LE CERVEAU-ASTRONAUTE FLOTTANT DANS L’INFINI DE SON CORPS DE L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DU VAGABOND CÉLESTE ISSU DE LA CORRÉLATOIRE POÉTIQUE DE LA STATION SPATIALE DU K-OEUR…. FUT UN OBJET IMPOSSIBLE…. DANS LE SENS DES OEUVRES DE L’ARTISTE NÉERLANDAIS MAURITS CORNELIS ESCHER……

artiste néerlandais Maurits Cornelis Escher objets impossibles

Maurits Cornelis Escher1, né à Leeuwarden le et mort à Laren le , plus couramment nommé M. C. Escher, est un artiste néerlandais, connu pour ses gravures sur bois, manières noires et lithographies souvent inspirées des mathématiques. Au cours de sa vie, il a réalisé 448 estampes, et plus de 2 000 dessins et esquisses. Il a également illustré des livres, des tapisseries, des timbres et des œuvres murales.

Ses œuvres représentent des constructions impossibles, des explorations de l’infini, des pavages et des combinaisons de motifs en deux ou trois dimensions qui se transforment graduellement en des formes totalement différentes, qui défient les modes habituels de représentation du spectateur.

L’œuvre de M. C. Escher a séduit de nombreux mathématiciens à la communauté desquels il se défendait d’appartenir. Il aimait dire à ses admirateurs : « Tout cela n’est rien comparé à ce que je vois dans ma tête ! »

COMMENTAIRE

Je commence à saisir à quel point mon épopée poétique DU VAGABOND CÉLESTE  fut UN OBJET IMPOSSIBLE….ANALOGIQUEMENT DANSANT COMME LES GRAVURES IMPOSSIBLES DE MAURITS CORNELIS ESCHER …. hors temps, hors réalité, hors servitude, donc hors histoire…. simplement parce que mon cerveau-astronaute flottant dans l’infini de son k-orps par pure corrélatoire d’avec sa station spatiale du k-oeur…. relève en soi de l’objet impossible de Meinong COMME D’ESCHER … au sens de socle abetal d’un rêve  big bang … hymne à la beauté du monde d’une humanité oeuvre d’art en devenir…

Comment un archétype hologrammique peut-il consacrer sa vie à vagabonder l’impossible…. que ce soit la cartographie des rêveuses et des rêveurs, puis la connaissance dans 4 universités… puis… l’éblouissante infinitude du rien de ses brosses d’être et attaques d’être comme signant le réel mais n’en faisant pas partie…. sans soi-même défier la singularité des synchroni-vie-tés impossibles…..

Pierrot vagabond

 

C’EST QUAND ON PREND SOIN DU RÊVE D’UNE AUTRE PERSONNE ET CELA SANS INTÉRÊT PERSONNEL CACHÉ QUE L’ON DEVIENT…. POÉSIE DE SON PROPRE RÊVE…. MA DÉVOTION AU RÊVE BIG BANG D’UNE AUTRE PERSONNE EST ABSOLUE…. NON NÉGOTIABLE…. PARCE QUE QUAND JE FERME LES YEUX… JE VOIS SON RÊVE BIG BANG ILLUMINER LE MIEN

C’est peut-être là la poésie à laquelle je suis le plus sensible…. J’ai marché le K-anada pour serrer la main à de grandes rêveuses ou à de grands rêveurs…. j’aimais voir dans leurs yeux LA BEAUTÉ DU MONDE en action….  Je changeais de village pour ne pas être blessé par l’ontike du quotidien de ceux et celles dont les errances sont … soit fantomatiques, soit axiologiques.

Chaque fois qu’on m’embarquait dans une auto… ou que l’on m’emmenait dormir dans une maison… je me sentais profondément bouleversé par la souffrance insondable de celles et ceux qui m’accueillaient.

Je me disais… mais c’est pas possible… Comment peut-on laisser les dépendances de quelque nature que ce soit ronger la poésie? …. L’horreur des dépendances quelques soient…

Je me souviens d’une nuit à Val-Morin…. un homme d’une quarantaine d’années m’avait ramassé sur la 117 et m’avait emmené dormir chez lui. Pendant que je dormais… toute la nuit… il avait consommé du crack et hurlait au téléphone à son vendeur de crack de lui fournir ses doses même s’il n’avait pas d’argent pour le payer…  Le lendemain matin… je partis en douce… sans déjeuner… l’homme s’étant assoupi entre deux crises….

