Les archétypes de Michel le concierge et Pierrot vagabond … deux chansonniers de l’âge d’or du Vieux Montréal que fut le café St-Vincent au début des années 70, puis des Pierrots deux Pierrots à partir de 1974 … …. EN MODE D’AMITIÉ OEUVRE D’ART …. dans l’épopée d’une AB-DÉE (une ab-dée est la partie onérique multiversielle d’une idée en action) …… par le vagabondage… soit celle d’ensemencer le territoire …. de vies personnelles oeuvre d’art ….. en vue d’un pays oeuvre d’art …. par l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire…. et cela …. par une rhyzomisation marchée ab-ductivement ….. de quatre questions aspirées par un ab-cept …. ab-jeur (l’abcept ab-jeure partie onérique d’une majeure axiomatique onérique …),,,,,,,, ( en conséquence de quoi ………………… l’abcept est la partie onérique d’un concept) …. SOIT…. UN RÊVE BIG BANG …. qui est d’abord un ab-ceptuel multiversiel trans-kantique..
4 questions pour votre rêve… – AIME IMAGINE DESIGN (mylenelehoux.com)
Fred Pellerin ensemençant à la télévision (art-t.v.) À L’ÉMISSION DE FRANCE BEAUDOUIN…… l’imaginaire onérique de son public par les 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art ….. de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)
LE CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER CONTANT SUR SCÈNE L’ÉPOPÉE DES QUATRE QUESTIONS DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD,ROCHETTE) DANS SON RÉCIT PHILOSOPHIQUE… LE VAGABOND CÉLESTE…. AVEC PLUS DE 150 PERFORMANCES À TRAVERS TOUTE LA FRANCOPHONIE EN 7 ANS.
1: QUEL EST TON RÊVE?
2: DANS COMBIEN DE JOURS?
3: QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE?
4: COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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UN JOUR UN OU UNE RÊVEUSE-MÉCÈNE VIENDRA À NOUS ET NOUS DIRA… J’AIME VOTRE RÊVE OEUVRE D’ART DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SUR LEQUEL TRAVAILLE VOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)…. DEPUIS 14 ANS MAINTENANT ….
COMMENT ÇA COÛTE?
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Pierrot vagabond céleste, de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) en philosophie politique … sur la nano-citoyenneté-planétaire, le pays oeuvre d’art et la vie personnelle oeuvre d’art
Marlene la jardinière, de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) en philosophie politique …. sur la nano-citoyenneté-planétaire, le pays oeuvre d’art et la vie personnelle oeuvre d’art
Michel le concierge de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), en philosophie politique …. sur la nano-citoyenneté-planétaire, le pays oeuvre d’art et la vie personnelle oeuvre d’art
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REAL TIME NET WORTH
Mukesh Ambani a fait construire pour son usage personnel un immeuble de 27 étages, « Antilia », considéré comme la résidence privée la plus chère du monde, évaluée à 1 milliard de dollars.3
Il dépense 100 millions de dollars pour le mariage de sa fille avec le fils d’un grand patron en ; parmi les invités figurent notamment les anciens secrétaires d’État américains Hillary Clinton et John Kerry4.
Décrit comme un ami proche du Premier ministre Narendra Modi, il serait l’un des principaux bénéficiaire de la réforme visant à libéraliser l’agriculture5‘2.
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JE TE DEMANDE PARDON
Michel le concierge et sa chanson-manifeste de la nano-citoyenneté-planétaire… Je te demande pardon
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JE TE DEMANDE PARDON
COUPLET 1
S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau
S’il m’arrive de prendre trop de place trop souvent
Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie
Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit… Je te demande pardon…
Je te demande pardon…
COUPLET 2
Si je vagabonde céleste tout autour de la planète
Si je suis parti sans avis au détour de nos vies
Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri,
Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…
COUPLET 3
Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici
Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie
Si je suis révolté parce que je suis enchaîné
Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…
COUPLET 4
Et si je le savais tout ce temps que je te volais…
Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais…
Je n’ai pas d’âme pas de cœur aujourd’hui je le dis…
Je veux changer de vie et d’amour te dire merci
Je te demande pardon…
Je te demande pardon….
