G. et P.
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COURRIEL DE SIMON GAUTHIER
Allô pierrot je vais bien. Je recommence un nouveau brassage artiste du quotidien dimanche prochain.
G. et P.
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COURRIEL DE SIMON GAUTHIER
Allô pierrot je vais bien. Je recommence un nouveau brassage artiste du quotidien dimanche prochain.
la chanson du camionneur
Du début de l’humanité à la nano-modernité, la personne humaine concevait son k-osmos à partir de son vécu sur terre…. il est bien possible dans l’avenir que ce soit è partir du k-mos que la personne humaine réinvente sa vie sur terre.
Pierrot vagabond
YOU TUBE, SONDE VOYAGER, EN ROUTE VERS L’INFINI, DOCUMENTAIRE SCIENTIFIQUE, 2019.
extraits
Lorsqu’on a annoncé Récemment que Voyager avait pénétré dans l’espace interstellaire, c’était un peu comme si l’humanité ÉTAIT DEVENUE UNE ESPÈCE INTERSTELLAIRE, comme si l’éternité lui avait ouvert ses portes…. (3.10) ….. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, L’humanité par le biais d’un disque doré s’est fait vaisseau spatial pour communiquer avec d’autres êtres vivants dans le cosmos si c’est possible …. LE DISQUE DORÉ ÉTAIT EN QUELQUE SORTE LE K-OEUR BATTANT DU VAISSEAU. Son objectif c’était l’exploration scientifique. Mais le disque, C’ÉTAIT SON ÂME. (10.50)
BLOGUE,
Dans l’optique d’une philosophie spéculative radicale, ce doctorat fondera son argumentaire à partir de de l’axiome suivant : Sur la planète Terre, chaque Je est un rêve d’infini au k-oeur même de sa finitude …. En découlera corollairement et nécessairement un deuxième axiome : Cosmologiquement, chaque big bang JE du multivers ne peut être lui aussi qu’un rêve d’infini au k-oeur même de la finitude… De là …. la question qui en découlera : COMMENT S’ASSURER ÉPISTOLOGIQUEMENT QU’IL EN EST AINSI? ET S’IL EN EST AINSI …. QUI, entre le k-osmos et l’humain, EST LA FRACTALE DE QUI?
Ce qui nous conduira à une métaphysique spéculative radicale…. Celle de l’impossible … comme si l’un et l’autre, comme si l’un par l’autre, comme si l’un contre l’autre, par ce tout du tout qui en découle …. Le k-osmos et l’humain ne pouvaient être issus que d’un seul et même rêve d’infini au k-oeur de la finitude, se déployant fascinamment et originalement , de fractale en fractale, sous la forme d’un personnage hologrammique tissant d’un même fil d’or l’aventure quanto-cosmologique nano-humaine…. Traversant ainsi notre doctorat comme s’il s’agissait d’un personnage onérique que nous identifierons tout au long de ce conte doctoral comme étant : LE RÊVE BIG BANG.
Et c’est CE RÊVE BIG BANG, personnage hologrammique-onérique de notre conte doctoral, qui portera inventivement la poiétique comme la poétique de trois étiquettes abceptuelles (un abcept, c’est la partie onérique d’un concept) flottantes de la nano-modernité du 21eme siècle telles que suggérées par notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), soit : LA VIE PERSONNELLE ŒUVRE D’ART, LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, LE PAYS ŒUVRE D’ART. Le tout, dans un quatrième temps, menant à l’enjeu suivant :Dans ce troisième chapitre, par une suite sérenpiditaire des débris de la mémoire du K-oeur, ce maître infini des songes infinis du multivers appelé LE RÊVE BIG BANG, tisse synchroni-vie-tivement le rêve de ma vie personnelle œuvre d’art. comme les rêves de milliards d’autres vies personnelles œuvre d’art par une suite unique de débris de la mémoire du k-oeur, tel un insaisissable de la beauté du monde… faisant de mon moi onérique, un fils fractal d’une énigme enchantée …. Faisant de mon je-errant-poétique …. UN JE QUI N’A DE CESSE DE RÊVER L’INFINI AU K-OEUR MÊME DE SA FINITUDE … convoquant l’émergence ab-ceptuelle (un ab-cept est la partie onérique d’un concept qui le rend illogiquement inopérationnel) d’une humanité œuvre d’art en devenir en moi …. par quatre questions que peut se poser toute vie personnelle œuvre d’art de la nano-modernité en apesanteur cosmique de sens en soi : 1) Quel est ton rêve, 2) Dans combien de jours? 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
