Audio fil du jeudi 7 février 2019
RADIO DE RADIO-CANADA
Quand la vue manque à l’appel, l’ouïe, le toucher, l’odorat, mais aussi les souvenirs d’images du passé, lorsqu’on a la chance d’en avoir vu, prennent le relais. Autour du documentaire Beauté aveugle, qui explore comment les personnes aveugles vivent la séduction et le plaisir des sens, la réalisatrice Mariane McGraw, la professeure France Poulin et le musicien Vytautas Bucionis Jr expliquent à Catherine Perrin que la société nord-américaine se sert trop peu des sens autres que la vue.
France Poulin, qui a commencé à perdre la vue dans la quarantaine, se sert parfois de souvenirs pour évoquer ce que quelqu’un tente de lui décrire, mais elle se fie maintenant surtout à ses autres sens. « Si je marche avec une amie et que je dis : “Ça sent les fraises et la coriandre”, elle va me dire : “Oui, il y a un étal avec ça dehors.” Elle les a vus, elle sait déjà; moi, c’est avec mon nez [que je découvre mon environnement]. »
«Souvent, je vais prendre le bras d’une personne et, par la texture du tissu, je vais dire : “C’est beau, ce que tu portes.”»
— France Poulin
Inspiration multisensorielle
D’origine lituanienne, Vytautas Bucionis Jr. croit que c’est l’explosion de Tchernobyl qui a causé le cancer qui lui a fait perdre la vue à l’âge de 2 ans. Très tôt, il s’est réfugié dans la musique, mais l’ouïe est loin d’être sa seule source de plaisir.
« Notre environnement est rempli de très belles textures, note-t-il. Si l’on porte attention à toutes les stimulations […] qui s’offrent à nous, je crois qu’on jouit beaucoup plus de la vie. La pluralité des sens fait en sorte qu’on perçoit plus de beauté. En pleine nature, [on trouve] de la richesse en touchant la moindre plante. Ça me donne de l’inspiration multisensorielle. »
Lumière
Mariane McGraw se demandait depuis longtemps comment les non-voyants apprivoisent la nature, l’art et la séduction. « J’avais envie de faire un documentaire lumineux, dit-elle. On n’a pas besoin de perdre la vue pour apprécier les choses autrement. »
Le documentaire Beauté aveugle sera présenté le 10 février à 19 h, le 12 février à 20 h, le 14 février à 20 h, le 13 février à 15 h et le 16 février à 8 h sur AMI-Télé.
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WWW.WOW-T.COM
l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire
Grâce à la déshobbiation de l’O.N.U. par la nano-citoyenneté-planétaire au 21eme siècle, de milliards de téléphones intelligents pourront enfin , et cela par une simple application algorithmique, valider politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter ces milliards d’enfants-errants-fantomatiques, historiquement et cruellement victimes de la faim ou de blessures de guerre, afin que justice puisse être rendue contre ces prédateurs de vies personnelles œuvre d’art que constituent ces dirigeants des ETATS hobbiens onusiens SOUS LA FÉODALITÉ DES MONARCHIES NUCLÉAIRES, mis au banc des accusés pour CRIMES CONTRE LES ENFANTS DE L’HUMANITÉ, en conséquence de leur course aux armements, leurs guerres et leurs paradis fiscaux, et cela au nom de la cinquième question de la vie personnelle œuvre d’art: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
sur Google
Pierrot vagabond
Le carnet du concierge
Marlene la jardinière
enjeu de l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire
de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette
www.wow-t.com
Grâce à la déshobbiation de l’O.N.U. par la nano-citoyenneté-planétaire au 21eme siècle, de milliards de téléphones intelligents pourront enfin , et cela par une simple application algorithmique, valider politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter ces milliards d’enfants-errants-fantomatiques, historiquement et cruellement victimes de la faim ou de blessures de guerre, afin que justice puisse être rendue contre ces prédateurs de vies personnelles œuvre d’art que constituent ces dirigeants des ETATS hobbiens onusiens SOUS LA FÉODALITÉ DES MONARCHIES NUCLÉAIRES, mis au banc des accusés pour CRIMES CONTRE LES ENFANTS DE L’HUMANITÉ, en conséquence de leur course aux armements, leurs guerres et leurs paradis fiscaux, et cela au nom de la cinquième question de la vie personnelle œuvre d’art: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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Merci Pierre pour ton envoi.
Je pensais te renvoyer la balle avec une entrevue avec Bernard Stiegler
en espérant que tu regardes des vidéos de temps à autre:
Robert
Directeur de thèse
Jacques DerridaVoir et modifier les données sur Wikidata
Influencé par
Gilbert Simondon, Jacques Derrida, Edmund Husserl, André Leroi-Gourhan, Gilles Deleuze, Gérard Granel, Platon, Aristote, Sigmund Freud, Martin Heidegger, Friedrich Nietzsche, Paul ValéryVoir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
La Faute d’Épiméthée (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Bernard Stiegler, né le 1er avril 1952 à Villebon-sur-Yvette (Essonne), est un braqueur de banque et un philosophe français qui axe sa réflexion sur les enjeux des mutations actuelles — sociales, politiques, économiques, psychologiques — portées par le développement technologique et notamment les technologies numériques1.