Chanson-manifeste de la nano-citoyenneté-planétaire
Michel le concierge
TITRE DU DOCTORAT OEUVRE D’ART DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) … JE TE DEMANDE PARDON
JE TE DEMANDE PARDON…, à toi qui, comme des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, se meurt, jour après jour, de faim ou de blessures de guerre, et cela, au nom des 193 états hobbiens onusiens qui, sous la féodalité de monarchies nucléaires, font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant TON DROIT MULTIVERSIEL à une vie personnelle œuvre d’art par un rêve big-bang.
JE TE E DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui, depuis plus de 14 ans maintenant, cherche à répondre à la question suivante : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?
JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui S’ACHARNE à déployer concrètement L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, dans le but de contribuer à la déshobbiation de l’O.N.U. Par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents « wow-t=2.7k? » , si possible avec la complicité de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec) , nous validerons politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (39 femmes et 39 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement toi et les centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques qui souffrent de la même criminalité étatique banalisée que toi.
Dans ce doctorat, PAR UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-ŒUR (ier chapitre), le premier à te demander pardon sera moi, Pierrot vagabond (2eme chapitre le rêve big bang), puis mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge (3eme chapitre la non-tricherie), pour enfin laisser la parole à sa compagne œuvre d’art, Marlene la jardinière (4eme chapitre, ses jardins coups-de-coeur œuvre d’art).
Pourquoi nos trois archétypes hologrammiques veulent-ils tour à tour te demander pardon? Parce que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) veut parler au cœur de l’humanité (5eme chapitre) et non à sa raison. Par le biais d’une CHANSON – MANIFESTE, nous affirmons que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire doit s’accompagner d’un « JE TE DEMANDE PARDON » , en corollaire de la décision de ne plus tricher par chaque vie-personnelle-œuvre-d’art consacrée à l’ultime question :
COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? (4eme et dernier chapitre).
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L’intelligence artificielle a désormais son quartier général à Montréal
Le fondateur de Mila, Yoshua Bengio, est chercheur en intelligence artificielle et professeur titulaire à l’Université de Montréal.
L’inauguration officielle du nouveau Mila, l’Institut québécois de l’intelligence artificielle, a eu lieu lundi matin en présence de tout le gratin politique, économique et universitaire de Montréal et du Québec.
« Il y a près de 700 personnes qui vont s’installer dans les 90 000 pieds carrés de Mila, a fait valoir sa présidente-directrice générale, Valérie Pisano. Trois cent cinquante chercheurs, des professeurs et des étudiants gradués voués à la recherche, une centaine d’étudiants de notre nouvelle maîtrise professionnelle, 60 employés et environ 150 collaborateurs industriels. »
L’immense complexe de 90 000 pieds carrés dans le secteur du Mile-Ex, aux portes de La Petite-Italie, comprend des laboratoires et des installations pour la grande entreprise et pour une vingtaine de jeunes pousses, dont la moitié sont des entreprises étudiantes.
Le Mila existe depuis 1993 au sein de l’Université de Montréal, mais il a pris un nouvel envol en 2017 avec le regroupement des forces de l’Université McGill, de HEC Montréal et de Polytechnique spécialisées dans les domaines connexes.
Le professeur Yoshua Bengio, fondateur de Mila (qui était à l’origine l’acronyme de Montreal Institute for Learning Algorithms) et directeur scientifique de l’Institut, a fait valoir que ce regroupement dans un espace partagé avait un fort pouvoir attractif, essentiel à l’avancement de la science.
« Les laboratoires industriels attirent d’autres chercheurs, et les chercheurs, ce qu’ils veulent, c’est de collaborer avec d’autres chercheurs qui sont très forts. Cette masse critique est essentielle pour faire venir d’autres chercheurs. Elle est aussi essentielle pour faire venir d’autres entrepreneurs, parce qu’ils veulent aussi s’associer avec les meilleurs chercheurs », a-t-il dit.
Ce genre de regroupement génère un bouillon d’innovation collaborative et permet d’ouvrir des avenues dans des domaines plus larges que ceux des différentes spécialisations lorsqu’elles travaillent en vase clos.
La mission de Mila touche la recherche fondamentale, la commercialisation et l’application des technologies en intelligence artificielle, de même que la création de nouvelles entreprises.
