Au conseil d’administration de la créativité de ce matin, Marlene Michel et moi étions ébloui par cette synchroniti-vie-té issue de notre implication à la fête de Raymond-Louis Laquerre. Il en est résulté un changement de titre à notre doctorat

JE TE DEMANDE PARDON

au lieu de «de la non-tricherie à wow-t=2.7k?: la nano-citoyenneté-planétaire».

Le doctorat s’adressant maintenant AU COEUR et non à la raison.

Marlene et Michel savent tout ce à quoi j’ai du renoncer pour remonter sur scène… mais je l’ai fait pour l’équipe. Michel lançait sa merveilleuse chanson «le pardon», Marlene filmait… et moi…. dans mes haillons universitaires que j’appelle mes guenilles royales, je faisais mon possible pour tenter de m’y sentir confortable.

J’ai dit Michel, je suis tellement heureux dans le silence d’une bibliothèque ou d’un local informatique 24 heures, à traîner nuit et jour des propositions de concepts que je vais apporter à l’équipe pour les soumettre à la loi des 3 wows….. J’apprécie de ne jamais être devant la caméra le matin quand on filme la poïétique, mais derrière à construire…

UN RENVERSEMENT DE PERSPECTIVE CHAPITRÉ DANS NOTRE DOCTORAT OÙ L’ON PASSERA DE LA QUESTION DE PIERROT VAGABOND CHERCHEUR SUR LA ROUTE, À LA NON-TRICHERIE DE MICHEL LE CONCIERGE DANS SON COUPLE À LA RÉPONSE DE MARLENE LA JARDINIÈRE DANS SA FAÇON D’HABITER LA BEAUTÉ DU MONDE EN ACTION PAR SES JARDINS.

C’est en ce sens, que la réflexion théoritique sur les QWALIAS vient m’ouvrir une nouvelle flambée de concepts par une TRANSMAGE et non une image, un trope ou une métaphore…

SOIT LA TRANSMAGE DES OISEAUX SUR LA CORDE À LINGE DE NOS NON-TRICHERIES.

Tout semble se dessiner comme ceci: Dans une perspective multiversienne, toute personne qui prend la décision de ne pas tricher avec sa vie personnelle œuvre d’art fait surgir un champ constellaire où les désirs sont intrikés pour que une semence de rêve big bang surgisse dans une forêt de brosses d’être et d,attaques d,être où les qualias chantent comme si des cordes à linge dansaient entre des champs constellaires de peintres kanto-cosmologiques, faisant ainsi de la beauté du monde un cœur au service d’une humanité en marche vers sa dignité œuvre d’art.

Et c’est en ce sens que chaque «je te demande pardon» SUR CETTE TERRE TÉMOIGNE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART AU SERVICE DES MILLIARDS D’ENFANTS QUI SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE.

Il faut se faire petit pour comprendre le plus petit. Et qu’y-a-t-il de plus petit que de demander pardon?

à suivre…

Pierrot vagabond-chercheur, au nom de par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette).

À
rochettepierre@yahoo.ca

Aujourd’hui à 10 h 44

Voici:

Je te demande pardon…

Pierrot vagabond chercheur… et Michel le concierge… filmés par Marlene la jardinière… http://www.wow-t.com/ http://www.lepaysoeuvredart.com http://www….

youtu.be

wikipedia
Giorgio Agamben

Naissance

22 avril 1942 (77 ans)
À Rome
Drapeau de l’Italie Italie
Histoire des concepts Biopolitique
Influencé par
Hannah Arendt, Walter Benjamin, Émile Benveniste, Michel Foucault, Heidegger, Carl Schmitt, Aby Warburg, Yan Thomas, Guy Debord, Gilles Deleuze
A influencé

Tiqqun

Distinctions
Prix européen de l’essai Charles-Veillon (2006)
Prix Albertus-Magnus (2007)
Prix Leopold-Lucas (d) (2013)Voir et modifier les données sur Wikidata

