« LA CHANSON DU CAMIONNEUR» N’A JAMAIS ÉTÉ UNE CHANSON, MAIS UNE ÉPOPÉE DE L’HUMANITÉ PAR LE RÊVE-BIG-BANG D’UNE HOMME POUR SA FEMME QUI, SANS LES MOTS POUR LE DIRE, EST SOULEVÉE PAR LA GRANDEUR DE SON : «TOÉ LA PLUS BELLE DE L’UNIVERS»… ET C’EST DANS CE SENS QUE LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» APPELLE UN FONDEMENT MULTIVERS DE TOUT RÊVE BIG-BANG ÉTUDIÉ DANS L’ANGLE DE TROIS CATÉGORIES COSMOLOGIQUES-PHILOSOPHIQUES: L’ONTO-MULTIVERS, LA MÉTHO-MULTIVERS ET LA NANO-MULTIVERS… FONDEMENT DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART AU 21EME SIÈCLE , PROPÉDEUTIQUE À L’ÉMERGENCE D’UNE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Un des drames du 21eme siècle, c’est que l’université soit devenue une institutionalisation progressive d’une mentalité servile au service de la perroquetterie des savoirs stratifiés aux objectifs reproductifs autant qu’utilitaristes.

Nous sommes si loin des universités allemandes de la fin du 18eme siècle où toute la pyramide inversée reposait sur la recherche obligatoirement innovatrice obligeant les étudiants à un très haut niveau d’invention et de liberté autodidacte.

Quelle tristesse que ce clientélisme morbide… axé sur des diplômes et des notes qui ne veulent rien dire.

Prenons l’exemple de la sociologie…. La dégénéressence intellectuelle dans le sens de Irme Lakatos où ce que Kuhn appelle le schème conceptuel n’arrive plus à nourrir d’innovations majeures un champ dont les fondements néo-potivistes autant que néo-empiristes logique, n’arrive plus non plus depuis Robert Merton et Bourdieu à pondre des penseurs dont l’épistémologie d’un e réflexion méthodologique est perçue comme majeure par les différents champs ontologiques qui la serpentent.

Dans un manuel de sur la philosophie de la connaissance consacrée à une chaîne de penseurs, seule la sociologie est résumée brièvement dans son siècle, sans aucun penseur traité en majeur, et sous l’angle seul de la sociologie de la connaissance et des limites épistémologiques du champ au fur et à mesure de l’évolution des sciences cognitives, cosmologiques et mathématiques.

De là l’importance d’ouvrir un nouveau schème conceptuel à partir d’une prédiction des mathématiciens-cosmologues: celle de l’existence de multivers, à partir duquel on doit redessiner les fondements onto-multivers, métho-multivers, nano-multivers menant à la formule «wow-t=2.7k?» permettant l’émergence de la nano-citoyenneté-planétaire par une masse critique de vies personnelles œuvre d’art, dont le rêve big-bang moins la tricherie devient par le 2.7k? un hymne à la liberté comme beauté du monde.

C’est en ce sens que la chanson du camionneur ne constitue pas une chanson, mais une épopée… une épopée d’une humanité en marche par la nano-citoyenneté-planétaire d’un univers à un multivers, d’un rêve big-bang à une infinité de rêves big-bang clonés dans l’impossible probabilité d’une palette de récits différents à la recherche d’un gps ontologique autant que socio-multivers.

LA CHANSON DU CAMIONNEUR
REPRÉSENTE LA PREMIÈRE TRACE
D’UNE COSMOGONIE MULTIVERS
OÙ LA CRÉATION DES DIEUX NE
SE POINT D’INTERROGATION QUE PAR LE CLONAGE EN SIMULTANÉITÉ D’UNE NON-TRICHERIE.

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Imre Lakatos

Imre Lakatos (9 novembre 1922, Debrecen – 2 février 1974, Londres), est un logicien et épistémologue hongrois, philosophe des mathématiques et des sciences, fut le disciple de Karl Popper et l’élève de la mathématicienne russe Sofia Yanovskaya.

