J’AI TOUT SACRIFIÉ POUR MON RÊVE BIG BANG …. PEUT-ÊTRE PARCE QUE J’AI PRIS AU SÉRIEUX LE FAIT D’ÊTRE HABITÉ PAR DES BROSSES D’ÊTRE ET DES ATTAQUES D’ÊTRE TOUTE MA VIE.. M’A RENDU RESPONSABLE D’EN TROUVER LES LOIS POUR QUE D’AUTRES… BEAUCOUP D’AUTRES PUISSENT À LEUR TOUT ACCÉDER À L’ERRANCE POÉTIQUE SUR TERRE……

Quand je rencontre un magnifique rêve big bang sur ma route de vagabond céleste …. j’en suis profondément ému … très profondément… et j’y consacre quelque fois plusieurs années de ma vie …. Puis… soudain …. je m’écroule d’épuisement et je reprends la route de l’impossible…

Et cette route consiste à allumer des rêveuses et des rêveurs par les quatre questions du pays oeuvre d’art:

1: Quel est ton rêve?

2: Dans combien de jours?

3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

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Puis le  vagabond céleste  change de village… de ville… d’université…. Car l”ensemencement doit se faire dans l’humilité du cultivateur… Il ne faut jamais oublier que la masse critique est Un… et… que comme dans un gâteau de fête…. il suffit d’une chandelle pour allumer un gâteau de fête, chandelle par chandelle… qu’il suffit d’une seule allumette pour allumer un pays oeuvre d’art comme un feu de forêt…

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ÊTRE RIEN …. pour avoir un accès infini et bienheureux au rien par des brosses d’être et des attaques d’être qui ressemblent à des vaisseaux spatiaux ayant un accès crypré au multivers et ses enchantements matriciels.

Cher Gérard Cadieux de Recyclo-livres …. comme nous avons travaillé fort toi et moi pendant 4 ans à faire de la recherche philosophique sur le WOW et le -T …. nuit après nuit…. jour après jour… avec un tableau vert et des paquets de craies… Nous cherchions la formule sous-entendant le réel… Toi tu es arrivé à wow-t=g3  …. Marlene Michel et moi sommes arrivés à WOW-T=2.7K? ….  le point d’interrogation étant le fondement même (la problématologie de Meyer) de l’accès au point d’exclamation (!) du rien…. du rêve big bang et de sa signature des trois formes du réel (réel profond, réel analytique, réel empirique).

Si tu savais Gérard… comme lorsque j’ai pris la route comme vagabond céleste… j’ai cherché à améliorer  le g3 de ta formule qui pour moi, était plausible mais non suffisante…

Un jour un physicien m’a embarqué dans son  automobile… Je lui dis… j’ai une intuition…. celui ou celle qui ne triche pas a accès au 2.7k du bruit de fond cosmologique du big bang comme à une onde radio sans distortion… et j’essaie de le démontrer en marchant le pays avec une question: Si je prends soin de l’univers… est-ce que l’univers va prendre soin de moi?

Cher Gérard… que de nuit à interroger les étoiles… dans la faim… la saleté de la poussière de route et la peur au ventre non pas de la rue… mais de la tricherie….

Quand t’as rien, quand tu n’es rien… quand tu ne demandes rien… soudain… soudain… la poésie marche à tes côtés et refuse de faire route seule….

Tu sais Gérard… dormir 4 ans sur une table dans la cave de recyclo-livres… habrillé d’un drap è peinture avec comme seuls vêtements 2 paires de jeans 3 paires de bas et deux gilets… que je lavais è main dans le bacc à vaisselle.. ce fut un rêve réujssi parce que tu étais là… remarquable compagnon de recherche…. comme nous avons eu du bon temps Gérard… toutes ces parties d’échec dans la paix de rêveurs heureux… car tu fu, es…. un formidable rêveur….

Tu te rappelles…. j’étais président de l’association des écrivains du coin… et tu étais venu me voir pour que je t’aide à devenir gérant d’une osbl… et je t’avais dit: qU’est-ce qui me prouve que je peux te faire confiance… Tu m,avais sorti ton jeton des alcooliques anonymes… j’ai fais wowwwww… J’ai confiance… Je ne l’ai jamais regretté….