Giorgio Agamben (né le 22 avril 1942 à Rome) est un philosophe italien, spécialiste de la pensée de Walter Benjamin, de Heidegger, de Carl Schmitt et d’Aby Warburg ; il est particulièrement tourné vers l’histoire des concepts, surtout en philosophie médiévale et dans l’étude généalogique des catégories du droit et de la théologie. La notion de biopolitique, empruntée à Foucault, est au cœur de nombre de ses ouvrages.
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Giorgio Agamben développe une philosophie politique, amorcée dans sa trilogie Homo Sacer. Il examine la notion d’« état d’exception », la question du droit et du dépassement du droit par le souverain en commentant la controverse Carl Schmitt-Walter Benjamin à ce sujet (Homo Sacer. I, Le pouvoir souverain et la vie nue). Il défend l’idée que l’état d’exception tend à devenir indiscernable de la situation « normale », reprenant celle-ci des Thèses sur la philosophie de l’histoire de Benjamin. De Michel Foucault, il reprend le thème de la biopolitique développé dans le tome I de l’Histoire de la sexualité, soit l’ambition, qui est celle du pouvoir contemporain, d’intervenir jusque dans la vie biologique des individus (dans le sens même de zoé, ou « vie nue ») et de gérer les citoyens comme de simples vivants. Ce faisant il établit une ligne de continuité entre la conception de la politique des nazis et celle de l’Occident contemporain, notamment dans Moyens sans fins, où il analyse le camp comme « l’espace biopolitique le plus absolu », dans la mesure où l’homme y essaie de réduire l’homme à une pure « vie nue ». Les interrogations sur le nazisme sont au cœur de ses préoccupations, et l’ont aussi conduit à questionner la notion de témoignage en problématisant celle-ci, après les travaux de J.-F. Lyotard, à la lumière du débat soulevé par l’émergence du négationnisme (Homo sacer. III, Ce qui reste d’Auschwitz : l’archive et le témoin).

La Nymphe et le Berger, tableau du Titien commenté dans L’Ouvert. De l’homme à l’animal.
Dans L’Ouvert : de l’homme à l’animal (2002), il enquête sur ce qu’il appelle le « dispositif anthropogénique » constituant l’humanité de l’homme par différence avec l’animal, cette frontière passant au sein de l’homme lui-même via la distinction aristotélicienne entre « vie végétative », « vie animale » et « vie contemplative ». Commentant tour à tour Kojève, Bataille, Guillaume de Paris, Thomas d’Aquin, von Uexküll, Heidegger, Walter Benjamin, le gnostique Basilide et Titien, il s’interroge ainsi sur la constitution de ce dispositif et son avenir à l’âge de la biopolitique.

Cette lecture de Foucault, à la lumière de Schmitt et de Heidegger, ainsi que son insistance à s’attacher au thème de la « vie nue » (zoé, par contraste avec bios (βίος)), ont donné lieu à de très vifs débats avec les foucaldiens, et plus généralement avec tous ceux qui appréhendent le thème de la biopolitique de manière politique, pour lesquels G. Agamben renaturalise le politique tout en en faisant une instance du négatif ou, au mieux, un « reste » [réf. nécessaire]4.

Ce qui est fascinant de l’invention du «VOILE D’IGNORANCE» par John Rawls dans son livre «la justice comme équité, 1971», c’est de réaliser à quel point, l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire par le tirage au sort, village par village, ville par ville parmi les vies personnelles œuvre d’art en vue de constituer deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) permet de ritualiser la métamorphose œuvre d’art de ce «voile d’ignorance» par le passage obligé du «tirage au sort» , Rawls, imaginant le renversement contraire des étapes propédeutiques à une grammaire universelle des règles de jeu du droit planétaire.

Car de fait, la beauté de l’énigme des «QWALIAS» , le W signant le W de la l’algorithme de la justice social «WOW-T=2.7K», c’est de déposer en axiomatisation d’une démonstration doctorale le fondement abductif suivant: «TOUT LABORATOIRE DE RECHERCHE AYANT DES RÈGLES DE JEU CLAIRES DE NON-TRICHERIE FORMENT EN SOI UNE GRAMMAIRE QUALIENNE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE MULTIVERSIELLES PAR LE JEU DE LANGAGE CONSTRUCTIVISTE MÊME DU DÉPLOIEMENT GRAMMATICAL DES RELATIONS HUMAINES OEUVRES D’ART LES CONSTITUANT.

