PLUS J’APPROFONDIS LA VALEUR COSMOLOGIQUE DES SIGNES DE LA FORMULE «WOW-T=2.7K?», PLUS JE MONTE SUR LES ÉPAULES DE PIERCE ET DE SA PENSÉE-SIGNE POUR LE «-», DE BRANDON CARTER POUR SON PRINCIPE ANTHROPIQUE « = » ET DE MICHEL MEYER POUR SA PROBLÉMATOLOGIE «?»…. CRÉANT UN CHAMP MAGNÉTIQUE COSMOLOGIQUE RELIANT «-,=,?» OÙ LE MOINS «-» DE LA NON-TRICHERIE DEVIENT LE MOTEUR MÊME DE LA SÉRENDIPITÉ PROVOQUANT UNE SUITE DE WOWS DONT L’ENSEMBLE CONSTITUE CE QUE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) APPELLE UN RÊVE BIG-BANG.

Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) ce matin.

Comme le veut notre rituel d’une grand opérationnalité, Michel me lève vers 6h du matin en cognant à la porte du plancher de la salle de couture où je dors. Je me réveille, m’habille, nos cafés sont prêts. Marlene dort encore.

Je résume à Michel mes lectures de la veille. J’en suis effectivement à la biographie de Charles Sanders Pierce… L’objectif étant de relier cosmologiquement les signes « -, = et ?» de la formule de notre doctorat: «wow-t=2.7k?»

Le « ?» étant relié à la problématologie de Michel Meyer, le «=»  au principe anthropique de Brandon Carter, et le «-» “a la pensée signe de Charles Sanders Pierce, j’avance donc de plus en plus vers une hypothèse forte:

Toute personne qui ne triche pas génère, par une probabilité accrue des sérendipités et des synchronicités dans une suite cosmologique d’un wow,…. la question devenant:

COMMENT GÉNÉRER DES WOW N’IMPORTE QUAND? … EN NE TRICHANT PAS…. La non-tricherie devenant génératrice de wow…

—–

Michel me répondant: suite à ce que tu me partages, j’ai peut-être une théorie du concierge dans le fond de sa cave qui monte… (Je ris de bon cœur)…

L’univers et son expansion m’apparaît comme la quadrature du cercle. C’est sans doute à la portée de l’imagination de l’être humain, mais difficilement à la portée de sa raison. En ce sens, la non-tricherie «-» serait la contribution de l’être humain au cosmos, SON UNITÉ D’AUTONOMIE… UNE ESPÈCE DE «-» A VALEUR AJOUTÉE.  En ce sens, les archétypes de Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond seraient bien plus des allumeurs de rêveurs que des allumeurs de rêves, en incitant par les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art, à ne pas tricher pour provoquer une série de sérendipités et de synchronicités porteurs du bruit de fond (2.7k) même d’un rêve big-bang.

—-

Marlene se lève, je lui résume notre conversation à Michel et moi… et soudain elle me demande. «Comment tu fais pour chercher ce qui est fondamental , par exemple, dans le signe «-»… Je lui fait remarquer à quel point sa question est excellente…

Dans ce cas-ci, par exemple, J’ai mis sur Google, le signe «-» et sa valeur philosophique… ce qui m’as mis entre autres sur la trace de Pierce et de son concept de pensée-signe… Même si je connais Pierce, j’ai décidé de recommencer un dialogue miroir avec son œuvre par une lecture analogique, d’abord de sa biographie, ensuite de certaines de ses œuvres, l’objectif étant non pas de réunir des informations sur ce que je lis, mais d’obliger un nuit et jour d’intuitions créatrices qui n’ont aucun rapport avec ce que je lis…

à suivre…

sur Google… www.wow-t.com

 

7.1: DOCTORAT, ESQUISSE IER CHAPITRE … P.140-160 « = »

Simon Singh
le roman du big bang
la plus importante découverte de tous les temps
éditions j.clattes.fr, 1998
le changement de paradigme
p.380-381
extrait

Son point de départ était que lui, Hoyle, EXISTAIT DANS L’UNIVERS. De plus, soulignait-il, IL REPRÉSENTAIT UNE FORME DE VIE BASÉE SUR LE CARBONE. Par conséquent, le CARBONE EXISTAIT DANS L’UNIVERS et il devait donc y avoir un moyen DE CRÉER DU CARBONE. Cependant, la seule manière de le faire semblait reposer sur l’existence d’un état excité du carbone. Par conséquent, UN TEL ÉTAT EXCITÉ DEVAIT EXISTER.

EN FAIT, HOYLE
APPLIQUAIT RIGOUREUSEMENT
CE QUI DEVAIT ÊTRE APPELÉ PLUS TARD
LE PRINCIPE ANTHROPIQUE.

 

—–

WIKIPWDIA

LE PRINCIPE ANTHROPIQUE

Le principe anthropique au sens large est un principe épistémologique selon lequel les observations de l’univers doivent être compatibles avec la vie consciente qui l’observe. Cette constatation permet, en principe, de contraindre des paramètres ou des processus physiques ou chimiques, fournissant ainsi des prédictions ou des heuristiques pouvant guider les recherches scientifiques.

Ce principe, proposé par l’astrophysicien Brandon Carter en 1974[1], existe en deux versions principales. Le principe anthropique faible dit que ce que nous pouvons nous attendre à observer doit être compatible avec les conditions nécessaires à notre présence en tant qu’observateurs, sinon nous ne serions pas là pour l’observer. Le principe anthropique fort postule que les paramètres fondamentaux dont l’univers dépend sont réglés pour que celui-ci permette la naissance et le développement d’observateurs en son sein à un certain stade de son développement.

La première variété ressemble à une simple tautologie, la seconde à une prise de position métaphysique. Cependant l’une comme l’autre relèvent d’observations de physique et en particulier en cosmologie, où il semble que les lois de la physique comportent un grand nombre d’ajustements fins sans lesquels l’univers n’aurait pas eu une stabilité suffisante pour que la vie puisse avoir le temps d’y apparaître, ou les étoiles n’auraient pu s’allumer, ou pas pu former d’éléments lourds (niveaux énergétiques permettant à l’hélium de fusionner en fer).

Différentes formulations[modifier | modifier le code]

La première discussion moderne concernant le principe anthropique, et citant ce nom, est due à Brandon Carter en 1974[1], même si l’auteur affirme l’avoir déjà évoquée oralement quatre ans plus tôt mais qu’il ne pensait pas alors ses idées sur la question suffisamment mûres pour être couchées sur papier.

Brandon Carter cite deux formulations différentes du principe anthropique :

  • « le principe anthropique faible », selon lequel nous devons prendre en compte que notre position dans l’univers (ou le multivers s’il existe) est nécessairement privilégiée au sens où elle doit être compatible avec l’existence d’une forme de vie évoluée, puisque nous sommes là pour l’observer[2]. Cette démarche conduit à remarquer qu’il est tautologique de constater un certain nombre d’ajustements fins au moins concernant les sites où précisément la vie apparait et s’interroge sur elle-même ;
  • le « principe anthropique fort », selon lequel l’univers doit (obligation, et non supposition) avoir des lois et des paramètres fondamentaux afin que des êtres évolués puissent y apparaitre à un certain moment[3].

