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l’ÉNIGMATIQUE DISTANCE SPIRITUELLE ENTRE LES LOIS DE L’ONTIKE ET CELLES DE L’ONTI-KHA-TIF … QUE L’ON POURRAIT AUSSI TRADUIRE PAR LES LOIS RÉGISSANT LE MONDE DES ERRANTS FANTOMATIQUES-AXIOLOGIQUES VERSUS LES LOIS DU MONDE DES ERRANTS POÉTIQUES …. FAIT EN SORTE… QU’ÉPISTÉMOLOGIQUEMENT …. UN CHERCHEUR ISSU DE L’ONTI-KE POURRAIT DIFFICILEMENT … Ç MON HUMBLE AVIS … AVOIR ACCÈS AUX LOIS ABPCEPTUELLES NANO-K-MOSMOLOGIQUES MULTIVERSIELLES À PARTIR DESQUELS EST SIGNÉE AXIOMATIQUEMENT LA BEAUTÉ DU MONDE CONVOQUÉE PAR LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE AU K-OEUR MÊME DE LA NANO-MODERNITÉ DU 21EME SIÈCLE ….. EN CE SENS … LE PHILOSOPHE DE L’ERRANCE POÉTIQUE EST UN POÈTE CONVOQUÉ PAR LE CRI DE MUNCH DES MILLIONS D’ENFANTS SE MOURRANT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ….. eT C’EST EN LEUR NOM …. QU’IL SE FAIT HUMILITÉ DU DIRE …. HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE ….. N’AYANT QUE LA CHANDELLE DE SA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART POUR ENFLAMMER L’HUMANITÉ EN DEVENIR OEUVRE D’ART

Dans cette nano-modernité mortellement blessée par la pandémie planétaire, L’ERRANT POÉTIQUE n’a que la chandelle de sa vie personnelle oeuvre d’art et son rêve big bang pour enflammer l’humanité oeuvre d’art en devenir de bienveillance institutionnelle…..  Combien sommes-nous en ce 21eme siècle sur cette terre pour tenir le flambeau de la LIBERTÉ ONTI-KHA-TIVE POUR TOUTES ET TOUS?

Car l’humanité est errante…. Cela n’existe pas un non-errant sur cette terre…. L’errant poétique est le moins blessé de tous les errants de cette terre… Mais en même temps… Parce qu’il est philosophe du pays du rien …. il porte à un très grand degré de culpabilité ce privilège de vivre poétiquement sa condition humaine alors que la très grande majorité des souffrants de l’ontike tendent les mains vers le firmament pour demander secours sous forme de mythologies, religions ou croyances de toutes sortes

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La majeure partie de cette humanité errante est invisible, fantomatique, souffrante de faim ou de blessures de guerre… des centaines de millions … sinon des milliards…. elle compose L’HORREUR DU 21EME SIÈCLE … CE SONT DES ERRANTS FANTOMATIQUES dont les droits à une vie personnelle oeuvre d’art et à un rêve big bang sont politiquement et métaphysiquement castrés PAR LE DÉNI DES ERRANTS AXIOLOGIQUES …. quadrillés sous forme de 193 états féodalisées par des monarchies nucléaires réunis dysfonctionnellement sous l’égide de l’O.N.U. dont la déshobbiation tarde.

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Je me rappelle quand mon maître professeur de philosophie Roland Houde enseignait au département de l’université de Montréal… J’arrivais du Japon ou notre groupe de folklore LES CONTRETEMPS avait représenté le Canada à l’exposition universelle d’Osaka en 1970. Comme nous avions remporté le championnat nord-américain des groupes collégiaux de folklore à Toronto en 1969, il nous étaiut possible de faire une tournée aux Etats-Unis…

Nous avons eu une réunion … à un moment donné… je crois que c’était au Japon…. Nous avions le choix… soit d’entrer à l’université … Roselyne lebel en médecine … Monique Desroches en musique … Fabienne Desroches en éducation je crois …. Pierre Angers je ne me rappelle pas et Michel Claveau en notariat…. Moi je voulais vivre une vie d’artiste … mais bon … je m’étais inscrit en philosophie…. soit ne pas s’inscrire… Finalement … nous avons pris la décision de poursuivre nos études universitaires … en continuant à honorer des contrats épisodiquement au Québec pour ramasser des sous pour payer nos études.

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Septembre arrive. …. Nos professeurs se présentent l’un après l’autre…. Ce que je ressentais profondément … et peut-être ma jeunesse m’avait rendu injuste… c’était qu’is étaient tous de sprofesseurs de philosophie MAIS QU’AUCUN N’ÉTAIT PHILOSOPHE.

Je ne savais pas ce qu’était un philosophe… mais je savais ce qu’il ne devait pas être… un petit Jos connaissant enchaîné dans un fragment de discipline dont il était un spécialiste…. Je n’avais pas les mots… mais ……

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Le rêve de mon père (son poste de télévision R,A.L.T. T.V , LA TUQUE), celui de mon grand-père Lucien ( changer son cheval contre des bottes pour aller plus loin dans la vie), celui d’Aubert Mongrain (faire la Place des arts avec l’harmonie du collège St-Zéphirin) et surtout LE RÊVE EXCEPTIONNEL qu’a constitué expo 67… Avec les mots d’aujourd’hui… je dirais que je vagabondais L’ONTI-KHATIF ONÉRIQUE de mon père, mon grand-père Lucien, Aubert Montgrain et surtout du K-anada qui par expo 67 s’était mis en marche vers un esthétisme tout azimut d’une charte des droits dans le sillon de philosophie politique ……………………….. AVAIT FAIT DE MOI  …… UN PHILOSOPHE VAGABOND ……. DE CE QUI POURRAIT DEVENIR UNE VISION ONÉRIQUE DE LA CONDITION HUMAINE POÉTIQUE SUR TERRE.

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Tout me disait: les états de philosophe et de professeur de philosophie sont fondamentalement irréconciliables…. Dès la première semaine, le dominicain qui enseignait Thomas D’Aquin, l’éthicien, l’allemand qui parlait très mal français … tous autant les uns que les autres… se présentaient comme des professeurs… ce que je ne serais jamais… J’étais philosophe… Je ne savais pas ce que c’était… mais je ressentais provoquativement ce que ça n’était pas.

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Soudain Roland Houde rentre dans la classe …. Tous les élèves avaient leurs crayons prêts à prendre des notes…. Moi… j’arrivais du Japon ou j’avais vagabondé par le pur pouvoir de mon rêve…. le rêve d’expo 70 à Osaka…..je refusais de tenir crayon … considérant que prendre des notes tenait de l’inessentiel.