Merci…. d’être encore aujourd’hui un magnifique rêveur

Pierrot

 

 

LA POÉSIE KOSMÉNEUTIQUE DE LA BEAUTÉ DU MONDE JAILLISSANT PAR LE BIAIS D’UN RÊVE BIG BANG DANS LE CHAMP KONSTELLAIRE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART FAIT DE LA STATION SPATIALE DU K-OEUR UN TAPIS GÉOMÉTRIQUE DE DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR EN APESENTEUR COMME SI L’ENCHANTEMENT DU RIEN QUI NE FAIT PAS PARTIE DU RÉEL MAIS QUI LE SIGNE SE MÉTAMORPHOSAIT EN UN SOCLE ABJETAL DANSANT L’ONTIK-HA-TIF… CE QUI EST VÉCU COMME ONTI-KE PAR LE CORPS DES ERRANTS FANTOMATIQUES AUTANT QU’AXIOLOGIQUES … L’ERRANCE POÉTIQUE SE VIT COMME LA CINQUIÇEME DIMENSIO0N DE CE QUI N’EXISTE PAS MAIS COMME CE QUI SE NANO-QUANTO-KOSMO- S’ÉPANOUIT EN S’ÉVANOUISSANT

Les débris de la mémoire du k-oeur
dansent dans le champ k-onstellaire
de ma vie personnelle oeuvre d’art

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J’ai passé près de 14 ans à étudier les trois formes de rire (le rire de supériorité, le rire de libération, le rire de l’incongruité) en essayant sur sçène d’inventer des numéros è travers lesquels, soir après soir, j’écoutais les rires de la salle en tentant de faire voyager ma salle d’une couleur de rire à l’autre…. Et cela a donné une mémoire de maîtrise universitaire sur le rire dans le cerveau humain à partir de l’expérience de la scène.

La scène ne m’a jamais intéressé je crois…. j’avais horreur d’être perçu comme quelqu’un par un public, de me nourrir l’ego d’applaudissements et de reconnaissance….

Mais la recherche par le biais de la scène…. wowwwwww … Quelle merveilleuse aventure ce fut… J’étais hypnotisé par deux débris de la mémoire du k-oeur….

Le premier …. je l’appelle THE PURE JOY OF THE LAUGHING GIRL…. J’ai vu plusieurs fois dans ma vie des petits enfants rire… mais rire de pure joie de s’étonner de rire… ahhhhh … la poésie du rire… l’errance poétique du rire….. Comme j’ai tenté de le reproduire sur scène…

Le second… c’était LES LARMES DE JOIE… celles à partir desquelles j’aurais aimé faire un  doctorat… C’est dans les aéroports qu’on les voit le mieux s’exprimer… Quelqu’un descend de l’avion… une autre l’attend…. ça fait 10 ans qu’ils ne se sont pas vus… et soudain… les larmes de fraîcheur coulent des deux côtés… de peines parce que ca fait 10 ans qu’on ne s’est pas vus en personne… de joie parce qu’enfin après 10 ans on se voit.

Parfois j’y suis vraiment arrivé… on reconnaît ce type de rire… un long rire heureux qui ne fait aucune différence entre la scèene et la salle… Je me rappelle en particulier sous la tente à Trois-Rivières je crois…. Nous avions fait la route Denis et moi…. épuisés , je pense… de notre saison au patriote et è l’auberge… Dans ce temps-là, j’avais mon camion avec des costumes et accessoires de différentes numéros de comédie… j’y dormais, j’y lisais…

En arrivant je dis à Denis… Je suis pas très en forme ce soir… Je laisse les costume dans le camion… on fait un spectacle basic… puis on remonte…

La tente était pleine… Comme j’aimais le fait que personne ne savait qui on était Denis et moi… C’était un festival… donc n’ Importe quel artiste aurait pu prendre notre place… j’aimais que le public ne nous ait pour la plupart jamais vu nulle part… Ainsi seuls la fraîcheur de nos numéros et l’intelligence humaniste du pacing nous permettaient de déguster une recherche intellectuelle des lois des rires et des pleurs.