Prenons notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)…. qui avons chacun et chacune pris la décision de ne pas tricher avec notre vie personnelle œuvre d’art. Non seulement chacun et chacune faisons surgir UN CHAMP CONSTELLAIRE intriquant les désirs en vue de protéger la croissance d’un rêve big bang personnel, mais par le fait même de ne pas tricher en équipe en vue du bien commun, nous convoquons en équipe une grammaire de QWALIAS ayant une majesté de synchroni-vie-té étonnante d’abondance poétique et cela jour après jours sans faille, bien ensemencée par l’usure d’une forme multiversielle DE CE QUE JOHN RAWLS APPELLE LE VOILE D’IGNORANCE.

Sculpter le multivers par la cinquième question issue de la nano-citoyenneté-planétaire (Comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?», c’est en fait déployer l’impossible univers de QWALIAS TRAVERSANT TELLE UNE INTRIKATION QUANTIQUE COSMOLOGIQUE hors temps hors réalité hors servitude au cœur même des relations humaines, objets réseaux de points nodaux traversant la notation en musique comme étant l’âme catégoriale même des multiplicités faisant de toute subjectivité un essentialisme et de toute objectivité un subjectivisme aux délices des formes désasservissantes que constitue le multivers même de toute non-tricherie dans la marche en danse d’errance poétique au service même des errants fantomatiques que constituent les milliards d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre.

De là une métaphysique poïétique in situ qui peut faire le pari d’une ontologie qwalienne universaliste fondatrice d’énigme !/? que constitue toute vie personnelle œuvre d’art en mode d’être-ification par l’onti-Ka-tion eumétrique entre le quali et le multi.

Pierrot vagabond, au nom de par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

Quelle joie ce matin à notre conseil d’administration de la créativité. Depuis 12 ans, nous avons tellement réfléchi sur les règles de jeu qui nous permettraient de ne pas nous blesser dans le jour à jour de notre laboratoire de recherche que maintenant nous arrivons esthétiquement , comme le dit si bien Michel, À NAVIGUER LES OBSTACLES DANS LA JOIE DE VIVRE, et cela 7 matins par semaine, et sans faille, parce que nous laissons Marlene Auld, Michel le concierge et Pierrot vagabond au vestiaire pour permettre à chacun de nos archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond) D’INVENTER L’IMPOSSIBLE AU NOM DES MILLIARDS D’ENFANTS QUI SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE SUR TERRE, SOIT LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Le plan de match se précise…

Le fil d’or du doctorat racontera comment un vagabond chercheur s’est fait de plus en plus petit, telle une camera dont le reset permet une meilleure performance par l’humilité et l’oreille, pour se mettre au service d’un concierge amoureux de sa compagne Marlene la jardinière, concierge dont l’archétype hologrammique correspond étrangement au rêve de George Sand, soit celui de l’émergence d’une philosophie d’en bas sous forme de praxis VENANT D’EN BAS.

La non-tricherie conduisant à la vie personnelle œuvre d’art qui elle pourrait conduire si la tendance se maintient à la nano-citoyenneté-planétaire, puis au prix Nobel de la paix en équipe nous semble passer PAR LE CARNET DU CONCIERGE, ses aphorismes et les quatre questions de toutes vies personnelles œuvre d’art  qui en découlent.

Demain samedi, Michel et moi passerons toute la journée ensemble à la grande fête de Raymond-Louis de 9 heures du matin à minuit le soir… et ce sera pour moi la joie d’entendre publiquement LA CHANSON DU PARDON de Michel sur scène. Marlene filmera sa performance.

LA LOI DES 3 WOWS FONCTIONNE… notre rêve big bang n’en est que mieux protégé parce que nous nous conduisons en PEINTRES respectant bien humblement et parallèlement L’ACTE DE PEINTRE DE CHACUN ET DE CHACUNE.

Pierrot vagabond, au nom de, par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

En vieillissant, les seules larmes que je suis capables de pleurer et je les pleure en abondance, ce sont les larmes de joie, celles de ma grand-mêre Lumina.