NOUS AVONS EU LA CHANCE INOUIE DE POUVOIR RÉALISER CE RÊVE. (you tube, sonde voyager, en route vers l’infini, documentaire scientifique,2019, 0.50)
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Une personne humaine est un Je qui rêve l’infini au k-oeur même de sa FINITUDE. Commençons d’abord par cette FINITUDE, elle est d’abord et avant tout le sort incontournable de toute vie humaine sur terre. On naît, vit et meurt. Sur 7 milliards de personnes (chiffre de l’O.N.U en 2011), aucune ne sera encore vivante en 2130. Ce mur de la finitude existentielle, on le retrouve remarquablement synthétisé dans la vie et l’œuvre du peintre Paul Gauguin dans toute sa cruauté dramatique. Après quelques années à Tahiti, dit-il, ou le bonheur succédait au bonheur, soudainement il apprend par une petite lettre de sa femme que leur fille Aline âgée de 19 ans est morte le 19 janvier 1897. La dépression le ronge, la culpabilité d’avoir abandonné ses 5 enfants pour vivre l’aventure de son rêve lui fait faire des cauchemars, ses problèmes de santé s’accentuent (des cicatrices qui ne veulent pas guérir) et les douleurs compulsives qui en résultent nuit et jour l’enchaînent à une escalade de consommation d’arsenic et de morphine dans ses tentatives pour guérir. Le 7 juin 1897, Gauguin se dirige vers le port ou il espère qu’un bateau lui apportera une lettre de ses enfants pour ses 49 ans. Mais rien…. Le vide… l’impasse. En juillet 1897, il se rend encore au port… Il espère un mandat qui lui permettrait de palier à ses dettes. Aucune nouvelle de George Chaudet qui est chargé de vendre ses toiles, aucun envoi d’argent de Daniel de Monfreid, son ami le plus fidèle. L’idée de se tuer lui traverse l’esprit pour mettre un terme à cette existence de miséreux. Et pourtant, l’idée d’un tableau germe en lui…. Comment témoigner du long et mystérieux déroulement de la vie humaine, semblable aux pirogues qui flottent et serpentent les lagons avec comme féérie d’arrière-fond, l’île de Taroa …. car se demande Gauguin… D’OÙ VENONS-NOUS?, QUI SOMMES-NOUS? OU ALLONS-NOUS? De juillet à décembre 1897…. L’horreur de la douleur prend des formes étranges … Plaies sur les jambes, eczema, séjour à l’hôpital. Il doit peindre…. Son testament pictural. … D’où venons-nous? … Que sommes-nous? Ou allons-nous? Un mois nuit et jour, sans ressentir la faim ou la soif … ébloui de sérénité en ayant pris le pari que s’il ne reçoit aucun subside par le prochain bateau, il aura le courage de se tuer…. Le bateau a pris du retard… Gauguin continue à peindre … Quand le bateau surgit enfin dans le port de Papeete, Il accoure … rien pour lui… rien… Il revient à Panaiauna… Il saisit sa toile… écrit en haut à gauche le titre du tableau : D’OÙ VENONS-NOUS?, QUI SOMMES-NOUS? , OU ALLONS-NOUS? Un tableau en trois temps qui lit la finitude de gauche à droite ….le début de la vie (trois femmes et un enfant) ….. le temps au quotidien qui file (groupe de jeunes) et une vieille femme résignée à mourir ( à ses pieds, un oiseau blanc qui tient dans son bec un lézard représentant la futilité des mots) le tout sous fond d’idole bleue représentant l’au-delà. Le tableau est un chef d’œuvre… Et Gauguin le sait…. Il le sait d’ailleurs depuis le tout premier coup de pinceau …. Toute la beauté de l’énigme de la finitude sur terre s’y trouve respectée sans chercher à la résoudre par quelque réponse logique que ce soit. La fiole d’arsenic…. La fiole d’arsenic…. Il la capte…. Il sera capitaine de sa finitude sur terre. Il écrira d’ailleurs à un ami: J’ai voulu me tuer, je suis parti dans la montagne pour que mon corps soit mangé par les fourmis. Je n’avais pas de revolver, mais j’avais de l’arsenic. … Effectivement, il avale l’arsenic, mais très vite son corps est pris de nausées qui, sous forme de vomissements, dureront toute la nuit. À l’aurore, toujours vivant, il redescend la montagne, retrouve sa case, s’effondre dans son lit. La mort n’a pas voulu de lui. Il mourra pourtant 6 ans plus tard, le 8 mai 1903, brisé par les douleurs horribles de l’eczéma, rongé par la syphilis, devenu un artiste maudit exilé dans la pauvreté et la faim la plus abjecte.