Et de cet autre… sortant d’une réunion des alcooliques anonymes me ramassant sur la route et m’emmenant dans son loyer…. incroyablement en désordre avec des ordures jamais ramassées… Quelle détresse… mais quelle détresse….

Et l’autre tellement saoul dans son char que j’ai du tenir la roue… l’obliger à se ranger… il pleurait comme un enfant parce qu’il se trouvait laid et qu’aucune femme ne voulait de lui…

Et l’autre en crise de peine d’amour qui faisait le tour du parlement avec son auto et ne voulait pas me relâcher tant qu’il n’aurait pas moins de peine… Cela a du durer un bon deux heures…

Et l’autre qui avait le cancer et m’a raconté tous ses crimes… avec une carabine dans son camion… ne sachant trop s’il allait se tirer… ou aller mourir chez sa fille…

Quand je me retrouvais seul avec ma poésie, sans un sous, la faim au ventre, je retrouvais ma paix intérieure en contemplant les arbres, en marchant le long des lignes blanches d’une route sans fin… la nuit venue… la lune, les arbres, les coups de bâton de liberté sur l’alsphate…

Et je reposais, nuit après suit ma question: SI JE PREND SOIN DE L’UNIVERS… EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

Puis… mon corps tombait au petit jour… dans un boisé…. et la poésie sous forme de brosses d’être et d’attaques d’être venait me visiter.

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Mais quand je rencontrais un rêveur ou une rêveuse qui prenait soin du rëve d’une autre personne… ah…. quelle joie…. quelle joie….Je me rappelle de cet homme qui, à 5 heures du matin, en Gaspésie, au début avril… me vit sur la route et me héla… j’entrai avec lui dans son atelier… Il me dit… Je prends soin de ma femme… elle est très malade… Si elle ne va pas mieux… on pas ouvrir notre restaurant cet été…. ca m’inquiète… Et il me donna un pot avec du poisson dedans….

Et cet autre… cultivateur âgé… qui m’arrêta… pour que de sa galerie… il puisse me montrer sa femme au loin dans les champs… en me disant…. On se fait vieux… je sais pas combien d’années ma femme et moi on va être capables de tenir le coup… Comme ses yeux prenaient soin d’elle… c’était magnifique… Elle était son rêve…. il se consacrait à prendre soin de son rêve….

Et ce couple….qui avait ouvert une galerie ou elle peignait et lui sculptait…. Comme ils prenaient soin du rêve de l’un et de l’autre…

Oui… les grandes rêveuses et les grands rêveurs sont non seulement des artistes du quotidien, mais honorent l’humanité oeuvre d’art par des yeux de bienveillance et de dévotion pour le rêve de l’autre.

C’est cela que j’ai voulu théorisé par les quatres questions du pays oeuvre d’art:

1: Quel est ton rêve?

2: Dans combien de jours?

3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Pierrot vagabond

 

Pierrot Vagabond

LA PLANÈTE TERRE VIT UN MOMENT HISTORIQUE…. UN NON AU RACISME SYSTÉMIQUE EN PARTICULIER ENVERS LES NOIRS…. SYMBOLISÉ PAR UN GENOU PAR TERRE…. QUAND JE RENCONTRE UN NOIR OU UNE NOIRE SUR LA RIE…. MON REGARD EN EST UN NON SEULEMENT D’APPUI… MAIS UN JE TE DEMANDE PARDON…. JAMAIS JE N’AVAIS RÉALISÉ QUE PARCE QUE J’ÉTAIS BLANC… J’AVAIS UN PRIVILÈGE…. CELA M’INCITE ENCORE PLUS À TRAVAILLER NUIT ET NOIR POUR QUE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE NAISSE AU 21EME SIÈCLE

Pierrot vagabond

UN RÊVE EST NÉ DE L’AMITIÉ OEUVRE D’ART ENTRE MARLENE, MICHEL, PIERROT, GAELLE

Comme c’est magnifique les conséquences d’un rêve big-bang….

