LA QUATRIÈME QUESTION…. CELLE QUI FAIT LA DIFFÉRENCE ENTRE LE RÊVE CANADIEN ET LE RÊVE AMÉRICAIN.

EN QUOI TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Quand on analyse le rêve américain… qui se résume à passer de la pauvreté à la richesse… on peut lui accoler les trois premières questions du pays œuvre d’art.

1- Quel est ton rêve?
2- Dans combien de jours?
3- qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

Mais le rêve canadien lui s’ennoblit de la quatrième question:

4- EN QUOI TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Franck Scott, le brillantissime francophile mentor de Pierre-Eliott Trudeau, le père de Justin Trudeau s’était posé la bonne question:

COMMENT FAIRE DU CANADA UN PAYS OEUVRE D’ART?

Mais la conjoncture régionaliste des émotions primaires (race, langue, religion) avait enfermé les conditions d’intelligence philanthropique de la réponse dans un raisonnement binaire (multi-culturalisme versus mono-culturalisme) avec une tentative d’argumentation éthique (les droits de l’individu par la charte des droits et libertés en prédominance sur les droits de la collectivité (l’indépendance du Québec).

LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART PAR UNE MASSE CRITIQUE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART… est un concept de philosophie politique possédant la même intention de redessiner le contrat entre l’état et la nation que le concept de NATION ARC-EN-CIEL en Afrique du sud. En redéfinissant l’étiquette de nation de façon an-historique et constructiviste strict… en fonction de l’avenir, avec l’objectif de se libérer des chaînes de l’histoire aux multiples versions aléatoires variant d’un océan à l’autre selon les forces idéologiques s’affrontant au cœur du territoire.

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WIKEPEDIA… NATION ARC-EN CIEL

La nation arc-en-ciel (Rainbow Nation en anglais) est une notion inventée par l’archevêque Desmond Tutu afin de désigner son rêve de voir construire une société sud-africaine post-raciale. C’est aussi une façon métaphorique de penser la cohabitation des groupes, non par leur fusion mais juste par leur juxtaposition1. Critiquée pour sa symbolique, la notion, qui a succédé à celle voisine de société plurale développée sous l’apartheid, est restée un mirage au regard de l’évolution du pays.
La société plurale[modifier | modifier le code]

Dans le modèle d’apartheid traditionnel, l’Afrique du Sud était déjà présentée comme une société de nations possédant chacune sa propre culture2. À partir des années 1960, le concept de société plurale servit à définir la société sud-africaine pour justifier la séparation raciale3. Plusieurs auteurs étrangers comme Arend Lijphart et Samuel Huntington proposèrent des perspectives d’évolutions pour ce type de société telle l’Afrique du Sud4,5. Ainsi, à partir notamment des modèles suisses et allemands, Lijphart envisagea pour l’Afrique du Sud un modèle de démocratie consociationnelle c’est-à-dire un système politique basé sur l’association et le consensus des divers groupes sociaux, ethniques et politiques du pays6. C’est ce modèle qui aura la préférence de Frederik de Klerk et des dirigeants du parti national lors des premières négociations sur le démantèlement de l’apartheid au début des années 1990.

Inventée par l’archevêque anglican Desmond Tutu, le concept de « nation arc-en-ciel » est censé traduire l’association des différentes communautés d’Afrique du Sud en un nouvel ensemble. Imprégné de symboles religieux, elle constitue une nouvelle alliance (new covenant), un nouveau pacte fondateur succédant à celui des Afrikaners avec Dieu à l’aube de la bataille de Blood River en 1838. Elle évoque cette fois une alliance proposée par Dieu à tous les hommes en rupture avec la tradition calviniste et afrikaner de la prédestination7.

Cette mythologie introduite par un homme religieux sera instrumentalisée par les hommes politiques sud-africains qui y voient un instrument efficace de mobilisation sociale. Elle permet aussi par sa généralisation d’affirmer qu’il n’y avait pas de perdant dans la négociation qui mit fin à la domination blanche tricentenaire et que tous les Sud-africains, quelles que soient leurs origines et convictions politiques, opposés ou non à la séparation territoriale, sont des vainqueurs de la lutte contre l’apartheid7.

