TITRE DU DOCTORAT EN PHILOSOPHIE POLITIQUE (600 PAGES) …. LE PAYS OEUVRE D’ART?

DOCTORAT
EN PHILOSOPHIE POLITIQUE

1- TITRE
le pays œuvre d’art?

2- SUJET
de la vie personnelle œuvre d’art
au pays œuvre d’art
par la nanodémocratie

3- QUESTION
Comment
la vie personnelle œuvre d’art
peut-elle mener
au pays œuvre d’art
par la nanodémocratie?

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PLAN DU DOCTORAT

1- INTRODUCTION

2- MÉTHODOLOGIE
– philosophie qualitative weberienne
interprétation/compréhension
idealtype weberien

3- HISTORIQUE

A) le thème de l’errance
dans la philosophie occidentale

B) DE LA MAITRISE SUR L’ERRANCE
D’ALEXIS LEMIEUX
– un chapitre théorique
Lemieux-Rochette
2 ans de recherches communes
sur le fondement conceptuel
de Dominique Berthet

C) NOUVELLE THEORIE DE L’ERRANCE
– fantomatique ( + errare – itinere)
– axiologique ( = errare = itinere)
– poétique ( -errare + itinere)

D) TROIS IDEALTYPE WEBERIEN
DÉCOULANT DE L’ERRANCE POÉTIQUE
– la vie personnelle œuvre d’art
– le pays œuvre d’art
– la nanodémocratie

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4- CHAPITRE 1
LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

A) structure du 1er idealtype weberien
découlant de l’errance poétique
4 questions
– Quel est ton rêve?
– Dans combien de jours?
– qu’as-tu fais pour ton rêve aujourd’hui?
– Comment ton rêve prend-il soin
de la beauté du monde?

B) ANALYSE COMPARATIVE
DE TROIS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART?
– Marcel Duchamp (attributs essentiels)
– Margaret Sanger ( application des attributs)
– Charles Darwin ( la variable de la synchronicité)

C) 8 ANS DE LABORATOIRE
HYPOTHÉCO-DÉDUCTIF FILMÉ, DOCUMENTÉ
– équipe de recherche (Auld, Woodart, Rochette)
– trois exemples idéaltypes documentés
a) Marlene la jardinière
b) Michel le concierge
c) Pierrot le vagabond-chercheur

D) POÏÉTIQUE DE L’ERRANCE POÉTIQUE
DU VAGABOND CÉLESTE
– le conteur international Simon Gauthier
et la légende du vagabond céleste, spectacle présenté depuis 5 ans à travers la francophonie,

– objectif de ce spectacle:
faire voyager les 4 questions
par l’art de la légende

CONCLUSION OUVERTE
Combien faut-il de vies personnelles œuvre d’art
pour que surgisse le premier pays œuvre d’art?

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5- CHAPITRE 2
LE PAYS OEUVRE D’ART

A) STRUCTURE DU DEUXIÈME IDEALTYPE WEBERIEN
ISSU DE L’ERRANCE POÉTIQUE
– une seule question …. pourquoi?
– Combien faut-il
de vies personnelles œuvre d’art
pour que surgisse le ier pays œuvre d’art?

B) ANALYSE COMPARATIVE
DE TROIS CHERCHEURS DU PAYS OEUVRE D’ART?
– Montesquieu ( la séparation des pouvoirs)
– Burckhardt ( la Renaissance et l’état œuvre d’art)
– Frank Scott ( Le Canada pays œuvre d’art)

C) 8 ANS DE LABORATOIRE
HYPOTHÉSO-DÉDUCTIF FILMÉ, DOCUMENTÉ)
– équipe de recherche (Auld-Woodart-Rochette)
– Michel le concierge
et son documentaire
«LE PAYS OEUVRE D’ART?»
présenté au festival du documentaire
de Montréal en novembre 2016

– objectif du documentaire
faire voyager les quatre questions
pour que le plus de vies personnelles
œuvre d’art possibles permettent le
surgissement du ier pays œuvre d’art
sur la planète terre.

D) POÏÉTIQUE DU PARCOURS EXPERIMENTAL
DE PIERROT LE VAGABOND CELESTE
DOCUMENTÉ PAR UN ROMAN, UN JOURNAL
ET UN BLOGUE SUR INTERNET
– l’homme qui plantait des arbres (Giono)
– l’homme qui allumait des rêveurs (Rochette)

CONCLUSION OUVERTE

Quel mécanisme démocratique manque-t-il pour que d’une masse critique de vies personnelles œuvre d’art surgisse le ier pays œuvre d’art?

