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l’ENCHANTEMENT DE L’ONTI-KE PAR L’ONTI-KHATIF ( des irritants du quotidien par le rêve big bang d’une vie personnelle oeuvre d’art) M’APPARAÎT…. AU CRÉPUSCULE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART LA CONSÉQUENCE HEUREUSE D’UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE (PIERROT VAGABOND) …. QUI SIGNE LE RÉEL SANS EN FAIRE PARTIE PAR SON RÊVE BIG BANG… EN SYNCHRONI-VIE-TÉ IMPOSSIBLE AVEC LE RÊVE BIG BANG LUI-MÊME QUI SIGNE LE RÉEL SANS EN FAIRE PARTIE…… WOW-T=2.7K? EN ÉTANT LA CLÉ NANO-K-OSMOLOGIQUE….

1) Quel est ton rêve? ….. 2) dans combien de jours? …. 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? …. 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

La nuit, quand je prend ma marche philosophique, seul ou avec G. …. je suis ébloui de voir que la question… quel est ton rêve? …..  prend une dimension de …. conte euphorique ….. de la même manière que la pratique du burlesque sur scène avec mon partenaire Denis Lamarre enchantait mes recherches sur les lois du rire dans ma maîtrise universitaire…

Je pense au rêve de G. et tout de suite cela sonne PRINCETON… Je pense au rêve de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) et cela sonn LE PRIS NOBEL DE LA PAIX…. Je pense à Simon Gauthier, le conteur international du conte LE VAGABOND CÉLESTE … et cela sonne… le colloque sur les dimensions du rêve en 2022….

Le JE qui se meurt pour mieux renaître par son archétype hologrammique devient ab-ceptuel… au sens ou le corps devient un socle ab-jetal de la partie onérique d’un concept… l’abcept.

Je me rappelle quand jai quitté la scène après avoir chanté la chanson LA QUÊTE  de jacques Brel sur la scène de l’auberge La Calèche…. Durant toute la chanson…. la sensation que ce serait mon dernier spectacle m’est apparue comme un rêve impossible.. Je cotoyais LES LOIS DE L’IMPOSSIBLE… Je convoquais…. LES LOIS DE L’IMPOSSIBLE… Je chantais la mort de moi-même pour mieux renaître au koeur même des mots ce cette chanson.

« La quête »

Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d’une possible fièvre
Partir où personne ne part

Aimer jusqu’à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D’atteindre l’inaccessible étoile

Telle est ma quête,
Suivre l’étoile
Peu m’importent mes chances
Peu m’importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l’or d’un mot d’amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s’éclabousseraient de bleu
Parce qu’un malheureux

Brûle encore, bien qu’ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s’en écarteler
Pour atteindre l’inaccessible étoile.

Tout le vagabond céleste, son programme nano-kosmologique, y était déjà inclu.
Pierrot vagabond

 

 

 

Pierrot vagabond

WOW-T=2.7K? ….. LA FORMULE MÉTAPHYSIQUE ONTI-KHA-TIVE SOUS LAQUELLE SE DÉPLOIE LE RÊVE BIG-BANG QUI NE FAIT PAS PARTIE DU RÉEL MAIS QUI LE SIGNE…. CONVOQUANT L’ÉMERGENCE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, DU PAYS OEUVRE D’ART ET DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART….

Comme me disait G. en fin de sommeil métaphysique …. Je suis rendu à l’âge de la synthèse … car la ligne de feu de mes débris de la mémoire du k-oeur de la naissance à cette nuit ne cesse de me rappeler que tout ne fut qu’un rêve….

Depuis des années, je fais le même rêve la nuit…. que je classerais comme un débris de la mémoire du k-orps et non du k-oeur…. J’ai mon camion vert ou je dors dedans… je dois me rendre à un spectacle, mais on m’empêche par tous les moyens de prendre la route….