Dans ce contexte, la mise en place de la commission vérité et réconciliation concernant les crimes et exactions commis de part et d’autre, et présidée par le même Desmond Tutu, participe à la refondation symbolique de la nation sud-africaine et à la « survalorisation systématique des symboles et des mots »7. C’est ainsi que l’identité nationale sud-africaine tenta d’être repensée par une refondation symbolique et non par une rupture radicale. Aux anciennes catégorisations raciales furent affectées de nouvelles significations sociales aux opportunités nouvelles (urbains, ruraux, hétérosexuels, homosexuels ….). Parallèlement, les mots refondateurs tels que nation arc-en-ciel donnèrent naissance à d’autres concepts comme nouvelle Afrique du Sud pour désigner celle présidée par un président noir « ou miracle sud-africain » pour le bain de sang évité. C’est dans ce mode de fonctionnement que les deux hymnes nationaux, Die Stem (hymne des Blancs) et Nkosi sikelel ‘i Afrika (hymne des Noirs) sont combinés en deux couplets1. C’est dans ce même contexte que, dans un premier temps, plusieurs noms de provinces (KwaZulu-Natal), de villes (Pietersburg-Polokwane …) se voient associés d’un nom bantouphone. D’autres villes sont insérées dans de nouvelles municipalités au nom bantouphone (municipalité de Tshwane, Erkuhuleni)8.

La nouvelle Afrique du Sud va pendant un temps fonctionner sur l’image de Nelson Mandela, figure érigée en emblème fondateur par ses partisans nationaux et ses admirateurs étrangers comme, en France, Jacques Derrida7. La “mandelamania” qui se met alors en place est un palliatif rassurant pour des citoyens en quête d’identité dans le monde nouveau et incertain qui s’installe en Afrique du Sud en 1994. La notion de nation arc-en-ciel sert à combler le vide qu’a laissé la disparition de la pertience des anciennes catégories d’interprétation du monde sud-africain sans pour autant que celles-ci disparaissent concrètement7. Dans ce climat incertain, une permanence historique de la société sud-africaine telle qu’établie dans la période située entre la fin de la seconde guerre des Boers et la promulgation du South Africa Act et fonctionnant à la fois sur un certain double langage et sur des ressentiments opposés (espoir /désespoir, pessimisme/optimisme sur l’avenir), se révèle finalement plus forte7.

Les premières critiques de la notion ont fait valoir que le symbole de l’arc-en-ciel n’était pas cohérent avec sa supposée signification : Les couleurs de l’arc-en-ciel ne se mélangent pas et ne comportent pas la couleur noire7 ni la couleur blanche. Pour d’autres, la “Nation arc-en-ciel” n’est qu’un mythe. Selon le chercheur Vincent Darracq du Centre d’études d’Afrique noire de Bordeaux, les inégalités n’ont jamais été si fortes que dans la décennie qui a suivi l’invention de ce terme9. Dans son roman Chambre 207, l’écrivain sud-africain Kgebetli Moele dénonce aussi ce qu’il considère comme un mythe mais aussi l’ère Mandela.

Alors que le concept de Desmund Tutu est censé symboliser la réconciliation raciale et un avenir meilleur, le pays est aussi connu pour son insécurité qui cependant n’épargne ni les Noirs ni les Blancs. Selon les statistiques, plus de 219 000 attaques et près de 200 000 cambriolages à main armée ainsi que 19 000 meurtres, 52 000 viols et 20 000 tentatives de meurtre ont été enregistrés dans ce pays de 48 millions d’habitants en 2006. Et plus de 16 % de Blancs (qualifiés) ont quitté le pays. Selon une enquête publiée en décembre 2009, seuls environ 50 % des Sud-africains estiment que les relations entre les différents groupes raciaux dans le pays sont meilleures que durant l’apartheid et 46 % des Sud-africains affirment n’avoir jamais eu de rapports sociaux avec des personnes de race différente que ce soit dans leur propre maison ou chez des amis. Ainsi, les cérémonies privées (mariage, baptême ou obsèques) continuent de s’effectuer à l’intérieur d’un même groupe racial ce qui permet de dire que le rêve de la nation arc-en-ciel appelé de ses vœux par Desmond Tutu est encore un mirage10.

