MON GRAND PERE LUCIEN AU CENTRE
AU MILIEU MA GRAND-MERE LUMINA
EN BAS À DROITE MON ONCLE PAULO
EN BAS À GAUCHE MON PÈRE ROGER…
EN HAUT À GAUCHE MON ONCLE RAYMOND
EN HAUT A DROITE…..JE NE SAIS TROP
MON GRAND PERE LUCIEN AU CENTRE
AU MILIEU MA GRAND-MERE LUMINA
EN BAS À DROITE MON ONCLE PAULO
EN BAS À GAUCHE MON PÈRE ROGER…
EN HAUT À GAUCHE MON ONCLE RAYMOND
EN HAUT A DROITE…..JE NE SAIS TROP
LES DEUX PIERROTS
Comme je suis bouleversé…. Voici un débris de la mémoire du K-oeur qui me traverse… cher Pierrot… cher Pierre David… Comme tu avais un talent de génie ami… et comme nous avons été des rois de la scène…. des rois heureux….
Combien de fois la nuit… je t’entends chanter la chanson CHARLIE… et soudain j’embarque sur scène… je fais la deuxième voix et le conga et la salle … et la salle… se fait fête.
Pierrot vagabond
MICHEL LE CONCIERGE ET SON AMI PIERROT VAGABOND
Le nuit et jour consacré à la recherche a pris un élan poétique inattendu.. celui de l’amitié oeuvre d’art.… Tout se passe comme si mon k-oeur de chercheur se partageait deux univers de convivialité eumétrique…. Celui de Gaelle la métaphysicienne quand je vais dans son petit appartement métamorphosé en atelier doctoral… puis quand je retourne après un nuit e jour passé dans l’intensité de l’univers métaphysique de Gaelle dans la bulle d’amour oeuvre d’art que vivent Marlene et Michel….
Et entre les deux territoires d’amitié oeuvre d’art… je signe doucement le trajet de mes pieds vagabonds… car tout est devenu onérisme …. Je sens à peine mon corps parce que socle abjetal de mon rêve big bang…
La nuit chez Gaelle fut encore une fois d’un design eumétrique dansant…. Quand elle signe ses graphes sur son grand divan… moi je lis sur le fauteuil… en fait… je parcours livre par livre son âme bibliographique qu’elle a amassé ç travers les années…
Et je la regarde… elle si belle femme dont je ne vois que la beauté encore plus magnifique de son rêve… Je me rends compte que toute pa vie de vagabond céleste… j’ai soit allumé des rêveuses ou des rêveurs, soit serré la main à des grandes rêveuses ou rêveurs du pays… soit pris soin avec une dévotion sacrée d’un rêve en péril d’une rêveuse ou d’un rêveur…
Gaelle travaille à son doctorat oeuvre d’art… Non pas un doctorat de commentaire… mais un doctorat de pure invention métaphysique… Et jour après jour, nuit après nuit, d’un enregistrement audio à l’autre, je suis voyageur… d’un événement universitaire…
Par sa main qui trahit la pensée… Gaelle a créé un univers graphique qui a son tour a fait d’elle une conscience graphique hors de l’histoire, hors de la dialectique, hors de l’herm.neutisme…
Et voilà que cette conscience graphique par le biais méthodologique d’une boîte à syntagmes fait de sa lectrice et de son lecteur une conscience graphique , lui donnant les clés pour partir è l’exploration génétique des nouveaux chemins du merveilleux par le pari du rien sous la luminosité de la raison cosmétique….
LE VOYAGE D’UN RÊVE MUET.