Un volet de l’approche de l’Institut vise également à établir les paramètres pour le développement d’une intelligence artificielle (IA) socialement responsable, un élément qui reflète les inquiétudes entourant les progrès fulgurants de ces technologiques et leur impact sur l’être humain et la société.
Plusieurs intervenants à l’inauguration de lundi ont fait référence à ce volet, dont le ministre de l’Économie et de l’Innovation, Pierre Fitzgibbon, qui a souligné l’importance d’un développement éthique de l’intelligence artificielle.
Le ministre s’est toutefois montré prudent quant à une éventuelle signature par son gouvernement de la Déclaration de Montréal pour un développement responsable de l’intelligence artificielle, lancée en novembre 2017, notamment en raison d’une possible disparité avec des pays qui poursuivraient un développement vigoureux de l’IA sans se soucier des questions éthiques.
« L’aspect social de l’intelligence artificielle est très important, il faut un cadre éthique », a d’abord répondu M. Fitzgibbon. Pressé de dire si son gouvernement allait signer le document, il a laissé entendre que la Déclaration était insatisfaisante dans sa forme actuelle. « Il y a peut-être des changements qu’on veut faire, mais on est dedans maintenant. On le regarde, mais on doit avoir un cadre international », a-t-il expliqué.
Pierre Fitzgibbon a par la suite reconnu que le Québec et tout autre pays signataire d’un engagement éthique pourraient se retrouver en position concurrentielle désavantageuse face à d’autres qui n’auraient pas de tels scrupules.
Le gouvernement précédent avait alloué en 2017 une centaine de millions de dollars à Mila sur plusieurs années. Le ministre Fitzgibbon a confirmé que cette enveloppe était toujours là et qu’il en reste 80 millions pour les cinq prochaines années.
Mila a également obtenu un financement de 44 millions de dollars de CIFAR, un organisme à but non lucratif financé par le gouvernement fédéral ainsi que par quatre gouvernements provinciaux, dont le Québec, à qui Ottawa a donné le mandat de « mettre au point et de diriger la Stratégie pancanadienne en matière d’intelligence artificielle ».
Une autre part des fonds de Mila provient du secteur privé, qui occupe une place importante dans l’Institut. Les détails de ce soutien privé ne seront toutefois connus que lorsque l’organisme rendra publics ses états financiers.
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Michel Woodard, inventeur de la philosophie d’en bas, avec ce remarquable aphorisme …. extrait de son CARNET DU CONCIERGE:
688, ****************************
Et Michel le concierge de poursuivre au travers de mes rires gargantuesques (Pierrot) :
«MERCI POUR TA DISPONIBILITÉ… VOICI MAINTENANT TOUTES TES MÉDAILLES AU CAS OU ON NE TE REVOIE PAS».
Michel le concierge, le carnet du concierge.
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20 DÉCEMBRE 2020…
L’ÉPOPÉE DE MA VIE AB-FFECTIVE À PARTIR DES CHANSONS OEUVRE D’ART QUE JE LISAIS EN LES CHANTANT DANS MON CAHIER SUR SCÈNE ….
Comme je suis reconnaissant à la vie d’avoir eu accès à des fascinantes aussi intelligentes qu’élancées qui venaient m’entendre chanter soir après soir au petit café St-Vincent du Vieux-Montréal sous la bienveillance poétique du poète Paul Gouin et de Madame martin….
Se plonger dans les textes poétiques des plus belles chansons sans les apprendre par K- oeur donne à ta voix une forme d’absence qui colore la scène d’ab-ternité… aujourd’hui, je dirais avec des mots qui me viennent d’une vie de recherche théoritique sur l’île de l’éternité de l’instant présent …. que je fus visité par des attaques d’être que je visitai à mon tour par des brosses d’être, grâce à une énigme qui s’appelle la fissure du temps… Cette gare oèu la poésie se donne rendez-vous en contrebande…. de la vie , de ses misères ontiques, de ses drames de la facticité inquiète,,,,
C’était tellement incroyable… J’arrivais du japon, d’Osaka…. ou avec les Contretemps, après avoir gagné le championnat nord-américain des groupes de folklores collégiaux, nous représentions le canada…. ma vie était terminée… et je le pense encore aujourd’hui … la suite ne fut qu’une longue contemplation métaphysique autant que philosophique sur la nature d’un rêve…. Qu’est-ce qui fait que le rçeve de représenter le canada à l,exposition dosaka que j’avais eu pendant expo 67 s’était réalisé … alors que les Contretemps n’existaient même pas, , que je ne savais pas encore jouer de la guitare…
Avec les mots d’aujourd’hui, je dirais qu’un rêve big bang venu du multivers lui-même prenait soin de moi par des micro-événements de synchro-ni-vie-tés parce que je m’interrogeais sans cesse sur les pourquoi du pourquoi?
