IL Y A VRAIMENT DU QUANTIQUE DANS L’UNIVERS…

Mais les lois de la physique quantique paraissent fonctionner à l’inverse des lois de la nature que nous connaissons. Lorsqu’il s’agit de l’infiniment petit, L’UNIVERS SUIT DES RÈGLES COMPLÈTEMENT DIFFÉRENTES …

« Il ne s’agit pas seulement d’une théorie spéculative car Sheldrake s’est livré avec beaucoup d’attention à des observations précises sur différentes espèces animales.

IL SEMBLE DONC QU’IL EXISTE UN TYPE TRÈS INHABITUEL DE MÉMOIRE INHÉRENTE À LA NATURE DE TELLE FAÇON QUE n’importe quel élément de la nature, des éléments de la même espèce en particulier CONTIENT LES CARACTÉRISTIQUES DE L’ENSEMBLE … C’est pour l’essentiel une manifestation du PRINCIPE HOLOGRAPHIQUE DES SCIENTIFIQUES Karl H. Pribam et Niel Bohr . Ce cas qui est appliqué à la biologie et comprend aussi l’homme et en général les aspects purement biologiques mais… (et ça va nous intéresser aussi) spirituels.

Le mécanisme de propagation de l’apprentissage semble survenir DE FAÇON COMPLÈTEMENT NON LOCAL (principe dit de non localité de la physique quantique) , raison pour laquelle LA RÉSONNANCE MORPHOGÉNÉTIQUE de Sheldrake peut être comprise comme un site de BIO-INTRIQUATION si vous voulez à l’échelle mondiale.

Rappelons que le principe d’intriquation ou ENTREMÊLEMENT consiste à considérer que nous sommes tous unis et non séparés malgré les apparences. Cette théorie sans l’ombre d’un doute va drastiquement à l’encontre de l’évolutionniste du naturalisme du britannique Charles Darwin selon lequel les changements dans le monde biologique nécessitent de longs délais et NE SONT PAS DUS À DES FACTEURS MÉTAPHYSIQUES mais à des processus d’adaptation progressive des espèces.

D’après les observations de Sheldrake, la nature semble évoluer À TRAVERS UN RÉEL PROCESSUS COLLECTIF D’APPRENTISSAGE – PARFOIS SOUDAIN – plutôt que sur la base de mutations fortuites et très lentes.

La portée des recherches à long terme de Sheldrake est très vaste.. et nous l’avons dit précédemment, elles se basent en particulier sur les tests expérimentaux faits sur diverses espèces animales.

D’après donc ces recherches, il existerait UN MÉCANISME à travers lequel lorsqu’un groupe humain ou animal acquiert certaines propriétés comportementales, psychologiques ou organiques, CES PROPRIÉTÉS SE TRANSMETTENT SYNCHRONIQUEMENT AUX AUTRES MEMBRES DE LA MÊME ESPÈCE.

Rupert Sheldrake, sur la base d’observations attentives du monde vivant suggérant lui au contraire que DES CHAMPS D’INFORMATIONS SUBTILES SONT À L’ORIGINE DE CETTE INFRA-STRUCTURE EN RÉSONNANCE DANS LAQUELLE SE MANIFESTE LA RÉALITÉ MATÉRIELLE.

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Par conséquent, sa théorie suggère que LE CHAMP DE RÉSONNANCE MORPHIQUE pour les êtres humains en particulier, pour toutes les autres créatures évoluées dans l’univers, contient non seulement LES PLANS GÉNÉTICO-BIOLOGIQUES DES CORPS PHYSIQUES, MAIS AUSSI LEUR NATURE PSYCHIQUE. NOS PENSÉES, NOS SENSATIONS, NOS SENTIMENTS EN SONT COLLECTIVEMENT INFLUENCÉS. Des interrogations sont ainsi suscitées.

D’autres phénomènes biologiques ne peuvent en aucun cas par les modèles bio-chimiques et physiques en cours.

Par exemple, il n’existe pas encore d’explications convaincantes à la synchronisation précise de vols ou de flux que l’on peut relever dans la géométrie harmonieuse et changeante des grands vols d’oiseaux ou des bancs de poissons.

Chez certains types de poissons, tout le banc semble même se comporter comme un seul esprit. Cet esprit sent l’approche d’un prédateur et en un instant il est en mesure de coordonner la manoeuvre d’évasion du groupe. Ou bien il peut se comporter comme une masse qui explose dans toutes les directions pour ensuite reformer instantanément un groupe compact.

Les vols d’oiseaux agissent quasiment de façon identique. Il n’est pas inhabituel pour un vol de comprendre 100,000 oiseaux et malgré tout le vol peut changer de direction presqu’instantanément. Il ne semble pas que le changement de direction soit le résultat d’un ordre donné par un quelconque chef de formation.

Quoiqu’il en soit, il a été prouvé que dans le cas des oiseaux, comme dans celui des poissons, des formes connues de communication comme la vue et le son ne peuvent expliquer la simultanéité de ce comportement. Il semble vraiment que les poissons et les oiseaux ainsi que d’autres espèces animales possèdent UNE ESPÈCE DE SIXIÈME SENS qui dicte leurs mouvements en synchronie ……