécu avec la vie…. son énigme et son intimité insatiable avec les synchroni-vie-tés si …contes de fée… de métamorphoses de mon rêve de vie… En ce sens Orizon représente pour moi comme un impossible heureux mais que j’aimerais vivre dans la pureté du k-oeur et sans intérêt eprsonnel caché… que dans la pureté du k-oeur… comme si la salle était en soi une grande oreille unique
Pauvre Rutebeuf
Que sont mes amis devenus
Que j’avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L’amour est morte
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
Avec le temps qu’arbre défeuille
Quand il ne reste en branche feuille
Qui n’aille à terre
Avec pauvreté qui m’atterre
Qui de partout me fait la guerre
Au temps d’hiver
Ne convient pas que vous raconte
Comment je me suis mis à honte
En quelle manière
Que sont mes amis devenus
Que j’avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L’amour est morte
Le mal ne sait pas seul venir
Tout ce qui m’était à venir
M’est avenu
Pauvre sens et pauvre mémoire
M’a Dieu donné le roi de gloire
Et pauvres rentes
Et droit au cul quand bise vente
Le vent me vient, le vent m’évente
L’amour est morte
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
L’espérance de lendemain
Ce sont mes fêtes
Chère Claire,
Nous sommes vous et moi rendus à l’âge des deuils cruels… Voilà pourquoi j’accorde une importance si grande à l’amitié oeuvre d’art… Claire, Gaelle, Raymond-Louis, Michel, Marlene, Didier, Nathalie …. Je prends soin du rêve des autres, sans intérêt personnel caché, par dévotion pure pour le rêve de chacune et de chacun.
Je vis la disparition de Simon comme un incendie dans mon k-oeur dont les cendres ne pourront jamais refroidir…
Quand Simon a entrepris sa dernière tournée, au mois d’aout 2021… qu’il a terminé. le 19 septembre… avec son conte philosophique le vagabond céleste aux Iles de la madeleine… il savait qu’il allait mourir… il savait qu’il devait maintenant se préparer à se marier avec l’infini… à se faire beau pour le grand mariage… avec l’impossible…
C’est donc avec toutes ses fragilités poétiques que je vous écris cette nuit… demain je passerai l’après-midi avec Danielle à prendre soin de son rêve… par pure amitié oeuvre d’art…
L’amitié oeuvre d’art pour moi, c,est le cérémonial le plus sacré que l’on peut danser dans la plus belle période de la vie qui s’appelle celle de l’âge de la beauté du k-oeur… et c’est de cela que témoignera notre chanson, le 26 février…. l’écrivaine au k-oeur d’or …l’âge du k-oeur en dévotion avec les rêves des générations suivantes
Pierrot
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Traverser la vie comme si c’était un grand roman d’amour…
Cher Pierre,
Voici la phrase dont je qualifie mon épopée d’écrivaine :
TRAVERSER LA VIE COMME SI C’ÉTAIT UN GRAND ROMAN D’AMOUR….
Et c’est, cher ami œuvre d’art, le parfum sublime que vous avez su lui donner, à travers les mots suaves de votre merveilleuse chanson…
Une excellente journée à vous !
Claire
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voilà une phrase phare qui vous symbolise parfaitement Claire…
Cette phrase est extraordinaire Claire…Et je pense que cette phrase pourrait servir de plume orale au retour sur nos enregistrements audio … pour nous raconter tour à tour l’épop.e de nos rêves réciproques
TRAVERSER LA VIE COMME SI C’ÉTAIT UN GRAND ROMAN D’AMOUR
TRAVERSER LA VIE COMME SI C,ÉTAIT UN CONTE PHILOSOPHIQUE…
Ce que j’aime là-dedans… c,est un fabuleux programme de création d’une oralité qui prend plaisir à se raconter… de là votre fameuse phrase qui m’a mis en contact avec vous:)))
«Je veux vivre ma vie comme j’aimerais la lire quand sera venu le temps de me souvenir.»
Je m’en vais travailler, après avoir terminé cette belle journée et demie ou Gaelle a enregistré plusieurs audios en préparation avec sa thèse de doctorat… dont la phrase-clé cemble celle-ci
MON PINCEAU EST LE RÊVE D’UN CHEVEU QUI SE COMPREND…
Je vous reviens donc ce soir
ou cette nuit
Pierrot
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Cher Pierre,
L’amitié oeuvre d’art pour moi, c’est le cérémonial le plus sacré que l’on peut danser dans la plus belle période de la vie qui s’appelle celle de l’âge de la beauté du k-oeur… et c’est de cela que témoignera notre chanson, le 26 février…. l’écrivaine au k-oeur d’or …l’âge du k-oeur en dévotion avec les rêves des générations suivantes
Je ne sais pas si mes enfants et petits-enfants donneront une réponse positive à votre invitation à chanter avec vous la finale de notre chanson… quoiqu’il en soit, je peux vous affirmer qu’ils sont ravis de la merveilleuse chanson que vous avez écrite pour leur maman et grand-maman. Je suis certaine que ce moment magique, de nous autour de vous et de votre chanson, demeurera gravé dans la mémoire de chacun d’entre eux, pour la vie entière.
J’ai parlé de l’enregistrement à David, dimanche soir, à son souper d’anniversaire… et spontanément, il a été d’accord pour y assister. Lundi, après que je lui aie fait parvenir votre second enregistrement, il m’a appelé. Il voulait s’assurer que cet enregistrement sera de qualité à pouvoir être jouer à toutes les radios. Et quand je lui ai parlé d’une possible vidéo… ça semblé l’intéresser. Il m’a demandé de lui faire parvenir le lien de Studio Loco.
De son côté, Isabelle a adoré votre nouvelle version. Elle a écrit : On pourrait peut-être ajouter une partition de piano pour Rosalie… Je ne m’y connais pas du tout en musique… et je ne sais trop si ce qu’elle suggérait pouvait être une possibilité… Rosalie est une excellente pianiste… elle a composé quelques pièces musicales. Aussi, à l’automne 2020, à cause de son entrée à McGill en ligne et non en présentielle, elle est venue habiter avec moi de septembre à décembre, et elle donnait des cours de piano, deux jours par semaine, de 15 à 21 heures, dans un studio de Terrebonne, à des jeunes et à des adultes. Elle adore jouer au piano, elle en a même besoin pour son équilibre de vie… c’est passionnant de l’entendre… Une partition, c’est une idée de sa maman… il est possible que même si c’était possible, Rosalie n’aurait pas réellement le temps de le faire… Isabelle aussi a trouvé excellente l’idée d’une vidéo… qu’elle imaginait avec vous, chantant en arrière-plan, dans un flou artistique, tandis que défilerait des photos de nous tous, autour de mon épopée d’écrivaine…
Tous sont tellement pris dans le tourbillon de leur vie respective… il est parfois aussi difficile de les rejoindre pour discuter… que d’arrêter le vent de souffler… Mais la semaine prochaine, nous passerons 5 jours tous ensemble, dans un condo à Tremblant…nous aurons le temps de discuter de toutes ces possibilités… Je voulais vous tenir au courant… et demander vos conseils ou suggestions… au cas où il serait décidé de faire une vidéo…
Je vous souhaite une belle fin de journée.
Claire
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wowwww… Claire pour Rosalie dans tout ce qu’elle voudra inventer…. j’y vois un événement poétique familial tellement symbolique dans cette période si difficile de pandémie… il est possible d’être poétiquement heureux en célébrant une ma mie dans son sens sacré du mot amour
Boîte de réception
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17:58 (il y a 0 minute) | |||
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Chère Claire
De son côté, Isabelle a adoré votre nouvelle version. Elle a écrit : On pourrait peut-être ajouter une partition de piano pour Rosalie… Je ne m’y connais pas du tout en musique… et je ne sais trop si ce qu’elle suggérait pouvait être une possibilité… Rosalie est une excellente pianiste… elle a composé quelques pièces musicales. Aussi, à l’automne 2020, à cause de son entrée à McGill en ligne et non en présentielle, elle est venue habiter avec moi de septembre à décembre, et elle donnait des cours de piano, deux jours par semaine, de 15 à 21 heures, dans un studio de Terrebonne, à des jeunes et à des adultes. Elle adore jouer au piano, elle en a même besoin pour son équilibre de vie… c’est passionnant de l’entendre… Une partition, c’est une idée de sa maman… il est possible que même si c’était possible, Rosalie n’aurait pas réellement le temps de le faire… Isabelle aussi a trouvé excellente l’idée d’une vidéo… qu’elle imaginait avec vous, chantant en arrière-plan, dans un flou artistique, tandis que défilerait des photos de nous tous, autour de mon épopée d’écrivaine…
wowwww pour toutes les propositions… j’imagine même Rosalie chanter la chanson en s’accompagnaut au piano toute seule … ou une participation dans la forme qu’elle voudra… j’ai écrit les accords en Sol … alors, comme elle le verra, j’ai du baisser la tonalité de mes cordes de guitare en Fa (approximatif) parce qu’après 10 ans ou je n’ai pas toucher à l’instrument, je ne voulais pas jouer en fa et me retrouver avec des accords barrés… alors Que Rosalie ose… tout ce qu’elle peut imaginer… je serai preneur… l’important pour moi. c’est que votre famille vive une poésie de l’instant présent d’une telle fraîcheur que des années plus tard, il restera la joie d’avoir osé être poète du quotidien famillial dans la perfection d’une joie d’être ensemble et non pas la joie d’avoir fait perfection:)))))))
Il faudra juste demander… au studio Loco 1) s’ils ont un fil électrique pour relier ma guitare nilon à leur console (le contraire me surprendrait) …. et 2) s’ils peuvent mettre un piano à la disposition de Rosalie, 3) et si Rosalie veut chanter la chanson, dans une version à elle , qu’on puisse louer une heure de plus en studio… Moi j’aimerais bien en tout cas… que ce soit Rosalie la chanteuse du video sur you tube… si elle en a le goût… et pas besoin d’avoir mon approbation…. qu’elle fonce… on tricotera le tout en studio:))))
A 73 ans, pour moi, ce qui compte c’est que tous soient gagnants gagnants.. pour célébrer une rêveuse exceptionnelle en vous Claire.
p.s.
