Qu’est-ce que la théorie de l’objet à l’ère de la philosophie de la physique quantique? Quelle sorte d’objet constitue l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire par notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)?
Si je refais tout le chemin poïétique des 6000 pages de ce blogue, je suis surpris de mon in situ en contraste euporitique (apories résolues abductivement en intuition synthèse paradigmatique forte à la Peirce) avec mon archétype hologrammique (Pierrot le vagabond-chercheur ou Pierrot le vagabond céleste ou Pierrot le recteur poétique de l’UQAM).
J’étais dans le Bunker de Gaelle avec Isabelle… et même si je lui avais remis le manifeste de Michel le concierge répondant à sa question: Qu’Est-ce que la nano-citoyenneté-planétaire… Elle me repose la question pendant qu’Isabelle filme le tout sur son IPOD.
Et me voilà profondément embarrassé… incapable de répondre… trop hanté par la vanité de l’empreinte, trop soucieux du champ constellaire quantique-cosmologique qui donne à cette étiquette de nano-citoyenneté-planétaire une friabilité d’un geste pur, relié aux nombreuses brosses d’être et attaques d’être qui ont parsemé ma vie d’errances poétiques.
Cette étiquette de nano-citoyenneté-planétaire hors temps hors réalité hors servitude dès qu’elle attractive l’étiquette de non-tricherie et de rêve big bang dans l’informe multivers même de l’open-source créative (Bergson) devient lumineuse au point où tous ses attributs essentiels de quelque nature que ce soit sont projetés non seulement hors du cadre théorique méthodologique métaphysique de mon champ constellaire de recherche, et cela autant du point de vue transcendantal (dans le sens d’épistémologie aprioritique kantienne) que du point de vue essentialiste relationnel objectif telle qu’impossibilisé dans l’imagination pure. mais bien plus, elle appelle à un récit cosmologique d’une mémoire-cri de Munch d’une intensité résonnant comme quand je chantais seul devant les tombes d’enfants le matin avant de quitter les cimetières du Québec où j’avais passé la nuit.
Oui Gaelle et Isabelle…. je suis incapable d’habiter la certitude, la science dure et la science humaine si complaisante méthodologiquement. La nano-citoyenneté-planétaire ce fut d’abord un rêve big bang issu du cri de Munch d’enfances saccagées dans leurs vies personnelles œuvre d’art.
Je me rappelle… quand je suis arrivé à Manuténan chez les innus à Sept-Îles, avec mon bâton, ma guitare, ma barbe blanche et mon bâton, les enfants dans les maisons me voyant dans les vitres pensaient que j’étais le père Noel pendant que des jeunes adultes vinrent à ma rencontre pour me demander si je n’étais pas le nouveau vendeur de drogue…
J’avais faim…. J’ai beaucoup eu faim… beaucoup trop…. pour ne vivre que de l’anonymat d’un chercheur de pensée pure, y a un prix à payer…. et je n’ai pas peur de le payer.
La quantication (la nano-citoyenneté-planétaire selon les lois de la physique quantique) de la planète terre passera par le cri de Munch des millions d’enfants de la rue qui meurent de faim ou de blessures de guerre…
La nano-citoyenneté-planétaire, dans mon champ constellaire de recherche, c’est d’abord l’amitié d’une équipe de recherche (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond). Une étiquette vagabonde au cœur de la condition humaine… ses attributs essentiels viendront par l’open-source en intelligence artificielle et en colère nano-citoyenne-planétaire réseautée par les milliards de téléphones cellulaires….
à suivre…