La poésie…. La vie n’est que poésie…. du moins pour le poète… Mais qu’est-ce donc que la poésie?
Je crois que c’est l’envers de l’horreur… le privilège que de n’être autre chose que le rien qui danse en soi pour mieux témoigner de la souffrance universelle des errants fantomatiques qui eux vivent l’invisibilité des abandonnés des chances d’avoir accès aux ressources et encore pire… celle des errants axiologiques qui se battent hiérarchiquement pour monter d’un barreau de l’échelle sociale…
Je ne sais trop que dire… Le poète n’est habité que par la poésie … J’ai beau fermer les yeux… elle est toujours là dansant en moi… j’ai beau ouvrir les yeux… elle est encore là… j’ai beau vieillir… elle est encore et encore et encore jeunesse éternelle du vent qui soufflait dans la fenêtre de garage du café St-Vincent quand je chantais sur le petit banc… de la petite scène … soir après soir… pauvre… si pauvre… mais si riche…
La beauté du monde faisait en sorte… que je m’évanouissais de l’intérieur… parce que cela était impossible que ce ne soit pas moi qui chante… que les applaudissements du public me laissait indifférent… ni voyant que le piège du paraître… Comme m’avait déjà dit Suzanne Fortin, la belle grande fille de Recyclo-livres… JE SUIS AMOUREUSE DE TON ÂME….
Je dois avouer aujourd’hui que je n’ai jamais aucun talent en amour… Je me rappelle Pierrette qui était vérificatrice bancaire à l’international…. Un jour… je reçois une lettre d’amour…. bien sûr… une belle fille qui a le courage de t’écrire une lettre d’amour… c’est quand même un événement dans une vie…
Mais les deux hobos en moi qui sautent du train de la condition humaine chaque fois que cela devient sérieux… te font un handicapé de la peur d’être seul… Et encore une fois… une nouvelle femme dans ma vie… et encore une fois… la poésie qui me disait… fuis… fuis… la poésie peut rarement gagner contre l’usure du quotidien…
Je me rappelle… Je passais mes nuits chez elle, aprèes le spectacle è l’auberge avec Denis… è lire Krhisnamurti… des nuits entières… et Pierrette de me dire… si tu ne me fais pas l’amour… je vais me trouver un amant… et moi de lui répondre… Je préfère que tu te trouves un amant… c’était terminé….
Je me rappelle… j’étais dans le train avec une de mes ex-femmes… Nous venions de créer un nouveau spectacle à l’auberge… cela m’avait demandé de nombreuses recherches sur le western américain… en fait… nous avions un spectacle country qui nous permis Denis et moi de faire 2 fois le festival de Ste-tite…
Nous étions dans le train… et j’avais apporté un gros volume en anglais sur le burlesque américain… et mon ex de me dire… c’est ça… on est en vacance et tu lis encore… Terminé que je me suis dit… à la gare suivante… je fis en sorte qu’elle s’asseoit plus loin pour que la poésie qui m’habite ne me trahisse pas…
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J’étais , nuit et jour, poésie… fou de poésie… comme quand j’écrivais des nuits entières mes cahiers de chansons au dactylo… comme quand je passai plus de 14 ans à bosser sur une maîtrise … Parfois.. la salle était en délire…Je me rappelle entre autres, à Gatineau je crois… Pendant que j’étais sur scène… et que le public dansait sous mon talent…moi… je courbais le pacing et l’improvisation pour varier à l’oreille les trois formes de rire (le rire de supériorité, le rire de libération, le rire de l’incongruité) … et là. lorsque j’avais fais une avancée théoritique… je n’avais hâte qu’à l’intermission pour déposer cette avancée intellectuelle… bien écrasé contre le plancher… Denis arrivait et disait… c’est le temps de retourner… et moi de lui dire… donne-moi 5 minutes… j’ai pas fini… et passionnément… je poursuivais la seule chose qui m’intéressait… témoigner par l’écriture de mes avancées de laboratoire… car pour moi… faire de la scène.. c’était d’abord un laboratoire de recherche poétique… 250 fois par année… j’étais poésie-chercheur…. d’un rêve étrange…
Parfois les brosses d’être étaient si intenses…. comme ce fameux soir d’été au Patriote de Ste-Agathe… ou je vécus un coup de foudre pour une jeune femme… j’arrivai sur la scène et je dis: Mesdames et Messieurs.. ce soir le spectacle ne durera pas 20 minutes… aujourd’hui j’ai vécu un coup de foudre… et j’ai la chance cette nuit de vivre une extraordinaire nuit d’amour… et je débarquai…. prit ma guitare et partis…
Je me rappelle… Denis était à l’arrière dans le petit bureau… et tenait sa tête dans ses mains… A ma grande surprise… des hommes vinrent me serrer la main en tremblant…. j’avais touché en eux quelque chose qu’ils n’auraient jamais l’occasion de vivre… et ile me remerciaient d’avance de le vivre pour eux…
C’était une très belle femme…. On s’était donné rendez-vous dans un parc… Elle travaillait à l’auberge… on dirait qu’elle avait vu en moi ce que je n’avais pas encore vu moi-même… le vagabond qui s’apprêtait à tout lâcher pour vivre radicalement la poésie qui l’habitait…. C’est elle qui m’avait dit… T’ES PAS TANNÉ DE FAIRE LE SINGE EN AVANT… Elle avait visé juste… Ma maîtrise sur le rire était terminée… j’avais l’impression de n’être plus que la caricature de moi-même…
Nous arrivâmes à l’ancienne maison de Raymond Levesque qui était la mienne sur la Butte aux Pierrots (l’ancienne butte à Mathieu)… elle alluma des chandelles… et fit des incantations une partie de la nuit …. pour que mon vrai moi surgisse… Tout chez elle était délire…. Je fus inquiet au point ou je cachai les couteaux… Nous dormîmes l’un près de l’autre… Étrangers… elle dans le délire… moi dans la poésie… elle partit à pied dans la nuit… j’ai su plus tard que la police l’avait ramassée sur la route et qu’elle était entrée en psychiatrie…
Le lendemain… la salle du Patriote était bondée… mais bondée… Je reconnus des visages d’hommes qui m’avaient serré la main la veille et qui voulaient connaître la suite de l’histoire… et je racontai la catastrophe que fut ma nuit… et le spectacle fut étrange… comme de la poésie au clair de lune qui s’était trompé de soir….
Ce jour-là… je sus que j’avais franchi une ligne… Je ne faisais plus la différence entre ma vie poétique et les lois de la scène… C’est pas longtemps après que sur scène à l’auberge…. je chantai la quête de Jacques Brel et quittai à jamais par la porte d’en arrière…
J’apportais avec moi… la poésie de ma jeunesse… intacte…
Seule la poésie comptait…. chaque visage de femme n’était que le nouveau masque sous laquelle elle venait se reposer… plus j’étais pauvre, plus j’étais sans le sous, plus j’étais poète, plus de très belles femmes venaient mystérieusement hanter l’enchantement des rêves uniques….