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Avec les mots d’aujourd’hui .. je dirais que Roland Houde était un professeur de philosophie qui aurait voulu avoir le courage de n’être que philosophe, qui en ressentait l’urgence que le Canada ait son philosophe mais qui, faute de contextualité, lançait une bouteille à la mer en étant convaincu qu’un jour… à cause de lui…. le grand philosophe canadien surgirait dans l’univers des professeurs de philosophie.

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Un petit video qui saute … au vidéographe… que j’ai tourné sur Houde au début des années 70 le montre répétant dans son enseignement exactement les mots avec lesquels il avait conquit ma vie personnelle oeuvre d’art en devenir.

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Je me rappelle… Le cours de Houde, ç’est mon souvenir, était le dernier d’une semaine décevante… J’arrivais du Japon COMME VAGABOND DU RÊVE FORMÉ PAR EXPO 67 À MONTREAL ET EXPO 70 À OSAKA ….. Tout en moi était philosophie d’un vagabondage heureux et réussi de la condition humaine sur terre… Mais je n’avais pas les mots pour le dire ….

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Houde entre donc dans la classe… Assez grand, 45 ans peut-être…. un bras infirme plus petit que l’autre bien caché sous une chemise… la pipe au bec …. gardant silence….. un silence impressionnant… pouvant durer de 10 à 15 minutes….. pour obliger les élèves à déposer leurs crayons …. Ce jour-là il a dit les 4 phrases qui ont marqué toute ma vie…. sans être interrompu d’ailleurs

1: IL Y A BEAUCOUP DE PROFESSEURS DE PHILOSOPHIE … MAIS PEU DE PHILOSOPHES …

(15 minutes de silence)

2: JE VAIS VOUS LE DONNER MON SALAIRE … MAIS DONNEZ-MOI À MANGER

(15 minutes de silence)

3: IL Y A BESOUP DE PROFESSEURS DE PHILOSOPHIE, MAIS PEU DE PHILOSOPHES

(15 minutes de silence)

4: JE TRAVAILLE POUR QU’UN JOUR LE GRAND PHILOSOPHE CANADIEN NAISSE…

(15 minutes de silence) (Houde se lève, se dirige vers la porte, l’ouvre et dit soudainement en pointant la poignée de porte:

5: EST-CE UNE POIGNÉE DE PORTE?

Et il sort….

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C’est quand je l’ai vu la semaine suivante répéter exactement dans le même ordre les 5 phrases avec 15 minutes de silence entre elles tout en fumant sa pipe… Je sus…. QU’IL ÉTAIT HABITÉ PAR UN  RÊVE…… comme mon père, comme mon grand-père Lucien, comme Aubert Montgrain, comme expo 67, comme expo 70 …. Mais quel était donc son rêve?

C’est en tournant un petit video sur lui lors de ma maitrise en audio-visuel que je sus que son rêve… était de cartographier tout ce qui s’était écrit en philosophie au bas Canada de façon de le mettre à la disposition du prochain grand philosophe canadien. Il s’était construit un  chalet  sur une île en montagne entre La Tuque et Trois-Rivières.

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Et je sus dès ce moment-là que je serais ce grand philosophe canadien dont il avait rêvé… UN PHILOSOPHE VAGABOND DU RÊVE BIG BANG DE LA VIE SUR TERRE.

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Contrairement au professeur de philosophie qui fait office de philosophe en publiant des articles et en participant à des colloques, LE PHILOSOPHE VAGABOND ERRE LA K-ONDITION HUMAINE…. EN SOUFFRANT AVEC ELLE À TRAVERS SES CONQUÊTES DE THÉORITISATION AB-HÉROIQUES … se dénudant de tout savoir, de toute science, faisant de sa pauvreté onti-kha-tive même (EGO SUM PAUPER, NIHIL HABEO, ET NIHIL DABO) le cri de Munch même  ……. d’une épistémologie du k-oeur

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Et voilà que philosophiquement, un philosophe se dénude de tout savoir institutionnel pour vivre l’épopée de ce qui deviendra l’épopée d’un archétype hologrammique LE VAGABOND CÉLESTE.

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Que le chemin me conduisant du VAGABOND PHILOSOPHE … AU PHILOSOPHE VAGABOND FUT ÉNIGMATIQUE….

La période du vagabond philosophe fut reliée, à mon avis, à mon arrivée dans le Vieux Montréal, au café St-Vincent, comme chansonnier-animateur , quelque mois après mon retour du Japon… (ma mémoire me joue peut-être des tours ici) peut-être c’est quelques années …. enfin ….

On aurait dit… que sur la petite scène du café St-Vincent… je ne faisais que sauter d’un rêve à un autre par la même poésie avec laquelle j’avais vu sauter les deux hobos du train quand j’étais prisonnier de ma galerie à La Tuque parce que j’étais trop petit pour ouvrir la porte et aller vagabonder sur le trottoir.

JE N’AVAIS PAS LES MOTS… mais avec les mots d’aujourd’hui… je dirais que… déjà j’étais horrifié par la pesanteur onti-ke qui régnait sur ma rue Gouin.

Comment le dire… comment le dire…. Quand … jour après jour, tout petit… tu vois les hommes de ma rue revenir à la même heure du moulin à papier avec leur boîte à lunch …. que tu les vois descendre… tu ressens la lourdeur de l’onti-ke de leur condition humaine…. Tout est en fonction de la survie de chaque famille.

Comment le dire …. Comment le dire …

Quand tu vois ton père se cacher du curé qui fait sa visite paroissiale … tu ressens la pression inouie d’une institution qui se glisse dans les moindres recoins de la vie privée …..

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La petite scène du café St-Vincent fut mon expo 67 personnel par lequel je pus vagabonder mon imaginaire à travers le peuple des mots de mon cahier de chansons … et cela sans boire, sans fumer, sans droguer …. Tout en moi était vagabondage philosophique …. Je cherchais à saisir pourquoi la poésie venait me visiter régulièrement sur scène sous forme de brosses d’être et d’attaques d’être ( dit avec les mots d’aujourd’hui) parce que j’avais la chance inouie d’être protégé par UN POÈTE. … PAUL GOUIN … propriétaire du dit café ….qui n’avait pas besoin de l’argent que produisant ce café (pendant presque 2 ans, je suis sur que Paul est arrivé en-dessous).