Je me rend compte aujourd’hui que ma vie ab-ffective fut une épopée du multivers en soi…. Mais qu’est-ce que la vie ab-ffective? C’est cette énigme venant de la station spatiale du k-oeur ou les seuls événements transgrammiques qui scintillent comme les cailloux du petit poucet au clair de lune sont les débris de la mémoire du k-oeur….
Les affects viennent du corps …. (colère, haine, envie, jalousie) Les ab-ffects, du k-oeur sous la douce énigme d’un rêve big bang qui ne cesse d’illuminer l’horizon de son ab-sence … provoquant des rencontres ab-ceptuelles (l’ab-cept étant la partie onérique d’un concept, sa forme dansante dans la gare même de la fissure du temps, matrice de tout socle ab-jetal portant l’unicité de la beauté du monde, comme une feuille danse pour son arbre, comme son arbre danse pour la forêt, comme la forêt danse pour la forêt des étoiles dans le ciel)….
En ce moment, j’écris très vite… sans rature… Gaelle dort dans le sofa de son atelier de métaphysique… nous bossons nuit et jour pour nos métaphysiques respectives…. Elle est la somme de toutes les fascinantes que j’ai connu dans ma vie…. Incroyable…. qui aurait pu dire que j’aurais eu accès à un tel onérisme sans faille ….
Les peintures de Modiagliani me semblent traduire exactement ce que fut ma vie ab-ffective…. une suite de débris de la mémoire du k-oeur revécus en chansons sur scène.
Ce qui se passait dans mon k-oeur pendant que je chantais ou pendant que je réécrivais mes cahiers de chansons la nuit avec mon vieux dactylo dans ma petite chambre du Vieux Montréal, cela me suffisait…. Pour moi c’était ça la vie… de la poésie de chansons en chansons comme quand on traverse une rivière en sautant sur les pierres en se disant… je ne vieillirai jamais…
Effectivement, je me rappelle avoir crié cette phrase au vent quand je marchais la voie ferré longeant la rue Gouin de mon enfance à La Tuque… Je ne vieillirai jamais… Je ne vieillirai jamais…. c’est peut-être ça la vie ab-ffective…. l’ab-sence de peur de vieillir… l’ab-sence de peur de mourir
FUT CONSACRÉE MYSTIQUEMENT À L’AMOUR POÉTIQUE…
Je viens de me réveiller après un sommeil d’un profond enseignement…. Et , dans cet atelier de mtaphysique extraordinaire qu,est la nuit de poésie quand la danse de l’onérisme se signe, on ou je m,a donné le sens du mot fascinante… Une fascinante est celle qui déclenche chez moi la poésie de la fascination…. Mais tout n’est pas si simple…
J’expliquais à Gaelle qui elle aussi venait de pîquer un petit somme après un formidable audio sur ses avancées conceptuelles en mtapjysique de la raison cosmétique dont nous avons fait un audio d’une heure et que je transcrierai cette nuit, que j’ai eu accès à la fissure du temps parce que mon artisanat poétique sur la petite scène du café St-Vincent était de courber le temps par le biais d’une série de chansons sous l’orchestration poétique de Paul Gouin qui habitait tout en haut….
De ma petite scèene du café St-Vincent, je suis devenu un poète de la courbure du temps, surtout que j’arrivais du Japon avec la certitude que ma vie ontique (dans les mots d’aujourd’hui) ne me serait jamais plus accessible… parce que j’avais connu par la réussite de mon rêve big bang l’île de l’éternité de l’instant présent, sont l’onti-kha-tif dans sa danse poétique la plus impossible.
