Je me rappelle les années où j’ai été conseiller municipal du village de Val David, j’avais été scandalisé de voir un maire et un avocat magouiller et mener le conseil municipal avec un mépris des règles élémentaires d’éthique par intérêts personnels cachés comme par MANQUE D’ÉDUCATION CIVIQUE.
Je m’étais présenté à la commission Parizeau et avais raconté mon histoire… on m’avait tendu un piège, m’avait accusé de fraude, j’ai démissionné, les policiers après enquête m’ont dit que je m’étais fait enfargé et que je ne pouvais rien faire, je me suis représenté, j’ai gagné par 3 voix…. mais je faisais face à des forces indignes d’une démocratie, celles de la tricherie institutionnalisée….
J’ai plaidé devant la commission Parizeau pour qu’un code d’éthique et que des cours d’éthiques soient donnés à tous les élus municipaux dès qu’ils sont élus… Monsieur Parizeau est venu me voir privément et m’a dit que j’avais raison partout mais qu’il n’avait pas le droit de le dire publiquement…
20 ans plus tard, le gouvernement du Québec a adopté une loi obligeant tout conseiller municipal à suivre des cours d’éthique… ET LA COMMISSION CHARBONNEAU a donné mal au cœur à toute une collectivité.
Le nouveau musée canadien des droits de la personne à Winnipeg est un pas dans la bonne direction… Le bien commun d’un territoire institutionnalisé passe d’abord par les mêmes droits, et le respect des règles du droit, qu’importe ta race, ta langue ou ta religion… et cela pour la planète entière… LE BIEN COMMUN ÉTANT LA NORME PLUTOT QUE L’EXCEPTION. La tricherie de l’argent étant l’exception plutôt que la norme.
Quand des millions de migrants climatiques menaceront la quiétude des riches, quand des millions d’enfants qui meurent de faim ou de blessures de guerre menaceront le mépris des biens nourris, il n’y aura que la marche sincère des droits de la personne à travers la planète pour éviter le pire à 7 milliards d’êtres humains.
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Pierrot vagabond