Je me sens privilégié. Marlene et Michel me témoigne d’une amitié de cœur à travers leur amour œuvre d’art… je me sens milliardaire.. Ils ont fait de ma vie une condition humaine œuvre d’art. Je leur dois tout.

Le fil d’or de notre doctorat rendra d’ailleurs hommage à leur vision de la non-tricherie et de la beauté du monde par leur rêve individuel et leur rêve de couple. Plus j’avance méthodologiquement dans ce doctorat, plus j’ai besoin que le vagabond céleste y soit inscrit en mineur, comme un témoin ému de larmes de joie devant L’IMPOSSIBLE QUE LA SYNCHRONI-VIE-TÉ du multivers lui offre comme un bouquet de qwalias sous formes de brosses d’être et d’attaques d’être.

On est avec toi Simon… toute notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) on sera avec toi le soir de la St-Jean-Baptiste car c’est en équipe que le rêve big bang de la nano-citoyenneté-planétaire pourra inspirer les humains à s’élever au nom des milliards d’enfants de la planète terre qui se meurent de faim ou de blessures de guerre.

Merci à notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

qu’elle soit dans ton cœur pendant ton discours

Pierrot vagabond
au nom de par et pour
Michel, Marlene et Pierrot

À
Pierre Rochette

Aujourd’hui à 7 h 47

Merci! Pierrot
Je me prépare au discours,
j’y travaille tous les jours.

Je crois bien te la faire parvenir afin que tu puisses me faie résonnace
quelques petitS re calibrage.
Je le ferai parvenir à mon père
idem pour entendre vos voix et vos silences.
et je puisse en filer le wow! pour tous ces rêveurs rêveuse qui rêvent et ceux qui sont en attente de se réaliser.
un discours pour la beauté du monde et que chacun enfile sa paire de botte pour que l’onde se répAnde dans le monde!

à bientôt
Pierrot mon ami
Mon céleste
et compagnon de l’impossible!

Sim

Quel magnifique conseil d’administration de la créativité encore ce matin. Je racontais plus en détail à Marlene et Michel ce que Simon p^répare comme discour le soir du 24 juin 2019, soit le soir de la St-Jean-Baptiste à St-Elie de Caxton…

J’ai dis Mike, c’est la première fois depuis plus de 12 ans maintenant que je suis capable d’exprimer le design dans sa beauté architecturale du rêve de notre équipe de recherche: Faire en sorte que par la beauté de notre rêve big bang l’institut d’intelligence artificielle du Québec crée l’algorithme de justice sociale (wow-t=2.7k?) pour le répandre village par village, ville par ville sur les milliards de téléphones intelligents sur la planète terre ….

pendant que dans un tout petit village, St-Elie de Caxton, quelques conteurs habillent un pays œuvre d’art en devenir par les 4 questions de toute vie personnelle œuvre d’art dans le but de faire de St-Elie de Caxton un gâteau de fête où chaque nano-citoyen-planétaire de ce village sculpte une flamme qui allume les villages des alentours qui eux-mêmes alluments les villages des alentours, jusqu’à ce que la terre entière, village par village, ville par ville, s’enflamme de droits par le tirage au sort universel, village par village, ville par ville, des deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) qui parleront au noms des milliards d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre, convoquant ainsi à une vision pays œuvre d’art par pays œuvre d’art les 193 états féodalisés en ce moment par des monarchies nucléaires au service des armes, des guerres et des paradis fiscaux.

Ce que le grand conteur international Simon Gauthier s’apprête à faire lors de son discours le soir de la St-Jean-Baptiste 24 juin 2019, c’est de faire de St-Elie de Caxton un conte D’UN PAYS OEUVRE D’ART EN DEVENIR.

Cela me touche profondément de réaliser qu’un seul village qui se rêve par deux conteurs (Simon Gauthier, Fred Pellerin) peut engendrer par chaque nano-citoyen-planétaire des conteuses et des conteuses au nom d’un incendie rhizomique et viral, un incendie de bienveillance planétaire… un incendie d’errance poétique pour donner la main aux milliards d,errants fantomatiques criminellement invisibilisés par les errants axiologiques en mal de pouvoir et en guerre les uns contre les autres..