JE DEVINS VAGABOND-PHILOSOPHE D’UN RÊVE BIG BANG PLUS GRAND QUE MOI … mais je n’avais pas les mots ni pour en prendre conscience ni pour le théoriser… Et pourtant … mes maîtres furent trois vrais vagabonds traînant dans la ruelle devant ma fenêtre: PHILIPPE, L’ARTISTE, LE PÈRE LA ONTAGNE

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Une de mes chansons que je chantais sur scène au café St-Vincent quand je les voyais tous les trois dans la fenêtre du garage ouverte pendant que je chantais… alors qu’ils attendaient que des clients leur offrent une bière en cachette de la mère Martin (compagne du père Gouin)

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Philippe, l’artiste, Père Lamontagne

Ti-Jean Marcoux c’est toute ma gagne

café du port jusqu’à la croute

c’est ma bohème qui est en déroute

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Oui… la philosophie dansait en moi…. Si j’avais pu deviner qu’un jour elle ferait en sorte qu’un archétype hologrammique LE VAGABOND CÉLESTE DEVIENNE PHILOSOPHE pendant que la personne humaine qui l’a fait naître se perçoive comme humanité errante fantomatiquement et axiologiquement en détresse.

Pierrot vagabond

LE RÊVE BIENVEILLANT ENVERS L’AUTRE EST LE FONDEMENT DE L’ERRANCE POÉTIQUE SUR TERRE … LE SAUT AB-CEPTUEL NÉCESSAIRE DE LA NON-TRICHERIE PERMETTANT LA DÉLIVRANCE DE L’ONTIKE PAR L’ONTI-KHA-TIF …… ET C’EST EN CE SENS QUE LE RÊVE BIENVEILLANT ENVERS SOI-MÊME QUI EN DÉCOULE DONNE LE COURAGE DE PASSER AU TRAVERS DES MAUVAIS JOURS POUR HONORER TOUS CES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR QUI CONSTITUENT LE FOND MÊME DES BONS JOURS

Cette nuit, j’ai eu un sommeil tourmenté ….. Comme si la vie venait me rappeler que je dois travailler plus fort pour que la nano-citoyenneté-planétaire SOIT LE RÊVE BIENVEILLANT DE L’HUMANITÉ OEUVRE D’ART au service des millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre dans cette nano-modernité du 21eme siècle.

Hier, jusqu’à trois heures du matin, j’ai remplis mon programme de travail. … soit mis ma clé USB à jour et revisité les 60 iers items du glossaire … sur 240 à compléter. …. Puis, après avoir skypé une heure avec G au sujet de la modélisation de sa planche métaphysique, j’ai dormi jusqu’à midi.

Beaucoup de rêves…. décousus comme le sont les rêves la nuit… mais indiquant surtout à mon avis un épuisement physique auquel je devrai être attentif.. Vivant dans une grande concentration nuit et jour… celle du vagabond céleste ayant désancré du réel Pierre Rochette, je tiens à honorer de loyauté et de discipline personnelle ….  le RÊVE DE BIENVEILLANCE …..  envers l’autre qui m’habite. Et en particulier envers la métaphysique de G. ….dont la grandeur de la pensée conceptuelle m’éblouit. ….

Tout me serait infiniment plus difficile si je n’avais pas l’amitié oeuvre d’art au quotidien …. de Marlene la jardinière et de Michel le concierge … mes bienveillants partenaires de recherche.

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SANS UN RÊVE BIENVEILLANT ENVERS L’AUTRE … l’errance poétique est impossible sur cette terre. C’est peut-être cela le fondement de notre doctorat dont le titre est : JE TE DEMANDE PARDON …à partir de la très belle chanson de Michel le concierge

JE TE DEMANDE PARDON

COUPLET 1
S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau
S’il m’arrive de prendre trop de place trop souvent
Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie
Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit…                                                Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 2
Si je vagabonde céleste tout autour de la planète
Si je suis parti sans avis au détour de nos vies
Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri,
Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 3

Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici
Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie
Si je suis révolté parce que je suis enchaîné
Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 4

Et si je le savais tout ce temps que je te volais…
Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais…
Je n’ai pas d’âme pas de K-œur aujourd’hui je le dis…
Je veux changer de vie et d’amour te dire merci
Je te demande pardon…
Je te demande pardon….

CHANSON MANIFESTE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Michel le concierge

 

 

 

NOTRE DOCTORAT… DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DONT LE TITRE SERA …. JE TE DEMANDE PARDON …. CONSACRERA SON IER CHAPITRE AUX JARDINS DE MARLENE À PARTIR DE LA LECTURE DE MARLENE DE L’HOMME QUI PLANTAIT DES ARBRES DE GIONO …..SOUS L’OEUVRE D’ART DE FRÉDÉRIC BACH … LU PAR PHILIPPE NOIRET …..

 

Plus j’avance dans le lexique du glossaire , plus le fil d’or de notre doctorat semble se positionner, d’abord à partir de la vie oeuvre d’art de Marlene la jardinière, ensuite celle de Michel le concierge pour finalement se terminer par celle de Pierrot vagabond …. à la suite de quoi notre équipe de recherche réunie se verra poïétiquement sculpter l’humanité de l’invention de l’institution de la nano-citoyenneté-planétaire sur terre au fur et à mesure de leurs conseils d’administration de la créativité.

Tout se passe comme si j’avais enfin saisi que l’univers onérique de Marlene la jardinière  quand elle habite la beauté du monde par ses jardins constitue exactement une fois son univers superposé par celui de Giono un abcept axiomatique de ce qui constitue UN ONÉRISME ONTI-KHA-TIF D’UNE PERSONNE HUMAINE OEUVRE D’ART SUR TERRE.

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Je saisis aussi… que dans un second temps… l’amour oeuvre d’art que Michel porte à Marlene depuis 35 ans constitue également l’illustration exceptionnelle de ce qui constitue UN RÊVE BIG BANG ONÉRIQUE VÉCU SUR CETTE TERRE….. en le surperposant à la chanson Evangeline de Annie Blanchard, j’aimerais en démontrer la force abceptuelle d’un onérisme ontikhatif provoqué par un rêve big bang …. qu’on appelle AMOUR OEUVRE D’ART et dont Etienne souriaut disait dans….

LE VOCABULAIRE D’ESTHÉTIQUE, ETIENNE SOURIAU, PUBLIÉ EN 1990 (IERE ÉDITION) …… p.105 ….

ON POURRAIT ENFIN CONSIDÉRER LES SENTIMENTS RÉELLEMENT VÉCUS COMME LES ARTS D’UN ART DE VIVRE, INDÉPENDAMMENT DE TOUTE MUTATION ARTISTIQUE ET DE L’ÉLABORATION DE POÈMES, PEINTURES OU SYMPHONIES, PEUT-ÊTRE UN SENTIMENT D’AMOUR TRÈS BEAU ET PORTÉ À UNE SORTE DE PERFECTION … POURRAIT-IL ÊTRE CONSIDÉRÉ EN LUI-MÊME COMME UNE OEUVRE D’ART.