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6- CHAPITRE 3
LA NANO-DÉMOCRATIE

A) STRUCTURE DU 3EME IDEALTYPE WEBERIEN
– une seule question… pourquoi?
– Quel mécanisme démocratique manque-t-il
pour que d’une masse critique de vies
personnelles œuvre d’art surgisse le ier
pays œuvre d’art

B) ANALYSE COMPARATIVE
TROIS VISIONNAIRES STRUCTURAUX
A) Wilson ( la soci8été des nations)
B) Roosevelt (l’ONU)
C) René Cassin-Eleonor Roosevelt
(la déclaration des droits de l’homme)

C) 8 ANS DE LABORATOIRE
HYPOTHÉCODÉDUCTIF, FILMÉ, DOCUMENTÉ
équipe de recherche (Auls, Woodart, Rochette)
– le concept de la nanodémocratie
– ses mécanismes
– son fonctionnement numérique
basé sur le tirage au sort
1 vote une ville, 1 vote un village

– sa mise en marche expérimentale
par une fondation

– objectif:
nouvelle conscience éthique-esthétique
planétaire en vue de la réforme des états
pays œuvre d’art par la masse critique
nano-numérique des vies personnelles œuvre
d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde.

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CONCLUSION (OUVERTE FINALE)

– retour sur les quatre questions
menant à la cinquième question
éco-philanthrope de l’espace-monde:

EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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LE PAYS OEUVRE D’ART?…. TITRE DU DOCTORAT… LE POINT D’INTERROGATION SYMBOLISANT LE SUJET, LA QUESTION ET LE PLAN DE LA PROBLÉMATIQUE D’UN PAYS CONCEPTUALISÉ COMME UNE OEUVRE D’ART.

DOCTORAT
TITRE
Le pays œuvre d’art?

SUJET
de la vie personnelle œuvre d’art
au pays œuvre d’art
par la nano-démocratie

QUESTION
Comment
la vie personnelle œuvre d’art
peut-elle mener
au pays œuvre d’art
par la nano-démocratie

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PLAN DU DOCTORAT

1- INTRODUCTION

2- GÉNÉALOGIE DE LA PROBLÉMATIQUE

a) le thème de l’errance
dans la civilisation occidentale

b) nouvelle théorie de l’errance
– fantomatique
– axiologique
– poétique

c) trois idéaux-types issus de l’errance poétique
– la vie personnelle œuvre d’art
– le pays œuvre d’art
– la nano-démocratie

3- LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

a) ier idéaltype
conséquence de l’errance poétique

b) hypothèse structurale
de toute vie personnelle œuvre d’art
quatre questions constructivistes
– Quel est ton rêve?
– Dans combien de jours?
– qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
– en quoi ton rêve
prend-il soin de la beauté du monde?

c) analyse comparative
de trois vies personnelles œuvre d’art

– Marcel Duchamp
et la création
d’attributs essentiels types
sous l’étiquette vie personnelle
œuvre d’art

– Margaret Sanger
et l’application systématique
d’attributs essentiels types
sous l’étiquette vie personnelle
œuvre d’art

– Charles Darwin
et la question de la part active
de l’univers (synchronicité)
dans le dynamique
d’une vie personnelle œuvre d’art
(wow-t=2.7k)

e) laboratoire conceptuel documenté
du concept de la vie personnelle
œuvre d’art sur une période de 8 ans
– Marlene la jardinière
– Michel le concierge
– Pierrot le vagabond chercheur

4- LE PAYS OEUVRE D’ART

5- LA NANO-DÉMOCRATIE

6- CONCLUSION

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MON RÊVE SOUS FORME DE RÉCIT DE VIE A ATTEINT SA FINALE

Très chère Isabelle

tu vois
quand j’étais squatter et que je dormais dans
le sous-sol d’une librairie alternative parmi des milliers
de livres sur une table avec comme seule couverture un drap
de peinture sale, et cela pendant 4 ans et demie, je pris PERSONNELLE la grande question existentielle de Frank Scott de l’université Mc Gill après y avoir lu sa biographie….

COMMENT FAIT-ON UN PAYS OEUVRE D’ART?

Par la suite, cela m’a pris de si nombreuses années pour intuitionner que par une seule vie personnelle œuvre d’art pouvait naître planétairement la nano-démocratie de laquelle découlerait l’émergence du premier pays œuvre d’art sur terre… mon CANADA PAYS OEUVRE D’ART.