Bernard Stiegler, lors des 11e ROUMICS2 en 2014 à Lille, discutant de la question du « Bien commun » avec Amandine Piron3 ; Michel Bauwens ; Michel Briand4 ; Simon Sarazin5 et Emmanuel Vandamme6.
Fondateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou.
Bernard Stiegler, né le 1er avril 1952 à Villebon-sur-Yvette (Essonne), est un braqueur de banque et un philosophe français qui axe sa réflexion sur les enjeux des mutations actuelles — sociales, politiques, économiques, psychologiques — portées par le développement technologique et notamment les technologies numériques1.
Bernard Stiegler, lors des 11e ROUMICS2 en 2014 à Lille, discutant de la question du « Bien commun » avec Amandine Piron3 ; Michel Bauwens ; Michel Briand4 ; Simon Sarazin5 et Emmanuel Vandamme6.
Fondateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou.
Sommaire [masquer]
1 Éléments biographiques 1.1 Du PCF à la prison
1.2 Les années 1980
1.3 Les années 1990
1.4 Les années 2000
1.5 Vie privée
2 L’œuvre 2.1 Philosophie et technique
2.2 La question de l’homme
3 Publications 3.1 De Bernard Stiegler
3.2 Participations à des revues
3.3 Participations à des films
4 Notes et références
5 Voir aussi 5.1 Bibliographie
5.2 Articles connexes
5.3 Liens externes
Éléments biographiques[modifier | modifier le code]
Du PCF à la prison[modifier | modifier le code]
Il est né d’un père électronicien et d’une mère employée de banque7. Bernard Stiegler grandit à Sarcelles8 il interrompt ses études après la classe de seconde7. Il commence, en 1969, des études (qu’il n’achèvera pas) d’assistant réalisateur au Conservatoire libre du cinéma français et poursuit, en 1973, par un stage d’analyste programmeur à l’IRIA (aujourd’hui dénommé INRIA). Il exerce alors ponctuellement différents métiers : ouvrier agricole, serveur7. Après mai 68 et jusqu’en 1976, il est adhérent au Parti communiste français9.
Dès 1976, il attaque une banque à main armée. Suivront trois autres braquages, dont le quatrième s’achève par son arrestation en flagrant délit par une patrouille de police. Il est condamné à cinq ans de prison, et avouera : « J’aurais pu en prendre pour quinze ans mais j’avais un très bon avocat »10. Entre 1978 et 1983, il est incarcéré à la prison Saint-Michel de Toulouse, puis au centre de détention de Muret. Pendant son séjour carcéral, il suit par correspondance des études de philosophie à l’université Toulouse II-Le Mirail et reçoit le soutien de Jacques Derrida. Il aide aussi des codétenus à passer le baccalauréat. Plus tard, dans un essai publié en 2003 intitulé Passer à l’acte, il évoque cette incarcération, provoquée par un « passage à l’acte » accidentel, et surtout la véritable ascèse qu’il s’est imposée pour sa formation philosophique, ce qu’il nomme « mon devenir-philosophe en acte », qui « fut l’effet d’une anamnèse produite par une situation objective dans le cours accidentel de mon existence. […] cinq années de pratique philosophique, de phénoménologie expérimentale, et de passage aux limites de la phénoménologie, après ce “passage à l’acte” qui n’avait, en soi, strictement rien de philosophique. On doit toujours être prêt à philosopher à mort, comme le fait Socrate, et philosopher dans le mourir qu’est une vie ; mais “une vie”, cela veut dire ici une existence et une facticité, c’est-à-dire une accidentalité. »11
En 1983, il est consultant au cabinet TEN, spécialisé dans les questions de développement technologique et urbain.
En 1984, il est élu pour six ans directeur des programmes de recherche au Collège international de philosophie puis, en 1985, chargé par le ministère de la Recherche d’une étude sur les enjeux des technologies de l’information et de la communication.
En 1987, il conçoit l’exposition « Mémoires du futur » et en assure le commissariat au Centre Georges-Pompidou.
Enseignant-chercheur à l’Université de technologie de Compiègne en 1988, Bernard Stiegler est chargé d’un séminaire à l’École d’architecture de Marseille-Luminy, sur les instruments de communication assistée par ordinateur et sur l’image numérique.
En 1989, il est chargé de constituer et présider un groupe de recherches auprès de la Bibliothèque nationale de France pour la conception de postes de lecture assistée par ordinateur. Ce travail donnera lieu à de nombreuses publications, et à la réalisation d’un prototype industriel par la société AIS Berger-Levrault. Un changement de gouvernement et un changement de direction à la BNF, en 1993, interrompent le projet.
Les années 2000
Bernard Stiegler en 2014, en conversation avec Michel Bauwens, théoricien du Pair à pair, auteur et conférencier sur des sujets technologiques et culturels proches de ceux traités par Stiegler.