Lakatos naît dans une famille juive à Debrecen (Hongrie) le 9 novembre 1922 sous le nom de Imre (Avrum) Lipschitz. Il est diplômé en 1944 de mathématiques, physique et philosophie à l’université de Debrecen. Durant la Seconde Guerre mondiale il échappe aux persécutions nazies en changeant son nom en Imre Molnar, sa mère et sa grand-mère sont tuées à Auschwitz. Il devient activement communiste durant la Seconde Guerre mondiale et change une seconde fois de nom de famille pour Lakatos (serrurier) en hommage à Géza Lakatos.

En 1947, après la guerre, il commence à travailler comme haut fonctionnaire au ministère hongrois de la culture. Il poursuit aussi un doctorat à l’université de Debrecen qu’il obtient en 1948. À cette époque il assiste le mercredi après-midi aux séminaires privés de Georg Lukács. En 1949, il va étudier à l’Université d’État de Moscou sous la direction de Sofya Yanovskaya ; à son retour il se retrouve pris dans un débat interne avec le Parti communiste hongrois et est emprisonné de 1950 à 1953 pour révisionnisme. Récemment, certaines informations concernant ses activités en Hongrie après la guerre ont été découvertes : il était fortement partisan de Staline et, malgré son jeune âge, a eu un rôle important entre 1945 et 1950 dans la construction du régime communiste, en particulier dans la vie culturelle et universitaire1.

Après sa libération, Lakatos retourne à la vie universitaire pour mener des recherches en mathématiques et une traduction de How to solve it de George Pólya en hongrois. Bien que se disant toujours communiste, ses opinions politiques ont changé et il a été impliqué dans au moins un des groupes d’étudiants menant la révolution hongroise.

Après l’invasion de la Hongrie par l’Union soviétique en novembre 1956, Lakatos fuit à Vienne (Autriche), et plus tard rejoint l’Angleterre. Il obtient un doctorat de philosophie en 1961 à l’Université de Cambridge ; Preuves et réfutations, Une logique de la découverte mathématique, publié après sa mort, est basé sur sa thèse.

La nationalité britannique lui est refusée à deux reprises2 et il restera apatride jusqu’à sa mort3. En 1960 il prend un poste à la London School of Economics, où il écrit sur la philosophie des mathématiques et la philosophie des sciences. Dans le département de philosophie des sciences, travaillent à la même époque Karl Popper, Joseph Agassi et John Oulton Wisdom, qui se liera d’amitié avec Lakatos. Agassi introduisit d’ailleurs Lakatos à Popper afin d’étudier L’APPLICATION D ELA MÉTHODOLOGIE FAILLIBILISTE aux systèmes de conjectures et réfutations dans les mathématiques, que Lakatos intégrera dans sa thèse de doctorat.

Il coédite avec Alan Musgrave Criticism and the Growth of Knowledge souvent cité et les Proceeding du colloque international de philosophie des sciences de 1965 à Londres. Publié en 1970, le colloque de 1965 inclut des réponses par des intervenants célèbres à La Structure des révolutions scientifiques de Thomas Kuhn.

Lakatos travaille à la London School of Economics jusqu’à sa mort soudaine due à une attaque cardiaque en 1974, à l’âge de 51 ans. L’école mit en place les Lakatos Award en sa mémoire, qui récompense les recherches en philosophie des sciences.

En janvier 1971, il devient l’éditeur du British Journal for the Philosophy of Science, une revue internationale prestigieuse fondée par son ami J.O. Wisdom, il le restera jusqu’à sa mort en 1974. Après celle-ci l’édition sera menée conjointement par ses ex-assistants de recherches et collègues John W. N. Watkins et John Worrall.

Ses dernières conférences de 1973 et une partie de sa correspondance avec son ami et critique Paul Feyerabend ont été publiées dans For and Against Method.

Lakatos et son collègue Spiro Latsis ont organisé une conférence internationale entièrement dédiée aux études de cas historiques dans la méthodologie de Lakatos, qui s’est tenue en Grèce en 1974, malgré la mort d’Imre en février. Ces études de cas, telles que celle du programme de recherche de la relativité d’Albert Einstein, de la théorie ondulatoire de la lumière de Fresnel et de l’Économie néo-classique, ont été publiées par les presses de l’université de Cambridge en 1976 en deux volumes séparés : un dédié à la physique et au progamme général de Lakatos pour réécrire l’histoire des sciences, contenant une conclusion critique de son ami Paul Feyerabend, l’autre consacré aux théories économiques.

À SUIVRE…

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