J’arrive au bout du voyage intellectuel:)))) j’entreprends monatisquement la dernière partie de mon récit de vie….. à travers les années d’errance poétique, de vagabondage céleste à allumer des rêveurs à travers ce pays, toutes les souffrances et déceptions et trahisons reliées à l’intrigue d’un récit furent à la hauteur d’un pays oeuvre d’art… parce que je n’ai jamais cessé de croire à mon récit de vie et j’ai toujours refusé de me laisser distraire par la partie négative DE LA MAXIME HEURISTIQUE, GUIDE CONCEPTUEL PAR LEQUEL LA FINALE DE TOUT RÉCIT DE VIE NE PEUT QU’ÊTRE UN HAPPY ENDING ET UN SUCCÈS INTIME….

Je vis À MON TOUR LE CAMPUS DE L’UNIVERSITÉ MC GILL bien hissé sur les épaules de  Frank Scott qui, en y étant professeur, y écrivit sa fameuse question sans doute sur un bureau qui existe encore dans un local qui existe encore….

COMMENT FAIT-ON UN PAYS OEUVRE D’ART?

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Lâche pas Isabelle
quand son travail devient en soi un récit épique
l’œuvre dans toute sa luminosité  en est et la promesse…et la récompense.

WOW-T=2.7 K

Pierrot
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UN TITRE DE DOCTORAT… SIX LONGUES ANNÉES DE LECTURES UNIVERSITAIRES POUR ENFIN VIVRE L’EUPHORIE DE LA LUMINOSITÉ DE LA PROBLÉMATIQUE PAR LE TITRE

La dynamique des 600 pages du doctorat peut enfin se styliser implosivement dans le titre, le sujet et la question.

TITRE ET SUJET
De la vie personnelle œuvre d’art au pays œuvre d’art par la nano-démocratie

QUESTION
En quoi la vie personnelle œuvre d’art peut-elle mener au pays œuvre d’art par la nano-démocratie?

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La méthodologie à partir de laquelle je vais articuler ces 600 pages

ne sera pas 1) thèse-antithèse 2) normatif négatif-positif 3) statique-dynamique

mais sera plutôt 4)d’inspiration historique,

…… avec une connaissance pointue du champ épistémologique (je viens de terminer une première lecture soulignée systématiquement au stylo bleu du «vocabulaire technique et analytique de l’épistémologie de Robert Nadeau_.

Mais sera en surcroit articulée au cœur d’ une connaissance pointue du sous-champ de la sociologie qualitative dont j’aurai parcouru les différentes nuances théoriques à partir de Max Weber… jusqu’aux touts derniers écrits épistémologiques de la sociologie qualitative française…. et cela pour mieux réinventer le concept de TYPE-IDEAL comme moteur prospectif de la nano-démocratie.

EN CONSEQUENCE DE QUOI

Ayant déjà 67 ans, je renonce dorénavant à vagabonder le pays et je finirai mes jours de chercheurs à la bibliothèque de l’université Mc Gill….

Vais-je un jour m’inscrire officiellement au doctorat? Si la tendance se maintient…non…. car quel chercheur institutionalisé peut consacré 15 heures par jour 7 jours par semaine à la passion intellectuelle de sa vie sans être distrait par des considérations de carrière, de contreverse intellectuelle ou par des irritants émotionnels de l’univers domestique ou social….

L’ermitage absolu de la beauté du monde par la majesté des systèmes intellectuels provisoires et révisables qu’on appelle théorie vise en fait une application planétaire, comme celle qu’a réussie Montesquieu avec son concept-clé DE LA SÉPARATION DES POUVOIRS… Et qu’importe si le tout n’arrive qu’après ma mort… J’aurai vécu hors temps, hors réalité;, hors servitude mon cerveau vagabondant à l’intérieur de mon corps ( tout en survenance psycho-neurologique, telle que définit par Moore en 1903) comme l’astronaute à l’intérieur du cosmos.