À la première formulation, Brandon Carter ajoute également ce qu’il appelle des prédictions non anthropiques, que d’autres auteurs appelleront le principe anthropique trivial, constat que certaines grandeurs physiques ne sont pas contingentes à l’existence de l’espèce humaine mais découlent inévitablement des lois de la physique. En guise d’exemple, B. Carter cite le fait que les étoiles malgré leur grande diversité apparente se distribuent sur une échelle de masse assez étroite plus ou moins centrée sur la masse solaire, c’est-à-dire que le nombre de nucléons d’une étoile est fatalement de l’ordre de 1057. Ce résultat découle de considérations assez simples issues de l’évolution stellaire.

Le principe anthropique fort, si on l’admet, aboutit à trois possibilités[4] :

  • il existe un ou plusieurs univers organisés pour faire apparaitre des êtres évolués ;
  • les observateurs sont nécessaires non seulement à la constatation, mais même à l’existence d’un univers observable ;
  • il existe un ensemble d’univers avec toutes sortes de conditions. Parmi ces univers, une partie permet l’émergence de la vie sous plusieurs formes et nous sommes peut-être, ou peut-être pas, dans un tel univers. Voir l’article Multivers.

Les idées liées au principe anthropique ont donné lieu à de nombreuses discussions. Les définitions données par John Barrow et Frank Tipler sont par exemple légèrement différentes de celles proposées initialement par Brandon Carter.

Arguments en faveur du principe anthropique[modifier | modifier le code]

En dehors de l’ajustement fin des paramètres physiques de l’univers, un certain nombre d’éléments mènent à s’interroger sur le caractère anthropique de l’univers.

Probabilité d’obtenir par hasard une protéine[modifier | modifier le code]

Le spécialiste de la modélisation Pierre Périer aurait calculé la probabilité d’obtenir « par hasard » certaines protéines qui constituent les briques fondamentales de la vie en estimant le nombre maximal de collisions ayant eu lieu dans l’océan primordial où est apparue la vie. Chaque protéine est constituée de 20 acides aminés différents. Or, il existe plus de 2 × 1018 façons de placer 20 entités le long d’une chaîne (exactement factorielle de 20 = 20! = 20 × 19 × 18 × … × 2 × 1). Sa conclusion est que, quel que soit le chemin emprunté, la réalisation des différentes probabilités demande plus de temps que l’âge de la Terre (4 milliards d’années)[5]. Cette modélisation s’intéresse de ce fait à la création directe à un instant donné d’une molécule complexe sans phases intermédiaires, ce qui ne s’observe que rarement en chimie. Voir l’article Catalyseur.

Selon Harold Morowitz [6] et Mickael Denton [7], pas moins d’une centaine de protéines seraient indispensables à la survie et à la reproduction d’une cellule primitive (5 pour synthétiser les corps gras, 8 pour l’approvisionnement en énergie, 10 pour la synthèse des nucléotides de l’ARN et de l’ADN et 80 pour synthétiser ses protéines), ce qui ajoute deux ordres de grandeur au nombre précédent si l’on souhaite que l’ensemble se soit produit de front. Ainsi, l’hypothèse d’une création « par hasard » à un instant donné d’une cellule primitive vivante comportant non pas 1 mais 100 protéines sur une seule planète semble très improbable étant donnée la complexité des schémas mis en jeu.

Depuis, l’étude de champ profond du télescope Hubble avait suggéré qu’il existerait 1010 galaxies, chacune comptant dans les 1010 étoiles, le tout fournissant 20 ordres de grandeur supplémentaires pour le tirage aléatoire. Un article de Nature d’octobre 2016 remonte encore d’un facteur 10 cette première estimation[8].

Quant au nombre d’heures écoulé ces quatre derniers milliards d’années, il est de 35 040 000 000 000, soit 12 ordres de grandeur supplémentaires. Il est donc à ce stade difficile de conclure.

La position et l’environnement de la Terre dans l’univers[modifier | modifier le code]

Différentes caractéristiques relatives à la position de la Terre dans l’Univers, et à son environnement plaident en faveur du principe anthropique :

  • si la Terre ne se situait pas sur le bord de la Voie lactée mais en son centre, les astronomes auraient été incapables de voir la galaxie dans laquelle nous nous trouvons et le reste de l’univers ;
  • si le Soleil ne se situait pas à mi-chemin du bord de la Galaxie et entre deux de ses bras en spirale, les êtres vivants, soit auraient été victimes de radiations dangereuses et de poussières de comètes (plus près du centre ou d’un des bras), soit n’auraient pas existé du tout faute de matériaux lourds pour construire la vie (plus éloigné du centre ou d’un des bras)[9]. De plus, la distance du soleil aux deux bras de la galaxie demeure constante, lui évitant d’être aspiré par l’un des bras[10] ;
  • si Jupiter et Saturne n’avaient pas existé, leurs masses énormes n’auraient pas servi de « paratonnerres » pour protéger la Terre en attirant les météorites qui l’auraient pulvérisée [11] ;
  • si la Lune n’existait pas, l’axe de rotation de la Terre aurait pu changer constamment rendant l’apparition et le maintien de la vie très difficile, voire impossible[12] ;
  • si la distance moyenne entre les étoiles dans notre galaxie était différente, la vie aurait été impossible. Si elle avait été plus grande, les produits des explosions des supernovae auraient été tellement diffus que les planètes n’auraient pas pu se former. Si elle avait été plus petite, les orbites des planètes auraient été déstabilisées [13] ;
  • si la quantité de matière dans l’univers (les milliards d’autres galaxies et cette « matière noire » dont nous ignorons la nature exacte) était différente, la force d’inertie sur Terre serait modifiée et la vie impossible[14]. Ainsi l’Homme n’apparaît plus comme perdu sur une planète insignifiante au milieu de l’univers : le reste du cosmos lui est indispensable ;
  • la nature du Soleil est tout à fait surprenante par rapport à celle des autres étoiles : sa composition, la variation de sa luminosité, son orbite galactique sont inhabituelles. Si la nature du Soleil avait été différente, la vie aurait été impossible[9].

L’impossibilité d’une bulle de vrai vide[modifier | modifier le code]

Certains tenants du principe anthropique (notamment Jean Staune) ont développé deux arguments (celui-ci et le suivant) en faveur d’un principe anthropique « superfort ». Ce principe consiste à dire que non seulement l’univers est adapté à l’existence des observateurs que nous sommes, mais aussi à l’existence d’observateurs beaucoup plus intelligents et avancés que nous. Ainsi, si un Créateur existe et a créé l’univers, il a mis des « sécurités » empêchant les observateurs avancés que nous serons dans quelques millions d’années de détruire l’univers par leurs expérimentations.