Je commence à me sentir intérieurement confortable à l’idée que ce que je vis avec vous n’a rien à voir avec ce que je vais vivre avec David et Orizon … et ça, ça me rend si heureux…. tout se passe comme si on avait inventé un espace poétique des mots entre nous libre de tout ce qui n’est pas poésie en soi. je sens de moins en moins le besoin de parler d’orizon avec vous… par pur plaisir de parler poésie entre nous. :)))))))
le 26 février … Osons…. ayons du plaisir à imaginer l’impossible… pour le plaisir de se raconter, courriel après couriel nos épopées respectives dans notre marche vers la beauté du monde, vous par l’amour des vôtres, moi par le conte philosophique que constitue l’amitié oeuvre d’art dans la mystique du rêve de l’autre.
Pierrot
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Chère Claire,
Toute ma vie ne fut que la mise en scène théâtrale de la joie de rêver
l'impossible que m'avaient enseigné les personnages de mon enfance…
Je pense que de faire certains de nos audios à La Tuque de lieu en lieu
est en soi une idée exceptionnelle…. car il suffit que je revisite un lieu
pour devenir intarissable… et on ne peut saisir mes métamorphoses que
par cet événement poétique que vécut La Tuque par la baguette magique
de la musique elle-même… dans les années ou elle n'eut aucune
concurrence (télévision, radio)
Ceci dit… j'ai mis fin à toute relation avec ma famille exactement comme
le font les religieuses qui entrent au cloître… Je n'ai jamais eu rien à
reprocher à personne et je n'ai jamais eu d'argument avec quiconque…
Je les respecte tous et mon frère Claude encore plus que les autres…
Mais juste le fait d'avoir à me retrouver dans des obligations sociales
(baptêmes, mariages, enterrements etc…) cela me terrifie d'autant plus
que nous sommes 10 enfants dont 9 encore vivants… en ajoutant à cela
les générations suivantes… et le fait d'avoir à dire à plus d'une oreille et
à écouter plus d'une oreille… je n'en ai pas la force métaphysique alors
que je ne rêve que de réclusions universitairement enchantées entre des
45 minutes-confidences pour terminer ce doctorat des rêveurs
équitables et parallèlement assister au succès éclatant en pensée pure
de Gaelle…
vous êtes vraiment intuitive… cela m'impressionne… j'adore… Vous
savez Claire… je ne vis que de poésie…et les mots pour moi, sont les
parfums d'une table d'honneur qui s'appelle la vie.
à suivre donc:)))
Bonne journée de fête avec
votre famille
Pierrot
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Très cher Pierre,
Vous avez composé ma chanson avec votre âme et votre cœur… elle est la perception que vous avez de moi… de ma passion d’écrivaine… de mon rêve avec lequel je n’ai jamais triché…
Pour rien au monde je ne voudrais que quelqu’un d’autre me chante votre si merveilleuse chanson… vous, et vous seul…pouvez me la chanter avec l’émotion et l’enchantement du créateur, envers celle qui l’a inspiré…
Je suis tellement honorée d’être pour vous, à vos yeux, une écrivaine au k-oeur d’or…
Bonne nuit, cher ami.
Claire
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Vous sentir intérieurement confortable avec moi…
Très cher Pierre,
Je commence à me sentir intérieurement confortable à l’idée que ce que je vis avec vous n’a rien à voir avec ce que je vais vivre avec David et Orizon … et ça, ça me rend si heureux…. tout se passe comme si on avait inventé un espace poétique des mots entre nous libre de tout ce qui n’est pas poésie en soi. Je sens de moins en moins le besoin de parler d’Orizon avec vous… par pur plaisir de parler poésie entre nous. :)))))))
Ce que vous écrivez ici me ravit… et je trouve vos mots d’une grande importance… pour ce que nous allons vivre cet été, en partant à la quête de vos souvenirs, à La Tuque…
Depuis le commencement de notre échange, vous avez certainement remarqué que je vous appelle Pierre et non Pierrot… Depuis le début, j’ai le sentiment, très fort, que je dois séparer l’être humain du personnage… Lors de notre passage à La Tuque, nous plongerons au cœur de vos émotions… il sera important, alors, que vous vous sentiez confortable… intérieurement… en ma présence… avec les questions que je ne manquerai pas de vous poser… pour approfondir votre épopée…
Je viens de regarder en direct l’équipe canadienne de patins de vitesse remporté leur médaille d’or… j’adore voir des rêves olympiques se réaliser en direct…
Bonne journée, cher Pierre!
Claire
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Je vis avec vous Claire …la notion D’ABS-MINENCE (d’éminence en amitié oeuvre d’art:))))
éminence
nom féminin
- 1.
Élévation de terrain relativement isolée.
Observatoire établi sur une éminence.
Mots de sens similaire :
hauteur
monticule
tertre
- 2.
AU FIGURÉ
Titre honorifique qu’on donne aux cardinaux.
Oui, Éminence (ou votre Éminence).
rès cher Pierre,
Je commence à me sentir intérieurement confortable à l’idée que ce que je vis avec vous n’a rien à voir avec ce que je vais vivre avec David et Orizon … et ça, ça me rend si heureux…. tout se passe comme si on avait inventé un espace poétique des mots entre nous libre de tout ce qui n’est pas poésie en soi. Je sens de moins en moins le besoin de parler d’Orizon avec vous… par pur plaisir de parler poésie entre nous. :)))))))
—————-
Chère Claire,
Je vis avec vous la notion d’abs-minence (soit celle d’éminence en amitié oeuvre d’art selon mon traité des abs …. notion qui authentifie au niveau d’un rêve poétique la iere partie de la définition ordinaire du mot… soit celle qui parle d’une élévation de terrain relativement isolée… comme s’il s’agissait d’un OBSERVATOIRE… ÉTABLI SUR UNE ÉMINENCE… qui en fait devient un ABS-ERVATOIRE.
Tout se passe comme si …nos deux rêves… avaient atteint une hauteur confortable ou tout le reste… qu’importe le reste… devient spirituellement apaisé de notre bienveillance discrète…Avant , quand je vous écrivais par courriel, il y avait toujours cette petite voix qui me disait… comment vas-tu faire pour démontrer que tu es un homme droit, sans faille au niveau des intentions… Chaque mot de ma part était porteur de vigilance éthique que je me devais d’avoir. De là l’importance que j’ai accordé à faire des fichiers de courriels.
On dirait que la chanson a libéré intérieurement un PROMONTOIRE … d,abs-minence… qui me rend disponible à un ABS-ERVATOIRE qui s’appelle L’AMITIÉ OEUVRE D’ART… dont la conséquence me semble le pari de l’impossible à prendre soin du rêve des autres simplement par une paix spirituelle personnelle.
Ce que vous écrivez ici me ravit… et je trouve vos mots d’une grande importance… pour ce que nous allons vivre cet été, en partant à la quête de vos souvenirs, à La Tuque…
Je vous avoue Claire, que mon enfance fut un tel enchantement… que je n’ai pu faire autrement , le reste de ma vie… de la célébrer comme si un conte philosophique… avait fait de ma petite personne existentiellement mortelle… un invisible heureux…. et pourtant La Tuque aujourd’hui ressemble à des ruines… rien ne s’y retrouve non blessé par le temps et et les contextualités sociales d’une ville en perte sévère de croissance économique.Et pourtant… les traces QWALIENNES … DE MON GRAND-PÈRE, DE MON ONCLE pAULO, DE MON PÈRE… y sont profondément racontées par les larmes de joie des ruines mêmes sur lesquelles ma mémoire abs-xistentielle semble vouloir encore aujourd’hui en faire une danse pour un feu de joie (danse pour un feu de joie étant un concept métaphysique de Gaelle)
Depuis le commencement de notre échange, vous avez certainement remarqué que je vous appelle Pierre et non Pierrot… Depuis le début, j’ai le sentiment, très fort, que je dois séparer l’être humain du personnage… Lors de notre passage à La Tuque, nous plongerons au cœur de vos émotions… il sera important, alors, que vous vous sentiez confortable… intérieurement… en ma présence… avec les questions que je ne manquerai pas de vous poser… pour approfondir votre épopée…
Encore une fois, vous visez juste… Toute ma vie, l’être humain en moi s’est incliné devant mon personnage parce qu’il s’est d’abord incliné d’émerveillement devant tous les personnages de son enfance… Je ne saisis encore pas trop la poétique qui fit que cela fut de l’ordre de l’impossible soyeux… mais je sais que dans mon 1000 pages, Monsieur 2.7k…. la lettre K en est le symbole littéraire… un petit bonhomme sans tête ni pieds qui marche par le rêve k-aché au fond de son k-oeur la beauté du monde de l’invisible heureux. Et cette lettre K … s’appelle… une fois sortie du littéraire pour vagabonder… Pierrot vagabond céleste.:)))))
Je viens de regarder en direct l’équipe canadienne de patins de vitesse remporté leur médaille d’or… j’adore voir des rêves olympiques se réaliser en direct…
Bonne journée, cher Pierre!
Claire
Bonne journée Claire
je vous réécris probablement ce soir ou cette nuit
Ma journée sera consacrée à la pensée métaphysique de Gaelle
tout en retranscrivant son splendide audio enregistré au sujet de ses dernières inventions doctorales.
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qu’est-ce que le sens? voilà la question à laquelle répond la chanson l’écrivaine au k-oeur d’or
e me souviens avoir posé la question à Maurice merleau Ponty, dans les années 51 , ou je suivais son cours… Il me disais ceci:
JE NE DIS PAS QUE LA VIE A UN SENS…… JE DIS QU’IL FAUT CHERCHER DU SENS……. DANS LES RENCONTRES, DANS LES ÊTRES, DANS LES CHOSES, DANS LES ÉVÈNEMENTS.
Et il me disait: mesurer la distance entre un sens et du sens… Un sens, on est encore quasi en métaphysique traditionnelle, puisque ce sens, c’est un tracé… sur un territoire qui existe d’ors et déjà à partir d’un moment de l’homme à l’instanté jusqu’à un autre moment de l’homme au terme de son cheminement. Il y a une géographie à ce moment-là du sens. Et cette géographie, elle est fondée … cet itinéraire est justifié par une réalité quasi territoriale.
Or je fais abstraction de tout cela, je balaye tout cela… quand je dis,,,
Y FAUT PENSER À SENTIR CE QUI A DU SENS… DU SENS… COMME ON PARLE DU SENS D’UN VELOURS, DU SENS COMME ON PARLE DU SENS D’UN COURS D’EAU… DU SENS COMME ON PARLE DU SENS D’UN COURANT D’AIR. QUELQUE CHOSE QUI EST JUSTE SAISI, SURPRIS, DANS LA SENSATION QU’ON EN PREND… SANS QUE JE M’INSCRIVE DANS UN DÉVELOPPEMENT PRÉEXISTANT.