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WIKIPEDIA

  • Arborio, A.-M. Fournier, P, L’Enquête et ses méthodes. L’observation directe, Paris : Nathan, 1999.
  • Bardin, L, L’Analyse de contenu, Paris : Presses Universitaires de France, 2001.
  • Becker, H.-S, Les Ficelles du métier. Comment conduire sa recherche en sciences sociales, Paris : La Découverte, 2002.
  • Blanchet, A. Gotman, A, L’Enquête et ses méthodes. L’entretien, Paris : Nathan, 1992.
  • Bourdieu, P. Passeron, J.-C. Chamboredon, J.-C, Le Métier de sociologue, Paris : Mouton, 1968.
  • Chauchat, H, L’Enquête en psycho-sociologie, Paris : Presses Universitaires de France, 1985.
  • Coenen-Huther, J, Observation participante et théorie sociologique, Paris : L’Harmattan, 1995.
  • Combessie, J.-C, La Méthode en sociologie, Paris : La Découverte, 1996.
  • Glaser, B. Strauss, A, La’ découverte de la théorie ancrée : stratégies pour la recherche qualitative, Paris : Armand Colin, 2010.
  • Hatzfeld, H. Spiegelstein, J, Méthodologie de l’observation sociale, Paris : Dunod, 2000.
  • Laplantine, F, La Description ethnographique, Paris : Nathan, 1996.
  • Paillé, P. Mucchielli, A, L’analyse qualitative en sciences humaines et sociales, Paris : Armand Colin, 2012.
  • Quivy, R. Van Campenhoudt, L, Manuel de recherche en sciences sociales, Paris : Dunod, 1988.
  • Weinberg, A, La fausse querelle des méthodes, Sciences humaines. no 35, janvier 1994. p. 14-21.
  • François Dépelteau, La démarche d’une recherche en sciences humaines. De la question de départ à la communication des résultats, Bruxelles, De Boeck Université, 2000.
  • Jean-Claude Kaufmann, L’entretien compréhensif, Nathan, 2001.
  • Alex Mucchielli, Les méthodes qualitatives, Paris, PUF, 1994

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TITRE DU DOCTORAT:….. DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART AU PAYS OEUVRE D’ART PAR LA NANO-DÉMOCRATIE

DOCTORAT

1-TITRE DU DOCTORAT
De la vie personnelle œuvre d’art au pays œuvre d’art par la nano-démocratie

2- QUESTION DU DOCTORAT
En quoi la vie personnelle œuvre d’art peut-elle mener au pays œuvre d’art par la nano-démocratie?

3- PLAN DU DOCTORAT

1- introduction

2- la vie personnelle œuvre d’art
A) historique
(errance fantomatique, errance axiologique, errance poétique)
B) type-idéal weberien par les quatre questions
– quel est ton rêve?
– Dans combien de jours?
– qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
– en quoi ton rêve prend-il soin
de la beauté d monde?
type-ideal weberien…. Marcel Duchamp

3- LE PAYS OEUVRE D’ART
a) HISTORIQUE
(Buckhardt, Frank Scott)
b) résultante du type-ideal weberien
– masse-critique est un
– wow-t=2.7k
– masse de vies personnelles œuvre d’art
type-ideal weberien…
«l’homme qui plantait des arbres» de Giono

4- LA NANO-DÉMOCRATIE
a) théorie aux faits
b) de la vie personnelle œuvre d’art
au pays œuvre d’art
c) un nouveau mécanisme de conscience
éthique et esthétique planétaire
type-ideal weberien
«la séparation des pouvoirs» de Montesquieu

5- CONCLUSION
L’implantation planétaire de la nano-démocratie pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:

EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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LUC DUPONT, UN GRAND PORTRAITISTE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART DU QUEBEC

courriel de

LUC DUPONT
UN GRAND PORTRAITISTE
DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART
DU QUÉBEC

Re-bonjour Pierrot,

Concernant Gérald Godin

Tu te souviens de notre avant-dernière rencontre; je t’avais amené au Brooklyn dans le Mile-End, alors que j’étais à écrire, pour la revue POSSIBLES, un portrait de Gérald Godin, et c’est à cet endroit que tu m’as donné le précieux conseil de partager avec les lecteurs le fait que je leurs avais concocté un texte dont les structures, n’étaient pas évidentes aux premiers abords, mais qu’il fallait persister dans sa lecture, pour en voir apparaître le juste sens (de ces structures-là).

Je suis effectivement passé à l’acte et tu noteras, dans le premier tiers du texte (du bas de la p. 3 au haut de la p. 4) remis depuis le 15 mai dernier, que j’ai expliqué les raisons pour lesquelles la “recherche de formes nouvelles” avaient été privilégiée : parce cette approche était en accord parfait avec les éléments séminaux propres aux 6 fondateurs (tous renouvelleurs de formes dans leur domaine respectif : ici sociologie et poésie.