Ce soir-là, je n’ai pas eu le temps d’aller serrer les mains des gens. Nous sommes arrivés trop justes… Le camion est placé juste arrière de la scène… On place le materiel en vitesse devant la salle pleine sous la tente…

Et soudain… j’aperçois ma mère, Rolande… Je ressens sa colère retenue… Ca fait des mois que je n’ai pas donné de nouvelles… Je n’ai même pas pensé à l’avertir que nous venions donner un spectacle juste à côté de chez elle… Je suis triste de moi-même… Je la salue brièvement…. Mais nous ne sommes pas du même bord de la poésie… et chacun de notre côté, nous le ressentons cruellement je crois…

Ma mère vit d’onti-ke …. Je vis d’onti-kha-tif… Du moins, ce n’est seulement qu’aujourd’hui que j’ai les mots pour le dire…

Quand je vois souffrir le public ontiquement en face de moi… cela finit par me devenir intolérable… Chaque main que je serre… c’est comme si ma poésie de vivre cherchait le secret pour les faire passer un aprèes un de l’onti-ke à l’ontikha-tif. … Je n’ai pas encore les mots…. Je les cherche….

Je passe des nuits à écouter à C.J.A.D vers 3 heures du matin…. les aniens comics américains sur ces Vieux 78 tours… dont la prestation fut prise en salle…

Je suis hanté par l’impossible… Pourquoi la poésie va et vient?

On nous présente… Il fait très chaud… Un ier Monsieur qui doit peser 300 livres au moins… parle le premier…. puis il s’assoit sur une chaise sur scène… la chaise se fracasse… Il tombe par terre… Un rire immense surgit sous la tente…. Mo n Dieu… ca commence mal… un rire de supériorité…. exceptionnel , long.… mon dieu…. Je dois en profiter pour inventer un pacing qui partira de ce rire pour passer par des rires de libération puis finalement réussir des rires d’incongruité….

La salle est bonne enfant… Et me voilà en laboratoire…. J’irai chercher le Monsieur dans un numero pour en faire ma vedette d’un magnifique rire d’incongruité…. ensemble… nous ferons de la salle un rire PURE JOY OF LAUGHING GIRL….

D’un numéro à l’autre, pendant que Denis fait une chaoson, je vais chercher un vieux costume d’un vieux numéro qu’on ne fait plus depuis longtemps… quelle joie… Réinventer a partir d’un débris de la mémoire du k-oeur…

La soirée finit… Je salue ma mère… Denis repart dans son camion… moi dans le mien… puis j’arrête sur le bord de la route …. Je vis de la culpabilité… pas pour ma mère … Son rôle est de comprendre ma vocation… mais pour des personnes de la salle… J’aurais du aller serrer des mains pour donner par une poignée de main du courage à ceux et celles qui n’ont que l’ontike comme arme du quotidien.

Je ferme les yeux… couché en arrière du camion… J’ai une excellente mémoire… Aurais-je pu améliorer le passage d’une sorte de rire à une autre?

Je ferai mieux demain.. car déjà demain on recommence au Patriote de Ste-Agathe.

Pierrot vagabond

 

 

L’EXPLORATION D’UNE RECHERCHE DOCTORALE PAR CE QUE J’APPELLE UNE EUMÉTRIE OEUVRE D’ART EN BOUCLE PAR UNE SUCCESSION D’ALLER-RETOUR ENTRE DEUX ESPACES CONTEXTUALISÉS DE MISE EN QUESTION DE NOS PROBLÉMATIQUES RÉCIPROQUES

Je me passionne pour la recherche fondamentale en théorie pure dans le champ métaphysique … et ses k-onditons de mise en création.

Dans un premier paysage de recherche, j’habite avec Marlene et Michel et mon quartier consiste en une petite salle de couture ou je dors sur une planche… Nous formons tous les trois une équipe de recherche constituée de trois archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond) et notre signature consiste en des conseils d’administration de la créativité ou nous pratiquons des principes de la justice épistémique ( les archétypes hologrammiques, les trois peintres, les trois wow) que nous espérons transposables au niveau de la mise en marche opérationnelle de la nano-citoyenneté-planétaire par une masse critique de vies personnelles oeuvre d’art en vue de pays oeuvre d’art sur terre.