En ce moment… Marlene et Michel ont une maison secondaire à Grandes-îles… ou Marlene y vit une passion pour ses jardins oeuvre d’art. Ils ont un condo à Montréal ou j’habite avec eux et ou nous tenons depuis 14 ans maintenant nos conseils d’administration de la k-réativité.

Parallèlement, Gaelle et moi dans l’invention de la beauté du monde par l’amitié oeuvre d’art nous nous accompagnons dans chacune de nos recherches en métaphysique.

Une intensité nuit e tjour… qui ne faiblit jamais…. plus de 300 tapes audio de nos inventions réciproques… Le r^ve de Gaelle consiste à charcher nuit et jour et à gagner sa vie par la publication … Le mien… témoigner d’un nuit et jour consacré à la beauté du mon de… par la vie personnelle oeuvre d’art, le pays oeuvre d’art, la nano-citoyenneté-planétaire.

Marlene,Michel Pierrot et Gaelle visons 2022 avec un colloque international sur LES DIMENSIONS DU RÊVE… Marlene par la poésie de ses jardins, Michel par la philosophie d’en bas de sa guitare, Pierrot par son vagabondage du rien et Gaelle par une métaphysique des chemins du merveilleux…

EN CONSÉQUENCE DE QUOI

L’impossible consisterait à ce que Gaelle et Pierrot réussissent chacunb ç faire publier leur oeuvre pour acheter le terrain de la maison chez Marcel sur le bord de l’eau, tout près de chez Marlene et Michel… et que Gaelle et Pierrot y fassent construire UNE MAISON DOUBLE DE MÉTAPHISIQUE… ou en bas nous aurions chacun nos appartements et au deuxième étage, un immense espace ouvert consacré à nos ateliers de recherche….

Ce rêve m’enchante

à suivre….

Pierrot vagabond

JE VIENS DE ME RÉVEILLER… JE NE VOIS QUE LA POÉSIE DU RÉEL…. LE RIEN…. LE RÊVE BIG BANG … L’ONTI-KHA-TIF D’UN K-ONTE POUR UN FEU DE JOIE …. POUR QUICONQUE PRATIQUE SELON LA BELLE EXPRESSION DE GAELLE LA MÉTAPHYSICIENNE…. L’ABDI-K-ATION HEUREUSE …..IL NE FAUT PAS CHERCHER UN SENS AU RÉEL… CAR C’EST L’ABDI-KHA-TION HEUREUSE MÊME QUI FAIT SENS SOUS LE RÉEL AHURI D’ÊTRE TRANS-VERSÉ PAR LA POÉSIE DU RIEN

Pierrot vagabond

LA MÉTAPHYSIQUE DE L’ARBRE ET DE LA RÊVEUSE

Ce que je peux être heureux à pratiquer L’AMITIÉ OEUVRE D’ART théoritisée. …. Il y a devant l’appartement de la métaphysicienne sociologue doctorante Gaelle Eteme… su troisième étage, devant sa fenêtre…. un arbre….

J’ai la soif d’excellence d’être aussi bienveillant que cet arbre pour le rêve big bang d’une autre personne humaine…. et cela 24 heures par jour, 7 jours par semaine…

Combien de fois sur ma route du rêve… un arbre m’a-t-il offert sa mansuétude par la beauté de ses feuilles dansant le vent… par l’ombre sur un soleil trop ardent, par ses silences mystiques….

J’aime que l’eumétrie mystique entre l’arbre et moi devienne ma barre de mesure quand je veille, tel un arbre, sur le rêve big bang d’une autre personne humaine…

De là l’amitié oeuvre d’art… eumétrie parfaite entre un arbre et une rêveuse.

Pierrot vagabond

CELA M’A PRIS DES ANNÉES À INVENTER LA CONFIGURATION EUMÉTRIQUE QUI ME RENDRAIT HEUREUX… EN FAIT… GEORGES BRASSENS L’AVAIT DÉJÀ VÉCU AVANT MOI …. AVEC MARCEL ET JEANNE…. TOUTE SA VIE… IL VÉCUT AVEC MARCEL ET JEANNE… MARCEL QUI COMME MICHEL MON AMI AVAIT COMPRIS QU’UN POÈTE …. DOIT POÉTISER HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE

Pendant que Michel vit d’amour pour Marlene, grâce è leur amour, je vis d’amitié pour la poésie.