G. pense que cela pourrait être relié à celles et ceux qui se sont sentis abandonnés , en particulier mes enfants …. qui me rejoint en fin de vie… comme si les sacrifices reliés à la discipline de l’enchantement (faire le métier d’artiste de scène sans boire, ni droguer, ni fumer, ni jouer) m’avaient rendu aveugles à la souffrance onti-ke de mes proches…

La puissance de la théorisation onti-kha-tive d’une métaphysique onérique par le vagabondage m’a profondément questionné…. LES LOIS DE L’IMPOSSIBLE, ….. wow-t=2.7k? …. vivre sur la terre comme si on était au ciel de soi-même avec lhumanité oeuvre d’art en toile de fond…. voilà les balises par lesquelles la nano-modernité contextuelle ne fut en moi que pur délice consacré à l’eumétrie des formes ab-ceptuelles de l’ab-réel.

Je me souviens, l’année ou j’ai été professeur de philosophie au conservatoire de musique de Montréal avec un cours que j’avais inventé: QUESTIONS SUR LA VIE D’ARTISTES À TRAVERS LES SIÈCLES…

Quand j’ai vu, en entrant dans la salle des profs… qu’on ne parlait que de char, d’argent et de retraite à venir … le dégout d’une carrière dans l’enseignement m’a saisi…. Je n’avais pas les mots… mais l’impossible ne passait pas par là.

En fait… la poésie est l’habit même du rêve big bang… Je me rappelle…Il pleuvait à boire debout, c’était l’automne… j’étais sur la 117… j’avais faim… très faim… Mais avec mon bâton de pèlerin, mon vieux chapeau, mon sac à dos… je suis rentré dans une petite épicerie qui fermait…. on m’a demandé ce que je faisais seul sur la route… et moi de direr quelque chose comme …. je parcours le pays pour prendre soin de l’âme des jeunes canadiens… et immédiatement… on m’avait rempli un  sac de plastiques de salades qu’on allait jeter de toute façon.

J’ai trouvé un dessous de galerie d’un bloc appartement en construction… J’ai disposé mes petits pots de salades autour de mon sleeping… et j’ai dormi angoissé par une question… Que vais-je faire de toute cette nourriture?

Je n’aime pas l’engluement de l’onti-ke dans les peurs du quotidien…. la poésie du rêve big bang passe par … la beauté du monde…. même sous un torrent de pluie et d’humidité sous une galerie indifférente…

Pierrot vagabond

 

G. ME RAPPELAIT AU PETIT MATIN DE NOS SOMMEILS MÉTAPHYSIQUES QUE LE SENS DE LA VIE SUR TERRE M’ÉTAIT APPARU PAR UNE EXPÉRIENCE EXISTENTIELLE DU VAGABONDAGE … ET MOI DE RAJOUTER… PAR LE BIAIS D’UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE, LE VAGABOND CÉLESTE…. AU SENS OU , ÉPISTÉMOLOGIQUEMENT … J’AI COTOYÉ À PLUSIEURS REPRISES LES FRUITIONS RELIÉES AUX LOIS DE L’IMPOSSIBLE… ISSUES DU RÇEVE BIG BANG ET DES 4 QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART.

Pierrot Vagabond

RÉUSSIR PAR LA FRUITION ÉPISTÉMOLOGIQUE DU VAGABONDAGE SOUS TOUTES SES FORMES À SCULPTER SA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE AU SERVICE DES QUATRE QUESTIONS DE TOUT PAYS OEUVRE D’ART SOUS L’ÉNIGME DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE….. 1) QUEL EST TON RÊVE? …. 2) DANS COMBIEN DE JOURS? … 3) QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE? … 4) COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Comme une vie onti-kha-tive consacrée à l’humanité oeuvre d’art m’apparaît ce fascinant impossible pour quiconque ne triche pas avec son rêve big bang… , son

Quelle nuit de créativité magique nous avons connu G. et moi…. Pendant qu’elle prenait sa marche de travail métaphysique vers 4 h du matin, de mon côté , je poursuivais la lecture des écrits sur la pensée du Moyen-âge d’Umberto Eco.

