Que d’années…. que d’années à questionner l’énigme-présence d’une méréologie (le rapport architectonique entre le tout et la partie) dont toute personne humaine œuvre d’art s’invente comme le bijou rêvant de la beauté du monde.
Quand j’ai quitté la scène de la calèche après avoir chanter «la quête de Jacques Brel», je ne savais pas que la route serait si poïétique…. Mademoiselle Marie à Victoriaville, un 1000 pages (Monsieur 2.7k?) pour me retrouver squatter à la librairie recyclo-livres de Victoriaville.
Et soudain un soir… je lis la biographie de Frank Scott qui parle du pays œuvre d’art… et je pars à partir de l’invention hologrammique synthétique du vagabond céleste pour vagabonder le Canada avec une question…
SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS, EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?
Et je pars à la recherche de rêveurs… j’écris 100 chansons pour en faire des portraits… Et me voilà maintenant à 70 ans à ouvrir un champ de recherche sur le rapport entre l’ontologie, les qualias et le multivers…
La nano-citoyenneté-planétaire, la vie personnelle œuvre d’art, les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art, le rêve big bang….
j’ai 70 ans…
à suivre…