Je lis un peu par terre…. retourne sur mon fauteuil…. regarde l’arbre dans la fenêtre… devient brosse d’être… Puis… chacun sur nos divans… tout habillés… avec une jetée comme couverture… nous nous enfonçons dans l’onérisme d’un sommeil réparateur avant de se réveiller et de reprendre le voyage doctoral…
Et puis… et puis…. 24 heures ont passé… Il est 7 heures du soir… je reprends le métro…. marche Côtes des neiges… entre dans l’appartement… Marlene et Michel me font un accueil remarquable… Michel a pratiqué sa guitare… Nous rions… Marlene invente la notion DE LABORATOIRE POÉTIQUE … Nous rêvons…. nous dansons notre amitié. oeuvre d’art…
Et me voilà sur ma planche… dans mon sac de couchage… visité par une formidable attaque d’être… Je ne sais même pas si je dors.. On dirait la beauté du monde qui prend soin de moi pendant que je m’assoupis… J’ai beau dormir sur une planche… c’est le rêve big bang lui-même qui se fait soie, nuage de soie orné d’humanité oeuvre d’art…
Une heure du matin… réveil…. tout en somptuétude…. pour ne pas déranger l’attaque d’être qui ne m’a pas quitté… et me voilà sur ma petite chaise devant le portable que Marlene et Michel m’ont acheté à rêver par les mots… notre équipe de recherche… Marlene, Michel Gaelle
Et me voilà implorant ces millions d’enfants se mourant de faim ou de blessures de guerre de ne pas m’en vouloir si la nano-citoyenneté-planétaire n’est pas encore survenue… si les deux assemblées des justes (39 femmes et 39 hommes) n’ont pas encore tenu leur première table ronde multiverselle sur la cinquçeme question du pays oeuvre d’art
COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
Pierrot vagabond
ARCHIVES
Le temps que j’ai passé chez Chantal Poissant, l’ermite de St-Félix d’Otis en fut un de méditation et de contemplation. C’était assez fabuleux d’assister à la danse eumétrique entre Papa Lama et maman Lama… et bébé Lama…. Quand Papa Lama mu par ses pulsions s’approchait de trop près de maman Lama…. Maman Lama lui crachait dans la face… Et quand Papa Lama s’éloignait trop de maman lama, maman Lama gémissait…. Il fallait donc que Papa Lama soit à juste distance de maman Lama pour qu’elle se sente en sécurité et prendre soin de bébé Lama…. Et la nuit… il arrivait que Papa Lama, maman Lama tourne autour de bébé Lama qui explorait la vie… C’était enchanteur…
Et durant mon vagabondage, j’ai aussi saisi ce qui m’apparaîssait le secret des couples heureux…. Par exemple… le Monsieur avait un atelier ou il faisait des raquettes…. la madame… sa cuisine…. ou elle pouvait inventer des mets… Parfois le monsieur rentrait prendre un liquide pour parler un peu à Madame… parfois la madame apportait des muffins chauds ç Monsieur dans son atelier. Cette danse eumétrique ritualisée entre présence et absence me semblait tellement appropriée….
Je me rends compte de l’importance d’avoir un rapport eumétrique avec le rien…. Le rien est dans son atelier… Il signe le réel… je suis dans ma cuisine eutopique… je lui apporte le respect de la vie… le dialogue entre le rien et la vie personnelle oeuvre d’art.… c’est cela la poésie… du moins pour moi.
Pierrot vagabond
Lorsque la métaphysicien-sociologue doctorante Gaelle Étémé au cours d’une de nos marches philosophiques a inventé l’étiquette… LE PARI DU RIEN…. J’en ai tout de suite saisi qu’elle avait en une seule expression décrit ma vie….
Je dois dire que j’en ai été bouleversé …. Combien de fois mes deux hobos de La Tuque ont sauté avec moi en bas du train de la k-ondition humaine.
Le pari du rien fut ma vie , je crois. Comme s’il fallait constamment inventer l’impossible… dans le sens ou se faire tellement petit , tellement infime, tellement intime que le rien lui-même parte à ma recherche…. et ne me trouve point….
Je rêvais de traverser cette vie sans aucune dépendance de quelque nature que ce soit… pour que les débris de la mémoire du k-oeur descendre la rivière lumineuse de mon âme d’artiste …. tout n’était que poésie…. et je refusais de descendre en bas de la poésie du rien… Car le rien est poésie je crois…. de là LE PARI POÉTIQUE que constitue le risque de partir à la rencontre du rien….