Ce qui donne, en résumé,  trois angles de vision pour notre doctorat… exprimées dans leur accointance autant que dans leur différence par chacune de nos postures (Pierrot avec sa métaphysique du cerveau-astronaute en mode onti-kha-tif) (Michel avec sa philosophie d’en bas en mode d’aphorismes sur la condition humaine) (Marlene en mode de jardins du pays oeuvre d’art en mode d’action de prise en charge de la beauté du monde)

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Parallèlement…. je passe épisodiquement  de 24 heures à 72 heures avec la métaphysicienne sociologue doctorante Gaelle Eteme dans son petit appartement transformé en studio de recherche …  Je fais donc mariner mon cerveau dans le paysage de recherche métaphysique de Gaelle… qui enregistre audio ses dernières inventions… que nous finissons par réécouter chacun couché sur nos sofas pour les commenter à nouveau.

Par exemple, la nuit passée, l’exercice a fait en sorte que, de mon côté j’ai réalisé à travers l’écoute du dernier enregistrement audio de plus d’une heure et demie, que ….. Gaelle était en train d’inventer une didactique  doctorale ,,,, ou …..  par sa méthodologie de boîte à syntagmes, le graphe se fait conscience provoquant la joie de la conscience à se faire graphique, pendant que Gaelle elle-même faisait passer de mineures en majeures (donc méta-théoriques) certaines de ses dernières étiquettes.

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Il est donc fascinant pour moi de réaliser, qu’au retour chez Marlene et Michel vers minuit hier soir…. je me retrouvais en profond besoin de dormir sur ma planche dans un sommeil créateur autant que réparateur afin de me lever vers 5 heures ce matin pour réapprivoiser mes propres problématiques reliées au cerveau-astronaute et ses stations spatiales…. reliées au multivers par ses brosses d’être et attaques d’être.

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Pierrot vagabond

LE PASSAGE DES QUALIS AUX QWALIAS EST FONDAMENTALEMENT LE PASSAGE D’UN CERVEAU ONTOLOGIQUE TRADITIONNEL À UN CERVEAU NANO-QWANTO-K-OSMOLOGIQUE …. AU SENS OÈU L’INVERSION QUANTI-QUALI COMME CATÉGORIES ARISTOTÉLICIENNES DU RAPPORT ENTRE ESSENCE ET ACCIDENT …EST NON SEULEMENT INVERSÉ MAIS DISSOUT… PARCE QUE SEULES LES QWALIAS ISSUES DU CHAMP CONSTELLAIRE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR SONT CONSTITUTIVES D’ÉTERNITÉS D’ÉTIKQUETTES FLOTTANTES ISSUES NON SEULEMENT DU PARI DU RIEN… MAIS DU RÊVE BIG BANG QUI SIGNE LES TROIS DIMENSIONS DU RÉEL (PROFOND,ANALYTIQUE, EMPIRIQUE) MAIS QUI COMM E LE RIEN NE FAIT PAS PARTIE DU RÉEL…. LES QWALIAS SEULES PEUVENT VOYAGER PAR PURE SYNCHRONI-VIE-TÉ LA CINQUIÇME DIMENSION DU VIDE QUANTIQUE COMME MANIFESTATION MÊME DE LA CONSTANTE COSMOLOGIQUE IMAGINÉE PAR EINSTEIN

Pierrot vagabond

LES ÉTIQUETTES CRÉES CONTEXTUELLEMENT (EXEMPLE… LES IDÉES ÉTERNELLES DE PLATON) ONT DES PROPRIÉTÉS CONVULSIVES…. DANS LE SENS DES MÊMES DE DAWKINS…. ET MÊME SI ELLES SONT EN FAIT DES FORMES DU PARI DU RIEN…. LEUR DENSITÉ SCULPTURALE CIVILISATIONNELLE SONT CET INFINI ABJETAL IMPOSSIBLE MÊME À IMAGINER PAR L’ÉVOLUTIONNISME DE DARWIN EN SON SIÈCLE

Dans le cadre des découvertes nano-quanto-cosmologiques du 21eme siècle…. le simple fait que dans le cadre d’une philosophie spéculative radicale… LE MULTIVERS ou L’INFINITÉ DES MONDES POSSIBLES soient des étiquettes-mêmes (Dawkins) méta-opérationnelles. … cela suffit pour faire surgir DES CHAMPS CONSTELLAIRES et dans le cerveau humain d’un rêve big bang… et dans le rêve big-bang du rien rendant possible le cerveau humain… de là la survenance de synchroni-vie-tés aux dimensions flottantes qui donnent aux brosses d’être et aux attaques d’être des mystiques laics du 21eme siècle une signature impossible avant eux.

