Le sens en soi reliant lumineusement le multivers et ses dimensions qualiennes précèdent l’humain comme le monde précède la naissance et la mort de la personne humaine œuvre d’art.
Comment ne pas être émerveillé devant les étiquettes de la naissance et de la mort, qui sous la puissance cosmogonique du champ constellaire multivers de la non-tricherie, redessinent leur position des deux côtés de la rive héraclienne du devenir.
Le rêve big bang descend la rivière qui monte pendant que sur les berges, des feux de camps de naissances éruptives tracent un arc-en-ciel avec les morts de l’autre rives qui se dévoilent sous forme de braise…
Les qualias sont dans les feux de joie des naissances d’une rive tout autant que dans les braises des feux de cendre qui soupirent.
Le vagabond céleste, dans sa marche pour serrer la main des rêveurs, ne fut que sens parce que non-sens… si je prends soin de l’univers, Est-ce que l’univers va prendre soin de moi?
C’est en dormant certains soirs dans les cimetières du Québec que j’en arrivai à faire la paix avec le point d’interrogation, source œuvre d’art de l’algorithme social: wow-t=2.7k?
Toute personne humaine œuvre d’art sur terre devient point d’interrogation saluant bien humblement le point d’exclamation que constitue la beauté du monde.
Et en ce sens, l’archétype hologrammique de Michel le concierge, Marlene la jardinière et Pierrot vagabond sont des sculptures d’enchantement de l’errance poétique protégeant la personne humaine de l’errance fantomatique autant qu’ontologique.
Il n’y a de phénomène que dans le noumène de l’objet qui rêve parce l’objet cherche à fuir l’objectivation des catégorisations de la déchéance du souci.
à suivre…
www.wow-t.com