L’UQAM, LISE BISSONNETTE ET LA NANO-MODERNITÉ OÙ L’UNIVERSITÉ DU QUÉBEC PEUT DEVENIR L’INITIATRICE D’UNE TRANSITOLOGIE UNIVERSELLE DANS LES TRANSITIONS DÉMOCRATIQUES UNIVERSITAIRES DES DROITS DE LA PERSONNE HUMAINE À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

Lise Bissonnette quitte le conseil d’administration de l’UQAM

Publié aujourd’hui à 11 h 08

Lise Bissonnette lors d’une entrevue à la radio de Radio-Canada.
L’écrivaine et ex-journaliste Lise Bissonnette a quitté mardi la présidence du conseil d’administration de l’UQAM. Photo : Radio-Canada/Myriam Lemay-Gosselin

Excédée par les inégalités « flagrantes » qui persistent entre les universités à charte et les établissements du réseau de l’Université du Québec, la présidente du conseil d’administration de l’UQAM a remis sa démission mardi soir.

Dans la lettre publiée dans Le Devoir qui explique les raisons de son départ, Lise Bissonnette affirme d’entrée de jeu quitter ses fonctions pour « retrouver sa liberté de parole » et dénoncer publiquement le traitement injuste que reçoit selon elle l’Université du Québec de la part des gouvernements.

Assurant que ni ses collègues ni ses interlocuteurs ne l’ont jamais empêchée de s’exprimer, elle estime que sa position de présidente du conseil d’administration de l’UQAM lui imposait une certaine retenue, dont elle se libère aujourd’hui.

Alors que l’UQAM s’apprête à célébrer ses 50 ans d’existence l’an prochain, Mme Bissonnette écrit qu’elle anticipait cet événement avec un certain ressentiment face à la situation injuste dont pâtit l’Université du Québec à Montréal, fondée en 1969 pour rendre les études universitaires accessibles aux francophones des classes moins fortunées.

Un des pavillons de l’Université du Québec à Montréal (UQAM).
L’UQAM fêtera ses 50 ans en 2019. Photo : Radio-Canada/Luc Lavigne

Saluant les nombreuses réussites de l’UQAM en termes d’enseignement, de recherche et de création, Lise Bissonnette se dit particulièrement fière de l’aptitude de son université « à vouloir refaire le monde en s’imposant d’abord de le repenser » en dépit du manque de soutien, voir du « mépris » des pouvoirs publics à son égard.

«Lors d’un entretien récent accordé au Devoir, je suis allée cependant jusqu’à évoquer le « mépris » des pouvoirs publics à l’égard de l’UQAM. Je persiste.»

—Lise Bissonnette, ex-présidente du conseil d’administration de l’UQAM

Au fil des décennies, le réseau public de l’Université du Québec, qui aurait dû fleurir, voire s’imposer chez nous, selon elle, n’a jamais reçu un traitement égal à celui des universités à charte, qui sont largement financées par l’État elles aussi, rappelle Lise Bissonnette.

Trois fois plus d’argent public aux « universités privées »

Mme Bissonnette évoque à ce chapitre le Plan québécois des infrastructures 2017-2027 (PQI) où les huit universités que Québec considère comme « privées » se partageront plus de 3 milliards de dollars, alors que les dix établissements de l’Université du Québec n’auront droit qu’à 850 millions de dollars.

«Il n’existe aucune université “privée” au Québec : aucun établissement ne survivrait deux jours sans l’apport majoritaire de l’État à son financement. L’emploi du terme “privé” choque autant que le déséquilibre du PQI [Plan québécois des infrastructures].»

—Lise Bissonnette, ex-présidente du conseil d’administration de l’UQAM

Même situation au fédéral

La situation n’est guère mieux en ce qui a trait au financement fédéral, estime l’ex-présidente du conseil d’administration de l’UQAM.

Dans son Fonds d’investissement stratégique canadien (FIS) lancé en 2016, le gouvernement Trudeau proposait de généreuses subventions pour le développement des infrastructures, notamment dans le domaine de l’enseignement supérieur.