Je n’ai qu’à fermer les yeux et Je vois la terre ronde…. et sur cette terre ronde… une gare qui par des chanson rend possible à l’accès à la fissure du temps.
Le plus fou c’est qu’il avait les portes de garage ou sur notre gauche, de la scène, on vivait la poésie de la rue…. des personnes humaines marchaient dans la ruelle des peintres, passaient devant la fenêtre du café, s’approchaient puis soudain décidaient d’entrer pour écouter… Il y en avait de toutes les générations….
Et c’est dans la porte même du café St-Vincent que soudain, comem un événement de l’île de l’éternité de l’instant présent. … se présentait une fascinante….
Et la courbure du temps de la suite de mes chansons dont je ne savais jamais d’avance laquelle viendrait enchanter le temps du temps lui-même devenait une forme hologrammique en elle-même d’une très brande majesté….
Je me rappelle par exemple quand , celle que j’appelle Lola la bi-sexuelle dans mon roman l’île de l’éternité… entrait dans la porte du café… certains soirs, elle était habillée en homme et certains soirs en femme…. Chacune de ses entrées constituait en elle-même un événement onti-kha-tif qui suscitait chez moi une poésie de la fascination…
La fascination est une énigmatique forme de la contemplation dans laquelle tout devient décors figé d’un onti-ke qui s’endort pour donner aux cieux des impossibles soudain un enchantement imprévu…
De la scène, c’est encore plus foudroyant …. et les doigts sur les cordes de guitare deviennent poésie du temps, et la voix dans le filet tendue de la chanson devient tout château d’intériorité… La scène n’existe plus, le chanteur non plus, la fascinante non plus… n’existe que la marche onérique vers la fissure du temps….
Le café St-Vincent , soudainement , entre deux courbures du temps par une chanson, se fait fraîcheur…. cette fraîcheur qui lentement , eupĥoriquement, annonce soit l’arrivée de l’attaque d’être, toute en douceur , toute en bienveillance et toute en humanité oeuvre d’art, pour rendre visite au silence d’une vie personnelle oeuvre d’art en contemplation de l’impossible, soit la brosse d’être de la personne humaine elle-même qui soudain se fait or dans l’or de la beauté que l’or du monde soit possible… et soudain… la marche de l’enfant nu dans la courbure du temps vécue comme un manège enchanté a lieu… la poésie de la fascination par le déclenchement d’une fascinante elle-même provoque cela…
En ce moment, j’écris à pleine vitesse, en écriture automatique pour ne pas trahir ce que mon sommeil m’a enseigné… Gaelle est partie prendre une marche métaphsyque… d’habitude je l’accompagne… mais comme je lui ai dis… je vais en profiter pour décanter… et tenter de traduire la beauté du monde qui est venue me dire… bon réveil … cher philosophe …. pendant que je dormais…
L’amour poétique fut vécue sous sa forme onérique, onti-kha-tive entre deux déclenchements de brosses d’être ou d’attaques d’être… comme je disais à Gaelle… la petite scèene du café St-Vincent a fait de ma personne un handicapé de l’ontique et un poète philosophe de l’onti-kha-tif sur terre.
… DES FASCINANTES SCULPTÉES UNE À UNE …. HOLOGRAMMIQUEMENT…. DANS LA GARE ONTI-KHA-TIVE MÊME DE LA FISSURE DU TEMPS ET STYLISÉES … UJNE À UNE … AU K-OEUR DE L’ÉCRITURE MÊME DES 100 CHANSONS COMPOSÉES PAR L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE PIERROT LE VAGABOND CÉLESTE DURANT LES NUITS ET JOURS DE SES VAGABONDAGES …
Je commence à comprendre peu à peu que je ne pouvais accepter que Pierre Rochette soit cette entité qui reçoive la poésie de la courbure du temps… Cela m’a pris du temps à comprendre que Pierrot le vagabond céleste était cet archétype hologrammique qui respecterait le plus la po.sie de la fascination sculptée par les fascinantes qui tour à tour sont venues enchanter ma vie personnelle oeuvre d’art.
