IL EXISTE DES PROBLÉMATIQUES TELLEMENT FONDAMENTALES POUR L’AVENIR DE L’HUMANITÉ QU’ELLES RENDENT LÉGITIME L’INVENTION DES DEUX ASSEMBLÉES DES JUSTES (125 FEMMES, 125 HOMME) DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… PAR EXEMPLE…. LE JAPON QUI VIENT D’AUTORISER LES EXPÉRIMENTATIONS SUR LES EMBRYONS HUMAINS-ANIMAUX…

Le Japon autorise les expérimentations sur les embryons humains-animaux

Jusqu’au mois de mars, il était interdit de faire grandir des embryons hybrides au-delà de 14 jours ou de transplanter de tels embryons dans un utérus de substitution.

Par L’Obs
Publié le 30 juillet 2019 à 18h06 Modifié le 31 juillet 2019 à 09h11

Un scientifique japonais obtient pour la première fois l’accord du gouvernement pour la création d’embryons « hybrides ». Comme l’explique le site Ulyces, il s’agit d’embryons d’animaux contenant des cellules humaines.

Jusqu’au mois de mars, il était interdit de faire grandir des embryons hybrides au-delà de 14 jours ou de transplanter de tels embryons dans un utérus de substitution. Le ministère japonais des Sciences et de l’Education a finalement autorisé cette pratique controversée rapporte la revue « Nature » vendredi 26 juillet.

Un scientifique japonais obtient pour la première fois l’accord du gouvernement pour la création d’embryons « hybrides ». Comme l’explique le site Ulyces, il s’agit d’embryons d’animaux contenant des cellules humaines.

Jusqu’au mois de mars, il était interdit de faire grandir des embryons hybrides au-delà de 14 jours ou de transplanter de tels embryons dans un utérus de substitution. Le ministère japonais des Sciences et de l’Education a finalement autorisé cette pratique controversée rapporte la revue « Nature » vendredi 26 juillet.

Des organes à transplanter chez l’humain

Hiromitsu Nakauchi dirige des équipes de chercheurs à l’université de Tokyo et à l’université de Stanford en Californie. Il prévoit de cultiver des cellules humaines dans des embryons de souris et de rats avant d’expérimenter sur des porcs ou des moutons. A terme, il souhaite produire des animaux portant des organes constitués de cellules humaines, qui pourront être par la suite transplantés chez l’humain.
Lire aussi>Ils implantent des gènes humains chez l’animal : faut-il avoir peur ?

Cette pratique pose toutefois des questions éthiques. Comme le souligne Blanche Streb, directrice de la formation et de la recherche à Alliance Vita, au journal « la Croix », les embryons hybrides relèvent d’une « transgression de la frontière de la biologie homme-animal », qui « revient à courir le risque de créer de nouvelles transmissions de maladies animales à l’homme ».

Avec plus de 116 000 patients sur liste d’attente pour une greffe aux Etats-Unis, et plus de 20 000 en France, les embryons hybrides pourraient sauver de nombreuses vies. Des embryons de ce type ont déjà été créés auparavant, mais ils n’avaient jamais été autorisés à se développer jusqu’à leur terme. On parle alors généralement de chimères pour désigner ces embryons.

Pierrot vagabond

COMBIEN FAUT-IL DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART POUR FAIRE DES DEUX ASSEMBLÉES DES JUSTES (125 FEMMES, 125 HOMMES) DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SUR TERRE UNE COUR SUPRÊME DE HAUT CALIBRE ÉTHIQUE, MÊME SI ÉLUE PAR TIRAGE AU SORT DE VILLAGE EN VILLAGE, DE VILLE EN VILLE?…. UNE SEULE… LA MASSE CRITIQUE EST UN…. UNE SEULE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART DITE JUSTE PEUT FAIRE BASCULER L’HUMANITÉ EN HUMANITÉ OEUVRE D’ART…. ÙNE HISTOIRE VRAIE DE LA CORÉE DU SUD… DEVENUE UN FILM (JURY NUMÉRO 8) ILLUSTRE MAGNIFIQUEMENT L’ABDUCTION PROFONDE DE MON ÉNONCÉ

En 2008, la Corée du Sud a connu son premier procès pénal avec un jury. Le dossier présenté devant la cour devait être simple, car l’accusé a lui-même admis avoir brutalement assassiné sa mère. Mais ce qui devait être une affaire vite résolue se complique lorsque l’un des jurés, un jeune entrepreneur appelé Kwon Nam Woo (Park Hyung Sik), commence à tout remettre en question.

Sans un vote anonyme du jury, le juge, Kim Joon Gyum (Moon So Ri), doit réexaminer les preuves et demander un nouveau débat afin de déterminer si l’accusé est coupable ou non.

Kwon Nam Woo, qui refuse de céder sous la pression de la majorité, débute sa propre enquête détaillée. En passant au crible les nombreux rapports d’enquête, il remet en question à plusieurs reprises les aveux de l’accusé. Au fur et à mesure, il trouve les preuves dont il a besoin pour justifier ses doutes. Tandis que les autres jurés se joignent lentement à sa recherche de la vérité, Kwon Nam Woo remet en question l’opinion de la majorité pour découvrir ce qui s’est vraiment passé et fixer la norme de la justice.

Tiré d’une histoire vraie, « Juré n° 8 » est un film de 2019 réalisé par Hong Seung Wan.

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P.S. Je dois à Gaelle Eteme, la sociologue, la découverte de ce film.

Pierrot vagabond

synopsis tiré du site : https://www.viki.com/movies/36650c-juror-8