Par exemple, si on prend juste le fil d’or des illuminés de la iere partie du 17eme siècle (le père Coton, le père Surin, le père Alvarez , Thérèse d’Avila, Jean de la croix) le prisme à travers lequel leur voyage nano-quanto-cosmologique s’exprimait ne pouvait qu’être le vaisseau spatial rudimentaire de la religion chrétienne….. que l’on peut résumer dans les deux cités de Saint=Augustin.

Ainsi… au 21eme siècle, le cerveau humain pouvant flotter dans l’infini de son corps… les lois de cet infini sculptées par un rêve big bang font du mysticisme qui en découle un laboratoire nano-quanto-k-osmologique aux répercussions planétaires… dans le sens d’une potentialité de nouvelles étiquettes flottantes mêmes (Dawkins) autant que virales…. telles vie personnelle oeuvre d’art, nano-citoyenneté-planétaire, pays oeuvre d’art,

Pierrot vagabond

PLUS J’AVANCE DANS MON INTUITION DU CERVEAU HUMAIN COMME ÉTANT UNE FRACTALE INFINIE DE L’UNIVERS INFINI INSÉRÉ DANS UN MULTIVERS INFINI… PLUS JE SUIS CONVAINCU QUE LE CERVEAU TEL QUE CONÇU … SOIT PAR LES GRECS…. SOIT PAR SPINOZA OU KANT…. SOIT PAR FREUD OU LACAN…. REPRÉSENTE UN DESIGN DE LA CONDITION HUMAINE VU DE LA TERRE SEULEMENT…. DÈES QUE L’ON SE FAIT ASTRONAUTE DANS L’ESPACE…. L’ÉNIGME NANO-COSMOLOGIQUE REPREND SES DROITS ISSUS DU PARI DU RIEN PAR LE RÊVE BIG BANG QUI NE FAIT PAS PARTIE DU RÉEL MAIS QUI LE SIGNE…. REDESSINANT AINSI PAR LE BIAIS DES BROSSES D’ÊTRE ET DES ATTAQUES D’ÊTRE LE SOCLE ABJETAL DU K-ORPS EN QUATRE STATYIONS SPATIALES…. LES TROIS PREMIÈRES RELIÉES È LA VIE SUR TERRE (LA STATION SPATIALE DES 5 SENS, LA STATION SPATIALE DU CERVEAU, LA STATION SPATIALE DU VISCÉRAL OU DES PULSIONS…… LE TOUT ASPIRÉ PAR L,EFFET DU CHAMP CONSTELLAIRE DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR LA STATION POROSIVE MULTIVERSIELLE DU K-OEUR …. DE LÀ L’IMPORTANCE DE SITUER CETTE AVANCÉE THÉORITIQUE ET DANS LE CADRE DE LA PHILOSOPHIE SPÉCULATIVE RADICALE…. ET DANS LE CADRE DES OBJETS IMPOSSIBLES DE MEINONG… COMME LE TRIANGLE DE ROGER PENROSE L’ASTROPHYSICIEN MATÉMATHICIEN… QUE NOUS NOMMONS ICI ABJETS….

Pierrot vagabond

L’ABDI-KHA-TION HEUREUSE ET L’AMITIÉ OEUVRE D’ART QUAND ON PREND LA DÉCISION DE PRENDRE SOIN DU RÊVE BIG BANG D’UNE AUTRE PERSONNE SANS INTÉRÊT PERSONNNEL CACHÉ ….. LA CONSÉQUENCE EN EST UNE DANSE EUMÉTRIQUE POÉTIQUE DANS UNE DÉVOTION SOMPTUEUSE À LA BEAUTÉ DU MONDE POUR UNE HUMANITÉ OEUVRE D’ART EN SOI

Je ne saurais dire à quel point cet état d’apesenteur heureuse comme chercheur en pensée abstraite théoritique me procure une joie existentielle réelle parce qu’en même temps je pratique l’amitié oeuvre d’art avec Marlene, Michel et Gaelle, mes partenaires de vie et de recherche.