Comme cette peinture de Modigliani me rappelle Suzanne, cette exceptionnelle fascinante poète , qui écrivait des chansons, qui un jour se présenta à la bibliothèque alternative de Recy-clo-livres ou je squattais dans une pauvreté la plus absolue, en dormant dans la cave sur une table , entre des milliers de livres, abrillé par un drap de peinture tout taché…
Elle était d’une grande beauté, élancée, un cygne, mais surtout, les yeux mêmes de Lola , la bi-sexuelle du café St-Vincent… Instantanément, elle a vu en moi le poète de la courbure du temps…
Elle s’étendait sur ma table ou je dormais, que je tirais un peu pour pouvoir tourner autour assis sur ma chaise roulante… je la massais en fermant les yeux, puis emplis de cet onérisme de la courbure du temps sculptant une poésie de la fascination par mes mains, j’allais au vieil ordi de la librairie alternative écrire un bout de Monsieur 2.7k? et je revenais courber son k-orps sous le k-eour de mes courbures du temps jusqu’à ce que la fissure nous entraîne elle et moi aux pays enchanteur du rêve big bang (dans les mots d’aujourd’hui bien sur)
Comme la rupture qui un jour en suivit faiilit me faire perdre la vie… Une de mes chansons d’ailleurs en témoigne avec une telle densité qu’encore aujourd’hui, je suis incapable de la chanter…
COUPLET 1
y a d’la glace
qui fond au pôle nord
des icebergs
que les pluies dévorent
qu’est devenu
l’grand amour qui fit souffrir
mon corps
tellement souffir mon corps
que
si
l’pôle nord
était une femme
y aurait plus que des larmes
des igloos en alarme
COUPLET 2
j’ai passé 2 ans dans cale d’un navire
c’était moé l’commandant Lemire
j’entendais craquer
la glace qui s’fractionnait
dans l’noir
tellement de larmes un soir
que
si l’pôle nord
était un homme
y aurait plus que du rhum
dans l’igloo du bonhomme
COUPLET 3
y a d’la glace
qui fond au pôle nord
des icebergs
que les pluies dévorent
je l’ai senti
quand j’ai fondu en toé
mon amour
commandant Lemire au secours
prend moé a bord
emmène-moé au pôle nord
habille-moé d’un scaphandre
pis laisse-moé descendre
l’autre bord d’la mort
j’sculpterai dans la glace
ses deux mains dans la face
le cri de ses orgasmes
Pierrot
vagabond céleste
… ET CES ENCHANTERESSES HOLOGRAMMIQUES DONT ON NE POUVAIT TOUCHER QUE LE K-OEUR DU K-OEUR À TRAVERS LE K-ORPS DU K-ORPS … PARCE QU’AB-TEMPORELLES … ….
CONSTITUAIENT ET CONSTITUENT ENCORE AUJOURD’HUI LE FONDEMENT MÊME DE MON ÉPISTÉMOLOGIE DU VAGABONDAGE AB-FFECTIF DANS LE DÉPLOIEMENT QWALIEN D’UNE MÉTAPHYSIQUE ONTI-KHA-TIVE D’UN RÊVE BIG BANG.
Toute ma vie, j ‘ai vécu une véritable mystique des fascinantes que j’associe maintenant à des fissures du temps musicalisées sous formes de débris de la mémoire du k-oeur multiversiels dont plusieurs de mes chansons ont témoigné, sinon toutes sous une forme ou sous une autre … et j’aimerais parler à travers celle qui n’en fut pas une, mais me les a rappelé toutes… CASSANDRE
CASSANDRE
couplet 1
NOUS FÛMES NOMADES CASSANDRE
Ah Cassandre, Cassandre…. comment raconter… J’avais 57 ou 58 temps … c’est avant que je rencontre Nancy au sortir de la forêt dans le bout de Bécomo ou, me dit-elle un jour elle vécut un véritable coup de foudre pour la beauté de ma liberté….
J’étais sur le parvis de l’église de tadoussac, en train de composer une chanson, avec mon vieux chapeau donné par Magalie….