DE L’ERR(E)NCE POÉTIQUE À L’ESTHÉTISME POLITIQUE…. LA NATION DU CANADA PAYS OEUVRE D’ART LIBÉRÉE DES CHAÎNES DE L’HISTOIRE

Quand j’ai commencé à vagabonder le Canada pour allumer des rêveurs, j’étais inspiré par la question de Franck Scott, mentor de Pierre-Eliott Trudeau… COMMENT FAIRE DU CANADA UN PAYS OEUVRE D’ART?

Bien sûr, de longues années de recherche autant pragmatiques empiristes qu’idéalistes intellectuelles m’ont amené à saisir la différence entre trois errances (fantomatiques, axiologiques et poétiques).

La race, la religion et la langue sont des constructions sociales régionales permettant à des élites de la classe moyenne de s’emparer de pouvoirs politiques en abusant des émotions primaires du peuple.

Les droits de l’homme par contre, sont les premières constructions sociales issues de la pensée abstraite permettant à un état de redessiner géographiquement l’étiquette de nation pour qu’un pays puisse se géopolitiser selon des normes internationales.

Mais contrairement aux primitifs régionaux de la société morale (langue, race et religion) ou aux well-éducated nationaux de la société éthique (les droits de l’homme), les stricts constructivistes du pays œuvre d’art par des vies personnelles œuvre d’art sont directement issus de l’histoire de l’art et du passage de l’esthétisme à la philosophie de l’art ( le sublime de Kant, l’insolite de Baudelaire et l’indifférence des ready made de Duchamp ayant libéré l’œuvre d’art de toutes les règles sauf de celle qui fait que je décide que telle œuvre ou telle action est une œuvre d’art faisant de chaque personne humaine des artistes comme l’a prophétisé le performeur de fluxus, l’allemand Joseph Beuys).

Bien sur, le passage d’Aristote (la vertu), à Descartes (la raison) à Spinoza (le désir), Kant (la raison transcendantale) et Freud (le moi, le surmoi et le ça_comme cartes géographiques successives de de l’âme humaine a précédé et inspiré ma découverte de l’importance donnée au rêve individuel oeuvre d’art pour cimenter et le sens d’une vie et le sens de la vie et du  rêve d’un Etat-nation œuvre d’art du 21ème siècle.

La nano-démocratie devenant l’outil planétaire des conditions d’intelligence philanthropique, les États des nations-unis seront amenés peu à peu à considérer comme un crime contre l’humanité toute dysfonction reliée au code d’honneur marqueur du 21eme siècle, celui de faire en sorte que chaque personne humaine sur la terre ait un droit inaliénable à une vie personnelle œuvre d’art, avec à son service des forces harmonisées des états-nations œuvre d’art.

Cela m’apparaît le rôle d’un chercheur en philosophie politique par des recherches analogiques, de fonder les paramètres paradigmatiques des conditions d’intelligence philanthropique dont la planète terre aura besoin pour conscientiser sa vie future au-delà de la survie environnementale actuelle.

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Pierrot vagabond

LA LANGUE FRANÇAISE AU QUEBEC… PASSER D’UN BILINGUISME SOUSTRACTIF À UN BILINGUISME ADDITTIF

C’est en vagabondant le Nouveau-Brunswick cet été et en étudiant en particulier la socio-linguistique  défensive de Caraquet, que j’ai pu vivre le malaise d’une langue française soustractive… comme dans le dossier des autobus scolaires où l’on sépare les français des anglais pour protéger la culture francophone… quelle niaiserie au 21eme siècle… on se croirait dans le sud des États-Unis en 1950.

Quelle tristesse que la langue utilisée comme un gettho…. alors qu’ici à l’université Concordia, à la bibliothèque en particulier, le bilinguisme additif et même le trilinguisme additif possède la force et le parfum de la pertinence cosmopolitique, de l’envergure internationale comme de la joie de la différence comme celle de la méritologie par l’émulation….

Au 21ème siècle, la langue française fera partie d’un récit d’une nation progressiste et linguistiquement additive là où philosophiquement l’enjeu géopolitique en fera surgir le bien-fondé, comme à Vancouver, par exemple, l’apprentissage de la langue chinoise devient additivement un atout à l’anglais.

Il m’apparait essentiel dans le Canada pays œuvre d’art de vivre la langue régionale d’un océan à l’autre comme une force pour toute vie personnelle œuvre d’art désirant œuvrer à l’international soit en bilingue additif ou en trilingue additif.