Pierrot vagabond

WOWWWW… J’AI DORMI UNE COUPLE D’HEURES… QUELLE JOIE… MAIS QUELLE JOIE D’ÊTRE UN CHERCHEUR POÉTIQUE… ET CELA NUIT ET JOUR….

Il est 11h.30 du soir… je me suis couché à 8h.30 en disant à Marlene et Michel…. Je vais dormir… je veux me lever à minuit pour passer la nuit à réfléchir sur la dramaturgie de notre doctorat… le piton de la liberté…. faire en sorte que lorsque l’archétype de Pierrot vagabond dans le ier 100 pages terminé… devienne un émouvant témoignage d’amitié à mes deux partenaires archétypes hologrammiques… Michel le concierge .. maître k-onteur de la k-onditon humaine… puis Marlene la jardinière … la beauté du monde en action par ses jardins…

Et Michel de me dire… Mais pourquoi te lever à minuit? … et moi de lui répondre… Parce que à ça me rend heureux… comme quand le soir après le travail… tu répètes ta guitare…

Mais j’aurais pu ajouter…. Pourquoi minuit? parce que c’est magnifiquement poétique pour qui est fiancé à la poésie…

Quand mon socle abjetal qu’est mon k-orps s’est déposé sur la planche de bois…. tout de suite une brosse d’être est venue lentement et somptueusement me visiter… Puis…. à sa suite… comme une longue caravane de trésors à offrir à ma fiancée la poésie… des débris de la mémoire du k-oeur…. des fragments d’un tel scintillement comme des étoiles du passé fluides, éphémères mais éternelles parce que  reconnaissance d’avoir été vécues…. telle une trace d’impossible dans un univers d’effroi….

Toutes mes vies de couples…. et j’ai du en avoir une dizaine au moins…. furent des univers d’effroi…. J’arrive pas à comprendre…. mais en même temps si….

On aurait dit que la poésie s’attristait quand je prenais pause avec une femme pour vivre l’ontike à deux…. Ce n’était pas la faute de la femme…ni la mienne je crois… mais je n’ai rendu heureuse aucune de ces femmes et aucune ne m’a rendu heureux….

Ma fiancée la poésie m’attendait dehors…. la première fois qu’elle s’est présentée à moi…. ce fut lorsque je donnai des fleurs sur scène… je devais avoir 5 ou 6 ans… peut-être moins même…. je savais que cela serait ma vie…. Puis quand les deux hobos ont sauté du train… je devais avoir 5 ou 6 ans… je savais que cela serait ma vie…

On aurait dit des fragments de poésie déposés en moi…. éternellement en moi… qui prenaient fondation tels des châteaux d’impossibles….

Mes nuits sont remplies de visites de fragments de poésie…. qui me provoquent des brosses d’être et d’attaques d’être. Le libre-arbitre de ma conscience reste étrangement respectueux de ces fiançailles entre le rien et le rien en moi.

Qu’est-ce que la poésie? Pour moi…. c’est de la philosophie qui dépose un genou par terre devant l’énigme de la beauté du monde.

Je me rappelle l’été de Rose Ouellet la poune à la butte aux Pierrots, soit l’ancienne butte à Mathieu que nous les deux Pierrots…. Pierre David et moi-même avions transformé et en boîte d’animation et en salle de spectacle.

Le succès que nous eûmes cet été là fut fascinant… Durant l’année j’avais été professeur de philosophie au conservatoire de musique de Montréal avec un cours que j’avais inventé… QUESTIONS SUR LA VIE D’ARTISTE À TRAVERS LES SIÈCLES…. Je chantais aux Pierrots deux Pierrots le soir tout en écrivant notre partie du spectacle avant que la Poune arrive sur scène.

Ma iere épouse et moi avions acheté la maison ou Raymond Lévesque y écrivait ses revues…. elle y travaillait comme serveuse et moi j’y chantais….