Le premier argument est l’impossibilité de création d’une bulle de « vrai vide ». Au début des années 1980, l’hypothèse selon laquelle la création d’une bulle de « vrai vide » pourrait conduire à la destruction de notre univers a été prise très au sérieux. Dix ans plus tard, Andreï Linde a montré que cette bulle ne pourrait pas se former si les masses du « quark top » et du « boson de Higgs » étaient supérieures à un certain seuil [15]. La masse du « quark top » a depuis été mesurée et elle s’avère être supérieure au seuil. Celle du « boson de Higgs » n’est pas encore connue mais les estimations la donnent aussi supérieure au seuil [16].

La conjecture de protection chronologique[modifier | modifier le code]

Le deuxième argument est l’impossibilité du voyage dans le temps. Le voyage dans le temps n’entraînerait pas a priori la destruction de l’univers, mais désorganiserait sensiblement sa cohérence et favoriserait le chaos. Il semble donc raisonnable d’envisager que le Créateur de l’univers, s’il existe, ait pris soin de le rendre impossible. C’est ce que Stephen Hawking a appelé la « conjecture de protection chronologique » car elle n’est pas encore démontrée. Cependant, Kip Thorne, chaque fois qu’il a essayé de démontrer que le voyage dans le temps était théoriquement possible via les trous de ver, a vu le trou de ver disparaître avant de pouvoir fonctionner [17].

Arguments contre le principe anthropique[modifier | modifier le code]

Le principal argument des détracteurs du principe anthropique faible est son aspect tautologique. C’est cependant justement cette tautologie qui le rend inattaquable selon ses défenseurs. D’autres arguments ont été évoqués, de type scientifique.

Les univers parallèles[modifier | modifier le code]

Andreï Linde a développé un modèle dans lequel des mini-univers s’engendrent les uns les autres. Certains ont les mêmes caractéristiques que leurs parents, d’autres ont connu des mutations qui les rendent très différents. En grossissant, ces mini-univers se détachent de leurs parents et plus aucun contact ni passage d’un univers à l’autre n’est possible. Le cosmos serait donc un ensemble de mini-univers s’engendrant les uns les autres et le nôtre aurait par hasard, seul ou non, les constantes adéquates pour que la vie consciente ait une chance de s’y développer.

Le modèle de Linde implique l’existence d’un grand nombre (1080 ou 10100) d’univers, voire d’une infinité d’univers, peut-être continue (“espace des possibles”; voir Gabriele Veneziano). Il n’est alors plus improbable que nous soyons dans un de ceux ayant reçu par hasard les bonnes constantes au même titre que si l’on joue au loto toutes les combinaisons de front, on est sûr de gagner.

Ce modèle est difficilement vérifiable s’il n’y a pas de connexion possible entre les différents mini-univers. Ces questions sont cependant à l’étude (voir David Deutsch).

La longueur d’absorption du neutron[modifier | modifier le code]

La réaction de fission nucléaire qui permet la mise au point de la bombe A et de la bombe H est fondée sur la longueur d’absorption du neutron. Un neutron frappe un atome d’uranium 235 le transformant en uranium 236. L’uranium 236 étant instable, il éclate en créant deux atomes plus petits et en émettant plusieurs neutrons qui vont à leur tour frapper des atomes d’uranium 235 provoquant une réaction en chaîne.

Si la longueur d’absorption du neutron avait été plus grande, la fission nucléaire, donc les bombes A et H, auraient été économiquement inenvisageables (car nécessitant un volume de matière fissile beaucoup plus important), ce qui, selon les opposants au principe anthropique, va à l’encontre d’un Créateur ayant pour seule finalité la vie et l’homme ; L’allemand Otto Hahn découvrant la fission de l’uranium et les possibilités de réaction en chaîne qui en découlaient aurait dit à ses collaborateurs « Dieu ne le permettra pas ». L’astrophysicien Jean-Pierre Petit a développé le concept de principe thanatothropique (« thanatos », la mort en grec) à partir de cette constatation [18].

L’impossibilité de la réaction nucléaire ne correspond cependant pas à une « sécurité » de l’univers au même titre que l’impossibilité d’une bulle de vrai vide ou l’impossibilité du voyage dans le temps car l’énergie nucléaire peut avoir des applications positives alors que la bulle de « vrai vide » ou le voyage dans le temps ne peuvent aucunement en avoir. Un supposé Créateur, s’il existe, n’avait pas de raison d’interdire la possibilité de l’énergie nucléaire [19].

Débats[modifier | modifier le code]

La connotation clairement finaliste, pour ne pas dire théologique et religieuse, du principe anthropique fort a suscité de nombreux débats depuis vingt ans dans la communauté scientifique. Le principe anthropique faible, lui, n’est pas concerné par cette connotation.

  • Chercheurs favorables au principe anthropique fort :

Joe Rosen, Nicola Dallaporta, George Coyne, Trinh Xuan Thuan, Guillermo Gonzalez, Jay Richards, Léonard Susskind, Frank Tipler, Freeman Dyson, Jean Staune, George Smoot, Stephen Hawking.

Einstein a évoqué à un moment de sa vie « l’harmonie des lois de la nature dévoilant une intelligence si supérieure que toutes les pensées humaines et toute leur ingéniosité ne peuvent révéler, face à elle, que leur néant dérisoire » [20]. Cette opinion est pondérée par ce qu’il exprime dans une lettre datée d’un an avant sa mort, vendue sur eBay en 2012[21], où il explique ne croire en l’existence d’aucun Dieu personnel[22].

  • Chercheurs défavorables au principe anthropique fort (mais non au faible) :

Martin Rees, Heinz Pagels, Malcolm Sim Longair, Christian Magnan, Jacques Monod, Steven Weinberg, Jean-Pierre Petit.

sur Google: www.wow-t.com

BIENVENUE À CAMILLE, JEUNE CHERCHEUSE D’UNE QUESTION RÊVE BIG-BANG QUI COMMENCERA SA MAÎTRISE EN MUSÉOLOGIE À L’UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL EN SEPTEMBRE

Quelle joie pour un vieil intellectuel de croiser soudain un jeune chercheur-rêveur ou une jeune rêveuse-chercheuse sur sa route. Le fait que je ne sois pas inscrit, que je me comporte comme si j’étais le recteur poétique de l’UQAM, que ma passion inouïe pour la recherche se transmute d’étudiant en étudiante…. que ma loyauté pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) porte comme un étendard, matin après matin, à chacun de nos conseils d’administration de la créativité, notre marche vers l’O.N.U à New York en juin 2020 et notre visée du prix Nobel de la paix… par notre invention d’une institution : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…

Comment dire…

Ca fait plusieurs années maintenant que je dis à chacun de ces étudiants ou étudiantes: Si t’as une difficulté dans ta vie qui nuit à ta recherche, tu sais où est ma table à la bibliothèque…. laisse un message, on va aller prendre un café… Y a un vieux grand-père de la beauté du monde qui ne fera que te redire ce qu’ont déjà dit Pierre et Marie Curie…

IL FAUT FAIRE DE SA VIE UN RÊVE ET DE SON RÊVE UNE RÉALITÉ.

Et le vieillard, comme le dit Isabelle la boxeuse, finira en te serrant la main et en te redisant la phrase qui a servi d’ancrage à Nelson Mandela en prison

JE SUIS LE CAPITAINE DE MON ÂME.

Bravo pour ta belle carrière qui s’annonce
chère Camille

bienvenue à l’UQAM
tu adoreras Yves Bergeron en muséologie
c’est un majeur si humble et si brillant

Pierrot vagabond

L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) ET LA PREMIÈRE ÉDITION DU MONDE FESTIVAL ORGANISÉE PAR LE DEVOIR À MONTREAL, LE 26 OCTOBRE 2018 AU MUSÉE DES BEAUX-ARTS DE MONTRÉAL… WOWWWWW…

INTUITION 1…. PARTOUT OÙ IL Y A UN CONSEIL MUNICIPAL SUR LA PLANÈTE TERRE, IL Y A UNE ENTITÉ GÉOGRAPHIQUE RÉELLE POUR UN PREMIER TIRAGE AU SORT PARMI LES VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART QUI SE MANIFESTENT POUR FAIRE PARTIE DES 125 JUSTES NANO-CITOYENS-PLANÉTAIRES

October 28, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Voici maintenant venu le temps de soumettre des scénarios de plausibilité à notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) pour qu’une fondation nous permette de créer la nano-citoyenneté-planétaire sur terre en moins de trois ans.

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
IERE INTUITION

Un des pouvoirs qui en ce moment contraste avec celui des états, c’est celui des conseils municipaux à travers le monde.

J’avance l’intuition suivante.

Partout sur la planète terre où il y a un conseil municipal…..

il y a une entité géographique réelle qui nous permet d’inviter une communauté (urbaine , villageoise ou autre) à faire la promotion de la nano-citoyenneté-planétaire en suggérant à ses concitoyens et concitoyennes de participer au ier tirage au sort, ville par ville, village par village, et cela dans chaque entité géographique, qu’importe le total de sa population, ayant droit à UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART—-CANDIDATURE POUR UN DEUXIÈME VOTE, intéressée à réfléchir NANO-PLANÉTAIREMENT sur les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

EN CONSÉQUENCE DE QUOI

Le site web «WOW-T.COM» créerait une application interactive dans le plus de langues possibles, où les règles du jeu seraient explicitées tout autant que les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art permettant d’y participer…. Le tout animé par LE CONCIERGE DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

L’OBJECTIF:

PAR UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT NANO-PLANÉTAIRE, VILLE PAR VILLE, VILLAGE PAR VILLAGE, pourrait se former (pour la première fois dans l’hiostoire de l’humanité)…..

un conseil nano-planétaire de 125 justes consacré à l’ÉTUDE PRAGMATIQUE de la cinquième question:

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Dans un premier temps, il ne serait pas nécessaire, mais souhaitable que tous les conseils municipaux de la planète créent des conditions pour que par dans un ier tirage au sort, une vie personnelle œuvre d’art puisse participer à un deuxième et dernier tirage au sort planétaire, qui lui créerait le conseil des 125 justes de la nano-citoyenneté-planétaire.

DE LÀ LE RÊVE BIG-BANG

qu’une fondation (constituée d’un consortium de chaires universitaires consacrées à la démocratie à travers le monde) puisse, par la gestion d’algorithmes puissants, construire de toute pièce une mappe hyper-interactive avec le plus d’intelligence interactive numérique cellulaire possible… et en gérer l’opérationnalité dans l’optique de WOW-2=2.7K.

à suivre…

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PLAN TEMPORAIRE DE CE DOCTORAT

Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde
Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde 7,4 milliards d’abonnements mobiles étaient souscrits à fin 2016, selon les estimations de l’International Telecommunication Union, pour un taux de pénétration de 99,7%.
Dans le monde à fin 2016, ce sont près de 7,4 milliards d’abonnements mobiles qui étaient souscrits, soit quasiment la totalité de la population mondiale, selon les estimations de l’International Telecommunication Union. Cela correspond ainsi à un un taux de pénétration de 99,7%. 5,8 milliards de ces abonnements ont été souscrits dans des pays en développement.

Le marché approche la saturation : la croissance des abonnements n’est plus que de 2,2% par an (contre 2,6% entre 2014 et 2015 par exemple). Elle est surtout due aux pays en voie de développement (hausse de 2,5% en 2016).

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PLAN EN TROIS ANS POUR INVENTER LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE SUR TERRE

PLAN DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

QU’EST-CE QUE LA NANODEMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART?

Une nano-démocratie instaurant, PAR TIRAGE AU SORT, une assemblée constituante de 125 vies personnelles œuvre d’art pourrait-elle constituer le prélude au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète terre?

pré-essai d’une MODELISATION THÉORIQUE

A) Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception.

B) Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art.

a) Quel est ton rêve?
b) dans combien de jours
c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

C) Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation est lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….

D) En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?

E) Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE.

F) Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 125 de ces vies personnelles œuvre d’art…. en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.

G) Imaginons que ces 125 vies personnelles œuvre d’art se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière.

H) Imaginons que….. la question….EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls.

I) Imaginons qu’une fois l’assemblée constituante des 125 vies personnelles œuvre d’art terminée, un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionné comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde.

J) Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre.

EN CONSEQUENCE DE QUOI

K- Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire
un jour DES PAYS OEUVRE D’ARTS DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.

L- La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel, la liberté reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU.

M– objectif:
nouvelle conscience éthique-esthétique
planétaire en vue de la réforme des états
pays œuvre d’art par la masse critique
nano-numérique des vies personnelles œuvre
d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde.

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7- CONCLUSION (OUVERTE FINALE)…15 PAGES

L’implantation planétaire de la nano-démocratie pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:

– retour sur les quatre questions
menant à la cinquième question
éco-philanthrope de l’espace-monde:
-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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SUJET DU DOCTORAT…. LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE

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DOCTORAT

SUJET
la nanocitoyenneté planétaire

QUESTION
Comment fonder la priorité juridique
du droit nanocitoyen planétaire
sur le droit juridique existant
des états?

OBJET CONTEXTUEL

La nanocitoyenneté planétaire n’aurait pu être possible avant la mondialisation virale de l’usage quotidien du téléphone intelligent. En conséquence de quoi, Il devient donc possible que l’histoire du 21eme siècle puisse s’écrire par le biais d’une masse critique INOUIE de personnes humaines se percevant d’abord et avant tout comme DES NANOCITOYENS PLANÉTAIRES réclamant une reconfiguration juridique majeure accordant désormais une priorité non négociable aux droits de l’humanité sur le droit des états.

Mais comment conceptualiser un nanocitoyen planétaire?