Puis G. est allé dormir avant moi avec son cahier de graphe… Puis je suis alléla rejoindre une heure plus tard. Nos deux lits étant collés… soudain elle me dit… J’ai de nouvelles idées pour mon deuxième chapitre de doctorat… Je lui dis… sors le téléphone, on enregistre… Et là, je m’accotte contre le mur et durant plus d’une heure… nous voyageons en plein énigme métaphysique dans des sauts conceptuels vraiment fascinants..

Jai dit G. … il faut un jour documenter tout cela….

La fruition , contrairement à ce que pensait Dupréel, ne vient pas de l’éthique, mais de l,esthétique… et cette nuit-là, l’amitié oeuvre d’art fut fruition par esthétisme même d’une méthodologie de l’enchantement par l’eumétrie la plus intuitive.

 

Pierrot vagabond

EN MODE DE RÉCLUSION RADICALE DEPUIS PLUS DE DEUX MOIS ET DEMIE MAINTENANT ….. NOTRE VIE DE CHERCHEUSE ET DE CHERCHEUSE ….. G. ET MOI….. SE DISTANCIE EUMÉTRIQUEMENT PAR L’ENCHANTEMENT DE RITUELS DE RESPECT DANS LA CRÉATION DE TOUT CE QUE J’AI CONNU COMME VIES DE COUPLE AUPARAVANT

DEUX VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART EN MODE DE RÉCLUSION RADICALE

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La nuit, pendant mon sommeil, je suis confronté à d’infinis débris de la mémoire du corps issus de 72 ans d’une vie ou des images viennent me rappeler les longs épisodes de l’ontike de la condition humaine sur cette terre….

G. et moi dormons dans la même chambre, chacun dans son lit. Nous nous couchons entre 4h du matin et 7 h du matin et nous nous levons entre 1 h. p.m. et 4 h. p.m.. …… J’avoue que lorsque je me lève, je prend une marche de travail en espérant que la noirceur vienne m’enchanter le plus vite possible.

Installé dans la cuisine de G. je lis, réfléchis puis par des marches de nuit. Je meurs à moi-même pour mieux renaître à travers mon archétype hologrammique, le vagabond céleste.

Je disais justement à G. cette nuit que je suis convaincu que nous pouvons réaliser l’impossible parce que nous ne sommes pas en couple…. au sens ou l’amitié oeuvre d’art dans un respect optimal et la douceur de vivre nous permet d’inventer un art de l’eumétrie par le rêve onti-kha-tif….

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G. possède une très belle bibliothèque d’oeuvres philosophiques ou métaphysiques majeures… Et comme je n’ai pas perdu mon plaisir à frôler le 200 pagers par jour, je me suis consacré à Whitehead, Meinong et ce merveilleux livre que constitue the métahistory, the historical imagination in nineteenth-century Europe d’Hayden White…

Je suis habité par le même scandale que Michelet, celui des morts qui crient justice et de ceux et celles qui vont mourir de faim ou de blessures de guerre….

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Je sais qu’un jour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) verra la nano-citoyenneté-planétaire devenir le cri de ralliemement de la nano-modernité en marche par ses vies personnelles oeuvre d’art en quête d’un pays oeuvre d’art.

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Je pense beaucoup à Simon Gauthier, le conteur international…. Il fait partie des débris de la mémoire du k-oeur qui jour après jour font dans mon engagement à servir un écrin de pierres précieuses tout orné de son talent si émouvant

Et que dire de Michel le concierge, de Marlene la jardinière….. je sais qu’en 2022, au colloguqe international sur les dimensions du rêve …. le théâtre de nos émerveillements vivra son feu d’artifice consacré à la connaissance…. Le tout illuminé par le savoir-faire de G. aux talents métaphysiques si singuliers

Pierrot vagabpmd

 

NOTRE VIE DE CHERCHEUSE ET CHERCHEUR G. ET MOI… EN PHOTOS …. ET MERCI AU CONTEUR SIMON GAUTHIER POUR CET ÉMOUVANTE SOIRÉE CONSACRÉE AU VAGABOND CÉLESTER PAR SON CONTE ET AUX CHANSONS DES RÊVEURS ÉQUITABLES, MICHEL LE CONCIERGE ET PIERROT VAGABOND

 

G. et P.

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COURRIEL DE SIMON GAUTHIER

Allô pierrot je vais bien. Je recommence un nouveau brassage artiste du quotidien dimanche prochain.