Mais c’est la nuit que mes fiançailles avec la poésie avait lieu… Dès que le théâtre fermait, je prenais une brouette et , pierre par pierre, ramassées sur la route, une à une… je faisais mon chemin de pierre de ma maison à en-dessous de la scène de la butte…. de façon à ce que mes cendres un jour y soient enterrées discrètement… Puis , certaines nuits, j’allais me laver…. enfiler un pyjama, des pantoufles et je franchissais les quelques pieds de ma maison à la scène… entrais dans la butte par en arrière … j’allumais les lumières et poétiquement… j’allais laver le plancher avec une moppe… en me disant… ce fragment de poésie là… je ne l’oublierai jamais….

J’ai souvenir , au retour… du chant des grillons….  ah le chant des grillons… comme il m’a accompagné tout au long de mes vagabondages de fin d’été….

Je me disais… la poésie qui m’habite … les grillons… ce sont mes deux hobos qui sautent du train de la k-ondition humaine en moi ….. J’avais beau avoir du succès partout dans ma vie…. je ne rêvais que de sauter du train de la k-ondition humaine….

PRENDRE ENCORE ET TOUJOURS LE PARI DU RIEN … car la poésie d’un rêve big bang se vit dans la marge…. et même au-delà, là ou plus rien n’existe….

N’être plus rien… que la joie du plus rien….  AUCUN DE MES AMOURS NE M’A RENDU HEUREUX… ET JE N’AI RENDU HEUREUSE AUCUNE DE MES AMOURS….  Je crois que j’ai toujours été trop heureux fiancé à la poésie pour avoir du talent en amour … je ne comprends pas les drames de l’ontike…. les drames de la survie… les drames de l’ambition…. Je ne saisis pas les dynamiques des belles familles, les rapports hiérarchiques, les non-dits, les défaites, les secrets de famille…. Je ne comprends que LES DEUX HOBOS QUI SAUTENT DU TRAIN DE LA K-ONDITION HUMAINE.

Quand j’étais petit… il arrivait parfois que ma mère en pleurant , me dise…. TOI … ON SAIT BIEN… T’AS BESOIN DE PERSONNE… Je ne comprenais pas ses larmes…. ni ses phrases… j’allais sur la voie ferrée de mes deux hobos… et je criais à tue-tête…. JE NE VIEILLIRAI JAMAIS…. JE NE VIEILLIRAI JAMAIS…. et je courais cheveux au vent…. et je peux dire que j’ai tenu promesse… Je n’ai jamais vieilli….. ma fiancée la poésie me l’a interdit…..

Quand le clown de Toronto au Japon m’a initié aux quatre étapes de la vie DE MAÎTRE DE RIEN ( cabotinage, don de soi, communion et catharsis) …. quand mon maître en philosophie m’a initié à l’essentiel (Il y a beaucoup de professeurs de philosophie, peu de philosophes), Quand Rose Ouellet la Poune m’a initié aux secrets du rire (Quand le public est lent va vite, quand le public est vite, va lent) ….  c’est le poète en moi qui se fit lampadaire de l’impossible….

J’ai mis ma vie à devenir MAÎTRE DU RIEN, MAÎTRE EN PHILOSOPHIE, MAÎTRE DES LOIS DU RIRE ET DES LARMES….

Et c’est là que je suis devenu un rêveur au service des rêveurs… avec une dévotion qui m’étonne moi-même ….Quand je vois une rêveuse ou un rêveur qui risque d’être écrasé par la beauté ou la grandeur de son rêve… je donne tout… tout mais vraiment tout…

A L’UQAM par exemple… j’ai vu un rêve tellement beau, tellement grand que je me suis privé de manger pour que l’autre mange… que je me suis privé de m’acheter pour que les frais de scolarité de l’autre soient payés….que je me suis privé même d’un café pour que l’autre puisse prendre un café…. J’étais obsédé nuit et jour par l’autre… le rêve de l’autre…. c’est sacré un  rêve…. surtout un rêve doctoral…

J’y étais vagabond poète, recteur poétique non inscrit….en pantoufles… passant ses jours … tous les jours en fait et dans le temps des fêtes cette année… ses nuits et jour à vagabonder la connaissance avec ma fiancée LA POÉSIE… qui elle non plus n’a jamais vieilli entre mes bras de larmes de joie.