C’est ainsi que Mademoiselle Marie débarqua avec son chien… alors que je n’étais qu’écriture devant le poêle a bois… et que je me ramassai à Victoriaville… dans sa maison…. a travailler nuit et jour à Monsieur 2.7 k… à lire,lire, lire, lire… à hurler à la bibliotheque là ou mon ami le poete Richard Gamache était concierge…. à hurler…. ma colère de ne pas trouver ce que je cherchais… Cher richard…
En ce début d’année, le palabreur Richard Gamache est à concocter un recueil de poésie qui sera publié au printemps ou à l’automne.
«…d’ivresse et autres états», voilà le titre de cette publication en devenir. De quoi ratisser assez large pour ce résident de Saint-Norbert-d’Arthabaska qui a puisé dans ses écrits (depuis 1974) pour répertorier, avec l’aide de son amie Diane Descôteaux, les textes qui se retrouveront dans le livre.
«Ça fait déjà quelques années que je n’ai rien produit en poésie. On écrit, on laisse traîner ça et tout à coup on voit qu’on a pas mal de matière», a-t-il indiqué en entrevue téléphonique.
Il faut dire que depuis 2010, Richard Gamache est entré dans le monde du conte dans lequel il a intégré ses poèmes. «J’ai accumulé de quoi publier», ajoute-t-il. Et en mars 2016, une soirée de poésie à la Gamacherie (son lieu de diffusion à Saint-Norbert) lui avait aussi permis d’assembler quelques poèmes.
«Nous avons commencé à regarder le projet sérieusement l’automne dernier et Diane est partie avec l’ensemble de mes écrits et on fouille là-dedans», ajoute-t-il. Le poète avait aussi fait un geste vers ce style littéraire en participant, il y a quelque temps, au concours de poésie de Radio-Canada. «Je n’ai pas été retenu, mais il y avait 700 participants», précise-t-il.
Les œuvres choisies seront ensuite envoyées à quelques maisons d’édition et l’auteur aimerait bien que le tout soit lancé au printemps (lors de l’événement «La parole est aux actes» qu’il organise) où à l’automne, moment où tombent les feuilles, un beau temps pour la poésie dira-t-il…
Si Richard Gamache souhaite publier de la poésie, il n’en délaisse pas pour autant le conte. «Je conte encore à Saint-Eustache, à Sherbrooke, à Victoriaville. Et je fais aussi du coaching, notamment avec Jean-Lévis Bédard. Je n’ai pas à me plaindre de mes activités artistiques», souligne-t-il.
La musique occupe aussi une partie de son temps puisqu’il est à faire l’inventaire technique de ses œuvres pour les faire passer de l’analogique au numérique.
Cher Richard Gamache…. Il était poète-concierge …..Grâce à lui… j’avais accès une partie de la nuit à la bibliotheque du cegep de Victoriaville… il me disait… passe pas devant les cameras… y a pas de son ici… et je lisais nuit et jour….plus je lisais… moins je trouvais ce que je cherchais…
Je hurlais… le poingt dans les airs…. contre les livres que je lisais…. chez mademoiselle Marie… je ne faisais que deux choses… passer la balayeuse le matin dans le salon et lui les mettre son manteau sur les épaules quand elle allait enseigner les mathématiques…. Nous nous disions vous… et je lui disais…
Mademoiselle Marie… je ne vous demanderai jamais de faire l’amour… mais au cas ou j’oublierais… j’aimerais que vous le demandiez de la façon suivante… MONSIEUR… POURRIONS-NOUS FAIRE EXULTER NOS CORPS CE SOIR…. et moi je vous répondrai… A QUELLE HEURE MADAME? …. Prenez un bain pendant que je termine mon chapitre… et je la rejoignais… On s’est toujours dit vous… et on a toujours dit tu à ses amies…
Nous faisions chambre à part… j’aimais me masturber à 7 heures le matin précis… donc le samedi matin… mademoiselle Marie avait pris l’habitude de visiter ma chambre pour me passer son sein pendant qu’elle fumait une cigarette… puis nous jouions au scrabble avant que j’aille continuer sous un arbre à explorer l’impossible poésie qui ne cessait de me visiter….
Pendant mes 2 ans avec elle… je n’ai jamais eu de vies sociales… dès le départ… je pris la peine de dire a sa mère…. Madame ne soyez pas insultée si je ne prends pas le plaisir de vous connaître… je suis en recherche nuit et jour…. et je ne la connus pas… et cela fut respecté… Tout ce que me demandait Mademoiselle Marie… c’était le soir… de lui raconté mes lectures…. ce que je fis… et un jour… je m’enfuis pour aller squatter è recyclo-livres librairie alternative de Victoriaville, dormir dans la cave sur une table pour faire des recherches avec le grand Gérard Cadieux et l’ensorcelante Suzanne Fortin SUR LES LOIS DU WOW…
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LE MERVEILLEUX GERARD CADIEUX…, CRÉATEUR DE
WOW-T=G3
À propos de Gérard
Si, j’ai vieilli, je ne m’en suis pas rendu compte. Parce que mes idées elles sont restées jeunes.
J’ai eu mon plus vieux rêve à 6 ans. Depuis, j’ai tout réaliser mes rêves sauf celui de mes 6 ans.
J’ai toujours la tête dans l’univers. Est-ce que je suis extraterrestre? Non, juste un peu rêveur.
Aujourd’hui je pratique les métiers les moins payants du monde. Auteur, Créateur, Philosophe et Rêveur
J’ai créer la formume Wow-T= G3. J’ai développé la philosophie du Wow.
Auteur d’un scénario de film de science-fiction ” Ex Coelis”
Févr. 2011 à aujourd’hui
Une intrigue qui met en vedette Nikola Tesla et Jules Verne
Auteur et Créateur d’un concept de guides sur les dépendances
Mars 1985 – Févr. 2011
Mes recherches ont débuté le 21 mars 1985. 5 ans ont été nécessairespour la conception de cette collection.
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Très cher Gérard… Comme nous avions été intenses durant 4 ans… toi tu dormais chez ta mère… ex soldat de l’armée canadienne… Souvent tu arrivais la nuit…. moi je levais de la table dans la cave… Nous sortions le grand tableau vert et lèa… et là… tout le reste de la nuit… à grands coups de craies et grands coups de gueule… nous faisons de la recherche sur le wow…. C’était magique Gérard…. Comme nous avons été heureux ami…. comme nous avons été heureux….
