Être le capitaine de son âme c’est naviguer dans l’océan des tempêtes inouïes des débris de la mémoire universelle du corps, inspiré et guidé par l’or signatif DES DÉBRIS MULTIVERSELS DE LA MÉMOIRE DU COEUR
pierrot vagabond
Être le capitaine de son âme c’est naviguer dans l’océan des tempêtes inouïes des débris de la mémoire universelle du corps, inspiré et guidé par l’or signatif DES DÉBRIS MULTIVERSELS DE LA MÉMOIRE DU COEUR
pierrot vagabond
wikipedia
Vue d’artiste d’un système de génération de deux photons intriqués.
En mécanique quantique, l’intrication quantique, ou enchevêtrement quantique, est un phénomène dans lequel deux particules (ou groupes de particules) forment un système lié et présentent des états quantiques dépendant l’un de l’autre quelle que soit la distance qui les sépare. Un tel état est dit « intriqué » ou « enchevêtré » parce qu’il existe des corrélations entre les propriétés physiques observées de ces particules distinctes : cet état semble contredire le principe de localité. Ainsi, deux objets intriqués O1 et O2 ne sont pas indépendants même séparés par une grande distance, et il faut considérer {O1+O2} comme un système unique. …
Cette observation est au cœur des discussions philosophiques sur l’interprétation de la mécanique quantique. Elle est en effet contraire au principe de réalisme local défini par Albert Einstein.
L’intrication quantique a des applications potentielles dans les domaines de l’information quantique, tels que la cryptographie quantique, la téléportation quantique ou l’ordinateur quantique.
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Le caractère surprenant des états intriqués a pour la première fois été souligné par Einstein, Podolsky et Rosen dans un article de 1935 qui tentait de montrer que la mécanique quantique était incomplète. Dans cet article, les auteurs décrivent une expérience de pensée qui restera connue comme le paradoxe EPR. Mais ce qu’Einstein a nommé « action fantôme à distance (en) » parce qu’il n’y croyait pas, a été largement vérifié et confirmé par les physiciens1.
L’expérience d’Alain Aspect est la première expérience montrant la violation des inégalités de Bell, établissant un résultat irréfutable en vue de la validation du phénomène d’intrication quantique et des hypothèses de non-localité. Des expériences démontrant ce phénomène ont ensuite été réalisées sur des distances de plus en plus grandes depuis les années 1970 :
en 2013, l’intrication a été prouvée sur deux électrons séparés de 1 300 mètres ;
en 2017, Juan Yin et al. (université des sciences et des technologies de Hefei, en Chine) ont envoyé des photons intriqués depuis le satellite QUESS (Quantum Experiments at Space Scale), orbitant à 500 km, vers des stations terrestres séparées de 1 203 kilomètres — Delingha, dans le nord du plateau tibétain et l’observatoire Gaomeigu de Lijiang2,3.
L’équipe d’Eli Megidish a réalisé des expériences entre 2012 et 2013 montrant qu’en plus de la dimension spatiale, l’intrication avait aussi lieu dans le temps : à partir d’une paire de photons intriqués, ils ont mesuré l’un d’eux (noté 1) ce qui l’a fait disparaître, puis le second photon (noté 2) a interagi avec un photon d’une autre paire intriquée (noté 3) ; ils ont démontré qu’il existait une corrélation entre le photon 1 et le second photon de la deuxième paire (noté 4). Les photons 1 et 4 n’ont jamais coexisté, ce qui prouve que la non-localité s’applique aussi dans le temps4.
En 2016, trois chercheurs du laboratoire de la mémoire quantique à l’université de Varsovie ont annoncé avoir réussi à intriquer un photon avec un objet macroscopique constitué de 1 000 milliards d’atomes de rubidium. La diffusion de photons uniques sur ce groupe d’atomes permet de retrouver leur état quantique à l’aide d’une caméra sophistiquée capable de restituer l’information contenue dans ces photons. L’information répartie sur un grand nombre d’atomes est conservée même si l’un d’entre eux est enlevé. Une seconde expérience a permis de construire ainsi une sorte de mémoire quantique, stockant 12 photons, sur une durée de plusieurs microsecondes5.
