LE RÊVE BIG BANG OU LA QUINTESSENCE QUANTIQUE-EXISTENTIELLE-COSMOLOGIQUE DE L’ERRANCE POÉTIQUE SUR TERRE

Ce que j’aime d’une vie de chercheur ultra-discipliné, c’est l’intuition qui par une somme inouie de lectures analogiques, on puisse en arriver à provoquer un saut conceptuel qui fasse imploser par l’émergence d’une nouvelle matrice disciplinaire et les enjeux , et les apories des questions radicales intemporelles d’une contextualisation intellectulle sociétale.

Dans une suite symphonique de synchronicités SYNCHRONIVES, l’être quantique-existentiel-cosmologique crée une partition musicale et quasi téléologique d’un univers-forme vital.

La conscience de la personne humaine s’intrique grâce au champ quantique pur provoqué PAR LA NON-TRICHERIE FACE À UN RÊVE BIG BANG.

Allumer des rêveurs consiste donc à nettoyer le champ quantique d’une personne humaine pour que sa conscience devienne un vecteur complice d’une longueur d’onde 2.7k en incertitude créatrice avec la longueur d’onde quantique de -2.7k.

Bergson par son concept d’élan vital sous-entendant l’évolution créatrice était donc beaucoup plus près que Schopenhauer (la volonté comme fondement énergetique) de la nouvelle complexité planétaire-quantique cosmologique.

La preuve scientifique de l’intriquement quantique a révolutionné le potentiel philosophique quantique-cosmologique d’une vision créatrice de l’être humain dans sa résonnance avec les deux infinis infiniment énigmatiques.

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