PRÉCIS DE GLOSSAIRE DE LA VIE PERSONNELLE ŒUVRE D’ART … dit «DES PILES» …. du doctorat (Auld, Woodard,Rochette) ( 183 étiquettes constellaires)
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Abcepts du k-oeur, ab-ffects multiversiels du k-oeur, ab-ffects onti-kha-tifs du k-oeur, ab-jets du k-oeur, ab-mitié œuvre d’art du k-oeur, ab-mmunication du k-oeur, ab-ppareil attractif multiversié du k-oeur, ab-rationnalité du k-oeur, ab-tités du k-oeur, ab-tratracteurs étranges d’un rêve big-bang du k-oeur, al-gorithme de justice sociale planétaire du k-oeur, allumeur de k-oeurs réverbères, a-mour œuvre d’art du k-oeur, a-nalogie hologrammique des débris multiversiels de la mémoire du k-oeur, arc-en-ciel qwaliatif du k-oeur, ar-chés hologrammisés du k-oeur, ar-chés qwaliens de l’enfance, archés post-quanto-multiversiels du k-oeur, archétypes hologrammiques fractaux du k-oeur, archétypes hologrammiques multiversiels du k-oeur, architectonie constellaire par la poïétique d’un blogue, art de l’errance sociale du k-oeur, artéfacts de rêvons du k-oeur, artiste-activiste-humaniste, artistes du quotidien, attaques d’être, avant big bang, billots de l’humanité errantte, bloguîétique, bruissements braisiques, bulles d’étrangetés ontologiques, carcasse axiologique, cerveau-astronaute, cerveau quanto-k-osmologique, cézannisation du réel, chair du k-oeur, champs k-artographiques, champs k-onstellaires, champ k-onstellaire d’un rêve big bang, champ k-onstellaire frémissé par les cordes, champ de forces conceptuel, champ de mine k-onstellaire, champ magnétique ab-ceptuel, champ magnétique k-onstellaire, champ symphonique des dékohérences kanto-kosmologiques, champ trans-k-allaire du multivers, chansons hologrammiques, chants ab-ceptuels, chasse-misère, clones fractaux du multivers, code hologrammique du 2.7k? , communauté des invisibles, condition humaine d’enterrance, conquête infra-spatiale du multivers, conscience fractale, constellation glossairique, k-orps-rêve ( corps vu comme un rêve de la liberté œuvre d’art), cri de Munch inversé, crime contre l’humanité errante, crypter le multivers, danses d’abcepts, danser poétiquement par les larmes de joie, danse synchroni-vie-tale, de l’onti-ke à l’onti-ka-tion de toute vie personnelle œuvre d’art, débris de la mémoire du corps (quali), déchirure dans le rêve ou s’insère le big bang du multivers, déclencheurs abductifs, décryptage du rêve big bang, déshobbiation de l’O.N.U., désirs encorcés par la force d’un champ k-onstellaire, désirs intrikés, dessiner une porte sur le k-oeur, désinstitutionnalisation du cerveau-astronaute, dé-stratification du cerveau nano-citoyen, deux assemblées des justes (39 femmes, 39 hommes) , doctorat œuvre d’art, douceur des vies anonymes dansant la beauté du monde, dramaturgie d’artéfacts, droit à la sculptation, effets d’agrégation de nano-intentionnalités, émergence des qwalias-réalité, émergence des formes fraîches par la non-tricherie, enchantement de l’impossible, encordement des impossibles, énergie