Et les deux hobos, les applaudissements quand je donne des fleurs, les grillons, les chevreuils qui dansent et dansent et dansent en moi… que ce fut à la bibliotèque de l’université Mc Gill, Concordia, université de Montréal ou université du Québec.

Cela m’a pris du temps à comprendre qu’UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR PERMETTAIT DE FRANCHIR LA POROSITÉ DU MULTIVERS DONT LES BROSSES D’ÊTRE ET LES ATTAQUES D’ÊTRE TÉMOIGNAIENT SOUR FORME DE QWALIA.

et ce sont sous la beauté des qwalias des débris de la mémoire du k-oeur…. que la poésie et la philosophie …. se font feu de joie.

LE PARI DU RIEN…. ego sum pauper… nihil habeo… et nihil dabo….

Quand j’ai donné ma maison  par acte notarié… je suis sorti… sans refermer la porte derrière moi…. n’emportant rien d’autre que 2 paires de jeans.., 3 chemises courtes… un manteau d’hiver… les bottes de mon grand-pèere Lucien dans mes pieds… La t.v. marchait encore… pour me rappeller qu’une t.v. qui marche ne va jamais bien loin.

LE PARI DU RIEN…. fut…est sera ma vie jusqu’au dernier souffle.

Pierrot vagabond

 

 

 

 

EN COMPLÉTANT LE DESCRIPTIF DE MES 240 INVENTIONS GLOSSAIRIQUES … JE SUIS VISITÉ PAR UNE FABULEUSE SYNTHÈSE NANO-K-OSMOLOGIQUE SOUS-ENTENDANT LE MULTIVERS DES FORMES DU RÊVE BIG BANG QUI NE FAIT PAS PARTIE DU RÉEL MAIS LE SIGNE… ET CELA DE L,ERRANCE POÉTIQUE ENTRE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… BIEN PLUS…. NOS TROIS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND) SE FONT POÉSIE COMME SI L’ACTE ABCEPTUEL MÊME EN SACRAIT LA NÉANTITUDE DANSANT LA BÉATITUDE DU RIEN

Cette année…. je fais le pari du succès pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) …

LE PITON DE LA LIBERTÉ… FONDEMENT MÊME DU FAMEUX PARI DU RIEN QUE FUT MA VIE DE VAGABOND CÉLESTE

Pierrot vagabond

DANS NOTRE DOCTORAT…. LE 100 PAGES SUR L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE PIERROT VAGABOND ÉTANT REVISÉ CETTE NUIT …. J’ENTREPRENDS MAINTENANT L’INVENTION DE LA DRAMATURGIE DE L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DU 100 PAGES DE MICHEL LE CONCIERGE….DANS UNE MISE À JOUR DE SES APHORISMES CONDUISANT AU SURGISSEMENT DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS PAR SES CHANSONS…. DANS LE FOND… JE VAIS PRÉPARER UN SYNOPCIS À PARTIR DUQUEL MICHEL VA POINTILLER LE TOUT DE SON ART DU VISAGE…..

Quelle belle nuit de travail…. lever à minuit…. jusqu’au conseil d’administration avec Michel ce matin avant qu’il parte travailler. Le fait de voyager entre le doctorat de Gaelle dans son atelier-appartement et l’appartement de Marlene et Michel me donne cet enthousiasme à réfléchir au piton de la liberté à partir duquel notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) va réussir l’arc-en ciel de la nano-modernité entre la vie personnelle oeuvre d’art et la nano-citoyenneté-planétaire.

Je pense que ce que j’essaierai de démontrer… c’est qu’un archétype devient hologrammique lorsqu’un rêve big bang qui l’anime permet d’identifier les débris de la mémoire du k-oeur qui en fondent la joie et le sens de la vie par la joie de marcher la route de son rêve….

Enfin… je suis très inspiré…. heureux… surtout d’en avoir terminé avec mon archétype hologrammique de Pierrot vagabond….. et vraiment satisfait du résultat du 100 pages doctoral qui en découle…. pour ne vivre que la passion de voyager à l’intérieur de l’archétype hologrammique de Michel le concierge…..pour plus tard… refaire le voyage onérique dans l’archétype de Marlene la jardinière.

Pierrot vagabond