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L’INATTENTION EST LE FONDEMENT MÊME DES TROIS PERMIÈERES STATIONS SPATIALES DU CORPS (LES 5 SENS, LE CERVEAU, LE VISCÉRAL) …. L’ATTENTION PAR LE VOIR EST LE FONDEMENT MÊME DE LA STATION SPATIALE DU K-OEUR PARCE QU’ELLE FAIT DU CORPS UN SOCLE ABJETAL FAIT DE FLOTTEMENTS DE SYNCHRONI-VIETÉS IMPOSSIBLES PARCE QUE SOULEVÉ PAR UN RÊVE BIG BANG À L’INTÉRIEUR D’UN CHAMP CONSTELLAIRE…. HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE… EN UN SENS… SUIVRE SON RÊVE BIG BANG… C’EST NE PAS DEVENIR MAIS ÊTRE CE QU’INDIQUAIT DEPUIS L’ENFANCE LES DÉBRIS MÊME DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR…. SOIT LE RIEN SOUS FORME DE BEAUTÉ DU MONDE SIGNÉE.

Pierrot Vagabond

LA PREMIÈRE FONCTION DE LA STATION SPATIALE DU K-OEUR LORSQU’ELLE EST ASPIRÉE PAR UN RÊVE BIG BANG DANS LE CADRE D’UNE CONSTELLATION DE L’ESPRIT FAITE DE SILENCE ET D’ESPACE AYANT ÉVACUÉ LA TEMPORALITÉ…. DONC AYANT ÉVACUÉ LE CONDITIONNEMENT DES TROIS AUTRES SPATIONS SPATIALES DU CORPS ( LES 5 SENS, LE CERVEAU ET LE VISCÉRAL) …… CONSISTE À DÉCENTRER L’OBSERVATION HORS DU JE, OU EGO, OU MOI…OU MÉMOIRE DU MOI… AU POINT OU LES SEULS ÉLÉMENTS DES TROIS AUTRES STATIONS SPATIALES SONT DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CORPS….. DEVENANT DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU SOCLE ABJETAL….ET FINALEMENT DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR ENCHANTANT LE RIEN DE COMPASSION…. D’AMITIÉ OEUVRE D’ART ET D’AMOUR MULTIVERSIEL….. L’ESPRIT PASSE PAR LE RÊVE BIG BANG POUR RÉENCHANTER LE RÉEL CONDITIONNÉ PAR LA CONDITION HUMAINE SUR TERRE.

Pierrot Vagabond

LA STATION SPATIALE DU K-OEUR PARCE QU’ELLE EST POREUSE ET OUVERTE AU MULTIVERS …. ELLE PERMET DE SORTIR DE LA DUALITÉ ENTRE LE CERVEAU ET L’ESPRIT, ENTRE LES PULSIONS ET L’ESPRIT, ENTRE LES 5 SENS ET L’ESPRIT…. PAR UN CHAMP CONSTELLAIRE CONSTITUÉ POREUSEMENT DE SILENCE ET D’ESPACE … MAIS NON DE TEMPS PARCE QU’INTEMPOREL…. EXPRIMANT AINSI LE VOIR DU RIEN QUI SIGNE LE RÉEL MAIS N’EN FAIT PAS PARTIE… PAR UN RÊVE BIG BANG ASPIRANT TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART COMME ESPRIT D’UNE HUMANITÉ OEUVRE D’ART

Pierrot vagabond

LA PLUS HAUTE FORME D’INTELLIGENCE QUI NE SURGIT QUE PAR LE VOIR PASSE UNIQUEMENT PAR LA STATION SPATIALE DU K=OEUR ET NE REQUIERT AUCUNE COLLABORATION SOIT DES PENSÉES PROVENANT DE LA STATION SPATIALE DU CERVEAU … SOIT DES SENSATIONS PROVENANT DE LA STATION SPATIALE DES 5 SENS … SOIT DES PULSIONS PROVENANT DE LA STATION SPATIALE DU VISCÉRAL …. IL EXISTE UNE DIMENSION OU LE VOIR, LA BEAUTÉ DU MONDE, LE RIEN, LE RÊVE BIG BANG FORMENT AVEC TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART UN HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE…. ET C’EST EN CE SENS QUE LES TROIS AUTRES STATIONS SPATIALES (CERVEAU, 5 SENS, VISCÉRAL) SONT PACIFIÉES COMME L’ARBRE L’EST PAR LE VENT …. COMME LA RIVIÈRE L’EST PAR SA PROFONDEUR