Bernard Stiegler poursuit son travail sur le numérique et la société, et publie de nombreux ouvrages.
En 2002, il est nommé directeur de l’Institut de recherche et coordination acoustique/musique (IRCAM)14. Il y reste jusqu’au 1er janvier 2006, date à laquelle il devient Directeur du développement culturel du Centre Pompidou15.
Il est nommé pour trois ans membre du Conseil national du numérique (CNN) en janvier 201316.
Il est membre du Comité d’Orientation et de Prospective du Forum Vies Mobiles17, “think tank” de la SNCF.
L’œuvre[modifier | modifier le code]
Philosophie et technique[modifier | modifier le code]
Selon Bernard Stiegler, la philosophie grecque se constitue en perdant la question de la technique. C’est en reléguant ce qu’elle surnomme la technique à un simple dehors que la philosophie crée ce dedans, cette enceinte de savoir plein à laquelle elle s’identifie. La philosophie grecque s’articule en se démarquant de ce qu’elle surnomme la technè, dont s’inspirent les sophistes. Ce dehors est supposé ne contribuer en rien au savoir plein du dedans, et n’a par conséquent de statut que comme auxiliaire. Le philosophe peut bien se servir de la technique (de l’écriture, par exemple), mais la technique n’est pas supposée participer à la constitution de la vérité philosophique. La technique n’a rien d’original ou d’originaire, elle est toujours dérivée, et elle est donc la supposition même de l’origine (la vie et le savoir pleins).
Toute « pensée » de la technique excède nécessairement les limites de la philosophie. Une approche « pensante » de la technique ne peut que toucher aux bords de la pensée, ne peut que mettre en péril les schémas philosophiques.
La question de l’homme[modifier | modifier le code]
Selon Stiegler, la technique doit être appréhendée comme une constituante anthropologique. La technicité participe originairement à la constitution de l’homme (l’hominisation). C’est pourquoi l’homme n’a d’essence que par accident : « L’homme est cet accident d’auto mobilité que provoque une panne d’essence ». L’homme est ce vivant qui n’a de qualités que dans un ajout originaire d’artificialité. Son essence est faite d’artefacts. Sa nature est originairement secondaire. Si l’essence de l’homme (sa destination, ses fins) est « artéfactuelle », elle est toujours sujet de débat, de controverse, de polémique et même de guerre : les hommes ne peuvent que se disputer sur leurs qualités. La technicité de l’homme contient toujours le risque du combat, amical ou belliqueux. Ce risque est sans fin.
C’est ainsi que la constitution technique (ou factice) de l’homme fait la nature politique de l’homme : la technicité, c’est la question de l’essence de l’homme (fins, destination, origine : des questions philosophiques, donc), ainsi que la question politique (comment vivre ensemble ?).
Publications[modifier | modifier le code]
(Voir aussi bibliographie sur le site d’Ars Industrialis19.)
De Bernard Stiegler[modifier | modifier le code]
La Technique et le temps, tome 1 : La Faute d’Épiméthée, Paris, Galilée, 1994 (ISBN 2718604409)
La Technique et le temps, tome 2 : La Désorientation, Paris, Galilée, 1996 (ISBN 2718604689)
Échographies de la télévision, entretiens filmés avec Jacques Derrida, 1996 (ISBN 2718604808)
La Technique et le Temps, tome 3 : Le Temps du cinéma et la Question du mal-être, Paris, Galilée, 2001 (ISBN 2718605634)
Passer à l’acte, Paris, Galilée, 2003 (ISBN 2718606169)
Aimer, s’aimer, nous aimer : du 11 septembre au 21 avril, Paris, Galilée, 2003 (ISBN 2718606290)
De la misère symbolique, tome 1 : L’Époque hyperindustrielle, Paris, Galilée, 2004 (ISBN 2718606355)
Philosopher par accident, entretiens avec Elie During, Paris, Galilée, 2004 (ISBN 2718606487)
Mécréance et Discrédit, tome 1 : La Décadence des démocraties industrielles, Paris, Galilée, 2004 (ISBN 2718606606)
avec Nicolas Donin, dir. et al., « Révolutions industrielles de la musique », Cahiers de médiologie no 18, 2004 (ISBN 2213621411)
De la misère symbolique, tome 2 : La Catastrophe du sensible, Paris, Galilée, 2005 (ISBN 2718606347)
Constituer l’Europe, tome 1 : Dans un monde sans vergogne, Paris, Galilée, 2005 (ISBN 2718606894)
Constituer l’Europe, tome 2 : Le Motif européen, Paris, Galilée, 2005 (ISBN 2718606908)