C’est là ou j’en suis rendu avec la chanson l’écrivaine au k-oeur d’or…. dans cette fraîcheur du sens de l’amour créatif que vous portez à vos proches, Claire…
J’avance avec grande joie vers le 26 février
Pierrot
L’ÉCRIVAINE AU KOEUR DOR
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ….. DO, MI Min, La Min, ….. RÉ7…… SOL
(SOL) JAMAIS l’écrivaine au k-oeur (LA Min) D’OR-tu-sais / (RÉ7) n’aurait DÉ-crit- l’A-bi-ti-bi (SOL) ain.. (SOL6) … si.. (MI Min)/ ….. (DO) sans-les-joies-les-peines-de ses-TOUT-pe-tits (SI 7)/ … pe-tits-en-fants … dont-elle-ber-çait ,,, TOUS-les-se-CRETS … (MI Min), tous-LES-se CRETS, (DO) …. (RÉ7) tous-les-se-CRETS (SOL)/ QUI lui rajeunissaient le …. (La Min) … bout DES doigts/… (RÉ7) … quand ell’ -ca-res-sait-leurs-VI- (SOL) SAGes-DE-SOIE/ ……(MI Min) quand elle embrassait leurs larmes (LA Min)/ s’é ..blouies…. (SI7) … quand-EL-LE-CHAN-TAIT-LEURS-PRÉNOMS ( SI 7) …… … de-sa-DOU-CE …. (MI Min) …. VOIX.
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min, ….. DO, MI Min, La Min, ….. RÉ7…… SOL
(SOL) JAMAIS l’écrivaine au k-oeur (LA Min) D’OR tu sais / (RÉ7) n’aurait DÉ-crit l’A-bi-ti-bi (SOL) ain (SOL6) si (MI Min)/ …(DO) sans José phine, Évangé line, E douard (SI 7) /sans Élo ise ou sans sa Ro sa-LIE (MI min)/leurs beaux se-CRETS (DO) / (RÉ7) leurs beaux se-CRETS (SOL)/ ………… QUI-lui-ra-jeu-nis-saient ….. …. le bout DES doigts (LA min.) / (RÉ7) com-me-dans-les a-é-ro- (SOL) PORTS-PAR-FOIS/ (MI MIN.) quand ses-pe-tits-di-saient-je-t’aime-ma-mie (LA MIN.)/ (SI7) et-qu’elle-les-câ-lin-ait-au-son …… DE SA DOU (SI7) CE ( Mi min) VOIX
(BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ….. DO MI Min LA Min ….. RÉ7…… SOL
(SOL) JAMAIS l’écrivaine au k-oeur (LA Min) D’OR tu sais / (RÉ7) n’aurait DÉ-crit l’A-bi-ti-bi (SOL) ain (SOL6) si (MI Min)/ (DO) sans ses amours de k-oeur d’une LON-gue vie / (SI7) qui font de tous… ses grands ro-mans … de vrais se-CRETS (Mi Min) …… de vrais se-crets (DO) …de vrais (RÉ7) secrets (SOL) … …… qui lui rajeunissaient le bout DES doigts (LA Min) / (RÉ7) quand ses en-fants et-ses- pe (SOL.) TITS-EN-FANTS/ (MI Min) ,,, un- jour-sont arrivés -en souriant (LAm) / pour lui dir-ma-mie-Claire (SI7) OH-BON-ANNIVERSAIRE (Mi Min.) / ……. …. ..toi l’écrivaine (DO) toi l’écrivaine (RÉ7) toi l’écrivaine (SOL)/ (LA Min) …. toi l’écrivaine au K-oeur d’or que l’on AIME (SOL) / (LA Min) toi l’écrivaine au k-oeur d’or (RÉ7) qu’on adore (SOL). (BRIDGE) SOL, SOL6, MI Min ………… DO, MI Min, LA Min, RÉ7 .. (QU’ON AIME ET QU’ON ADORE) ….. SOL
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Très cher Pierre !
Elle est magnifique votre chanson..!!
J’adore l’harmonie dans laquelle vous glissez… comme dans les aéroports parfois… la douceur de votre voix jette comme une note d’exotisme chaleureux dans la chanson. Aussi, chaque fois que je l’écoute, je suis émue de la tendresse qui se dégage de votre voix quand vous chantez mamie Claire… Je pourrais vous parler de chaque mot… tous sont tellement beaux et attendrissants… Un petit détail… vous ne pensez pas qu’Édouard se glisserait mieux entre Joséphine et Évangéline… je me disais seulement que la finale de la phrase résonnerait peut-être mieux en se terminant sur Évangéline… mais c’est déjà parfait… à vous de voir
Cette chanson, enregistrée professionnellement, sera une véritable petite merveille !
Au Salon du livre d’Abitibi, qui cette année se tiendra à Ville-Marie, au Témiscamingue, on m’a fait savoir, aujourd’hui, que je serais une auteure vedette de leur édition. Alors, je vais demander à mon agente de presse de leur faire parvenir l’enregistrement, en leur suggérant de la faire jouer lors de mes apparitions pour des activités…
Cher Pierre, je crois que la vie fait parfois mieux les choses que nous… sans doute parce qu’elle connaît l’avenir… ce que nous ignorons, et c’est tant mieux… Tout ça pour dire que je pense qu’au Jour de l’An, nous n’étions pas prêts, autant que nous le sommes maintenant et le serons à l’été, pour passer du temps ensemble dans une quiétude enchantée… et la vie le savait…
Je vais écouter très attentivement la vidéo de Pierre Magnard sur la question du sens… ça m’interpelle
Y FAUT PENSER À SENTIR CE QUI A DU SENS… DU SENS… COMME ON PARLE DU SENS D’UN VELOURS, DU SENS COMME ON PARLE DU SENS D’UN COURS D’EAU… DU SENS COMME ON PARLE DU SENS D’UN COURANT D’AIR. QUELQUE CHOSE QUI EST JUSTE SAISI, SURPRIS, DANS LA SENSATION QU’ON EN PREND… SANS QUE JE M’INSCRIVE DANS UN DÉVELOPPEMENT PRÉEXISTANT.
Je vais avoir du temps à Tremblant, étant donné qu’à mon âge, je ne skie plus… pour réfléchir à ceci… que je trouve d’une grande profondeur…
Bonne fin de journée,
Claire
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La fierté de servir le rêve de l’autre dans une mystique du k-oeur et dans la droiture d’une vie personnelle oeuvre d’art
Boîte de réception
Chère Claire,
La vie va encore vous accorder 5 jours avec votre famille… extraordinaire… Moi qui a été ensorcelé par la poésie au point d’avoir mis entre parenthèses toutes ces joies … j’ai l’honneur d’honorer par une chanson… l’écrivaine au k-oeur d’or… la chose la plus importante dont je n’ai pas été assez le témoin privilégié… de voir de mes yeux vu une femme qui a réellement consacré toutes ses énergies de bienveillance au mieux-être de chacun des membres de sa famille à traversa l’expression de son rêve.
Le 26 février… ce sera pour moi un évènement spirituel… C’est comme si j’étais entré par la fenêtre de votre k-oeur pour y allumer un feu de foyer afin d’illuminer par une chanson en studio ce qui s’est d’abord vécu chez vous par une simple chandelle… celle d’une vie consacrée à l’apprentissage de l’amour dans le quotidien au service des siens.
Ce qui m’apparaît exceptionnel surtout après une séparation et un divorce.
Je voulais vous le dire… car ma droiture du k-oeur me l’impose… Cette chanson de l’écrivaine au k-oeur d’or est plus qu’une chanson pour moi… elle est un témoignage que l’éminence du k-oeur au service des siens est possible sur cette terre, malgré toutes les vicissitudes auxquelles la vie nous confronte trop souvent.
Pierrot
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Bon matin, Pierre !
Ce qui m’apparaît exceptionnel surtout après une séparation et un divorce.
Vous savez, Pierre, si je n’avais pas choisi de partir, de quitter un homme qui me retenait au sol, comme l’ancre d’une montgolfière pour l’empêcher de s’envoler vers de vastes horizons… je me serais détruite. Mes enfants en auraient grandement souffert… probablement qu’ils n’auraient pas pris leurs envols vers la vie merveilleuse que tous les deux connaissent aujourd’hui… Le choix d’une personne, d’une maman surtout, influe sur la vie de ceux qui dépendent d’elle… de son amour… de sa présence…tel un phare… qui ramène la barque de ses enfants à bon port… dans la nuit des épreuves… Oui, je me détruisais… un jour je vous raconterai… j’ai dansé sur le fil de l’impossible… il aurait suffi d’un léger souffle de vent, pour je tombe du mauvais côté du mur… mais des forces inconnues veillaient sur moi… j’avais un destin à accomplir… cette destinée, que vous magnifiez par votre chanson…
Quel bel hommage vous me rendez!
Je voulais vous le dire… car ma droiture du k-oeur me l’impose… Cette chanson de l’écrivaine au k-oeur d’or est plus qu’une chanson pour moi… elle est un témoignage que l’éminence du k-oeur au service des siens est possible sur cette terre, malgré toutes les vicissitudes auxquelles la vie nous confronte trop souvent.
Très cher Pierre, je suis tellement consciente que cette merveilleuse chanson, dont je suis l’inspiratrice, est pour vous, son créateur, l’émouvant témoignage que l’éminence du k-oeur au service des siens est possible sur cette terre, malgré toutes les vicissitudes auxquelles la vie nous confronte trop souvent.
Cette chanson vous appartient… je serai toujours honorée de l’usage que vous en ferez, au service de votre rêve de vie… au service de mon rêve, également… une complicité des mots qui désormais nous fera escorte… pour la suite de nos vies…
Bonne journée, très cher ami.
Claire
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la mystique du rêve de l’autre et le doctorat d’Alexis
chère Claire
Désolé pour ce retard à vous écrire… Hier fut consacré à l’amitié oeuvre d’art versus un doctorant, Alexis Lemieux, que j’ai accompagné en maîtrise universitaire en cinéma et que maintenant, épisodiquement, j’accompagne dans un doctorat en muséologie au niveau de la poésie méthodologique.
Je suis donc allé le rencontrer à l’uqam …dans ce caractère sacré que j’accorde de plus en plus aux quelques rêveuses ou rêveurs que mon k-oeur a élu au cours des années.