En-suite je remet la direction pour accompagner plusieurs personne atteint de cancer ds mon entourage. Ils entendent parler d e moi et ma décision de me guérir naturellement et ça leur l envie même que je dirait que ça répond à leur voix intérieure et libre et en toute conscience. Ils entreprennent le Mi je fais juste leur faire l’éventail des possible et je m offre à eux pour les explications ou bien le passer le savoir faire.
Ha oui pierrot le 19septem passer c’etait l anniversaire de mon ami Marc, il ma demander comme cadeau de raconter dans la veillée le vagabond céleste, ils furent enchantés, par la suite, un cercle de chanteurs guitaristes s’est formé et nous avons chanté essentiellement des chansons du vagabond et du concierge! Oui oui, nous étions dans votre répertoire à vous célébrer de vos belles chansons et en partage avec les invités de Marc qui entendaient le fruit de votre générosité créatrice
Salut
A bientôt SIM
Merci d’être là
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COURRIEL RÉPONSE DE PIERROT À SIMON
Très cher Simon,
Depuis plus de deux mois maintenant, Gaelle et moi sommes en atelier de métaphysique, moi au nom de notre équipe de recherche des rêveurs équitables (Auld, Woodard, Rochette) dont tu es le magnifique conteur international, et Gaelle dont la maturation inspirée par un travail acharné … et cela  dans une spirale de sauts conceptuels des plus éblouissants fera de son oeuvre métaphysique un remarquable paradigme international.
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Nous préparons 2022, le colloque international sur les dimensions du rêves, dans lequel l’aventure de justice épistémologique que nous avons vécu entre nous sera particulièrement mise en perspective.
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 Cela dit, je suis très ému de ce que tu me racontes… cette soirée ou le vagabond céleste par ton génie du conte a pu inspirer des vies personnelles oeuvre d’art par les quatre questions: Quel est ton rêve? Dans combien de jours? qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Nos chansons, Michel et moi, résonnent en harmonie d’une amitié oeuvre d’art dont le site www.reveursequitables.com et sa boîte à chansons sont , encore aujourd’hui ma fierté.  Michel , c’est plus que mon frère, Marlene c’est plus que ma soeur….. et toi…. tu es le meilleur de moi-même……
Je sais que Marlene, Michel, Gaelle, Simon et Pierrot sont en train d’écrire….. comme le dit si bien Gaelle… UN CONTE POUR UN FEU DE JOIE.
Bonne suite à ton magnifique parcours d’artiste du quotidien
Pierrot

 

 

VOILÀ PLUS DE DEUX MOIS MAINTENANT QUE G. ET MOI VIVONS NOS DOCTORATS RÉCIPROQUES EN RÉCLUSION RADICALE DANS UN NUIT ET JOUR D’UNE TRÈS BELLE POÉSIE DE VIVRE UN NUIT ET JOUR CONSACRÉ À LA RECHERCHE

Du début de l’humanité à la nano-modernité, la personne humaine concevait son k-osmos à partir de son vécu sur terre…. il est bien possible dans l’avenir que ce soit è partir du k-mos que la personne humaine réinvente sa vie sur terre.

Pierrot vagabond

DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR 4

YOU TUBE, SONDE VOYAGER, EN ROUTE VERS L’INFINI, DOCUMENTAIRE SCIENTIFIQUE, 2019.

extraits

Lorsqu’on a annoncé Récemment que Voyager avait pénétré dans l’espace interstellaire, c’était un peu comme si l’humanité ÉTAIT DEVENUE UNE ESPÈCE INTERSTELLAIRE, comme si l’éternité lui avait ouvert ses portes…. (3.10) ….. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, L’humanité par le biais d’un disque doré s’est fait vaisseau spatial pour communiquer avec d’autres êtres vivants dans le cosmos  si c’est possible …. LE DISQUE DORÉ ÉTAIT EN QUELQUE SORTE LE K-OEUR BATTANT DU VAISSEAU. Son objectif c’était l’exploration scientifique. Mais le disque, C’ÉTAIT SON ÂME. (10.50)