Ce que j’aime de l’amitié oeuvre d’art, c’est le respect eumétrique sacré du rêve de l’autre… Quand je vois Marlene toute heureuse de prendre la direction de ses jardins à Grandes Iles, Michel tout heureux à pratiquer sa guitare, Gaelle toute heureuse à dessiner et ses graphes et les étiquettes de sa métaphjysique …. moi je me dis… LA VIE OEUVRE D’ART vaut la peine d’être vécue.

Bien sûr… chacun à notre façon préparons l’événement du colloque LES DIMENSIONS DU RÊVE en 2022. La meilleure façon d’y arriver c’est de prendre soin du rêve des uns des autres et de se faire confiance à soi-même.

Gaelle progresse magnifiquement dans sa proposition de doctorat dont la question tourne finalement autour de la phrase suivante: QU’EST-CE QU’UNE EXPÉRIENCE DE PENSÉE? Par sa boîte à syntagmes ou se déploie l’onérisme d’un juet conduisant à des motifs, la conscience non seulement de fait graphique, mais aussi étonnement originel d’un chemin du merveilleux métaphysique renversant la crise de la modernité par une sortie métaphysique de l’histoire.

De mon côté, par le billet des objets impossibles ou abjets que constituent nos trois archétypes hologrammiques ( Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond), je réajuste en fractale du multivers le socle abjetal que constitue un corps humain lorsque …aspiré par un rêve big bang… sa vie personnelle oeuvre d’art le conduit à une vision nano-quanto-kosmologique des 4 stations spatiales de son humanité oeuvre d’art en soi… soit les trois premières reliées à sa vie terrestre (la station spatiale des 5 sens, la station spatiale du cerveau, la station spatiale des pulsions) et la station spatiale porosive reliée au multivers ( la station spatiale du k-oeur constituée d’un champ constellaire de débris de la mémoire du k-oeur dansant la synchroni-vie-tè des mondes multiples en soi)

Michel par son art du visage, ses aphorismes et surtout sa philosophie d’en bas consacrée à la k-ondition humaine continue de se faire nano-citoyen-planétaire concierge d’un pays oeuvre d’art dont il se sent éco-responsable.

Marlene de son côté exprime la beauté du monde en action en prenant soin de ses jardins comme elle a toujours pris soin de ses élèves au collèege La salle ou elle est professeur de mode…

En ce sens, nos conseils d’administration de la créativité sont un modèle de justice épistémique en action par l’invention de principes que nous pratiquons ( les archétypes hologrammiques, les trois peintres, les trois wow)

quel beau colloque international en 2022 que

LES DIMENSIONS DU RÊVE CHEZ GAELLE, PIERROT, MICHEL ET MARLENE… dans leur poÇiétique autant que dans leur maturation philosophique et métaphysique

Pierrot vagabond

UNE BROSSE D’ÊTRE ET UNE ATTAQUE D’ÊTRE CONSISTERAIENT EN UNE SINGULARITÉ NANO-QUANTO-KOSMOLOGIQUE DE LA CINQUIÈEME DIMENSION (OUT-BACK) SURGISSANT D’UNE SORTIE A-PESENTEURIQUE DES TROIS PREMIÈERES DIMENSIONS DE L’ONTIKE ( LA HAUTEUR, LA LARGEUR, LA PROFONDEUR) …. LE TEMPS DE LA QUATRIÈME DIMENSION SE FAISANT CHAMP CONSTELLAIRE D’UN ESPACE MULTIVERSIEL PAR L’ONTI-KHA-TIVITÉ MÊME DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART ASPIRÉE PAR SON RÊVE BIG BANG…. ULTIME PARI DU RIEN PAR LE RIEN DE L’ABDI-KHA-TION HEUREUSE……..

Pierrot vagabond