QU’EST-CE QUE L’ERRANCE POÉTIQUE? ….. C’EST FAIRE LE PARI DU RIEN… LE PARI QUE LE RIEN LUI-MÊME EST POÉSIE…. QUE LA POÉSIE SIGNANT LE RÉEL MULTIVERSIEL MAIS N,EN FAISANT PAS PARTIE SE FAIT QWALIA PAR LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR DE TOUT RÊVEUR OU RÊVEUSE BIG BANG QUI NE TRICHE PAS AVEC LA BEAUTÉ DU MONDE DE SON K-OSMOS INTÉRIEUR DONT LES TROIS STATIONS SPATIALES TERRESTRES (LA STATION SPATIALE DES 5 SENS, LA STATION SPATIALE DU CERVEAU, LA STATION SPATIALE DES PULSIONS) SONT POROSIFIÉES QUANTO-KOSMOLOGIQUEMENT PAR LA STATION SPATIALE DU K-OEUR…. L’ERRANCE POÉTIQUE… C’EST FAIRE EXPÉENCE DE LA LIBERTÉ OEUVRE D’ART

Pierrot vagabond

UN VIEUX RÊVEUR BIG BANG QUI SOUDAIN VOIT SA PARTENAIRE DE RÊVE BIG BANG S’ENLISER, S’ENGLUER, SE DÉSIN-SENS-SIFIER PAR UN AMERISSAGE KOSMOLOGIQUE INTÉRIEUR DANS LES AFFRES DE L’ONTI-KE OU LES PASSIONS PRIMAIRES SONT SAUVAGEMENT EN K-ONTRADICTION DE PAR LES HEURES DES TROIS STATIONS SPATIALES DU K-ORPS ( LA STATION SPATIALE DES 5 SENS, LA STATION SPATIALE DU CERVEAU, LA STATIO SPATIALE , LA STATION SPATIALE DES PULSIONS ) SE SENT SOUDAINEMENT PARTAGÉ ENTRE SA VIGILENCE ISSUE DE LA STATION SPATIALE DU K-OEUR ET SA COMPASSION POUR LE CHAOS DE L’INFINI NANO-K-OSMOLOGIQUE DE LA LIBERTÉ ONTI-KE…. L’ONTI-KHA-TIF D’UN RÊVE BIG BANG EST LE VOYAGE DU RIEN …. PAR LE RIEN… AU K-OEUR MÊME DES FORMES IPSÉISÉS D’ANCIENS RIEN

Pierrot vagabond

QUAND ON ACCOMPAGNE UNE RÊVEUSE BIG BANG…. ON EST BALLOTÉ DANS UNE MER DÉCHAÎNÉE OU UNE SUCCESSION D’ORAGES ONTIKES ET DE LUMINOSITÉS ONTI-KHA-TIVES VIENT SCULPTER QUOTIDIENNEMENT NOTRE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART….

De rêveuse en rêveur, de rêveur en rêveuse …. au-delà de … toutes ces années… ma vie personnelle oeuvre d’art fut sculptée par des suites d’orages d’onti-ke luminosités onti-kha-tives.

Encore aujourd’hui, ce n’est pas simple quand je me couche le soir sur ma planche de bois de fermer les yeux et de demander à la vie des forces pour faire mieux…. Car l’état d’apesenteur nécessaire à l’onti-kha-tif , soit LA POÉSIE DU RIEN, demande une ab-di-ka-tion heureuse (expression de Gaelle) renouvelée comme un engagement éthique SANS FAILLE envers le rêve big bang de l’autre.

Denis Lamarre, mon exceptionnel partenaire de scène de notre duo Rochette Lamarre durant plus de 18 ans m’a souvent dit que j’avais tout reçu de la vie et c’est pourquoi je ne pouvais comprendre les autres.

Il est vrai que j’habite le pays de l’onti-kha-tif presque en permanence depuis ma naissance…. La fraîcheur du rien sous forme de rêve big bang qui signe le réel même s’il n’en fait pas partie m’est poésie du matin au soir comme du soir au matin.