La langue, utilisée négativement politiquement, comme la race ou la religion ne sert qu’à créer une clientèle d’arrière garde à des partis politiques conservateurs divisant pour régner, créant des ennemis intérieurs là où ils où on a tant besoin d’objectifs communs pour que chaque canadien puisse avoir une chance égale et solidaire en vue d’une vie personnelle œuvre d’art inspirée par un rêve personnel et cela dans la langue de son choix.

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Pierrot vagabond

LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART DU 21ÈME SIÈCLE… UN NOUVEAU CONTRAT ENTRE L’ETAT ET LA NATION

Qu’est-ce qu’un pays?
C’est la résultante d’un contrat entre un état et une nation.

Qu’est-ce qu’ un état?
C’est la structure permettant de taxer le vivre ensemble pour un mieux vivre ensemble.

Qu’est-ce qu’une nation?
C’est le récit consacrant le droit de taxer une collectivité.
Historiquement, ce récit fut basé sur la race, la langue et la religion.

Mais la mondialisation, l’immigration et les défis environnementaux obligent les États à réinventer le récit de la nation à partir d’un objectif prospectif délié de ses chaînes historiques.

LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART DU 21EME SIÈCLE est donc un Etat fondé prospectivement sur une nation œuvre d’art et non pas deux (deux peuples fondateurs), basée SUR LE RÊVE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, d’un océan à l’autre, FAVORISÉE incontournablement PAR UN ETAT RESPONSABLE ET SOLIDAIRE vis-à vis chaque vie personnelle œuvre d’art, qu’importe sa race, sa langue ou sa religion.

THE CANADIAN DREAM contrairement à l’Américan dream repose sur LE CAPITALISME DURABLE et non pas le capitalisme sauvage.

Au 21eme siècle, Une nation est donc un récit à reconstruire comme l’Afrique du sud l’a fait avec LA NATION ARC-EN-CIEL, thème constitutionnel issu d’une équipe internationale de chercheurs, comprenant entre autres la brillantissime philosophe Barbara Cassin.

La fin de l’histoire commence avec le constructivisme strict des chercheurs idéalistes pragmatistes en philosophie politique. Et en ce sens, dans une ère nano-moderniste, le parti québécois est devenu un rassemblement mort-né d’une idéologie du 19ème siècle, dont le bloc québécois en illustre le mieux la déchéance philosophique et linguistique.

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Pierrot vagabond

LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART… LES ETATS-UNIS PAYS OEUVRE D’ARGENT

Richard Nixon
par Antoine Copolliani
librairie Arthème Fayard, 2013
p.35

A la fin du 19ème siècle, Horatio Alger, un prolifique pasteur new-yorkais avait vanté les miracles de l’ascension sociale dans plus d’une centaine de livres aux titres évocateurs: LA GLOIRE ET LA FORTUNE, UN SIMPLE PETIT IRLANDAIS, ou encore LE PETIT TÉLÉGRAPHISTE. L’idée optimiste que l’esprit de libre entreprise, voire le capitalisme sauvage, donnaient à chacun une chance de s’élever et d’atteindre le bonheur aussi simpliste fût-elle, était au cœur du mythe américain.

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Le Canada pays œuvre d’art du 21eme siècle se construira sur des conditions d’intelligence philanthropique basées non pas sur le capitalisme sauvage, non pas sur l’enrichissement de quelques-uns au dépens de la majorité, mais sur un capitalisme de solidarité où le rêve- VIE-PERSONNELLE-OEUVRE D’ART de chaque citoyen œuvre d’art prendra soin du rêve d’un plus fragile, dans un droit international prônant la solidarité plutôt que la liberté ou l’égalité.

Le rêve américain est basé sur le capitalisme sauvage comme le rêve canadien sera basé sur LE CAPITALISME DURABLE ET SOLIDAIRE.

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Pierrot vagabond

LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART… UN CONTRAT PRAGMATIQUE ENTRE L’ÉTAT ET LA NATION OEUVRE D’ART

La stratégie contextuelle de mon doctorat…. dans son angle politique se dessine peu à peu.

