Pierrot vagabond céleste
Michel le concierge
Pierrot vagabond céleste à son arrivée chez Michel le concierge en décembre 2007
Michel Woodard, jeune chansonnier dans le Vieux Montréal
Michel Woodard, inventeur de la philosophie d’en bas, avec cet aphorisme extrait du carnet du concierge
1688, ****************************
Et Michel le concierge de poursuivre au travers de mes rires gargantuesques (Pierrot) :
«MERCI POUR TA DISPONIBILITÉ… VOICI MAINTENANT TOUTES TES MÉDAILLES AU CAS OU ON NE TE REVOIE PAS».
Michel le concierge, le carnet du concierge.
————-
REAL TIME NET WORTH
$136.9B
as of 12/12/20
$3.3 B | 2.38%
Reflects change since 5 PM ET of prior trading day
————
UN JOUR UN OU UNE RÊVEUSE-MÉCÈNE VIENDRA À NOUS ET NOUS DIRA… J’AIME VOTRE RÊVE OEUVRE D’ART DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SUR LEQUEL TRAVAILLE VOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)…. DEPUIS 14 ANS MAINTENANT ….
COMMENT ÇA COÛTE?
—————-
Pierrot vagabond céleste, de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) en philosophie politique … sur la nano-citoyenneté-planétaire, le pays oeuvre d’art et la vie personnelle oeuvre d’art
Marlene la jardinière, de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) en philosophie politique …. sur la nano-citoyenneté-planétaire, le pays oeuvre d’art et la vie personnelle oeuvre d’art
Michel le concierge de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), en philosophie politique …. sur la nano-citoyenneté-planétaire, le pays oeuvre d’art et la vie personnelle oeuvre d’art
———–
RÉSUMÉ DE NOTRE DOCTORAT OEUVRE D’ART EN 300 MOTS
Michel Woodard, de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) sur la nano-citoyenneté-planétaire, le pays oeuvre d’art et la vie personnelle oeuvre d’art
TITRE DU DOCTORAT OEUVRE D’ART DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) … JE TE DEMANDE PARDON
E TE DEMANDE PARDON…, à toi qui, comme des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, se meurt, jour après jour, de faim ou de blessures de guerre, et cela, au nom des 193 états hobbiens onusiens qui, sous la féodalité de monarchies nucléaires, font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant TON DROIT MULTIVERSIEL à une vie personnelle œuvre d’art par un rêve big-bang.
JE TE E DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui, depuis plus de 14 ans maintenant, cherche à répondre à la question suivante : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?
JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui S’ACHARNE à déployer concrètement L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, dans le but de contribuer à la déshobbiation de l’O.N.U. Par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents « wow-t=2.7k? » , si possible avec la complicité de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec) , nous validerons politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (39 femmes et 39 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement toi et les centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques qui souffrent de la même criminalité étatique banalisée que toi.
Dans ce doctorat, PAR UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-ŒUR (ier chapitre), le premier à te demander pardon sera moi, Pierrot vagabond (2eme chapitre le rêve big bang), puis mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge (3eme chapitre la non-tricherie), pour enfin laisser la parole à sa compagne œuvre d’art, Marlene la jardinière (4eme chapitre, ses jardins coups-de-coeur œuvre d’art).
Pourquoi nos trois archétypes hologrammiques veulent-ils tour à tour te demander pardon? Parce que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) veut parler au cœur de l’humanité (5eme chapitre) et non à sa raison. Par le biais d’une CHANSON – MANIFESTE, nous affirmons que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire doit s’accompagner d’un « JE TE DEMANDE PARDON » , en corollaire de la décision de ne plus tricher par chaque vie-personnelle-œuvre-d’art consacrée à l’ultime question :
COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? (4eme et dernier chapitre).
————–
———————–
——————————
13 DÉCEMBRE 2020… UNE MÉTAPHYSIQUE ONTI-KHA-TIVE CONSTELLAIRE CONSÉQUENTE DES AB-FFECTS ISSUS DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR ASPIRÉS PAR LE SOLEIL D’UN RÊVE BIG-BANG..
Voilà, les deux Pierrots font maintenant partie du passé ….. et je me sens soudain libéré d’une errance axiologique commerciale qui fut vécue du fond de mes brosses d’être et de mes attaques d’être comme une tristesse artistique profonde m’éloignant à jamais de cette errance poétique que constitua le café St-Vincent de Paul Gouin…… des premières années…. L’hiver, ce n’était pas vraiment chauffé, on gelait. c’était rarement plein … mais la poésie des chansons à texte nous réchauffait le k-oeur.
Je n’avais pas les mots …. Mais un succès commercial comme celui que Pierrot David et Pierrot Rochette ont eu aux deux Pierrots n’a jamais pu remplacer chez moi la fraîcheur des débuts de la petite scène du café St-Vincent, la porte de garage ouverte, le vent , les chansons poétiques, l’onérisme du rien sous la parcelle des mots de nos folklores comme de nos chansonniers québécois de la première époque….. Nous étions les coureurs des rêves…. de la poésie des coureurs des bois…..
Avec les Contretemps en 1968, nous avions chanté dans des boîtes à chansons de villes de province, toutes en filets de pêche, de jus, de liqueurs, de table carrelées de nappes … et d’une écoute presque mystique d’une jeunesse qui n’a pas encore la parole mais qui a le respect sacré de ce qu’elle entend …..
