À L’UNIVERSITÉ LE PASSAGE DU BACC À LA MAÎTRISE SE VIT COMME UN PASSAGE D’UN CHAMP DE CONNAISSANCES À SA MISE EN RÉFLEXION INDUCTIVE (ANALYTIQUE) PAR UNE QUESTION OBJET DE RECHERCHE SERVANT DE LABORATOIRE À ACQUÉRIR DES HABILETÉS MÉTHODOLOGIQUES (OBJET, PROBLÉMATIQUE, CADRE THÉORIQUE, L’ARCHITECTURE D’UNE STYLISATION INSTITUTIONNELLE, ETC…) ALORS QUE LE PASSAGE DE LA MAÎTRISE AU DOCTORAT CORRESPOND ESSENTIELLEMENT À LA MATURATION DU CERVEAU D’UN CHERCHEUR PAR LE PASSAGE D’UNE PENSÉE ANALYTIQUE INDUCTIVE À UNE PENSÉE SYNTHÉTIQUE DÉDUCTIVE OÙ L’éTAT DE LA QUESTION PASSE DES GAMMES DE LA PALETTE DES ACQUIS (MAÎTRISE) À CELLE DE CHEF D’ORCHESTRE D’UNE INVENTION ILLUMINANT LA CONCLUSION OUVERTE

Cela doit faire une quinzaine d’étudiants ou d’étudiantes en recherche de maîtrise ou de doctorat que j’accompagne occasionnellement au cours des années…et… Je me rends compte que ma posture d’autodidacte, de vagabond et recteur poétique de la connaissance m’ont placé dans une unicité qui font de l’aventure poïétique de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) un véritable laboratoire de ce que pourraient être dans l’avenir les prochaines optimalisations didactiques reliées à la dématérialisation de tout  tutoriat, sous-arcant des gestions de notes sans papier dans une méthodologie axée sur le passage de la pensée analytique inductive d’une maîtrise à la pensée abstraite abductive synthétique d’un doctorat d’invention.

Entre la maîtrise et le doctorat, devrait se faire une pause où les enjeux se cristallisent lentement, de telle sorte que le choix d’un directeur ou d’une directrice soit effectué en fonction d’une QUESTION CLAIRE NAISSANT D’ENJEUX VÉRITABLES, ce qui permet un métissage des champs de recherche et une personnalisation des programmes en fonction de sa singularité de chercheur, et non en fonction d’un diplôme sous couleur locale.

J’ai mis 14 ans à faire ma maîtrise sur le rire… En fait c’était un doctorat déguisé sous lequel j’écrivais des numéros de comédie que je faisais sur scène 250 soirs par année et ma question de fond était d’une grande clarté et méthodologique et épistémologique.

COMMENT SE FAIT-IL QUE LE SUCRE SOIT SUCRÉ POUR TOUT ET QU’UN GAG NE SOIT PAS DRÔLE POUR TOUS? ( John Monroe, 1948)

J’avais dans l’idée de faire mon doctorat sur les larmes de joie… puis vint une lente maturation entre mon doctorat maîtrise (au sens où, parce que j’y avais mis 14 ans, j’avais sans me rendre compte franchi assez tôt le passage entre la pensée inductive analytique à la pensée abstraite synthétique)…

Puis vint ce fameux soir de mon RÊVE BIG-BANG SUR SCÈNE, mon vagabondage et ces sommeils dans les cimetières à m’interroger devant des tombes d’enfant… Et peu à peu, la question a émergé dans un long processus d’un projet de recherche axé sur le pays œuvre d’art et la vie personnelle œuvre d’art.

AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM ET DE BLESSURES DE GUERRE?

Et tout s’est enchaîné… au point où en septembre prochain, je pourrai déposer pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) un premier jet à passer sous la loupe de la règle des 3 wows avant qu’en équipe… nous inventions une stratégie pour nous faire découvrir par L’iNSTITUT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DU QUÉBEC afin de créer l’application de notre algorithme de justice sociale: wow-t=2.7k? pour des milliards de téléphones intelligents nano-citoyens-planétaires

à suivre…

Pierrot vagabond