On dirait surtout que la présence spirituelle, l’accueil de mes 73 ans, l’écoute active… me sont devenues comme une prière sous forme de bienveillance. Je ne sais comment dire… Je suis devenu sensible à la fragilité de l,autre, surtout en cette période de pandémie ou toutes les balises qui nous faisaient humains semblent soudain nous faire perdre le sens de l’autre en présentiel.
Je suis revenu hier soir… épuisé , je crois, de ne pas pouvoir en faire plus… comment dire… J’aurais été un très mauvais professeur je crois… car seul l’exceptionnel me passionne vraiment… Le poétique exceptionnel fait d’abnégation d’un ascétisme heureux.
Et voyez-vous Claire… c’est cet exceptionnel que je retrouve en vous comme en Gaelle… mais à un autre niveau… celui de l’amour des vôtres avec une force de caractère et une bienveillance au quotidien qui ttissent votre art de faire roman.
Est-ce que tous les êtres humains, quand ils ne trichent pas avec leur rêve atteignent la signature de l’exceptionnel? Ma conviction me fait répondre oui… C”est là toute l’espérance de notre doctorat des rêveurs équitables. Je crois que l’on devient exceptionnel dès que l’on ^prend soin du rêve de l’autre, sans intérêt personnel caché, sans ma- nipulation, sans GAME comme on dirait dans le langage populaire.
En fait , je me rends compte, qu’avec Alexis, je suis plutôt déçu de mes propres limites à ne pas assez contribuer à la signature de son rêve par sa propre vie personnelle oeuvre d’art. Je vais tenter de faire mieux à la prochaine rencontre.
Bonne journée Claire
je vais tenter de dormir un peu plus aujourd’hui
Pierrot
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ALEXIS LEMIEUX… MAGNIFIQUE MÉMOIRE DE MAÎTRISE SUR LE THÈME DE L’ERRANCE OÙ PIERROT LE VAGABOND CÉLESTE EST CITÉ COMME ERRANT POÉTIQUE DU QUEBEC
JUNE 3, 2016 PIERROT LE VAGABOND CHERCHEUR
LE MÉMOIRE DE MAÎTRISE D’ALEXIS LEMIEUX
ENFIN NUMÉRISÉ AU SITE SUIVANT:
http://www.archipel.uqam.ca/8538/1/M14188.pdf
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extrait p.3
L’historique de l’errance, et des errants axiologiques, fantomatiques et poétiques, se représente sous des figures d’errance qui ont traversé les siècles: Comme Ulysse et le mythe grec qu’il a incarné, les personnages légendaires tels que le chevalier errant (11-12eme siècle) et le juif errant (au 16eme siècle). Puis les personnages fictifs d’œuvres littéraires comme Don Quichotte (Cervantes 17eme siècle) Robinson Crusoé (Defoe 18eme siècle), Goldmund (Hesse, 20eme siècle). Puis ont existé des êtres religieux, qui ont potentiellement vécu une errance ascétique, comme l’ermite François d’assise (12eme-13eme siècle) au moyen-âge, suivi de son successeur l’ermite Ignace de Loyola (15eme-16eme siècle) et le vagabond-conteur Jean de la Fontaine (17eme siècle). Puis apparaît la modernité au 19eme siècle avec ses poètes et ses philosophes errants tels que Henry David Thoreau (1817-1862), Friedrich Nietzsche (1844-1900) et son personnage Zarathoustra (ainsi parlait Zarathoustra) et nul autre qu’Arthur Rimbaud (1854-1891). Il y eut aussi ces voyageurs qui ont vécu des moments d’errance sans avoir fait de leur vie une errance prolongée ou perpétuelle: Alexandra David-Neel (1868-1969), Nicolas Bouvier (1929-1998) et Serge Daney (1944-1992). Plus près de nous au Québec et au Canada, il y eut des générations d’errants après l’arrivée des colons en Nouvelle-France. Quelques figures de l’errance sont à considérées parmi les coureurs des bois: les personnages historiques dont le fameux cartographe David Thompson (1770-1857) et son parcours impressionnant, «les canadiens errants» exilés ou déportés en Australie ou ailleurs sur des îles inconnues, les vagabonds comme le survenant ou le quêteur officiel de tous les villages de la province, les peintres québécois errants: Ozias Leduc, Paul-Emile Borduas et Jean-Paul Riopelle parmi d’autres, le «clochard céleste» tel que Jack Kerouac (1922-1969, le robineux de Montréal et son confrère itinérant, et «le vagabond céleste» comme Pierrot Rochette (1949- ), un allumeur de rêves. Toutes ces figures de l’errance au cours de l’évolution de l’humanité ont participé à la richesse et à la différence de la personne humaine à travers les frontières, les géographies, les histoires, les pays, les cultures, les disciplines, les types de déplacement et les formes d’intelligence multiples de nos congénères errants…..
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extrait p.48…
L’errance poétique, c’est l’itérare qui «gagne» sur l’errare dans le sens qu’il s’agit de la racine proéminente et qui a le plus grand potentiel de croissance. L’errance poétique est par la profondeur de la quête qui prend souvent la forme d’un voyage initiatique (intériorisé il peut prendre la forme d’une errance immobile) ou vécu dans l’espace par le biais du déplacement inhérent à un but ou à une quête. La racine ITERARE (elle très souvent positive) parvient à faire du sens et à dynamiser la vie d’une personne. Elle est appelée à la réalisation et à la concrétisation d’un projet ou d’un rêve. Elle apporte de l’équilibre dans un monde désordonné ou chaotique ou la racine ERRARE DE L’ERRANCE est de plus en plus courante. Il y a plusieurs individus qui ont réalisé de type d’errance positive: Paul-Emile Borduas, Pierrot Rochette, Mylène Paquette.
Les expressions «errance axiologique», «errance fantômatique» et «errance poétique» ont pris naissance dans le cadre de nos discussions avec Pierrot Rochette , au cours des deux dernières années. Durant ces moments de partage, nous avons abordé le thème de l’errance sous différents angles. L’APPORT DE PIERRE ROCHETTE SUR LE PLAN DE NOS RÉFLEXIONS THÉORIQUES EST INDÉNIABLE, NOTAMMENT SUR LE DÉVELOPPEMENT DES RACINES «ERRARE» ET «ITÉRARE». Lors de notre première rencontre, au MUSO situé à Salaberry-de-Valleyfield, où nous travaillions au mois de mai 2013, Pierrot Rochette s’est enthousiasmé pour notre thème de l’errance par sa pratique du vagabondage. Quand à nous, notre curiosité portait sur ses errances. Par la suite, nous nous sommes rencontrés à Montréal, notamment à l’UQAM et en périphérie. Le site CENTERBLOG.NET retrace une portion considérable de nos correspondances qui font état de nos échanges théoriques. Ces échanges théoriques demeurent accessibles en ligne sur ce site (nous possédons une copie manuscrite de ces correspondances).
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extrait p.51
Le quatrième chapitre de notre étude porte sur le concept «d’errance poétique». Et nous ferons surtout référence aux lettres de Paul-Emile Borduas et des écrits de Gilles Lapointe qui suggèrent l’errance de Borduas. Puis nous ferons un aparte sur l’errance de Pierrot Rochette qui est, selon nous, UN PARFAIT ERRANT POÉTIQUE…….
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extrait p.123…
Les peintres québécois Jean-Paul Riopelle, Paul-Emile Borduas, et Ozias Leduc sont des exemples de créateurs ayant vécu une errance poétique par l’aventure trépidante de leur projet artistique. De la même manière qu’eux, l’errant chansonnier poète Pierrot Rochette a fait de sa vie vacillante une errance-quête (mercredi 22 avril 2015, information du nord Ste-Agathe,17) ponctuée de passages et d’arrêts, une danse de la marche, «pour vivre sa vie de vagabondage là où la vie l’amène».
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p.s.
Merci Alexis Lemieux pour ton intégrité à mon égard car je puis témoigner de notre engagement commun à définir le plus lumineusement possible une étiquette dont les attributs essentiels ont longtemps souffert de confusion.
Je l’ai fait pour mon doctorat pendant que tu le faisais pour ta maîtrise…. ce fut équitable…. et je te prédis un brillant avenir institutionnel universitaire.
sur Google
Pierrot vagabond
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Mais si tu viens n’importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m’habiller le cœur… Il faut des rites… dit le renard au petit prince.
Très cher Pierre,
C’est vrai, je me suis ennuyée de votre plume, hier… mais j’avais la quasi-certitude de recevoir un message de vous, ce matin. Comme dit le renard au petit prince : dans l’amitié il faut des rites… et c’est ce que nous développons entre nous… le matin, au réveil, j’espère vous trouver, avec votre cœur plus grand que notre petit monde terrestre… ouvert à tous… et un brin consacré à mon rêve d’écrivaine… et de femme… à travers les rêves et les amours de ma vie…
Je vous laisse aller dormir… j’ai eu une idée cette nuit, je vous en parle plus tard…
Bon repos, cher ami.
Claire
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comment sculpter dans le k-oeur de l’autre le meilleur de soi-même quand on a pris la décksion de ne jamais tricher avec son rêve)))))
hère Claire,
Il y a dans la vie d’une personne qui se consacre à son rêve une étape ou celle-ci peut enfin sculpter de bienveillance le k-oeur de l’autre pour préparer l’autre à accueillir le caractère sacré de son propre rêve… Ma grand-mère Lumina le faisait sans en avoir les mots par le caractère iconoclaste de ses larmes de joie, mon grand-père Lucien par le pouvoir enchanteur de ses bottes pour aller plus loin dans la vie, mon grand-père lefebvre par le rythme de sa chaise berçante dans les silences de sa pipe…
Chaque rêveuse ou chaque rêveur à l’étape ultime en apothéose avec ses engagements envers la beauté du monde illumine ses proches comme des lampadaires déposés un peu partout dans les agoisses abs-xistentielles de tout énigme de la vivance sur terre.
La douceur de la présence à ses proches devient comme un manifeste profond sous forme d’un testament joyeux…
et c’est sans doute cela que vous allez vivre avec votre famille durant 5 jours… Une sensation qwalienne de laisser dans le k-oeur de l’autre un confort, une confiance en ses rêves…
Pierrot:)))
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une convocation qui en suscite une autre :)))
Chère Claire,
Je me rends compte que ma mémoire quwalienne de la beauté du monde s’exprime d’abord par des lieux géographiques qui ont comme besoin d’être revécus dans un certain ordre. je vous explique.