Puis, ce championnat nord-américain des groupes folkloriques collégiaux nord-américains télévisé en direct dans un stade de Toronto avec une immense scène fractionnée …. ouffff… quelle pression… Nous étions francophones… nous chantions en français. uniquement en français et il avait fallut créer la chanson mimée avec des masques du château de cartes pour l’emporter le deuxième soir contre les américains…..
Puis le Japon, en 1970 …. ou je savais que le reste de ma vie serait consacrée à une question?
Comment se fait-il qu’expo 67 m’a fait vivre le rêve de représenter le Canada un jour à expo 70 au Japon… et que l’impossible se réalisa?
Qu’est-ce que le rêve? ….Quelle est sa différence avec le désir? Je ne rêvais plus que d’en dévoiler les lois … jusqu’à ce que ce clown de Toronto dans le spectacle de patins artistiques sur glace plexi-glaces sur la scène du pavillon du Canada à Osaka, Japon … m’initie aux lois spirituelles de la vie d’artiste (cabotinage, don de soi, communion , catharsis). J’y mis ma vie à franchir les 4 étapes par la scène. J’y suis arrivé finalement lors de mon vagabondage me conduisant à Radisson, à la Baie James… ou la iere nuit… je dormis en arrière d’un motel vide sous une galerie.
On peut marcher les débris de la mémoire du k-oeur à l’envers comme à l’endroit… On dirait un rêve k-omme quand on saute sur les pierres ensoleillées pour traverser un ruisseau chantant.:)
Quand j’arrivai dans le Vieux Montréal en 1971 ou72 je crois, au printemps … je fus ensemencé par le rêve de Paul Gouin… son errance poétique, son aristocratie de la beauté du monde par nos racines chantées…
Dans la fenêtre de garage, un trio de vagabonds heureux… Philippe, l’artiste et le père Lamontagne devinrent des transgrammes … un archétype poétique des hobos qui avaient sauté du haut du train dans mon enfance…
Oui, Nous fûmes des rois heureux, avec une guitare comme sceptre et un cahier de chansons comme lanterne magique.
—–
———————-
——————————
Gaelle et moi travaillons à nos métaphysiques respectives nuit et jour, jour et nuit …. j’arrive maintenant pendant que je dors à parcourir les nervures de la fissure du temps ,,,, allant visiter le temps sous ses attaques d’être par ma texture brosse d’être et recevant la visite du temps attaque d’être à la fenêtre même du feu de k-amp qui m’habite sous forme d’humanité oeuvre d’art… par des brosses d’être aux visages d’errances fantomatiques de millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre.
Je convoque l’impossible heureux… Un des 190 milliardaires de la terre…. qui voit la beauté du rêve de la nano-citoyenneté-planétaire et qui fait wow … et dit… J’aime votre rêve, comment ça coûte?
Rëver le droit à la vie personnelle oeuvre d’art pour toutes et tous… n’est-ce pas une belle danse onti-kha-tive (une errance poétique ou la guerre du champ des désirs se dissout contemplativement) de la beauté du monde par une humanité oeuvre d’art en devenir?
—————-
Coup double pour Moridja Kitenge Banza
La foire Art Toronto 2020 est à peine débutée que l’artiste montréalais Moridja Kitenge Banza y a fait coup double auprès de deux grandes collections canadiennes. Le Musée des beaux-arts de l’Ontario (AGO) et la banque Toronto Dominium lui ont acheté cinq de ses œuvres.
Le Musée des beaux-arts de l’Ontario (AGO) a annoncé, ce mercredi midi, dans le cadre de l’inauguration de la foire Art Toronto, l’acquisition de l’œuvre Christ Pantocrator No 13, réalisée par Moridja Kitenge Banza. Représenté par le galeriste montréalais Hugues Charbonneau, l’artiste québécois d’origine congolaise âgé de 40 ans a utilisé un masque Dan de la collection du Brooklyn Museum comme point de départ de cette œuvre.
> Consultez le site du Brooklyn Museum
Le Christ Pantocrator part de l’icône chrétienne byzantine d’un Jésus-Christ glorieux et tout puissant. « Il s’agit d’une série de peintures qui questionne ma relation avec les masques africains que l’on retrouve dans plusieurs musées occidentaux, dit Moridja Kitenge Banza, de confession catholique. Dans la plupart des cultures africaines, les masques sont réalisés pour être utilisés lors de rites sacrés et de cérémonies célébrant la naissance, la mort ou les récoltes. Déplacés dans un environnement muséal, ils se trouvent amputés de leur contexte de souche. Objets silencieux et décontextualisés, par leur existence ils sont pourtant des preuves matérielles de la diversité et de la complexité des sociétés contemporaines africaines. Ce sont des véhicules de transmission essentiels des mœurs et coutumes pour les futures générations africaines. »
Par ailleurs, la Banque TD a fait l’acquisition des quatre grandes acryliques sur toile de la série Chiromancie de Moridja Kitenge Banza. Ces œuvres ont été réalisées l’été dernier dans le cadre d’une résidence au Projet Casa, des collectionneurs montréalais Danielle Lysaught et Paul Hamelin.
En septembre dernier, le Musée des beaux-arts du Canada avait confirmé l’acquisition d’une création de Moridja Kitenge Banza, De 1848 à nos jours/Coupe de bateau négrier, une grande œuvre sur papier qui faisait partie d’une installation pour laquelle l’artiste avait reçu le premier prix de la Biennale de Dakar, au Sénégal, en 2010.
———————