« Le tri des projets relevait du gouvernement du Québec, dont la contribution était également requise. […] À Montréal, en excluant les collèges, la somme disponible a atteint plus de 380 millions pour les universités, relate Lise Bissonnette.

«L’UQAM a obtenu 10,5 millions, et 6 de ses 10 projets ont été refusés sans explication. L’Université de Montréal a obtenu 250 millions, McGill 75 millions et Concordia 37 millions.»

—Lise Bissonnette, ex-présidente du conseil d’administration de l’UQAM

Lise Bissonnette en entrevue
Lise Bissonnette Photo : Radio-Canada

Indifférence générale

Qui plus est, cette situation n’a soulevé aucune critique dans les rangs des partis d’opposition à l’Assemblée nationale. « La cordiale complicité entre gouvernements successifs est constante », souligne-t-elle.

La planification, avec des fonds publics, de la construction d’un pavillon de HEC Montréal au centre-ville à « proximité concurrentielle » de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM est également une situation que dénonce Lise Bissonnette, qui rappelle que ce projet a reçu 94 millions de dollars de fonds publics « au moment où tout le secteur public était mis au régime sec ».

En termes de règles de gouvernance, les établissements de l’Université du Québec sont enfermés dans « des carcans absurdes imposés aux seules universités de l’UQ ».

Alors que les universités à charte sont libres de payer les membres de leur direction comme elles l’entendent, les universités de l’UQ sont, elles, soumises aux grilles de la fonction publique, nettement moins avantageuses.

Qui plus est, les universités à charte sont exemptées de la vérification financière qui est imposée à tous les établissements de l’Université du Québec, et rien n’indique une quelconque volonté de Québec de remédier à cette situation, rappelle l’ex-présidente du conseil d’administration de l’UQAM.

«Je n’entrevois pas aujourd’hui de terme heureux à nos combats, mais ils doivent se poursuivre. Ce qui menace l’UQAM et les établissements analogues, ce n’est pas la fatalité, elle n’existe jamais. C’est le fatalisme dont la tentation rôde en nos propres espaces.»

—Lise Bissonnette, ex-présidente du conseil d’administration de l’UQAM

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POUR LA PREMIÈRE FOIS DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ, UNE JARDINIÈRE, UN CONCIERGE ET UN VAGABOND, AU NOM DE LA PHILOSOPHIE PLUS QUE DEUX FOIS MILLÉNAIRE, PAR L’INVENTION DE LA NANOCRATIE, DÉCLARE UNIVERSELLE LA NOUVELLE SÉPARATION DES POUVOIRS ENTRE LES NANO-PLANÉTAIRES QUI NE MANGENT PAS À LEUR FAIM ET LES MONARCHIES NUCLÉAIRES.

IL EST PLUS QUE TEMPS QUE L’HUMANITÉ NANO-CITOYENNE SE LÈVE DEBOUT PARTOUT SUR LA PLANÈTE TERRE POUR DIRE: NON À L’INJUSTICE, NON À LA PRÉCARITÉ, NON À L’EXCULSION DES RICHESSES. LA NANOCRATIE C’EST LA NANO-CONSCIENCE-PLANTAIRE EN MARCHE VERS UN MIEUX VIVRE POUR TOUS ET TOUTES.

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LE RÊVE BIG BANG
C’EST LA VALEUR DE L’IMPOSSIBLE
DANS SON SURGISSEMENT ORIGINEL
LE PLUS 2.7K
AU SENS OÙ
LE SOI DU POUR-SOI NÉANTISANT
ATTEINT
UNE EUMÉTRIE CHORÉGRAPHIQUE
MANIFESTANT L’INVU
DE LA PLUS ÉPIQUE
TRANSLUCIDITÉ
NON-THÉTIQUE
DU POUR-SOI COSMOGRAPHIQUE
DE LA CONDITION HUMAINE

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TITRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) …….. «WOW-T=2.7K?» CODE SOURCE ARCHITECTONIQUE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

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CHAPITRE 1
LE WOW (LE RÊVE BIG-BANG)

A) SON HISTORIQUE.