Notre méthodologie de recherche se concentrera sur le cadre théorique de la genèse d’une vie humaine… soit celle de Michel Woodard, 66 ans, tout en identifiant les différentes stratifications de son cerveau l’ayant conduit de Michel Woodard à Michel chansonnier du Vieux Montréal, à Michel le concierge à Michel W concierge du pays œuvre d’art ier nano-citoyen planétaire, le tout documenté sur film et sur blogue, dans un contexte des grandes avances d’une conscience planétaire et de ses enjeux.

Puis l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) suggérera un passage conceptuel pragmatique entre LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, la nano-citoyenneté planétaire œuvre d’art et le pays œuvre d’art afin de proposer un laboratoire concret de mise en application d’une nano-citoyenneté planétaire par une chaire recherche universitaire.

L’objectif étant de proposer un dialogue performatif (Austin, Habermas) entre le droit juridique nano-citoyen planétaire construisant des mécanismes éthiques-juridiques permettant la priorité des droits de l’humanité sur le droit des états.
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sur you tube
Michel, concierge de la beauté du monde

sur Google
Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. Philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

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INTUITION 2: IMAGINONS LES 125 JUSTES DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE ÉLUS PAR TIRAGE AU SORT VOTANT POUR LA FIN DES ARMES NUCLÉAIRES SUR LA PLANÈTE TERRE

October 29, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Intuition 2: Imaginons 125 justes de la nano-citoyenneté-planétaire, élus dans un deuxième tour de tirage au sort votant à l’unanimité l’abolition des armes nucléaires sur terre.

Les états de la planète terre font la sourde oreille.

MAIS….

Les 250,000 vies personnelles œuvre d’art élues au tirage d’un premier tour réagissent à leur tour en demandant à chacun de leurs 250,000 conseils municipaux de se prononcer, dans un référendum numérique.

Et soudain, la nano-citoyenneté-planétaire des communautés de ces 250,000 conseils municipaux pousse un véritable CRI DE MUNCH.

nous, l’espèce humaine des 250,000 conseils municipaux de la planète terre, appuyons appuyons nos 125 justes élus par tirage au sort de la nano-citoyenneté-planétaire pour nous représenter.

EN CONSÉQUENCE DE QUOI….

Aucun état ne peut rester insensible à une telle NOUVELLE MUILTITUDE NANO-PLANÉTAIRE qui exprime LA VOIX DE L’ESPÈCE HUMAINE CONTRE LES VOIX DYSFONCTIONNELLES MINORITAIRES DES ÉTATS ET DE LEURS INTÉRÊTS CACHÉS.

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analogiquement…

Les 125 justes sont à la nano-citoyenneté planétaire ce que Mark Rothko est au colored fields painting (peinture en champs de couleurs):

UNE INCANDESCENCE LUMINEUSE DE L’ESPÈCE HUMAINE EN MARCHE VERS UNE PLANÈTE OEUVRE D’ART.

comme…

Dans ses toiles, Rothko s’exprime exclusivement par le moyen de la couleur qu’il pose sur la toile en aplats à bords indécis, en surfaces mouvantes, parfois monochromes et parfois composées de bandes diversement colorées. Il atteint ainsi une dimension spirituelle particulièrement sensible.

sur you tube…

Michel, concierge de la beauté du monde

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le devoir, 4 juillet 2018
Appréhender le monde, ensemble

Les journalistes sont à la fois témoins privilégiés du monde et courroies de transmission des événements qui s’y produisent pour leurs concitoyens.

Qui de mieux placé pour organiser un événement visant à mieux cerner les grands enjeux qui façonnent nos sociétés et réfléchir à des solutions aux défis communs ? C’est ce que proposent les quotidiens Le Devoir et Le Monde, qui unissent leurs forces dans le cadre de la première édition du Monde Festival, qui aura lieu cet automne à Montréal.

L’événement porté par le prestigieux quotidien français tiendra sa cinquième édition parisienne en octobre prochain. Souhaitant l’exporter outre-Atlantique, ses organisateurs ont approché l’équipe du Devoir pour concevoir son édition montréalaise, dont le thème est « Ensemble ».

La mission du festival ? « Appréhender le monde qui change sous toutes ses facettes et en apporter un éclairage singulier et tourné vers l’avenir. »

C’est ce que feront une brochette de panellistes qui débattront le 26 octobre prochain, au Musée des beaux-arts de Montréal, de sujets aussi variés et complexes que la laïcité, le féminisme, l’environnement, la jeunesse, l’intelligence artificielle et le colonialisme, entre autres.

À l’image de l’événement, fruit d’une collaboration France-Québec, plusieurs de ces enjeux seront abordés à travers la lorgnette des deux régions.

Le tout sera présenté sous diverses formes : débats, spectacles, tables rondes, conférences et même ateliers culinaires ! La programmation complète sera dévoilée au cours de l’été.

Le ministère des Relations internationales s’est associé au Monde Festival en y investissant 100 000 $. En entrevue au Devoir, la ministre Christine Saint-Pierre s’est montrée particulièrement enthousiasmée par la tenue de cette journée où les idées seront au premier plan.

Un projet « extraordinaire »

« Quand on m’a présenté ce projet, j’ai trouvé ça extraordinaire, j’ai adoré », a confié l’ex-journaliste, elle-même une fidèle lectrice du Monde selon ses dires.

« C’est un journal très bien fait. Il faut le lire davantage pour comprendre ce qui se passe dans le monde, c’est très enrichissant. »

Selon elle, Le Monde Festival est un « événement exceptionnel et prestigieux qui offre une ouverture à quiconque souhaite réfléchir sur les grands sujets qui touchent, voire affectent nos sociétés contemporaines », écrit la ministre dans la page Idée de cette édition.

Mme Saint-Pierre estime que cet événement s’inscrit dans la « modernité » des relations France-Québec. « C’est une relation vraiment tournée vers l’avenir. Les Français voient le Québec comme leur porte d’entrée sur l’Amérique, de plus en plus souvent, et la France est notre porte d’entrée sur l’Europe. C’est privilégié et très particulier. »

Le directeur du Devoir, Brian Myles, se montre tout aussi emballé par la tenue du festival.

« Nous sommes très heureux du soutien financier du MRI pour cette première édition du Festival. Le Monde et Le Devoir sont deux marques qui se complètent admirablement bien. Nos équipes respectives ont développé une belle complicité dans l’élaboration d’une programmation qui s’annonce relevée, avec des invités d’une grande crédibilité », a-t-il déclaré.

