LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE …… ET SI LA CONSCIENCE NANO-CITOYENNE-PLANÉTAIRE PASSAIT PAR UNE CRISE SANS PRÉCÉDENT DE L’HUMANITÉ ENTIÈRE…. LE PASSAGE DE LA POST-MODERNITÉ DES RICHES À LA NANO-MODERNITÉ DES EFFONDRÉS DE LA PAUVRETÉ DU K-OEUR ….. LA NANO-MODERNITÉ VIENT DE NAÎTRE… DANS TOUS LES EFFROIS DE L’EFFONDREMENT DE LA POST-MODERNITÉ… VOICI VENU LE TEMPS DU K-OEUR… DU RÊVE BIG-BANG DE CHAQUE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART DE LA PLANÈTE TERRE AU SERVICE DU RÊVE BIG BANG D’UNE HUMANITÉ MULTIVERSIELLE OEUVRE D’ART… LE RÊVE DU K-OEUR DE CHACUNE ET DE CHACUNE AU SERVICE DE L,AUTRE EN SOI… PAR LE K-OEUR… POUR LE K-OEUR…. POUR UN 5 SENS, UNE RAISON ET UN VISCÉRAL AU SERVICE DU K-OEUR

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

SUR GOOGLE

MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND

Marlene, Michel, Pierrot

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

1. Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception…..

2. Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art. a) Quel est ton rêve?…b) dans combien de jours…c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?…d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?….

3. Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation soit lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….

4. En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?….

5. Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE…..

6. Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 2×39 vies personnelles œuvre d’art en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.  ( 2 assemblées des justes, 39 femmes, 39 hommes*) ….

7. Imaginons que ces deux assemblées des justes œuvre d’art (39 femmes, 39 hommes) se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière….

8. Imaginons que….. la cinquième question…. (EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?)  devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls…..

9. Imaginons qu’une fois les deux assemblées des justes réunies (39 femmes, 39 hommes) , un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionnée comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde….

10. Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre…..

11. EN CONSEQUENCE DE QUOI….Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire un jour  …..  DES PAYS OEUVRE D’ARTS ……  DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART….

12. .La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel œuvre d’art, la liberté œuvre d’art reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU….. objectif:….nouvelle conscience éthique-esthétique planétaire en vue de la réforme des états ……      en pays œuvre d’art …..  et cela ……  par la masse critique nano-numérique des vies personnelles œuvre d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde……

13. L’implantation planétaire de la nano-citoyenneté pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:– retour sur les quatre questions… menant à la cinquième question éco-philanthrope de l’espace-monde:-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?….

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conclusion

Chers camarades-conteuses-conteurs, la vie est un feu de camp…. quand on est trop près du feu, le rêve nous brûle , quand on est trop loin, le rêve nous gèle… mais quand on est à bonne distance et qu’on se rassure les uns les autres, le rêve nous unit parce qu’on se rassure les uns les autres… C’est peut-être cela la CIRCULATION DES RÊVES BIG BANG SUR TERRE… réchauffer notre condition humaine par L’onérisme créateur d’une errance poétique quanto-cosmologique créative et humaniste, dans le respect de l’équité et de l’inclusion symbolisée par les deux assemblées des justes (39 femmes et 39 hommes) et cela planétairement, pour que naissent un à un DES PAYS OEUVRE D’ART SUR TERRE.

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Coronavirus : les agents correctionnels réclament des mesures


PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

Plusieurs cas de contamination à la COVID-19 dans l’une des 17 prisons du Québec ne seraient pas faciles à gérer, selon les agents correctionnels.

Assailli de questions par ses membres inquiets, le Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec réclame du ministère de la Sécurité publique qu’il prenne des mesures le plus rapidement possible pour réduire les risques de contamination à la COVID-19 dans les 17 prisons du Québec.

Daniel Renaud Daniel Renaud
La Presse

Depuis mardi, représentants syndicaux et patronaux discutent des mesures qui pourraient être mises en place, mais au moment d’écrire ces lignes, aucune directive n’avait encore été émise.

« Le premier ministre fait tellement d’annonces que j’ai l’impression que les ministères ont de la difficulté à suivre », dit Mathieu Lavoie, président du syndicat.

« Si un détenu tombe malade, ça va se répandre comme une traînée de poudre dans la prison. Si un secteur complet d’une prison est contaminé, on fait quoi ? », demande le chef syndical, citant par exemple le Centre de détention de Montréal (Bordeaux) qui abrite 1400 détenus, et possède notamment deux pavillons de 180 détenus chacun.

Plusieurs cas de contamination à la COVID-19 dans l’une des 17 prisons du Québec ne seraient pas faciles à gérer ; une prison est un lieu clos et hautement sécurisé. Des détenus malades pourraient être isolés, mais le nombre de cellules d’isolement est limité. « Et on ne pourra pas faire 50 transports avec escorte vers des hôpitaux chaque jour », s’inquiète M. Lavoie.

Il y a une dizaine d’années, lors de la crise de la grippe H1N1, des mesures, qui ont donné des résultats, avaient été mises en place. Le syndicat propose qu’elles soient reconduites.

Il demande notamment la réduction du nombre de visites pour les détenus, un meilleur contrôle des visiteurs, l’arrêt des visites communautaires et un plan pouvant aller jusqu’à la fermeture complète des parloirs.

Il réclame également que les infirmières que l’on retrouve dans chaque prison puissent effectuer des tests de dépistage et des prélèvements, plutôt que ces opérations soient faites à l’extérieur des établissements carcéraux. Il souhaite aussi que les agents correctionnels aient tout l’équipement de protection nécessaire en cas d’intervention auprès d’un détenu malade.

Enfin, le syndicat demande d’afficher des notes sur les mesures d’hygiène, de limiter et même d’annuler les activités sociocommunautaires et autres en établissement, de limiter les entrées pour les peines discontinues, de limiter les transferts entre établissements et de définir des plans d’urgence dans chaque établissement, en lien avec les comités de santé locaux.

« Demain, on reçoit dans une prison un détenu qui a récemment voyagé en Amérique du Sud et nous ne savons pas comment réagir. Pourtant, ce n’est pas d’hier que l’on sait que la COVID-19 va arriver au Québec », déplore M. Lavoie.

La Presse a communiqué avec le ministère de la Sécurité publique du Québec. Une porte-parole nous a envoyé un courriel précisant que
différentes mesures sécuritaires ont été mises en place ou sont actuellement envisagées, et que celles-ci visent à prévenir les risques de contamination.

La porte-parole a donné en exemple une réduction des transferts entre les établissements de détention et la limitation des déplacements à l’intérieur des prisons.

« Les personnes prévenues continuent d’être conduites dans les palais de justice pour y comparaître lorsque leur présence est requise par le tribunal. L’utilisation de la visiocomparution et des visioparloirs pour les rendez-vous avec les avocats sont toutefois privilégiées dans la mesure du possible, et ce, en accord avec nos partenaires judiciaires. En ce qui concerne les visites aux personnes incarcérées, pour le moment les visites sans contact sont priorisées », a-t-elle écrit.

La Presse a également communiqué plus tôt cette semaine avec un responsable du Syndicat des agents correctionnels du Canada, pour vérifier si des mesures ont été prises dans les pénitenciers fédéraux qui se trouvent au Québec.

« Nous sommes en attente de directives de la part du Conseil du trésor », a répondu le responsable, précisant que l’anxiété de ses membres était généralisée.

Pour joindre Daniel Renaud, composez le (514) 285-7000, poste 4918, écrivez à
drenaud@lapresse.ca ou écrivez à l’adresse postale de La Presse.