ANECDOTE 1
LA VISITE DE SIMON GAUTHIER ET DE SON JEUNE NEVEU DE 15 ANS PIERRE -OLIVIER AU 24 HEURES DE L’UQAM PENDANT UNE DE MES SÉANCES DE TRAVAIL
Au 24 heures de l’UQAM… dans le local dsm 985 … il n’y a pas de fenêtres…. tout y est silencieux … aride…et la plupart des adeptes du nuit et jour sont des originaux qui ne parlent pas… et qui vivent avec intensité solipstique un rêve …. qu’ils n’aiment pas partager d’ailleurs… On se salue à peine… et même après un certain nombre de salutaitons… plus du tout … on sait…. que l’autre…comme nous… ne veut pas être dérangé dans la bulle de son rêve…
La nuit… c’est encore mieux…. c’est même mervielleusement mieux… on est à peine 3 ou 4 ou 5… et même… vers 5 heures du matin… on se retrouve seul… avec l’immensité de son propre rêve….
Et c’est dans ce Walt Disney de ma béatitude de chercheur que j’ai pu y cultiver des rituels…. J’ai 3 chaises… l’une pour déposer mon sac et une autre à droite pour y étendre mes pieds…
Je n’aime pas la communication avec les autres humains… <ca dérange mon cerveau… par contre… j’adore l’ab-mmunication… qu’est-ce? … c’est ce champ constellaire… cet aura qui surgit à travers mon socle abjetal qui s,appelle un corps et qui permet à la luminosité de mes absences d’être à l’écoute du rêve de l’autre…
Quand je rencontre l’autre… tout ce qui m’intéresse… c’est la flamme entre mes pantoufles et mon rêve big bang qui se transforme en 4 questions par une oreille multiversielle? 1) Quel est ton rêve? Dans combien de jours? qu’as-tu fait aujourd’hui pour ton rêve? Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Et là… et là…. l’éblouissement ab-ceptuel se produit par l’ab-mmunication ….. l’autre porte en lui…. CE QUE J’APPELLE UN «RÊVONS» ….. je le met au pluriel parce qu’u n « RÊVONS» … c’est l’impossible miultiversiel sous forme d’un point d’interrogation soulevé par le point d’exclamation d’une flamme qu’on appelle LA BEAUTÉ DU MONDE.
————-
Revenons à la visite de Simon Gauthier le conteur et de son jeune neveu de 15 ans Pierre-Olivier.
Depuis une semaine… peut-être deux… peut-être trois… je creuse les fondements d’une méthodologie des débris de la mémoire multiversielle du k-oeur en interrogeant Joseph Beuys, Marcel Duchamp et Walter Benjamin….
Quand je vagabondais le Canada… j’arrêtais aux bibliothèques de village… souvent je dormais dans un boisé pas loin d’une de celles-ci… puis… comme elles ouvraient que certains jours à certaines heures… je m’y faufilais en espérant y trouver la perle rare…. et quand je trouvais quelque chose soit dur Duchamp, soir sur Beuyes soit sur Benjamin… je m’y ensorcelais de vagabond céleste au point d’en vivre aléatoirement autant qu’analogiquement l’invention de ma propre mise en réel d’un rêve d’humanité heureuse….
Et même je me rappelle… quand mon frère Gilles avait organis une tournée de la Gaspésie et des iles de la madeleine 22 villes et villages en 22 jours… (j’étais jeune chansonnier, suel avec ma guitare) j’avais demané à dormir dans chaque ville ou village dans une bibliotheque la nuit… toute la nuit avec mon sleeping bag… Déjà VAGABONDER LA CONNAISSANCE prenait la forme de RÊVONS et je n’avais pas encore les mots pour le dire…
Quand à Tadoussac j’ai passé un été dans le haut d’un restaurant avec un jeu d’échec en lançant le bruit que j,étais le plus grand joueur d’échec au Québec alors que je ne savais pas jouer…. je ne vivais que pour décrypter la méthodologie de Duchamp pour qui la plus grande réussite de sa vie avait été d’avoir su perdre son temps en faisant de sa vie une oeuvre d’art… Et je me rappelle de ce cuisinier qui en tremblant, le dernier jour de mon séjour à Tadoussac avait eu le courage de kme demander de jouer aux échecs avec moi parce que j,étais le plus grand selon la rumeur… et je lui avais dit… Je suis le plus grand parce que c’est moi qui ai eu le plus d’échec dans ma vie.. JE NE SAIS PAS JOUER AUX ÉCHECS…. MAIS JE SAIS PLUS QUE ÇA… J’AI APPRIS PAR MES NOMBREUX ÉCHECS À ÊTRE UN WONDERFUL LOOSER…..