BLOGUE,

Dans l’optique d’une philosophie spéculative radicale, ce doctorat fondera son argumentaire à partir de de l’axiome suivant : Sur la planète Terre, chaque Je est un rêve d’infini au k-oeur même de sa finitude  …. En découlera corollairement et nécessairement un deuxième axiome : Cosmologiquement, chaque big bang JE du multivers ne peut être lui aussi qu’un rêve d’infini au k-oeur même de la finitude… De là …. la question qui en découlera : COMMENT S’ASSURER ÉPISTOLOGIQUEMENT QU’IL EN EST AINSI? ET S’IL EN EST AINSI …. QUI, entre le k-osmos et l’humain,  EST LA FRACTALE DE QUI?

Ce qui nous conduira à une métaphysique spéculative radicale…. Celle de l’impossible … comme si l’un et l’autre, comme si l’un par l’autre, comme si l’un contre l’autre, par ce tout du tout qui en découle ….  Le k-osmos et l’humain ne pouvaient être issus que d’un seul et même rêve d’infini au k-oeur de la finitude, se déployant fascinamment et originalement , de fractale en fractale,  sous la forme d’un personnage hologrammique  tissant d’un même fil d’or l’aventure quanto-cosmologique nano-humaine…. Traversant ainsi notre doctorat comme s’il s’agissait d’un personnage onérique que nous identifierons tout au long de ce conte doctoral comme étant : LE RÊVE BIG BANG.

Et c’est CE RÊVE BIG BANG, personnage hologrammique-onérique de notre conte doctoral, qui portera inventivement la poiétique comme la poétique de trois étiquettes abceptuelles (un abcept, c’est la partie onérique d’un  concept)  flottantes de la nano-modernité du 21eme siècle  telles que suggérées par notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), soit  : LA VIE PERSONNELLE ŒUVRE D’ART, LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, LE PAYS ŒUVRE D’ART. Le tout, dans un quatrième temps,  menant à l’enjeu suivant :Dans ce troisième chapitre,  par une suite sérenpiditaire des débris de la mémoire du K-oeur, ce maître infini des songes infinis du multivers appelé LE RÊVE BIG BANG,  tisse synchroni-vie-tivement le rêve de ma vie personnelle œuvre d’art. comme les rêves de milliards d’autres vies personnelles œuvre d’art par une suite unique de débris de la mémoire du k-oeur, tel un insaisissable de la beauté du monde… faisant de mon moi onérique, un fils fractal d’une énigme enchantée …. Faisant de mon je-errant-poétique …. UN JE QUI N’A DE CESSE DE RÊVER L’INFINI AU K-OEUR MÊME DE SA FINITUDE … convoquant l’émergence  ab-ceptuelle (un ab-cept est la partie onérique d’un concept qui le rend illogiquement inopérationnel) d’une humanité œuvre d’art en devenir en moi ….  par quatre questions que peut se poser toute vie personnelle œuvre d’art de la nano-modernité en apesanteur cosmique de sens en soi : 1) Quel est ton rêve, 2) Dans combien de jours? 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR 6

Débris de la mémoire du K-œur… 6,

NOUS AVONS EU LA CHANCE INOUIE DE POUVOIR RÉALISER CE RÊVE. (you tube, sonde voyager, en route vers l’infini, documentaire scientifique,2019, 0.50)