Mécréance et Discrédit, tome 2 : Les Sociétés incontrôlables d’individus désaffectés, Paris, Galilée, 2006 (ISBN 2718607068)
Mécréance et Discrédit, tome 3 : L’Esprit perdu du capitalisme, Paris, Galilée, 2006 (ISBN 2718607157)
Des pieds et des mains. Petite conférence sur l’homme et son désir de grandir, Paris, Bayard, 2006 (ISBN 2227475668)
La Télécratie contre la démocratie. Lettre ouverte aux représentants politiques, Paris, Flammarion, 2006 (ISBN 2082105695)
avec Marc Crépon, George Collins et Catherine Perret, Réenchanter le monde : la valeur esprit contre le populisme industriel, Paris, Flammarion, 2006 (ISBN 2082105857)
avec Marc Crépon, De la démocratie participative : fondements et limites, Paris, Mille et une Nuits, 2007 (ISBN 2755500336)
Prendre soin, de la jeunesse et des générations, Paris, Flammarion, 2008
Économie de l’hypermatériel et psychopouvoir, Entretiens avec Philippe Petit et Vincent Bontems, Paris, Mille et une Nuits, 2008
avec Alain Giffard et Christian Faure (historien), Pour en finir avec la mécroissance : quelques réflexions d’Ars industrialis, Paris, Flammarion, 2009
Pour une nouvelle critique de l’économie politique, Paris, Galilée, 2009
Repenser l’esthétique, pour une nouvelle époque du sensible, in C. Tron (dir.), Esthétique et société, Paris, L’Harmattan, 2009
avec Serge Tisseron, Faut-il interdire les écrans aux enfants ?, Paris, Mordicus, 2009
« La mécroissance », in Regards sur la crise : réflexions pour comprendre la crise… et en sortir, ouvrage collectif dirigé par Antoine Mercier, avec Alain Badiou, Miguel Benasayag, Rémi Brague, Dany-Robert Dufour, Alain Finkielkraut, Élisabeth de Fontenay et al., Paris, Éditions Hermann, 2010
Ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue, de la pharmacologie, Paris, Flammarion, 2010 (ISBN 9782081220355)
L’École, le numérique et la société qui vient, avec Denis Kambouchner, Philippe Meirieu, Julien Gautier, Guillaume Vergne, Paris, Fayard/Mille et une nuits, 2012
États de choc – Bêtise et savoir au XXIe siècle, Paris, Fayard/Mille et une nuits, 2012 (ISBN 9782755506457)
Pharmacologie du Front National, suivi du Vocabulaire d’Ars Industrialis par Victor Petit, Paris, Flammarion, 2013
(dir B. Stiegler) Digital studies: organologie des savoirs et technologies de la connaissance, FYP Editions, 2014
La Société automatique : 1. L’avenir du travail, Paris, Fayard, 2015, 300 p., (ISBN 978-2213685656)
L’emploi est mort, vive le travail! entretien avec Ariel Kyrou, Paris, Fayard/Mille et une nuits, 2015, 118 p., (ISBN 978-2755507461)
Dans la disruption : Comment ne pas devenir fou ?, Paris, Les Liens qui Libèrent, 2016, comprenant aussi Entretien sur le christianisme (23 avril 2008), avec Bernard Stiegler, Alain Jugnon et Jean-Luc Nancy (ISBN 979-1020903624)
La toile que nous voulons, sous la direction de Bernard Stiegler, avec des textes de Julian Assange, Bernard Stiegler, Evgeny Morozov, Dominique Cardon, Paul Jorion, François Bon, Thomas Berns, Bruno Teboul, Ariel Kyrou, Yuk Hui, Harry Halpin, Pierre Guéhenneux, David Berry, Cristian S. Calude, Giuseppe Longo, Paris, FYP Éditions, collection « Nouveau monde industriel », 2017 (ISBN 978-2364051478)
La Technique et le temps. 1. La faute d’Épiméthée — 2. La désorientation — 3. Le temps du cinéma et la question du mal-être. Suivis de Le nouveau conflit des facultés et des fonctions dans l’Anthropocène, Paris, Fayard, 2018, 970 p. (ISBN 978-2213700878)
Qu’appelle-t-on panser ? 1. L’immense régression, Paris, Les Liens qui libèrent, 2018
Participations à des revues[modifier | modifier le code]
La sculpteur Johanne Roussy de Sept-iles, (la femme-caribou) est venue me rendre visite à mon bureau de recteur poétique de l’UQAM… quelle joie de rire ensemble après plusieurs mois d’incubation pour elle consacrés à son projet de maîtrise.
Finalement, je me suis mis à lui raconter comment je voyais mes derniers vagabondages…
Quand je ferme les yeux, je me vois marcher avec mon vieux chapeau, ma barbe blanche et mon bâton de pèlerin de Trois-Rivières à La Tuque puis de La Tuque à Trois Rivières, en enfonçant mes pas pour faire disparaître les traces de mon passage sur terre.
Mais pour me reposer, comme j’ai 70 ans, j’arrête à chaque club de l’âge d’or de chaque petit lieu pour jouer aux cartes ou à la pétanque… ce que je ne me suis jamais permis dans ma vie….