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Quant à Pierrot vagabond …. toute sa démarche se retrouve synthétisée dans sa chanson du camionneur chantée par Fred Pellerin et le vagabond céleste conté par Simon Gauthier…

 

Et c’est lorsque Pierrot vagabond rencontre Marlene la jardinière et Michel le concierge le 27 décembre 2009  et qu’il demande à Michelk..Quel est ton rêve? (Michel de répondre… Prendre soin du rêve de Marlene) et à Marlene… Quel est ton rêve? ( Et Marlene de répondre que Michel soit heureux dans son métier …. que le rçeve d’une vie personnelle oeuvre d’art, d’un pays oeuvre d’art et de la nano-citoyenneté-planétaire commencent à prendre forme.

 

Pierrot vagabond

 

 

LA CHANSON … JE TE DEMANDE PARDON … DE MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE … MICHEL LE CONCIERGE … CONSTITUE LE CENTRE MÊME DE NOTRE DOCTORAT SUR LA BEAUTÉ DU MONDE PAR UNE SOMME DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART CONVOQUANT L’ÉMERGENCE DE L’INVENTION DE L’INSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE ….

DOCTORAT

JE TE DEMANDE PARDON

COUPLET 1
S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau
S’il m’arrive de prendre trop de place trop souvent
Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie
Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit…                                                Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 2
Si je vagabonde céleste tout autour de la planète
Si je suis parti sans avis au détour de nos vies
Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri,
Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 3

Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici
Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie
Si je suis révolté parce que je suis enchaîné
Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 4

Et si je le savais tout ce temps que je te volais…
Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais…
Je n’ai pas d’âme pas de K-œur aujourd’hui je le dis…
Je veux changer de vie et d’amour te dire merci
Je te demande pardon…
Je te demande pardon….

CHANSON MANIFESTE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Michel le concierge

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Après avoir passé 10 jour et nuits consécutives dans l’atelier de métaphysique de G. …. ou nous avons vécu l’expérience de l’onti-ke des irritants du quotidien dans son énigmatique relatio n à lM’onti-kha-tif de nos rêves réciproques …. me voilà revenu chez mes amis partenaires de recherche précieux… Marlene la jardinière et Michel le concierge.

Mes amis archétypes hologrammiques sont partis pour 2 semaines de vacance à leur maison secondaire de grandes îles. Et me voilà donc homme nu de mes trois amis (Marlene, Michel et G.) à réinventer les ancrages organisationnels de mon quotidien de chercheur.

Le rythme qui me va le mieux semble celui-ci… Sommeil de 4 heures du matin à midi … Puis de 1 h. P.M. à la noirceur … me consacrer au glossaire et à la mise en clé USB des dernières entrées sur le blogue tout en sculptant le 300 mots et le corpus bibliographique de ma communauté d’énigme (expression de Gaelle Eteme) … comme si je devais passer , au nom de notre équipe de recherche… un examen de synthèse universitaire en vue du doctorat… Puis vers 8h. du soir… une grande marche de 2h. avant d’entreprendre une nuit DE CRÉATION D’ABCEPTS pour bien illustrer chacune des phrases de la magnifique chanson de Michel le concierge JE TE DEMANDE PARDON.

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G. fait quotidiennement des avancées dans l’économie de sa pensée métaphysique qui sont littéralement stupéfiantes…. Je n’ose imaginer la fraîcheur que prendra le colloque INTERNATIONAL les dimensions du rêve…  que nous voulons organiser en 2022. J’aimerais beaucoup de Simon Gauthier et son vagabond céleste soit immensément poésie lors de ce colloque.

Tout est si SIGNÉ….

Pierrot vagabond

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GRÂCE À L’AMITIÉ OEUVRE D’ART DE MARLENE LA JARDINIÈRE ET MICHEL LE CONCIERGE …. J’AI PU DEVENIR POÉSIE DU VAGABONDAGE DE LA K-ONNAISSANCE DURANT PLUSIEURS ANNÉES DANS 4 UNIVERSITÉS DIFFÉRENTES (MC GILL, CONCORDIA, MONTREAL ET UQAM) …. CE QUI M’A PERMIS DE VIVRE ONÉRIQUEMENT L’ÉPISTÉMOLOGIE MÊME DU VAGABONDAGE SUR TERRE ….

Qu’est-ce que vagabonder la connaissance?

Cette question a conquis ses lettres d’or dans mes débris de la mémoire du k-oeur des 5 dernières années …. Je déjeunais avec Marlene et Michel … puis… alors qu’ils allaient respectivement travailler … de mon côté…. je vivais l’impossible… N’être que sur terre poésie de l’acte de connaissance par le vagabondage des mots ….

Comme mon talon d’Achille était les gardiens de sécurité qui auraient pu à n’importe quel moment me demander ma carte et me refouler hors de mon rêve… jue me suis mis à m’intéresser à elles et à eux…. en leur serrant la main … en apprenant leur nom … en m’intéressant à leurs rêves, leurs inquiétudes, leurs désarrois… Plusieurs étaient fraichement émigrés … Ils ou elles connaissaient à peine leur nouveau pays …. vivaient des blessures reliées à ce qu’ils ou elles avaient abandonné….

J’étais porteur de mes quatre questions que je gardais bien enfouies au fond de moi le temps de bien connaître une à une ou un à un leur cartographie philosophique. Certains avaient mal aux pieds, d’autres venaient de se séparer…. Certains attendaient un visa pour faire venir leurs proches … d’autres me parlaient impuissants de leur mère malade restée au pays là-bas….

Comme de chacun et de chacune j’avais mal d’eux ou d’elle en moi. Puis j’arrivais en bibliothèque . Je prenais un livre de philosophie, de sociologie ou de science politique … puis je lisais mon 200 pages par jour, très tôt le matin jusqu’à très tard le soir… souvent jusqu’à la fermeture même.

QU’EST-CE QUE VAGABONDER LA CONNAISSANCE CANOTANT LA BEAUTÉ DU MONDE SUR UNE TELLE MER DE SOUFFRANCES HUMAINES?

Je me disais… je me dois et de le faire… et d’en témoigner… au nom de toutes celles et ceux qui souffrent l’impossible de la k-ondition humaine sur terre… Qu’il est possible de VIVRE EN VAGABOND CÉLESTE… avec presque rien … oragé de poésie douce….

Faire de sa station spatiale du k-oeur un champ de poésie consacré à la vie personnelle oeuvre d’art en devenir de l’autre  … tout en sculptant sa poésie de vivre par le biais d’un atelier d’onérisme spirituel consacré à l’écoute bienveillant de l’autre.

Epistémologiquement, vagabonder la k-onnaissance  permet aussi de vagabonder le k-oeur de l’autre… Contrairement à Lévinas qui donne au visage de l’autre toute sa force métaphysique…. j’accorde au k-oeur de l’autre toute sa sensibilité musicale pour faire de mon k-oeur un orchestre symphonique accompagnant le sien.