Bonne St-Jean-Baptiste St-Elie de Caxton

Que la poésie de l’impossible ce soir-là prenne soin de toi Simon

Pierrot vagabond, au nom de par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

Le grand conteur international Simon Gauthier est venu passer l’après-midi avec son vagabond céleste, à l’université de Montréal à l’UQAM… * ans maintenant que l’on se voit épisodiquement pour faire le point sur sa créativité à rapport avec son récit philosophique: LE VAGABOND CÉLESTE.

Simon me racontait comment il était pour articuler son discours patriotique, le soir de la St-Jean-Baptiste à St-Elie de Caxton.

Et de me dire: Je vais vous raconter l’histoire d’un gars qui avait un rêve… n’avoir rien. Un jour il raconte un itinérant qui lui dit qu’il l’avait dépassé parce que lui avait moins que rien. Et le vagabond céleste en fut très blessé que quelqu’un ait moins que lui.

Et moi de dire à Simon, tu te rappelle de ça? Quand même… il me semble que j’en ai rarement parlé. Cet hiver-là, je couchais dehors à Montréal… l’itinérant s’appelait Pierre comme moi. Nous mangions tous les deux à l’itinéraire…. Nous étions assis à la même table… Je me suis dit qu’un jour je trouverais bien le moyen d’inverser la situation.

Et de fait, ce jour arriva… j’étais squatter dans un édifice public en rénovation (une ancienne école), je dormais sur un morceau de carton… Et le soir avant le  jour de l’an, j’allai chercher Pierre l’itinérant, l’emmenai dormir à la même place que moi et lui donnai tous mes vêtements, les siens puant horriblement… Cette histoire est racontée sur notre cd maison à Michel et moi avec la chanson «de tim Horton en tim Horton»

Je volai donc le moins que rien à Pierre l’itinérant en le remplaçant par mon rien… et je parti le cœur milliardaire DE MOINS QUE RIEN pour Toronto… pour aboutir à l’armée du salut…. mais ça c’est une autre histoire

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DE TIM HORTON EN TIM HORTON

Quel émouvant conseil d’administration de la créativité, ce matin. Marlene et Michel racontaient leur fin de semaine et moi la mienne.

Je disais à Michel à quel point ses chansons m’émouvaient parce qu’elles avaient été composées par un homme qui n’avait cessé d’aimer sa femme au quotidien, en respectant un code d’honneur , soit celui du respect par la non-tricherie.

De là la qualité des débris de mémoires qui surgissent de sa chanson «le pardon» et des qualis qui y sont enfouies.

J’ai dit Mike, dans notre doctorat, je suggère que l’on prenne chacune des phrases de ta chanson le pardon et qu’on s’en serve pour raconter à la caméra (Marlene et moi hors de l’écran visible, c’est notre choix) l’émergence de débris de mémoires que cela provoque en chacun de nous.

Notre doctorat, méthodologiquement semble de plus en plus s’enligner sur l’axiome suivant: TROIS PERSONNES QUI SE RÉUNISSENT POUR RÉFLÉCHIR SUR LA DÉCISION DE NE PAS TRICHER DANS LEUR VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PEUVENT À ELLES SEULES CHANGER LE MONDE AU POINT D’INSPIRER L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Comme le disait si bien Michel le concierge… «Y a pas deux feuilles pareilles , ni dans un arbre, ni dans une forêt… y a donc pas aussi deux humains pareils ni dans un village, ni dans une humanité….  Serait-il possible que dans la bienveillance, y ait de la place pour tout le monde?

Et moi de dire à Marlene et Michel… c’est en ce sens que dans la non-tricherie, les débris de mémoire finissent par tisser un fil de la condition humaine œuvre d’art.

LA CONDITION HUMAINE OEUVRE D’ART

Voici tout le défi de l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire… faire en sorte que ces deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes), élus par tirage au sort, village par village, ville par ville, en fasse un droit multiversiel pour toutes et tous, et en particulier pour ces milliards d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre parce que les 193 états féodalisés par les monarchies nucléaires commettent impunément des crimes contre l’humanité en n’abolissant pas les armes, les guerres et les paradis fiscaux.

Pierrot vagabond, au nom de par et pour notre équipe de recherche, (Auld, Woodard, Rochette)