Il n’est pas anodin d’argummenter que dans l’histoire de l’humanité, l’ÉTAT…. COMME STRUCTURE…. A PRÉCÉDÉ LA NATION COMME CIMENT INCONTOURNABLE DE CETTE STRUCTURE.

Louis X1V par exemple, dans une vision de l’Etat absolutiste (l’Etat c’est moi) a du systématiquement unifié le territoire, fragmenté en différents dialectes, par la langue française, au point où Versailles unissant l’état et la langue est devenue une modélisation pour les cours de Russie, d’Angleterre et d’Allemagne où le français est devenu la norme internationale.

Bien sûr, L’Etat depuis quelques siècles a utilisé la langue, la race, la religion, les droits, pour trouver un dénominateur commun.

Le Canada, contrairement aux États-Unis où le rêve américain s’EST ARCHITECTURÉ SOCIÉTAIREMENT AU CREUX DU MELTING POT, s’est trouvé HISTORIQUEMENT divisé entre une identité basée sur la langue et celle basée sur les droits des différentes ethnies.

L’état canadien de par sa singularité, m’apparaît le premier qui peut se permettre le luxe de se redéfinir comme un ETAT OEUVRE D’ART, de par sa nation pos-modernisée et nano-démocratisée de vies personnelles œuvre d’art.

LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART, c’est le sénat de demain, des hommes et des femmes comme Michel le concierge qui, de par leur passion de servir l’autre par leur vie personnelle œuvre d’art, rêvent d’en témoigner institutionnellement.

QUAND UN CONCIERGE DEVIENDRA SÉNATEUR, parce qu’il a fait de son amour pour sa femme une oeuvre d’art, parce qu’il en est découlé un documentaire d’une heure sur LE PAYS OEUVRE D’ART, le Canada s’en trouvera grandi et lançé dans l’humanisation d’une planète œuvre d’art, telle que vue de l’espace par les astronautes ayant marché sur la lune.

Justin Trudeau m’apparaît ce visionnaire dont l’ÉTAT CANADIEN a besoin pour faire de l’autochtone comme du concierge un citoyen œuvre d’art d’une nation en célébration de son avenir plutôt qu’une nation en perte d’âme rongée parla rancoeur issue de son passé déchiré.

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Pierrot vagabond.

FORMULE COSMIQUE DE L’ÂME PHILANTHROPIQUE….W-T=2.7K

Je viens de lire dans le Devoir au sujet de GUY LACHAPELLE, professeur de science politique à l’Université Concordia, secrétaire général de l’association canadienne internationale de science politique…

Informations biographiques

Guy Lachapelle est professeur titulaire (1996) au département de science politique de l’Université Concordia. Il est coordonnateur des relations avec le gouvernement du Québec au bureau du vice-recteur aux affaires institutionnelles de l’université Concordia. Il est a été président de la Société québécoise de science politique (1996-1997) et co-responsable du Congrès mondial de science politique qui a eu lieu à Québec en 2000. Il a été membre de l’exécutif de l’Association internationale de science politique (1997-2000) pour être ensuite élu secrétaire général (2001-2004). Il a obtenu un doctorat en science politique de l’Université Northwestern – Evanston, Illinois (1986) et une spécialité en analyse des politiques et en méthodologie d’évaluation.

Il a publié plusieurs ouvrages, dont Claude Ryan et la violence du pouvoir (Québec, Presses de l’Université Laval, 2005 ), Robert Bourassa : un bâtisseur tranquille , avec Robert Comeau, (Québec, Presses de l’Université Laval, 1993), Globalization, Governance and Identity , avec John Trent, (Montréal, Presses de l’Université de Montréal, 2000), Le processus budgétaire au Québec , avec Luc Bernier et Pierre P. Tremblay (Québec, Presses de l’Université du Québec, 1999), Québec-Canada : nouveaux sentiers vers l’avenir, avec John E. Trent et Robert Young (Ottawa, Presses de l’Université d’Ottawa, 1996), The Québec Democracy: Institutions, Structures, and Policy Process , avec Gérald Bernier, Daniel Salée et Luc Bernier (Toronto, McGraw-Hill/Ryerson, 1993), Politiques provinciales comparées , avec Jean Crête et Louis M. Imbeau (Québec, Presses de l’Université Laval, 1994), L’impact référendaire avec Pierre P. Tremblay et John E. Trent (Québec, Presses de l’Université du Québec, 1995). Il est également l’éditeur de l’ouvrage Quebec Under Free Trade: Making Public Policy in North America (Québec, Presses de l’Université du Québec, 1995). Il a mené une étude sur les sondages d’opinion pour la Commission Lortie sur la réforme électorale et le financement des partis politiques: Les sondages et les médias lors des élections au Canada – Le pouls de l’opinion (Dundurn Press, 1991).

