LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD ROCHETTE) Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond
LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD ROCHETTE) Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond
LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD ROCHETTE) Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond
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LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
1. Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception…..
2. Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art. a) Quel est ton rêve?…b) dans combien de jours…c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?…d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?….
3. Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation soit lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….
4. En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?….
5. Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE…..
6. Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 2×39 vies personnelles œuvre d’art en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE. ( 2 assemblées des justes, 39 femmes, 39 hommes*) ….
7. Imaginons que ces deux assemblées des justes œuvre d’art (39 femmes, 39 hommes) se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière….
8. Imaginons que….. la cinquième question…. (EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?) devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls…..
9. Imaginons qu’une fois les deux assemblées des justes réunies (39 femmes, 39 hommes) , un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionnée comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde….
10. Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre…..
11. EN CONSEQUENCE DE QUOI….Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire un jour ….. DES PAYS OEUVRE D’ARTS …… DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART….
12. .La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel œuvre d’art, la liberté œuvre d’art reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU….. objectif:….nouvelle conscience éthique-esthétique planétaire en vue de la réforme des états …… en pays œuvre d’art ….. et cela …… par la masse critique nano-numérique des vies personnelles œuvre d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde……
13. L’implantation planétaire de la nano-citoyenneté pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:– retour sur les quatre questions… menant à la cinquième question éco-philanthrope de l’espace-monde:-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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ARTICLE ICI RADIO-CANADA
Monique Leroux chargée de résoudre un casse-tête économique pire que 2008
Monique Leroux, ex-présidente du Mouvement Desjardins, vient d’être nommée pour piloter la relance de l’économie canadienne après la pandémie.
Photo : La Presse canadienne / Jacques Boissinot
Monique Leroux, qui a été présidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins de 2008 à 2016, vient d’être désignée à la tête du Conseil sur la stratégie industrielle tout juste mis sur pied par Ottawa. Sa mission? Piloter la relance de l’économie canadienne après la pandémie.
Anne-Marie Dussault s’est entretenue avec elle dans le cadre de son émission 24|60 afin de mieux comprendre les profonds changements que risque d’induire la COVID-19 sur l’économie.
Avez-vous l’impression de vivre le même scénario que lors de la crise financière de 2008?
La crise de 2008-2009 était extrêmement difficile, exigeante. Mais bien qu’elle était complexe sur un plan technique – c’était vraiment le système financier qui avait des problèmes assez fondamentaux –, d’une certaine manière, c’était un peu plus simple.
Oui, il y avait des vies humaines qui étaient touchées, mais dans un deuxième temps. Là, on a d’abord et avant tout une crise qui est sanitaire, donc on a des enjeux qui touchent des personnes, des humains, dans leur santé et dans leur vie, et ça amène des enjeux économiques.
Ça crée un niveau de complexité, puisque tant qu’on n’aura pas identifié des médicaments ou de vaccin qui va nous permettre de ramener l’économie à plein moteur, on va devoir agir avec énormément de prudence et d’équilibre entre la vie humaine et la vie économique.
Les gouvernements, à Ottawa comme dans les provinces, n’ont jamais hésité à réaffirmer que la santé doit primer l’économie. Donc, il faut garder le cap là-dessus et prendre notre mal en patience?
Prendre notre mal en patience… d’une certaine manière, oui, mais je crois qu’il faut, dans la mesure de ce que l’on peut faire individuellement, collectivement, avec nos entreprises et les gouvernements, essayer d’être le plus proactif possible. À la fois pour gérer l’urgence, mais aussi pour comprendre comment on peut se sortir de ça.
J’ai fondamentalement confiance – quand on regarde l’histoire du monde – qu’il va y avoir un après-crise. Il va y avoir un avenir meilleur. Il faut se donner cette route, ce sentiment de confiance organisé et systématique, pour y arriver.
Vous avez déjà dit sur nos ondes : « cette crise forcera les gouvernements à s’ouvrir les yeux ». Il apparaît inévitable que cela fasse partie des scénarios d’après-crise.
Absolument. Je crois que toute crise, si je prends celle de 2008, amène des apprentissages. Ça amène des leçons, ça amène à regarder les choses différemment. Donc je pense que cette crise que l’on vit actuellement va nous amener à regarder la gestion du risque différemment, la gestion de nos services gouvernementaux, pas juste au Québec ou au Canada, mais à travers le monde. Je crois qu’en ce qui concerne les questions de sécurité alimentaire, de sécurité dans l’approvisionnement stratégique, que ce soit des médicaments ou des masques, on va voir les choses différemment.
Ce que j’espère faire avec le Conseil, c’est d’être en mesure de bien saisir les défis que nous avons, comprendre comment, à court terme, on peut travailler ensemble pour stabiliser l’économie canadienne et, surtout, bâtir les éléments qui vont nous amener vers une économie plus robuste, plus résiliente.
Essayons, même si c’est difficile d’imaginer ça aujourd’hui, de prendre l’opportunité de cette crise pour innover et pouvoir aller un peu plus loin.
La pandémie met en évidence les effets pervers de la mondialisation. Est-ce que vous prévoyez une sorte de repli sur soi économique?
Je ne crois pas que nous allons fondamentalement revenir dans une forme de déglobalisation. Je crois que nous allons simplement gérer la globalisation différemment. Si je prends, par exemple, la pandémie actuelle sur un plan sanitaire et médical, il nous faut une coordination mondiale. On aurait beau avoir une solution au Canada ou au Québec, si nos voisins américains ou européens n’arrivent pas à contrôler la situation chez eux, on n’y arrivera pas.
Je pense qu’on va toutefois devoir revoir certains éléments, comme les risques que nous prenons, et pouvoir bénéficier de la mondialisation, mais en corriger certains éléments excessifs ou certains éléments trop risqués.
En tourisme ou en culture, comme dans toutes les sphères de l’économie, on peut imaginer que les choses vont être tellement différentes. Va-t-on recréer tous ces emplois?
Il y a certainement des emplois que nous avons connus qui vont devoir être transformés, ou s’ils ne sont pas transformés, qui pourront être en nombre différent de ce qui existait avant la crise.