Voilà pourquoi je suis si sensible à un grand rêve big bang ….Trop souvent… la rêveuse ou le rêveur qui vit cette grande épopée de poésie n’a pas encore appris à faire la transition entre son corps et le  socle abjetal qui tel un pot de fleur est convoqué à porter la beauté du monde dans l’apothéose d’une singularité quantique.

J’ai eu la chance d’avoir un maître… le clown en patin du pavillon du Canada au Japon qui m’a initié aux quatre étapes de la vie intérieure (cabotinage, don de soi, communion, catharsis) pour enfin devenir à la fin d’une vie maître de rien et finalement maître du rien….

Mais plus on devient maître du rien… plus on doit recevoir comme un k-adeau une ou un jeune rêveur dans sa vie…. prendre son de son rêve big bang en floraison de la beauté du monde.

Et si nous n’étions sur cette terre que des k-onvo-k-ations ç la beauté du monde par notre vie personnelle oeuvre d’art?

Pierrot vagabond

LE CERVEAU-ASTRONAUTE FLOTTANT DANS L’INFINI DE SON CORPS DE L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DU VAGABOND CÉLESTE ISSU DE LA CORRÉLATOIRE POÉTIQUE DE LA STATION SPATIALE DU K-OEUR…. FUT UN OBJET IMPOSSIBLE…. DANS LE SENS DES OEUVRES DE L’ARTISTE NÉERLANDAIS MAURITS CORNELIS ESCHER……

artiste néerlandais Maurits Cornelis Escher objets impossibles

Maurits Cornelis Escher1, né à Leeuwarden le et mort à Laren le , plus couramment nommé M. C. Escher, est un artiste néerlandais, connu pour ses gravures sur bois, manières noires et lithographies souvent inspirées des mathématiques. Au cours de sa vie, il a réalisé 448 estampes, et plus de 2 000 dessins et esquisses. Il a également illustré des livres, des tapisseries, des timbres et des œuvres murales.

Ses œuvres représentent des constructions impossibles, des explorations de l’infini, des pavages et des combinaisons de motifs en deux ou trois dimensions qui se transforment graduellement en des formes totalement différentes, qui défient les modes habituels de représentation du spectateur.

L’œuvre de M. C. Escher a séduit de nombreux mathématiciens à la communauté desquels il se défendait d’appartenir. Il aimait dire à ses admirateurs : « Tout cela n’est rien comparé à ce que je vois dans ma tête ! »

COMMENTAIRE

Je commence à saisir à quel point mon épopée poétique DU VAGABOND CÉLESTE  fut UN OBJET IMPOSSIBLE….ANALOGIQUEMENT DANSANT COMME LES GRAVURES IMPOSSIBLES DE MAURITS CORNELIS ESCHER …. hors temps, hors réalité, hors servitude, donc hors histoire…. simplement parce que mon cerveau-astronaute flottant dans l’infini de son k-orps par pure corrélatoire d’avec sa station spatiale du k-oeur…. relève en soi de l’objet impossible de Meinong COMME D’ESCHER … au sens de socle abetal d’un rêve  big bang … hymne à la beauté du monde d’une humanité oeuvre d’art en devenir…

Comment un archétype hologrammique peut-il consacrer sa vie à vagabonder l’impossible…. que ce soit la cartographie des rêveuses et des rêveurs, puis la connaissance dans 4 universités… puis… l’éblouissante infinitude du rien de ses brosses d’être et attaques d’être comme signant le réel mais n’en faisant pas partie…. sans soi-même défier la singularité des synchroni-vie-tés impossibles…..

Pierrot vagabond

 

C’EST QUAND ON PREND SOIN DU RÊVE D’UNE AUTRE PERSONNE ET CELA SANS INTÉRÊT PERSONNEL CACHÉ QUE L’ON DEVIENT…. POÉSIE DE SON PROPRE RÊVE…. MA DÉVOTION AU RÊVE BIG BANG D’UNE AUTRE PERSONNE EST ABSOLUE…. NON NÉGOTIABLE…. PARCE QUE QUAND JE FERME LES YEUX… JE VOIS SON RÊVE BIG BANG ILLUMINER LE MIEN

C’est peut-être là la poésie à laquelle je suis le plus sensible…. J’ai marché le K-anada pour serrer la main à de grandes rêveuses ou à de grands rêveurs…. j’aimais voir dans leurs yeux LA BEAUTÉ DU MONDE en action….  Je changeais de village pour ne pas être blessé par l’ontike du quotidien de ceux et celles dont les errances sont … soit fantomatiques, soit axiologiques.