Il a également plusieurs contributions à des revues scientifiques dont Publius, la Revue canadienne de science politique, la Revue québécoise de science politique, Québec Studies, Canadian Journal of Program Evaluation, Éthique publique, Politique et Sociétés . Il est sollicité régulièrement par les médias pour des commentaires sur les élections et la politique québécoise et américaine. Ses travaux récents portent sur les théories de l’opinion publique, l’analyse comparative du comportement électoral et les politiques publiques québécoises.

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Comme je travaille depuis plusieurs années sur le rapport entre la vie personnelle œuvre d’art et le pays œuvre d’art, sous l’angle de quatre questions qui permettent à une âme philanthropique de vivre son rêve sous une formule cosmique WOW-T=2.7K
J’AIMERAIS BIEN UN JOUR LUI PARLER DE MES RECHERCHES. Si jamais la vie fait qu’il me croise au 4eme étage de la bibliothèque de Concordia…

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Après avoir consacré 3000 pages de lectures à Bergson, Sloterdijk et les astronautes qui ont marché sur la lune, je reprends où j’en étais rendu avec mes présidents américains, le 4eme livre de Caro sur Johnson….

J’arrive maintenant à lire mes 400 pages par jour…. je dois l’expressionÂME PHILANTHROPIQUE À mICHEL LE CONCIERGE, MON PARTENAIRE DE RECHERCHE… vraiment, j’apprécie terriblement nos dialogues du matin…

Pierrot vagabond

1-CITATIONS ASTRONAUTES IER VAGABONDS CÉLESTES DE L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ

LIVRE
j’ai été le dernier homme sur la lune
Neil Amstrong, Alan Shepard Eugène Cernan
altipresse, septembre 2010

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p.188

«Ici Gemini 9, on va faire une promenade» ai-je dit à tout le monde. (1965)
Lorsque l’écoutille a été ouverte en grand, j’ai à peine poussé sur le sol de la cabine que ma combinaison s’est dépliée de la position assise. J’ai attrapé le bord de l’écoutille et je me suis redressé pour tenir debout sur mon siège. La moitié de mon corps était dehors et j’avais l’impression d’être un clochard passager clandestin sur un wagon de marchandises, en attendant que le soleil se lève sur la Californie.
Et oh mon Dieu! qyelle vue. Rien ne m’avait préparé à l’immense charge émotionnelle. J’avais mis la tête dans un kaleidoscope où les formes et les couleurs changeaient mille fois par seconde.

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p.253

A 20.11, heure de Houston, et après avoir été en orbite toute la journée, ils sont apparus derrière la face cachée de la lune rétablissant le contact radio et télévisuel alors qu’ils se rapprochaient de la terre en cette veille de Noel comme sortis du livre de la genèse. « Au début il y avait…» cela nous donnait l’impression d’assister au premier jour d’une nouvelle ère.

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p.282

Certains astronautes ont décrit le voyage vers la lune comme une extension naturelle du vol. Je suis là pour dire que c’est faux. Lorsque vous quittez l’orbite terrestre, il y a une rupture totale avec ce qui vous est familier, avec ce que vous connaissez, et avec les choses sur lesquelles vous avez toujours compté en tant que pilote. Ce truc qui vous secouait le cerveau et le reste était une percée soudaine dans le domaine des essais, où le boulot du pilote consiste à pousser un appareil aux limites de son domaine de vol et à trouver des réponses à des questions prédéterminées. Mais ici, confrontés à cet environnement hostile et nouveau où il n’y a pas d’horizon, pas de haut ni de bas, et où la vitesse et le temps prennent une autre signification, non seulement on ne connaissait pas les réponses, mais même les questions étaient inconnues.