COUPLET 1
quand mes pieds s’ront d’argile
quand j’aurai mal à mes os
quand le réveil malhabile
fera peur à ma peau
quand le froid de l’aurore
me glacera le dos
quand la faim qui dévore
me f’ra souffir à nouveau
Magalie, Magalie
pour oublier mes ennuis
je porterai ton chapeau
COUPLET 2
la route c’est beau comme une femme
faite de vent soudain
qui transforme tout en drame
en grand amour chagrin
la plus à pic des cotes
vous sourit à pleine dents
comme toi jeune femme en faute
avec tes seins d’enfant
Magalie Magalie
pour rubaner mes ch’veux gris
je porterai ton chapeau
COUPLET 3
quand mes rêves par leurs ailes
m’emporteront bien haut
là ou Dieu ensorcelle
des milliards d’hommes sans chapeau
j’arriverai tête nue
chevelure sans armure
mes paupières émues
ma guitare comme blessure
Magalie Magalie
toi qui commence ta vie
à toi d’porter mon chapeau
Magalie Magalie
toi qui commence ta vie
à toi d’porter mon chapeau
et porte-le
bien haut
Pierrot
vagabond céleste
NOUS FÛMES NOMADES CASSANDRE
Ah Cassandre, cassandre…. Et soudain tu arrives, toute désespérée dans tes 19 ans… Monsieur, je ne vous connais pas… j’étais partie vagabonder la Côte nord avec mon copain… pour me rendre chez les inous …. accepteriez-vous de vagabonder avec moi?
Et moi de lui dire… Vas-tu être capable de souffrir de la faim, du froid, de la pluie, sans te plaindre, de supporter les ampoules aux pieds… de ne jamais avoir d’argent….
Elle me dit oui… Je lui dis… Tu dois bien avoir une mère toi… elle dit oui… je lui dis tu dois bien avoir un peu d’argent pour que je lui parle et lui dis-je qui je suis…..
Et Cassandre de téléphoner à sa mère… qui pleure tout le long…. de mes mots et sa mère de me dire… Monsieur, je ne vous connais pas… mais ramenez-moi la avant la fin de l’été pour qu’elle prenne le bateau a Bécomo pour sa session en théâtre à Rimouski… j
J’en profite pour m’enregistrer ç un agent de police… dire qui je suis… et le but de mon vagabondage avec Cassandre… parce que deux nomades sur la seule route entre Tadoussac et Sept-iles, ça peut susciter de drôles d’interprétations….
1080-93
chap.1, 100 TITRE DE LA CHANSON
COURRIELS-CASSANDRE
devant l’épicerie Axep
de la ville de Forestville
sur un banc
sur les 4 coins
y a des lumières
rouges vertes et jaunes
4 lampadaires un peu de vent
des fleurs blanches su l’gazon
tu rêves à ce garçon
suffirait
qu’il en cueille
une seule dans sa main
pour te faire perdre la raison
REFRAIN
Cassandre
t’as pas r’çu de courriel
déjà (3) (4) (5) jours
que tu te loves dans cet amour d’un soir
qui vole au loin comme son avion dans le noir
Cassandre
t’as pas r’çu de courriel
il arrive que l’amour
prenne la forme d’un chevreuil
fuyant ta vue
brûlant ton oeil
COUPLET 2
devant une montagne que gruge
une pluie qui vire en déluge
s’une galerie
sur les deux coins
y a des fenêtres on les ouvre
on y passe nos têtes
aucune vie
des bières vides sur la table
tu rêves à cette fable
sans doute
des chasseurs de chevreuil
qui ont trop bu
parce que leur proie
est disparue
COUPLET 3
devant un chocolat chaud
au Tim Horton y a ton sourire
qui m’rassure
à 19 ans
tu sais déjà
transformer des chagrins d’amour
en écriture
un soir dans un théâtre
sur scène tu seras flamme
la belle aura conquis la bête
fies toi au vieux
qui ce soir l’a vu dans tes yeux
Pierrot
vagabond céleste
——–
HIER J’AI DORMI DANS LA FORÊT DU LABRADOR MAIS J’AVAIS FROID SANS TOI DEHORS
Ah Cassandre, cassandre… Comment ais-je pu m’imaginer que tu saurais vagabonder… Tout le long, tu t’es plain de la chaleur, du froid, d ela faim, des ampoules aux pieds, de ma vieillesse ( tu persistais ç faire du pouce en me blâmant parce que selon toi, c’était à cause de moi qu’on ne nous embarquait pas… Tu fus… magnifiquement tyrannique….