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Une personne humaine est un Je qui rêve l’infini au k-oeur même de sa FINITUDE. Commençons d’abord par cette FINITUDE, elle est d’abord et avant tout le sort incontournable de toute vie humaine sur terre. On naît, vit et meurt. Sur 7 milliards de personnes (chiffre de l’O.N.U en 2011), aucune ne sera encore vivante en 2130. Ce mur de la finitude existentielle, on le retrouve remarquablement synthétisé dans la vie et l’œuvre du peintre Paul Gauguin dans toute sa cruauté dramatique. Après quelques années à Tahiti, dit-il, ou le bonheur succédait au bonheur, soudainement il apprend par une petite lettre de sa femme que leur fille Aline âgée de 19 ans est morte le 19 janvier 1897. La dépression le ronge, la culpabilité d’avoir abandonné ses 5 enfants pour vivre l’aventure de son rêve lui fait faire des cauchemars, ses problèmes de santé s’accentuent (des cicatrices qui ne veulent pas guérir) et les douleurs compulsives qui en résultent nuit et jour l’enchaînent à une escalade de consommation d’arsenic et de morphine dans ses tentatives pour guérir. Le 7 juin 1897, Gauguin se dirige vers le port ou il espère qu’un bateau lui apportera une lettre de ses enfants pour ses 49 ans. Mais rien…. Le vide… l’impasse. En juillet 1897, il se rend encore au port… Il espère un mandat qui lui permettrait de palier à ses dettes. Aucune nouvelle de George Chaudet qui est chargé de vendre ses toiles, aucun envoi d’argent de Daniel de Monfreid, son ami le plus fidèle. L’idée de se tuer lui traverse l’esprit pour mettre un terme à cette existence de miséreux. Et pourtant, l’idée d’un tableau germe en lui…. Comment témoigner du long et mystérieux déroulement de la vie humaine, semblable aux pirogues qui flottent et serpentent les lagons avec comme féérie d’arrière-fond, l’île de Taroa …. car se demande Gauguin… D’OÙ VENONS-NOUS?, QUI SOMMES-NOUS? OU ALLONS-NOUS? De juillet à décembre 1897…. L’horreur de la douleur prend des formes étranges … Plaies sur les jambes, eczema, séjour à l’hôpital. Il doit peindre…. Son testament pictural. … D’où venons-nous? … Que sommes-nous? Ou allons-nous? Un mois nuit et jour, sans ressentir la faim ou la soif … ébloui de sérénité en ayant pris le pari que s’il ne reçoit aucun subside par le prochain bateau, il aura le courage de se tuer…. Le bateau a pris du retard… Gauguin continue à peindre … Quand le bateau surgit enfin dans le port de Papeete, Il accoure … rien pour lui… rien… Il revient à Panaiauna… Il saisit sa toile… écrit en haut à gauche le titre du tableau : D’OÙ VENONS-NOUS?, QUI SOMMES-NOUS? , OU ALLONS-NOUS? Un tableau en trois temps qui  lit la finitude de gauche à droite ….le début de la vie (trois femmes et un enfant) ….. le temps au quotidien qui file (groupe de jeunes) et une vieille femme résignée à mourir ( à ses pieds, un oiseau blanc qui tient dans son bec un lézard représentant la futilité des mots) le tout sous fond d’idole bleue représentant l’au-delà. Le tableau est un chef d’œuvre… Et Gauguin le sait…. Il le sait d’ailleurs depuis le tout premier coup de pinceau …. Toute la beauté de l’énigme de la finitude sur terre s’y trouve respectée sans chercher à la résoudre par quelque réponse logique que ce soit. La fiole d’arsenic…. La fiole d’arsenic…. Il la capte…. Il sera capitaine de sa finitude sur terre. Il écrira d’ailleurs à un ami: J’ai voulu me tuer, je suis parti dans la montagne pour que mon corps soit mangé par les fourmis. Je n’avais pas de revolver, mais j’avais de l’arsenic. … Effectivement, il avale l’arsenic, mais très vite son corps est pris de nausées qui, sous forme de vomissements, dureront toute la nuit. À l’aurore, toujours vivant, il redescend la montagne, retrouve sa case, s’effondre dans son lit.  La mort n’a pas voulu de lui. Il mourra pourtant 6 ans plus tard, le 8 mai 1903, brisé par les douleurs horribles de l’eczéma, rongé par la syphilis, devenu un artiste maudit exilé dans la pauvreté et la faim la plus abjecte.