A 9 heures le matin…. nous ouvrions la librairie et comme si de rien était… on jouait aux échecs…. avant que j’aille piqué un somme dans la cave…
ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD ROCHETTE) Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond
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LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
1. Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception…..
2. Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art. a) Quel est ton rêve?…b) dans combien de jours…c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?…d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?….
3. Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation soit lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….
4. En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?….
5. Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE…..
6. Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 2×39 vies personnelles œuvre d’art en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE. ( 2 assemblées des justes, 39 femmes, 39 hommes*) ….
7. Imaginons que ces deux assemblées des justes œuvre d’art (39 femmes, 39 hommes) se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière….
8. Imaginons que….. la cinquième question…. (EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?) devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls…..
9. Imaginons qu’une fois les deux assemblées des justes réunies (39 femmes, 39 hommes) , un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionnée comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde….
10. Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre…..
11. EN CONSEQUENCE DE QUOI….Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire un jour ….. DES PAYS OEUVRE D’ARTS …… DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART….
12. .La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel œuvre d’art, la liberté œuvre d’art reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU….. objectif:….nouvelle conscience éthique-esthétique planétaire en vue de la réforme des états …… en pays œuvre d’art ….. et cela …… par la masse critique nano-numérique des vies personnelles œuvre d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde……
13. L’implantation planétaire de la nano-citoyenneté pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:– retour sur les quatre questions… menant à la cinquième question éco-philanthrope de l’espace-monde:-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
Pandémie : jusqu’à 86 millions d’enfants supplémentaires menacés par la pauvreté
(Nations unies) Les conséquences économiques de la pandémie de COVID-19 pourraient pousser jusqu’à 86 millions d’enfants supplémentaires dans la pauvreté d’ici la fin de l’année, selon une étude conjointe de l’ONG Save the Children et de l’agence onusienne UNICEF.
Agence France-Presse
Au total, ce serait ainsi 672 millions d’enfants touchés par la pauvreté, soit une augmentation de 15 % par rapport à l’année précédente, précisent les deux organisations dans un communiqué mercredi.
Près des deux tiers de ces enfants vivent en Afrique subsaharienne et en Asie du sud.
L’augmentation du nombre d’enfants touchés par la pauvreté à cause de la pandémie se réaliserait surtout en Europe et en Asie centrale, selon l’étude qui s’appuie sur des projections de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international et des données démographiques dans une centaine de pays.
« L’ampleur des difficultés financières auxquelles sont confrontées les familles menace les progrès obtenus depuis des années dans la réduction de la pauvreté des enfants et de les priver de services essentiels », estime Henrietta Fore, directrice de l’UNICEF, citée dans le communiqué.
Avec une action immédiate et efficace, « nous pouvons contenir la menace de la pandémie pesant sur les pays les plus pauvres et certains des enfants les plus vulnérables », juge de son côté Inger Ashing, patronne de Save the Children. Ils sont « très vulnérables à des périodes de faim même courtes et à la malnutrition qui peuvent les affecter durant toute leur vie », avertit-elle dans le communiqué.
Les deux organisations demandent notamment aux gouvernements d’étendre rapidement leurs systèmes de couverture sociale et l’alimentation dispensée dans les écoles pour limiter les effets de la pandémie.
Ma vie ressemble à celle des coureurs des bois… du moins dans mon imaginaire… tout n’est que forêt, canots, chûtes, rapides, feu de camp, vent dans les arbres et cheveux aux douceurs ineffables….
quand je revisite mon passé….c’est comme si le coureur des bois en moi arrivait à l’improviste au beau k-oeur des débris de sa mémoire du k-oeur….
Combien de fois sur scène j’ai voulu retenir le temps… surtout quand des bitts de burlesque que j’avais inventé pour accompagner ma maîtrise sur le rire me faisaient laboratoire de la condition humaine….
J’avais été impressionné par le roman au nom de la rose d’umberto Ecco….
Vagabonder dame Pauvreté fut un honneur…. Sans boire, ni fumer, ni droguer…. avec un vieux chapeau, barbe longue, un bâton de pèlerin et un sac à dos…. chaque morceau de poésie m’ayant été offert sans que je ne le demande le long de ma route… je découvris l’abondance spirituelle… celle du k-oeur et de la k-ompassion
Quand Fred Pellerin chante LA COMPLAINTE DU ST-MAURICE …. cela me va droit au k-oeur…. Ma route vagabond fut parsemé d’amours poétiques … de femmes-fées… que j’ai du fuir comme mes deux hobos ont sauté su train…
Suzelle
ta vie ressemble a un de ces lampions
qui brûlent le soir dans ton église barrée
y a plus personne dans tes nuits pour t’eteindre
ou t’allumer d’un amour passionné
Suzelle
perdue dans le presbytère d’à coté
tu habites à la place de ton curé
un vieux bâtiment très dur à chauffer
si mal barré qu’t’as l’goût d’déménager
REFRAIN
tu t’promènes tu t’promènes
entre Dieu et ta peine
agente de pastorale
6 jours semaines
mais
l’dimanche soir, l’dimanche soir
entre dieu et ton dortoir
tu rêves d’un amour
trop humain trop humain
trop humain
qui te brûle
dans le noir
COUPLET 2
Suzelle
ma vie ressemble à celle d’un vagabond
qui partout frappe à des églises barrées
hier soir j’ai tellement gelé sur le perron
de ton clocher
j’enviais tes lampions
Suzelle
ma liturgie à moi c’est les étoiles
les oies qui chantent que j’vois pas dans le ciel
qui passent dans l’noir au dessus d’ton presbytère
ou tu t’enterres en quête de deux ailes
COUPLET 3
Suzelle
sais-tu pourquoi y a tant d’églises barrées
dans mon Québec que j’ai tellement aimé
c’est que le sexe vécu sans la bonte
ça oté le goût de s’agenouiller
Suzelle
sais-tu pourquoi y a tant de presbytères
vieux désuets mal chauffés mal aimés
c’est pour que de célestes vagabonds
à ta fenêtre te rechantent ma chanson
Pierrot
vagabond céleste
——————
Ah Suzelle…. je dormais sur un congélateur dans un petit restaurant du lac è Beauce,,, et tu y passais… pour venir le dimanche après la messe pour y déjeuner… J’étais seul , pauvre, mais heureux… Je rêvais du Yukon, de liberté… de fuites entre deux amours impossibles….
Tu vivais dans un vieux presbytère… seule… sortant d’un amour difficile. agente de pastorarle… tu avais vécu une histoire d’amour avec un agent de pastorale… tu sortais d’une souffrance.