Si, ensemble, nous retraçons le conte philosophique d’un parcours d’un rêve initiatique, cela pourrait se faire dans l’ordre suivant
1: Le vieux Montréal, le café St-Vincent et les 2 Pierrots
2: la butte aux Pierrots, Val David et Ste-Agatne
3: le parc Jean drapeau et expo 67
4: cote des neiges , Brébeuf et les Contretenps
4: St-Raymond de Portneuf et les bottes de mon grand-père Lucien
5: La tuque et mon enfance
6: les 4 universités et le vagabondage de la connaissance
7: St-Elie de Caxton et le vagabond céleste
Il y a là-dedans le même modèle du traité des abs … qui d’un lieu géographique à l’autre s’enrichit par la force même d’un rêve abs-xistentiel , qwalien.
Par exemple… A St-Elie de caxton, tout tourne autour d’une certaine tombe au cimetière de St-Elie qui réenchante l’imaginaire même du pélerinage que fut le mien d’une cimetière à l’autre ou jy ai dormi sur le territoire du Québec et qui dialogue avec le cimetière près de natashquan (Aquanish) ou mes ancêtres y ont tombe et celui de mon grand-père Lefebvre à La Tuque comme celui de mon père Roger Rochette qui a préféré être enterré avec le curé qu’avec ma mère pour être sur d’aller au ciel, ce qui constitue en soi un formidable conte de la trompette d’un homme qui ne vivait que pour la musique de l’au-delà.
Ma vie fut un conte philosophique et ne fut peut-être que cela… et c’est pourquoi je dis dans mon 45 minutes confidences que les 2 pierrots furent d’abord le rêve d’un philosophe qui par le biais d,une simple guitare a chanté avec la trompette de son père dans la voix, les larmes de joie de sa grand-mère Lumina dans son k-oeur et les bottes pour aller plus loin dans la vie de son Grand-père Lucien.
Quand j’ai vagabondé Ottawa, un jour, dans une galerie d,art, le propriétaire e voyant me dit qu’il avait eu le même choc que s’il avait rencontré le dalai lama et m’a demandé de revenir un jour pour prendre une photo artistique de moi avec ma guitare pour l’accrocher dans sa galerie avec ses autres légendes de ce monde. Finalement cela n’a jamais adonné:))))).
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Mon voyage de la vie abs-xistentielle en fut un à la fois spirituel, philosophique et le déroulé d’un conte philosophique que je m’étais juré de raconter un jour par le biais des traces qwaliennes redessiné par la poésie du dire … à partir d’un dernier passage dans chaque lieu…
Peut-être que finalement, la vie est en train de me jouer un de ces tours qu,elle ne réserve qu’à ceux et celles qui ne trichent pas avec leurs rêves:)))))
Et j’y vois comme une suite d’une centaine de petits audios d’un voyageur qui même s’il ne savait pas d’ou il venait, qui il était et ou il s,en allait, a cquand même confiance en l’énigme au point de TRAVERSER L”ÉTERNITÉ EN MARCHANT LA NEIGE ET LE VENT.:))))
De là l’importance de terminer cette épopée du voir heureux à la maison de simon parti lui, de son côté SE MARIER AVEC L’ÉTERNITÉ:))))
Pierrot
p.s.
Mais il me semble que tout ce que je vous raconte est loin d’être équitable avec votre propre épopée… Sans doute pourriez-vous vous aussi de votre côté … me proposer un plan qui ressemblerait au mien par la re-visite de votre propre épopée du rêve: )))))
à suivre:))))
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Chère Claire…
c’est fabuleux comme fonctionne la création… je chantais la chanson tout en faisant danser mes doigts sur la guitare et j’étais profondément ému de peindre ce qui se peint rarement quand on écrit une chanson… soit une vérité spirituelle… incontournable … qui vient chercher ce que j’appelle une abs-motion … soit un rêve en marche dans une configuration de non-tricherie dans la présence que l’on apporte au rêve de l’autre… J’avais réussi cela dans le camionneur… mais je ne pensais pas un jour le réussir une deuxième fois…
C’est une chanson sur la tendresse du k-oeur lorsque le rêve s’illumine de bienveillance … pour l’autre.
Vraiment… vous pouvez être fière de vous Claire… c’est toute votre personnalité qui honore mes murmures chantés ….
Pierrot:)))
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Bonjour, cher Pierre,
C’est un magnifique programme que vous me présentez là… je crois que nous devrons y consacrer plus d’une étape…
Je vous parle de ma condition de conductrice, qui ne devrait pas affecter beaucoup votre programme… Lors de mon accident d’auto, en 1997, j’ai eu le visage complétement défoncé du côté droit : le nez cassé, l’orbite de l’œil fracturé de tous les côtés, le plancher de ce même orbite en miettes, les sinus égrenés, et l’os de la joue séparé en trois morceaux… Mon visage était comme une boule d’hématome, c’est à peine si on distinguait l’œil… c’était tellement impressionnant et inquiétant, que personne n’a osé prendre de photos… Selon l’ophtalmologiste qui m’a soigné, j’ai été chanceuse de conserver mon œil… les petits os du plancher de l’orbite était comme autant de minuscules lames de rasoirs très bien affutées… et sous la pression, mon œil avait été froissé comme un sac de papier, au point d’en changer les paramètres de myopie de plusieurs degrés… disons que j’ai eu de la chance. Quand on regarde mes photos, aujourd’hui, 25ans plus tard, à part l’œil droit qui est demeuré un peu plus petit, le remodelage de mon visage, avec des pièces de métal autour et sous l’orbite, des vis dans les sinus et la joue, a été une assez bonne réussite.
Tout ça pour vous dire que j’ai gardé de cet accident des séquelles visuelles… Quand l’œdème s’est résorbé, je me suis rendu compte que je voyais double dans les angles, davantage du côté droit… l’ophtalmologiste a suggéré de me réopérer, sans toutefois me donner la certitude que le problème serait réglé… Je venais de subir de multiples opérations… au bras droit, à la hanche également pour y chercher des os afin de reconstruire mon bras… disons que j’en avais marre de passer sous le bistouri, surtout sans avoir l’assurance d’une réussite. Alors, j’ai réappris à conduire avec mon handicap, sans toutefois pouvoir conduire dès que se pointe la brunante, ma vision ne me le permettant pas… Jusqu’à avant la pandémie, j’allais partout, aucune restriction de destination… Mais comme l’avait prédit mon ophtalmologiste, mon œil droit s’est dégradé avec l’âge, et la diminution de conduire pendant les deux années de pandémie ne m’a pas aidée. Aujourd’hui, j’évite les endroits que je connais moins, et les endroits où le trafic est dense, à cause de ma vison double dans les angles… disons que je ne veux plus traverser Montréal… Par contre, je me sens encore très à l’aise d’aller dans le nord vers Val David et Sainte-Agathe, aussi, d’aller à La Tuque, St-Élie, ou St-Raymond…le comté de Portneuf m’est familier, c’est le berceau de mes ancêtres du côté de ma mère…
Parlons maintenant de votre programme… je pense trouver beaucoup de bonheur à effectuer ce pèlerinage avec vous… le seul point qui à mon avis risque de poser des problèmes, ce sont vos 4 universités, glissé entre La Tuque et Saint-Élie. Je me dis que lorsque nous partirons de ce côté, il faudrait réunir Portneuf, La Tuque et Saint-Élie, qui sont dans le même coin de la province… et se donner tout le temps qu’il faudra pour tirer le maximum de votre visite… comme je me plais à le répéter, avec moi tout doit se dérouler en douceur… sans se presser. Il est possible que les différents lieux de votre programme doivent se visiter en deux, même trois étapes au cours de l’été…
Bon, nous avons encore amplement le temps d’en discuter… quoique l’été vient vite…
PS : Ne vous inquiétez pas pour le côté équitable de votre épopée versus la mienne… cet été, c’est à vous que nous consacrerons du temps… peut-être qu’à l’été 2023 nous pourrons aller faire une tournée en Abitibi… qui sait… à suivre…
Bon dimanche ensoleillé !
Claire
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her Pierre,
S’il est quelqu’une qui peut comprendre l’émerveillement de la création, c’est bien moi.
Quand je pensais à vous, auparavant, c’était la chanson du camionneur que je vous entendais fredonner dans ma tête… maintenant, c’est celle de l’écrivaine au k-oeur d’or… et chaque fois, j’en suis profondément émue…
Vous avez raison, c’est… une chanson sur la tendresse du k-oeur lorsque le rêve s’illumine de bienveillance … pour l’autre.
Merci, pour chacun de vos mots… qui m’honorent!
Claire
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enfin la joie de vous écrire après un peu de sommeil
Bonjour, cher Pierre,
C’est un magnifique programme que vous me présentez là… je crois que nous devrons y consacrer plus d’une étape…
Vous savez Claire, ce qui compte pour moi … c’est la droiture du k-oeur en amitié oeuvre d’art par la poésie des ieres fois… Et en ce sens, ce qui me plaît dans ce projet, c’est la fluidité d’une joie de vivre par une forme de vacance de l’existence par le pari en l’abs-xistence… ( l’abs-xistence étant définie chez moi comme cette énigme déposée dès notre naissance par un rêve big big pour que chaque personne humaine aie au moins une chance dans sa vie, de serrer la main à l’impossible)… et surtout, je crois, je ne pas plonger vos proches dans l’inquiétude de quelque niveau que ce soit:))))
Je vous parle de ma condition de conductrice, qui ne devrait pas affecter beaucoup votre programme… Lors de mon accident d’auto, en 1997, j’ai eu le visage complétement défoncé du côté droit : le nez cassé, l’orbite de l’œil fracturé de tous les côtés, le plancher de ce même orbite en miettes, les sinus égrenés, et l’os de la joue séparé en trois morceaux… Mon visage était comme une boule d’hématome, c’est à peine si on distinguait l’œil… c’était tellement impressionnant et inquiétant, que personne n’a osé prendre de photos… Selon l’ophtalmologiste qui m’a soigné, j’ai été chanceuse de conserver mon œil… les petits os du plancher de l’orbite était comme autant de minuscules lames de rasoirs très bien affutées… et sous la pression, mon œil avait été froissé comme un sac de papier, au point d’en changer les paramètres de myopie de plusieurs degrés… disons que j’ai eu de la chance. Quand on regarde mes photos, aujourd’hui, 25 ans plus tard, à part l’œil droit qui est demeuré un peu plus petit, le remodelage de mon visage, avec des pièces de métal autour et sous l’orbite, des vis dans les sinus et la joue, a été une assez bonne réussite.