Pierrot Vagabond

DANS LE VOIR … OU L’OBSERVATION SE FAIT SANS L’OBSERVATEUR…. LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR S’ILLUMINENT SOUDAINEMENT SOUS FORME DE QWALIA…. C’EST À DIRE…. DES ABJETS INTEMPORELS DONT IL NE RESTE PLUS QUE LE RIEN DANS SA SIGNATURE SANS LE RÉEL QUI S’EST DÉTACHÉ, DISSOUT, DE MANIÈRE AB-MMUNICATIVE…. DANS LE SENS OU TOUTES LES ÉTIQUETTES DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART FLOTTENT DANS LE CHAMP CONSTELLAIRE EN PURE DANSE DE LA BEAUTÉDU MONDE… HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE

Pierrot vagabond

LE GRAND VOYAGE CONTEMPLATIF DE L’ARBRE DEVANT LA FENÊTRE DE CHEZ GAELLE QUAND JE DORS EN MODE BROSSE D’ÊTRE SUR LE SOFA DE SON ATELIER DE MÉTAPHYSIQUE ALORS QUE RECTANGULAIREMENT À MON SOCLE ABJETAL…. LE SOCLE ABJETAL DE GAELLE ÉTÉMÉ REMPLIT LA BEAUTÉ DU MONDE DE SES INVENTIONS MÉTAPHYSIQUES SOUS FORME DE GRAPHES, BOÎTE À SYNTAGMES ET CONSCIENCE GRAPHIQUE …..LE VOIR DE L’OBSERVATION SANS L’OBSERVATEUR ÉTANT LE MAÎTRE-RIEN DE LA CONDITION SPIRITUELLE SUR TERRE….. CHACUN DE NOUS L’EXPÉRIMENTONS DANS LE RESPECT RADICAL DE NOS UNICITÉS RÉCIPROQUES.

Comment un vieux monsieur de 71 ans et une jeune femme de 32 ans peuvent-ils explorer le fabuleux pays du rien dans la plus parfaite paix spirituelle entre eux? C’est peut-être cela le cadeau qui accompagne UNE AMITIÉ OEUVRE D’ART qui ne triche pas avec les LOIS DU VOIR que transmet un arbre lorsqu’il dessine la beauté du monde en mode brosse d’être.

Quad Gaelle travaille intensément ses graphes sur son divan et que moi sur le mien je tombe en contemplation discursive avec l’arbre de sa fenêtre, nous poursuivons chacun un magnifique voyage au pays du rien par le voir. Gaelle par une symphonie chirurgicale d’une main qui trahit la pensée… moi par le vagabondage des débris de la mémoire du k-oeur par les LOIS DE L’ARBRE,

Lorsque mon bras se met à fracasser la beauté du monde pendant que le vent dans l’arbre me souffle des transmages, il m’arrive d’être à peine capable de prendre mon carnet et de noter quelques mots pour me rappeler d’en parler le moment venu.

Ainsi, la dernière nuit, l’arbre m’a montré les trois épaisseurs de la rivière historique de toute vie humaine …. Sur le dessus de l’eau… il y a la vie des pulsions ….. juste sous le dessous du dessus de l’eau… la vie des sentiments…. et dans l’éblouissante profondeur lumineuse du sous du sous de l’eau…. l’intemporalité spirituelle…. Là ou la peur, la souffrance, l’histoire, n’existent plus.

La paix spirituelle permet la paix des sentiments et la paix des pulsions … et non l’inverse.

L’eau des pulsions. … c’est d’abord celle de l’enfant qui vient au monde à la découverte de ce que seront les belles tempêtes de sa vie … de toute sa vie… Les tempêtes des pulsions ne le quitteront jamais… comme ces orages , me dit l’arbre, qui rugissent et font frémir ses feuilles dans des tempêtes extrêmes….

S’y colorent intrikativement l’eau des sentiments…. qui… comme les rosées du matin… les petites gouttes de glacons de l’hiver fondant au soleil… viennent préparer le long voyage dont aura besoin la vie heureuse en mode de voir

pour habiter l’eau de la spiritualité…. comme les feuilles et le vent de l’arbre qui dessinent des arabesques pour bien honorer la profondeur et la complicité des racines.