Bonne lecture donc du résultat final, dont je n’ai eu que de minces échos jusqu’à maintenant, mais qui au moins me laissaient deviner qu’on avait “compris” la démarche !

Au plaisir d’une prochaine rencontre !

Luc

——
RÉPONSE-COURRIEL DE PIERROT

Très cher Luc
Je suis ébranlé de joie…..

ce que j’ai toujours perçu de génial en toi
(et là je parle de ta sensibilité poétique
bien ancrée au cœur d’une pensée structuraliste
issue de ta longue carrière de communicateur scientifique),

bref…. bref… tu fais œuvre en nous ILLUMINANT L’INVU ET L’INDI… (Jean-Luc Marion, COURBET OU LA PEINTURE À L’OEIL… À LIRE ABSOLUMENT) d’un morceau de notre patrimoine culturel.

Cet article-là sera ta barre de mesure pour le futur…. Je ne sais pas comment il sera reçu autant par la partie éditoriale de la revue que par le public s’il est publié… mais si quiconque suit l’évolution de TA PEINTURE À L’OEIL depuis Maufette,Gaston Miron, les frères maristes et Julien-Godin ne peut qu’être ému, créativement ému…

Tu sais à quel point j’ai mis des années à allumer des rêveurs un par un, en vagabondant le pays, tout en célébrant des vies personnelles œuvre d’art sans lesquelles un pays œuvre d’art ne se vit que comme utopie…

Je sens en toi un frère d’armes parce que par ton élégance intellectuelle bien trempée dans une oreille d’écrivain, tu nous peint des vies personnelles œuvre d’art qui ont fait de leur rêve un combat au service des autres…

Et c’est ce combat OEUVRE D’ART de Godin au service des autres que d’une façon oblique, tout en nuance et tout en respect de l’humain-souci, tu nous rend si actuel… si imposant… et si inédit… et si urgent… dans un article que je qualifierais d’inédit et anthologique autant par le fond que par la forme.

Pierrot

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MICHEL LE CONCIERGE

ARCHIVES…ENTREVUE SIMON GAUTHIER … 2 JUILLET 2015

Fdlm 400 – Francophonie : le conteur québécois Simon Gauthier (3’14’’)

Posté le 2 juillet 2015 par fdlm

Depuis plus de quinze ans, Simon Gauthier captive tous les publics par son imagination débridée, son énergie incandescente et sa sensibilité de poète. Ce conteur professionnel a décidé de se lancer dans le métier en 1998 après avoir vu le conteur Michel Faubert en spectacle un an plus tôt. Le lendemain de cette veillée mémorable, Simon s’est littéralement plongé dans la littérature de contes et a dévoré toute la section « contes » de la bibliothèque, aussi bien les contes traditionnels du Québec que ceux d’autres traditions. Depuis 2004, Simon effectue chaque année de trois à cinq tournées en France, présentant ses spectacles aussi bien dans des festivals qu’en salles ou en milieu scolaire. Il a aussi conté dans de nombreux pays et il se produit régulièrement au Québec et un peu partout au Canada. Benjamin Dehaut l’a rencontré.