Incroyable quand même qu’au travers de cette épreuve, vous ayez eu la force de caractère de faire confiance en votre rêve? ce qui rend votre épopée encore plus fascinante.
Tout ça pour vous dire que j’ai gardé de cet accident des séquelles visuelles… Quand l’œdème s’est résorbé, je me suis rendu compte que je voyais double dans les angles, davantage du côté droit… l’ophtalmologiste a suggéré de me réopérer, sans toutefois me donner la certitude que le problème serait réglé… Je venais de subir de multiples opérations… au bras droit, à la hanche également pour y chercher des os afin de reconstruire mon bras… disons que j’en avais marre de passer sous le bistouri, surtout sans avoir l’assurance d’une réussite. Alors, j’ai réappris à conduire avec mon handicap, sans toutefois pouvoir conduire dès que se pointe la brunante, ma vision ne me le permettant pas… Jusqu’à avant la pandémie, j’allais partout, aucune restriction de destination… Mais comme l’avait prédit mon ophtalmologiste, mon œil droit s’est dégradé avec l’âge, et la diminution de conduire pendant les deux années de pandémie ne m’a pas aidée. Aujourd’hui, j’évite les endroits que je connais moins, et les endroits où le trafic est dense, à cause de ma vision double dans les angles… disons que je ne veux plus traverser Montréal… Par contre, je me sens encore très à l’aise d’aller dans le nord vers Val David et Sainte-Agathe, aussi, d’aller à La Tuque, St-Élie, ou St-Raymond…le comté de Portneuf m’est familier, c’est le berceau de mes ancêtres du côté de ma mère…
Merci de cette transparence des paramètres auxquels nous avois le devoir de bien veiller à ce que ce projet soit agréable, confortable et surtout sécuritaire
Parlons maintenant de votre programme… je pense trouver beaucoup de bonheur à effectuer ce pèlerinage avec vous… le seul point qui à mon avis risque de poser des problèmes, ce sont vos 4 universités, glisser entre La Tuque et Saint-Élie. Je me dis que lorsque nous partirons de ce côté, il faudrait réunir Portneuf, La Tuque et Saint-Élie, qui sont dans le même coin de la province… et se donner tout le temps qu’il faudra pour tirer le maximum de votre visite… comme je me plais à le répéter, avec moi tout doit se dérouler en douceur… sans se presser. Il est possible que les différents lieux de votre programme doivent se visiter en deux, même trois étapes au cours de l’été…
Bien sûr… je suggère donc que le programme soit des plus flexibles et qu,il soit d’abord une fête d’un événement poétique vécu dans la lenteur responsable:)))))
Bon, nous avons encore amplement le temps d’en discuter… quoique l’été vient vite…
PS : Ne vous inquiétez pas pour le côté équitable de votre épopée versus la mienne… cet été, c’est à vous que nous consacrerons du temps… peut-être qu’à l’été 2023 nous pourrons aller faire une tournée en Abitibi… qui sait… à suivre…
Bon dimanche ensoleillé !
Claire
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J’ai retouché à ma guitare aujourd’hui …. J’étais émerveillé…par le fait que je n’ai plus à me soucier du côté tangible de la chanson … soit celle de la mécanique des accords ,,, et du sens des mots… je suis maintenant habit par le souffle, le rythme, les nuances pour bien exprimer l’événement spirituel que nous allons vivre…
yessssssssssss
que le 26 soit une véritable joie de vivre familiale en studio
Pierrot
à cette nuit… quelque part entre 2 séances de travail:)))))
Pierrot
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si vous saviez Claire comme veiller sur l’autre dans la mystique du rêve de l’autre… a pris de l’importance dans mon 4ieme âge
J’écrivais à Alexis
N’oublies jamais que tu es important pour moi
et que tu pourras toujours compter sur moi
dans tout ce que tu traverseras
Pierrot
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Alexis m’a répondu
Merci Pierrot…
Tu es important pour moi et tu m’as permis de tomber en amour (encore plus) avec la recherche…
Tu dois savoir que je suis là pour toi et, qu’en cas de soucis, je suis un fidèle et sincère ami sur qui tu peux compter.
Et que je serai à tes côtés (je l’espère!) dans ton cheminement vers le vieil âge.
Hâte de te revoir.
À bientôt,
Alexis
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chère Claire,
y a des mots comme ça qui nous touchent plus que d’autres… Je me souviens pas dans ma vie de ne pas avoir été celui qui prenait soin des autres… que ce soit de mes partenaires de scène, du public ou en vieillissant cette famille de proches ( Michel, Marlene, Gaelle, Alexis, Arnaud, Raymond-Louis).
Et soudain, je réalise qu’on veut prendre soin de moi. Et peut-être que finalement, on a toujours pris soin de moi et que je n’ai pas été assez lucide pour ne pas avoir eu la conscience de mieux remercier mes bienfaiteurs:)))
Je me dis en moi-même… ça se peux-tu que j’ai vieilli puis que je ne m’en suis pas aperçu?:)))))))))))))))))
J’ai tellement cru à l’impossible tout au long de mon épopée spirituelle… au devoir de ne jamais tricher, de ne jamais jouer de game, de viser la droiture par le k-oeur et de faire à chaque soir mon examen de conscience pour voir si j’avais fait mon possible pour l’autre dans ma journée et surtout qu’est-ce que je pourrais faire de plus pour le bien commun le lendemain…. et tout ça dans une pauvreté poétique comme méthodologie de recherche en vue d’en transcrire théoriquement par un doctorat des rêveurs équitables les lois possibles de la beauté du monde par un traité des abs…. ou les 4 questions du pays oeuvre d’art deviennent un aide-mémoire dans la conquête de l’impossible au quotidien par son rêve de vie pour toute personne humaine de bonne volonté en vue d’une humanité oeuvre d’art.
Hier, toute la journée, Gaelle et moi avons été, entre deux sommeils, en mode silence cathédrale dans une concentration sans faille… elle pour son doctorat et moi dans ma préparation pour Orizon… et parfois, je reprenais la guitare pour refaire une fois votre chanson…et je me disais… Voici une chanson qui a été écrite par la droiture du k-oeur pour une dame qui est remarquablement droiture du k-oeur et pour son rêve et pour ses proches..
Oui, le 26 approche et ça me rend paisible et heureux… Je pense à vos petits enfants… à leur joie de se retrouver en studio… c’est pour la génératio suivante qu’il faut se faire bienveillant pour qu’à leur tour, un jour, ils croient à leur rêve parce qu’ils ont eu accès à la beauté du monde par la bienveillance inter-générationnelle
bon matin Claire
Pierrot
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Prendre soin du rêve l’un de l’autre…
Bon matin, Pierre !
Cette nuit, le bonheur est entré chez moi, à deux heures de la nuit… Rosalie était passé chercher sa mère et Joséphine à l’aéroport, et leur vol avait du retard. Toujours est-il que j’ai ouvert les yeux quand Isabelle s’est glissé dans mon lit… elle avait laissé la chambre de visite à ses deux filles… Je lui ai dit : Hello, je t’aime… et je me suis rendormie, heureuse.
Je ne me souviens pas dans ma vie de ne pas avoir été celui qui prenait soin des autres… c’est aussi l’histoire de ma vie… Nous découvrons aujourd’hui, que notre noble générosité nous est rendue… simplement… dans la beauté du moment présent de la reconnaissance de ceux qui nous avons aidés, qui nous aiment et nous sont chers…
Je me dis en moi-même… ça se peut-tu que j’ai vieilli puis que je ne m’en suis pas aperçu?
Eh oui! Le cœur a toujours l’ardeur de ses vingt ans… mais le corps, ce véhicule terrestre, qui nous permet de traverser la vie… commence à ressentir l’usure du chemin parcouru… le temps est venu d’en prendre soin, pour ce 4ème âge, qui pour vous et moi, s’annonce plutôt agréable… c’est un grand bonheur pour moi, de prendre soin de votre rêve, de vous aider à le peaufiner… à en faire l’œuvre d’art que vous avez entrepris de construire au fil des ans… surtout, que je vous sens tellement ouvert à prendre soin du mien… à veiller sur moi…
La vie nous a offert un cadeau, cher Pierre… savourons-le… une étape à la fois.
Nous partons pour Tremblant en milieu d’après-midi.
Bonne journée.
Claire
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Chère Claire
Il y a dans chacune de nos vies sur cette terre… un émerveillement issu de la fragilité même des brindilles qui s’échappent d’un feu de camp qui s’appelle la vie. Je me rappelle toutes ces années ou ponctuellement mais régulièrement, je chantais pour des malades en phase terminale.. J’amenais avec moi un petit banc que je voyageais de lit en lit pour jaser un peu avec chaque personne, le temps que tous les lits soient descendus dans la grande salle commune … et comme plusieurs passaient par l’ascenseur … je prenais le temps … d’apprendre l’essentiel qui me servirait à mon tour lorsque ce serait mon tour …. Puis soudain… dans mon micro… je murmurais des refrains souvent en pot-pourri et je voyais leurs lèvres soudain s’apaiser de la joie de murmurer leurs souvenirs en mode chantonné… Parlez-moi d’amour, à la claire fontaine, en veillant su’l’perron, souvenir d’un vieillard, …. tout doucement… on se faisait un feu de camp de nos misères partagées dans des épuisement profonds…
Les années ont passé… et je dois vous avouer qu’à 73 ans, je me sens comme un jeune homme … toujours à la conquête de l’impossible heureux… Mais je n’ai pas oublié celles et ceux qui m’ont appris l’envers de la médaille. Vous qui avez été gravement accidentée, vous savez intimement de quoi je parle.
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Gaelle était partie aujourd’hui pour une activité dans une maison d’artiste dont elle fait partie du comité d’organisation … et là, j’ai fait le ménage, tout heureux de prendre soin de son rêve de vie… de son beau rêve impossible pour lequel elle se bat depuis tant d’années…
Quand elle est arrivée… toute heureuse d’avoir quelqu’un pour l’accueillir, prêt à lui faire à manger, dans un environnement propre, je me suis senti comme mon grand-père Lefèvre quand j’étais tout petit…cet homme âgé possédait l’art du silence contemplatif devant les joies de ma mère jeune mère de famille. Cet homme est mort dans sa chaise berçante en fumant sa pipe, le visage d’un homme heureux…
Comme lui, je suis un homme heureux Claire… Je n’en demande pas beaucoup à la vie… seulement de pouvoir aider des rêveuses et des rêveurs à croire en leur rêve, au moment ou tout semble soudainement pour elles ou pour eux trop difficile.