Nous étions à 10 minutes de marche… C’était l’hiver… la nuit… je m’entraînais le long de la rivière St-Maurice dans des tempêtes impossibles… parce que je rêvais du Yukon…
Quand je passais devant ta chambre… le k-oeur me débattait… j’étais pris entre la fuite de mon rêve et l’attraction du tien. Je m’assoyais sur le parvis de l’église et je me disais qu’elle était barrée… que c’était un scandale… Pendant que les lampions étaient au chaud, les vagabonds avaient froid….
J’avais froid…. Que c’est dramatique d’être amoureux quand ce n’est pas ta destinée d’en vivre:)))
C’est sur le parvis de l’église, les doigts gelés que j’ai écrit cette chanson pour me dé-ensorceler de ta beauté
la femelle veut un petit
du plus puissant buck
de la nuit
c’est visceral
pour l’homme animal
d’être choisi
alors
il
gémit
REFRAIN
j’arrive pas à croire
qu’à mon âge
j’ai encore de l’orignal
dans l’milieu du cadavre
même si
dans la neige mouillée
mes vieilles bottes sont trouées
mes deux bas sont trempés
j’ai quand même
quand même
un jeune buck
de caché
en d’dans d’moé
pis une femelle l’a flairé
mais pas question
d’lâcher lousse
l’homme-orignal
l’autre bord
de moé
COUPLET 2
entre le restaurant
et la vieille école barrée
y a deux maisons
une église
à traverser
j’ai beau
marcher ben ben vite
attendre qu’arrive
la nuitte
même une femelle
qui dort
peut lancer
un appel
à l’orignal
en elle
COUPLET 3
ça fait trois ans et demie
que j’ai pas d’femme
dans ma vie
j’étais ben sûr
que l’problème
était réglé
y a suffit
d’un rêve la nuit
d’un homme orignal
qui gémit
pour que la soif
de boire aux lèvres
d’une belle femelle
me fasse
gémir
vers elle
Pierrot
vagabond céleste
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Puis je t’ai écrit ta chanson que je t’ai chanté à ta table… LA CHANSON DE SUZELLE …… tu t’es sentie humiliée devant tes amies…. et le charme entre nous cessa.. ET J’AI PU REPRENDRE LA ROUTE DE L’IMPOSSIBLE.
Voilà une chanson que je chantais en fin de soirée…. quand la clientèle n’écoutait plus…. comme j’adorais quand le public n’écoutait plus vers 2h du matin… je pouvais danser la vie entre ma guitare et ma voix…
Je tournais les feuilles de mon gros cahier… et je retrouvais le bal chez temporel de Guy Béart…. ma chanson… celle qu’on ne peut chanter que pour soi… et comme elle était très courte… je la recommençais sans cesse… et comme le public était trop heureux à boire… la chanson pouvait suivre son cours comme un ruisseau qui n’en finit plus d’enchanter la vie….
Je crois que mon plus grand rêve , à cette époque là fut que la plus belle fille du monde soit abasourdie devant l’impossible de cette chanson et l’impossible de sa répétition et qu’elle se dise… je veux vivre la poésie de cette chanson avec cet artiste… dans un café… vivre le bal chez temporel comme la poésie de cette chanson…
Je rêvais de l’impossible…. non pas de la belle fille, non pas de moi avec elle… mais de la chanson LE BAL CHEZ TEMPOREL… dans le juke box… pendant qu’une fille et un gars en immortalisait la peinture d’un impossible heureux.
Et cela m’est un jour arrivé…. chez Gaspard, aux iles de la Madeleine… faut dire que René Robitaille y fut le premier chansonnier du Vieux Montréal à y chanter…. et comme les clients l’adoraient et qu’il buvait avec eux… la cassette de Guy Béart se mit è jouer, jouer et jouer… au point ou quand René quitta… il y laissa sa cassette…
Et moi j’arrivai par avion… les clients me demandèrent d’apprendre les chansons de Guy Béart que je ne connaissais pas… et c’est ainsi que j’appris LE BAL CHEZ TEMPOREL… et c’est ainsi… qu’un soir… une belle fille de la salle et moi fumes seuls è une table pendant que la cassette joua LE BAL CHEZ TEMPOREL…
de mon côté je réalise que j’adore m’enfoncer dans le sommeil poétique-thématique l’après-midi….
c’est probablement mon sommeil créateur le plus puissant… le plus heureux… le plus onérique
comme si les fiançailles avec la beauté du monde qui ne m’ont jamais quitté déployaient des paysages
qui bientôt feront oeuvre…. car la poésie… c’est d’abord l’impossible fait quotidien…. comme quand le tout
premier humain sur terre se fit un feu
12 superb poignant vocal tracks recorded live at his own Café St-Vincent bistro in Old Montreal with a 3-piece acoustic group in front of a tiny but enthusiastic late-night crowd. Pierre Rochette is a former member of Quebec folk-sextet Les Contretemps and co-founder of Montreal’s mythical cabaret “Les Deux Pierrots”.
All songs are Pierre (Pierrot) Rochette originals, ……strong French vocal-pop with an amazing Jacques Brel / Georges Brassens vibe……helped out admirably by Marcel Brun (percussion, xylophone), Claude Thompson (bass) and Paola Bellomia (piano).
This is Rochette’s only solo recording ……released (in Quebec only) on the tiny and short-lived SonoGram label (who released only a half-dozen LP’s……including Le Match and Gilles Rivard’s rare debut LP…..and a few mega-rare singles by artists like Clockwork and Marius Cultier).