Je me rappelle de Manon, gardienne de sécurité à l’UQAM. Elle avait une grande fille de 18 ans et un tout petit enfant d’un an. Ses vies de couples n’avaient pas marché. Mais chaque jour, courageusement, malgré une maladie inflammatoire, courageusement, elle venait gagner sa croute …. Quand elle me parlait de ses deux filles, je voyais son rêve émerger dans ses yeux, le sens de sa vie lui donner force.

Je me rappelle d’une autre…. (le prénom m’échappe)que j’ai accueilli à sa première journée de travail à titre de recteur poétique de l’uqam. Elle avait été coiffeuse … elle avait près de 40 ans et voyait son avenir dans le monde des agents de sécurité… Je lui ai prédis un brillant avenir à l’uqam… En quelques années seulement, elle est devenue chef d’équipe et formatrice…

Je me rappelle d’un autre (dont le prénom m’échappe, décidément) . Il arrivait d’Algérie ou il avait été en communication dans un poste de radio. Lui aussi, je l’ai accueilli à sa première journée de travail… Son frère était lui aussi à Montréal mais le reste de sa famille était restée en Algérie….

J’ai toujours été très blessé de l’autre en moi. Je ne peux accepter d’être heureux si l’autre ne l’est pas. Je ne peux accepter de manger si l’autre ne mange pas. Je ne peux accepter la condition humaine telle qu’elle se vit sur terre en ce moment…. Ces millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre m’attèrent.

Je ne suis qu’un vagabond qui essaie de vivre poétiquement son existence au nom de celles ou ceux qui n’y auront pas accès parce qu’ils ou elles n’ont pas tiré le bon numéro de la vie.

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QU’EST-CE QUE VAGABONDER LA CONNAISSANCE?

Ce fut pour moi poésie pure. Ca ne me dérangeait pas de dormir sur une planche, de manger mal, en autant que je ne sois QUE POÉSIE DES 4 QUESTIONS DU PAYS OEUVRE D’ART … et cela au quotidien

1: Quel est ton rêve?

2: Dans combien de jours?

3: Qu’as-tu fait aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

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Je lisais mes 200 pages par jour.  Mais en ne lisant pas vraiment… Il y avait entre moi et l’acte de lire ….  la poésie de la vie sur terre au ralenti. …. L’or du temps …. je ne bougeais pas de mon siège à l’une ou l’autre des bibliothèques universitaires pour avoir accès dans le creux de ma main à un fragment de l’or du temps. La musique de l’or du temps… si particulières à EGO SUM PAUPER … NIHIL HABEO … ET NIHIL DABO ….

Et parfois… au beau milieu d’une page… mes yeux tombaient quelques minutes et un débris de la mémoire du k-oeur de mon passé d’artiste de scène remontait à la surface comme une douceur inouie, comme un privilège, comme un don de la beauté du monde.

Comme ces nuits d’hiver, aux iles de la Madeleine ou je chantais dans le couvent chez Gaspard à Havre aux maisons. La boîte à chansons était dans la cave. Il y avait un piano avec une longue estrade tout autour ou les madelinots venaient y déposer leurs verres… Entre le pisno et l’estrade, il y avait un micro et le chansonnier avec sa guitare…. Je n’étais que poésie… Comme je ne buvais que du jus d’orange… je me gorgeais de tendresse en dedans de moi-même tout en performant, en animant… On était encore à l’époque ou on pouvait enflammer une salle avec un Felix Leclerc, un Béart, un Brassens, un Ferland, un Brel, un George Langford… Quand même…. faire de sa soirée de la poésie avec des morceaux de poésie… Quels privilèges nous eûmes nous les chansonniers des années 1970.

Trois heures du matin…. la boite à chansons se vidait… Et là je me retrouvais tout fin seul au couvent chez Gaspard… Tout fin seul… Je montais dans ma chambre au deuxième étage (ce couvent avait été un ancien couvent de religieuses).

C’était l’hiver…. Il n’y a pas d’arbres aux îles … Et toute la nuit… la tempête hurlait… Un vent énorme,, ,,, des masses de neige….  J’avais demandé si certains avaient des livres sur la deuxième guerre mondiale… On m’en apporta ,,, soir après soir …. Et je les ai lus … nuit après nuit….

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QU’EST-CE QUE VAGABONDER LA CONNAISSANCE?

Pour moi, c’est l’acte poétique par excellence sur cette terre. Avoir accès AU PEUPLE DES MOTS …. mots qui nous bercent de leurs énigmes … et aller marcher ensuite la beauté du monde…. un peu plus pauvre qu’avant … car la connaissance rend pauvre… dans le sens de l’humilité …. Qui sommes-nous? d’ou venons-nous? Ou allons-nous? pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien?

Rien de ce que j’ai lu dans ma vie n’a pu entamer l’énigme des 4 questions métaphysiques fondamentales que se posent depuis toujours l’humanité.

Pierrot vagabond

 

VAGABONDER LA BEAUTÉ DU MONDE

VAGABONDER LA BEAUTÉ DU MONDE

Je n’ai jamais vu mon père et ma mère élever la voix entre eux ou même avoir un argument sévère devant nous les enfants …. Mon père avait institué au début de son mariage un code qui pouvait se dire comme ceci: On ramasse nos problèmes de la semaine et on essaie de les résoudre le vendredi, si possible au restaurant, même si n’a que les moyens de se payer 2 cokes… Mais on n’incommode pas les enfants avec ça.

Cela m’a bien préparé à vagabonder la beauté du monde mais bien mal préparé au quotidien d’une vie de couple ….. Chaque manque de respect sous une forme ou sous une autre m’était vécu comme une blessure catastrophique profonde.

Quand je regarde l’arbre qui me parle dans la fenêtre de G. je me sens attendri d’une immense poésie contemplative. Le silence se fait parole ….toujours la même et jamais pareille.

Comme aujourd’hui je remercie mon partenaire de scène pendant 18 ans… Denis Lamarre …. Aucun argument même mineur entre nous … Que du respect, du respect, du respect …. De la douceur de faire carrière en équipe … comme mon père et Monsieur Bérichon quand mon père était réalisateur de télévision
à C.K.T.M. Trois-Rivières.

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Cher Denis Lamarre,

En 18 ans de carrière, je ne me rappelle pas d’une seule zone d’ombre … et je ne crois pas me tromper en me disant que tu penses exactement la même chose de ton côté. Comment avons-nous pu être aussi heureux au quotidien en 18 ans de carrière! Je n’en reviens pas encore….