B) SON PASSAGE ARCHITECTONIQUE
de l’ESPRIT hégélien au DÉPASSEMENT Heideggerien au PROJET Sartrien comme fondement conceptuel au RÊVE BIG BANG menant à l’invention des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art

C) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
archivée sur une période de 20 ans par le rêve big bang de l’archétype hologrammique de Pierrot vagabond de la beauté du monde À TRAVERS SES OEUVRES, SES CHANSONS, UN DOCUMENTAIRE (mon ami Pierrot, le dernier homme libre), un spectacle filmé du conteur international Simon Gauthier (le vagabond céleste) et UN BLOG… en quête poïétique des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art :

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

menant à une cinquième question
concernant l’espèce humaine vue de l’espace:

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

D) BIBLIOGRAPHIE
l’allégorie de la caverne (Platon)
l’éthique à Nicomaque (Aristote)
l’éthique (Spinoza)
la critique de la raison pratique (Kant)
la phénoménologie de l’esprit (Hegel)
l’être et le temps (Heidegger)
l’être et le néant (Sartre)
l’évolution créatrice (Bergson)
Monsieur 2.7k (Pierrot vagabond)

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CHAPITRE 2
-T, (LA NON-TRICHERIE) (dans le sens de la mauvaise foi sartrienne)

A) SON HISTORIQUE

B) CONCEPT ARCHITECTONIQUE
la non-tricherie, absente des œuvres de Hegel et de Heidegger, constitue un ancrage fondamental de l’esquisse de la nouvelle théorie des émotions de Jean-Paul Sartre PAR SON CONCEPT DE MAUVAISE FOI.

c) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
archivée sur une période de 10 ans par la non-tricherie du rêve big bang de l’archétype hologrammique de Michel concierge de la beauté du monde, dans son rêve big-bang (son amour pour Marlene) à travers SES CHANSONS, ses deux documentaires: LE PAYS OEUVRE D’ART? ET LA PELLE JAUNE? en plus d’extrait de videos sur plus de 150 heures d’archives visuelles et sonores où sont exprimés ses aphorismes de la philosophie d’en bas EN MODE DE CONCEPTUALISATION.

D) BIBLIOGRAPHIE
esquisse d’une nouvelle théorie des émotions (Sartre) autobiographie (Margaret Sangers) autobiographie (peace pilgrim) autobiographie (Nelson Mandela) le comte de Monte-Cristo (Dumas)

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CHAPITRE 3
2.7k (LE BRUIT DE FOND DU BIG-BANG DE L’UNIVERS)

A) HISTORIQUE

B) L’ANALOGIE ARCHITECTONIQUE
entre le rêve big bang d’une personne humaine et le big-bang rêve de l’univers, par un rapport imaginatif du 2.7k dans une vie personnelle comme dans le cosmos.

C) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
archivée sur une période de 10 ans par le personnage archétype hologrammique de Marlene la jardinière de la beauté du monde, ses jardins, et sa vie personnelle œuvre d’art dans son rêve big-bang de prendre soin de cette beauté du monde.

d) BIBLIOGRAPHIE
l’homme qui plantait des arbres (Giono)
critique de la faculté de juger (Kant)
le code secret de l’univers (Bogdanov)
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CHAPITRE 4
? ( ou le paradigme d’une proposition falsifiable) (le concept paradigmatique du point d’interrogation de la formule étant une invention philosophique de Michel le philosophe-cinéaste-concierge)

A) HISTORIQUE (l’histoire du constructivisme russe au constructivisme radical du 21eme siècle comme mode de recherche scientifique autant que stratégique au niveau des droits nano-citoyens-planétaires.

B) SON RAPPORT ARCHITECTONIQUE
à la création d’une chaire de recherche d’un consortium universitaire pour inventer la nano-citoyenneté-planétaire en 3 ans par le biais d’une fondation.

C) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
par le mode de fonctionnement archivé sur une période de 10 ans, de la création étapique de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) , le wow unanime devenant graduellement le mode de mise en forme méthodologique conduisant à une invention paradigmatique éco-philosophique-politique (la nano-citoyenneté-planétaire dans sa forme éthique-esthétique-cosmologique: wow-t=2.7k?).

D) BIBLIOGRAPHIE
Léviathan (Hobbes)
l’esprit des lois (Montesquieu)
le contrat social (Rousseau)
théorie de l’agir communicationnel (Habermas)
la justice comme équité (Rawls)

CONCLUSION OUVERTE

La question de Montesquieu du 18eme siècle: Que faut-il inventer pour que tous les gouvernements de la planète fonctionnent un peu mieux (la séparation des pouvoirs) devenant au 21eme siècle ( que faut-il inventer pour que le pouvoir nano-citoyen-planétaire constitue un contrepoids obligeant les états à une éthique-esthétique planétaire avec des règles du jeu PROFITANT À TOUTE L’ESPÈCE HUMAINE (la nano-citoyenneté-planétaire).

Peut-on y arriver en 3 ans par un consortium d’universités financé par une ou plusieurs fondations dédiées à la démocratie nano-citoyenne-planétaire?

LA PHILOSOPHIE DU 21EME SIÈCLE,
POUR NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE
(AULD, WOODART, ROCHETTE)
PREND LE PARI QUE LE DROIT UNIVERSELLE
DE LA NANO-PERSONNE-HUMAINE-PLANÉTAIRE
PASSERA PAR L’IMAGINATION CONSTRUCTIVISTE
DANS DES INVENTIONS AU SERVICE DE LA RAISON ET DE LA SENSIBILITÉ
PERÇUES D’UN OBSERVATEUR DE L’ESPACE
DANS SA CAPSULE SPATIALE
COMME UN ART NANO-ÉCO-PO;LIQIQUE
DE LA BEAUTÉ DU MONDE
LA NATURE ÉTANT VUE COMME UN ART
TEL QU’EXPRIMÉ PAR KANT
DANS LA CRITIQUE DE LA FACULTÉ DE JUGER

Vu de l’espace, d’une capsule spatiale, les 250,000 conseils municipaux de la planète terre dessinent géographiquement, QU’IMPORTE LE NOMBRE D’HABITANTS, VILLE PAR VILLE, VILLAGE PAR VILLAGE, une structure permettant au hasard objectif bien géré par des algorithmes puissants, d’inventer UNE CONSCIENCE PLANÉTAIRE DES 125 JUSTES à la hauteur des aspirations de l’espèce humaine, autant éco-politiquement que cosmologiquement.

Cette intuition 4…. m’apparaît très opérationnelle au sens où, comme je le suggère à notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

CE PREMIER TIRAGE AU SORT FAVORISE D’ABORD UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR CONSEIL MINICIPAL, QUE CE SOIT VILLE PAR VILLE OU VILLAGE PAR VILLAGE,

pouvant par la suite, DANS UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT, de l’élection des 125 justes, faire voter à leur tour leurs communautés réciproques dont les frontières sont reconnues universellement par le recensement officialisé sur lequel pourra s’appuyer les LGORITHMES pour gérer toute tricherie potentielle.

De là l’importance qu’un consortium de chaire universitaires de démocratie puisse, appuyé par financièrement par des fondations libres de toute ingérence étatique, orchestrer en toute justice et équité,

LA VOIX NANO-CITOYENNE-PLANÉTAIRE DU 21EME SIÈCLE, À TITRE DE CONTRE-POUVOIR PLANÉTAIRE AUX LUTTES ENTRE LES ÉTATS, SUICIDAIRES POUR L’ESPÈCE HUMAINE PARCE QUE NUCLÉAIREMENT ARMÉES.

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Marlene A. jardinière de la beauté du monde
Michel W. concierge de la beauté du monde
Pierrot V. vagabond de la beauté du monde