Quelle belle soirée!
Mes chers vous deux de trois font la paire!
J’ai raconté en éclaté et en dérape controlée des histoires du vagabond,
J’ai chanté le camionneur et les alumettes.
Une écoute belle et suspendue.
J’ai improvisé sur l’histoire de mme Qui écrivait des petite mots d’amour dans les plats au congélateur pour son mari travailleurà l’usine
Pierrot quelle est le nom de cette dame? Quel village?
j’ai enfilé sur l,avion de Paulos
J’ai improvisé ton épopée de vouloir arrivé à posséder moins que Rien.
Quel beau moment dans l’assemblée, interpellée , sentant le vertige d’humanité vivante en chacun de ces personnes présentes. Ce goût goûté de cette partie que toute être humain porte en lui.
Et j’ai fini le spectacle avec une toune que j’ai écrite.
et ce fut ma partie, menée sans forcer. Les mots coulaient d’eux même …. comme une rivière disponible donne de son eau.
J,ai filé tel un dard frappant le bull eyes
C’était comme faire du cerf-volant.
J’ai compris ce soir le pas que j’ai fait
comme Pierrot qui a accédé au moins que rien
après des années de recherche!
Un moins que rien à retrouver.
J’ai l’impression d’avoir saisi la parole conteuse et l’univers m’a dit ne force pas coule ta parole.
Ne sois pas en représentation
Sois!
Je vous embrasse tout deux!
et 3 de wow
Sim
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RÉPONSE-COURRIEL DE PIERROT-VAGABOND
Quel émouvant témoignage, Simon….
Seul le cœur-quantique-cosmologique se détachant humblement par la beauté de ses débris de mémoire qWaliantés des trois autres stations spatiales orbitant autour de ce cœur quantique-cosmologique ( la station spatiale des 5 sens, la station spatiale du cerveau et la station spatiale du bas-ventre) pour mieux laisser surgir la question multiversielle transmageant le tissu infini de l’espace-temps pour mieux en synchroniser le design:
QUEL RÊVE AS-TU A COEUR D’EN FAIRE UN BIG BANG AU SERVICE DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
Les 4 stations spatiales du corps espace-temps (les 5 sens, le cerveau, le bas-ventre et le cœur) sont trans-intriqués par des qualis… une infinité de milliards de qualis, soit les plus petites singularités impossibles même à imaginer, qui fait que toute personne humaine vit infinitivement l’émergence de la spontanéité-probabilité d’une volonté créatrice bombardée de toutes parts d’images et de transmages, formant autant l’onérisme éveillé des civilisations que celui endormi des ensommeillés (ex: cauchemards).
Mais curieusement, ces qualis lorsqu’ils pénètrent la région du cœur surgissent au cœur même d’une étonnante énigme:
Cette station spatiale n,est pas cablée comme les trois autres… elle est quantique, cosmologique, multiversielle, poreuse… faisant des qualis des qWalias, c’est à dire des transmages cablés pour vivre des phénomènes comme l’intriKha-tion, la décohérence, le coohérence, la recohérence, l’onti-KHA-tion…
Et surtout… la station spatiale du cœur est le siège d’une capacité pour toute personne humaine sur terre de prendre la décision de TRICHER OU DE NE PAS TRICHER.
Curieusement, dès que toute personne humaine sort de l’appétit exploratrice des 5 sens, de l’appétit organisatrice du cerveau (entendement, raison, jugement), de l,appétit dominatif du bas du corps ( plaisir, reproduction, jalousie, envie, intérêt cachés) pour faire un pèlerinage déguenillé au cœur…. dès qu,elle prend la décision de le plus tricher, c’est à dire de donner le contrôle de sa vie soit à la station spatiale des 5 sens, soit à celle du cerveau, soit à celle du bas-ventre, un incitatif quantique-cosmologique lui est offert au cœur même d ela forteresse du cœur.
soit UN CHAMP CONSTELLAIRE où l’ensemble des infinis de milliards de qualias le traversant sont soumis à l’intri-kha-tion des désirs se faisant la guerre au nom d’une ou l’autre des 3 autres stations spatiales et, tels des arbres dans une forêt d’errance poétique s’inclinant devant celui qui, comme dans ma chanson-poème «LA BEAUTÉ DU MONDE» … «SUIS DEVENU, UN ARBRE QUI MARCHE PARCE QU’IL RELÈVE SES RACINES»
alors… et alors seulement…. une infinie singularité sans bord et sans poids, surgit lentement en convokation d’un big bang unique qu’on appelle un rêve big bang.
On reconnaît un rêve big bang avec sa différence à toute autre rêve-désir par une caractéristique: Il provient d’une station spatiale du tissu de l’espace-tems du corps cablée instantanément par la non-tricherie intriqué quanto-cosmologiquement au point ou on assiste à la DISPARITION DE TOUTE CAUSALITÉ DES DÉBRIS-QUALIS DE LA MÉMOIRE DU CORPS QUI FINISSENT PAR SE MÉTAMORPHOSER EN DÉBRIS QWALIAS DE LA MÉMOIRE DU COEUR.
C’est en ce sens que les 6000 pages de mon blogue www.lepaysoeuvredart.ca , on peut les lire comme des d.bris de la mémoire du corps ou se cachent dans les plis même des tissus de l’espace-temps des QUELQUES QWALIAS fondateurs même de la mémoire du cœur. On les reconnaît parce que ces débris de la mémoire du cœur se métamorphoses en TRANSMAGES-ABJETS à la sérendipidité inouie qui dès qu’ils seront catapulcés par la route même du rêve big bang prendront les formes caméléons des MÊMES (Dawkins) des rhyzomes (Deleuxe Gathati) ou des viraux (Auld, Woodard, Rochette) au sens où des milliards et des milliards de corps tissus espace-temps aux 4 stations spatiales qualiatés seront paradigmatisés par un multivers reliés aux 4 questions de la vie personnelle œuvre d’atrt: 1) quel est ton rêve-coeur, 2) dans combien de jours? 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve-coeur? et en quoi ton rêve-coeur prend-il soin de la beauté du monde?
C’est cela un rêve coup de cœur… comme un coup de foudre, comme on tombe soudainement en amour avec sa vie… et c’est alors que surgit l’appel par le rêve-coeur pour le passage du quelque chose au rien, puis du rien au moins que rien, puis du moins que rien au moin que moins que moins que rien… puis… le multiversiel infini à son tour s’incline de ses infinis de big bang comme dans ma chanson «DANS LA BEAUTÉ DU MONDE» où il est dit à la fin
JE TRAVERSERAI L’ÉTERNITÉ
EN MARCHANT
LA NEIGE ET LE VENT…
Tu vois, la dame qui écrivait des mots d’amour sur les lunchs de son mari mis au congélateur, je ne sais ni son nom ni son adresse, car elle était le secret de mon père Roger… Mais je sais que quand mon père est reparti avec moi dans l’auto, avec entre ses cuisses, le pot de confiture de cette dame sorti du congélateur avec un mot d’amitié pour mon père, mon père m’a dit:
N’OUBLIE JAMAIS QUE LES VRAIS ARTISTES SUR CETTE TERRE, CE SONT LES ARTISTES DU QUOTIDIEN.
Salutations des 3 wows ami
Pierrot vagabond, ton céleste
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