Hier soir , quand je suis arrivé après une journée de travail intellectuel intense, Michel écoutait un documentaire sur les animaux des hautes montagnes. sa Marlène vivant son rêve à Grandes-Iles par ses jardins, je m’installai en silence… ce silence des rois, ce silence des humbles qui mélodisent le confort des non-tricheurs.
Tout est si simple quand par le «wow-t=2.7k?» on prend soin du rêve des uns et des autres… Tout est si limpide… Au réveil ce matin, ce sont encore une fois nos deux archétypes hologrammiques (Michel le concierge et Pierrot vagabond) qui ont recommencé notre réflexion sur l’impossible…
FAIRE DE L’IMPOSSIBLE notre joie, c’est comme le dit si bien Michel dessiner une porte sur le cœur, aller chercher une part de fraîcheur par l’intelligence du cœur…. c’est par la joie qu’un humain fait la différence dans le cœur de l’autre… Et Michel d’ajouter… c’est comme si l’on pressentait qu’en passant par le chemin du «je te demande pardon» on pourrait redécouvrir une joie perdue.
Dans trois jours, Michel vivra ses trois semaines de vacance avec sa marlene, célébrera son 35 eme anniversaire de matriage à Québec, et moi…. et moi…. je m’enfouierai dans les profondeurs de mon rêve big bang pour mieux dessiner la multiversité du 21eme siècle par la nano-citoyenneté-planétaire, dans un nuit et jour fou de joie de travailler pour, par et au nom d’une équipe dans un local informatique ouvert 24 heures à l’UQAM.
Pierrot vagabond