Featured at the Museum Of Canadian Music
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ARCHIVES POUR LE DOCTORAT… À PROPOS DU LIVRE DE POÉSIE DE 1974 «PIERRE ROCHETTE CHANTE LE VIEUX-MONTRÉAL»
Paru en 1974, sous le titre Je t’attends au Café Saint- Vincent, revu, corrigé et paru en 1975 sous le tire Pierre Rochette chante le Vieux-Montréal, ce recueil de chansons demeure représentatif d’un type de culture à laquelle s’alliait la jeunesse urbaine. Au début des années soixante-dix, le chansonnier Rochette chante « le mal de vivre » qui hante les nuits du Vieux-Montréal. Les paroles des chansons sont accompagnées de commentaires lyriques qui dépeignent les avatars du métier
Si la chanson dessert parfois les grandes causes sociales, elle semble ici un moyen de s’exprimer avant tout: «C’est un acte de création né d’une inspiration qui te surprend car tout vient d’un besoin d’exprimer ce qui t’apparaît l’essentiel» («Devant son verre de bière»). Cette forme de poésie spontanée est manifestement influencée par le courant réaliste de la chanson française. La chanson y est provocante et crue : « bière, mescaline et je t’aime ° maladie vénérienne et migraine » (« le Tango de la mescaline »)
Rochette dresse l’inventaire des phénomènes (drogue, prostitution…) qui gravitent autour de lui, et rend un hommage à l’envie de liberté, cette hantise des inconditionnels du quartier. Les scènes, parfois dramatiques, qui sont décrites dans les chansons trouvent leur dénouement dans une solitude noire en quête d’identité : « Des lettresj’en écris pas souvent ° sauf quand chus ben pogné tout seul ° au restaurant »(« Dis-moi ce qui se passe à la maison »)
En 1974, le gouvernement du Québec dénombrait 1 787 créateurs de chansons. Il existait donc toute une industrie du spectacle où la chanson essentiellement québécoise était à l’honneur. Aussi Rochette témoigne-t-il de ces nombreux créateurs d’un genre populaire, et le Café Saint-Vincent qu’il évoque était l’une des salles très fréquentées de l’époque
Pauline Fortin
OEUVRES
JE T’ATTENDS AU CAFÉ SAINT-VINCENT
[Montréal], les Éditions du Go-Rébec, [1974], 55 p. Pierre Rochelle chante le Vieux-MMontréal, [M[Montréal], les Éditions du Coin, [1975], 56 p
ETUDES
[Anonyme] «Poésie d’ici» la Presse 16 novembre 1974, p. D-3
« le Café Saint-Vincent » le Livre canadien Janvier 1975
«Pierre Rochette sort du «Vieux», il sert du chant’soûl» le Journal de Montréal 10 juillet 1975, p. 21
« Lectures. Romans, contes et poésie. Pierre Rochette chante le Vieux-Montréal» le Journal de Montréal 29 novembre 1975, p. 18
Michel Lebel « Pierre Rochette, Je t’attends au Café Saint- Vincent » LAQ 1974, p. 140-141
Jacques Lemieux «Un excellent Pierre Rochette » le Devoir 23 novembre 1974, p. 16
Pierre LUC «Un livre pour vous, Pierre Rochette chante le Café Saint-Vincent » le Journal de Montréal 25 octobre 1974, p. 18
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C’est drôle… J’étais poète et je le savais…. mais je refusais de faire oeuvre … parce qu’entre vivre la poésie au quotidien et faire oeuvre… je préfère vivre la poésie… la revivre…. mille fois….des millions de fois… et marcher l’onérisme rêveur de mon âge avancé.
Ce qui était inoui… c’était cette conjoncture qui nous donnait accès… nous les jeunes chansonnier avec nos guitares… aux plus belle filles… qui ne rêvaient que de poésie….
Car tout n’était que poésie… en tout cas pour moi…. Tiens… si je ferme les yeux… je me revois sur scène… la petite scène… avec un petit banc noir… les portes du garage ouvertes … un vent doux… de soir d’été… et cette belle grande fille assise devant moi avec mon livre de poésie à la main qui s’intitulais je crois PIERRE ROCHETTE CHANTE LE VIEUX MONTREAL… que Claude-Alexandre Desmarais venait de publier et qui avait reçu un très bel éloge d’un critique littéraire du Devoir que je n’avais jamais rencontré… texte que j’ai reproduit en arrière du long jeu PIERRE ROCHETTE CHANTE LE VIEUX MONTREAL.
J’ai toujours aimé les très grandes femmes, belles, élancées, j’étais hypnotisé par leur côté inaccessible pour la plupart des hommes mais je savais que la poésie qui habitait mes 5 pieds 5 pouces pendant que je chantais mes chansons faisaient d’elles et de moi des complices de l’impossible.
Cette jeune femme, qui, je le sus plus tard, était modèle nue aux beaux arts, se tenait devant moi, soir après soir avec mon livre de poésie à la main….
De la scène, je voyais ses 6 pieds et quelques se déployer de la porte d’entrée à sa chaise… pendant que mon âme et mon corps se mesuraient à l’immensité… se déployant entre terre et ciel seulement que par ma voix.
Un soir… à la fin de la soirée… vers 2h 30 du matin… elle s’avança… et me dit… Je suis fiancée à un homme qui m’a offert votre livre de poésie…. et comme il est en voyage d’affaire autour du monde… et que nous allons nous marier à son retour… j’aimerais qu’un jour vous me racontiez la poésie qui vous habite…. car elle fait partie de ce dont je veux me souvenir quand je serai mariée.
Dans ce temps-là , je venais de quitter une jeune prostituée française pour me prendre une petite chambre au dernier étage d’une maison de chambres sur la rue St-Paul…. un petit grenier… ou la poésie l’hiver se faisait nuit après nuit… soit l’hôte d’une belle jeune fille, soit que je donnais mon lit à un robineux qui avait froid et que moi je dormais sur le plancher… La belle anglaise dans la chambre d’à côté…. la jeune infirmière….
la poésie de ces jeunes femmes qui venaient partager leur cœur, leur douceur à ma pauvreté heureuse.
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Dans ce temps là, dans le Vieux Montréal Jean Marcoux y tenait tout au bout de la rue St-Paul une petite boîte à chansons ou sa chambre tenait place juste sur le côté droit de la scène…
J’y amenai… la belle … Jean nous prêta sa chambre… et pendant qu’elle fermait les yeux en se caressant, je lui lus mes poèmes…
Jusqu’à son mariage… nous fumes furieusement amants… blottis dans les nuits des ruelles du Vieux Montréal… puis… elle disparut… en me disant… je voulais vivre la poésie avant de me marier… pour ne jamais oublier…. Merci..
Un jour… beaucoup plus tard… je la croisai.. elle était dans son auto… avec ses trois enfants…. et moi… fiancé encore et encore avec ma guitare….
Puis je ne l’ai jamais revue… mais elle ne m’a jamais quitté. Mon dieu.. elle me rappelle une autre…. enfin… c’est fou….quand je regarde ça avec les yeux d’aujourd’hui … j’ai vécu l’impossible… celui de belles filles donnant leur k-oeur à ma poésie….
Pierre Rochette… c’est la partie onti-ke de moi-même… Pierrot vagabond, sa partie onti-kha-tive sous forme d’archétype hologrammique.
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Entre les deux… la poésie…. comme si à l’intérieur de moi-même, il y avait un pays dont on est né…..traversé par une rivière lumineuse… un rêve=big bang qui coule en soi et de l’autre côté… l’impossible
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ANECDOTES DE LA BEAUTÉ DU MONDE PAR LE RIEN
1- LE JOUR OU J’AI OBTENU MON DIPLOME DE MAITRISE SUR LE RIRE
J’avais mon diplômes dans les mains… Ma belle famille de l’époque et ma tante Lucienne et mon ex-femme étaient dans la cuisine… et mon beau-père de l’époque d’oser poser la question qui tue? MAINTENANT QUE TU AS TON DIPLÔME, TU VAS POUVOIR ENSEIGNER… Et l’horreur me saisit… JAMAIS QUE J’AI DIS À TOUS… JE SUIS UN ARTISTE ET UN ARTISTE NE S’ABAISSE PAS À TRAVAILLER SERVILEMENT POUR DE L’ARGENT… Tous ces gens qui étaient devant moi avaient passé leur vie à travailler honorablement pour ramasser de la sécurité, des biens, et le prochain lunch.. Moi j’étais poète de la beauté du monde… et je n’avais pas besoin que cela soit connu ou reconnu… La beauté du monde se vit dans une danse à deux…..