Je m’imagine rencontrer un vieux couple dont le fils est guide de canot sur la rivière St-Maurice…
et là comme le poète Ovide avant de mourir, je traverse bien enfoui dans le canot la rivière St-Maurice de Trois-Rivières à La Tuque avec ma naissance qui me salut d’une berge et la mort qui me salue de l’autre, les deux me disant…. RÊVE LE BIG BANG DU MULTIVERS COMME LE MULTIVERS A TOUJOURS RÊVÉ TON BIG BANG… etle guide qui me chante comme un chant des coureurs des bois dans leurs canots des voyageurs…
JE TRAVERSERAI
L’ÉTERNITÉ
EN MARCHANT
LA NEIGE ET LE VENT.
Par l’invention du champ constellaire de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), tout le flottement paradigmatique des étiquettes sous leur dynamique abductive-attractive en mode non seulement d’imagination pure, mais de synchroni-vie-té du multivers même, LA DOUBLE EXPLORATION ÉPISTÉMIQUE (celle des archétypes hologrammiques versus la symbiose quanticative d’un multivers aux rêves big-bang dialoguant par des brosses d’être et des attaques d’être) pose de nouveaux défis épistémologiques autant AU TRILEMME DE FRIES QU’À LA FALSIBILITÉ DU POST-POSITIVISME DE POPPER.
Quand Fries interroge le problème de la base empirique de l’épistémologie contemporaine, il soulève trois apories
1) il est interdit d’accepter des énoncés scientifiques comme des dogmes.
2) les arguments conformes au raisonnement logique conduit à UNE RÉGRESSION À L’INFINI.
3) le retour au psychologisme prenant pour base des expériences perceptives reste fragile (données des sens, expérience élémentaire, énoncé de base, énoncé protocolaire, relativisme de base et solipsisme méthodologique)
Popper de son côté espère échapper aux dites apories par le critère de falsibilité…
sauf que par l’invention du champ constellaire et du flottement abductif attractif des étiquettes, seule la synchroni-vie-té multivers-vies personnelles œuvre d’art semble ouvrir de nouveaux horizons à la non-tricherie par le rêve big-bang d’un multivers quantique-cosmologique aux aires épistémologiques inédites.
VOCABULAIRE
TECHNIQUE ET ANALYTIQUE
DE L’ÉPISTÉMOLOGIE
Robert Nadeau
1999
p.22-23
extraits
1) ARGUMENT SCIENTIFIQUE EN FAVEUR DU LIBRE ARBITRE.
Traditionnellement, la philosophie considère que le comportement moral n’est possible que dans la mesure ou l’être humain dispose bel et bien de son libre-arbitre. Or, plusieurs auteurs, dont l’astronome et physicien anglais Sir Arthur Stanley Eddington, croient que LE PRINCIPE D’INCERTITUDE rend le libre arbitre plausible en montrant que le monde n’est pas entièrement déterminé.
Si, au niveau subatomique tout au moins, des lois statistiques doivent remplacer les lois causales, ce pourrait être le signe, selon ces auteurs, QU’IL EXISTE DES ÉVÉNEMENTS NON CAUSALEMENT DÉTERMINÉS et dont une explication satisfaisante n’est possible QU’EN FAISANT INTERVENIR LA VOLONTÉ HUMAINE, C.A.D. la volonté des agents.
2) ARGUMENTS CONTRE LE MATÉRIALISME
Voici quatre arguments souvent invoqués contre le matérialisme sur la base DE LA THÉORIE DE LA RELATIVITÉ.
1) L’univers réel n’est pas tridimentionnel et euclédien, mais quadri-dimentionnel et non-euclédien.
2) La matière peut-être transformée en UNE ENTITÉ NON MATÉRIELLE: L’ÉNERGIE.
3) Des propriétés non-matérielles comme LA COURBURE DE L’ESPACE peuvent produire des mouvements réels de corps matériels lourds.
4) La théorie de la rellativité ne traite pas du mouvement objectif des corps matériels, MAIS DES ÉTATS MENTAUX ET SUBJECTIFS DES OBSERVATEURS. , c.à.d. des IMPRESSIONS SENSIBLES PRODUITES par des objets physiques sur les observateurs individuels.
Pour Frank (1957), ces quatre arguments sont fondés sur «une interprétation métaphysique» (au sens commun de l’expression) de la théorie de la relativité: Dans 1… «est» équivaut au terme «exister» dans le langage commun , où on dit des objets de notre expérience quotidienne qu’ils «existent»; dans 2, «matière» est interprété au sens courant; Dans 3, c’est «non-matériel» qui est pris au sens courant; alors que dans 4, on réduit la notion de système de référence à celle d’observateur, tel que l’on entend ce dernier terme dans le langage de sens commun
Le passage de la lettre «K» du 1000 pages d’essai philosophique (Monsieur 2.7k) à celui des 3 lettres «K» de la marche à l’O.N.U. numérique des trois archétypes (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond) constituent selon Gaelle Eteme doctorante en sociologie «UNE MISE EN TEXTURE ONÉRIQUE DU RÉEL».
