Chère Claire…
Juste à penser au bien que je pourrais sculpter publiquement par le biais d’Orizon…après avoir mis toute ma vie de philosophe à vagabonder le sens d’une vie équitable pour le plus petit d’une humanité..oeuvre d’art… cela me suscite un émerveillement animé par une solide convocation à un anonymat élégant …. au sens ou… soudain, sur scène, apparaît un très ancien jeune homme … qui arrive de nulle part…qui vient nous raconter au nom de son grand-père Lucien ….. les échos de quelques débris de la mémoire du k-oeur familiale …. qui ouvrent soudainement la voie au rêve et à l’impoissible promis par la loyauté à son rêve et au rêve de son voisin … à quiconque se pose les quatre questions: 1) quel est ton rêve? 2) Dans combien de jours? 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Et soudain… une assemblée corporative prend le pari que même le plus petit et le plus en péril d’une entreprise …peut modifier la courbe de la joie de vivre en équipe simplement parce que les uns et les autres réalisent l’importance de se percevoir comme des rêveuses et des rêveurs dont chacun des rêves peut à lui seul prendre soin et du rêve de son voisin, et du rêve du gagne-pain collectif.
COMMENT DANS SA VIE SERRER LA MAIN À L’IMPOSSIBLE?
j’y mets mes nuits et jours Claire… et cela me rend passionnément heureux.
¨Pierrot