NOBEL, NOBEL, NOBEL, NOBEL
1 : ENJEU DU DOCTORAT (300 MOTS OU MOINS) *** NOBEL, INTRO. ENJEU)
Depuis trop de siècles, des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, sont cruellement victimes de faim ou de blessures de guerre. Comment se fait-il qu’encore de nos jours, les 193 états hobbiens onusiens sous la féodalité de monarchies nucléaires font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant le droit à une vie personnelle œuvre d’art pour tout enfant de cette planète terre, qu’importe sa race, sa couleur de peau ,sa langue ou sa religion? Cette première question conduisant à la suivante : Quelle institution nano-citoyenne-planétaire faut-il donc inventer pour contrebalancer le pouvoir toxique des dirigeants de ces 193 états afin qu’ils cessent de TRICHER criminellement autant qu’onti-KHA-ativement avec leur devoir d’humanité?
C’est dans le sens de ces deux questions que notre doctorat, par le biais de trois archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond) s’axiomatisera d’abord par une réflexion sur la non-tricherie (ier chapitre) pour ensuite construire un algorithme de justice sociale «wow-t=2.7k?» (2eme chapitre) à partir duquel il sera possible d’inventer l’institution de la nano-citoyenneté-planétaire (3eme chapitre) dont notre planète semble avoir terriblement besoin devant la somme des urgences à laquelle elle est confrontée (entre autres, l’ère de l’anthropocène, l’ère de la colère sociétale comme l’ère de l’effondrement économique par émigrations massives )
En conséquence de ces prémisses, l’objectif de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se veut donc le suivant :
D’abord, contribuer systémiquement à la déshobbiation de l’O.N.U. par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents afin de valider politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement ces centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques.
Ce qui constituera, ensuite pour nous, la mise en opérationnalité concrète du voile d’ignorance de John Rawls, en faisant passer de mineur en majeur le tirage au sort précédant les deux assemblées des justes (en mode de voile d’ignorance) en vue d’établir des règles du jeu priorisant une vie personnelle œuvre d’art pour tout enfant de cette terre, et cela sous la mise en aphorisme argumenté de la question philo-politique suivante :
COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
Pierrot vagabond-chercheur
au nom , pour et par
notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)