J’ai aimé vagabonder la scène à tes côtés …. Quand nous inventions nos numéros de spectacle à l’auberge La Calèche, Mario un des propriétaires faisait construire les décors, nous fournissait une costumière qui nous créait les costumes. Durant ce temps, toi dans ton studio au 2eme étage de ta maison dans le bois, tu créais les pistes musicales pendant que de mon côté, je créais les numéros de comédie selon la thématique choisie…. Et entre tout ça, nous parcourions le Québec pour différents engagements dans les villes et villages …

Nous ne nous fréquentions pas en  dehors des heures de travail …. Mais comme de toute façon nous étions plus de 40 heures par semaine ensemble …. nous pratiquions une éthique du respect bien au-delà de ce que nous avions vécu chacun de nous auparavant. Nous étions amitié oeuvre d’art au service de notre art et nous le savions ….. Merci pour nous avoir permis cela par ton trèes grand professionnalisme

Pierrot vagabond

 

COMME JE M’ENNUYAIS FACILEMENT SUR SCÈNE … QUE CE SOIT AUX PIERROTS AVEC L’AUTRE PIERROT (PIERRE DAVID) OU À TRAVERS LE QUÉBEC COMME À L’AUBERGE LA CALÈCHE AVEC MON MERVEILLEUX PARTENAIRE DENIS LAMARRE…. J’AI PASSÉ MA CARRIÈRE D’ARTISTE DE SCÈNE À EN FAIRE UN LABORATOIRE DE THÉORISATION POUR TENTER DE SAISIR LE SECRET DU MERVEILLEUX…. CES MOMENTS DE QWALIA TELLEMENT SAISISSANTS QU’ILS SACRALISENT EN EUX-MÊMES LA BEAUTÉ DU MONDE … MALGRÉ CET OCÉAN DE SOUFFRANCE DANS LEQUEL NAGE NOTRE HUMANITÉ ….

Je ne buvais pas, ne fumais pas, ne me droguais pas, ne jouais pas …. parce que j’étais trop émerveillé quand la poésie de la beauté du monde venait soudainement m’y rejoindre sur scène … Et chaque fois… je tentais d’arrêter le temps… de tendre la main pour saisir l’or du temps qui venait à moi. Ce qui me donnait un air absent-présent …  me disait-on parfois.

De là des débris de la mémoire du k-oeur reliés à la scène.

Je me rappelle … J’étais seul sur scène … c’était à Drummondville dans une soirée à but non lucratif pour ramasser des fonds pour combattre la maladie des intestins (éliite et colite je crois)

La salle était grande … Le public réceptif …. J’enchaînais les numéros avec un rythme qui m’invitait à inventer le pacing en fonction des courbes originales crées par la salle sous forme de vagues … Car une des lois de la scène des plus attrayantes se lit comme ceci: QUAND LE PUBLIC EST VITE, VA LENT ….. QUAND LE PUBLIC EST LENT, VA VITE ….

Et soudain …. tout devint poésie … Je n’étais plus sur scène… le public n’était plus dans la salle … Je dansais la beauté du monde … comme si tout n’avait été, n’était et ne serait qu’un rêve ….

Je n’étais que beauté du monde … Je n’étais que poésie …. Pourquoi? Comment cela est-il possible? … Je me disais …. Il y a une dimension de la vie que ni la religion, ni la science ne peut déchiffrer …. Ce parfum de vivre qui ne peut soudainement s’inviter que par  un onérisme énigmatique  …. comme si à l’intérieur du k-oeur  même de la phénoménalité … une vivance s’allumait tel un phare de liberté sur une mer opaque.

UN PHARE DE LIBERTÉ …. C’est peut-être cela la vie personnelle oeuvre d’art ,,,, Cette convo-ka-tion d’un saut de l’onti-ke à l’onti-ka-tif. ….

Un rêve qui reste allumé comme une chandelle en dedans de soi et cela depuis l’enfance est souvent ce qui nous sauve dans des moments ou les horizons de la vie semblent se fermer à jamais.

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Il y avait dans la salle, ce soir-là à Victoriaville beaucoup de personnes atteintes d’une maladie grave des intestins ….J’étais jeune… Je n’avais pas les mots …. je ne savais pas théoriser l’espérance d’une vie humaine ….

Aujourd’hui, je sais que la promiscuité entre des personnes qui s’aiment mais dont une des deux souffre … dans un petit appartement peut devenir d’une grave toxicité  si elle n’est pas accompagnée d’une eumétrie philosophique ajustée au niveau psychologique … comme par exemple ……  de toujours prendre 24 heures avant d’embarquer dans une controverse de valeurs, prenant la peine d’initier des rituels d’écoute, de respect, et d’étapisme au niveau de l’ajustement des comportements….. en gardant bien au  k-oeur de son amour pour l’autre… la protection de son rêve … même si celui-ci n’est encore qu’embryon au fond de son quotidien onti-ke.

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Quand Michel le concierge me raconte la vie de son oncle Hubert et de sa dame ayant élevé une douzaine d’enfants dont plusieurs atteints d’ une grave maladie du sang, et cela dans une très grande pauvreté, cela me  bouleverse. De l’héroïsme au quotidien sans doute soutenu par une foi naïve mais profonde.  …. Mais que d’abnégation… que d’épuisement.. que d’isolement familial cruel .

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OU ES-TU POÉSIE QUAND L’HUMANITÉ SOUFFE L’HORREUR?

Pierrot Vagabond

 

 

 

 

 

COMME DANS L’ÉPOPÉE L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DU VAGABOND CÉLESTE A FAIT DE MA BEAUTÉ DU MONDE UN SOMEWHERE OVER THE RAINBOW

Comme vagabond céleste, ce que j’appréciais infiniment… c’était la capacité de reprendre la route dès que mes pieds m’en donnaient le signal… On m’avait dit un jour: DERRIÈRE CHAQUE PORTE DE MAISON …..  IL Y A UN DRAME.

Et j’aurais pu ajouter… DERRIÈRE CHAQUE PORTE D’AUTOMOBILISTE QUI M’EMBARQUAIT SUR LA ROUTE, IL Y AVAIT AUSSI UN DRAME ….

Dès qu’on m’emmenait dans une maison ou qu’on m’embarquait dans une automobile, j’étais envahi de chagrin onti-kha-tif  (au sens de relié à ton rêve big bang) …. j’aimais la vie libre de GENTLEMAN VAGABOND  (expression  vient du peintre Paul-Emile Borduas) me semblait n’avoir aucun équivalent …. Il m’apparaissait moins difficile de souffrir de faim ou d’ampoules aux pieds que de converser dans une maison ou dans une automobile avec l’onti-ke ( routine reliée à la survie au quotidien et ses chaînes) … Plus on me racontait… moins j’avais les mots … De nos jours …. On rencontre rarement sinon jamais d’itinérants sur les routes de campagne du Québec… et encore moins de vagabond …  cela peut se comprendre… C’est loin  d’être la route du soleil idéale….

