L’ÂME DU RIEN M’HABITE….

Ma vie ressemble à celle des coureurs des bois… du moins dans mon imaginaire… tout n’est que forêt, canots, chûtes, rapides, feu de camp, vent dans les arbres et cheveux aux douceurs ineffables….

quand je revisite mon passé….c’est comme si le coureur des bois en moi arrivait à l’improviste au beau k-oeur des débris de sa mémoire du k-oeur….

Combien de fois sur scène j’ai voulu retenir le temps… surtout quand des bitts de burlesque que j’avais inventé pour accompagner ma maîtrise sur le rire me faisaient laboratoire de la condition humaine….

J’avais  été impressionné par le roman au nom de la rose d’umberto Ecco….