TRANSCRIPTION
Benjamin Dehaut – Simon Gauthier est un conteur de 41 ans / un homme qui raconte des histoires / des légendes bien sûr / mais également des histoires vécues / c’est son père qui lui a donné cette passion pour le conte quand il était petit / et même lorsqu’il se présente dans la vie de tous les jours Simon Gauthier le fait en racontant une histoire – S. G. – Je suis né sur la côte nord / sur la rive nord du fleuve Saint-Laurent au Québec / un / un être humain qui aurait reçu par la lune un visage et par la nuit une parole – B. D. – Enfant / pendant les longs trajets en voiture il y a toujours une cassette de contes qui passe et déjà Simon Gauthier imagine des décors fantastiques – S. G. – Quand on était dans les cavernes / ben les gens / hommes ou femmes / qui partaient soit à la chasse / soit découvrir du pays / et quand ils revenaient / ben les gens se rassemblaient pour savoir qu’est-ce qu’ils ont vécu / les hommes et les femmes qui n’avaient pas pu faire le voyage écoutaient religieusement / donc c’était les premières télés du monde – B. D. – À 21 ans / alors qu’il chante des poésies à la guitare / l’envie de raconter des histoires lui vient / Simon Gauthier est désormais conteur – S. G. – Et je roule ma bosse depuis dix-sept ans / Québec / Nunavut / l’Ouest canadien / le Nouveau Brunswick / les îles de la Madeleine / la Belgique / la Suisse / la France / le Burkina Faso / on m’a demandé d’aller en Égypte / je suis revenu en Tunisie / j’ai décollé dans le fond de la Guyane française / j’ai été raconter chez les Inous / les / les premiers peuples au Québec / sous la tente / avec la vieille qui tricote / le gars qui est en train d’emmancher sa babiche pour faire une / une raquette / et là il y a un petit feu puis / puis ils sont dix / mais je dois conter comme s’ils étaient mille – B. D. – Et faire vivre une histoire du début à la fin n’est pas de tout repos – S. G. – Le conteur / ben on fait tout hein / on raconte l’atmosphère / on décrit les personnages / on raconte le récit / il faut monter des montagnes / faut mettre des ciels / faut faire des avions / faut faire planer des oiseaux / on a tout à faire / hommes / femmes / petits et grands / ben ils découvrent le plus grand théâtre du monde / le théâtre de l’imagination – B. D. – Alors à qui s’adressent ces histoires / aux personnes de 6 à 107 ans / dit-il en riant / il y a plusieurs niveaux de compréhension / notamment pour sa dernière histoire / celle du vagabond céleste – S. G. – J’ai rencontré un vagabond céleste / un monsieur avec un chapeau / avec un bâton / une guitare / une paire de bottes / avec une barbe / je dis bonjour / vous faites quoi dans la vie / il dit / ah moi / je suis vagabond céleste / je dis pardon / il dit oui / ça fait cinq ans que j’ai tout abandonné / j’ai dilapidé mes fonds de pension / j’ai tout donné mon argent / ma voiture / et puis ça fait cinq ans que je suis vagabond dans le Québec / vœu de chasteté / et je m’en vais rencontrer des rêveurs et des rêveuses / qui sont en train de faire de leur vie une œuvre d’art / et pour tous les rêveurs et les rêveuses que je rencontre / eh ben je les écoute et puis je leur écris une chanson pour les honorer / et ce qu’il aime beaucoup / c’est les artistes du quotidien / j’arrive dans une petite ville et je vois un magnifique parterre rempli de fleurs / il contemple et le jardinier qui s’en occupe lève la tête / il dit / ben vos fleurs sont merveilleuses / et là il interrompt le vagabond céleste en disant / ah non / non / non / je / je ne cultive pas des fleurs / je cultive l’espérance / pour tous ceux et celles qui passent devant ma maison.

LEXIQUE

LA LÉGENDE DE LA TUQUE …OU… L’ÉPOPÉE DE LA MUSIQUE CLASSIQUE DANS SA GUERRE CONTRE LE FÉODALISME AUTANT CAPITALISTE QUE CHRÉTIEN

Si un jour j’avais à raconter l’histoire de la ville de La Tuque… J’y célèbrerais mes héros… Lucien Rochette, Paulo Rochette, Roger Rochette qui, grâce au cheval de Troie que fut, pour eux, la musique classique, purent prendre conscience des chaînes autour de leur liberté que constituèrent féodalement les curés par leur spiritualisme prédateur et les capitalistes protestants du moulin à papier par leur paternalisme prédateur.

Seul Aubert Montgrain, le professeur et le directeur de l’harmonie de La Tuque réussit à briser ses chaînes en s’enfuyant de nuit avec une de ses élèves avec qui l’histoire d’amour dura près de 20 ans.

Le roman commencerait par Aubert Mongrain qui à l’âge de 80 ans, dans son condo de Longueuil, me raconte son arrivée à La Tuque et me déroule le fil de l’épopée musicale telle que lui l’a vécue.

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EXTRAIT D’UN ARTICLE DE L’ÉCHO DE LA TUQUE