Sans doute le silence onti-kha-tif (silence relié à son rêve big bang) est-il d’une très grande puissance onérique … Garder silence des heures et des heures … puis tomber de fatigue entre un ruisseau et un boisé…. un bosquet et une mairie de village …  un sol poussiéreux et un dessous de galerie … t’oblige à n’avoir comme interlocuteur que l’univers lui-même dans ses résiliences énigmatiques.

Comme j’aimais soudainement me retrouver la nuit devant une bibliothèque …. il m’arrivait de dormir pas loin , de façon à ce qu’à l’ouverture, je puisse découvrir LE livre qui me rendrait heureux ….

Être un étranger parmi les étrangers ….avec mon vieux chapeau, sale en dehors, propre en dedans, mon bâton de pèlerin, mon sac à dos…. J’entrais dans la bibliotheque… il y avait de l’eau de l’abreuvoir froide et gratuite… Je pouvais y remplir ma gourde… Je prenais tout mon temps pour choisir LE LIVRE ….puis… près d’une fenêtre… je perdais la notion du temps.. trop amoureux des mots… passionnément amoureux des mots ….Comme j’étais heureux… comme j’étais heureux … Je n’étais qu’un vagabond céleste inconnu … sauf de moi-même ….

Cette euphorie d’avoir tout son temps et de n’en gaspiller aucune parcelle au niveau de l’utilitaire … afin de le projeter parmi les arbres, les fleurs et les ruisseaux ….

LE TEMPS …ohhhhh …… CET OR DES VAGABONDS HEUREUX SUR CETTE TERRE…. COMME LE TEMPS M’ÉTAIT ABONDAMMENT RACONTÉ PAR LA BEAUTÉ DU MONDE.

Pierrot Vagabond

 

 

 

 

QU’EST-CE QUE LA NANO-MODERNITÉ? C’EST PEUT-ÊTRE DE PRENDRE LE PARI QUE SI TOUT N’EST QUE RÊVE …. IL EST TEMPS DE FAIRE DE LA VIE DE L’HUMANITÉ SUR TERRE …. UN RÊVE OEUVRE D’ART

Un jour, il est bien possible que les historiens identifient l’arrivée du corona virus 19 ….  EN 2020 ….  comme étant L’ÉVÉNEMENT-IMPOSSIBLE AYANT PERMIS  L’ÉMERGENCE MÊME DE LA NANO-MODERNITÉ SUR TERRE.

Qui aurait pu imaginer qu’un simple virus mortel puisse traverser les frontières de l’inoui-inacceptable  entre les centaines de millions d’errants fantomatiques- cris de Munch de souffrances scandaleuses ….  et leurs vis-à-vis privilégiés CRIS DE CHAMPS DE BATAILLE DE DÉSIRS produisant des désirs de souffrances encore plus inutiles …. soit …. la minorité d’errants axiologiques privilégiés de cette terre.

La terre entière connaît maintenant LA PEUR AU VENTRE issu d’un virus mortel ….. Est-il possible que cette même humanité  puisse passer de la peur au ventre au RÊVE POUR TOUTES ET TOUS PAR LE K-OEUR DE CHACUNE ET CHACUN? …. sous l’inspiration d’errants poétiques qui tels des lampadaires spirituels s’allument un peu partout dans différentes villes et villages …par pure synchroni-vie-té spirituelle onérique?

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE NE POURRA NAÎTRE QUE PAR LA CONVERGENCE IMPOSSIBLE DE MILLIERS DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART DONT L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE CHACUNE ET CHACUN …  ISSU DE LA STATION SPATIALE DU K-OEUR … RÊVE D’UNE HUMANITÉ OEUVRE D’ART AU SERVICE D’ABORD DE TOUTE VIE FANTOMATIQUE LÉSÉE DE SES DROITS FONDAMENTAUX À UN RÊVE BIG BANG SUR CETTE TERRE.

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C’est ce que j’appelle… prendre le pari onti-kha-tif d’un rêve big bang pour chacune et chacun sur cette terre… pour mieux tenter, PAR CONTRASTE,  de saisir l’énigme nano-cosmologique suivante:

ET SI TOUT N’ÉTAIT QUE RÊVE?

Lorsque le vagabond céleste a parcouru le pays pour serrer la main à des grandes rêveuses et des grands rêveurs… il avait aussi pour rêve d’allumer des rêveuses et des rêveurs par les quatre questions du pays oeuvre d’art?

1: Quel est ton rêve?

2: Dans combien de jours?

3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

En ais-je fait assez?  …. en ais-je fait assez? … Je me rappelle ces nuits et jours passés en dessous d’un pont quelconque ou d’une galerie de chalet quelconque à demander è la pluie qui coulait sans arrêt me donner la luminosité nécessaire pour enflammer le pays oeuvre d’art de rêveuses et de rêveurs dédiés à l’émergence d’une humanité oeuvre d’art par la nano-citoyenneté-planétaire.

Tout semble se passer comme si l’humanité n’avait aucune chance de saisir l’énigme du rêve métaphysique que constitue le k-osmos si elle ne sculpte pas elle-même ses questions métaphysiques incontournables  par le k-oeur même d’un rêve plus grand qu’elle-même:  ( 1) qui sommes-nous? 2) D’oû venons-nous? 3) Oû allons-nous? 4) Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien? )….

Je ne peux croire que la liberté sur terre exige tant de guerres, tant de souffrances du plus petit, tant de mépris des femmes et tant de luttes pour l’argent, le pouvoir, la célébrité et la grandiosité du plus rusé? Je suis scandalisé.

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Il est 19h.40 …. G. est étendue dans son divan travaille à sa métaphysique pendant que sur la chaise en face j’écris ce blogue… Nous avons dormi une couple d’heures chacun de notre côté pour mieux vivre une nuit de recherche entre-coupée d’une marche philosophique. Dehors, le soleil du soir passe à travers l’arbre dont les feuilles dansent tout doucement le vent …..

ET SI TOUT N’ÉTAIT QUE RÊVE?

De fait, l’archétype hologrammique du vagabond céleste habite la nano-modernité en questionnant LA BEAUTÉ DU MONDE …. malgré la puissance inouie des violences qui lui font outrage chaque seconde un peu partout sur la planète. … LA BEAUTÉ DU MONDE s’y faufile de partout….