Avec Marco Bélair-Cirino

LE 16 NOVEMBRE 1963…. LA PETITE HARMONIE DE LA TUQUE A FAIT UN SPECTACLE À LA PLACE DES ARTS…. CE SOIR-LÀ, l’UNIVERS FUT MUSIQUE ET MUSIQUE FUT L’UNIVERS…. J’ALLAIS AVOIR 13 ANS…. MERCI AUX LATUQUOISERIES POUR LES PHOTOS ET LES ARTICLES TÉMOIGNANT DU RÊVE BIG-BANG D’UNE COMMUNAUTÉ

«La Petite Harmonie» :
prestigieuse ambassadrice de La Tuque

Deux concerts mémorables de l’harmonie de l’école Champagnat

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Le groupe latuquois devant la Place des Arts, Montréal.
Photo de Gilles Berthiaume; archives de Gaston Gravel.

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En deux occasions, le 16 novembre 1963 et le 18 avril 1965, ce corps de musique, dirigé à l’époque par Aubert Montgrain, a fait honneur à La Tuque en se produisant en concert à la Place des Arts de Montréal.

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16 novembre 1963 – Concert lavallois

Lors du premier concert, organisé par l’Amicale mariste du collège de Laval pour marquer le 75e anniversaire des maristes dans cet établissement, qui mettait aussi à l’affiche le célèbre ténor québécois Richard Verreau, ainsi qu’un réputé trompettiste, Leonard Smith, directeur de l’Harmonie de concert de Détroit et de l’Orchestre symphonique de Scandinavie, Aubert Montgrain avait l’heureuse idée de mettre au programme un «Festival Félix Leclerc».

Roger Rochette, journaliste, et musicien lui-même avait signé un élogieux compte-rendu de cet événement musical. Archives de Gaston Gravel.

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18 avril 1965

La petite harmonie de l’école Champagnat sur la grande scène de la Place des Arts.
Photo de Gilles Berthiaume; archives de Gaston Gravel.
En 1964, la «petite harmonie» célèbre son vingt-cinquième anniversaire et «descend» à Montréal pour y donner un troisième concert. Elle s’était rendue dans la Métropole une première fois, en août 1961. Les jeunes musiciens de l’école avaient alors joué au théâtre de verdure du parc Lafontaine à Montréal.

Julles Fiola, annonceur chef à CFLM,«habillé» par la mercerie Gaston Fortin,
avait été le présentateur de cette mémorable soirée.

Ces photos et ces documents rappelleront ces moments mémorables aux jeunes musiciens d’alors.

Gaston Gravel, qui m’a aimablement fournit tous les documents présentés ici, a procédé à l’identification de la plupart de ces jeunes musiciens. Guy Simard et Roland Boudrault, un ancien clarinettiste de l’Harmonie, ont gentiment complété la liste des noms et je les remercie tous les trois pour cette magnifique collaboration.

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Si des lecteurs se reconnaissent sur l’une de ces photos, je me ferai un plaisir de les ajouter à la présente liste des gens identifiés jusqu’ici. Il manque également quelques prénoms. L’avantage d’un blogue, c’est qu’on peut l’améliorer sans cesse et y apporter des changements et des corrections.

On pourra lire les noms en cliquant sur les photos pour les agrandir.

Gérald Arbour, Claude Ayotte, Bertrand Bégin, Gilles Bélanger, Pierre Benoît, Denis Bérubé, Bérubé, Viateur Bouchard, Yvan Boucher, Roland Boudrault, Jean Bouliane, Paul-Émile Bourassa, Alain Boutet, Réal Brassard, Claude Bruneau, Roger Cantin, Michel Charest, Tit-Blanc Croteau, Pierre Delisle, André Demers, Paul Desbiens, Johnny Deslauriers, Dompierre, Gaston Drolet, Jacques Dubois, Marc Dumont, Michel Filion, Michel Garceau, Jean Gauvin, Pierre Gingras, (?) Gobeil, Jacques Girard, Michel Grandbois, Roger Grandbois, Gaston Gravel, Jean Grenon, Michel Guillemette, Gilles Hamelin (?), Roger Houde, Denis Jean, Lucien Jutras, Richard Lambert, Jean-René Lavoie, Conrad Lortie, Serge Lortie, Paul-Eugène Marceau, Claude Marchand, [?] Martin, Gilles Mercier, Yvon Moisan, Paul Montgrain, Pierre Montgrain, Germain Morissette, Régent Ouellet, A. Perron, Luc Perron, Michel Pilon, Roger Proulx, Claude Robichaud, PIERRE ROCHETTE et son frère, Paul Ruel, Rémi Ruel, Michel Sanvido, Guy Simard, Claude Soucy, Pierre Soucy, Robert Soucy, Denis Tremblay, Jacques Tremblay , Jean Tremblay, Michel Tremblay Claude [et non Michel] Vaillancourt, Gaétan Vaillantcourt, Claude Veillette.

Des adultes accompagnaient les jeunes musiciens : le directeur de l’ensemble, Aubert Montgrain, et son épouse du temps, Laurette Blais, ainsi que Gabriel Poisson, Rémi Ruel, Guy Marcel et J. R. Tremblay.

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Un document inédit : Aubert Montgrain et Laurette Blais.
Archives de Gaston Gravel.

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Note pour l’histoire latuquoise. Le mariste Louis-Abel, ancien directeur de Saint-Zéphirin et de Champagnat, était devenu le «supérieur» du collège Laval au moment de la présentation de ce gala artistique de 1963.

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Publié par Hervé Tremblay à 11:23

1 commentaire:

Anonyme12 septembre 2013 à 18:58

Bonsoir
Ce fut un plaisir pour moi de trouver ce site par hasard sur le net. J’ai fait partie de cette super harmonie avec mon frère Claude et mon ami Alain. J’ai participé toutefois qu’à la présentation de 1965. Les photos montrent que 1963. En avez-vous de 1965 ? De mon côté j’ai comme archive qu’une copie jaunie du journal de La Tuque avec en-tête: Pour une deuxième année consécutive notre petite harmonie triomphe Place des Arts. Je parlais de ce souvenir dernièrement et n’ayant aucune photo je pensais aller aux archives de Place des arts. En fouillant sur le net je trouve votre site. Que de beaux souvenirs. Alors pour mes enfants j’essaie de trouver une photo souvenir du 18 avril 1965.

Merci

Georges Élie ( clarinette )
Claude Élie ( baryton )
Alain Tremblay ( clarinette )
Répondre

SUR GOOGLE…
www.wow-t.com

IL SEMBLE Y AVOIR UNE LOI PROPÉDEUTIQUE À L’IMPLOSION IMPOSSIBLE D’UN RÊVE BIG-BANG DANS UNE NANO-PERSONNE-HUMAINE-PLANÉTAIRE, CELLE D’UNE PEINE SYNTHÉTIQUE CRÉANT UN TROU NOIR ENTRE UN CERVEAU ASTRONAUTE ET L’INFINI CHAOTIQUE DE SON CORPS

Sur ma route de vagabond céleste, je fus très sensible, de l’extérieur, à d’étranges phénomènes de synchronicité … Par exemple, sur la route de Ste-Anne de Beaupré, un homme m’arrête, m’invite à visiter son magnifique chemin cultivé de plantes les plus exotiques jusqu’à ce qu’on aboutisse à un petit gazebo sur le bord d’un petit point d’eau.