Je n’acceptais pas de faire des concessions qui pourraient nuire à la poésie… Je me rappelle… mon ex-femme voulait s’acheter une piscine extérieure… et moi de lui dire… J’embarquerai jamais dedans… tourner en rond, s’étourdir… pendant que tu vas te baigner.. je vais travailler à mes recherches… Je ne tondrai pas le gazon non plus…ça nuit à mon cerveau…
Comment les humains font-ils pour devenir esclaves de leurs désirs, esclaves salariaux de patrons pour acheter des biens dont finalement ils deviennent les concierges.
J’étais naif… Je m’étais dit… un homme qui ne boit pas, ne fume pas, ne drogue pas, ne fait pas de bruit, ne laisse pas de trace, qui travaille nuit et jour dans la contemplation, qui est toujours heureux… Y devrait être capable d’avoir le respect de sa poésie….
On m’honorait parce que j’étais un artiste de sçène qui avait du succès. Mais moi… je faisais de la scène parce que cela constituait un laboratoire exceptionnel pour mes recherches intellectuelles. Et je changeais de ville ou de village effrayé de devenir un bien public…
Denis Lamarre, mon partenaire de scène me disait souvent: Si tu avais fait ton métier sérieusement on aurait pu faire une grande carrière…. Mais, que je lui disais… Un poète qui fait carrière est un poète mort…
Fallait surtout pas faire de la télévision, être reconnu sur la rue, devenir quelqu’un… ohhhhhhhhhhhhh … perdre la poésie de soi-même par la dépendance de la reconnaissance sociale… quelle tragédie….
Le piton de la liberté, pour moi, consistait à faire le tour du Québec, 250 fois par année, en étant de parfaits inconnus…et ainsi, chaque soir, refaire le laboratoire de la pensée abstraite….. ohhhhhhhhh… que ce fut délicieux de se consacrer au vagabondage de la connaissance par la scène….
14 belles années à vagabonder la beauté du rien au travers d’une question qui ne sert à rien mais qui parce qu’elle ne sert à rien fonde la joie d’une danse avec le rêve que l’on porte en soi….
La question était la suivante: Pourquoi le sucre est-il sucré pour tous et un gag n’est pas drôle pour tous?
Mes deux hobos ont sauté du train de la condition humaine plusieurs fois pour ne pas perdre la poésie de la beauté du monde… Je me disais il faut fuir… toujours fuir…
Et j’ai fuis…. par amour…… par passion de l’impossible… Il était essentiel pour moi que ma poésie consacre le caractère sacré de mes partenaires de sçène….
Je me rappelle … les deux Pierrots…. mon génial partenaire de scène… Pierre David… un monstre sacré de l’animation de foule… Nous avions un succès fou… parfois les lignes à l’extérieur se prolongeaient presque jusqu’à la place Jacques Cartier… J’aimais que Pierrot David soit la vedette de nous deux…. cela me permettait de marcher le Vieux Montréal entre les sets et de respirer la poésie de l’impossible…
Que de fois de très belles filles m’ont suivi… marchant derrière moi… pour tenter de saisir l’énigme qui m’habitait qui semblait constituer mon aura…. Parfois… je finissais par m’en apercevoir… et nous finissions par marcher à deux…. en cachette, en secret…
Que de parfums… que de parfums… que de belles femmes ont attisé en moi la poésie…. nous étions la génération peace and love… les filles avaient leur boîte de pilules mais rêvaient de poésie… Nous les chansonniers des Pierrots… avec nos guitares… chantions la poésie, la joie de vivre…. Comme tout cela était iconique…
Tout était poésie…. comme aujourd’hui d’ailleurs… vagabonder la poésie… je n’ai fait que changer mes guenilles royales… vagabonder le Canada pour cartographier des rêveuses et des rêveurs, allumer des rêveuses et des rêveurs… avant de devenir le recteur poétique en pantoufle de quatre universités….
N’être que trace pure de poésie…. Cette année… mon univers s’est restreint à Marlene la jardinière, Michel le concierge et Gaelle la métaphysicienne. Mais en même temps… il s’est sacralisé.
La distance entre Pierre Rochette et Pierrot vagabond céleste, mon archétype hologrammique est devenue EUMÉTRIE OEUVRE D’ART… .…
J’ai pour Gaelle Étéme la métaphysicienne une infinie tendresse….
GAELLE LA MÉTAPHYSICIENNE
2 ans maintenant que je vis l’impossible…… nous avons plus de 300 heures de dialogue métaphysique ensemble…. A 32 ans, doctorante, ses inventions épistémiques.méthodologiques en métaphysique de la sociologie sont stupéfiantes……
Toute ma vie, j’avais rêvé de rencontrer une femme… une intellectuelle qui comme moi, serait passion de la recherche nuit et jour…. dans la beauté de l’impossible, sans intérêt personnel caché, uniquement habitée par l’oeuvre qui se signe en elle….