La mystique du rêve de l’autre… tel est le fondement de ma partie de doctorat dans la longue épopée de recherche de notre équipe des rêveurs équitables… Et en même temps, d’en faire la démonstration et par ma vie personnelle oeuvre d’art et par le biais de mes 45 minutes-conférences sur lesquelles je me penche tous les jours avec assiduité.
Quel est ton rêve? Dans combien de jours? qy’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? et comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Aujourd’hui, quand j’ai répété votre chanson… celle de l’écrivaine au k-peur d’or..; .. je me disais mais quand même… voici une dame qui a vécu les 4 questions du pays oeuvre d’art et dans sa vie avec sa famille et dans son oeuvre… et qui est sortie de son accident avec une force de caractère tout à fait admirable.
Célébrons, par les mots de cette chanson … la beauté d’un rêve au service des autres dans les années merveilleuses qu’il nous reste sur cette terre:)))
Pierrot:)))
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n espérant que cette fois le Wifi fonctionne…
Bonne soirée,
Claire
Cher Pierre!
En lisant votre message ce matin, je me disais que nous vivrons de très beaux moments lors de nos rencontres. Nous avons tellement de souvenirs qui se rejoignent… Jeune infirmière j’ai travaillé chez les personnes âgées, en fin de vie. J’adorais les entendre raconter leurs histoires de longues vies… à 75 ans, comme vous le chantez si bien, dans: L’écrivaine au k-oeur d’or, mon tour est venu de me souvenir de mes tendres amours… que vous avez le don de partager avec moi… à travers vos paroles.
Souvenirs d’un vieillard… une chanson que mon grand-père Philippe me la chantait avec tellement de nostalgie dans la voix… je l’écoutais émerveillée… sans en ressentir la profondeur, comme aujourd’hui… Un soir, je le souhaite, vous me la chanterez en souvenir de lui… je l’aimais tellement ce grand-papa aux cheveux blancs…
Ce matin, après le départ de nos skieurs… avec Isabelle, qui travaille en ligne cette semaine, nous avons écouté votre chanson… inspirée de ma modeste personne… comme moi, elle adore la beauté de vos mots, et le choix de votre si douce mélodie… Elle a dit qu’elle la voit très bien popularisé par Fred Pellerin…. un conteur qui raffole des chansons racontant une histoire de vie… en utilisant des prénoms… Elle a bien hâte de faire votre connaissance…. Lors du spectacle auquel elle a assisté, Fred parlait de vous avec tellement de reconnaissance…
Vous savez, Pierre, quand j’ai eu mon accident, six ans après un divorce difficile, des années à reconstruire ma vie et celle de mes enfants, au moment où ma vie coulait de nouveau de source… je n’ai pas compris la voie de mon destin. Pourtant, quand j’y réfléchi aujourd’hui, je réalise que c’était une étape vers mon bonheur de vivre… ma carrière d’écrivaine… sans cet accident, j’aurais probablement travaillé jusqu’à 65 ans comme infirmière, je n’aurais pas accompagné David dans son rêve… Comme je vous l’écrivais dernièrement, la vie prend parfois des chemins imprévus… incompréhensibles sur le moment… pour nous mener vers notre plus grand rêve…
Aujourd’hui, je me laisse porter par mes émotions… et je fais confiance à la vie… après tout, elle vous a mis sur ma route… et je suis convaincue que ce n’est pas sans raison…
Bonne journée,
Claire
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en studio ,je vous chanterai souvenirs d’un vieillard 3 avec grand plaisir claire..
etits enfants, jouez dans la prairie
Chantez, sentez le doux parfum des fleurs
Profitez bien du printemps de la vie
Trop tôt, hélas, vous verserez des pleurs
Quoique bien vieux, j’ai le cœur plein de charmes
Permettez-moi d’assister à vos jeux
Pour un vieillard outragé plein de larmes
Auprès de vous, je me sens plus heureux
Y a des chansons comme celles-là Claire, que j’ai chanté toute ma vie. .. mais surtout celle-là … Je me rappelle de cette dame, très âgée qui m’avait demandé si je pouvais monter dans sa chambre pour lui chanter la chanson souvenirs d’un vieillard pendant qu’elle me parlait de ses petits enfants et de ses arrières-petits enfants dont les photos la remplissait d’une immense contemplation.
Et je me rappelle surtout du murmure de ses lèvres quand j’arrivais au refrain… on aurait dit une prière… et moi, je ralentissais et je baissais la voix… pour qu’ensemble on puisse trouver un peu de joie dans une vallée d’inquiétudes que constituait la distance géographique si cruellement ressentie ce soir-là….
Dernier amour de ma vieillesse
Venez à moi, petits enfants
Je veux de vous une caresse
Pour oublier
Pour oublier mes cheveux blancs
——
Petits enfants, vous avez une mère
Et tous les soirs, près de votre berceau
Pour elle au ciel, offrez votre prière
Aimez-la bien jusqu’au jour du tombeau
En vieillissant, soyez bons, charitables
Aux malheureux, prêtez votre secours
Il est si beau d’assister ses semblables
Un peu de bien embellit nos vieux jours
wowwwwwwwww… que dire de plus… moi qui vais déménager en juin à Sherbrooke …. je me vois à mon tour avec mes cheveux blanc cpmpter humblement sur mes jeunes (je croise des doigts , seront-ils vraiment disponibles?))))))) que j’ai accompagné en maîtrise ou au doctorat à l’université … Je ne sais pas comment vous dire Claire… quand on est rendu l’autre bord des mots d’une chanson … on est saisi soudain non seulement par la somptuosité que ces mots sculptent dans nos k-oeurs … mais en même temps re-vertiginiser par la précarité heureuse qui soudain en nous s’espérance aux confins d’une dignité humaine partagée… au-delà du temps qui passe:)))
Dernier amour de ma vieillesse
Venez à moi, petits enfants
Je veux de vous une caresse
Pour oublier
Pour oublier mes cheveux blancs
———–
Petits enfants, quand j’étais à votre âge
Je possédais la douce paix du cœur
Que de beaux jours ont passé sans nuages
Je ne voyais que des jours de bonheur
En vieillissant, j’ai connu la tristesse
Ceux que j’aimais, je les ai vus partir
LES DEUX DERNIÈRES PHRASES… N’EST-CE PAS TOTALEMENT VOUS CLAIRE?
Oh, laissez-moi vous prouver ma tendresse
C’est en aimant que je voudrais mourir
=============
Dernier amour de ma vieillesse
Venez à moi, petits enfants
Je veux de vous une caresse
Pour oublier
Pour oublier mes cheveux blancs
C’est avec le k-oeur empreint des mots de cette chanson que déguste jour après jour la marche de ma chère Gaelle vers son réve de métaphysique dont je prends soin nuit et jour dans une mystique et une dévotion sans faille.
Je considère Gaelle comme ma petite fille….vous savez Claire… je sais qu’elle sera internationale … et je sais que depuis 3 ans et demie avec elle, je suis au club med de mon dernier âge parce que je me sens vraiment utile à un cheminement remarquable au niveau de la pensée pure …. cheminement immensément plus grand que ma propre personne…
Cette nuit… nous avons été des artisans dévoués… à nos rêves réciproques… Ce fut magique…Il faut croire à l’impossible heureux:))))
bon séjour avec les vôtres
votre ami oeuvre d’art
Pierrot
———————
la chanson du camionneur versus la manic George Dor
HOMMAGE À GEORGE D’OR
12 février 2009 – 13 h 04 min
REFRAIN 1
je vagabondais
la route de Bécomo au Labrador
en pleine nuit
je tombe sur la Manic
de George D’Or
c’t’impressionnant
c’que l’Québec a fait avec du ciment
plus qu’un barrage
l’âme d’un peuple comme monument
sur la rivière Manicouagan
REFRAIN 2
j’vagabondais
la route de Bécomo au Labrador
en pleine nuit
j’tombe sur la Manic
de George d’Or
dans la forêt
j’ai fait un feu, j’ai sorti ma guitare
j’me suis juré
qu’un jour j’écrirais un trésor
pour rendre hommage à George d’Or
REFRAIN 3
j’vagabondais
la route de Bécomo au Labrador
en pleine nuit
je tombe sur la Manic de George d’Or
que mon trésor
se rende à lui plus loin plus loin
qu’la mort
comme le rêve des gars
qui ont bati c’pays-là
par ma guitare et ma voix
redescendent en chantant
la rivière Manicouagan
Pierrot
vagabond céleste
—————
Chère Claire,
Quand le fils de George Dor m’a écrit pour me remercier d’avoir pris soin de la mémoire de son père… je me rappelais à quel point que de monter jusqu’à la Manic comme vagabond poète… m’avait aidé philosophiquement à ne pas baisser les bras tant que je n’aurais pas écrit la beauté du monde dans la transcription d’un rêve intense d’un jeune homme dont je ne pus jamais retrouver la trace…
Et le plus drôle c’est que c’est chez mon ami Michel le concierge que sur le coin d’une table, en jasant, en 15 minutes.. la peinture de mon jeune camionneur a pu se faire…
Mais quand je me chante cette chanson… on dirait que chaque phrase me ramène le parfum d’une liberté spirituelle éblouissante qui est réservée à toute personne qui prend la décision de ne pas tricher avec son rêve.
Quand je vois la qualité de l’âme de Gaelle au k-oeur de son rêve au quotidien… je me dis wowwwww… on dirait u n camionneur 2 …. intensité, force de caractère, l’impossible au bout de sa route… un impossible dont elle n’acceptera jamais qu’il soit un impossible que vivent les élites intellectuelles au niveau création en pensée pure.