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à suivre…
Pierrot vagabond
Les nano-philosophes-planétaires du 21eme siècle exploreront en qwaliciens et ontikhaciens les infinis des infinis des big bang même de la beauté du monde multiversielle, faisant des qwalias la catégorie iere d’une énigme abtitative d’un nouveau paradigme… celui de la multiversellité des formes fraîches d ela non-tricherie de toute vie personnelle œuvre d’art par l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire, rêve big bang d’une humanité en marche vers son esthétisme œuvre d’art
à suivre…
Pierrot vagabond
Le QUATRIÈME ARTÉFACT CONSTRUCTIVISTE de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) HOLOGRAMMISANT notre bunker de l’amitié pourrait bien être un immense cadre éclairé sur le mur du salon des jardins de Marlene dont le titre serait :
LES JARDINS CONSTELLAIRES D’UN RÊVE BIG-BANG …car le plus extraordinaire de ce que je connais de Marlene depuis 12 ans , c’est qu’elle a toujours eu accès aux qualias de ses jardins comme conséquence de sa non-tricherie au quotidien… tout y était dès le début… car quand elle a commencé son œuvre… tout était à faire… et tout y est encore avant même que ses premières tulipes n’y soient écloses… Marlene a appris la non-tricherie et la beauté du monde par sa mère et son père…
Marlene, dont le père était droit comme une barre et qui travaillait dans une mine pendant que la mère de Marlene était directrice d’école primaire, quand il allait jouer au golf le dimanche il appréciait les qwalias du gazon par la beauté du monde même de sa non-tricherie au quotidien…
VIVE NOTRE BUNKER DE L’AMITIÉ
Pierrot vagabond
à suivre….
Pierrot vagabond
Contrairement À CE QUE PENSAIT Meinong, UN ABJET N’EST NI UN OBJET, PAS MÊME UNE ENTITÉ, MAIS UNE «ABTITÉ» hors de son principe opérationnel d’indifférence… c’est-à-dire une «abdité» douée d’une puissance multiverselle de métamorphose qwalienne de trans-champs constellaires issues du bruit de fond cosmologique d’une infinité d’infinités de rêves big bang.
Un FRÉMISSEMENT ONTOLOGIQUE «kantique» se déployant tout au long de l’arché-hologrammique de toute vie personnelle oeuvre d’art se trans-vit par brosses d’être en attaques d’être sous des métamorphoses S’ONDULANT sous formes de FRISSONNEMENT ONTOLOGIQUE…. le passage du frémissement au frissonnement étant la longueur d’onde du 2.7k? , bruit de fond d’un rêve big bang singularisé.
EN CONSÉQUENCE DE QUOI…
Les abjets, les abcepts, les abmmunications sont exactement que ce que prédit la théorie des cordes, en dialogue avec l’expansion éternelle et la matière noire…. soit des FRACTALES IMPOSSIBLES à objectiver…. se MULTIVERSE-LHUMANISANT PAR DES SYNCHRONI-VIE-TÉS ÉVÉNEMENTIALES TRANS-CRYPTÉES… dont on peut décrypter les ARTÉFACTS dans les débris les plus mélodieux (larmes de joie) de la mémoire du cœur.
À SUIVRE….
Pierrot vagabond
De là , la possibilité d’une méthodologie des débris de la mémoire du cœur dans un doctorat oeuvre d’art, parce que ce qui mis en stratégie dramaturgique, ce sont les événements qwaliens multiversels qui serpentent par pure synchroni-vie-té d’un champ constellaire enserrant un rêve big bang d’abjets, d’abcepts et d’immunication… comme si on était dans la poïétique même de la montagne Ste-Victoire de Cézanne (cézannisation du réel) ou des demoiselles d’Avignon de Picasso (aphorisation glossairique des formes fraîches)….
Le doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) constituera un paradigme méthodologique inspirant au sens où par trois lois de recherche ( 3 archétypes hologrammiques, 3 peintres, 3 wows) le passage d’un doctorat d’invention à un doctorat oeuvre d’art pourra être laboratiser au cours du ier chapitre (100 pages méthodologiques) précédant le déploiement discursif des aventures arhéjologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond) ayant permis l’invention oeuvre d’art que constitue LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…
à suivre…
Pierrot vagabond
à suivre….
Pierrot vagabond
à suivre…
Pierrot vagabond