Je fus le premier d’une famille de 10 enfants… Je fus l’enfant de l’amour, béni, aimé …. comme ma mère était belle… et comme mon père en était amoureux… On habitait une toute petite maison sur la rue Gouin, en face du lac St-Louis… mon père travaillait chez H.R.Hillier le jour, comme vendeur et le soir , du jeudi au dimanche jouait de la trompette à l’hôtel royal avec son orchestre…
Comme ma mère était seule… elle gardait éveillé avec elle…. et comme sa grande amie Rose venait passer la soirée avec elle… j’avais le droit d’écouter la télévision en noir et blanc… C’est là que très tôt j’ai eu accès aux conférences d’Henri Guillemin… puis tout de suite après ciné-club…
J’ai souvenir de deux films… le festin de campagne de Renoir et l’ange bleu de Marlene Dietriech….
Puis ma mère me couchait en haut dans ma chambre… Mon père arrivait vers 3 heures du matin…. et parfois… j’allais me coller l’oreille sur le plancher pour entendre leur conversation…
Comme je fus heureux… j’ai vraiment une enfance heureuse… Mon père était tellement amoureux d ema mère que je me suis senti très tôt libre… et encore plus quand ma sœur Lison est née… puis mon frère Gilles, puis mon frère Claude… Ma mère avait tellement de travail que je me retrouvai libre…. silencieusement libre… J’allais me cacher pour lire….
On aurait dit que je vivais un rêve…. Je me levais avant les autres… Ma mère m’a souvent dit que je vivais comme si je n’avais besoin de personne… et Denis mon partenaire de scène me disait lui aussi que je ne pouvais comprendre les autres parce que j’avais tout reçu de la vie…
EGO SUM PAUPER …. Je suis pauvre
NIHIL HABEO ….. Je n’ai rien
ET NIHIL DABO … je ne demande rien
Effectivement… je crois que ma mère et Denis avaient raison… Je crois que j’avais reçu LE CADEAU DU RIEN…. Je me disais… qu’importe ce que sera ma vie… Il me sera impossible d’être malheureux… Je ne serai que joie intérieure…. parce que je ne suis rien… que je n’ai besoin de rien et que je demande rien….
J’avais les yeux du rien… je crois…. des yeux qui voient l’abondance là ou personne ne la voit… et j’en étais bouleversé…. On aurait dit qu’il m’était impossible de ne pas être libre et heureux…
Je me rappelle la journée de mon premier mariage… j’avais passé la nuit avec la dame en rouge (une de mes chansons) et le lendemain je me dirigeai vers l’église… j’avais dit à ma belle-famille qui organisait tout que je passerais me marier entre deux spectacles…. Comme j’ai été malheureux ce jour-là.
On aurait dit que j’étais pas fait pour l’encabanement… Je me rappelle… Dans ce temps-là. dans l’église catholique, il fallait suivre u cours de préparation au mariage pour pouvoir avoir le droit de se marier à l’église…. J’avais pris le curé à part… et je lui avais dit… moi je suis philosophe et je n’ai pas l’intention de suivre tes cours, d’autant plus que je ne suis pas croyant… et lui de me répondre,,, Mais moi, dans ces conditions, je ne puis de marier… et moi de lui dire… Si je trouve un prêtre… (car je voulais faire plaisir à mon père) tu me passes-tu ton église… et lui de me dire… oui… J’ai appelé le prêtre qui vivait avec ma tante Rose sa servante au presbytère… qui lui a fait le mariage…
Rendu à l’autel… j’ai failli dire non… je me suis reviré de bord… j’ai vu mon père… puis je me suis dit… je me suis dit… pourquoi le décevoir …. bon ce n’est qu’un mauvais moment a passer… je repars en tournée….
Et je repartis en tournée…. perdis la bague de marié dans l’eau du lac de Val d’or… La poésie n’était pas au rendez-vous… J’étais jeune… je ne connais pas grand chose… sauf sauter du train de la k-ondition humaine avec mes deux hobos…
J’ÉTAIS FIANCÉ À LA POÉSIE … ET JE NE LE SAVAIS PAS….
La poésie…. la vie a passé… je n’ai aucun bien matériel… deux paires de jeans, 2 chemises noires, une bleue… une paire de sandales…. un petit manteau… mais la poésie … elle … la poésie…. fait en sorte que j’écris ce blogue pour ne pas imploser comme une abeille qui aurait cueilli trop de miel….