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p.290

Une des conséquences de mes voyages spatiaux est que je suis devenu bien plus philosophe, parfois incapable de me concentrer sur des problèmes mineurs sur terre. parce qu’ils semblent trop minimes en comparaison à ce que j’ai vécu dans ces endroits où je suis allé. Mes compagnons astronautes qui sont allés sur la lune ont éprouvé à des degrés divers le même trouble; nous avons cassé la matrice habituelle de la vie, ET CE N’EST PAS RÉPARABLE.

…. Il y a des étoiles et du noir à l’infini ici… Je ne suis pas quelqu’un de très religieux, mais je suis croyant, et lorsque j’ai regardé autour de moi, J’AI VU DE LA BEAUTÉ ET PAS DU VIDE. Personne sain d’esprit ne peut assister à ce spectacle et nier la spiritualité de l’expérience, ni l’existence d’un être suprême, que Dieu soit Bouddha, Jésus-Christ ou n’importe quel autre. Quelqu’un, une personne, une force a placé notre petit monde, notre soleil et notre lune là où ils sont dans le noir et le schéma défit tout sens logique. C’EST SIMPLEMENT TROP PARFAIT ET TROP BEAU POUR QUE CELA SOIT ARRIVÉ PAR ACCIDENT….. car il y avait vraiment des moments où sincèrement je sentais que je pouvais toucher de la main, exactement comme il le disait, le visage de Dieu.

Le monde entier était sur le qui-vive lorsque l’heure du TEI a approché, car tout le monde savait que la vie d’astronautes était en jeu alors que Noel commençait.

LA TERRE VUE DE L’ESPACE… IERE CONDITION D’INTELLIGENCE PHILANTHROPIQUE, ÉLÉMENT CLÉ DE MA STRATÉGIE CONTEXTUELLE….

Plus je lis… plus il me semble que ma question de doctorat…

QUELLES SONT LES CONDITIONS D’INTELLIGENCE PHILANTHROPIQUE NÉCESSAIRES AU SURGISSEMENT DU IER PAYS OEUVRE D’ART SUR LA PLANÈTE?

—- impose une variable…. Quand l’homme a marché sur la lune, il a vu de l’espace la planète terre comme une œuvre d’art, donc la planète terre s’impose comme le ier pays œuvre d’art…

UN PETIT PAS POUR L’HOMME, UN GRAND PAS POUR L’HUMANITÉ…

En conséquence de quoi, je suis tenté de rétrécir mon cadre théorique de 1969 à 2016, en tenant compte seulement de ce qui a été vécu dans l’espace, avec l’hypothèse forte que LA TERRE VUE DE L’ESPACE s’impose comme la iere condition d’intelligence philanthropique NÉCESSAIRE AU SURGISSEMENT DU IER PAYS OEUVRE D’ART S’ÉTENDANT SUR LA PLANÈTE ENTIÈRE….

Je fonce en ce sens… si c’est pertinent, je commencerai à prendre des notes, et ramasser des citations….

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Pierrot vagabond

OBJECTIF POUR 2016, UNE CONSTITUTION INTELLECTUELLE REMARQUABLE

Je suis très fier de mon année de vagabondage 2015…. la bibliothèque de l’UQAM en histoire de l’art de janvier à juin, puis le Nouveau-Brunswick de juin à septembre avec en prime la bibliothèque du parlement de Fredericton et enfin la bibliothèque de l’université Concordia en philosophie politique en anglais de Septembre à Janvier. J’ai augmenté mon nombre de pages lues par jour et cela systématiquement (entre 200 et 400).

MON OBJECTIF POUR 2016…. je me prépare par des lectures pertinentes et intenses en intelligence philanthropique pour mon inscription au doctorat à l’université Laval de Québec à la chaire de philanthropie.

MA QUESTION DE DOCTORAT SERA: Quelles sont les conditions d’intelligence philanthropique nécessaires au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète?.

Ma stratégie contextuelle autant que ma méthodologie inductive d’argumentation se modélisera sur celle du philosophe Peter Sloterdijk.

En conséquence de quoi…. je fonce vers mon objectif…. FAIRE VOYAGER LES 4 QUESTIONS EN ÉQUIPE de façon à ce que l’équipe reçoive un diplôme… Michel et Marlène par leur documentaire et Simon Gauthier par son spectacle du vagabond céleste.

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Pierrot vagabond