LE CONTEUR ONTO-MULTIVERS DU 21EME SIÈCLE FERA PARTIE DU FIL D’OR DE CES ENCHANTEURS QUI, TEL LE CANTIQUE DES CANTIQUES DE LA BIBLE, FONT PASSER DU RÈL AU RÊVE TOUS CEUX ET CELLES QUI N’ONT PAS ENCORE VÉCU UN RÊVE BIG BANG QUE TOUTE LEUR CONFIGURATION EXTHÉTIQUE DE LA FÉBRILITÉ EXISTENTIELLE PROCLAME DANS TOUTE LEUR QUINTESSENCÉITÉ

Tel Léonard de Vinci arrivant à la cour de François Ier, l’archétype hologrammique du vagabond céleste, avec barbe blanche, sac à dos, chapeau, bâton de pèlerin et guitare voyageait de village en village avec l’objectif de serrer la main aux grands rêveurs et aux grandes rêveuses de ce pays ( la plus grande pour moi fut l’ermite de St-Félis d’otis Chantal Poissant) tout en ensemençant les nano-personnes humaines-planétaires des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art:

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Mais le moment les plusémouvants dont je me rappelle, furent ceux où, abandonnant ma guitare, je chantai a capella bien appuyé sur mon bâton de pèlerin passant soudain du conteur au raconteur… en signant l’épopée bien stylisée au cœur de deux orfèvreries sous forme de chanson… LA CHANSON DES ALLUMETTES ET LA CHANSON DU CAMIONNEUR…

Le conteur contrairement au raconteur insiste sur le pont énigmatique du réel rendant symbolique l’énigme enchanteur du rêve tandis que le raconteur accompagne les pèlerins de l’imaginaire que sont les soucieux et soucieuses de l’existence aux irritants spongieux des irritants de l’univers domestique, dans un survol qui tient plus de la sphère hologrammique d’un événement que de son inscription dans l’ancrage phénoménologique sous fil d’araignées des mythes universaux…

Le tout était étonnant d’intemporalité…. rejoignant ainsi l’homme des cavernes devant un feu rencontrant les yeux des anciens autant que les enfants des épluchettes de blé d’inde des campagnes autour du conteur officiel enseignant l’aura du rêve dans lequel les normes du vivre ensemble s’immiscent tout en flamboiement d’une génération à l’autre….

Au 21eme siècle, seul le conte , donc le conteur, peut atteindre et faire atteindre la fluidité hachée et contre-intuitive d’une réalité tronquée magnifiquement par le big bang d’un rêve univers des univers… Un conteur devenant le POINT D’INTERROGATION d’un 2.7k au cœur même de la fragilité d’exister.

LA QUINTESSENCÉITÉ se toile de la majesté de ceux ou celles qui ne sont rien, ne possèdent rien et ne demandent rien. Le don d’un conteur ou d’une conteuse par les bluotéE des mots anhistoriques se lèvent MAJESTUEUSEMENT sous le vent cosmologique du «IL ÉTAIT UNE FOIS»…..

Le camionneur, le vrai, pour qui j’ai écrit la chanson du camionneur en reprenant la magie rêve big bang de ses mots ne savait pas ce matin là au restaurant chez Annick à quel point il avait fait exploser l’univers de la réalité pour et par son seul rêve big bang faire de son amour pour sa femme un multivers d’une grande universalité néo-nominaliste.

Cela s’est passé il y a plus de 10 ans, mais c’est comme si c’était demain, et encore demain, et demain pour toujours… Je retrouve d’ailleurs dans l’amour big bang que porte Michel le concierge pour sa compagne Marlene la jardinière le même 2.7k et le point ? universel qui illumine fragilement le camionneur comme le concierge fait de mon hologramme la dame pauvreté telle que dut le vivre François d’Assise, même si le cadre chrétien en porta telle la cadreité baroque d’un rococo humilié toute la luminosité des mystiques incandescents qui le suivirent (au 17eme siècle (Surin, Coton, Alvarez, Therese d’Avila et Jean de la crois)

à suivre

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