C’est en ce sens aussi que je suis très sensible aux personnes racisées …. très sensible…. Cette semaine… je suis allé à une friperie… un grand, jeune et merveilleux monsieur noir de peau m’a appliqué du lave-main … et je lui ai dis … Oh Monsieur … que je suis heureux qu’à travers le monde en ce moment …. vous vous leviez debout pour vos droits … Ce n’est pas normal que … parce que vous êtes noirs … vous ayez moins de chance que les autres au Québec….

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G. vient de prendre une demie-heure pour m’exposer sa dernière invention métaphysique …. du pur génie ….et enregistré en plus   sur son téléphone celllulaire… elle n’est plus très loin de son examen de synthèse de doctorat… ce sera très émouvant… Il y a quand même 7 ans de travail là dans ce doctorat …

Ça fait plus de deux ans et quelques mois maintenant que je suis témoin du travail colossal de G. en métaphysique de la sociologie … Je crois que l’on s’est vu quasiment chaque jour, plusieurs  heures par jour et même depuis quelque mois …. plusieurs nuits et jours consécutifs …. dont les 9 derniers sans arrêt .

J’ai l’honneur d’être dévoué à un rêve big bang plus grandiose que le mien. Sa carrière de créatrice méthodologique conceptuelle en métaphysique de la sociologie sera de calibre international… Je le sais depuis les premières heures ou je l’ai connu.

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Qu’est-ce que la nano-modernité?

C’est la certitude qu’ont les nano-personnes-humaines de cette planète qu’ensemble, par la nano-citoyennet.é-planétaire … on pourra enfin changer les choses pour que le plus petit, la plus souffrante se soit pas invisibilisée par les privilégiés

Pierrot vagabond

 

 

 

 

 

 

 

 

LES PREMIÈRES DÉESSES ET LES PREMIERS DIEUX FURENT PROBLABLEMENT … EN FAIT …. L’INVENTION D’UNE FORME EXTERNE D’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE À PARTIR DUQUEL IL ÉTAIT POSSIBLE DE SORTIR DE L’IMPUISSANCE FACE À LA DRAMATURGIE COSMOLOGIQUE DE LA FINITUDE ET DE NÉGOCIER PAR LE BIAIS DE SACRIFICES ….. LES BIENVEILLANCES ET LES PROTECTIONS NÉCESSAIRES À LA SURVIE DU GROUPE SUR TERRE

Cette nuit, dans l’atelier de métaphysique de G., je dormais sur le plancher pour prendre des forces avant que l’on quitte  vers 4 heures du matin pour aller prendre une marche philosophique jusqu’au petit jour.

Je dormais sur le ventre…. les bras bien allongés comme des ailes d’oiseaux bien ancrés contre le plancher …. Et je me suis retrouvé voyageant à l’intérieur de moi-même comme dans un immense infini noir …sans fin … sans bord …. et cela dans un sommeil profond … comme si Pierre Rochette et sa personnalité freudienne, lacanienne fragile et nue …. tombait d’épuisement … Puis soudain… ce Pierre Rochette s’est senti soulevé par les épaules tout en bénéficiant d’une énergie de bienveillance… Il s’est viré de bord et a vu SON ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DU VAGABOND CÉLESTE VENIR À SON SECOURS POUR PRENDRE SOIN DE LUI.  Cet archétype hologrammique semblait venir directement de la station spatiale du k-oeur? Tout se passait comme si mon rêve big-bang lui-même prenait en charge la lourdeur onti-ke et les peurs reliées à la station spatiale des 5 sens, la station spatiale des intellects, la station spatiale du viscéral. … systémiquement et imaginairement englués dans l’univers freudien-lacanien du 20eme siècle écoulé.

Je me suis réveillé là-dessus . G. sur son fauteuil était déjà en mode d’aller courir … Nous sommes sortis dehors… Il faisait nuit… il faisait doux…

Pendant que G. courait en ligne droite au centre d’une longue rue… Je philosophais lentement à l’arrière …. et réfléchissais au sens de mon expérience métaphysique vécue sur le plancher ….

Et soudain… m’est venue une hypothèse forte….

Et si les premières déesses et les premiers dieux des premiers groupes d’humains sur terre  avaient été d’abord DES INVENTIONS  D’ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES DE FORME EXTERNE … ayant pour objectif de venir au secours et de prendre soin d’humains nus et effrayés devant leur finitude  bafouée sous une dramaturgie cosmologique terrifiante et incompréhensible tout autant qu’inadmissible ,,,, avec lesquelles il  leur serait maintenant possible de négocier des bienveillances et des protections par le biais de sacrifices…. comme si tout archétype hologrammique, que ce soit sous forme de déesses ou de dieux … ou de sculptations internes rendues possibles par la nano-modernité  …. suite à une série de débris de la mémoire du k-oeur  … constituait une clé du rien pour passer de la survie dans la peur à une certaine forme de vie faite d’espérance de ne plus avoir peur.

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Tout se passe comme si une personne humaine sur terre… engluée dans la survie des 5 sens, de l’intellect dynamisé émotionnellement et des pulsions convulsives …..  ne pouvait avoir accès à la richesse du k-oeur QUI COMMANDE ….  à moins d’inventer un archétype hologrammique, soit par un collectif promu sous formes de mythologies,, de déesses et de dieux , de cosmogonie ou de théologie ,,,,, soit sous forme d’un exemplaire unique créé PAR UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART en marche vers son rêve big bang sous l’ émergence même de la nano-modernité sur terre.

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Aurais-je pu me douter que cette route terrestre prise par mon archétype hologrammique avant de pouvoir communiquer avec ma personne …  contribuerait …. non seulement à modifier de fond en comble toute mon économie psychique, mais ….  en plus  …. à déposer en mon ab-personne ….  une théoritisation de la station spatiale du k-oeur par UN RÊVE BIG BANG …. libérant ainsi un champ constellaire multiversiel onti-kha-tif de toute attraction onti-ke du ça. moi et sur-moi freudien-lacanien ?

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A l’ère du Corona virus, cette minorité que constitue les errants axiologiques privilégiés de cette terre connaissent maintenant la peur au ventre… celle des centaines de millions d’errants fantomatiques… et en particulier celle des millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre…. Et l’impuissance des archétypes hologrammiques qui les protégeait …. sous la forme des déesses, des dieux ou autre …. apparaît ….  dans toute sa cruauté… exactement comme lors du tremblement de terre de Lisbonne en 1755. UNE ILLUSION CAUCHEMARDESQUE.

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Et pourtant… priver les humains de leurs dieux ferait de cette terre un tombeau cosmique encore bien plus infernal…. Voici une petite boule bleue roulant dans l’infini avec des humains qui pour la presque totalité ne pourront échapper à son attraction que par le biais de la mort.

ET SI TOUT N’ÉTAIT QUE RÊVE?

Pierrot vagabond