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PAINE THOMAS,
1996, (P.9)
(THOMAS PAINE) ET LORSQUE NAÎT UN ENFANT, EN QUELQUE LIEU OU SIÈCLE QUE CE SOIT «LE MONDE EST AUSSI NEUF POUR LUI QU’IL LE FUT POUR LE TOUT PREMIER DES HOMMES »… THOMAS PAINE, DANS SON CÉLÈBRE LIVRE «LES DROITS DE L’HOMME»
FEBRUARY 28, 2018
Bernard Vincent
Thomas Paine
ou la religion de la liberté
aubier biographie 1987
p.199-200
extrait
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2- (P.14-15)
LA FAIM
MARTIN CAPARROS
Buchet. Chastel
Libella, Paris, 2015.
p.13-14
1623,
extrait
« La destruction, chaque année, de dizaine de millions d’hommes, de femmes et d’enfants par la faim constitue LE SCANDALE DE NOTRE SIÈCLE.
Tous les cinq secondes un enfant de moins de 10 ans meurt de faim. Sur une planète qui regorge pourtant de richesses…
Dans son état actuel, en effet, l’agriculture mondiale pourrait nourrir sans problème 12 milliards d’êtres humains, soit deux fois la population actuelle.
Il n’existe donc à cet égard aucune fatalité.
«Un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné» écrit Jean Ziegler, ex-rapporteur spécial des Nations unies sur la question du droit à l’alimentation, dans son ouvrage, Destruction massive.
….
Comment, Bordel, parvenons-nous à vivre en sachant que ces choses-là arrivent?
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3- (P.16)
très cher Simon
C’est à dormir dans les cimetières du Québec que j’ai réfléchi sur les souffrances des enfants enfouies dans leurs petite tombes….
aucun n’avait eu la chance de vivre une vie personnelle œuvre d’art… Un jour, je sors d’une forêt… et je vois briller à l’horizon
une plaque… que j’ai toujouRs…Je l’ai retirée de la croix en vue d’en faire une chanson et de la rapporter… j’ai tenté de la rapporter…. je n’ai jamais retrouvé le chemin.. j’en ai fait une chanson que je ne peux même pas murmurer aujourd’hui sans être envahi par la peine que ressentait Abel Gance dans son film…
Pour moi, être connu, c’est trahir la société des invisibles, des errants fantomatiques en étant récupéré par ces errants axiologiques que constituent ces humains à la recherche d’argent, de biens matériels, de pouvoir, de reconnaissance…et j’en passe… seule ….l’errance poétique est acceptable pour avoir accès à l’énigme de millions d’enfants invisibles et bafoués
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4- (p.18)
27 septembre 2018,
Le soir, à la bibli de l’UQAM, nous sommes quelques chercheurs et chercheuses dont Mado et sa maîtrise sur les contes et les enfants de la rue au Congo… et elle me parle de la réalité des enfants de la rue de son pays…et curieusement, je vois ces millions d’enfants qui s’agitent pour prendre peu à peu le centre du tableau constellaire et du cadre théorique entre la nano-citoyenneté-planétaire et l’ONU.
Quand je me couche sur le plancher, vers 11 h le soir… je dors presqu’instantanément, mais la nuit vers 3h.du matin, je me réveille et comme dans le film d’Abel Gance où les cadavres de la iere guerre mondiale sortent de leurs tombes pour crier le cri de Munch aux vivants,les cadavres des millions d’enfants fantomatisés de la terre se regroupent et fond comme un point vu du fin fond de l’espace sur la terre bleue….
et la question de notre doctorat resurgit neuve, comme une étoile polaire:
QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR LA TERRE, AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?
ET LA RÉPONSE M’APAISE UN PEU
L’INSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
EN CONTRE-POUVOIR ÉQUITABLE
AU 189 ÉTATS HOBBIENS DE L’ONU.
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5- (p.19-20)
.. (FAIM DANS LE MONDE) LE PAYS OEUVRE D’ART? POUR TOUS LES ENFANTS DE LA PLANÈTE
NOVEMBER 11, 2015
La nano-démocratie, c’est la naissance irrévocable de la société civile planétaire…. D’ici 2020, on prévoit que la terre entière sera branchée numériquement.
La différence entre la nation étatique, la nation non-étatique et la société civile planétaire numérique, c’est fondamentalement la plateforme des enjeux…
Toute nation étatique vit des enjeux d’intérêt nationaliste géopolitique, toute nation non-étatique vit un mélange de citoyenneté civile et de multi-identité troublante.