Je ne peux que lui donner raison…. Car la construction architectonique des trois chapitres du doctorat en argumenteront le fil d’or même de la nano-citoyenneté-planétaire, au sens où tout cerveau issu de la vie personnelle oeuvre d’art et de ses 4 questions se vivra comme UN ASTRONAUTE DANS L’INFINI DE SON CORPS», ouvrant ainsi son «micro -t (moins la tricherie)» phénoménologique à une quantication sociologique d’un événement du réel qui constitue une masse critique de vies personnelles œuvre d’art.
En ce sens,
Par le biais d’une invention méthodologique (les 3 wow), ancrée dans un arc-en-ciel kanticatif découlant d’une double posture épistémologique (les 3 archétypes hologrammiques de Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond situant le cri de Munch de l’humain en dialogue avec son rêve big bang), notre équipe de recherche a peu à peu dessiné une nouvelle théorie du concept, soit celle découlant D’UN CHAMP CONSTELLAIRE où les étiquettes en mode attractives quantiques-cosmologiques événementielles évacuent leurs attribuent essentiels pour ne retenir que les résidus granulés et poreux découlant de la dynamique du design, d’où découle finalement l’algorithme social même de la future invention open-source de la nano-citoyenneté-planétaire…
WOW-T=2.7K?
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Plus de 150 heures d’archives, 6000 pages de blogs, 167 étiquettes glossairiques nous amènent donc du « roman du numérique primaire du ier chapitre de ce doctorat issu du 1000 pages monsieur 2.7k? (Gaelle) à la marche à l’O.N.U des trois lettres K où la personne humaine dématérialisée de son esclavage vis-à-vis les traditions, la langue, la race, la couleur, se permet enfin d’imaginer des règles du jeu universelles pour que plus aucun enfant ne meure de faim ou de blessures de guerre sur terre, par L’INVENTION MÊME DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.
Sans rien changer du réel
UNE COUCHE SUPPLÉMENTAIRE D’INTELLIGENCE
NANO-CITOYENNE-PLANÉTAIRE PAR LE BIAIS
DE MILLIARDS DE TÉLÉPHONES INTELLIGENTS
EN MODE D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
s’ouvre en mode open-source sur l’impossible quanticatif.
Montréal pressenti pour accueillir un bureau de l’ONU
JOËL-DENIS BELLAVANCE
La Presse
(Ottawa) En pleine réforme administrative, l’ONU souhaite établir quatre centres de services partagés à l’extérieur de son siège new-yorkais. Et Montréal pourrait en accueillir un.
Marc-André Blanchard, ambassadeur du Canada aux Nations unies, en novembre 2016
L’Organisation des Nations unies (ONU) souhaite établir des racines plus profondes à Montréal, attirée notamment par la main-d’oeuvre bilingue qualifiée qu’offre la métropole et ses avancées dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Montréal fait partie d’une liste de quatre villes qui ont été retenues par le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, afin d’accueillir un des centres de services partagés que l’organisation internationale souhaite établir en dehors de son siège social de New York dans le cadre d’une réforme administrative visant à réduire ses coûts de fonctionnement.
Le secrétaire général Guterres a entre les mains un rapport recommandant que la ville de Montréal soit choisie pour accueillir un tel centre pour la région des Amériques. Les autres villes qui pourraient se voir attribuer un centre du même acabit sont Nairobi, capitale du Kenya, pour la région de l’Afrique ; Budapest, capitale de la Hongrie, pour la région de l’Europe ; et Shenzhen, ville du sud-est de la Chine, pour la région de l’Asie, selon des informations obtenues par La Presse hier.
Une décision concernant cette réforme administrative doit être prise par la Cinquième commission, une entité de l’ONU chargée des questions administratives, au plus tard en mars, a indiqué hier l’ambassadeur du Canada aux Nations unies, Marc-André Blanchard, précisant que le centre pourrait ouvrir ses portes à Montréal en 2020 et pourrait compter une centaine d’employés en tout.
Au départ, la ville de Mexico semblait être en position de tête pour obtenir le centre pour la région des Amériques, mais Montréal a pu lui damer le pion au cours des derniers mois grâce aux efforts déployés par les membres de la mission canadienne à l’ONU et à la présentation bien ficelée faite par Montréal International avec l’appui de la Ville de Montréal et du gouvernement du Québec. Si Montréal obtient un tel centre, les autorités canadiennes se sont engagées à payer les frais de location des bureaux.
Si cette réforme devait aller de l’avant, Montréal obtiendrait ainsi une troisième entité des Nations unies sur son territoire, après l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) et le Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique.
« Une ville de calibre mondial »
Dans une entrevue accordée à La Presse, hier, entre deux rencontres aux Nations unies, M. Blanchard a soutenu que Montréal disposait de quelques atouts qui font en sorte que la métropole a la cote auprès des dirigeants de l’ONU. « Cela confirme que Montréal est une ville hôte de calibre mondial dans le contexte onusien », a affirmé l’ambassadeur.
Il a souligné que Montréal jouissait d’une position avantageuse en raison de sa main-d’oeuvre bilingue qualifiée – le français et l’anglais étant les deux langues de travail de l’ONU -, sans compter que nombre de travailleurs maîtrisent souvent une troisième langue. Montréal a également la cote parce qu’il est devenu une plaque tournante en matière d’intelligence artificielle en peu de temps, a-t-il dit.