Chaque fois qu’on m’embarquait dans une auto… ou que l’on m’emmenait dormir dans une maison… je me sentais profondément bouleversé par la souffrance insondable de celles et ceux qui m’accueillaient.

Je me disais… mais c’est pas possible… Comment peut-on laisser les dépendances de quelque nature que ce soit ronger la poésie? …. L’horreur des dépendances quelques soient…

Je me souviens d’une nuit à Val-Morin…. un homme d’une quarantaine d’années m’avait ramassé sur la 117 et m’avait emmené dormir chez lui. Pendant que je dormais… toute la nuit… il avait consommé du crack et hurlait au téléphone à son vendeur de crack de lui fournir ses doses même s’il n’avait pas d’argent pour le payer…  Le lendemain matin… je partis en douce… sans déjeuner… l’homme s’étant assoupi entre deux crises….

Et de cet autre… sortant d’une réunion des alcooliques anonymes me ramassant sur la route et m’emmenant dans son loyer…. incroyablement en désordre avec des ordures jamais ramassées… Quelle détresse… mais quelle détresse….

Et l’autre tellement saoul dans son char que j’ai du tenir la roue… l’obliger à se ranger… il pleurait comme un enfant parce qu’il se trouvait laid et qu’aucune femme ne voulait de lui…

Et l’autre en crise de peine d’amour qui faisait le tour du parlement avec son auto et ne voulait pas me relâcher tant qu’il n’aurait pas moins de peine… Cela a du durer un bon deux heures…

Et l’autre qui avait le cancer et m’a raconté tous ses crimes… avec une carabine dans son camion… ne sachant trop s’il allait se tirer… ou aller mourir chez sa fille…

Quand je me retrouvais seul avec ma poésie, sans un sous, la faim au ventre, je retrouvais ma paix intérieure en contemplant les arbres, en marchant le long des lignes blanches d’une route sans fin… la nuit venue… la lune, les arbres, les coups de bâton de liberté sur l’alsphate…

Et je reposais, nuit après suit ma question: SI JE PREND SOIN DE L’UNIVERS… EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

Puis… mon corps tombait au petit jour… dans un boisé…. et la poésie sous forme de brosses d’être et d’attaques d’être venait me visiter.

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Mais quand je rencontrais un rêveur ou une rêveuse qui prenait soin du rëve d’une autre personne… ah…. quelle joie…. quelle joie….Je me rappelle de cet homme qui, à 5 heures du matin, en Gaspésie, au début avril… me vit sur la route et me héla… j’entrai avec lui dans son atelier… Il me dit… Je prends soin de ma femme… elle est très malade… Si elle ne va pas mieux… on pas ouvrir notre restaurant cet été…. ca m’inquiète… Et il me donna un pot avec du poisson dedans….

Et cet autre… cultivateur âgé… qui m’arrêta… pour que de sa galerie… il puisse me montrer sa femme au loin dans les champs… en me disant…. On se fait vieux… je sais pas combien d’années ma femme et moi on va être capables de tenir le coup… Comme ses yeux prenaient soin d’elle… c’était magnifique… Elle était son rêve…. il se consacrait à prendre soin de son rêve….

Et ce couple….qui avait ouvert une galerie ou elle peignait et lui sculptait…. Comme ils prenaient soin du rêve de l’un et de l’autre…

Oui… les grandes rêveuses et les grands rêveurs sont non seulement des artistes du quotidien, mais honorent l’humanité oeuvre d’art par des yeux de bienveillance et de dévotion pour le rêve de l’autre.

C’est cela que j’ai voulu théorisé par les quatres questions du pays oeuvre d’art:

1: Quel est ton rêve?

2: Dans combien de jours?

3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Pierrot vagabond

 

Pierrot Vagabond