hologrammique, enfants-errants-fantomatiques, engagement cosmonautologique, équitabilité des trois peintres, ermite des formes quantiques-k-osmologiques, errance-archétype-hologrammique, errance axiologique, errance fantomatique, errance fractale, errance poétique, errare/iterare, étiquettes abceptuelles flottantes, étiquettes déchiquetées, étiquette fer-de-lance d’un rêve big-bang, étiquettes-laboratoires, eupories d’un rêve big bang, feu de camp sur la montagne du point big bang, feu d’humanité, fiction poétique axiomatique, fil d’or bloguiétique, flottement-frémissement symphonique du champ k-onstellaire, fluidité d’une conscience errante k-osmique, fly-been (Michel le concierge), fondement onti-kha-tif de la beauté du monde, forme big bang d’un rêve récit, formes fractales, fractale onti-kha-tive, fractaliser l’humanit., fracture de la conscience, fraîcheur des formes cryptées, fraicheur des formes immunicatives, fraîcheur inouïe d’une forme impossible, frémissements ontologiques des qwalias multiversiels, frissonnement multiversiel, frontiçres entre les munis et les démunis de la terre, galaxie de la propédeutique, genèse de la non-tricherie, gestalt univers-multivers, glossaire constellarique, graine de rêve big bang, guenilles des étiquettes flottantes de la beauté du monde, humains et objets, socles abjetaux kantiques, humanisme épique, humanité hologrammique, humanité co-responsable du sort du plus petit, humanité errante, humanité œuvre d’art, ilot d’errance poétique, image-transmage-transgramme, implosion des nano-enjeux, incendie de bienveillance planétaire, intrikhation-dé-cohérence-hologrammie de la matière quanto-cosmologique, invention de la nano-citoyennet-planétaire, jardin-constellaire, jardin-rêvoir, jardinière conceptuelle du pays œuvre d’art, jury-lab, larmes de joie-débris de la mémoire du k-oeur, liberté big-bang sur terre, l’homme à l’orgue de barbarie, logique des transmages, maître des songes, matrice de la fraîcheur des formes, métamorphose de la forêt des désirs, métaphysique des qwalias, métaphysique du k-oeur, mise en apesanteur de la mémoire déchiquetée, mission sociale poétique, Monsieur 2.7k?, nano-champ de force, nano-citoyenneté-planétaire, nano-matrice, nano-sociologie du JE, nano-pelleteur (Michel le concierge) non-tricherie œuvre d’art, ombre lumineuse d’un rêve big bang, onde de bienv eillance reliée au 2.7k?, onti-kha-tion de l’humanité, ontologie des frémissements par les qwalias du k-oeur, oreille du ?, passage de l’ontike à l’onti-ka-tion, passeur de larmes sacrées, pays œuvre d’art, philosophie de la nano-modernité, philosophie de l’errance, philosophie d’en bas (Michel le concierge), piton de la liberté, quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art, qwalia, rapport poétique à l’argent, recohérence de l’irréel, réinvention de l’humanité vue de l’espace, règle des 3 wows, rêve big bang, synchroni-vie-té multiversielle opératoire, vie personnelle œuvre d’art, village œuvre d’art fractal, wow-t=2.7k?