LE MIEL DU RIEN….
qu’est-ce que le rien?
LE RIEN… C’EST LE MIEL DE LA VIE….
Ce matin, à notre conseil d’administration de la créativité, je disais à Michel à quel point notre performance à Brébeuf ou j’entre sur scène avec DANS LA BEAUTÉ DU MONDE… et lui suit avec JE TE DEMANDE PARDON… continue de m’inspirer.
MICHEL A ÉCRIT UN AUTRE CHEF D’OEUVRE…
HEY BROTHER
J’aimerais chanter juste avant lui ma
CHANSON DU PÈRE A MICHEL
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4 février 2009 – 23 h 49 min
COUPLET 1
quand t’as l’corps comme l’écorce d’un arbre
les mains propres comme des feuilles d’automne
les yeux rougis par des rides en gouttes de pluie
c’est que l’bon dieu t’as accordé un sursis
COUPLET 2
un sursis pour dire à ma femme j’rêve d’acheter deux chaises berçantes
deux bonnes couvertes une chandelle du thé de menthe
pour rapiécer les bouts d’passé qui nous manquent
COUPLET 3
à soir j’ferme la télévision j’ai la coupe Stanley à maison
87 ans cette année j’ai l’goût d’parler
j’veux profiter d’la rémission qui m’est donnée
COUPLET4
C’est sur mon p’tit lit d’hôpital que j’ai hurlé quand j’ai eu mal
que j’ai crié Dore Dore sors moé de d’là
j’ai eu peur de mourir sans toé ma femme à moé
COUPLET 5
toute ma vie j’ai dit à mes chums
qu’ma femme avait marié un bum
à soir dans chaise berçante ton bum veut s’confesser
y veut pus qu’tu t’sentes mal aimée mal aimée
COUPLET 6
quand t’as l’corps comme l’écorce d’un arbre
les mains propres comme des feuilles d’automne
les yeux rougis par des rides en gouttes de pluie
c’est que l’bon dieu m’a accordé un sursis
pour dire a ma femme merci
Pierrot vagabond céleste
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LA TUQUE LA RUE GOUIN
CHER RICHARD GAMACHE
POÈTE
Arts de la scène – Conte
“Qui suis-je ? Artiste. Poète, auteur-compositeur, palabriste, écrivain publique, producteur … J’ai jeté tant de bouteilles à la mer que si elles me revenaient toutes je pourrais en faire un radeau et enfin la traverser.”
Maire de Norbertville de 2005 à 2009, récipiendaire en 2010 du prix Georges-D’Or remis par la Société Saint-Jean-Baptiste Centre du Québec pour mon implication dans la promotion et la défense de la langue française, j’ai écris plus de cent chansons et quelques plaquettes de poèmes et n’en finirai jamais de me faire entendre partout où je le pourrai.
10-LE BÂTON DE LA STE-VIERGE
Quand j’arrive chez Raynald Boutin à La Tuque, et qu’il me remet un vieux bâton scout, depuis 30 ans dans sa cave, sculpté par son gars alors qu’il avait 13 ans, il y avait à l’intérieur du haut du bâton, une petite grotte avec une statue de la Ste-Vierge, la même qu’il y a 30 ans…
Et je marchai trois jours avec la Ste-Vierge. Je me rendais compte que son personnage était passé de réalité à raconte et de raconte à conte. Elle n’était plus qu’un conte qui vacillait sur son trône de coup de bâton en coup de bâton. Elle tomba du bâton plusieurs fois, je la reposai.
Plus j’avançais avec, plus j’étais mal à l’aise… Je me rappelai de ce raconte du Frère André vécu personnellement à l’oratoire St-Joseph.
J’avais passé plus d’un an à lire des livres de théologie, à assister de 3 à 7 messes par jour juste pour mesurer la distance phénoménologique et culturelle entre mon enfance et ma vieillesse.
La caféteria de l’oratoire St-Joseph était mon bureau. J’y écrivais des chansons avec ma guitare.. Durant plus de 2 mois, un homme d’une quarantaine d’années, chauve habita la même table devant son portable.