31 JUILLET 2007

CONFERENCE CAMILLE BOUCHARD

Les Années lumières auront été l’adolescence de la civilisation moderne comme l’adolescence sont les années lumières de la vie. Il faut vous dire que je l’ai vécue dans une petite ville forestière de 15000 âmes (en exagérant), particulièrement sympathique à ses adolescents : La Tuque. C’était une communauté dont l’assiette fiscale était assez bien pourvue. De fait, c’était à l’époque où la mondialisation du commerce papetier ne s’était pas encore vraiment manifestée. (…) À part le fait admis que la fumée sulfureuse de l’usine ternissait le poli des voitures au grand désespoir de leurs propriétaires, dont M. Duchesneau qui s’échinais à faire briller sa Chevrolet tous les samedis de beau temps, nous ne savions pas encore que les rejets de l’usine nous empoisonnaient, que les températures excessives auxquelles les hommes étaient soumis les détruisaient à petit feu et que nos mères se morfondaient d’ennui à la maison. (…)» « En plus de cette insouciance béate, les adolescents que nous étions profitaient d’équipements sportifs de premier ordre. Ils avaient l’embarras du choix entre le baseball, le football, la balle-molle, le basket-ball (et pour les Anglais et les fils de médecins, le golf), la salle communautaire de bowling et de billard et le cinéma à rabais du samedi après-midi. Sans compter les possibilités quasi illimitées d’aller à la pêche, à la chasse. Et puis, il y avait les petits fruits, y compris les petits fruits défendus (vous me permettrez toute la discrétion requise à ce sujet). » « Les vicaires et curés, les religieux et religieuses s’occupaient de la troupe scoute et des 4H et de l’Oeuvre des Terrains de Jeux (OTJ) qui nous accueillaient enfant, et dont nous devenions, pour certains d’entre nous, moniteurs et monitrices plus tard. Les commerçants, dont la famille Spain se montrait à la fois généreux et futés : ils en avaient guère le choix me direz-vous, mais ils le faisaient dans la bonne humeur et même, pour certains, dans l’enthousiasme. Les familles Scarpino et Scalzo produisaient des générations d’athlètes qui se transformaient au fil du temps en coach ou restaurateurs des stades sportifs. La famille Shapiro demeurait, quant à elle, mystérieuse : leur mercerie sentait quelque chose qui rappelle aujourd’hui les cornichons à l’aneth. » « Une autre famille, la famille Mongrain s’assurait que tout ce beau monde se mette quelque chose d’autre que des statistiques sportives entre les deux oreilles. Aubert Mongrain, musicien talentueux et passionné, sa femme, belle comme seule une violoncelliste peut l’être, avait convaincu la ville de se doter d’une fanfare de très haut niveau. Mais, il fallait à cette fanfare un club ferme, ce que l’Harmonie scolaire formée de plus de 60 adolescents entraînés sous la férule baguette de monsieur Mongrain, assurait. Cette Harmonie scolaire était à ce point performante qu’elle s’était mérité une invitation d’aller jouer à la Place des arts à Montréal. » « En 1958, à 13 ans, j’empruntais une fortune à mon père : 100 $ pour acheter un kiosque de cirage à chaussures. Les repose-pieds m’avaient été offerts à rabais par le propriétaire de la salle de billard voisine de la maison. La clientèle se fit si pressante (faut dire que j’étais installé devant la plus grosse taverne de la ville) que je dû engager un assistant qui touchait 10 ¢ la paire sur un tarif de 25 ¢ et devait me refiler en sus les pourboires. Après tout, je fournissais la matière première, que je lui expliquais ainsi qu’à sa mère, ma tante. J’y donc appris, adolescent, qu’un capitaliste pouvait être détesté, même par son cousin, pour de bonnes raisons! Le défi était de cirer les chaussures des hommes qui, accoutrés de leurs plus beaux pantalons noirs, nous demandaient de faire reluire leurs souliers, noirs aussi, en nous suppliant de ne pas tacher leurs chaussettes jaune citron. Il fallait nous faire confiance. Et nous en étions fiers. » « Mais le nec plus ultra, c’était le 0-100 20, club de danse sans boisson réservé aux jeunes (comme son nom l’indiquait), situé sur le bord d’un petit lac que l’on trouvait en plein centre de la ville, et ouvert les vendredis et samedis soirs. On pouvait y danser, mais aussi y louer des chaloupes à rames, premier élément tactique de chaudes soirées à ramer et à sombrer… plus dans le désir qu’autrement. La même salle de danse ouvrait aussi le dimanche en après-midi. C’était, qu’il fasse beau ou qu’il tombe des cordes (on préférait la pluie), le moment privilégié de slows collés et langoureux : tout le monde voulait danser avec la grande Catherine (nom fictif) réputée pour sa maîtrise très particulière du slow pour ensuite assister, encore lubrique, à la messe de 5 heures où tout le monde avait l’air des anges. Il fallait nous faire confiance. Et nous en étions fiers. » « Vous le voyez bien, j’ai vécu une adolescence bénie, entourée d’adultes compétents qui, eux-mêmes, se retrouvaient dans une communauté homogène et riche de capital économique, de capital humain et de capital social. Nos loisirs étaient diversifiés et, à ce point nombreux, que, pour reprendre un concept cher aux écologistes du développement, les «scènes de comportement» se retrouvaient constamment en demande de jeunes aptes à occuper tous les rôles requis pour le bon fonctionnement de ces activités. Autrement dit, les adultes de cette petite communauté s’étaient piégés : dans leur souci de contrer l’oisiveté propice à la lascivité et à la concupiscence, ils avaient créé des environnements dans lesquels nous étions des acteurs communautaires nécessaires au bon fonctionnement de leurs institutions sportives ou culturelles. Sans nous, leurs projets tombaient. Nous étions indispensables à leurs plans. Et sans doute à leur santé mentale! Autrement dit, quand on ne peut se passer des adolescents, on en prend soin. Comme à La Tuque, au début des années ’60. Pouvons-nous en dire autant maintenant? »