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Débris de la mémoire du K-œur… 1,
Blogue, 10 septembre 2020
LE RÊVE BIG-BANG
Dans l’optique d’une philosophie spéculative radicale[1] auto-référentielle[2] de ma vie …. qui a vécu LE RÊVE BIG BANG qui l’a aspiré ….. comme LE personnage archétype onérique…LE souffle même du multivers… LA source vive ab-réelle (l’ab-réalité c’est la partie impossible du réel) ….. qui , même s’il ne fait pas partie du réel mais le signe…. fit, fait et fera …. de ce socle ab-jetal (un ab-jet est un objet qui se dissout sous la beauté du rêve qu’il transporte) que fut, est et sera mon corps …. un JE ONÉRIQUE D’UNE ENNIVRANTE ERRANCE POÉTIQUE K-OSMOLOGIQUE ÉVÉNEMENTIELLE ….. dans cette optique, dis-je, ce doctorat se propose donc de raconter, dans ce troisième chapitre, l’histoire de ce maître infini des songes infinis du multivers appelé LE RÊVE BIG BANG, tissant ma vie parmi des milliards d’autres par une suite de débris de la mémoire du k-oeur, tel un conte insaisissable de la beauté du monde… faisant de mon moi onérique, un fils fractal d’une énigme enchantée …. Faisant de mon je-errant-poétique …. UN JE QUI N’A DE CESSE DE RÊVER L’INFINI AU K-OEUR MÊME DE SA FINITUDE … convoquant l’émergence ab-ceptuelle (un ab-cept est la partie onérique d’un concept qui le rend illogiquement inopérationnel) d’une humanité œuvre d’art en devenir en moi …. par quatre questions que peut se poser toute vie personnelle œuvre d’art de la nano-modernité en apesanteur cosmique de sens en soi : 1) Quel est ton rêve, 2) Dans combien de jours? 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Rien n’y sera vrai, rien n’y sera faux. Juste un conte sous la forme un constat glossairique constellaire PERCEVANT TOUT VIVANT COMME UNE FRACTALE K-OSMOLOGIQUE issue du rêve big bang multiversiel lui-même ….. et cela dans le but de mieux réinventer spéculativement l’humain par le k-osmos et le k-osmos par l’humain …. à travers UN VAGABONDAGE ONÉRIQUE DU RIEN QUI SE FAIT MOINS QUE RIEN AU PAYS DU CELA EST…. À LA FOIS TOUT ET RIEN.
Ego sum pauper (Je suis pauvre)
Nihil habéo (je n’ai rien)
Et nihil dabo (Je ne demande rien)
[1] PHILOSOPHIE SPÉCULATIVE RADICALE …. Posture épistémologique inspirée de Whitehead…. ré-expérimentée par le philosophe Didier Debaise et son groupe de recherche LE GECO (groupe d’étude constructiviste ouvert, Université libre de Bruxelles). Dans une entrevue (You tube, EN COURS DE ROUTE, 28 mai 2019, Didier Debaise, 2/2 le GECO, extrait, 33.25 à 53.18, Debaise dit ceci : « ….. Moi à l’époque, j’enseignais Whitehead et d’autres. Je donnais un cours sur Nietzsche, Deleuze, mais il y avait un enjeu au GECO. C’ÉTAIT LES PRATIQUES DE SAVOIR. Et tout doucement, la question de LA SPÉCULATION avait pris le dessus sur la question de la pratique du savoir, au sens du constructivisme, des rapports de pratique de connaissance. Et cette insistance-là venait d’isabelle et de moi et c’était difficile de convaincre les autres au GECO parce que LA PENSÉE SPÉCULATIVE avait encore très fort la réputation d’être une pensée très abstraite, générale, très philosophique ………. Bénédicte présentait un texte de Donnah Haway dans laquelle elle parlait de LA SPÉCULATION SPÉCULATIVE et on a commençé à explorer ça. ………… Donner de l’importance à des expériences qui ne soient pas exclusivement anthropologiques , exclusivement humains … ouvrir la pensée vers d’autres foyers d’expériences, d’autres sens de l’expérience … C’était aussi interroger, susciter LA QUESTION DES POSSIBLES … Et voir la pratique de la philosophie comme une pratique d’articulation QUI NE PEUT RIEN EXCLURE, de ne jamais se mettre en posture de disqualification, sauf de toute théorie qui se présente comme disqualifiante. ……
[2] AUTO-RÉFÉRENTIELLE dans le sens de la fable des miroirs d’Épitecte … mais non pas sous formes de miroirs philosophiques mettant en valeur les vertus et les perversions du reflet de soi, mais plutôt vécu comme un saut épistémologique convoqué par le rêve big bang lui-même à partir duquel le JE de la personne humaine meurt à lui-même pour renaître nano-k-osmologiquement sous forme d’abjet abecptal fractal du rêve big bang lui-même. Le JE DISSOUS PAR LE VOIR DE LA BEAUTÉ DU MONDE devenant miroir d’un miroir à la puissance onérique wow-t=2.7k?.
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Pierrot vagabond
La réclusion que nous vivons G. et moi depuis un mois et demie maintenant a connue ce soir une pause d’amitié oeuvre d’art avec Marlene et Michel….
Comme nos 13 ans de conseils d’administration de la créativité nous a rendu complices de la beauté du monde.
Merci mes amis…
je poursuis cette réclusion doctorale avec G.
Pierrot vagabond
Pierrot Vagabond