Il m’explique que c’est aujourd’hui l’anniversaire de mariage de sa femme qui est à l’intérieur, mais qu’il a trop de peine pour aller la rejoindre… Il est à sa retraite (65 ans je crois) mais son père de 87 ans vient de le déshériter et cela lui crée de la rage et du ressentiment. Il a le goût de tuer, de tout casser…

Il me dit qu’il a un fils qui a une copine mais que celui-ci ne veut pas d’enfant… Alors que lui c’est son rêve le plus cher d’être grand-père…

Et alors , moi de lui dire… tu sais, parfois, l’univers semble créer de la place par un trou noir (la chicane avec son père) pour préparer l’implosion d’une arrivée… Si je ne me trompe pas, que je lui dis, tu seras bientôt grand-père…. Viens que je lui dis… on va aller rejoindre ta femme à l’intérieur, je vais vous chanter une chanson pour ton anniversaire de mariage et tout va bien aller…
puis ensuite je repartirai vagabonder mon chemin…

Quelques jours plus tard, j’ai reçu un message sur le site: www.demers.qc.ca… Son fils venait de lui téléphoner pour lui dire qu’il serait grand-père…

www.demers.qc.ca , 10 mars 2009

la beauté vient toujours de la non-tricherie
la laideur de la tricherie

Mon rêve big-bang, il a surgi d’une façon claire assez tard en moi. Je venais d’avoir 50 ans je crois. Jusqu’à ce moment, ma vie n’avait été qu’une suite de choix de carrière agréables, mais insatisfaisants… Bien sur, je vivais la bohème avec laquelle je n’avais jamais triché, mais je ressentais un terrible vide vocationnel que rien ne pouvait assouvir: succès, gloire,argent, mariage, divorce, aventures, etc…

Comme une femme enceinte, je sentais bien en dedans de moi germer quelque chose mais je n’arrivais pas a mettre le doigt sur cet innommable sans lequel je ne pouvais prétendre avoir vraiment vécu sur cette terre.

Je faisais partie du duo Rochette Lamarre. Nous avions beaucoup de succès depuis une quinzaine d’années. Et mon partenaire de scène surtout était un merveilleux monsieur parfait. J’étais béni par les Dieux. On ne s’était jamais disputé ne fusse une fois de toutes ces années, sans doute parce que nous avions divisé le pouvoir de façon équitable. Sur scène, c’est moi qui mène, en bas de la scène, c’est toi.

Nous avions depuis toujours des Noel d’automne a la Calèche qui accueillait pour nos spectacles des autobus d’aines provenant de partout a travers le Québec… Plus de 20,000 personnes par année. Les patrons, la famille Grand-Maison, nous traitaient avec respect et nous offraient tous les budgets dont nous avions besoins pour créer nos spectacles de comédie… J ‘avais même fait une thèse d e maitrise sur comment fonctionne le rire dans le cerveau humain pour mieux faire mon métier de troupier slapstic sur scène et écrire de meilleurs numéros de comédie, certains étant restés des bitts
icones…. J ‘inventais des sketches, le public riait de bon coeur, mais moi je savais que j’étais enceinte d’un rêve qui tardait a se manifester.

-V-

Ce Noel-la, probablement en 1998, nous avions ajoute a notre spectacle une jeune femme clown du prénom de Ruth je crois. Ruth avait un compagnon… Denis et moi animions de nos chansons de Noel les soupers de l’auberge La Caleche, en face du buffet ou les gens se servaient avant notre grand spectacle… Et c’est un de ces soirs debut novembre je crois, que je vis arriver devant moi un homme, immensement long et mince, habillé de noir, aux yeux presque mystiques…

C ‘était le compagnon de Ruth. Ce compagnon de Ruth était un photographe qui tenait commerce de photographie dans la ville de Quebec. Tout allait bien pour lui au point ou il trouvait maintenant du temps a consacrer a sa grande passion: l’orgue de Barbarie. Il s’était fait venir des plans, en avait construit un, puis un autre, puis avait creé lui-même ses rouleaux de vieilles chansons françaises: parlez-moi d’amour, sous les ponts de Paris, le moulin rouge… Et soudain une nuit, le fameux big- bang, le grand appel… Il rêve de parcourir les routes d’Espagne, les routes du soleil et de jouer de l’orgue de Barbarie dans les parcs… le big-bang de son reve est tellement puissant qu’il vend tout et part.

Son rêve ne lui a pas donne le choix. Les valeurs qui constituaient la base de sa survie se sont toutes écroulées en même temps…en perdant toute signification…. Au moment ou je le croisai ce soir la, il s’apprêtait a repartir pour l’Europe.
A partir de ce soir-la, je ne fus plus jamais le même homme ni sur scène, si dans la vie privée…

Je savais que cet homme en me racontant sa vie, avait servi de miroir pour allumer une lointaine caverne a l’intérieur de moi-même. Un peu comme on met le feu a des brindilles en tournant sa loupe vers le soleil.

-7-

Si j’avais pu mettre un mot clair sur mon rêve… impossible, même ce soir la, plus j’essayais, plus je me perdais… je savais que je voulais être ecrivain… mais c’était un chemin pour arriver a mon rêve…. Aujourd’hui a 60 ans, je peux écrire ce mot que j’ai cherche toute ma vie:

VAGABOND-POETE

-8-

Quand je revois tout cela, ca me fait beaucoup sourire maintenant… je me rend compte que mon rêve a toujours été présent, tel le soleil et qu’il s’est manifeste de façon précise tout au long de ma vie… mais que je l’ai accueilli en aveugle:))))

-9-

Quand j’étais p’tit gars, il y avait seulement trois livres chez moi. Ti-Coq de gratien Gelinas, allegro de Felix Leclerc et surtout les monologues de Jean N’arrache… et je me rappelle ce wow extraordinaire d’un petit gars de 5 ans devant le dessin du vagabond sur la couverture….et qui se dit… un jour, ce sera moi Jean N’arrache.

-10-

Mon enfance fut paradisiaque… Et c’est a 60 ans que j’ai compris pourquoi… parce que j’avais eu la visite de mon rêve… et toute ma soif de vivre s’en trouvait rafraichie… c’est ce que j’appelle la fraicheur axiologique provoquée par la visite de son rêve, telle une rose qui ouvre ses pétales au soleil un certain matin inoubliable.

-11-

Je me rappelle cette tendance a me cacher de mes freres et soeurs pour jouer tout seul, rêveur euphorique, des nuits ou je sortais en cachette marcher autour du lac St-Louis, de mes promenades le long de la voie ferrée a rêver un jour de monter clandestinement un train, car mon grand père m’avait raconte (il travaillait pour une compagnie de train) que parfois il donnait une soupe a un hobo qui s’etait jeté en bas d’un train….