Mais la société civile planétaire numérique de 2020 sera philosophique de par son enjeu fondamental: tous les enfants de la planète et leur droit inaliénable à ne pas mourir de faim, comme de blessures de guerre. Le cœur de tout adulte sur la planète battant nano-démocratiquement au rythme du cœur de tout enfant.
Et c’est peut-être cela un vagabond céleste… un cœur d’enfant dans un corps d’adulte errant poétique l’existence au nom de la beauté du monde.
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1623, WOWWWWWWWWWWWWW
(LA FAIM DANS LE MONDE) MARTIN CAPARROS…SON LIVRE-CHOC …«LA FAIM» ET LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.
APRIL 4, 2017
Une chronique qui pense
un essai qui raconte
un manifeste qui accuse
LA FAIM
MARTIN CAPARROS
Buchet. Chastel
Libella, Paris, 2015.
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p.13-14
extrait
« La destruction, chaque année, de dizaine de millions d’hommes, de femmes et d’enfants par la faim constitue LE SCANDALE DE NOTRE SIÈCLE.
Tous les cinq secondes un enfant de moins de 10 ans meurt de faim. Sur une planète qui regorge pourtant de richesses…
Dans son état actuel, en effet, l’agriculture mondiale pourrait nourrir sans problème 12 milliards d’êtres humains, soit deux fois la population actuelle.
Il n’existe donc à cet égard aucune fatalité.
«Un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné» écrit Jean Ziegler, ex-rapporteur spécial des Nations unies sur la question du droit à l’alimentation, dans son ouvrage, Destruction massive.
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Comment, Bordel, parvenons-nous à vivre en sachant que ces choses-là arrivent?
1624, WOWWWWWWWWWWWWWWW
1629, WOWWWWWWWWWWWW
(FAIM DANS LE MONDE) «LES FAMINES SONT TOUTES CAUSÉES PAR L’HOMME»…SOPHIE LANGLOIS….ICI RADIO-CANADA… ET LA NANO-CITOYENNETÉ PLANÉTAIRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)
APRIL 5, 2017
Les famines sont toutes causées par l’homme
Publié aujourd’hui à 4 h 17
Photo : Reuters/Siegfried Modola
Plus de 3 millions d’enfants meurent de faim chaque année. Ces morts sont évitables, car la famine n’est pas un fléau naturel, mais le résultat de choix politiques.
Un texte de Sophie Langlois
J’ai couvert des révoltes, une guerre civile, des violences électorales, des catastrophes naturelles. Je n’oublierai jamais l’odeur des milliers de cadavres que j’ai côtoyés après le tsunami en Indonésie et l’ouragan Haiyan aux Philippines.
Mais voir un enfant mourir de faim est ce que j’ai vécu de plus difficile.
C’est la pauvreté qui tue
Je demeure hantée par le regard éteint, le visage vieilli de Baraatou, une petite puce de deux ans qui pesait 5,4 kg, le poids d’un bébé « normal » de trois mois. Elle est décédée quelques heures après notre tournage. La sécheresse n’a pas tué Baraatou ni les 70 000 enfants qui sont morts de faim cette année-là au Niger. C’est la pauvreté qui tue. Une sécheresse historique sévit en Californie depuis de longues années. Personne ne meurt de faim là-bas.
Ce qui choque quand tu découvres les ravages d’une famine, comme je l’ai fait en Somalie en 2011 et au Niger en 2010, c’est de réaliser à quel point ces morts sont évitables.
J’ai vu des femmes déterrer à mains nues des racines qu’elles allaient faire bouillir pendant des heures pour nourrir leurs enfants, qui développeront possiblement une diarrhée mortelle de cette soupe douteuse. Alors qu’en ville, à quelques kilomètres de là, les épiceries regorgeaient de nourriture.
Si les enfants meurent de faim, ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de denrées dans leur région, c’est que les mamans n’ont pas un cent pour les acheter.
La faim, comme arme de destruction massive
« Un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné », écrit Jean Ziegler, rapporteur spécial de l’ONU pour le droit à l’alimentation de 2000 à 2008, qui compare la faim à une arme de destruction massive.
« L’agriculture mondiale pourrait nourrir sans problème 12 milliards d’êtres humains. Il n’y a aucune fatalité pour ce massacre quotidien. Il y a une ou deux générations, la faim était considérée comme une catastrophe naturelle. Pire, on disait que la faim protège l’humanité de la surpopulation, une sorte de naturalisation de ce massacre.