Aussi, le Canada est un ardent défenseur du multilatéralisme sur la scène internationale – une position qui est fort appréciée à New York, a souligné M. Blanchard.
« La réforme de l’ONU est une priorité pour le secrétaire général. Donc, nous travaillons de près sur cette réforme. Mais il est à prévoir qu’il va y avoir des débats et de la diplomatie durant les prochaines semaines entre les gens qui sont favorables à cela et ceux qui auraient peut-être souhaité des recommandations différentes », a dit M. Blanchard.
« Urgence d’agir »
Les centres qui sont proposés permettraient de rationaliser les dépenses de l’ONU grâce, par exemple, à la centralisation des services aux agences et aux secrétariats touchant l’administration, les ressources humaines, la comptabilité et les services informatiques. Une décision doit être prise rapidement, car la réforme administrative doit permettre à l’ONU de réaliser des économies de 53 millions de dollars durant les cinq prochaines années, et de 23 millions de dollars par année par la suite.
« Compte tenu de la situation financière précaire des Nations unies, il y a une urgence d’agir dans ce sens-là. Le rapport du secrétaire général recommande ces quatre villes », a dit M. Blanchard, en poste depuis 2016.
« Mais la Cinquième commission doit prendre une décision par consensus. Cette commission est composée de 193 États membres des Nations unies, et elle doit entériner la recommandation du secrétaire général, ce qui n’est pas du tout un automatisme. »
– Marc-André Blanchard, ambassadeur du Canada aux Nations unies
Au départ, 63 villes ont été évaluées par une firme de consultants pour accueillir un des quatre centres. Parmi elles, 39 villes répondaient aux exigences techniques minimales (main-d’oeuvre locale qualifiée, coûts de fonctionnement et pertinence de l’emplacement). En fin de compte, 19 États membres ont confirmé qu’ils étaient prêts à offrir des incitations financières qui permettraient à l’ONU de réduire ses coûts de fonctionnement.
J’ai 70 ans…. si j’avais à vagabonder la beauté du monde demain matin, je marcherais de Montréal à La Tuque pour ensuite revenir de La Tuque à Montréal pour ensuite repartir de Montréal à La Tuque pour ensuite revenir de La Tuque à Montréal….
Simplement, doucement, humblement, j’enfoncerais le sillon qui me mène à rebours à mon enfance…. à ma naissance… en regardant les étoiles la nuit et la pluie chaude sous le soleil torride le jour, les glaces sculptées de la rivière St-Maurice la nuit et les tempêtes de neige impossibles le jour…..
Et j’effacerais toute trace de mon passage sur terre… pour honorer ces milliards d’ errants fantomatiques qui ont eu si faim ou si froid….
je dormirais dans les cimetières… je n’écrirais plus… mais je lirais…. comme je le faisais jadis quand ma guitare ne contenait qu’un livre que j’échangeais dans les maisons qui m’accueillaient contre un autre…
N’être que le vent des amours perdus… Un simple bâton de pèlerin pour me protéger des animaux sauvages…. un vieux chapeau, les cheveux blanchis par la beauté du monde….
Je me rends compte que plus je vieillis, plus les silences de mon grand-père Lefebvre remplacent les mots pour aller plus loin dans la vie de mon grand-père Lucien et mon oncle Paulo…
Retourner sur les pas de son enfance pour en effacer les traces dans mon cerveau… par pure poésie….
peut-être…
disparaître comme un coucher de soleil… L’horizon étant garant de liberté des aurores enlunissants.
Que la puissance de la synchroni-vie-té d’un rêve big bang qui ne triche pas avec l’algorithme social «wow-t=2.7k?» m’apparaît quantiquement-cosmologiquement ahurissante.
Au conseil d’administration de la créativité de ce matin, je racontais à Marlene et Michel qu’une employée de l’UQAM est allé voir le spectacle de Fred Pellerin à Longueuil samedi soir dans une salle de 900 personnes… et que non seulement il chante LA CHANSON DU CAMIONNEUR en rappel, mais en surcroit, …. il raconte mon histoire.
2 heures plus tard, Michel (un étudiant de l’UQAM) vient me raconter qu’il est allé voir le spectacle de Fred Pellerin non pas samedi soir à Longueuil.. mais dimanche après-midi en supplémentaire à Longueuil (dans une salle de 900 personnes) et me raconte la même histoire… Fred parle de moi et chante la chanson du camionneur en rappel…
Mais le plus étonnant, c’est que Michel le concierge à son travail a reçu la visite d’un collègue de travail qui lui aussi est allé voir le même spectacle de Fred à Longueuil et de dire à Michel… Fred a chanté la chanson de ton ami Pierrot le vagabond…
La synchroni-vie-té… semble vouloir me tsunamiser au cœur même de ma quête d’anonymat d’un chercheur dédié aux enfants qui meurent de faim ou de blessures de guerre sur terre…
Bien sûr, j’aimerais bien que notre équipe puisse être accepter comme artistes en résidence au nouvel institut québécois de l’intelligence artificielle pour créer par la puissance des algorithmes en application sur des milliards de téléphones intelligents la nano-citoyenneté-planétaire.