Voilà comment les choses se passent…. exactement comme quand je vagabondais les ruelles du Vieux Montréal à 20 ans quand j’étais chansonnier .Je la cherchais déjà je crois…. J’ai connu beaucoup de femmes, beaucoup trop… j’en ai marié certaines, certaines ont été mes maîtresses, la plupart des aventures poétiques d’un jour ou de quelques semaines… mais constamment le fameux… c’est pas encore ça… c’est pas encore ça… ce n’est pas cette femme que je recherche… Je recherchais une femme pour qui je n’aurais aucun désir pulsionnel mais qui serait l’éternel féminin sous forme de poésie au quotidien… L’impossible… aussi belle qu’intelligente, aussi complice qu’éthérée comme dans ma chanson DE TIM HORTON EN TIM HORTON…. cette femme qui fait de nous deux….. DEUX ENFANTS DE LA BEAUTÉ DU MONDE à des infinis de poésie de la FEMME AU CHAR DANS LE NOIR ou…. DE MA SOPHIE D’HAITI…OU DE LA BELLE CASSANDRE
COUPLET 1
on s’est r’trouvés tout seuls
un soir dans forêt
à dormir dans ton char
dans l’noir en secret
toute habillée désespérée
le coeur en mille morceaux brisés
t’as eu besoin d’mes bras
rien qu’de mes bras
COUPLET 2
tu m’avais ramassé sa route
malgré tes doutes
tu m’as dit qu’c’est en voyant ma guitare
qu’t’as eu confiance en mon regard
comme tu pleurais tous tes secrets
le coeur brisé par un décès
t’as eu besoin d’mon âme
rien qu’de mon âme
COUPLET 3
y avait tellement pas d’place
dans l’char entre les deux bords
que t’as dormi la tête contre mon ventre
mains agrippées autour d’ma jambe
tu respirais comme UNE enfant
qui crie papa j’ai mal en dedans
t’as eu besoin d’mes ailes
rien qu’de mes ailes
COUPLET 4
mes doigts dans tes cheveux disaient
oh sois bénie amie
j’ai pas eu d’femme entre mes deux bras
depuis deux ans et demie, amie
pour toutes celles que j’ai mal aimées
que j’ai souvent abandonnées
j’ai eu besoin d’tes larmes
rien qu’de la beauté d’tes larmes
COUPLET 5
ca s’est passé le 8 juillet 2008 pas loin d’la mer
à Natasquan entre les tentes
dans un camping inou completement désert
que ma chanson chante le mystere
d’un homme et d’une femme sur cette terre
qu’y ont eu besoin d’leurs peines
rien qu’de leurs peines
en dessous dl’leur chair humaine
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COUPLET 1
nous fumes nomades Cassandre
nous fumes nomades Cassandre
hier j’ai dormi
dans la forêt du labrador
j’ai fais un feu
mais j’avais froid
sans toi dehors
nous fumes nomades Cassandre
Nous fumes nomades Cassandre
hier on m’avait
donne deux sandwichs au poulet
j’aurais aimé les partager
tu me manquais
REFRAIN
tes 19 ans Cassandre
c’etait la vie
avant l’barrage de Manic 5
c’etait l’mont Wright Cassandre
avant l’enfer
d’la mine de fer
en plein hiver
c’était surtout
la jeune femelle caribou
et le vieux mâle encore debout
c’etait surtout
la jeune femelle caribou
et le vieux mâle
vagabond fou
COUPLET 2
vieux mâle au doux regard
celui d’monsieur Bernard
qui s’est battu
pour sauver son chalet du feu
avec son fils
4 nuits sans fermer les yeux
c’est fascinant à voir
un bout d’forêt toute noire
y a des souvenirs de jeune femme
qui s’enflamment au fond de soi
se consumant tout comme
un ancien feu de joie
COUPLET 3
debout je marche la vie
debout je prie la vie
pour que la riviêre de tes rêves
soit aussi belle
que la petite Manicouagan
devant laquelle j’écris
la tendresse de mes cris
parce qu’une nuit
t’as pris l’bateau
qui t’a conduite
de Bécomo à Rimouski
Pierrot
vagabond céleste
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Celle qui s’approche le plus de Gaelle… c’était la poète Suzanne Fortin quand j’étais squatter durant 4 ans et que je dormais sur une table dans la cave de Recyclo-livres à Victoriaville… ohhhhhh… Mais j’avais encore trop de pulsions pour ne pas être dévoré par des affects primaires… Cela nuisait à la poésie et je faillis en mourir…. Plus d’un mois à tenter de me pendre dans la cave de recyclo-livres tout en ayant peur de me rater… (ma chanson amour au pole nord)
Suzanne Fortin ……. Ce fut une extraordinaire histoire d’amour….
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LAMTAPHYSICIENNE GAELLE ÉTÉMÉ
UNE EXTRAORDINAIRE HISTOIRE D’AMITIÉ
Gaelle Etémé… C’EST UNE EXCEPTIONNELLE HISTOIRE D’AMITIÉ… sans faille, sans intérêt personnel caché, sans pulsion…. Je n’ai pas comme mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge de talent pour l’amour… mais je sais que j’ai le talent POUR L’AMITIÉ OEUVRE D’ART….
Oh…. c’est pas compliqué l’amitié oeuvre d’art… c’est prendre soin du rêve de l’autre sans intérêt personnel caché… Je me rappelle… la première fois que j’ai rencontré la métaphysicienne doctorante Gaelle Etémé… c’était lors d’une exposition….
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Il y a deux ans, cela faisait déjà quelques années que je vagabondais 4 universités en guenilles royales et en pantoufles è titre de recteur poétique de la connaissance et que j’accompagnais des étudiantes et étudiants en maîtrise et en doctorat …
J’avais appris en vagabondant le Canada à prendre soin des rêveuses et des rêveurs du pays et è en allumer d’autres …
A la seconde ou j’ai vu Gaelle… j’ai su… j’avais devant moi une rêveuse de la grandeur de ChantaL Poissant, l’ermite de St-Felix d’Otis….Une autre histoire d’amour exceptionnelle… Nous devions nous marier…. Je me suis enfui de nuit… Mes deux hobos encore une fois ont sauté du train de la condition humaine pour ne perdre la poésie de la beauté du monde….
(SAINT-FÉLIX-D’OTIS) Le 1er juillet 2011 prochain, Chantale Poissant célébrera son 13e anniversaire en tant qu’ermite. Vivant seule, recluse, sans électricité ni argent, la dame de 50 ans est heureuse. Et elle ne retournerait vivre dans la société pour rien au monde.
Elle se brosse les dents avec du charbon. Elle mange simplement ce qui pousse dans son jardin ou ce qui court dans les bois aux alentours. Elle fabrique son linge avec la laine de ses lamas. C’est son coq qui la réveille le matin. Elle se lave avec du savon fabriqué à la main à l’aide de produits trouvés dans la forêt, comme l’écorce des arbres. Elle cultive, cueille, créer, fabrique, invente. Elle n’a aucune difficulté à tenir le coup et fait preuve de beaucoup d’ingéniosité pour survivre à la manière d’autrefois.
En entrant sur la terre de Chantale Poissant, on fait un bond de 200 ans en arrière. Une grande hutte faite de bois et de paille se dresse dans la clairière, entourée d’arbres. «Ça, c’est l’abri des lamas, mais je dors là aussi parfois», dit Chantale Poissant, qui est actuellement en pleines «rénovations». En effet, elle construit un second abri, où elle demeurera bientôt.
Soulignons que Chantale Poissant avait fait le sujet d’un reportage en septembre 2008, publié dans le Progrès-Dimanche. Près de trois ans plus tard, la sympathique ermite de Saint-Félix-d’Otis est toujours aussi bien dans sa peau. Elle vit heureuse, dans la nature. Rien de son passé ne lui manque.
Mais pourquoi celle qui vivait dans un appartement de la municipalité s’est-elle retirée dans les bois peu avant ses quarante ans? Elle n’était tout simplement pas à l’aise avec la société, ses valeurs n’étaient pas les mêmes, explique-t-elle. «Aujourd’hui, je suis bien avec ma conscience», souligne-t-elle.