AINSI EN EST-IL DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART. Il n’y a  des débris de la mémoire du k-oeur que lorsque l’arbre de la vie s’emmitoufle dans la paix spirituelle pour que les pulsions et les sentiments redessinent par leurs traces QWALIAS LE PAYS RU RIEN… LÀ OU LE RÊVE BIG BANG QUI SIGNE LE RÉEL MAIS N’EN FAIT POAS PARTIE LE RÉENCHANTE DE SA POÉSIE MULTIVERSIELLE

Pierrot vagabond

COURRIEL DU CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

COURRIEL DE SIMON

Mon cher Pierrôt

Je t’M et te souffle les braises du feu qui t ‘anime
ici la vie donne de nouvelles fleurs inusitées
M Paul que tu as rencontrer co-habite chez moi avec moi. Une amitié compère et nourrissante s’installe entre lui et moi. Que de projets de maison et de partage faisons nous.
La beauté du monde me surprend dans l’amitié. Également un nouvel ami Marc, un grand ckeour eun grand m de 29 ans d’espace et de nuances ph.énoménale me rends visite 1 jour sur 2 et nous voyageons côté à côté dans les regards, les partage d’interprétation du monde, les conditionnement , nos appels au dépâssement, nos recherches et notre koeur qui veut prendre le dessus du mental.
Pierrrot c’est le plus bel éternité de ma vie qui me danse.
Je peins ma maison, à la bonbonne comme un tagueur, je scie clou, imagine étagère, peinture, plonge ramasse des bois de rivière , crée dans le temps infini où le jour ne fait plus la différence avec la nuit.
Je dors dehors depuis 3 semaines. Je comprends l soleil, les merles les chants des oiseaux, les huard, les bruands, écureuil, corneille, lumière du matin, cadran de la nature, je suis réveillé à 4h 48 du maint, les bouffées d’oxigène sont d’une fraicheur pleine de vie.
Je me berce , la vie me fait sourire, me tranquille, me guérie à haute indentité,
mon ange gardien veille,
Je continue sans tricher mon rêve qui me danse
heureux de te lire
ami
Simon

DE LA MÉTAPHYSICIENNE SOCIOLOGUE DOCTORANTE À MES PARTENAIRES DE RECHERCHE MARLENE LA JARDINIÈRE ET MICHEL LE CONCIERGE……. PUIS DE MES PARTENAIRES DE RECHERCHE MARLENE ET MICHEL À LA MÉTAPHYSICIENNE SOCIOLOGUE DOCTORANTE GAELLE ÉTÉMÉ…. MA VIE DE VAGABOND CÉLESTE S’ILLUMINE D’UN NUIT ET JOUR HEUREUX ….. MES BROSSES D’ÊTRE ET ATTAQUES D’ÊTRE SE DÉPLOIENT SOUS UNE APOTHÉOSE DE LA BEAUTÉ DU MONDE HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE AU SERVICE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, DU PAYS OEUVRE D’ART, DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE POUR QU’UN JOUR LA COMPASSION D’UNE HUMANITÉ OEUVRE D’ART FASSE DE CES MILLIONS D’ENFANTS QUI MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE… DES ÉTOILES LUMINEUSES DANS LA NANO-K-OSMOLOGIE DES IMPOSSIBLES MULTIVERSIELS

Comme je suis heureux de servir…. doucement, simplement, la beauté du monde ……  en appuyant les rêves big bang de Gaelle, Marlene et Michel.

Je n’en finis plus d’être heureux…. De plus en plus… mes brosses d’être et attaques d’être se font perpétuelles…. autant sur le sofa de Gaelle ou la nuit nous réécoutons des enregistrements audio de ses fabuleuses inventions métaphysiques par ses graphes, sa boîte à syntagmes et la conscience graphique qui en découle… dans un doctorat qui s’annonce générationnel…..autant sur ma planche de bois dans la chambre à couture chez Marlene et Michel d’ou a 6 heures le matin Michel coche a ma porte, le café fait et nous vivons un conseil d’administration de la créativité avec Marlene qui vient nous rejoindre, si heureuse de nous voir heureux.

A la fin de sa vie, Krishnamurti aimait à ce que quelqu’un dorme dans sa chambre dans un lit près de lui parce qu’il avait peur de s’envoler comme un oiseau heureux…

Je dois avouer que je vis la même peur. Quand je dors à côté de la chambre de Marlene ou Michel ou sur le sofa à coté du sofa de Gaelle, je sais que si je m’envole comme un oiseau heureux, ce ne sera pas dans l’abandon de mes amis que j’aime.