Cela fait presque 2 ans maintenant que nous attendons que cet institut ouvre ses portes…
Mais il n’est pas dans mes valeurs de me vendre, ni dans celle de notre équipe de nous vendre…
mais plutôt que notre projet humanitaire soit si inspirant que l’on veuille nous découvrir et travailler en équipe juste et équitable avec nous….
C’est en ce sens que la marche à l’O.N.U pour y déposer la charte de la nano-citoyenneté-planétaire en juin 2020 ou juin 2021 (faisant suite au manifeste de la nano-citoyenneté-planétaire que Michel inscrira sur Wikipédia) se veut une couche d’intelligence supplémentaire (dixit Michel le concierge) dans le but et le seul but de sensibiliser la planète entière est ses monarchies nucléaires de donner aux enfants le droit à une vie personnelle œuvre d’art et cela dans des pays qui convergent vers un rêve de pays œuvre d’art habités au niveau éducationnel par les 4 questions de la vie personnelle œuvre d’art.
Notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) travaillons depuis maintenant près de 11 ans à la mise en théorisation de la nano-citoyenneté-planétaire…. par les 3 wows… Nous ne nous sommes jamais chicanés ne fusse une seule fois en 11 ans….
Que la lumière sociale s’allume soudainement sur ma personne et ma personne seule plutôt que sur l’équipe m’apparaît personnellement plus inconfortable qu’autre chose… mais Fred autant que Simon Gauthier (le vagabond céleste) sont des artistes intègres, de bonne foi…. et Marlene et Michel ne m’en tiennent pas rigueur. Je n’ai rien fait pour que cela m’arrive… Je suis d’abord un gars d’équipe.
bon… il est temps de relever les manches…
A moi de mieux faire connaître la profondeur archétype hologrammique des deux autres membres de l’équipe…. Parce que Marlene et Michel ont pris soin de mon rêve avec la même élégance intellectuelle et la même loyauté avec laquelle j’ai pris soin du leur… et c’est cela la beauté du monde… PRENDRE SOIN DU RÊVE D’UNE AUTRE PERSONNE SANS INTÉRÊT PERSONNEL CACHÉ.
RETOURNER À L’OEUVRE DE JEAN GIONO
Il est temps de creuser l’œuvre de Jean Giono (dans une nieme lecture) toute la beauté de l’archétype de Marlene la jardinière s’y trouve intuitionnée abductivement…
À SUIVRE…
puisque ce blogue ce veut une poïétique événementielle (dans le sens de Paul Valerie et de Paul Ricoeur) où toutes les traces du 6000 pages témoignent du -t (la non-tricherie) de notre engagement envers les enfants de la planète.
François Dosse
Renaissance de l’événement
un défi pour l’historien:
entre sphinx et phénix
p.173
extrait
1) Les événements ne sont décelables qu’à partir de leurs traces, discursives, ou non.
2) Sans réduire le réel historique à sa dimension langagière, LA FIXATION DE L’ÉVÉNEMENT, SA CRISTALLISATION s’effectue À PARTIR DE SA NOMINATION.
3) Il se constitue une relation tout à fait essentielle entre LANGAGE ET ÉVÉNEMENT qui est aujourd’hui largement prise en compte et problématisée par les courants de l’ethnométhodologie , de l’interactionnisme et, bien sûr, par l’approche herméneutique.
4) TOUS CES COURANTS CONTRIBUENT À JETER LES BASES D’UNE SÉMANTIQUE HISTORIQUE.
5) Celle-ci prend en considération LA SPHÈRE DE L’AGIR et rompt avec les conceptions physicalistes et causalistes.
6) LA CONSTITUTION DE L’ÉVÉNEMENT EST ALORS TRIBUTAIRE DE SA MISE EN INTRIGUE.
7) Elle est la médiation qui assure la matérialisation du sens de l’expérience humaine du temps « aux trois niveaux de sa préfiguration pratique, de sa configuration épistémique et de sa reconfiguration herméneutique.»
8) Elle se substitue à la relation causale de l’explication physicaliste.
9) Ricoeur insiste sur l’importance du récit en tant que médiation tenant compte de l’événement, mais aussi sur la relation active de celui qui l’écrit. D’où sa préférence pour la notion de «mise en intrigue» par rapport à celle d’intrigue ou encore son choix de la notion D’AGENCEMENT qu’il substitue , dans un climat pourtant très structuraliste, LA NOTION DE SYSTÈME, pour en saisir la dynamique.
10) La médiation opérée par la mise en intrigue se déploie à plusieurs niveaux. Elle établit un pont entre L’ÉVÉNEMENT DANS SA SINGULARITÉ ET L’HISTOIRE ENVISAGÉE COMME UNE TOTALITÉ ENGLOBANTE ET SIGNIFIANTE. Elle joue un rôle majeur pour agencer le particulier et le général. ;l’accidentel et l’historique.