Un après-midi, il traverse diagonalement, se rend à ma place et me dit: j’en peux plus de souffrir… Je lui dis, viens je t’emmène au tombeau du frère André, tu vas déposer tes mains et tu vas lui dire à haute voix ce que tu voudrais qu’il fasse pour toi:)))
Et l’homme de dire… frère André, j’ai perdu ma femme, mes enfants, mon emploi, je vis dans une petite chambre minable à Verdun, je me suis fait une blonde mais je suis aussi à la veille de la perdre… Frère André, je suis incapable de vivre seul, donnes-moi une femme et fais que je sois certain que c’est toi qui me l’envoie:)))
Et moi de lui dire… fais attention à ce que tu demandes… le frère André est réputé pour être très vite et tu risques d’être pogné avec la femme:)))
Le soir, une voix à l’intérieur de moi-même me dit qu’il y a urgence à l’oratoire de de m’y rendre immédiatement… je prend le petit autobus… arrivé en haut.. je croise l’homme qui me dit… Ca adonne bien que je te vois, je m’en vais me tuer…..
Tu vas faire ça comment que je lui dis… Je m’en vais me jeter en bas du métro. Ca parait que tu viens pas de Montréal que je lui dis… ici tout le monde sait que c’est le meilleur moyen pour rester infirme toute ta vie…
Je l’emmenai avec moi au petit bar sur la rue St-Denis, empruntai une guitare et la petite scène, je lui chantai trois ou quatre de mes chansons pour le détendre…
Au retour je lui dis… rentre chez toi et le frère André va prendre soin de toi cette nuit…
Le lendemain matin 7 heures, j’arrive à la cafeteria… voila que mon homme me sourit à pleines dents devant son portable. Et il me raconte… Cette nuit, j’ai chatté et une fille a qui j’avais parlé il y a plus d’un an m’a écouté et m’a répondu ceci… C’est normal que tout s’écroule dans ta vie, ça fait un an que je t’attend… Et il me montre la photo de la fille… Une vraie belle fille, à couper le souffle.
Je dis au gars viens avec moi dans la salle de bain… Regarde-toi dans le miroir… C’est impossible qu’un gars laid comme toi ait séduit une si belle fille… Viens on va aller sur le tombeau du Frère André et tu vas déposer tes mains sur le tombeau en lui demandant la grâce qu’elle reste aveuglée par son amour pour toi et qu’elle en se réveille pas…
Ce qui fut fait ainsi et le gars est parti la rejoindre à Québec, je ne l’ai jamais revu…
Et moi de dire à la Ste-Vierge sur mon bâton… c’est-tu vraiment le frère André qui a fait ça? tu trouves pas que mon histoire du frere André qui m’est réellement arrivée ressemble à un conte urbain… Et même toi sur mon bâton, je suis incapable de te voir autrement qu’un conte urbain.
C’est ainsi que je déposai la Ste-Vierge dans la forêt, et que je suis maintenant hanté par une grotte ou son souvenir est infiniment plus intense que sa présence.
Qu’est-ce qu’un conte? c’est un trou dans le bâton de la réalité…
Voilà la raison pour laquelle j’ai pensé que mon bâton de vagabond-raconteur pouvait humblement symboliser la marche des semeurs de contes par le côt&eacut
(SUITE)
Qu’est-ce qu’un conte? c’est un trou dans le bâton de la réalité…
Voilà la raison pour laquelle j’ai pensé que mon bâton de vagabond-raconteur pouvait humblement symboliser la marche des semeurs de contes par le côté sacré d’un espace à conter imprévu.
Je pensai, par ce geste, parrainer une jeune conteuse, Geneviève Falaise, comme le ferait tout grand-père de la beauté du monde car le conte, c’est de se faire le frère André ou la Ste-Vierge de tous ceux et celles qui ont soif d’espérance de magie dans leur vie.
Pierrot
ps. c’est ce conte urbain qu’après ma mort on racontera en montrant le bâton d’un personnage assez flyé pour s’être pris pour un archétype:)))))))))))
Pierrot
vagabond