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PAUL RICOEUR
TEMPS ET RÉCIT
TOME 1
P.212-213

Suivre une histoire, en effet, c’est comprendre les actions, les pensées et les sentiments successifs en tant qu’ils présentent une direction particulière (directedness): entendons par là que nous sommes poussés en avant par le développement, dès que nous répondons à cette impulsion par des attentes concernant l’achèvement et l’issue du processus entier.

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Michel le concierge

P.488 DU DICTIONNAIRE D’ÉPISTÉMOLOGIE… ITEM PHILOSOPHIE PRATIQUE

Vocabulaire technique et analytique
de l’épistémologie
Robert Nadeau
p.488
item «PHILOSOPHIE PRATIQUE»

« PHILOSOPHIE PRATIQUE. La philosophie pratique entend indiquer aux êtres humains les conditions sociales, économiques, politiques et morales qui leur permettront d’acquérir un mieux-être, voire le bonheur. Elle englobe donc toute réflexion (de nature philosophique) sur les relations sociales, les liens économiques, les classes sociales, les structures politiques, la morale, etc…. Dans les termes même de Kant, elle veut apporter une réponse à l’homme qui se demande … QUE DOIS-JE FAIRE?… par opposition à la philosophie théorique qui entends répondre à la question «QUE DOIS-JE CONNAÎTRE? »

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Michel le concierge

JE SAISIS MIEUX À QUEL POINT UN CERVEAU DOIT ÊTRE VIDE DE TOUTE TOXICITÉ DES HABITUS RELIÉS AU CORPS

Quand je suis épuisé momentanément du monastère de ma démarche… je n’ai qu’à penser à Kant, Descartes, Spinoza, Marx, Einstein…. dont les heures, les jours et les nuits furent majestueusement vécus dans une existence consacrée à la vie intellectuelle.

J’ai 67 ans… Même la nuit quand je dors sur mon plancher… vers 3h.30 le matin, dans mon sommeil, les problématiques, les hypothèses, les théories, les paradigmes, deviennent mes invités au festin de l’improbable.

Je suis excité 7 jours par semaine 24 heures par jour… J’ai rarement de la peine (reliée à mon avis à la toxicité psychique de la mémoire factice reliée au souci sartrien… Le big bang de mon rêve vécu sur la scène il y a plus de 15 ans poursuit son expansion infinie… attisé par L’INACCESSIBLE ÉTOILE DE BREL.

Sarah Rubato m’a écrit un courriel… elle est arrivée d’Europe… elle viendra sans doute me saluer à Mc Gill, mon monastère pour plusieurs années… Il y a un piano sur la rue devant le campus… je lui ai demandé si elle pouvait me jouer IL PLEUT SUR NANTES DE BARBARA…
32 ans à faire de la scène à 250 spectacles par année, ça laisse au fond de moi  ce vent dont parlait mon père qui fut lui-même artiste… ce vent que j’entends parfois… celui de la porte de garage ouverte du café St-Vincent… celui de chez Gaspard aux iles de la madeleine… celui des deux Pierrots quand les lundis et mardis des tempêtes de neige l’hiver, je chantais en bas de la scène devant le feu de foyer, en arrêtant entre chaque couplet pour mieux poétiser le fond de l’indit….oui… je fus heureux durant 32 ans… un vagabond, un errant poétique… malgré l’irritant que constituait pour moi le public et les applaudissements… peut-être àause de ce dactylo que je traînais de ville en ville, de village en village pour réécrire mes cahiers de chansons en refusant d’en apprendre une seule par cœur… pour me laisser transpercer par LE VENT DE L’ÊTRE DANS LA TEMPÊTE DES IRRITANTS DE L’EXISTENCE.

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Michel le concierge…