Aujourd’hui, tout le monde sait que la faim est faite de mains d’hommes et qu’elle peut être éliminée de cette planète demain matin par des réformes faites par des hommes », explique Jean Ziegler.
Les famines sont toutes « man made ». Une famine n’est pas un fléau naturel, mais le résultat de choix politiques – qui mènent aux conflits – et économiques.
Les règles du commerce
Les règles du commerce mondial favorisent les économies du Nord au détriment des pays pauvres. D’un côté, nous continuons de protéger et de subventionner nos agricultures. De l’autre, on a forcé les pays africains à abandonner leurs programmes d’aide et imposé une ouverture totale de leurs marchés.
Les producteurs africains sont ainsi incapables de concurrencer le prix du riz, de la farine ou du sucre, par exemple, produits en Europe et en Amérique du Nord avec l’aide de subventions.
Nous étouffons leur agriculture, qui ne s’est pas beaucoup développée depuis 30 ans. La très grande majorité des paysans pratiquent encore une agriculture de subsistance, incapables de résister aux changements climatiques, qui engendrent de plus en plus de sécheresses.
Aujourd’hui, 20 millions de personnes, dans quatre pays, risquent de mourir de faim si les pays riches ne donnent pas rapidement 5 milliards de dollars pour les sauver.
Des chiffres effarants, peut-être un peu exagérés, mais les travailleurs humanitaires ne savent plus quoi faire pour attirer notre attention sur cette catastrophe permanente.
Car ces famines ne portent pas toujours leur nom, mais elles sont chroniques. Bon an mal an, 3,1 millions d’enfants de moins de cinq ans meurent de faim, loin des caméras; 3,1 millions d’enfants assassinés.
1799, WOWWWWWWWWWWWWWW
(FAIM DANS LE MONDE).. «POUR LA PREMIÈRE FOIS EN 10 ANS, LA FAIM PROGRESSE DANS LE MONDE» DIXIT ICI RADIO-CANADA
SEPTEMBER 15, 2017
«POUR LA PREMIÈRE FOIS EN 10 ANS, LA FAIM PROGRESSE DANS LE MONDE» dixit ici radio-canada
Cette progression s’explique par l’effet combiné d’une multiplication des conflits, du réchauffement climatique et des difficultés économiques
En 2016, la malnutrition a frappé 815 millions de personnes, soit 11 % de la population mondiale et 38 millions de plus que l’année précédente, indique le rapport 2017 de l’ONU sur l’état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde. Plus de la moitié des personnes concernées – 489 millions – vivent dans des pays en conflit. Avec 20 % de la population accablée par la faim, l’Afrique subsaharienne est la région du globe proportionnellement la plus touchée. En nombres bruts, l’Asie, avec 520 millions de personnes souffrant de la faim, occupe la tête de ce classement.
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La nano-citoyenneté-planétaire
c’est la tâche infinie d’entamer un dialogue avec tout enfant qui va mourir de faim ou de blessures de guerre dans les 15 prochaines minutes et de donner priorité à ce qui n’arrive QU’UNE SEULE FOIS DANS L’HISTOIRE, le désir de faire tomber le camp de concentration de l’injustice historique pour enfin libérer les affamés, les blessés et les perdants du CRI DE MUNCH DES ERRANTS FANTOMATIQUES DE LA PLANÈTE TERRE.
la singularité historique a droit à l’errance nano-poétique.
2429, WOWWWWWWWWWWWWWWW
(FAIM DANS LE MONDE) LA FAMINE AURAIT TUÉ 85,000 ENFANTS AU YEMEN
NOVEMBER 21, 2018
La famine aurait tué 85 000 enfants au Yémen
Publié aujourd’hui à 14 h 07
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Les explications de Frédéric Nicoloff
La famine au Yémen pourrait avoir tué jusqu’à 85 000 enfants de moins de 5 ans depuis l’intervention de la coalition militaire conduite par l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis en mars 2015, selon un rapport de l’ONG Save the Children publié mercredi.
Reuters
L’enquête, qui s’appuie sur des données des Nations unies, parvient à la conclusion que 84 700 enfants souffrant de malnutrition aiguë ont peut-être perdu la vie entre avril 2015 et octobre 2018.
« Nous sommes horrifiés que quelque 85 000 enfants au Yémen aient pu mourir des conséquences de la faim extrême depuis que la guerre a commencé », écrit Save the Children dans un communiqué.