-12-

Mais nous avions surtout a la tuque un itinérant du nom de Baptiste Tremblay, qui arrêtait les trains de sa main pour laisser le passage aux piétons… j’etais émerveillé… c’était un appel pour mon rêve, de la pure poésie… Ca existait donc des vagabonds poètes, des jean N’arrache de la rue….

Pierrot
vagabond celeste

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COURRIEL DE L’EXCEPTIONNEL CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

COURRIEL DE L’EXCEPTIONNEL CONTEUR INTERNATIONAL
SIMON GAUTHIER

Allo Pierrot
lu et en mode d’Intégration! ;-))))

Prêt à vous donner un cup de main en tout temps!

De mon côté je retravaille le spectacle “Le Vagabond Céleste” Il reprend une série de 4 dates.

Repentigny (festival fous de théâtre) et à Trois -Rivières dans un salon privé. Et en Belgique au Festival de conte de Chiny.

Je reprends le texte et les chansons. Il a mûri durant cette année de silence. De beaux fruits sont à venir.

—-

Je travaille Tic TAk. Une bonne année de travail et de mûrissement sont à prévoir.

Entre temps, Nous ferons lapremière pression à froid avec toute l’équipe le 16 septembe à la salle de spectacle Francis Brisson à la ville de Grand-Mère, St_Jean de Matha, Ensuite 3-Pistoles, Pi on verra par la suite

Je pratique les tounes suivantes du Vagabond

Vieux monsieur (si je t’ai rammassé sur la route vieux monsieur….)

La femme dans le char (On s’était rencontré dans forêt à dormir dans ton char….)

Une vielle route de campagne quelques part une vielle grange abandonné….)

Ma liberté un nuit un orage un jeune pusseux que j’ak connu sur la route….)

Justine (Quand t’as rien t’as tout c’est ben épeurant c’est bien effrayant…)

Le camionneur!

😉

Je pense à toi à Michel et à Marleen

Sim

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COURRIEL-RÉPONSE DE PIERROT VAGABOND

Cher Simon…Que tu reprennes la route de la francophonie avec le conte du Vagabond céleste, dont tu as muri,  et le texte et les chansons, me traverse l’âme.  C’est comme si tu honorais cette lignée mélodieuse de rêves big-bang que fut celle de mon grand-père Lucien (qui échanger son cheval à St-Raymond de Port-neuf contre des bottes pour aller plus loin dans la vie), de mon oncle Paulo (qui échangea son piano contre une série de pianothons en plein air où il battait son record année après année pour aller plus loin dans la vie, et de mon père Roger (qui échangea sa job chez H. R. Hillier contre le ier poste de télévision sur cable au Canada) en m’apprenant le sens d’un rêve big bang par la job de caméraman à 12 ans, après l’école et les fins de semaine.

Le rêve big bang n’aurait pu naître ailleurs qu’à La Tuque… petite ville perdue entre les montagnes, à 100 kilomètres de Trois-Rivières d’un bord et à 100 kilomètres de Chicoutimi de l’autre, le rêve big bang passa par la musique et tomba comme un coup de tonnerre sous chaque maison comme si sous chacune y avait été installé un paratonnerre.

La musique…. certains y faisaient des chansons (Félix Leclerc), d’autres des symphonies (mon père avec sa trompette, ier prix de trompette à C.K.A.C en 1948) d’autres enseignaient aux oiseaux à chanter dans les parcs (le vagabond  Baptiste Tremblay qui arrêtait aussi les trains avec ses mains pour laisser passer les enfants à l’école.

Deux orchestres Rochette aux deux coins de la ville, mon grand père Lucien répétant avec ses enfants sur la galerie pour aller manger des sandwichs chez ses chums après avoir abandonné son travail à l’usine… La poésie de vivre avant tout… Les hobos qui au-dessus des trains sautaient devant chez nous et allaient manger la soupe du pauvre chez mon grand-père Lefebvre qui travaillait lui-même dans ces mêmes trains…

Dans la ville de La tuque, à cause de la musique, nous vivions tous l’errance poétique sans le savoir…

Ce n’est pas pour rien que quand la mère de Justine est morte, son errance fantomatique accentuée par le choc post-traumatique de son père englué d’errance axiologique vint chercher réconfort avec le vagabond céleste en mode d’errance poétique sur son congélateur, parce que ce vagabond céleste montait sur les épaules de son grand-père, de son oncle et de son père, pour lui enseigner l’essentiel

Chansons de Pierrot

QUAND T’AS RIEN T’AS TOUTE

REFRAIN 1

quand t’as rien t’as toute
c’est ben épeurant
c’est ben effrayant

t’as même l’amour d’une p’tite fille
une enfant d’9 ans
qui t’trouve amusant

a dit à son pere
c’te vieux monsieur-là
c’est un itinérant

y est pas pareil comme les autres
lui y a juste 5 ans
pis moé
chu sa maman d’9 ans

COUPLET 1

quand Justine
débarque de l’autobus
pis qu’a rentre dans l’restaurant

on dirait qu’est la seule qui comprend
que derrière ma guitare
il n’y a que du vent

qui charrie des feuilles perdues
entre l’automne et le printemps
pour que mes yeux deviennent pour elle
de très beaux flocons blancs

qui tombent lentement
sur un sourire d’enfant
d’enfant

émerveille

COUPLET 2

quand Justine
prend ma tête dans ses bras
puis qu’elle la sert très très très fort

on dirait
qu’est la seule qui comprend
que derrière ma guitare
le père Noël attend

que tous les sapins soyent montés
que tous les enfants soyent couchés
que les cadeaux soyent allumés
pas loin d’la cheminée

où maman Justine pis moé
on souriera aux enfants
aux enfants

émerveilles

REFRAIN FINAL

quand t’as rien t’as toute
c’est ben épeurant
c’est ben effrayant

t’as même l’amour d’une p’tite fille
une enfant d’9 ans
qui t’trouve amusant

a dit à son père
c’est le père Noel
notre itinérant

quand son beau grand traîneau blanc
montera vers le ciel
je s’rai pour toujours

sa maman d’amour
sa maman d’9 ans
sa maman Noël

Pierrot
vagabond céleste

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Tu vois, Simon, dans la ville de mon enfance, comme j’avais accès aux chansons de Félix Leclerc, à la trompette symphonique de mon père, au pianothons de mon oncle Paulo et aux cours de chants aux oiseaux du vagabond Baptiste Tremblay, je me sentais à Noel tous les jours, les hobos sautant des trains me confirmaient qu’avec l’enfance que j’avais eu, je pourrais courir le monde caché sous le costume d’un vagabond céleste.

La poésie d’un vagabond céleste, , c’est faire d’une petite fille de 9 ans sa maman pour que dans un beau grand traineau blanc, éternellement, chaque enfant puisse à son tour sur terre être le parent de ses parents… Ce qui rejoint la question du doctorat de l’équipe de recherche de l’équipe (Auld, Woodrad, Rochette)

QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

De là la cinquième question de la vie personnelle œuvre d’art:

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?….

et la réponse

PAR LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Pierrot