Au 19eme siècle, le romantisme avait deux visages… celui de la nostalgie du passé et celui de l’utopie de l’avenir cherchant à recréer l’unité cosmique et poétique de l’harmonie universelle que la science moderne avait détruite à partir de la renaissance.
Ce modernisme naissant de Baudelaire comme celui crépusculaire de Walter Benjamin n’a jamais pu se relever de la césure entre la recherche synthétique symbolique et analogique de l’art versus la vision analytique déterministe et ontique de la science.
Le nanomodernisme est un projet œuvre d’art de chaque vie personnelle œuvre d’art pour une humanité œuvre d’art…
Le vagabond céleste, c’est le Zarathoustra de Nietzsche sans le prosélytisme du modernisme nihiliste.
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