L’autre nuit, sur mon sofa chez Gaelle… je lui disais que dans mes brosses d’être chez elle, d’un seul mouvement de bras au-dessus de ma tête, je fracassais la beauté du monde pour mieux lui permettre de se réenchanter… ce qui la faisait beaucoup rire… Et pourtant… c’est cela que je vis… Une grande histoire d’amour avec la beauté du monde…

Je n’ai rien, je ne suis rien, je ne demande rien… et pourtant c’est avec moi que la beauté du monde vient prendre des forces devant une condition humaine dont il faut franchir L’ALPHABET DES SOUFFRANCES ( FORMIDABLE INVENTION GRAPHIQUE DE GAELLE) pour traverser l’océan de compassion pour atteindre le secret du rien qui signe le réel tout en en faisant par partie.

De là l’importance de ma série des ab (ab-dées, ab-cepts, ab-mmunication etc…) qui témoignent du flottement de toute étiquette lorsque cryptée par le champ constellaire de toute vie personnelle oeuvre d’art aspirée par un rêve big bang. WOW-T=2.7K?

Je vis de la passion de l’émerveillement d’être vivant… dans la passion de la certitude de la rivière lumineuse que constitue la vie dont la mort n’est que le rideau invisible d’une peur accessoire.

Je me rappelle… la nuit… à la Butte aux Pierrots, l’ancienne butte à Mathieu… Nous avions un succès fou…. avec la poune… j’habitais l’ancienne maison de Raymond Levesque…. vers 3 heyures du matin… après le spectacle… je construisais le chemin de pierre avec une brouette et des pierres… menant sous la scène ou seraient enfouies mes cendres, que je me disais. Puis, en pyjamas… à quelques pas entre ma maison et la scène, j’entrais par en arrière, j’ouvrais les lumières de la butte… et je lavais la scène à la moppe comme pour me rappeler un jour qu’il était impossible d’être si heureux dans la méditation …. Aujourd’hui… la butte est disparue, ma scène aussi… mais mon chemin de pierre lui est encore là eet mon ancienne maison aussi.

Les grillons, le vent dans les arbres, la rivière du parc des amoureux juste en bas de la côte… me chantaient le rideau invisible que constitue la peur de la mort…. car la condition humaine dans tout sa tragédie n’est finalement qu’ignorance … la mort est un rideau invisible pour les illuminés de la rivière intemporelle de la vie.

Je suis passionné du génie métaphysique de Gaelle… Je disais à Marlene et Michel ma conviction que Gaelle, un jour, se retrouvera au collège de France….comme Marlene et Michel un jour seront l’événement d’un colloque international sur les dimensions du rêve.

Et dès que je ferme les yeux…. je vois le conteur international Simon Gauthier dans UN CONTE POUR UN FEU DE JOIE (encore une invention de Gaelle) ou Marlene avec ses jardins, Michel avec sa guitare et gaelle avec ses graphes déploient dans le même événement international les ailes de ce que constitue UNE AMITIÉ OEUVRE D’ART dans les cadres de la nano-modernité.

UNE AB-DÉE. .. c’est unbe idée qui refuse de se matérialiser pour ne pas nuire A LA SIGNATURE DU RIEN…. c’est une idée qui humblement dépose les vêtements de sa logique sur le sol pour ne marcher que pieds nus sur les impossibles des enchantement du rien… UNE IDÉE QUI SE FAIT AB-DÉE … c’est le secret du VOIR… car le voir passe par L’ABDICATION HEUREUSE( ENCORE UNE FORMIDABLE INVENTION DE GAELLE).

Ce n’est pas pour rien que quand je suis avec Gaelle dans son atelier de métaphysique que constitue la poésie ABJETALE de son petit appartement, mon cerveau marine dans la beauté du sien.

En deux ans, nous avons vécu de grands moments ponctués par la mémoire des ab-jets…. Par exemple… sa dame qui pense au cerveau ouvert porte quelques plantes jaunes que nous avons ramassé à la fin de l’été passé dans la Vieux port de Montréal lors d’une de nos marches philosophiques de nuit…

Par exemple, le petit paysage champêtre qui traine par terre devant sa toile noire aux syntagmes et étiquettes de recherche dans son atelier de métaphysique, nous l’avons acheté dans une friperie sur la rue Masson pour 6 dollars je crois alors que c’est tout ce qui nous restait sur nous….. c’est un ab-jet… UN AB-JET… c’est un objet qui porte la trace des débris de la mémoire du k-oeur … dans le sens ou la trace se fait lumiêre même de la beauté du monde par le rien et le rêve big bang qui le signe….

EGO SUM PAUPER, NIHIL HABEO, ET NIHIL DABO