AU 21EME SIÈCLE… LA DÉNATIONALISATION DU NANOCITOYEN RISQUE D’ÊTRE IRRÉVERSIBLE

Au 21ème siècle, la révolution intellectuelle de la quatrième séparation des pouvoirs (après la séparation des pouvoirs législatif, exécutif, judiciaire de Montesquieu, s’ajoute celle du pouvoir nanoplanétaire de l’équipe de recherche Auld-Woodart-Rochette), le nanocitoyen acquiert à la fois localement son identité civique performative (devenant écoresponsable de ville en ville et de village en village et cela partout sur la planète) et à la fois planétairement son identité civique nanodémocratique performative par tirage au sort.

Localement, cette conscience civique «vie personnelle œuvre d’art» permet parallèlement au nanocitoyen nanoplanétairement d’avoir une voix éthique-esthétique créolisant ( étiquette d’Edouard Glissantdans réinventant les attributs essentiels  du concept de  rhyzome de Deleuze Guattari) une masse critique de vies personnelles œuvre d’art de faire pression pour que chaque ÉTAT-NATION se recycle éco-planétairement en pays œuvre d’art.

Le passage d’une oppression des errants fantomatiques par les errants axiologiques sous les lois des états à une vie planétairement visant UNE ERRANCE POÉTIQUE COMME BIEN UNIVERSEL ACCESSIBLE À TOUS ET TOUTES devient l’objectif d’une philosophie politique conséquence de la séparation du nanocitoyen de tout géoétat qui cesse de parler en son nom pour favoriser les bien-nantis contre une masse de démunis en colère (conséquence aussi de la révolution technologique du téléphone cellulaire partout sur la planète)

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Pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge