#22 Ma Huateng
REAL TIME NET WORTH
- Ma Huateng (also known as Pony Ma) chairs Chinese Internet giant Tencent Holdings, which ranks among the nation’s largest businesses by market cap.
- Tencent’s popular social messaging app WeChat has more than 1 billion users.
- The group listed its music-streaming subsidiary, Tencent Music, on the New York Stock Exchange in December 2018.
- In contrast to his outgoing rival at Alibaba, Ma has a low-profile style that befits his engineering background.
- Ma cofounded Tencent in 1998.
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96 : ERRARE/ITÉRARE
31 DÉCEMBRE 2020
Grâce à l’aide exceptionnelle de Marlene et Michel , Gaelle et moi avons pu nous concentrer sur le nuit et jour de nos doctorats en métaphysiques… Gaelle sur sa métaphysique de la raison cosmétique et moi, au nom de notre équipe de recherche , sur une métaphysique onti-kha=tive … de la nano-citoyenneté-planétaire…
Cette nuit, Gaelle a produit un tape de 2 heures sur ses nouvelles avancées…. alors qu’elle se prépare à présenter le fondement de son doctorat à une nouvelle directrice pour le début janvier 2021….
De mon côté, la mort de mon frère Gilles Rochette de cap Chat a accentué le besoin de repartir cet été, si la pandémie le permet, pour vagabonder la beauté du monde le long du St-Maurice, de Trois-Rivières à La Tuque.
En fait j’ai écrit à André Mercier pour lui demander s’il ne connaîtrait pas quelqu’un à La Tuque ou je pourrais louer une chambre un moi, deux ou peut-être trois pour écrire le ier chapitre du doctorat (Auld, Woodard, Rochette) sur comment la musique a fait de ma ville de la tuque une épopée de l’errance poétique, qui fut une signature de la beauté du monde …
André Mercier qui m’ avait fait cet article dernièrement .
Fermeture d’une véritable institution du Vieux-Montréal: Un des 2 Pierrots est un Latuquois
Pierre Rochette et Pierre David sur la scène des deux Pierrots
L’annonce de la fermeture de la boite à spectacles Le 2 Pierrots a une connotation particulière pour les Latuquois, puisque la populaire boite à chansons du Vieux-Montréal, fondée en 1974 par Robert Ruel, portait le prénom d’un fils de La Tuque, Pierre Rochette qui, en compagnie de Pierre David, étaient les 2 Pierrots.
Fils de Roger Rochette, un trompettiste de grand talent fondateur de RALT-TV vers la fin des années 50 à La Tuque et qui a fait une carrière de réalisateur à la télévision de CKTM-TV à Trois-Rivières, Pierre Rochette (Pierrot) est issu de cette famille de musiciens qui a laissé sa marque à La Tuque.
photo Pierre David devant les deux Pierrots…..
Le magnifique Pierre David, l’autre Pierrot
photo des chansonniers ….. Marcel Picard, Jos Richard Leroux, Pierre David et Pierre Rochette lors d’une des retrouvailles aux deux Pierrots …. en 2012 je crois…
les chansonniers Léo Longpré et Pierre Rochette lors d’une retrouvaille des deux Pierrots en 2012
Pierre Rochette et Pierre David lors de la retrouvaille des 2 pierrots en 2012
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Récemment, le public québécois a pu renouer avec une des nombreuses composition de Pierre Rochette, interprétée par Fred Pellerin, soit « La chanson du camionneur ».
Voici d’ailleurs ce qu’il avait publié en mai 2019 alors qu’on s’apprêtait à célébrer le 45e anniversaire de la boîte des 2 Pierrots:
« LE 15 DE MAI 2019, IL Y AURA 45 ANS QUE PIERROT DAVID ET PIERROT ROCHETTE AURONT FONDÉ LA BOÎTE À CHANSONS DES DEUX PIERROTS DU VIEUX MONTRÉAL… VOICI POURQUOI JE NE SERAI PAS PRÉSENT À LA FÊTE DES CHANSONNIERS….«
« Si je n’ai jamais assisté au récit philosophique que le grand conteur international Simon Gauthier fait de ma vie avec «le vagabond céleste» à travers la francophonie depuis 7 ans déjà, ce n’est pas parce que je n’aime pas Simon… au contraire… mais c’est par respect pour l’anonymat et la quiétude que demande une recherche en pensées abstraites pointues (théoritique) à laquelle notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se consacre depuis maintenant 12 ans.
Si je n’ai pas assisté et n’assisterai pas aux spectacles du brillantissime Fred Pellerin où Fred raconte en rappel et mon histoire et chante ma chanson du camionneur, ce n’est pas parce que je n’aime pas Fred… au contraire… mais c’est pour l’anonymat et la quiétude que demande une recherche en pensées abstraites pointues (théoritique) à laquelle notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se consacre depuis maintenant 12 ans.
En conséquence de quoi
Si je n’assisterai pas à aucune fête des deux Pierrots d’ici ma mort, ce n’est pas parce que je n’aime pas mes camarades de carrière… au contraire… mais c’est pour l’anonymat et la quiétude que demande une recherche en pensées abstraites pointues (théoritique) à laquelle notre équipe de recherche se consacre depuis maintenant 12 ans. »
Pierrot vagabond
Sur la page Facebook de 2 Pierrots, la propriétaire et fille du fondateur, Marilou Sciascia Ruel, a officiellemement annoncé la fermeture définitive de la boîte à spectacles.
« C’est avec tristesse et nostalgie que je vous annonce qu’une page d’une merveilleuse histoire se tourne trop rapidement. Une histoire de plus de 46 ans toute en chansons, pleine d’émotions. Le 2Pierrots ferme après tant d’années à lâcher son fou avec vous.À notre fidèle clientèle, qui a bravé toutes les températures et les chantiers de construction pour être des nôtres partys après partys, à nos plus jeunes clients qui ont embarqué dans la tradition des boîtes à chansons et à tous les fêtés qui sont venus porter leurs bières “au front ti bus”, aujourd’hui c’est à mon tour de vous lever mon verre !
Le 2Pierrots, c’est une histoire de quelques générations, plusieurs histoires d’amour, et de grandes amitiés. Merci à un staff de feu qui a eu le 2P à coeur, et qui a su en faire un nid où on y était toujours bien. À ces braves qui ont cumulé plus de 20 ans avec nous, vous avez été des alliés précieux et une grande fierté de l’entreprise.Merci aux nombreux employés du passé qui ne nous ont jamais oubliés et qui sont restés grands ambassadeurs. Merci aux employés de bureau et à nos fournisseurs (souvent de longue date) qui se sont démenés en semaine pour que nos fins de semaine soient des succès répétés.
Merci à tous les membres de la sécurité qui ont veillé sur nous et sur notre bien-être, pour que chaque soirée au 2 Pierrots soit une fête où tout un chacun se sent en sécurité. À tous les gérants du 2Pierrots (ainsi que Le Pierrot et Pierrot-la-bière) qui se sont occupés des établissements comme s’ils étaient les leurs. Vous avez su garder la barre haute, faisant en sorte que le 2Pierrots soit toujours la meilleure boîte à chansons au Québec.Merci à tous les artisans de la scène, débutant en 1974 avec Pierre David et Pierre Rochette (c’est eux les 2Pierrots!). Vous avez été choisis parce que vous êtes les meilleurs! Vous avez su animer les foules, nous faire chanter, taper des mains et des pieds, danser et le plus important, faire le p’tit train ! Vous avez été de brillants acteurs à cette grande aventure, osant perpétuer la tradition de la chanson québécoise jusqu’à la dernière note, le 7 mars passé.
J’ai eu le bonheur d’avoir des parents qui m’ont fait grandir dans cet univers musical, dans ces bâtisses mythiques où la passion de la musique québécoise était reine. C’était plus qu’un commerce, c’était un mode de vie !Un merci bien ressenti à Robert Ruel, mon père, le fier fondateur du 2Pierrots. Celui qui a su me montrer (parfois à la dure !) la rigueur au travail et l’importance des choses bien faites. Mais surtout, celui qui m’a fait confiance avec cette grande institution qu’il a mis au monde. Merci à tous ceux d’entre vous qui ont fait du 2Pierrots un endroit privilégié , une famille. Le 2Pierrots est bien plus qu’une bâtisse. C’est une âme, et celle-ci restera bien vivante ! »
Marilou xx
Le 12 décembre un « party virtuel » sera présenté à compter de 19h avec de nombreux artistes qui ont foulé les planches du 2 Pierrots.
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Camil Bouchard est originaire de La Tuque. Il a passé son enfance et son adolescence ici. Le chercheur et le professeur de l’UQAM a plongé en politique en 2003 et il est aujourd’hui député du comté de Vachon pour le Parti québécois. Le 7 juillet dernier, M. Bouchard a livré une conférence à la International Society of Adolescence Psychiatry and Psychology intitulée Adolescence: les années lumières. L’Écho vous présente une partie de cette conférence où La Tuque est mise en vedette.
« Les Années lumières auront été l’adolescence de la civilisation moderne comme l’adolescence sont les années lumières de la vie. Il faut vous dire que je l’ai vécue dans une petite ville forestière de 15000 âmes (en exagérant), particulièrement sympathique à ses adolescents : La Tuque. C’était une communauté dont l’assiette fiscale était assez bien pourvue. De fait, c’était à l’époque où la mondialisation du commerce papetier ne s’était pas encore vraiment manifestée. (…) À part le fait admis que la fumée sulfureuse de l’usine ternissait le poli des voitures au grand désespoir de leurs propriétaires, dont M. Duchesneau qui s’échinais à faire briller sa Chevrolet tous les samedis de beau temps, nous ne savions pas encore que les rejets de l’usine nous empoisonnaient, que les températures excessives auxquelles les hommes étaient soumis les détruisaient à petit feu et que nos mères se morfondaient d’ennui à la maison. (…)»
« En plus de cette insouciance béate, les adolescents que nous étions profitaient d’équipements sportifs de premier ordre. Ils avaient l’embarras du choix entre le baseball, le football, la balle-molle, le basket-ball (et pour les Anglais et les fils de médecins, le golf), la salle communautaire de bowling et de billard et le cinéma à rabais du samedi après-midi. Sans compter les possibilités quasi illimitées d’aller à la pêche, à la chasse. Et puis, il y avait les petits fruits, y compris les petits fruits défendus (vous me permettrez toute la discrétion requise à ce sujet). »
« Les vicaires et curés, les religieux et religieuses s’occupaient de la troupe scoute et des 4H et de l’Oeuvre des Terrains de Jeux (OTJ) qui nous accueillaient enfant, et dont nous devenions, pour certains d’entre nous, moniteurs et monitrices plus tard.
Les commerçants, dont la famille Spain se montrait à la fois généreux et futés : ils en avaient guère le choix me direz-vous, mais ils le faisaient dans la bonne humeur et même, pour certains, dans l’enthousiasme. Les familles Scarpino et Scalzo produisaient des générations d’athlètes qui se transformaient au fil du temps en coach ou restaurateurs des stades sportifs. La famille Shapiro demeurait, quant à elle, mystérieuse : leur mercerie sentait quelque chose qui rappelle aujourd’hui les cornichons à l’aneth. »
« Une autre famille, la famille Mongrain s’assurait que tout ce beau monde se mette quelque chose d’autre que des statistiques sportives entre les deux oreilles. Aubert Mongrain, musicien talentueux et passionné, sa femme, belle comme seule une violoncelliste peut l’être, avait convaincu la ville de se doter d’une fanfare de très haut niveau.
Mais, il fallait à cette fanfare un club ferme, ce que l’Harmonie scolaire formée de plus de 60 adolescents entraînés sous la férule baguette de monsieur Mongrain, assurait. Cette Harmonie scolaire était à ce point performante qu’elle s’était mérité une invitation d’aller jouer à la Place des arts à Montréal. »
« En 1958, à 13 ans, j’empruntais une fortune à mon père : 100 $ pour acheter un kiosque de cirage à chaussures. Les repose-pieds m’avaient été offerts à rabais par le propriétaire de la salle de billard voisine de la maison. La clientèle se fit si pressante (faut dire que j’étais installé devant la plus grosse taverne de la ville) que je dû engager un assistant qui touchait 10 ¢ la paire sur un tarif de 25 ¢ et devait me refiler en sus les pourboires. Après tout, je fournissais la matière première, que je lui expliquais ainsi qu’à sa mère, ma tante.
J’y donc appris, adolescent, qu’un capitaliste pouvait être détesté, même par son cousin, pour de bonnes raisons! Le défi était de cirer les chaussures des hommes qui, accoutrés de leurs plus beaux pantalons noirs, nous demandaient de faire reluire leurs souliers, noirs aussi, en nous suppliant de ne pas tacher leurs chaussettes jaune citron. Il fallait nous faire confiance. Et nous en étions fiers. »
« Mais le nec plus ultra, c’était le 0-100 20, club de danse sans boisson réservé aux jeunes (comme son nom l’indiquait), situé sur le bord d’un petit lac que l’on trouvait en plein centre de la ville, et ouvert les vendredis et samedis soirs. On pouvait y danser, mais aussi y louer des chaloupes à rames, premier élément tactique de chaudes soirées à ramer et à sombrer… plus dans le désir qu’autrement. La même salle de danse ouvrait aussi le dimanche en après-midi. C’était, qu’il fasse beau ou qu’il tombe des cordes (on préférait la pluie), le moment privilégié de slows collés et langoureux
: tout le monde voulait danser avec la grande Catherine (nom fictif) réputée pour sa maîtrise très particulière du slow pour ensuite assister, encore lubrique, à la messe de 5 heures où tout le monde avait l’air des anges. Il fallait nous faire confiance. Et nous en étions fiers. »
« Vous le voyez bien, j’ai vécu une adolescence bénie, entourée d’adultes compétents qui, eux-mêmes, se retrouvaient dans une communauté homogène et riche de capital économique, de capital humain et de capital social.
Nos loisirs étaient diversifiés et, à ce point nombreux, que, pour reprendre un concept cher aux écologistes du développement, les «scènes de comportement» se retrouvaient constamment en demande de jeunes aptes à occuper tous les rôles requis pour le bon fonctionnement de ces activités. Autrement dit, les adultes de cette petite communauté s’étaient piégés : dans leur souci de contrer l’oisiveté propice à la lascivité et à la concupiscence, ils avaient créé des environnements dans lesquels nous étions des acteurs communautaires nécessaires au bon fonctionnement de leurs institutions sportives ou culturelleSans nous, leurs projets tombaient. Nous étions indispensables à leurs plans. Et sans doute à leur santé mentale! Autrement dit, quand on ne peut se passer des adolescents, on en prend soin. Comme à La Tuque, au début des années ’60. Pouvons-nous en dire autant maintenant? »
LA LÉGENDE DE LA TUQUE …OU… L’ÉPOPÉE DE LA MUSIQUE CLASSIQUE DANS SA GUERRE CONTRE LE FÉODALISME AUTANT CAPITALISTE QUE CHRÉTIEN
Si un jour j’avais à raconter l’histoire de la ville de La Tuque… J’y célèbrerais mes héros… Lucien Rochette, Paulo Rochette, Roger Rochette qui, grâce au cheval de Troie que fut, pour eux, la musique classique, purent prendre conscience des chaînes autour de leur liberté que constituèrent féodalement les curés par leur spiritualisme prédateur et les capitalistes protestants du moulin à papier par leur paternalisme prédateur.
Seul Aubert Montgrain, le professeur et le directeur de l’harmonie de La Tuque réussit à briser ses chaînes en s’enfuyant de nuit avec une de ses élèves avec qui l’histoire d’amour dura près de 20 ans.
Le roman commencerait par Aubert Mongrain qui à l’âge de 80 ans, dans son condo de Longueuil, me raconte son arrivée à La Tuque et me déroule le fil de l’épopée musicale telle que lui l’a vécue.
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TITRE DU DOCTORAT OEUVRE D’ART DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) … JE TE DEMANDE PARDON
JE TE DEMANDE PARDON…, à toi qui, comme des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, se meurt, jour après jour, de faim ou de blessures de guerre, et cela, au nom des 193 états hobbiens onusiens qui, sous la féodalité de monarchies nucléaires, font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant TON DROIT MULTIVERSIEL à une vie personnelle œuvre d’art par un rêve big-bang.
JE TE E DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui, depuis plus de 14 ans maintenant, cherche à répondre à la question suivante : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?
JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui S’ACHARNE à déployer concrètement L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, dans le but de contribuer à la déshobbiation de l’O.N.U. Par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents « wow-t=2.7k? » , si possible avec la complicité de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec) , nous validerons politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (39 femmes et 39 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement toi et les centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques qui souffrent de la même criminalité étatique banalisée que toi.
Dans ce doctorat, PAR UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-ŒUR (ier chapitre), le premier à te demander pardon sera moi, Pierrot vagabond (2eme chapitre le rêve big bang), puis mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge (3eme chapitre la non-tricherie), pour enfin laisser la parole à sa compagne œuvre d’art, Marlene la jardinière (4eme chapitre, ses jardins coups-de-coeur œuvre d’art).
Pourquoi nos trois archétypes hologrammiques veulent-ils tour à tour te demander pardon? Parce que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) veut parler au cœur de l’humanité (5eme chapitre) et non à sa raison. Par le biais d’une CHANSON – MANIFESTE, nous affirmons que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire doit s’accompagner d’un « JE TE DEMANDE PARDON » , en corollaire de la décision de ne plus tricher par chaque vie-personnelle-œuvre-d’art consacrée à l’ultime question :
COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? (4eme et dernier chapitre).
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