«À 12 ans, je voulais déjà filer mes vêtements. C’était juste dans l’ordre des choses que je vive plus tard dans la nature», raconte la dame, qui a une formation en exploitation agricole. «J’ai aussi économisé longtemps pour acheter cette terre. Et je dois payer des taxes à la municipalité, qui m’a octroyé un permis d’ermite», explique Chantale Poissant, en riant.
Elle n’a ni mari, ni enfant. «Pas pour l’instant», dit-elle, laissant la porte ouverte à l’amour.
Ce n’est pas parce qu’elle vit seule que Chantale Poissant n’est pas sociale. Elle reçoit parfois de la visite du village. «J’aimerais un jour vivre avec d’autres personnes. Peut-être bâtir une grosse résidence avec des adultes et des enfants», confie la dame, qui vit seulement avec quelques centaines de dollars par année.
Si Chantale Poissant fabrique tout de ses mains et survit uniquement grâce à la nature, la dame a tout de même le téléphone. Mais elle y répond rarement. Depuis quelques jours, elle a même un ordinateur portable. «Je ne l’ai pas encore ouvert, mais je vais peut-être m’en servir un jour. Il paraît qu’on peut insérer une espèce de clé et télécharger des documents. Je vais peut-être aller à la bibliothèque municipale pour m’informer un peu», lance Chantale Poissant qui compte bien demeurer longtemps dans son petit coin de paradis.
Écrit dans Le Quotidien (Sylvain Dufour et Patricia Rainville)
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Oui… voilà le rêve métaphysique de Gaelle Étémé…. Je l’ai vu… et pour la iere fois… j’avais l’érudition pour devenir Une chirurgicale oreille philosophique au quotidien de son aventure conceptuelle… ce que je ne pouvais apporter à l’ermite Chantal Poissant… ne connaissant rien à la terre et ayant horreur de travailler de mes mains… Mais là ma poésie… fut convoquée….
j’avais l’envergure pour devenir au quotidien… et cela sans faille… un compagnon de la quête impossible…. ma contemplative saison des fiançailles avec la beauté du monde pouvait se poursuivre hors temps, hors réalité, hors servitude… En plus… j’avais reçu le cadeau d’être débarrassé de mes pulsions …. woww…….
ENFIN UNE AMITIÉ OEUVRE D’ART COMME J’EN RÊVAIS RÊVÉ TOUTE MA VIE…. consacrée à nos doctorats réciproques…. c’est-ça-à-dire le sien et celui de notre équipe de recherche AULD, WOODARD ROCHETTE sur la vie personnelle oeuvre d’art, le pays oeuvre d’art et la nano-citoyenneté.-planétaire.
DisKebec
21 décembre 2016
All songs are Pierre (Pierrot) Rochette originals, ……strong French vocal-pop with an amazing Jacques Brel / Georges Brassens vibe……helped out admirably by Marcel Brun (percussion, xylophone), Claude Thompson (bass) and Paola Bellomia (piano).
This is Rochette’s only solo recording ……released (in Quebec only) on the tiny and short-lived SonoGram label (who released only a half-dozen LP’s……including Le Match and Gilles Rivard’s rare debut LP…..and a few mega-rare singles by artists like Clockwork and Marius Cultier).
Featured at the Museum Of Canadian Music
ARCHIVES POUR LE DOCTORAT… À PROPOS DU LIVRE DE POÉSIE DE 1974 «PIERRE ROCHETTE CHANTE LE VIEUX-MONTRÉAL»
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Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec
© Éditions Fides, 1980
JE T’ATTENDS AU CAFÉ SAINT-VINCENT
recueil de chansons de Pierre ROCHETTE
Paru en 1974, sous le titre Je t’attends au Café Saint- Vincent, revu, corrigé et paru en 1975 sous le tire Pierre Rochette chante le Vieux-Montréal, ce recueil de chansons demeure représentatif d’un type de culture à laquelle s’alliait la jeunesse urbaine. Au début des années soixante-dix, le chansonnier Rochette chante « le mal de vivre » qui hante les nuits du Vieux-Montréal. Les paroles des chansons sont accompagnées de commentaires lyriques qui dépeignent les avatars du métier
Si la chanson dessert parfois les grandes causes sociales, elle semble ici un moyen de s’exprimer avant tout: «C’est un acte de création né d’une inspiration qui te surprend car tout vient d’un besoin d’exprimer ce qui t’apparaît l’essentiel» («Devant son verre de bière»). Cette forme de poésie spontanée est manifestement influencée par le courant réaliste de la chanson française. La chanson y est provocante et crue : « bière, mescaline et je t’aime ° maladie vénérienne et migraine » (« le Tango de la mescaline »)
Rochette dresse l’inventaire des phénomènes (drogue, prostitution…) qui gravitent autour de lui, et rend un hommage à l’envie de liberté, cette hantise des inconditionnels du quartier. Les scènes, parfois dramatiques, qui sont décrites dans les chansons trouvent leur dénouement dans une solitude noire en quête d’identité : « Des lettresj’en écris pas souvent ° sauf quand chus ben pogné tout seul ° au restaurant »(« Dis-moi ce qui se passe à la maison »)
En 1974, le gouvernement du Québec dénombrait 1 787 créateurs de chansons. Il existait donc toute une industrie du spectacle où la chanson essentiellement québécoise était à l’honneur. Aussi Rochette témoigne-t-il de ces nombreux créateurs d’un genre populaire, et le Café Saint-Vincent qu’il évoque était l’une des salles très fréquentées de l’époque
Pauline Fortin
OEUVRES
JE T’ATTENDS AU CAFÉ SAINT-VINCENT
[Montréal], les Éditions du Go-Rébec, [1974], 55 p. Pierre Rochelle chante le Vieux-MMontréal, [M[Montréal], les Éditions du Coin, [1975], 56 p
ETUDES
[Anonyme] «Poésie d’ici» la Presse 16 novembre 1974, p. D-3
« le Café Saint-Vincent » le Livre canadien Janvier 1975
«Pierre Rochette sort du «Vieux», il sert du chant’soûl» le Journal de Montréal 10 juillet 1975, p. 21
« Lectures. Romans, contes et poésie. Pierre Rochette chante le Vieux-Montréal» le Journal de Montréal 29 novembre 1975, p. 18
Michel Lebel « Pierre Rochette, Je t’attends au Café Saint- Vincent » LAQ 1974, p. 140-141
Jacques Lemieux «Un excellent Pierre Rochette » le Devoir 23 novembre 1974, p. 16
Pierre LUC «Un livre pour vous, Pierre Rochette chante le Café Saint-Vincent » le Journal de Montréal 25 octobre 1974, p. 18
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