Surtout qu’en plus elle est une femme, racisée, sans aucune base financière, qui en plus vit ….depuis tellement d’années…la pression d’une famille en immense précarité en Afrique… Et en plus, elle n’a jamais triché …. elle a toujours assumé, encouragé, respecté… dans un sentiment filial de très haut niveau éthique…
Oui…. Je suis un homme heureux…
Pierrot
——————–
Bonjour Pierre,
Un magnifique soleil… avec quelques petits flocons… c’est d’une grande beauté ici…
Comme vous en aviez parlé précédemment, notre rencontre du 26 février devrait être consacrée uniquement à l’enchantement de votre chanson… Je suis convaincue que tous seront intéressés de découvrir comment naît une chanson… vous pourriez leur raconter comment elle est née dans votre rêve… les premiers mots sur le papier… la mélodie sur Skype… votre inspiration au fil des jours… de notre correspondance… votre découverte de l’écrivaine… qui est aussi leur mamie… Vous avez le don de la parole… je suis certaine que vous allez les émerveiller…
Nous garderons pour nos rencontres de l’été votre chanson Souvenirs d’un vieillard…
Oh, laissez-moi vous prouver ma tendresse
C’est en aimant que je voudrais mourir…
Vous avez totalement raison, ces deux phrases s’appliquent à mon rêve de fin de vie…
Ce fut merveilleux votre parcours de chansonnier… la profondeur des mots que vous avez utilisé pour enchanter votre public… quel que fois une personne à la fois… c’est superbe! Je serai honorée de refaire ce parcours avec vous… de l’autre côté des mots, comme vous dites…. Et le soir… peut-être que vous pousserez l’enchantement en me chantant quelques-uns de vos succès…
Je vous envoie un brin de ma douce sérénité…
Claire
Claire Bergeron
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e n’en reviens pas comme chez moi… l’inébranlable confiance en l’impossible chez la personne humaine qui ne triche pas avec son rêve de vie, constitue une barre de mesure incontournable , comme principe de vie qui guide ma joie de prendre soin du rêve de mes proches
Chère Claire
J’imagine que nos âges réciproques font que lumineusement, nos proches prennent pour nous une très grande place dans nos préoccupations journalières… Cette année entre autres à 73 ans, je comprends profondément les larmes de joie de ma grand-mère Lumina et les bottes pour aller plus loin dans la vie de mon grand-père Lucien… L’épopée d’une vie ne se raconte soudainement que pour nous donner la force éthique de ne jamais manquer de bienveillance …. envers celles et ceux qui réchauffent de leur pétillement, de leur joie de vivre, de leurs larmes et de leurs rires… notre trop grande expérience de la condition humaine.
Il est certain que, dans le plus profond de mon âme, je rêve de reprendre la route du vagabondage, de dormir dans la forêt, de marcher des kilomètres en dansant la beauté du monde… Je m’y perdrais encore avec beaucoup de volupté spirituelle:)))))
C’est le dialogue avec l’impossible qui représente pour moi une si belle énigme … ego sum pauper… nihil habeo… et nihil dabo… Je suis pauvre… je n’ai rien… je ne demande rien… Cette petite chanson que l’on retrouve sur you tube d’ailleurs… je l’ai fredonné toute ma vie…
Pauper Sum Ego – Latin – Traditional – YouTube
Avoir accès au rien par la pauvreté poétique fut peut-être mon plus grand étonnement que cela soit si agréable …dans cette courte vie qui fut la mienne….
Ce que j’ai aimé de mes débuts au café St-Vincent… en 1972 je crois, au retour du Japon… ce fut soudainement la force d’une chanson dans un petit local de la rue des peintres… mal chauffé… ou Madame Martin avait décidé de rester ouverte l’hiver… malgré qu’elle ne faisait pas d’argent … juste pour que nous ayons, nous ses petits gars joueurs de guitare, quelque chose à nous mettre sous la dent.
Je vivais dans une petite chambre de la rue St-Paul… Tout ce que j’avais comme bien c’était une guitare… mais quand sous le froid glacial je marchais jusqu’au café St-Vincent… je savais que la poésie serait au rendez-vous…
quand René Robitaille chantait … le bal chez temporel de Guy Béart… que Marcel Picard chantait les copains d’abord de Brassens… puis qu’à mon tour je chantais la bohème de Charles Aznavour… ça ne me dérangeait pas d’avoir faim ou d’avoir froid… Je prenais juste le pari qu’un jour, je serais aussi heureux de me raconter cette époque que je le fus à la vivre…
Guy Béart – Bal chez Temporel – YouTube
Pierrot
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Devenir la complice œuvre d’art… heureuse et aimante de vos souvenirs… est pour moi une grande joie…
Cher Pierre,
Vos mots sont pour moi la source de grandes émotions… ce que vous avez accompli… par pur bonheur de ne pas tricher avec votre rêve…. Il me tarde de vous entendre raconter…
Je n’ai pas votre cheminement de vie… ce qui ne m’empêche pas de le trouver inspirant… et de ressentir une profonde admiration pour vos convictions… votre passion… et votre intellect…
Je me rappelle de m’être dit… ce que tu déposes poétiquement dans l’âme d’une seule personne vaut bien l’univers des reconnaissances sociales au complet…
Cher Pierre… je suis émue que vous m’ayez choisie pour devenir la complice de vos souvenirs…
Je vais déjeuner… et je vous reviens plus tard aujourd’hui…
Claire
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Bonjour Pierre,
Aujourd’hui, je suis l’ainée de ma fratrie… dans mes jeunes années j’avais un frère, dix-sept mois de plus que moi, avec lequel je partageais mes rêves… la liberté… les injustices… autant de thèmes qui alimentaient nos réflexions… nous écoutions Léo Ferré… Monsieur Tout Blanc… avec ses châteaux en Italie… qui ne comprenait rien a ceux qui se battaient pour survivre… et La vie d’artistes… celui qui vivait pour la musique… sa passion… sans chercher la gloire…
Nous rêvions tous les deux de devenir médecin… il l’est devenu… moi pas… triste destin de femme des années’60… Les chansonniers nous réunissaient toujours lui et moi… une raison, entre autres, pour laquelle vos chansons me sont familières…
Puis nous avons été séparés… une tragédie… je vous raconterai… peu de temps après être devenu médecin… il n’a jamais atteint ses 26 ans… Quand j’écoute Monsieur tout blanc et La vie d’artiste… c’est à lui que je pense… aussi quand j’entends jouer de la trompette… il en jouait si bien…
Nous avons de la chance, cher Pierre, de vieillir… savourons chaque instant de notre bonheur de vivre… de partager nos joies avec ceux sur lesquels nous veillons si tendrement…
Pourquoi je vous parle de Jean-Marie aujourd’hui? Je ne sais pas… peut-être que c’est lui, sur son étoile, qui nous a guidé l’un vers l’autre… conscient de notre passion commune pour la beauté des mots… l’énigme de la vie… et des rencontres… danser sur le fil des confidences…
Bonne fin de journée.
Claire
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chère Claire,
désolé pour le retard à vous répondre… Je me prépare spirituellement à vivre un très beau moment avec votre descendance en studio le 26 février… on dirait qu’à chaque fois que je dépose mes doigts sur ma guitare… mes 32 ans de carrière viennent me saluer avec beaucoup de respect… et de discrétion.
C’est fou…. Mon père Roger trompettiste me l’avait dit… tu vas voir… à la fin… il ne reste que le vent… mais quel vent heureux quand même…
J’ai eu l’honneur d’être un homme libre… dans un métier ou les dépendances de toutes sortes se font sévères… Comme je n’ai jamais bu, ni fumé, ni drogué et que je fus mystiquement au service des autres par la scène comme me l’avait appris mon père dans l’exercice de son art…
Je repensais à votre frère Jean-Marie et je me disais… seule la chanson… j’ai l’âme à la tendresse …. aurait pu me faire frapper à la porte de son k-oeur…… si il était venu à une de mes prestations et qu’il aurait porté un drame dans sa fragilité… je me connais… je l’aurais ressenti et je serais aller lui serrer la main juste pour voir si je ne pourrais pas faire quelque chose pour lui à l’intermission…
J’ai souvenir de médecins (comme des juges d’aileurs) rongés par des dépendances de nature diverses… qui sous un travail consciencieux,,,, traversaient des drames reliés à la mort soit de leurs proches, soit de celles ou ceux que leur savoir-faire n’avait pu guérir… Comme infirmière, vous avez du vivre cela tellement de fois…
Et comme patiente aussi… lors de votre accident… d’autant plus cruel que vous étiez une infirmière …donc bien informée des conséquences physiologiques qu’allait entraîné cette séquence imprévue…
Il est vrai que nous les chansonniers … nous étions des médecins de l’âme et notre savoir résidait dans cette danse du merveilleux qui s’exerçait entre notre voix et notre guitare… Quand nous çeumes à faire en même temps les Pierrots et les deux Pierrots… presque 7 jours par semaine … nous avions ajouté Marcel Picard…. Ce fut un trio étonnant…. que le public voulait retrouver soir après soir… avec mon Pierrot david dont je protégeais le vedettariat…. en chantant les débuts de soirée et les fins de soirée pour qu’il puisse performer là ou ça comptait:))))
oui, samedi le 26, c’est bien humblement
que je vais peindre dans l’âme de vos proches
cette force de caractère impressionnante qui est la vôtre
bien sculptée au travers de vos écrits
Pierrot:))))
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Chère Claire,
Quelle joie de retrouver à nouveau cette poésie des mots chantés pour laquelle j’ai consacré une très grande partie de ma vie… Je ne fus que poésie, vous savez Claire… et le vagabondage du pays oeuvre d’art fut d’abord précédé par le vagabondage du pays oeuvre d’art caché par la beauté des mots…
Quand je chantais les chansons de George Langford… la butte… ou le tour des maisons … Je savais que, sans des gars comme moi, George n’aurait joué nulle part… et pourtant… c’était toute la poésie des iles de la madeleine qui passait par ma voix, mon recueillement, ma dévotion à en peindre la moindre de ses inflexions poétique. Je prenais la même passion à prendre soin de son rêve en chantant ses chansons que je prends soin aujourd’hui du rêve de Gaelle de faire son doctorat….
J’ai connu l’époque ou on réenchantait le monde avec une guitare et un cahier de chansons… soir après soir…. wowww….Il en reste bien peu aujourd’hui de ma génération pour en témoigner avec des mots à la fois poétiques et théorisés…
Le fond de mon k-oeur… Claire est sculpté comme de véritables cartes postales d’un Québec qui s’était fait beau pour rêver l’impossible… et c’est cela que je porte encore en moi… avec encore plus de passion que jamais dans ma vie… La vie eprsonnelle oeuvre d’art, le pays oeuvre d’art, les 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art… ce sera mon héritage philosophique, celui de Pierrot le vagabond céleste…
Quand jadis, je donnai tous mes biens pour vagabonder la beauté du monde…. en réalité c’était comme si j,avais délester la montgolfière de ma poésie la plus intime pour ne pas rater l’ascension du meilleur que l’être humain se doit de ne pas rater sur cette terre… soit une ascencion consacrée à la conquête de son rêve de vie au service du rêve de vie d’une humanité oeuvre d’art.