Je gardai silence et je me mis à m’ennuyer de mes fascinantes qui à cause dw la scèene qui me protégeait des irritants de l’onti-ke avaient un respect infini de l’onti-kha-tif qui m’habitait…
La nuit je faisais des feux… pour que tu puisses dormir au chaud… Je n’avais qu’un objectif… prendre soi de toi comme un père pour que ta mère soit fière quand tu prendrais le bateau de Bécomo à Rimouski…
Et tu l’as finalement pris ce bateau-là… Il était temps… Tu .étais si belle et je commençais à être étourdi par les appels pulsionnels qui me hantaient à chaque fois que tut’approchais de la posture d’une de mes fascinantes…
Puis je montai vers la baie James… et c’est quand j’essayai de faire un feu la nuit dans la forêt du labrador en brûlant les pages d’une bible des mormons qu’on m,avait échangée contre un autre livre… que je me rendis compte… que même si je n’avais qu’une sansdwich… il était impossible la nuit d’entretenir un feu pour soi-même et de manger sa sand-wich sans ressentir un deuil profond…
NOUS FÛMES NOMADES CASSANDRE
NOUS FÛMES NOMADES CASSANDRE
HIER ON M’AVAIT DONNÉ DEUX SANDWICHS AU POULET J’AURAIS AIMÉ LES PARTAGER TU ME MANQUAIS
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refrain
TES 19 ANS CASSANDRE,
C’ÉTAIT LA VIE AVANT L’ BARRAGE DE MANIC 5 ….
C’ÉTAIT L’MONT WRIGHT CASSANDRE
AVANT L’ENFER D’LA MINE DE FER EN PLEIN HIVER …
C’ÉTAIT SUR TOUT LA JEUNE FEMELLE CARIBOU ET LE VIEUX MÂLE ENCORE DEBOUT…
C’ÉTAIT SURTOUT LA JEUNE FEMELLE CARIBOU ET LE VIEUX MÂLE ENCORE DEBOUT
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couplet 2
VIEUX MÂLE AU DOUX REGARD,
CELUI D’MONSIEUR BERNARD
QUI S’EST BATTU POUR SAUVER SON CHALET DU FEU AVEC SON FILS 4 NUITS SANS FERMER LES YEUX
C’EST FASCINANT À VOIR,
UN BOUT D’FORÊT TOUTE NOIRE
Y A DES SOUVENIRS DE JEUNES FEMMES QUI S’ENFLAMMENT AU FOND DE MOI SE CONSUMANT TOUT COMME UN ANCIEN FEU DE JOIE
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refrain
TES 19 ANS CASSANDRE,
C’ÉTAIT LA VIE AVANT L’ BARRAGE DE MANIC 5 ….
C’ÉTAIT L’MONT WRIGHT CASSANDRE
AVANT L’ENFER D’LA MINE DE FER EN PLEIN HIVER …
C’ÉTAIT SUR TOUT LA JEUNE FEMELLE CARIBOU ET LE VIEUX MÂLE ENCORE DEBOUT…
C’ÉTAIT SURTOUT LA JEUNE FEMELLE CARIBOU ET LE VIEUX MÂLE ENCORE DEBOUT
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couplet 3
DEBOUT JE MARCHE LA VIE,
DEBOUT JE PRIE LA VIE
POUR QUE LA RIVIÈRE DE TES RÊVES SOIT AUSSI BELLE QUE LA PETITE MANICOUAGAN …
DEVANT LAQUELLE J’ÉCRIS …
LA TENDRESSE DE MES CRIS …
PARCE QUE LA NUIT T’AS PRIS L’BATEAU QUI T’AS CONDUITE DE BÉCOMO À RIMOUSKI
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refrain
TES 19 ANS CASSANDRE,
C’ÉTAIT LA VIE AVANT L’ BARRAGE DE MANIC 5 ….
C’ÉTAIT L’MONT WRIGHT CASSANDRE
AVANT L’ENFER D’LA MINE DE FER EN PLEIN HIVER …
C’ÉTAIT SUR TOUT LA JEUNE FEMELLE CARIBOU ET LE VIEUX MÂLE ENCORE DEBOUT…
C’ÉTAIT SURTOUT LA JEUNE FEMELLE CARIBOU ET LE VIEUX MÂLE
VAGABOND FOU
Pierrot vagabond céleste
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