Et ca me rappelle une de mes chansons où je raconte une vraie histoire… Un gars qui avait le cancer… il lui restait une couple de semaines à vivre… Il dit à son frère va poser sur les poteaux de téléphones une annnonce disant que j,ai le cancer.. je vais mourir et que j’aimerais avoir de la visite… donne le numéro de ma chambre… Et une fille qui m’a raconté l’histoire est allé le visiter tous les jours… Il lui avait dit… Ne me parle jamais de moi… mais enchante-moi en me racontant qui tu es… Et il avait reçu un baiser sur le front «un rêvons» sur le front avant de mourir…
——————
Et je pourrais continuer comme ça…. dans un chapelet de rêvons…. juste parce que l’étiquette «flamme» s’est détachée de ses attributs essentiels pour devenir une image des trois stations spatiales (la station spatiale des 5 sens, la station spatiale du cerveau et la station spatiale du viscéral» pour venir habiter la station spatiale du k-oeur
————
Ainsi donc…. j’ai donc des rituels étranges dans ce 24 heures de l’UQAM…. Comme je travaillais à abceptualiser théoritiquement la méthodologie des débris de la mémoire du k-oeur à partir de la méthodologie de Walter benjamin dans Paris, reine du 19eme siècle, j’en étais venu à me choisir un territoire-paysage… soit LES 430 ÉMISSIONS UNE VIE UNE OEUVRE DE FRANCE-CULTURE … d’une heure chacune environ que j’écoute trois fois pour que re ÉTIQUETTES-RÊVONS S’Y DÉTACHENT …
Après 9 heures de travail (Homère, Hésiode, Sapho… Une étiquette d’un poème de Sapho se détache et traverse mes trois ieres stations spatiales… FLAMME…. Je saisis d’éblouissement… une brosse d’être m’envahit…
Je décide donc de mettre mon costume d’astronaute (mon cerveau est un astronaute dans l,infini de mon corps)… Je mets donc mon manteau d’hiver, ma tuque, mon foulard, mes gants, je dépose mes pieds sur la 3eme chaise et je ferme les yeux… et je me dépose en observateur qwalien … c,est à dire… que je tente de saisir théoritiquement comment le passage s’effectue dans une étiquette engluée dans ses attributs essentiels… qui se détache pour devenir image… puis transmage puis …. en traversant la champ constellaire des débris multiversiels de la mémoire du k-oeur d’un rêveur big bang…en trans gramme…
C’est à ce moment là que Simon Gauthier et son neveu arrive… Je suis si profondément en enquête abceptuelle métaphysique par l’onti-khatif que je ne perçois rien…
Simon, pensant que je dors… m’écrit dans mon cahier de recherche:
ALLO PIERROT
Je suis venu avec mon neveu.. Simon Olivier … tu es paisible et bien emmitouflé dans un somme en fin d,après-midi mérité… Pierrot … je vais vous réveiller.
Et Simon me touche le bras…
Et me voilà en train de lui raconter tout ce que j’ai écris avant dans ce texte… Et je lui parle du trans gramme qui a suivi le trans-mage… qui en a résulté…
J’ai 15 ans…. je suis amoureux d’une jeune fille de 15 ans…. elle s’appelle Jocelyne…. je veux l’emmener dans la petit boisé en arrière de la rue Gouin … elle ne veut pas… 40 ans plus tard…. je dors sur un congelateur au lac a beauce… elle arrive… elle voudrait… je ne veux plus….
Et voilà un rêvons qui se déclanche… un qwalia … ERt nous allons marcher les caves de l’uqam Simon, son neveu et moi où je les invite à écouter le bruit de mes pantoufles sur le ciment de la cave… comme craquement multiversiel de qwalias d’une étiquette flottante qui a traversé les mondes possibbles des 4 stations spatiales du soccle abjetal corporel pour maintenant prendre d’assaut une flamme encore plus multiversielle… LA FLAMME DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…
————-
Ce matin… à notre conseil d’administration de la créativité… j’ai raconté cette épopée d’un rêvons à Marlene (Michel était couché)… et je lui ai dis…
Un jour le rêvons qwalien de notre équipe de recherche aura cette puissance….. UN JOUR. … par pure synchroni-vie-té quwlienne un rêveur dira… J’aime vptre rêve… comment ça coute… Et c’est par la beauté du monde d’UN RÊVONS NOMMÉ FLAMME… que naître la nano-citoyenneté-planétaire.
Pierrot vagabond